[— JOUEUR / JOUEUSE —]

1. Votre Personnage

Personne qui représentera votre personnage: Dessin de Marta Dahlig
Nom : Eolas
Prénom : Hécate
Date de naissance : 1er mars 1974
Groupe : sorcière
Camp : Neutre
Rang : Sorcière
Maison souhaitée/Maison d'appartenance: Anciennement Gryffondor

Baguette : Bois d'If et plume de phénix (ATT : 32 | DEF : 12 | SOIN : 6)

Patronus : acromentule




---



Atout(s) (10/15) :

- Animagus (10 points): acromentule

Handicap(s) (10/15) :

- Distrait (1 point)
- dépendance (3 points): A l'Aleph (objet magique hautement dangereux pour l'équilibre mental, secret hérité de sa famille, qui permet de voir en une fraction chaque infime parcelle du monde. Son utilisation est formellement interdite car elle entraîne dépendance et blessures célébrales...)
-Impulsif (1 point)
- Instable (1 point)
- Loyal (4points)



---



Histoire & Famille


Hécate vécut les premières années de son existence dans la demeure Eolas se situant dans les Highlands écossaises. Issue d’une longue lignée de sorciers, elle ne connut jamais ses parents mais fut élevée par sa grand-mère maternelle, Catalina. Elle grandit dans une atmosphère des plus paisibles et aimantes. Un certain mystère entourait la vieille femme qui s’adressait souvent à sa petite fille à travers des énigmes qu’il fallait désespérément dénouer. Il lui arrivait fréquemment de disparaître pendant plusieurs jours et revenait parfois très altérée par ses escapades inexpliquées. Hécate comprit très vite qu’elle conservait un secret qu’elle ne devait en aucun cas tenter de percer. Pendant ses longues journées de solitude, Mandy, elfe de maison de son statut mais également esprit bienveillant de la maison, s’occupait de la fillette comme une seconde mère.

A l’âge de 11 ans, Hécate entra à Poudlard où elle fut envoyée à Gryffondor. Elle y accomplit une scolarité complète et fut même nommée préfète de sa maison quand elle fut en 6ème année.Ce fut cette année là que Harry Potter fut envoyé dans sa maison, à la grande joie de tous. Comme tous ses camarades, Hécate éprouvait de la curiosité pour celui qui était censé être l’ « élu ». En tant qu’aînée et préfète, il aurait du lui donner bien du fil à retordre, lui qui, avec ses petits camarades, avait tant de mal à respecter les règlements. Pourtant, la jeune fille appréciait sa bravoure et son intrépidité. Bien des fois, elle ferma les yeux sur les entorses qu’elle constatait. Après tout, Dumbledore lui-même semblait faire quelques exceptions lorsqu’il s’agissait de Potter… par la suite, dans les années qui suivirent son départ de Poudlard, elle fut en désaccord, non avec les idéaux, mais avec les agissements de l’ « élu » et même de son ancien directeur… Combattant la haine par la violence, la souffrance par la destruction, ils ne s’attaquaient pas, à ses yeux, à la racine du mal. Etait-il plausible de vouloir éradiquer les ténèbres ?A l’époque, pour Hécate, la réponse se trouvait dans la compassion, dans la grâce, mais surtout dans l’amour…

Mais revenons à Poudlard, la seule transgression aux règles qu’elle commit, mais qui resta toujours assez discrète pour ne pas éveiller les soupçons des enseignants, fut qu’elle ne put résister à la tentation de faire des escapades nocturnes assez répétées dans la forêt interdite. Comment une simple élève a-t-elle pu survivre parmi les multiples dangers qui pullulent en ce lieu menaçant ? Comme nous tous, Hécate possède elle aussi un secret… doit-elle le révéler au grand jour ? Il y eu cet accident… qu’il fut bon ou mauvais, cela reste difficile à dire, pourtant, la jeune fille n’en ressortit pas indemne et ce fut son essence même qui en fut altérée. Le professeur avait donné pour consigne de transformer une araignée en montre à gousset. Distrait, il passait de rang en rang sans réellement apporter de conseils sur la méthode à employer. Le flux de magie qui jaillit de la baguette d’Hécate percuta l’araignée mais, tel un effet de miroir, il lui revint de plein fouet. Elle et l’araignée restèrent quelques instants liées par une force magnétique qui électrisa son corps entier avant de se rompre et de laisser la jeune fille inconsciente pendant plusieurs jours. Lorsqu’elle revint à elle, la vie reprit son cours, mais elle ne cessa de nourrir une obsession grandissante : rejoindre la forêt… rejoindre la forêt… nuit et jour… Elle ressentait dans tout son corps cet appel irrationnel… rejoindre la forêt…

Ce qu’elle fit. Attirée par cette impulsion quasi-animale, elle pénétra le cœur de ce lieu interdit, et pour cause, elle y rencontra celui qui allait devenir « son père »… Aragog. L’acromentule la captura dans une toile et la vida de presque tout son sang. Dans une semi conscience, elle entendit ses mots lui parvenir du plus profond de ses entrailles… Hécate avait commis le crime d’exercer sur une de ses filles un sort de métamorphose, elle devait payer pour les fautes avilissantes des humains… Etrange fut l’idée qui traversa l’esprit archnéen d’Aragog. Entre la vie et la mort, Hécate reçut de l’acromentules des doses de venin combinées à la propre hémolymphe de celui qui opérait, à sa manière, la métamorphose sur la jeune femme. Son idée, Hécate l’apprit plus tard, fut d’avoir, dans sa colonie, un membre capable de faire la jonction entre les deux mondes, celui des acromentules et celui des humains, mais également de prévenir les siens en cas d’agression des humains. Hécate demeura de nombreuses lunes parmi les siens où elle apprit à respecter sa place et à obéir aux ordres de son « père ». Elle devint Anansi, fille d’Aragog tisseuse de liens entre deux peuplades qui se craignent et qui ne pourront jamais vivre ensemble.



Ce fut lors de sa dernière année dans l’école de sorcellerie que sa vie bascula. Elle fit des rencontres qui la menèrent sur des chemins qu’elle n’avait guère escomptés. Innocente et d’un tempérament généreux, sensible voire même altruiste, la jeune femme qu’elle était devenue ne pouvait s’empêcher d’être attirée par ceux que la souffrance dévorait de l’intérieur et qui se réfugiaient dans la noirceur de leur cœur.

Elle côtoya certains mages noirs, trouvant toujours dans leurs ténèbres la lumière nécessaire à l’illumination. Il lui semblait qu’étant à leurs côtés, qu’apaisant leur mal, elle rendait le monde meilleur. Elle ne faisait pourtant que sublimer les abysses de leurs cœurs en absorbant leurs propres ténèbres.

Les relations furent intenses et destructrices. L’amour s’accouple avec la haine, passionnément ils se dévorent et se consument jusqu’à la dernière cendre.

Il ne restait plus rien d’Hécate qu’une sombre plaie béante emplie d’incertitudes et de peurs. Elle rentra en Ecosse à Inverness où sa grand-mère avait rendu l’âme depuis plusieurs années déjà. Elle s’absorba alors dans la plus triste des solitudes reniant le monde et se plongeant dans les secrets que sa défunte aïeule lui avait légués.

Lourde était la responsabilité qui lui incombait. De génération en génération, depuis des temps ancestraux, il y avait un objet que sa famille protégeait de la cupidité des hommes. C’était un objet qui d’apparence n’avait rien de particulier mais qui pourtant, en son sein recelait un pouvoir démesuré. L’Aleph. Une simple sphère bleutée qui ne cessait jamais de tourner. L’Aleph, dont il fallait à tout prix garder le secret de son existence. L’Aleph qui permettait, à celui qui s’absorbait dans sa contemplation de voir instantanément chaque parcelle infime du monde. L’Aleph qui au regard de certains souverains était un atout de taille ne finissait par devenir, inlassablement que malédiction. Son pouvoir de connaissance absolue était à double tranchant. S’il était formellement interdit à Hécate et à toute gardienne de se plonger dans l’Aleph c’était que sa vision rendait fébrile et très vite dépendant. On ne s’échappait pas de l’Aleph. L’utiliser à des fins personnelles revenait à oublier sa propre existence. S’en servir était un piège qui entraînait dans la plus sombre des folies…

Il existait, de par le monde, trois Alephs. Un seul Aleph, effectuant sa rotation permettait de voir le grand tout en une fraction de seconde. Mettre en rotation deux Alephs, offrait une vue globale de tout ce qui fut et de tout ce qui sera. Quant à la possession des trois Alephs… Prions que jamais les trois Alephs ne se rencontrent… car leur mise en relation permettrait d’interagir sur le déroulement du temps et de modifier son cours… mais les textes restaient très vagues à ce sujet. La puissance de ces objets était telle qu’ils furent séparés, éloignés aux quatre coins du monde. Nul gardien ne connaît l’identité des deux autres et qu’il en soit ainsi jusqu’à la fin des temps…

Pourtant, malgré les interdictions formelles de sa grand-mère, Hécate, qui se croyait droite et forte de ses convictions, se laissa aller à la contemplation méditative de l’Aleph qui la dévora chaque jour d’avantage. Elle put y voir à son loisir et sans interruption ceux qu’elle aimait le plus et ce qu’elle haïssait le mieux, connaître et acquérir un grand savoir… mais pourtant… il y a déjà longtemps que l’Aleph, sur esprit, a entamé ses ravages…


Après trois passés sans voir le jour, elle ressurgit enfin. Affaiblie de corps et d’esprit, elle ne possède plus aucune certitude. Seul compte à présent le besoin qui s’émane de ses entrailles : vivre. Mais la peur d’affronter ses semblables dominant le désir de s’y mêler, l’a poussée dans ses derniers retranchements. Egarée, Hécate adresse à la forêt qui fut son refuge, la prière de l’accueillir à nouveau en son sein, afin d’achever sa renaissance.

