Evenement précoce.

Akira se réveillait. Lyzzie était en train de nourrir leur fils, elle semblait beaucoup plus détendue qu'avant. Il ne bougea pas, ne montrant même pas qu'il était réveillé. Il savait que Lyzzie avait besoin de recréer un lien avec Jun Aïda.

"Alors, tu vois que tout c'est bien passé." dit il une fois qu'elle eut fini en embrassant tendrement sa femme.

"Tu te sens mieux ? Tu as faim ?"

— ADMINISTRATRICE —

Elle était en tain de tapoter le dos de son fils doucement pour qu'il fasse son rot.

-Oui tu avais raison, comme très souvent d'ailleurs. J'ai peut-être un peu paniqué pour rien...

Puis quand le nourisson eut eructer elle le tendit à son père et elle entreprit de se lever. Jun-Aida commença a chouiner alors elle se retournat vers le bébé posant son index sur le nez de son fils.

-Monsieur mon fils que j'aime plus que tout au monde... Tu es dans les bras de ton père et en parfaite sécurité alors arrète d'être aussi angoissé, je me charge de ça pour toi d'acord ?

Dit-elle avec un regard rieur à son mari en embrassant amoureusement son bébé.

-Je vais vous laisser entre hommes le temps d'aller faire quelques chose à manger et de passer chercher ma baguette à l'école. Il serait temps que je vous laisse faire connaissance non ?

C'état à elle de s'effacer maintenant.

-Je suis sure que tu vas très bien t'en sortir mon amour.

Dit-elle a Akira alors qu'elle s'habillait. Lyzandra avait du mal à tenir debout et se sentait encore faible, mais il fallait qu'elle se fasse violence.

-A moins que nous allions tous à l'école ? Qu'en penses-tu ?

"Que tu vas rester au lit, que je vais aller faire à manger, et que je demanderais à Miki de ramener ta baguette." dit Akira avec une voix faussement sévère.

Puis il s'adressa à son fils en japonais.

"Et oui, maman est un peu casse cou sur les bords, alors elle va rester dans le lit avec toi pendant que je m'occupe de tout."

Puis il l'embrassa et le confia de nouveau à sa mère avant de filer vers la cuisine d'où il revient quelques instants plus tard avec des gaufres, des pancakes, des fruits et diverses choses.

"Le petit déjeuner de madame est servit."

— ADMINISTRATRICE —

Elle levat un sourcil. les mangues... Ce petit bout allait grandir en angleterre, d'un père japonais et une mère hongroise... Durant sa grossesse elle n'avait amais prit le temps de penser à ça.

-Merci mon chéri.

Jun-Aida était allongé sur le sgenoux de sa mère et dormait gentillement.

-Dis moi tu crois que je devrais lui parler hongrois de temps en temps ? J'ai ^peur qu'il soit complètement perdu le pauvre entre le japonais l'anglais et le hongrois...

Akira réfléchit un instant, de par le monde de nombreux enfants étaient bilingues, alors une langue en plus ne devrait pas être dérangeant.

"A mon avis il n'y aura aucun problème, si on l'habitue petit. Je veux dire, c'est dès le plus jeune âge que les enfants acquiert leur langue maternelle, et ce petit bout en aura trois, ça ne fait rien."

— ADMINISTRATRICE —

-Oui après tout toi et moi sommes déjà bilingues...

Elle avait du mal à manger, sans doute encore un peu perturbé par son très recent accouchement. Il fallait qu'elle se ménage tout de même un peu et se rpose sur son mari. Jamais ça ne lui était arrivé.

Puis elle se décida enfin a parler hongrois a son enfant et surtout devant son mari, qui jamais ne l'avait entendu s'exprimer dans sa langue maternelle.

-Mais vois-tu Jun-Aida je t'interdis formellement de répéter le smots que maman dit quand elle est au travail et qu'elle range la bibliothèque, se sont de vilains mots et meêm si papa ne les comprends pas ce n'est pas une raison... Parce que je vous vois venir à des kilomètres petit amour...

Akira la regardait.

-J'expliquais à nore fils qu'il ne devrait pas jouer avec les langues qu'il allait apprendre... D'ailleur il faudrait que je me mette au japonais... Je veux toujours pouvoir comprendre ce qui va sortir de la bouche de notre fils... Surtout qu'il va avoir un petit cousin de son âge.

"Ne t'en fais pas, ce n'est pas de moi qu'il apprend d'injures. Enfin, si jamais il est comme toi, ce n'est pas impossible." dit Akira avec un sourire moqueur.

Il était vrai que connaitre les bases de l'hongrois ne pourrait pas être néfaste.

