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• Marius Berkeley Vide
 

• Marius Berkeley

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Anonymous

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• Marius Berkeley Vide
MessageSujet: • Marius Berkeley   • Marius Berkeley EmptyLun 30 Aoû - 15:34

— IDENTITÉ —


      • Marius Berkeley 751905adrien_brody2
        Nom :Brekeley
        Prénom : Marius
        Date de Naissance : 30 Décembre 1970
        Race : Sorcier
        Camp : Mangemort - Membre de L'Ordre

— PHYSIQUE & CARACTÈRE —


• Marius Berkeley 40786011 • Marius Berkeley 63798612 • Marius Berkeley 72689513

    » Physique

    Comment me décrire… Si il y a bien quelque chose dont je ne me soucie pas est bien mon physique. Mon nez est cassé. Il part vers la gauche. Je ne me rappelle pas bien d’où cela vient car pour tout dire, cela me laisse assez indifférent. Je n’aime pas que l’attention soit posé sur moi d’où mon allure timide et mon air froid. Je ne suis vêtu que de vêtement sobre afin de passer inaperçu mais c’est pour moi un atout afin de dissiper tout soupçon des mangemorts. Cet air impassiblement neutre, mon regard froid et mes lèvres closes ne rassurent pas mais je sais sourire quand il le faut. Que dire de plus. J’avoue ne pas avoir une chaire tendre, la mienne est plus grisâtre et je ne suis pas très bien bâtit mais mes longues jambes fines me sont bien utiles quand il s’agit de jouer agilité.

    » Caractère

    • Amitié : Etant jeune j’avoue avoir été plutôt guilleret. Je jouais beaucoup et m’amusais bien avec mon frère mais en grandissant j’ai beaucoup changé. Le fait d’être sorcier m’as écarté de ceux que j’aimais ce qui m’as rendu un peu plus réservé. J’avoue n’avoir jamais été très sociable mais je n’étais pas haï pour le moins. J’étais simplement, invisible. On ne me regardait pas, on ne s’intéressait pas à moi. Mais cela ne m’embêtais pas. Je suis de nature solitaire alors… Poufsouffle m’as appris la loyauté et la fidélité. Je respecte ses principes et les approuve, d’où la confiance de Remus à mon égard. Il sait que malgré se qu’en dise les mauvaises langues je ne pourrais jamais leur faire faux bon. Après, mon rôle est aussi de passer pour un méchant d’où le fait que de moi on se méfie un peu entre les murs de Poudlard.

    • Amour : Si il y a bien quelque chose que j’appréhende c’est bien l’amour. Cela ne me laisse pas indifférent car je souhait, comme beaucoup, fonder une famille à mon tour mais j’avoue me soucier beaucoup des conditions de vie de celle que j’aurais choisit, si un jour une veuille bien venir à moi cela vas de soi. Une double vie aussi délicate qu’est la mienne n’est certes pas du luxe pour une femme et j’ai bien peur que le rôle que je mène ne m’écarte d’avantage chaque jour de la vie de famille que je me plais à convoité.

    • Haïne : Je suis aussi quelqu’un de rancunier mais seulement avec ceux qui le mérite. Je cache si bien ma haine vis-à-vis du seigneur des ténèbres que personne ne pourrais se douter que se sentiment vis en moi et pourtant, il est bel et bien là, il me ronge un peu plus chaque jour. Mais je vis à avec. Je ne suis pas moqueur ou sarcastique, j’ai de la répartit mais je n’aime pas vraiment être mêlé aux conflits sauf quand je pense qu’il en vaut la peine.

— HISTOIRE —

• Marius Berkeley 1815371 • Marius Berkeley 3777612 • Marius Berkeley 9573093


    A peine conçut déjà on vous lance dans une course à perdre haleine. Pas encore sortit du ventre que déjà des voix me parviennent. C’est bien mal que je les entends, elles sont étouffés mais déjà leur son amusée et doux me rassure. L’enfant ne choisit pas sa destinée, c’est elle qui le choisit. Moi je n’avais rien demandé, mes parents m’aimaient, ils m’ont toujours aimé d’ailleurs. Mon frère, Jean, lui aussi je crois. Ensemble nous jouions pendant des heures entières sans jamais nous lassez. Il me trouvait sympathique. Je l’admirais. C’était lui le plus grand, nous n’avions que deux ans d’écart mais déjà il me semblait bien avancé. Moi j’étais transparent, lui était le phare de la maison. Il était d’une beauté inimaginable et d’un enthousiasme fou. Aucune jalousie ne pouvait naitre en moi tant l’admiration étouffais tout autre sentiments vis-à-vis de mon ainé. Mais lorsque j’ai eu six ans, j’ai commencé à pouvoir faire de drôle de chose. J’arrivais à faire bouger des objets rien que par ce que je ne voulais pas me déplacer pour aller les chercher, ou alors, au détriment de mon père, je mettais accidentellement feu aux journaux qui se trouvaient près de moi. Quand je riais trop fort, des ampoules venaient à se casser. Tout le monde me regardait de travers à la maison. Pas Jean. Lui trouvait ça amusant. Alors je me prenais au jeu puis je continuais, inconsciemment.