Physique & Caractère



D’allure délicate et gracieuse, Hécate est une jeune femme éthérée, aux gestes légers et aériens, à l’attitude parfois lunaire. Son corps svelte et souple se meut avec agilité. La pâleur de sa peau est soulignée par un regard sombre et profond. Sa chevelure longue et ondoyante se répand en de longues chutes d’ambre sombre qui viennent s’échouer au creux de sa cambrure. Souvent absente et pensive, elle se plaît à s’absorber dans la contemplation et la méditation. Pourtant, son impulsivité et ses convictions la poussent malgré tout dans des voies qui ne sont pas dénuées d’embûches et de périls. Malgré un instinct exacerbé qui lui indique les chemins à éviter, elle ne sait aller à l’encontre de ce que son cœur lui dicte.

Pourtant, ce n’est pas sous cet aspect que Hécate apparaîtra dans les temps à venir… Les aléas de la vie l’ont menée vers un retour à l’état sauvage et elle se voit marquée physiquement et psychiquement. Ayant vécu dans la réclusion volontaire pendant trois ans, son corps est affaibli et son âme égarée. Se retrouvant dans la forêt sont corps est criblé d’entailles plus ou moins légères. Elle est, pour le moment, recouverte d’une cape vétuste et n’a en sa possession que sa baguette et une « pierre » mystérieuse qu’elle porte en pendentif afin de ne pas l’égarer.



---

2. Vous

Votre Pseudo - PUF : ...
Comment avez-vous connus HP RPG ? Les méandres de la toile...
Votre niveau en RP : bon
Avez-vous lus le règlement ? Donnez le code de Validation : OK par Lord Voldemort

J'accepte que mon personnage soit intégré(e) dans l'Histoire d'Harry Potter RPG™ et qu'en cas de non-activité de ma part il soit repris par un(e) autre joueur (joueuse) : OUI [] NON [X]

Autre : Le retour à la vie d’Hécate se fera dans un premier temps essentiellement dans la forêt interdite. Il lui faudra un certain temps avant de s’aventurer parmi ses semblables… J’espère que cela ne posera pas de problème…

[Localisation]

1. Votre Personnage

Personne qui représentera votre personnage: Dessin de Marta Dahlig
Nom : Eolas
Prénom : Hécate
Date de naissance : 1er mars 1974
Groupe : sorcière
Camp : Neutre
Rang : Sorcière
Maison souhaitée/Maison d'appartenance: Anciennement Gryffondor

Baguette : Bois d'If et plume de phénix (ATT : 32 | DEF : 12 | SOIN : 6)

Patronus : acromentule




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Atout(s) (10/15) :

- Animagus (10 points): acromentule

Handicap(s) (10/15) :

- Distrait (1 point)
- dépendance (3 points): A l'Aleph (objet magique hautement dangereux pour l'équilibre mental, secret hérité de sa famille, qui permet de voir en une fraction chaque infime parcelle du monde. Son utilisation est formellement interdite car elle entraîne dépendance et blessures célébrales...)
-Impulsif (1 point)
- Instable (1 point)
- Loyal (4points)



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Histoire & Famille


Hécate vécut les premières années de son existence dans la demeure Eolas se situant dans les Highlands écossaises. Issue d’une longue lignée de sorciers, elle ne connut jamais ses parents mais fut élevée par sa grand-mère maternelle, Catalina. Elle grandit dans une atmosphère des plus paisibles et aimantes. Un certain mystère entourait la vieille femme qui s’adressait souvent à sa petite fille à travers des énigmes qu’il fallait désespérément dénouer. Il lui arrivait fréquemment de disparaître pendant plusieurs jours et revenait parfois très altérée par ses escapades inexpliquées. Hécate comprit très vite qu’elle conservait un secret qu’elle ne devait en aucun cas tenter de percer. Pendant ses longues journées de solitude, Mandy, elfe de maison de son statut mais également esprit bienveillant de la maison, s’occupait de la fillette comme une seconde mère.

A l’âge de 11 ans, Hécate entra à Poudlard où elle fut envoyée à Gryffondor. Elle y accomplit une scolarité complète et fut même nommée préfète de sa maison quand elle fut en 6ème année.Ce fut cette année là que Harry Potter fut envoyé dans sa maison, à la grande joie de tous. Comme tous ses camarades, Hécate éprouvait de la curiosité pour celui qui était censé être l’ « élu ». En tant qu’aînée et préfète, il aurait du lui donner bien du fil à retordre, lui qui, avec ses petits camarades, avait tant de mal à respecter les règlements. Pourtant, la jeune fille appréciait sa bravoure et son intrépidité. Bien des fois, elle ferma les yeux sur les entorses qu’elle constatait. Après tout, Dumbledore lui-même semblait faire quelques exceptions lorsqu’il s’agissait de Potter… par la suite, dans les années qui suivirent son départ de Poudlard, elle fut en désaccord, non avec les idéaux, mais avec les agissements de l’ « élu » et même de son ancien directeur… Combattant la haine par la violence, la souffrance par la destruction, ils ne s’attaquaient pas, à ses yeux, à la racine du mal. Etait-il plausible de vouloir éradiquer les ténèbres ?A l’époque, pour Hécate, la réponse se trouvait dans la compassion, dans la grâce, mais surtout dans l’amour…

Mais revenons à Poudlard, la seule transgression aux règles qu’elle commit, mais qui resta toujours assez discrète pour ne pas éveiller les soupçons des enseignants, fut qu’elle ne put résister à la tentation de faire des escapades nocturnes assez répétées dans la forêt interdite. Comment une simple élève a-t-elle pu survivre parmi les multiples dangers qui pullulent en ce lieu menaçant ? Comme nous tous, Hécate possède elle aussi un secret… doit-elle le révéler au grand jour ? Il y eu cet accident… qu’il fut bon ou mauvais, cela reste difficile à dire, pourtant, la jeune fille n’en ressortit pas indemne et ce fut son essence même qui en fut altérée. Le professeur avait donné pour consigne de transformer une araignée en montre à gousset. Distrait, il passait de rang en rang sans réellement apporter de conseils sur la méthode à employer. Le flux de magie qui jaillit de la baguette d’Hécate percuta l’araignée mais, tel un effet de miroir, il lui revint de plein fouet. Elle et l’araignée restèrent quelques instants liées par une force magnétique qui électrisa son corps entier avant de se rompre et de laisser la jeune fille inconsciente pendant plusieurs jours. Lorsqu’elle revint à elle, la vie reprit son cours, mais elle ne cessa de nourrir une obsession grandissante : rejoindre la forêt… rejoindre la forêt… nuit et jour… Elle ressentait dans tout son corps cet appel irrationnel… rejoindre la forêt…

Ce qu’elle fit. Attirée par cette impulsion quasi-animale, elle pénétra le cœur de ce lieu interdit, et pour cause, elle y rencontra celui qui allait devenir « son père »… Aragog. L’acromentule la captura dans une toile et la vida de presque tout son sang. Dans une semi conscience, elle entendit ses mots lui parvenir du plus profond de ses entrailles… Hécate avait commis le crime d’exercer sur une de ses filles un sort de métamorphose, elle devait payer pour les fautes avilissantes des humains… Etrange fut l’idée qui traversa l’esprit archnéen d’Aragog. Entre la vie et la mort, Hécate reçut de l’acromentules des doses de venin combinées à la propre hémolymphe de celui qui opérait, à sa manière, la métamorphose sur la jeune femme. Son idée, Hécate l’apprit plus tard, fut d’avoir, dans sa colonie, un membre capable de faire la jonction entre les deux mondes, celui des acromentules et celui des humains, mais également de prévenir les siens en cas d’agression des humains. Hécate demeura de nombreuses lunes parmi les siens où elle apprit à respecter sa place et à obéir aux ordres de son « père ». Elle devint Anansi, fille d’Aragog tisseuse de liens entre deux peuplades qui se craignent et qui ne pourront jamais vivre ensemble.



Ce fut lors de sa dernière année dans l’école de sorcellerie que sa vie bascula. Elle fit des rencontres qui la menèrent sur des chemins qu’elle n’avait guère escomptés. Innocente et d’un tempérament généreux, sensible voire même altruiste, la jeune femme qu’elle était devenue ne pouvait s’empêcher d’être attirée par ceux que la souffrance dévorait de l’intérieur et qui se réfugiaient dans la noirceur de leur cœur.

Elle côtoya certains mages noirs, trouvant toujours dans leurs ténèbres la lumière nécessaire à l’illumination. Il lui semblait qu’étant à leurs côtés, qu’apaisant leur mal, elle rendait le monde meilleur. Elle ne faisait pourtant que sublimer les abysses de leurs cœurs en absorbant leurs propres ténèbres.

Les relations furent intenses et destructrices. L’amour s’accouple avec la haine, passionnément ils se dévorent et se consument jusqu’à la dernière cendre.

Il ne restait plus rien d’Hécate qu’une sombre plaie béante emplie d’incertitudes et de peurs. Elle rentra en Ecosse à Inverness où sa grand-mère avait rendu l’âme depuis plusieurs années déjà. Elle s’absorba alors dans la plus triste des solitudes reniant le monde et se plongeant dans les secrets que sa défunte aïeule lui avait légués.