"Très bien, je te donnerais des cours de japonais et tu me donneras des leçons de hongrois. Ça te va ?"

— ADMINISTRATRICE —

-Oui çe me parait une bonne idée.

Elle baillat. En réalité elle était épuisée encore. Mais elle luttait.

-Ah et il va falloir s'occuper des faire part de naissances au fait... Je n'ai pas eu le temps de le sfaire. J'écrirai aussi Brian, je devais passer le voir tou tà l'heure mais je ne croi spas que ça sera envisageable... Je peux toujours lui dire de passer et lui faire la surprise... Je t'avais dit que je l'avais choisits comme parrain ?

Akira débarrassa le plateau du lit afin de permettre à Lyzzie de s'allonger.

"Pour les faire parts, je m'en occupe, je comptais m'aider de la magie. Ça ira plus vite. Et puis, tu devrais dire à Brian de passer, tu n'es pas en état pour courir partout et sortir un bébé dehors peut être mauvais pour lui. Il est encore fragile ce petit bout."

— ADMINISTRATRICE —

Jun-Aida gigotais, cela fit sourire sa mère.

-Tu vois mon ange maintenant papa peut voir ce que tu t'amusais à faire dans mon ventre pour m'empecher de dormir...

Instinsctivement elle posat sa main sur le ventre du bébé et commençat à le bercer doucement. Elle n'en revenait toujours pas, il était si beau, si petit, si fragile.

-Lààà shuuuut calme toi...

Akira les regardait avec un sourire béat d'une oreille à l'autre. Le soleil baignait la pièce d'un douce chaleur. Lyzandra se sentait bien, elle n'aurait voulu être ailleur pour rien au monde. Elle s'approchat d'Akia et vint se lover dans ses brsa, tous deux regardait leur fils. Lyzandra lui avait mis une petite grenouillère jaune pastel hornée d'un chaton, assortie à la tenue qu'elle même avait prévu de porter ce jour là.

-Tu ne le trouves pas vraiment magnifique ?

Akira avait les yeux posés sur son fils, tandis qu'il enserrait Lyzzie dans ses bras. Il était sans aucun doute l'homme le plus heureux du monde à ce moment.

"Si, absolument magnifique." murmura t il.

D'un mauvais de baguette, il fit voleter l'appareil photo qui, sans bruit, prit une photo de la petite famille. Jun Aïda n'avait même pas remarquer le manège de l'appareil et ni Lyzzie ni Akira n'avait regardé l'objectif au moment de la prise.

— ADMINISTRATRICE —

Cette fois-ci le petit Jun-Aida pleurait pour de bon, et pur cause Lyzandra venait de le remettre dans son berceau.

-Jun-Aida Mihyana Bathory, il est hors de question que tu prennes la mauvaise habitude de dormir dans notre lit. D'ailleur d'ici 15 jours j'établirai définitivement tes quartiers dans TA chambre, autrement dit dans la pièce juste à côté.

Comme si il avait compris le sparoles de s amère le nourisson se mit à hurler de plus belle. Bien que cela lui fende le coeur Lyzandra resta impassible. Elle savait qu'il ne fallait pas le prendre car elle savait parfaitement que son fils allait bien. Patiemment elle s'installa et prit ravissant album de bébé qui était posé sur la table de nuit, elle se munie d'une plus et commençat à le rédiger à la page naissance. C'était un cadeau envoyé par sa gouvernant et nourrice Kalinka, une dame qui devait atteindre la cinquantaine à présent avec qui Lyzandra avait garder un contact très étroit. D'ailleur jamais elle n'aurait pensé confier Jun-Aida à qulequ'un d'autre qu'elle. Chaque mois depuis l'annonce de sa grossesse Akira les avaient prit en photo, et avait ajouter aussi un gros plan sur le ventre de Lyzandra qui avait à peine commencé à devenir visible au jours ou elle accouché.
Elle prit sa plus belle plume et y colla leur première photo de famille, griffonant un trait d'esprit sur la page du neuvième mois. Akira se tenait derrière sa femme et jetait des regards inquiet au berceau d'où de scris stridents continuaient à sortir.

-Ce n'est rien il va bien. Lui aussi doit apprendre couper le cordon... Si il était arrivé à la date prévu il serait déjà dans sa chambre à lui...

La jeune maman avait dit cela sans pru lever les yeux de ce qu'elle était en train de faire. Elle devait avoir raison car assez vite le volumes des pleurs diminuat jusqu'a ce que Jun-Aida s'endorme enfin.

-Tu vois, je t'avais dit que tout allait bien. Il ne faut pas commencer à lui ceder, sinon nous n'avons pas finits...