    Mais à l’école, les choses furent plus compliquées. Les autres enfants ne jouaient pas avec moi, j’étais devenu quelqu’un d’étrange. J’avoue n’avoir jamais aimé me mêler aux autres. Je suis quelqu’un d’assez solitaire mais faire peur aux autres n’était pas mon but à cette époque. Je leur faisais peur, moi-même je me faisais peur. Je ne pouvais pas me contrôler. J’étais malade de cette chose inconnue qui grandissait en moi et dont je ne pouvais connaitre l’existence. Je n’avais aucun contrôle. Après mes camarades, mes parents se mettaient à me jeter des regards effrayés, emplis d’incompréhension et de mal aise. Malgré ça, ils disaient m’aimer mais je me présentais comme un danger pour eux. Pour tous d’ailleurs.

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    Un jour, un hibou est arrivé. Ce jour là je m’en souviens comme si c’était hier. J’avoue avoir une très bonne mémoire mais là, je pourrais vous décrire tout faits et gestes de cette scène qui à été pour moi, le début de ma délivrance. Il était 11h25 très précisément. Mon père venait de tousser, deux fois. Il avalait juste un bout de pain qui avait du mal passé. Ma mère venait de faire tomber sa serviette sur la moquette blanc cassé de notre maison aux traditionnelles briques rouges anglaises. Mon frère quant à lui regardait chaque membres de la famille à travers son verre vide. Action qui provoquait chez lui des crises de rire. Là, le hibou est arrivé par la fenêtre ouverte. Il pleuvait dehors et l’animal trempé avait décroché à ma mère une grimace. J’étai sortit de table afin de prendre la lettre qui pendait, humide, dans le bec du volatile. Une fois remise en main propre l’animal ressortit accompagné d’un orage. Poudlard. Jamais de ma vie je n’avais entendus ce nom là alors qu’eux au contraire avaient très bien l’air de savoir à qui ils s’adressaient. On me qualifiait de sorcier et on me prévenait d’une visite. Le jour suivant un homme immense vint toquer à ma porte. Ma mère ne put s’empêcher de crier, moi je restais de marbre face au géant. Je ne suis pas quelqu’un d’expressif du tout et ce trait de ma personnalité retentis le jour qui suivirent. C'était, sans aucun étonnement, que je partis avec le dénommé Hagrid qui me fit acheter le nécessaire et j’entrais alors pour ma première année à Poudlard. Ma famille me manquait mais ici je n’étais plus différent.

    Le Choixpeau m’envoya à Poufsouffle. Tous y étaient très gentils mais j’avoue ne jamais avoir eu d’amis proche. Je n’en désirais pas. Je n’étais pas quelqu’un de spécialement amusant ou sociable. Très doué, c’était ce que disaient mes professeurs, surtout en sortilèges. Je rentrais auprès des miens à chaque fois qu’il m’en était possible. J’aimais la solitude calme qui régnait chez moi. Tout le monde ici semblait fier de moi, tous sauf Jean. A présent, les regards étaient tournés sur moi et lui dans tout ça ? Je le comprenais et essayait de lui parler mais il ne m’écoutait plus. Je passai mes examens avec succès ce qui me permis d’envisager n’importe quoi. J’avais choisit quelque chose de simple, tel que botaniste. Les plantes avait toujours été un loisir qui me détendait et en faire un métier ne me dérangeait pas. Cela ne demandait aucun contact vis-à-vis des autres, soit, le job me convenait totalement.

    • Marius Berkeley 9620288 • Marius Berkeley 2388009 • Marius Berkeley 82201410

    Mais, tout ceci ne se passa pas comme prévu. Comme tous j’entendis parler de Lord Voldemort et ses suivants et jamais je n’aurais cru faire ce que je fais à présent. Côté familial, la relation amicale entre mon frère et moi était morte. J’amusais, ou non, divertissais mes parents à l’aide de quelques tours futiles que j’avais appris et lui, ne pouvant me supporter d’avantage, s’en fut trouver le seigneur des ténèbres. Parait-il qu’il lui demanda de l’aide en échange de ses loyaux services. Il implora, le supplia à tel point que le puissant sorcier en eu marre de ses pleurs. Il le tua, ainsi que toute ma famille. Il n’avait jamais parlé de moi à quiconque depuis que j’étais rentré à Poudlard ce qui m’avait épargné. Il voulait seulement qu’on le regarde… C’est à partir de cet instant que j’ai haïs celui que tant ici appelait maitre. Je me suis promis de venger mon pauvre frère. Un simple incompris. J’entrai alors à l’ordre du phénix où j’appris l’occlumancie. Je savais ce que je voulais faire. Les autres avaient semblé apprécier mon idée. Etant quelqu’un de discret je n’ai jamais été soupçonné par personne. J’avais été voir Lord Voldemort comme tant d’autre avant lui montrant ce que je savais, les sorts que je maitrisais brillement, mon air neutre quand à l’assassinat d’innocent qu’il se faisait un plaisir de m’offrir afin de me voir à la tâche avaient parus le satisfaire. Je ne disais rien. Je me fichais d’eux à vrai dire. Mais cet homme, si jamais il en était un, avait tué mon frère et comme les membres de l’ordre mon unique but était de le détruire.

    Il m’avait alors ordonné de m’inscrire en tant que professeur de botanique à Poudlard tout en m’acceptant dans ses rangs. Je l’ai fait. Je sais bien que tous ne m’apprécie pas dans les membres de l’ordre mais j’ai la confiance de Remus et c’est bien la seule chose qui m’importe. Je n’ai jamais cherché à me faire aimer de toute façon. J’ai l’impression de mourir à petit feu sous les ordres que l’on me donne et auxquels j’obéis de manière robotique. Mais si je le fait Jean, c’est bien pour toi. J’avais confiance en toi.


— ET VOICI MA VIE —


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