Lourde était la responsabilité qui lui incombait. De génération en génération, depuis des temps ancestraux, il y avait un objet que sa famille protégeait de la cupidité des hommes. C’était un objet qui d’apparence n’avait rien de particulier mais qui pourtant, en son sein recelait un pouvoir démesuré. L’Aleph. Une simple sphère bleutée qui ne cessait jamais de tourner. L’Aleph, dont il fallait à tout prix garder le secret de son existence. L’Aleph qui permettait, à celui qui s’absorbait dans sa contemplation de voir instantanément chaque parcelle infime du monde. L’Aleph qui au regard de certains souverains était un atout de taille ne finissait par devenir, inlassablement que malédiction. Son pouvoir de connaissance absolue était à double tranchant. S’il était formellement interdit à Hécate et à toute gardienne de se plonger dans l’Aleph c’était que sa vision rendait fébrile et très vite dépendant. On ne s’échappait pas de l’Aleph. L’utiliser à des fins personnelles revenait à oublier sa propre existence. S’en servir était un piège qui entraînait dans la plus sombre des folies…

Il existait, de par le monde, trois Alephs. Un seul Aleph, effectuant sa rotation permettait de voir le grand tout en une fraction de seconde. Mettre en rotation deux Alephs, offrait une vue globale de tout ce qui fut et de tout ce qui sera. Quant à la possession des trois Alephs… Prions que jamais les trois Alephs ne se rencontrent… car leur mise en relation permettrait d’interagir sur le déroulement du temps et de modifier son cours… mais les textes restaient très vagues à ce sujet. La puissance de ces objets était telle qu’ils furent séparés, éloignés aux quatre coins du monde. Nul gardien ne connaît l’identité des deux autres et qu’il en soit ainsi jusqu’à la fin des temps…

Pourtant, malgré les interdictions formelles de sa grand-mère, Hécate, qui se croyait droite et forte de ses convictions, se laissa aller à la contemplation méditative de l’Aleph qui la dévora chaque jour d’avantage. Elle put y voir à son loisir et sans interruption ceux qu’elle aimait le plus et ce qu’elle haïssait le mieux, connaître et acquérir un grand savoir… mais pourtant… il y a déjà longtemps que l’Aleph, sur esprit, a entamé ses ravages…


Après trois passés sans voir le jour, elle ressurgit enfin. Affaiblie de corps et d’esprit, elle ne possède plus aucune certitude. Seul compte à présent le besoin qui s’émane de ses entrailles : vivre. Mais la peur d’affronter ses semblables dominant le désir de s’y mêler, l’a poussée dans ses derniers retranchements. Egarée, Hécate adresse à la forêt qui fut son refuge, la prière de l’accueillir à nouveau en son sein, afin d’achever sa renaissance.

Physique & Caractère



D’allure délicate et gracieuse, Hécate est une jeune femme éthérée, aux gestes légers et aériens, à l’attitude parfois lunaire. Son corps svelte et souple se meut avec agilité. La pâleur de sa peau est soulignée par un regard sombre et profond. Sa chevelure longue et ondoyante se répand en de longues chutes d’ambre sombre qui viennent s’échouer au creux de sa cambrure. Souvent absente et pensive, elle se plaît à s’absorber dans la contemplation et la méditation. Pourtant, son impulsivité et ses convictions la poussent malgré tout dans des voies qui ne sont pas dénuées d’embûches et de périls. Malgré un instinct exacerbé qui lui indique les chemins à éviter, elle ne sait aller à l’encontre de ce que son cœur lui dicte.

Pourtant, ce n’est pas sous cet aspect que Hécate apparaîtra dans les temps à venir… Les aléas de la vie l’ont menée vers un retour à l’état sauvage et elle se voit marquée physiquement et psychiquement. Ayant vécu dans la réclusion volontaire pendant trois ans, son corps est affaibli et son âme égarée. Se retrouvant dans la forêt sont corps est criblé d’entailles plus ou moins légères. Elle est, pour le moment, recouverte d’une cape vétuste et n’a en sa possession que sa baguette et une « pierre » mystérieuse qu’elle porte en pendentif afin de ne pas l’égarer.



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2. Vous

Votre Pseudo - PUF : ...
Comment avez-vous connus HP RPG ? Les méandres de la toile...
Votre niveau en RP : bon
Avez-vous lus le règlement ? Donnez le code de Validation : OK par Lord Voldemort

J'accepte que mon personnage soit intégré(e) dans l'Histoire d'Harry Potter RPG™ et qu'en cas de non-activité de ma part il soit repris par un(e) autre joueur (joueuse) : OUI [] NON [X]

Autre : Le retour à la vie d’Hécate se fera dans un premier temps essentiellement dans la forêt interdite. Il lui faudra un certain temps avant de s’aventurer parmi ses semblables… J’espère que cela ne posera pas de problème…

[Nb de messages]

1. Votre Personnage

Personne qui représentera votre personnage: Dessin de Marta Dahlig
Nom : Eolas
Prénom : Hécate
Date de naissance : 1er mars 1974
Groupe : sorcière
Camp : Neutre
Rang : Sorcière
Maison souhaitée/Maison d'appartenance: Anciennement Gryffondor

Baguette : Bois d'If et plume de phénix (ATT : 32 | DEF : 12 | SOIN : 6)

Patronus : acromentule




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Atout(s) (10/15) :

- Animagus (10 points): acromentule

Handicap(s) (10/15) :

- Distrait (1 point)
- dépendance (3 points): A l'Aleph (objet magique hautement dangereux pour l'équilibre mental, secret hérité de sa famille, qui permet de voir en une fraction chaque infime parcelle du monde. Son utilisation est formellement interdite car elle entraîne dépendance et blessures célébrales...)
-Impulsif (1 point)
- Instable (1 point)
- Loyal (4points)



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Histoire & Famille


Hécate vécut les premières années de son existence dans la demeure Eolas se situant dans les Highlands écossaises. Issue d’une longue lignée de sorciers, elle ne connut jamais ses parents mais fut élevée par sa grand-mère maternelle, Catalina. Elle grandit dans une atmosphère des plus paisibles et aimantes. Un certain mystère entourait la vieille femme qui s’adressait souvent à sa petite fille à travers des énigmes qu’il fallait désespérément dénouer. Il lui arrivait fréquemment de disparaître pendant plusieurs jours et revenait parfois très altérée par ses escapades inexpliquées. Hécate comprit très vite qu’elle conservait un secret qu’elle ne devait en aucun cas tenter de percer. Pendant ses longues journées de solitude, Mandy, elfe de maison de son statut mais également esprit bienveillant de la maison, s’occupait de la fillette comme une seconde mère.

A l’âge de 11 ans, Hécate entra à Poudlard où elle fut envoyée à Gryffondor. Elle y accomplit une scolarité complète et fut même nommée préfète de sa maison quand elle fut en 6ème année.Ce fut cette année là que Harry Potter fut envoyé dans sa maison, à la grande joie de tous. Comme tous ses camarades, Hécate éprouvait de la curiosité pour celui qui était censé être l’ « élu ». En tant qu’aînée et préfète, il aurait du lui donner bien du fil à retordre, lui qui, avec ses petits camarades, avait tant de mal à respecter les règlements. Pourtant, la jeune fille appréciait sa bravoure et son intrépidité. Bien des fois, elle ferma les yeux sur les entorses qu’elle constatait. Après tout, Dumbledore lui-même semblait faire quelques exceptions lorsqu’il s’agissait de Potter… par la suite, dans les années qui suivirent son départ de Poudlard, elle fut en désaccord, non avec les idéaux, mais avec les agissements de l’ « élu » et même de son ancien directeur… Combattant la haine par la violence, la souffrance par la destruction, ils ne s’attaquaient pas, à ses yeux, à la racine du mal. Etait-il plausible de vouloir éradiquer les ténèbres ?A l’époque, pour Hécate, la réponse se trouvait dans la compassion, dans la grâce, mais surtout dans l’amour…

Mais revenons à Poudlard, la seule transgression aux règles qu’elle commit, mais qui resta toujours assez discrète pour ne pas éveiller les soupçons des enseignants, fut qu’elle ne put résister à la tentation de faire des escapades nocturnes assez répétées dans la forêt interdite. Comment une simple élève a-t-elle pu survivre parmi les multiples dangers qui pullulent en ce lieu menaçant ? Comme nous tous, Hécate possède elle aussi un secret… doit-elle le révéler au grand jour ? Il y eu cet accident… qu’il fut bon ou mauvais, cela reste difficile à dire, pourtant, la jeune fille n’en ressortit pas indemne et ce fut son essence même qui en fut altérée. Le professeur avait donné pour consigne de transformer une araignée en montre à gousset. Distrait, il passait de rang en rang sans réellement apporter de conseils sur la méthode à employer. Le flux de magie qui jaillit de la baguette d’Hécate percuta l’araignée mais, tel un effet de miroir, il lui revint de plein fouet. Elle et l’araignée restèrent quelques instants liées par une force magnétique qui électrisa son corps entier avant de se rompre et de laisser la jeune fille inconsciente pendant plusieurs jours. Lorsqu’elle revint à elle, la vie reprit son cours, mais elle ne cessa de nourrir une obsession grandissante : rejoindre la forêt… rejoindre la forêt… nuit et jour… Elle ressentait dans tout son corps cet appel irrationnel… rejoindre la forêt…

Ce qu’elle fit. Attirée par cette impulsion quasi-animale, elle pénétra le cœur de ce lieu interdit, et pour cause, elle y rencontra celui qui allait devenir « son père »… Aragog. L’acromentule la captura dans une toile et la vida de presque tout son sang. Dans une semi conscience, elle entendit ses mots lui parvenir du plus profond de ses entrailles… Hécate avait commis le crime d’exercer sur une de ses filles un sort de métamorphose, elle devait payer pour les fautes avilissantes des humains… Etrange fut l’idée qui traversa l’esprit archnéen d’Aragog. Entre la vie et la mort, Hécate reçut de l’acromentules des doses de venin combinées à la propre hémolymphe de celui qui opérait, à sa manière, la métamorphose sur la jeune femme. Son idée, Hécate l’apprit plus tard, fut d’avoir, dans sa colonie, un membre capable de faire la jonction entre les deux mondes, celui des acromentules et celui des humains, mais également de prévenir les siens en cas d’agression des humains. Hécate demeura de nombreuses lunes parmi les siens où elle apprit à respecter sa place et à obéir aux ordres de son « père ». Elle devint Anansi, fille d’Aragog tisseuse de liens entre deux peuplades qui se craignent et qui ne pourront jamais vivre ensemble.



Ce fut lors de sa dernière année dans l’école de sorcellerie que sa vie bascula. Elle fit des rencontres qui la menèrent sur des chemins qu’elle n’avait guère escomptés. Innocente et d’un tempérament généreux, sensible voire même altruiste, la jeune femme qu’elle était devenue ne pouvait s’empêcher d’être attirée par ceux que la souffrance dévorait de l’intérieur et qui se réfugiaient dans la noirceur de leur cœur.

Elle côtoya certains mages noirs, trouvant toujours dans leurs ténèbres la lumière nécessaire à l’illumination. Il lui semblait qu’étant à leurs côtés, qu’apaisant leur mal, elle rendait le monde meilleur. Elle ne faisait pourtant que sublimer les abysses de leurs cœurs en absorbant leurs propres ténèbres.

Les relations furent intenses et destructrices. L’amour s’accouple avec la haine, passionnément ils se dévorent et se consument jusqu’à la dernière cendre.

Il ne restait plus rien d’Hécate qu’une sombre plaie béante emplie d’incertitudes et de peurs. Elle rentra en Ecosse à Inverness où sa grand-mère avait rendu l’âme depuis plusieurs années déjà. Elle s’absorba alors dans la plus triste des solitudes reniant le monde et se plongeant dans les secrets que sa défunte aïeule lui avait légués.

Lourde était la responsabilité qui lui incombait. De génération en génération, depuis des temps ancestraux, il y avait un objet que sa famille protégeait de la cupidité des hommes. C’était un objet qui d’apparence n’avait rien de particulier mais qui pourtant, en son sein recelait un pouvoir démesuré. L’Aleph. Une simple sphère bleutée qui ne cessait jamais de tourner. L’Aleph, dont il fallait à tout prix garder le secret de son existence. L’Aleph qui permettait, à celui qui s’absorbait dans sa contemplation de voir instantanément chaque parcelle infime du monde. L’Aleph qui au regard de certains souverains était un atout de taille ne finissait par devenir, inlassablement que malédiction. Son pouvoir de connaissance absolue était à double tranchant. S’il était formellement interdit à Hécate et à toute gardienne de se plonger dans l’Aleph c’était que sa vision rendait fébrile et très vite dépendant. On ne s’échappait pas de l’Aleph. L’utiliser à des fins personnelles revenait à oublier sa propre existence. S’en servir était un piège qui entraînait dans la plus sombre des folies…

Il existait, de par le monde, trois Alephs. Un seul Aleph, effectuant sa rotation permettait de voir le grand tout en une fraction de seconde. Mettre en rotation deux Alephs, offrait une vue globale de tout ce qui fut et de tout ce qui sera. Quant à la possession des trois Alephs… Prions que jamais les trois Alephs ne se rencontrent… car leur mise en relation permettrait d’interagir sur le déroulement du temps et de modifier son cours… mais les textes restaient très vagues à ce sujet. La puissance de ces objets était telle qu’ils furent séparés, éloignés aux quatre coins du monde. Nul gardien ne connaît l’identité des deux autres et qu’il en soit ainsi jusqu’à la fin des temps…

Pourtant, malgré les interdictions formelles de sa grand-mère, Hécate, qui se croyait droite et forte de ses convictions, se laissa aller à la contemplation méditative de l’Aleph qui la dévora chaque jour d’avantage. Elle put y voir à son loisir et sans interruption ceux qu’elle aimait le plus et ce qu’elle haïssait le mieux, connaître et acquérir un grand savoir… mais pourtant… il y a déjà longtemps que l’Aleph, sur esprit, a entamé ses ravages…


Après trois passés sans voir le jour, elle ressurgit enfin. Affaiblie de corps et d’esprit, elle ne possède plus aucune certitude. Seul compte à présent le besoin qui s’émane de ses entrailles : vivre. Mais la peur d’affronter ses semblables dominant le désir de s’y mêler, l’a poussée dans ses derniers retranchements. Egarée, Hécate adresse à la forêt qui fut son refuge, la prière de l’accueillir à nouveau en son sein, afin d’achever sa renaissance.

Physique & Caractère



D’allure délicate et gracieuse, Hécate est une jeune femme éthérée, aux gestes légers et aériens, à l’attitude parfois lunaire. Son corps svelte et souple se meut avec agilité. La pâleur de sa peau est soulignée par un regard sombre et profond. Sa chevelure longue et ondoyante se répand en de longues chutes d’ambre sombre qui viennent s’échouer au creux de sa cambrure. Souvent absente et pensive, elle se plaît à s’absorber dans la contemplation et la méditation. Pourtant, son impulsivité et ses convictions la poussent malgré tout dans des voies qui ne sont pas dénuées d’embûches et de périls. Malgré un instinct exacerbé qui lui indique les chemins à éviter, elle ne sait aller à l’encontre de ce que son cœur lui dicte.

Pourtant, ce n’est pas sous cet aspect que Hécate apparaîtra dans les temps à venir… Les aléas de la vie l’ont menée vers un retour à l’état sauvage et elle se voit marquée physiquement et psychiquement. Ayant vécu dans la réclusion volontaire pendant trois ans, son corps est affaibli et son âme égarée. Se retrouvant dans la forêt sont corps est criblé d’entailles plus ou moins légères. Elle est, pour le moment, recouverte d’une cape vétuste et n’a en sa possession que sa baguette et une « pierre » mystérieuse qu’elle porte en pendentif afin de ne pas l’égarer.



---

2. Vous

Votre Pseudo - PUF : ...
Comment avez-vous connus HP RPG ? Les méandres de la toile...
Votre niveau en RP : bon
Avez-vous lus le règlement ? Donnez le code de Validation : OK par Lord Voldemort

J'accepte que mon personnage soit intégré(e) dans l'Histoire d'Harry Potter RPG™ et qu'en cas de non-activité de ma part il soit repris par un(e) autre joueur (joueuse) : OUI [] NON [X]

Autre : Le retour à la vie d’Hécate se fera dans un premier temps essentiellement dans la forêt interdite. Il lui faudra un certain temps avant de s’aventurer parmi ses semblables… J’espère que cela ne posera pas de problème…

[Bourse]

1. Votre Personnage

Personne qui représentera votre personnage: Dessin de Marta Dahlig
Nom : Eolas
Prénom : Hécate
Date de naissance : 1er mars 1974
Groupe : sorcière
Camp : Neutre
Rang : Sorcière
Maison souhaitée/Maison d'appartenance: Anciennement Gryffondor

Baguette : Bois d'If et plume de phénix (ATT : 32 | DEF : 12 | SOIN : 6)

Patronus : acromentule




---



Atout(s) (10/15) :

- Animagus (10 points): acromentule

Handicap(s) (10/15) :

- Distrait (1 point)
- dépendance (3 points): A l'Aleph (objet magique hautement dangereux pour l'équilibre mental, secret hérité de sa famille, qui permet de voir en une fraction chaque infime parcelle du monde. Son utilisation est formellement interdite car elle entraîne dépendance et blessures célébrales...)
-Impulsif (1 point)
- Instable (1 point)
- Loyal (4points)



---



Histoire & Famille


Hécate vécut les premières années de son existence dans la demeure Eolas se situant dans les Highlands écossaises. Issue d’une longue lignée de sorciers, elle ne connut jamais ses parents mais fut élevée par sa grand-mère maternelle, Catalina. Elle grandit dans une atmosphère des plus paisibles et aimantes. Un certain mystère entourait la vieille femme qui s’adressait souvent à sa petite fille à travers des énigmes qu’il fallait désespérément dénouer. Il lui arrivait fréquemment de disparaître pendant plusieurs jours et revenait parfois très altérée par ses escapades inexpliquées. Hécate comprit très vite qu’elle conservait un secret qu’elle ne devait en aucun cas tenter de percer. Pendant ses longues journées de solitude, Mandy, elfe de maison de son statut mais également esprit bienveillant de la maison, s’occupait de la fillette comme une seconde mère.

A l’âge de 11 ans, Hécate entra à Poudlard où elle fut envoyée à Gryffondor. Elle y accomplit une scolarité complète et fut même nommée préfète de sa maison quand elle fut en 6ème année.Ce fut cette année là que Harry Potter fut envoyé dans sa maison, à la grande joie de tous. Comme tous ses camarades, Hécate éprouvait de la curiosité pour celui qui était censé être l’ « élu ». En tant qu’aînée et préfète, il aurait du lui donner bien du fil à retordre, lui qui, avec ses petits camarades, avait tant de mal à respecter les règlements. Pourtant, la jeune fille appréciait sa bravoure et son intrépidité. Bien des fois, elle ferma les yeux sur les entorses qu’elle constatait. Après tout, Dumbledore lui-même semblait faire quelques exceptions lorsqu’il s’agissait de Potter… par la suite, dans les années qui suivirent son départ de Poudlard, elle fut en désaccord, non avec les idéaux, mais avec les agissements de l’ « élu » et même de son ancien directeur… Combattant la haine par la violence, la souffrance par la destruction, ils ne s’attaquaient pas, à ses yeux, à la racine du mal. Etait-il plausible de vouloir éradiquer les ténèbres ?A l’époque, pour Hécate, la réponse se trouvait dans la compassion, dans la grâce, mais surtout dans l’amour…

Mais revenons à Poudlard, la seule transgression aux règles qu’elle commit, mais qui resta toujours assez discrète pour ne pas éveiller les soupçons des enseignants, fut qu’elle ne put résister à la tentation de faire des escapades nocturnes assez répétées dans la forêt interdite. Comment une simple élève a-t-elle pu survivre parmi les multiples dangers qui pullulent en ce lieu menaçant ? Comme nous tous, Hécate possède elle aussi un secret… doit-elle le révéler au grand jour ? Il y eu cet accident… qu’il fut bon ou mauvais, cela reste difficile à dire, pourtant, la jeune fille n’en ressortit pas indemne et ce fut son essence même qui en fut altérée. Le professeur avait donné pour consigne de transformer une araignée en montre à gousset. Distrait, il passait de rang en rang sans réellement apporter de conseils sur la méthode à employer. Le flux de magie qui jaillit de la baguette d’Hécate percuta l’araignée mais, tel un effet de miroir, il lui revint de plein fouet. Elle et l’araignée restèrent quelques instants liées par une force magnétique qui électrisa son corps entier avant de se rompre et de laisser la jeune fille inconsciente pendant plusieurs jours. Lorsqu’elle revint à elle, la vie reprit son cours, mais elle ne cessa de nourrir une obsession grandissante : rejoindre la forêt… rejoindre la forêt… nuit et jour… Elle ressentait dans tout son corps cet appel irrationnel… rejoindre la forêt…

Ce qu’elle fit. Attirée par cette impulsion quasi-animale, elle pénétra le cœur de ce lieu interdit, et pour cause, elle y rencontra celui qui allait devenir « son père »… Aragog. L’acromentule la captura dans une toile et la vida de presque tout son sang. Dans une semi conscience, elle entendit ses mots lui parvenir du plus profond de ses entrailles… Hécate avait commis le crime d’exercer sur une de ses filles un sort de métamorphose, elle devait payer pour les fautes avilissantes des humains… Etrange fut l’idée qui traversa l’esprit archnéen d’Aragog. Entre la vie et la mort, Hécate reçut de l’acromentules des doses de venin combinées à la propre hémolymphe de celui qui opérait, à sa manière, la métamorphose sur la jeune femme. Son idée, Hécate l’apprit plus tard, fut d’avoir, dans sa colonie, un membre capable de faire la jonction entre les deux mondes, celui des acromentules et celui des humains, mais également de prévenir les siens en cas d’agression des humains. Hécate demeura de nombreuses lunes parmi les siens où elle apprit à respecter sa place et à obéir aux ordres de son « père ». Elle devint Anansi, fille d’Aragog tisseuse de liens entre deux peuplades qui se craignent et qui ne pourront jamais vivre ensemble.



Ce fut lors de sa dernière année dans l’école de sorcellerie que sa vie bascula. Elle fit des rencontres qui la menèrent sur des chemins qu’elle n’avait guère escomptés. Innocente et d’un tempérament généreux, sensible voire même altruiste, la jeune femme qu’elle était devenue ne pouvait s’empêcher d’être attirée par ceux que la souffrance dévorait de l’intérieur et qui se réfugiaient dans la noirceur de leur cœur.

Elle côtoya certains mages noirs, trouvant toujours dans leurs ténèbres la lumière nécessaire à l’illumination. Il lui semblait qu’étant à leurs côtés, qu’apaisant leur mal, elle rendait le monde meilleur. Elle ne faisait pourtant que sublimer les abysses de leurs cœurs en absorbant leurs propres ténèbres.

Les relations furent intenses et destructrices. L’amour s’accouple avec la haine, passionnément ils se dévorent et se consument jusqu’à la dernière cendre.

Il ne restait plus rien d’Hécate qu’une sombre plaie béante emplie d’incertitudes et de peurs. Elle rentra en Ecosse à Inverness où sa grand-mère avait rendu l’âme depuis plusieurs années déjà. Elle s’absorba alors dans la plus triste des solitudes reniant le monde et se plongeant dans les secrets que sa défunte aïeule lui avait légués.

Lourde était la responsabilité qui lui incombait. De génération en génération, depuis des temps ancestraux, il y avait un objet que sa famille protégeait de la cupidité des hommes. C’était un objet qui d’apparence n’avait rien de particulier mais qui pourtant, en son sein recelait un pouvoir démesuré. L’Aleph. Une simple sphère bleutée qui ne cessait jamais de tourner. L’Aleph, dont il fallait à tout prix garder le secret de son existence. L’Aleph qui permettait, à celui qui s’absorbait dans sa contemplation de voir instantanément chaque parcelle infime du monde. L’Aleph qui au regard de certains souverains était un atout de taille ne finissait par devenir, inlassablement que malédiction. Son pouvoir de connaissance absolue était à double tranchant. S’il était formellement interdit à Hécate et à toute gardienne de se plonger dans l’Aleph c’était que sa vision rendait fébrile et très vite dépendant. On ne s’échappait pas de l’Aleph. L’utiliser à des fins personnelles revenait à oublier sa propre existence. S’en servir était un piège qui entraînait dans la plus sombre des folies…

Il existait, de par le monde, trois Alephs. Un seul Aleph, effectuant sa rotation permettait de voir le grand tout en une fraction de seconde. Mettre en rotation deux Alephs, offrait une vue globale de tout ce qui fut et de tout ce qui sera. Quant à la possession des trois Alephs… Prions que jamais les trois Alephs ne se rencontrent… car leur mise en relation permettrait d’interagir sur le déroulement du temps et de modifier son cours… mais les textes restaient très vagues à ce sujet. La puissance de ces objets était telle qu’ils furent séparés, éloignés aux quatre coins du monde. Nul gardien ne connaît l’identité des deux autres et qu’il en soit ainsi jusqu’à la fin des temps…

Pourtant, malgré les interdictions formelles de sa grand-mère, Hécate, qui se croyait droite et forte de ses convictions, se laissa aller à la contemplation méditative de l’Aleph qui la dévora chaque jour d’avantage. Elle put y voir à son loisir et sans interruption ceux qu’elle aimait le plus et ce qu’elle haïssait le mieux, connaître et acquérir un grand savoir… mais pourtant… il y a déjà longtemps que l’Aleph, sur esprit, a entamé ses ravages…


Après trois passés sans voir le jour, elle ressurgit enfin. Affaiblie de corps et d’esprit, elle ne possède plus aucune certitude. Seul compte à présent le besoin qui s’émane de ses entrailles : vivre. Mais la peur d’affronter ses semblables dominant le désir de s’y mêler, l’a poussée dans ses derniers retranchements. Egarée, Hécate adresse à la forêt qui fut son refuge, la prière de l’accueillir à nouveau en son sein, afin d’achever sa renaissance.

Physique & Caractère



D’allure délicate et gracieuse, Hécate est une jeune femme éthérée, aux gestes légers et aériens, à l’attitude parfois lunaire. Son corps svelte et souple se meut avec agilité. La pâleur de sa peau est soulignée par un regard sombre et profond. Sa chevelure longue et ondoyante se répand en de longues chutes d’ambre sombre qui viennent s’échouer au creux de sa cambrure. Souvent absente et pensive, elle se plaît à s’absorber dans la contemplation et la méditation. Pourtant, son impulsivité et ses convictions la poussent malgré tout dans des voies qui ne sont pas dénuées d’embûches et de périls. Malgré un instinct exacerbé qui lui indique les chemins à éviter, elle ne sait aller à l’encontre de ce que son cœur lui dicte.

Pourtant, ce n’est pas sous cet aspect que Hécate apparaîtra dans les temps à venir… Les aléas de la vie l’ont menée vers un retour à l’état sauvage et elle se voit marquée physiquement et psychiquement. Ayant vécu dans la réclusion volontaire pendant trois ans, son corps est affaibli et son âme égarée. Se retrouvant dans la forêt sont corps est criblé d’entailles plus ou moins légères. Elle est, pour le moment, recouverte d’une cape vétuste et n’a en sa possession que sa baguette et une « pierre » mystérieuse qu’elle porte en pendentif afin de ne pas l’égarer.



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2. Vous

Votre Pseudo - PUF : ...
Comment avez-vous connus HP RPG ? Les méandres de la toile...
Votre niveau en RP : bon
Avez-vous lus le règlement ? Donnez le code de Validation : OK par Lord Voldemort

J'accepte que mon personnage soit intégré(e) dans l'Histoire d'Harry Potter RPG™ et qu'en cas de non-activité de ma part il soit repris par un(e) autre joueur (joueuse) : OUI [] NON [X]

Autre : Le retour à la vie d’Hécate se fera dans un premier temps essentiellement dans la forêt interdite. Il lui faudra un certain temps avant de s’aventurer parmi ses semblables… J’espère que cela ne posera pas de problème…

[Données]

1. Votre Personnage

Personne qui représentera votre personnage: Dessin de Marta Dahlig
Nom : Eolas
Prénom : Hécate
Date de naissance : 1er mars 1974
Groupe : sorcière
Camp : Neutre
Rang : Sorcière
Maison souhaitée/Maison d'appartenance: Anciennement Gryffondor

Baguette : Bois d'If et plume de phénix (ATT : 32 | DEF : 12 | SOIN : 6)

Patronus : acromentule




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Atout(s) (10/15) :

- Animagus (10 points): acromentule

Handicap(s) (10/15) :

- Distrait (1 point)
- dépendance (3 points): A l'Aleph (objet magique hautement dangereux pour l'équilibre mental, secret hérité de sa famille, qui permet de voir en une fraction chaque infime parcelle du monde. Son utilisation est formellement interdite car elle entraîne dépendance et blessures célébrales...)
-Impulsif (1 point)
- Instable (1 point)
- Loyal (4points)



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Histoire & Famille


Hécate vécut les premières années de son existence dans la demeure Eolas se situant dans les Highlands écossaises. Issue d’une longue lignée de sorciers, elle ne connut jamais ses parents mais fut élevée par sa grand-mère maternelle, Catalina. Elle grandit dans une atmosphère des plus paisibles et aimantes. Un certain mystère entourait la vieille femme qui s’adressait souvent à sa petite fille à travers des énigmes qu’il fallait désespérément dénouer. Il lui arrivait fréquemment de disparaître pendant plusieurs jours et revenait parfois très altérée par ses escapades inexpliquées. Hécate comprit très vite qu’elle conservait un secret qu’elle ne devait en aucun cas tenter de percer. Pendant ses longues journées de solitude, Mandy, elfe de maison de son statut mais également esprit bienveillant de la maison, s’occupait de la fillette comme une seconde mère.

A l’âge de 11 ans, Hécate entra à Poudlard où elle fut envoyée à Gryffondor. Elle y accomplit une scolarité complète et fut même nommée préfète de sa maison quand elle fut en 6ème année.Ce fut cette année là que Harry Potter fut envoyé dans sa maison, à la grande joie de tous. Comme tous ses camarades, Hécate éprouvait de la curiosité pour celui qui était censé être l’ « élu ». En tant qu’aînée et préfète, il aurait du lui donner bien du fil à retordre, lui qui, avec ses petits camarades, avait tant de mal à respecter les règlements. Pourtant, la jeune fille appréciait sa bravoure et son intrépidité. Bien des fois, elle ferma les yeux sur les entorses qu’elle constatait. Après tout, Dumbledore lui-même semblait faire quelques exceptions lorsqu’il s’agissait de Potter… par la suite, dans les années qui suivirent son départ de Poudlard, elle fut en désaccord, non avec les idéaux, mais avec les agissements de l’ « élu » et même de son ancien directeur… Combattant la haine par la violence, la souffrance par la destruction, ils ne s’attaquaient pas, à ses yeux, à la racine du mal. Etait-il plausible de vouloir éradiquer les ténèbres ?A l’époque, pour Hécate, la réponse se trouvait dans la compassion, dans la grâce, mais surtout dans l’amour…

Mais revenons à Poudlard, la seule transgression aux règles qu’elle commit, mais qui resta toujours assez discrète pour ne pas éveiller les soupçons des enseignants, fut qu’elle ne put résister à la tentation de faire des escapades nocturnes assez répétées dans la forêt interdite. Comment une simple élève a-t-elle pu survivre parmi les multiples dangers qui pullulent en ce lieu menaçant ? Comme nous tous, Hécate possède elle aussi un secret… doit-elle le révéler au grand jour ? Il y eu cet accident… qu’il fut bon ou mauvais, cela reste difficile à dire, pourtant, la jeune fille n’en ressortit pas indemne et ce fut son essence même qui en fut altérée. Le professeur avait donné pour consigne de transformer une araignée en montre à gousset. Distrait, il passait de rang en rang sans réellement apporter de conseils sur la méthode à employer. Le flux de magie qui jaillit de la baguette d’Hécate percuta l’araignée mais, tel un effet de miroir, il lui revint de plein fouet. Elle et l’araignée restèrent quelques instants liées par une force magnétique qui électrisa son corps entier avant de se rompre et de laisser la jeune fille inconsciente pendant plusieurs jours. Lorsqu’elle revint à elle, la vie reprit son cours, mais elle ne cessa de nourrir une obsession grandissante : rejoindre la forêt… rejoindre la forêt… nuit et jour… Elle ressentait dans tout son corps cet appel irrationnel… rejoindre la forêt…

Ce qu’elle fit. Attirée par cette impulsion quasi-animale, elle pénétra le cœur de ce lieu interdit, et pour cause, elle y rencontra celui qui allait devenir « son père »… Aragog. L’acromentule la captura dans une toile et la vida de presque tout son sang. Dans une semi conscience, elle entendit ses mots lui parvenir du plus profond de ses entrailles… Hécate avait commis le crime d’exercer sur une de ses filles un sort de métamorphose, elle devait payer pour les fautes avilissantes des humains… Etrange fut l’idée qui traversa l’esprit archnéen d’Aragog. Entre la vie et la mort, Hécate reçut de l’acromentules des doses de venin combinées à la propre hémolymphe de celui qui opérait, à sa manière, la métamorphose sur la jeune femme. Son idée, Hécate l’apprit plus tard, fut d’avoir, dans sa colonie, un membre capable de faire la jonction entre les deux mondes, celui des acromentules et celui des humains, mais également de prévenir les siens en cas d’agression des humains. Hécate demeura de nombreuses lunes parmi les siens où elle apprit à respecter sa place et à obéir aux ordres de son « père ». Elle devint Anansi, fille d’Aragog tisseuse de liens entre deux peuplades qui se craignent et qui ne pourront jamais vivre ensemble.



Ce fut lors de sa dernière année dans l’école de sorcellerie que sa vie bascula. Elle fit des rencontres qui la menèrent sur des chemins qu’elle n’avait guère escomptés. Innocente et d’un tempérament généreux, sensible voire même altruiste, la jeune femme qu’elle était devenue ne pouvait s’empêcher d’être attirée par ceux que la souffrance dévorait de l’intérieur et qui se réfugiaient dans la noirceur de leur cœur.

Elle côtoya certains mages noirs, trouvant toujours dans leurs ténèbres la lumière nécessaire à l’illumination. Il lui semblait qu’étant à leurs côtés, qu’apaisant leur mal, elle rendait le monde meilleur. Elle ne faisait pourtant que sublimer les abysses de leurs cœurs en absorbant leurs propres ténèbres.

Les relations furent intenses et destructrices. L’amour s’accouple avec la haine, passionnément ils se dévorent et se consument jusqu’à la dernière cendre.

Il ne restait plus rien d’Hécate qu’une sombre plaie béante emplie d’incertitudes et de peurs. Elle rentra en Ecosse à Inverness où sa grand-mère avait rendu l’âme depuis plusieurs années déjà. Elle s’absorba alors dans la plus triste des solitudes reniant le monde et se plongeant dans les secrets que sa défunte aïeule lui avait légués.

Lourde était la responsabilité qui lui incombait. De génération en génération, depuis des temps ancestraux, il y avait un objet que sa famille protégeait de la cupidité des hommes. C’était un objet qui d’apparence n’avait rien de particulier mais qui pourtant, en son sein recelait un pouvoir démesuré. L’Aleph. Une simple sphère bleutée qui ne cessait jamais de tourner. L’Aleph, dont il fallait à tout prix garder le secret de son existence. L’Aleph qui permettait, à celui qui s’absorbait dans sa contemplation de voir instantanément chaque parcelle infime du monde. L’Aleph qui au regard de certains souverains était un atout de taille ne finissait par devenir, inlassablement que malédiction. Son pouvoir de connaissance absolue était à double tranchant. S’il était formellement interdit à Hécate et à toute gardienne de se plonger dans l’Aleph c’était que sa vision rendait fébrile et très vite dépendant. On ne s’échappait pas de l’Aleph. L’utiliser à des fins personnelles revenait à oublier sa propre existence. S’en servir était un piège qui entraînait dans la plus sombre des folies…

Il existait, de par le monde, trois Alephs. Un seul Aleph, effectuant sa rotation permettait de voir le grand tout en une fraction de seconde. Mettre en rotation deux Alephs, offrait une vue globale de tout ce qui fut et de tout ce qui sera. Quant à la possession des trois Alephs… Prions que jamais les trois Alephs ne se rencontrent… car leur mise en relation permettrait d’interagir sur le déroulement du temps et de modifier son cours… mais les textes restaient très vagues à ce sujet. La puissance de ces objets était telle qu’ils furent séparés, éloignés aux quatre coins du monde. Nul gardien ne connaît l’identité des deux autres et qu’il en soit ainsi jusqu’à la fin des temps…

Pourtant, malgré les interdictions formelles de sa grand-mère, Hécate, qui se croyait droite et forte de ses convictions, se laissa aller à la contemplation méditative de l’Aleph qui la dévora chaque jour d’avantage. Elle put y voir à son loisir et sans interruption ceux qu’elle aimait le plus et ce qu’elle haïssait le mieux, connaître et acquérir un grand savoir… mais pourtant… il y a déjà longtemps que l’Aleph, sur esprit, a entamé ses ravages…


Après trois passés sans voir le jour, elle ressurgit enfin. Affaiblie de corps et d’esprit, elle ne possède plus aucune certitude. Seul compte à présent le besoin qui s’émane de ses entrailles : vivre. Mais la peur d’affronter ses semblables dominant le désir de s’y mêler, l’a poussée dans ses derniers retranchements. Egarée, Hécate adresse à la forêt qui fut son refuge, la prière de l’accueillir à nouveau en son sein, afin d’achever sa renaissance.

Physique & Caractère



D’allure délicate et gracieuse, Hécate est une jeune femme éthérée, aux gestes légers et aériens, à l’attitude parfois lunaire. Son corps svelte et souple se meut avec agilité. La pâleur de sa peau est soulignée par un regard sombre et profond. Sa chevelure longue et ondoyante se répand en de longues chutes d’ambre sombre qui viennent s’échouer au creux de sa cambrure. Souvent absente et pensive, elle se plaît à s’absorber dans la contemplation et la méditation. Pourtant, son impulsivité et ses convictions la poussent malgré tout dans des voies qui ne sont pas dénuées d’embûches et de périls. Malgré un instinct exacerbé qui lui indique les chemins à éviter, elle ne sait aller à l’encontre de ce que son cœur lui dicte.

Pourtant, ce n’est pas sous cet aspect que Hécate apparaîtra dans les temps à venir… Les aléas de la vie l’ont menée vers un retour à l’état sauvage et elle se voit marquée physiquement et psychiquement. Ayant vécu dans la réclusion volontaire pendant trois ans, son corps est affaibli et son âme égarée. Se retrouvant dans la forêt sont corps est criblé d’entailles plus ou moins légères. Elle est, pour le moment, recouverte d’une cape vétuste et n’a en sa possession que sa baguette et une « pierre » mystérieuse qu’elle porte en pendentif afin de ne pas l’égarer.



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2. Vous

Votre Pseudo - PUF : ...
Comment avez-vous connus HP RPG ? Les méandres de la toile...
Votre niveau en RP : bon
Avez-vous lus le règlement ? Donnez le code de Validation : OK par Lord Voldemort

J'accepte que mon personnage soit intégré(e) dans l'Histoire d'Harry Potter RPG™ et qu'en cas de non-activité de ma part il soit repris par un(e) autre joueur (joueuse) : OUI [] NON [X]

Autre : Le retour à la vie d’Hécate se fera dans un premier temps essentiellement dans la forêt interdite. Il lui faudra un certain temps avant de s’aventurer parmi ses semblables… J’espère que cela ne posera pas de problème…

[Expérience]

1. Votre Personnage

Personne qui représentera votre personnage: Dessin de Marta Dahlig
Nom : Eolas
Prénom : Hécate
Date de naissance : 1er mars 1974
Groupe : sorcière
Camp : Neutre
Rang : Sorcière
Maison souhaitée/Maison d'appartenance: Anciennement Gryffondor

Baguette : Bois d'If et plume de phénix (ATT : 32 | DEF : 12 | SOIN : 6)

Patronus : acromentule




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Atout(s) (10/15) :

- Animagus (10 points): acromentule

Handicap(s) (10/15) :

- Distrait (1 point)
- dépendance (3 points): A l'Aleph (objet magique hautement dangereux pour l'équilibre mental, secret hérité de sa famille, qui permet de voir en une fraction chaque infime parcelle du monde. Son utilisation est formellement interdite car elle entraîne dépendance et blessures célébrales...)
-Impulsif (1 point)
- Instable (1 point)
- Loyal (4points)



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Histoire & Famille


Hécate vécut les premières années de son existence dans la demeure Eolas se situant dans les Highlands écossaises. Issue d’une longue lignée de sorciers, elle ne connut jamais ses parents mais fut élevée par sa grand-mère maternelle, Catalina. Elle grandit dans une atmosphère des plus paisibles et aimantes. Un certain mystère entourait la vieille femme qui s’adressait souvent à sa petite fille à travers des énigmes qu’il fallait désespérément dénouer. Il lui arrivait fréquemment de disparaître pendant plusieurs jours et revenait parfois très altérée par ses escapades inexpliquées. Hécate comprit très vite qu’elle conservait un secret qu’elle ne devait en aucun cas tenter de percer. Pendant ses longues journées de solitude, Mandy, elfe de maison de son statut mais également esprit bienveillant de la maison, s’occupait de la fillette comme une seconde mère.

A l’âge de 11 ans, Hécate entra à Poudlard où elle fut envoyée à Gryffondor. Elle y accomplit une scolarité complète et fut même nommée préfète de sa maison quand elle fut en 6ème année.Ce fut cette année là que Harry Potter fut envoyé dans sa maison, à la grande joie de tous. Comme tous ses camarades, Hécate éprouvait de la curiosité pour celui qui était censé être l’ « élu ». En tant qu’aînée et préfète, il aurait du lui donner bien du fil à retordre, lui qui, avec ses petits camarades, avait tant de mal à respecter les règlements. Pourtant, la jeune fille appréciait sa bravoure et son intrépidité. Bien des fois, elle ferma les yeux sur les entorses qu’elle constatait. Après tout, Dumbledore lui-même semblait faire quelques exceptions lorsqu’il s’agissait de Potter… par la suite, dans les années qui suivirent son départ de Poudlard, elle fut en désaccord, non avec les idéaux, mais avec les agissements de l’ « élu » et même de son ancien directeur… Combattant la haine par la violence, la souffrance par la destruction, ils ne s’attaquaient pas, à ses yeux, à la racine du mal. Etait-il plausible de vouloir éradiquer les ténèbres ?A l’époque, pour Hécate, la réponse se trouvait dans la compassion, dans la grâce, mais surtout dans l’amour…

Mais revenons à Poudlard, la seule transgression aux règles qu’elle commit, mais qui resta toujours assez discrète pour ne pas éveiller les soupçons des enseignants, fut qu’elle ne put résister à la tentation de faire des escapades nocturnes assez répétées dans la forêt interdite. Comment une simple élève a-t-elle pu survivre parmi les multiples dangers qui pullulent en ce lieu menaçant ? Comme nous tous, Hécate possède elle aussi un secret… doit-elle le révéler au grand jour ? Il y eu cet accident… qu’il fut bon ou mauvais, cela reste difficile à dire, pourtant, la jeune fille n’en ressortit pas indemne et ce fut son essence même qui en fut altérée. Le professeur avait donné pour consigne de transformer une araignée en montre à gousset. Distrait, il passait de rang en rang sans réellement apporter de conseils sur la méthode à employer. Le flux de magie qui jaillit de la baguette d’Hécate percuta l’araignée mais, tel un effet de miroir, il lui revint de plein fouet. Elle et l’araignée restèrent quelques instants liées par une force magnétique qui électrisa son corps entier avant de se rompre et de laisser la jeune fille inconsciente pendant plusieurs jours. Lorsqu’elle revint à elle, la vie reprit son cours, mais elle ne cessa de nourrir une obsession grandissante : rejoindre la forêt… rejoindre la forêt… nuit et jour… Elle ressentait dans tout son corps cet appel irrationnel… rejoindre la forêt…

Ce qu’elle fit. Attirée par cette impulsion quasi-animale, elle pénétra le cœur de ce lieu interdit, et pour cause, elle y rencontra celui qui allait devenir « son père »… Aragog. L’acromentule la captura dans une toile et la vida de presque tout son sang. Dans une semi conscience, elle entendit ses mots lui parvenir du plus profond de ses entrailles… Hécate avait commis le crime d’exercer sur une de ses filles un sort de métamorphose, elle devait payer pour les fautes avilissantes des humains… Etrange fut l’idée qui traversa l’esprit archnéen d’Aragog. Entre la vie et la mort, Hécate reçut de l’acromentules des doses de venin combinées à la propre hémolymphe de celui qui opérait, à sa manière, la métamorphose sur la jeune femme. Son idée, Hécate l’apprit plus tard, fut d’avoir, dans sa colonie, un membre capable de faire la jonction entre les deux mondes, celui des acromentules et celui des humains, mais également de prévenir les siens en cas d’agression des humains. Hécate demeura de nombreuses lunes parmi les siens où elle apprit à respecter sa place et à obéir aux ordres de son « père ». Elle devint Anansi, fille d’Aragog tisseuse de liens entre deux peuplades qui se craignent et qui ne pourront jamais vivre ensemble.



Ce fut lors de sa dernière année dans l’école de sorcellerie que sa vie bascula. Elle fit des rencontres qui la menèrent sur des chemins qu’elle n’avait guère escomptés. Innocente et d’un tempérament généreux, sensible voire même altruiste, la jeune femme qu’elle était devenue ne pouvait s’empêcher d’être attirée par ceux que la souffrance dévorait de l’intérieur et qui se réfugiaient dans la noirceur de leur cœur.

Elle côtoya certains mages noirs, trouvant toujours dans leurs ténèbres la lumière nécessaire à l’illumination. Il lui semblait qu’étant à leurs côtés, qu’apaisant leur mal, elle rendait le monde meilleur. Elle ne faisait pourtant que sublimer les abysses de leurs cœurs en absorbant leurs propres ténèbres.

Les relations furent intenses et destructrices. L’amour s’accouple avec la haine, passionnément ils se dévorent et se consument jusqu’à la dernière cendre.

Il ne restait plus rien d’Hécate qu’une sombre plaie béante emplie d’incertitudes et de peurs. Elle rentra en Ecosse à Inverness où sa grand-mère avait rendu l’âme depuis plusieurs années déjà. Elle s’absorba alors dans la plus triste des solitudes reniant le monde et se plongeant dans les secrets que sa défunte aïeule lui avait légués.

Lourde était la responsabilité qui lui incombait. De génération en génération, depuis des temps ancestraux, il y avait un objet que sa famille protégeait de la cupidité des hommes. C’était un objet qui d’apparence n’avait rien de particulier mais qui pourtant, en son sein recelait un pouvoir démesuré. L’Aleph. Une simple sphère bleutée qui ne cessait jamais de tourner. L’Aleph, dont il fallait à tout prix garder le secret de son existence. L’Aleph qui permettait, à celui qui s’absorbait dans sa contemplation de voir instantanément chaque parcelle infime du monde. L’Aleph qui au regard de certains souverains était un atout de taille ne finissait par devenir, inlassablement que malédiction. Son pouvoir de connaissance absolue était à double tranchant. S’il était formellement interdit à Hécate et à toute gardienne de se plonger dans l’Aleph c’était que sa vision rendait fébrile et très vite dépendant. On ne s’échappait pas de l’Aleph. L’utiliser à des fins personnelles revenait à oublier sa propre existence. S’en servir était un piège qui entraînait dans la plus sombre des folies…

Il existait, de par le monde, trois Alephs. Un seul Aleph, effectuant sa rotation permettait de voir le grand tout en une fraction de seconde. Mettre en rotation deux Alephs, offrait une vue globale de tout ce qui fut et de tout ce qui sera. Quant à la possession des trois Alephs… Prions que jamais les trois Alephs ne se rencontrent… car leur mise en relation permettrait d’interagir sur le déroulement du temps et de modifier son cours… mais les textes restaient très vagues à ce sujet. La puissance de ces objets était telle qu’ils furent séparés, éloignés aux quatre coins du monde. Nul gardien ne connaît l’identité des deux autres et qu’il en soit ainsi jusqu’à la fin des temps…

Pourtant, malgré les interdictions formelles de sa grand-mère, Hécate, qui se croyait droite et forte de ses convictions, se laissa aller à la contemplation méditative de l’Aleph qui la dévora chaque jour d’avantage. Elle put y voir à son loisir et sans interruption ceux qu’elle aimait le plus et ce qu’elle haïssait le mieux, connaître et acquérir un grand savoir… mais pourtant… il y a déjà longtemps que l’Aleph, sur esprit, a entamé ses ravages…


Après trois passés sans voir le jour, elle ressurgit enfin. Affaiblie de corps et d’esprit, elle ne possède plus aucune certitude. Seul compte à présent le besoin qui s’émane de ses entrailles : vivre. Mais la peur d’affronter ses semblables dominant le désir de s’y mêler, l’a poussée dans ses derniers retranchements. Egarée, Hécate adresse à la forêt qui fut son refuge, la prière de l’accueillir à nouveau en son sein, afin d’achever sa renaissance.

Physique & Caractère



D’allure délicate et gracieuse, Hécate est une jeune femme éthérée, aux gestes légers et aériens, à l’attitude parfois lunaire. Son corps svelte et souple se meut avec agilité. La pâleur de sa peau est soulignée par un regard sombre et profond. Sa chevelure longue et ondoyante se répand en de longues chutes d’ambre sombre qui viennent s’échouer au creux de sa cambrure. Souvent absente et pensive, elle se plaît à s’absorber dans la contemplation et la méditation. Pourtant, son impulsivité et ses convictions la poussent malgré tout dans des voies qui ne sont pas dénuées d’embûches et de périls. Malgré un instinct exacerbé qui lui indique les chemins à éviter, elle ne sait aller à l’encontre de ce que son cœur lui dicte.

Pourtant, ce n’est pas sous cet aspect que Hécate apparaîtra dans les temps à venir… Les aléas de la vie l’ont menée vers un retour à l’état sauvage et elle se voit marquée physiquement et psychiquement. Ayant vécu dans la réclusion volontaire pendant trois ans, son corps est affaibli et son âme égarée. Se retrouvant dans la forêt sont corps est criblé d’entailles plus ou moins légères. Elle est, pour le moment, recouverte d’une cape vétuste et n’a en sa possession que sa baguette et une « pierre » mystérieuse qu’elle porte en pendentif afin de ne pas l’égarer.



---

2. Vous

Votre Pseudo - PUF : ...
Comment avez-vous connus HP RPG ? Les méandres de la toile...
Votre niveau en RP : bon
Avez-vous lus le règlement ? Donnez le code de Validation : OK par Lord Voldemort

J'accepte que mon personnage soit intégré(e) dans l'Histoire d'Harry Potter RPG™ et qu'en cas de non-activité de ma part il soit repris par un(e) autre joueur (joueuse) : OUI [] NON [X]

Autre : Le retour à la vie d’Hécate se fera dans un premier temps essentiellement dans la forêt interdite. Il lui faudra un certain temps avant de s’aventurer parmi ses semblables… J’espère que cela ne posera pas de problème…

[— ADMINISTRATEUR —]

Bonjour & Bienvenue sur Harry Potter RPG ^__^
Alors alors alors … je vais commencer par le commencement en t’expliquant ce qui réglementairement ne va pas :

- L’avatar n’est pas au format 170*350
- La balance Atouts/Handicaps n’est pas équilibré, et en cas de déséquilibre celle-ci doit pencher en faveur des Handicaps (et non des Atouts comme ça l’est actuellement). Pense également à décrire (rapidement) ces Atouts & Handicaps : Dépendance : oui mais à quoi ? Animagus : en quel animal ? Loyale : à quoi ? ETC …
- Le Profil & L’Etat Magique ne sont pas remplis

Au niveau du contenu : que dire … c’est un petit peu compliqué tout ça, et confus également, dû c’est l’impression que cela me donne. Attention, quand je dis confus je ne parle absolument pas de ton style qui est exquis mais de l’histoire en elle-même, même si pour toi tout doit paraître parfaitement limpide.

En faite, je vais t’avouer que je n’ai rien compris. Non, j’exagère, mais je préfère être totalement franche avec toi. Voilà ce que j’ai retenu de tout ça : Hécate est née en Angleterre, elle a vécu toute son enfance avec sa grand-mère et est allée à Poudlard dans la maison Gryffondor. Lors de sa 7eme année elle a « fréquenté » des mages noirs (genre moi *sort*) et une fois ses études terminées elle retourna chez sa grand-mère, qui avait quitté ce monde en lui léguant des secrets dont elle aura la charge. Hécate restera 3 ans isolée du monde avant de refaire surface.

Alors je te préviens tout de suite : je suis à 1oo% pour les BG épicés, et les deux seules choses que je demande c’est premièrement de comprendre et deuxièmes que le tout soit plausible (dû mois, qu’il colle au minimum avec le monde d’Harry Potter RPG (qui est sensiblement différent de celui d’HP) Si je te dis ça c’est simplement pour que tu ne croies pas le fait que je sois hermétiques à l’histoire de ton perso

Premier point que je mets en avant : la chronologie.
En partant du principe qu’elle soit entrée à Poudlard en Septembre 1986 (avant elle aurait été trop jeune, car en Septembre 1985 elle aurait eu seulement 10 ans) elle passe en 7eme année en Septembre 1992. Harry Potter & ses potes entrent à Poudlard en Septembre 1991 : eux et ton perso ont donc passé 2 ans dans la même école, il faudra que tu expliques les sentiments d’Hécate à leur égard. Pas besoin de faire un paragraphe de 50 lignes, mais faut quand même essayer de raccrocher un peu ton histoire à celle d’HP ^^

Elle quitte donc Poudlard en Juillet 1993, et reste par la suite 3 ans chez sa grand-mère, ce qui nous amène à Juillet 1996 … nous sommes actuellement en Juillet 1999 : qu’a-t-elle fait durant ces 3 dernières années ? *part chercher un cachet d’aspirine tellement les calculs lui ont bousillé les neurones*


Venons-en aux mystères : ces secrets de familles (ceux de la grand-mère notamment) … il va falloir nous les expliquer. Si tu ne souhaites pas que les autres membres le sachent (histoire de garder un certain suspense :rool: ) envois-moi tout ça par MP … même si tu ne souhaites pas que ton personnage soit intégré dans l’histoire du forum, nous devons quand même savoir ce qu’il en retourne, rien que pour te dire si nous l’acceptons ou non (ahh la tyrannie d’un STAFF … pas moyen de faire ce qu’on veut sans leur accord)

Pour finir, il faudra que tu me réexpliques cette histoire de résurrection, car ça fait partis des choses que je n’ai pas comprises.

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Elle quitte donc Poudlard en Juillet 1993, et reste par la suite 3 ans chez sa grand-mère, ce qui nous amène à Juillet 1996 … nous sommes actuellement en Juillet 1999 : qu’a-t-elle fait durant ces 3 dernières années ? *part chercher un cachet d’aspirine tellement les calculs lui ont bousillé les neurones*


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Premier point que je mets en avant : la chronologie.
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En partant du principe qu’elle soit entrée à Poudlard en Septembre 1986 (avant elle aurait été trop jeune, car en Septembre 1985 elle aurait eu seulement 10 ans) elle passe en 7eme année en Septembre 1992. Harry Potter & ses potes entrent à Poudlard en Septembre 1991 : eux et ton perso ont donc passé 2 ans dans la même école, il faudra que tu expliques les sentiments d’Hécate à leur égard. Pas besoin de faire un paragraphe de 50 lignes, mais faut quand même essayer de raccrocher un peu ton histoire à celle d’HP ^^

Elle quitte donc Poudlard en Juillet 1993, et reste par la suite 3 ans chez sa grand-mère, ce qui nous amène à Juillet 1996 … nous sommes actuellement en Juillet 1999 : qu’a-t-elle fait durant ces 3 dernières années ? *part chercher un cachet d’aspirine tellement les calculs lui ont bousillé les neurones*


Venons-en aux mystères : ces secrets de familles (ceux de la grand-mère notamment) … il va falloir nous les expliquer. Si tu ne souhaites pas que les autres membres le sachent (histoire de garder un certain suspense :rool: ) envois-moi tout ça par MP … même si tu ne souhaites pas que ton personnage soit intégré dans l’histoire du forum, nous devons quand même savoir ce qu’il en retourne, rien que pour te dire si nous l’acceptons ou non (ahh la tyrannie d’un STAFF … pas moyen de faire ce qu’on veut sans leur accord)

Pour finir, il faudra que tu me réexpliques cette histoire de résurrection, car ça fait partis des choses que je n’ai pas comprises.

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

Bonsoir très cher (si je puis me permettre... ),

pour plus de clarté, j'ai sectionné la partie "poétique" de mon texte... Mais n'ayez crainte, je m'en reservirai certainement ailleurs que dans ma présentation...

Pour ce qui est de mon avatar, monsieur Malfoy a eu l'amabilité de bien vouloir m'aider (je suis un drame ès la matière...)!

En ce qui concerne la partie "atouts et handicaps", comme vous pourrez le constater, j'ai équilibré et j'espère que cela vous conviendra...

J'ai développé, comme vous le souhaitiiez, pour ce qui est de ma dépendance...

Par ailleurs, la chronologie me semble convenir puisque pendant trois ans après avoir quitté Poudlard, hécate fréquente certains "infréquentables" (mais je vous prie de ne point vous sentir visé... ), elle vit ensuite recluse pendant trois autres années...

Mes mystères de famille n'ont plus de secret pour vous...

Quant à la dite résurection... je crois qu'il y a eu mésentente... veuillez pardonner la maladresse de mon expression...

Dans l'espoir de vous convenir, je reste à votre disposition pour tout autre modification qu'il vous plairait...

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[— ADMINISTRATEUR —]

Tout est parfait, je valide ^__^
Je n'ai qu'une chose à dire : l'Histoire est extraordinaire j'espère te croiser en RP, que ce soit avec Voldy ou mes autres perso (sur HP RPG nous n'avons pas tué Aragog, nous te laissons carte blanche)

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Cher monsieur Voldemort,

Votre compliment me va droit au coeur et ce sera avec plaisir que je ferai votre connaissance !

* Papa n'est pas mort !! Quelle formidable nouvelle !!*

En vous remerciant pour ce charmant accueil !!

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Très chère,

Tout d'abord milles excuses de ne pas avoir accouru immédiatement en apprenant la nouvelle ! Je suis inexcusable donc si vous n'acceptez pas mes excuses, je comprendrai...

Et ensuite merci !

Merci d'être là, merci... de m'avoir amené

Permettez que je vous baise les mains... Et je vous dis à bientôt...

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