Morgane [Validée]

— JOUEUR / JOUEUSE —

1. Votre Personnage

Personne qui représentera votre personnage :

Prénom :

Nom :

Date de naissance :

Groupe :

Camp :

Rang :

Maison souhaitée/Maison d'appartenance:

Baguette :

Patronus :

Atout(s) (11/15) :

Handicap(s) (11/15) :

Histoire & Famille

Une fille ne sera jamais chef de meute. Inutile de vous dire que ma mère aurait préféré que le SEUL lycan dont elle accoucherait malgré tous ses efforts pour perpétuer sa race tout au long de sa vie soit un garçon. Dommage, maman. Mon père était un ferrailleur normand, à ce qu'elle m'a dit. Je ne l'ai jamais connu, les lycans sont élevés par la meute, loin de leur géniteur humain.

Je grandis donc au milieu de la forêt et de mes pairs, sans aucun contact extérieur, sinon l'école du village en bas de la colline, où j'appris à lire et à écrire. Je n'avais pas beaucoup d'amis "normaux", nous n'avions pas les mêmes priorités. Ils étaient préoccupés par le dessin animé qu'ils avaient vu à la télé la veille, par le dernier jeu à la mode ou les bonbons qu'ils achèteraient à la sortie des cours, moi je n'avais ni télé, ni jeux, et je mangeais ce que le chef de meute ramenait de la chasse. A vrai dire, nous ne quittions presque jamais notre forme animale, sinon pour être en contact avec le peuple d'en bas de la colline.

Un jour de juin, pendant une battue illégale, un chasseur tira sur un de mes "frères" de clan. Heureusement, la balle n'étant pas d'argent, il n'eut qu'une égratignure, mais la rage le gagna et il se jeta sur son agresseur pour le déchiqueter. Pour ma part, je fus étrangement gagnée de pitié pour ce pauvre homme tremblant dans sa chemise à carreaux. C'est alors qu'il se passa quelque chose d'étrange. Le chasseur fut projeté en arrière par une force invisible, avant que mon frère ne l'atteigne. J'eût le temps de le calmer et de le ramener à la maison. Etait-ce moi qui avait fait ça ? Jamais aucun des miens ne m'avait parlé de tels pouvoirs, mais lorsque mon frère leur raconta ce qu'il s'était passé, tous prirent un air grave, et ma mère eut un soupir de désespoir. Mais jamais aucun d'eux ne voulut m'expliquer ce que j'avais fait.

Je le compris pourtant le jour de mon onzième anniversaire, enfin le jour où je découvris que j'avais un anniversaire, quant un hibou se percha sur une branche près de notre grotte. Il apportait une lettre de Poudlard, la célèbre école de sorcellerie. Apparemment, en plus d'une une garou, j'étais une sorcière. Le chef de meute fit tenir un conseil afin de décider si l'on m'enverrait là-bas. « De toutes façons, elle ne sera jamais chef, autant qu'elle creuse son trou dans l'autre Monde ».

J'atterris donc à Poudlard en 1987. Je ne connaissais rien de ce monde, mais j''appris pourtant à l'appréhender au fil des années. Les lycans ne sont pas très bien vus, même par les plus tolérants qui craignent nos "pulsions meurtrières liées à notre animalité latente"... Bref. Les sorciers se protègent de tout, alors qu'ils ont des supers pouvoirs.

Nous les lycans sommes trop peu nombreux pour nous taper dessus. Les sorciers ne sont pas nombreux non plus, mais leurs supers pouvoirs leur donnent des ambitions démesurées. Ils veulent soit dominer le monde, soit le défendre. Pour ma part, je ne sens pas impliquée dans cette guerre qui traite les humains comme des vulgaires pions, j'essaie de me battre à mon niveau pour ce que j'estime être juste, sans pour autant m'engager pour un camp ou un autre.

Mais il m'est de plus en plus difficile de rester neutre face à l'horreur qui s'instaure peu à peu. J'ai entendu dire que certains des miens avaient rejoint les rangs du Seigneur des Ténèbres ou de l'Ordre du Phoenix. Dois-je suivre ce mouvement ou observer le précepte Gaïen "La nature aura raisons des passions humaines"...

Physique & Caractère

Ni moche ni vraiment belle, Morgane est une jeune femme plutôt insignifiante, lambda. Elle passe assez inaperçue lorsqu'elle a son apparence humaine, si ce n'est que son regard est toujours animé d'une flamme qui charme ceux qui aiment les femmes au caractère bien trempé.

Lorsqu'elle prend sa forme Crinos, sa longue chevelure brune se greffe à son dos pour former une sorte de crinière ébène. Ses yeux noisettes se mettent à briller, et virent petit à petit au rouge sang à la fin de la transformation, qui peut durer de cinq secondes à cinq minutes, selon l'humeur du moment. Ses doigts s'allongent en griffes acérées, son corps entier se couvre de poils et s'étire vers le ciel...

Ceux qui connaissent Morgane savent que c'est une personne fiable, lorsqu'elle s'engage à faire quelque chose, elle tient toujours parole. Mais c'est aussi un jeune fille distante, qui se confie peu, qui n'aime pas entre trop entourée. Elle peut être méprisante lorsque l'on perd son estime. Elle n'aime pas être trahie, ni la méchanceté gratuite. C'est quelqu'un de pacifique, malgré sa force surhumain lorsqu'elle a sa forme Crinos. Malgré tout, c'est une louve impulsive et il peut arriver qu'elle pète un câble et déchaîne un torrent de violence sur ceux qui l'ont trop cherchée...

2. Vous

Votre Pseudo - PUF :

Comment avez-vous connus HP RPG ?

Votre niveau en RP :

Avez-vous lus le règlement ? Donnez le code de Validation :

OK par Lord Voldemort

J'accepte que mon personnage soit intégré(e) dans l'Histoire d'Harry Potter RPG™ et qu'en cas de non-activité de ma part il soit repris par un(e) autre joueur (joueuse) :

— ADMINISTRATEUR —

Bonsoir & Bienvenue sur Harry Potter RPG Very Happy

Oh, une nouvelle recrue dans le camp des poilues ... c'est Kraven qui va être content.
La fiche est correcte et ton style se lit très bien, j'adhère ! Si tu pouvais expliquer un peut pourquoi tu as choisis tel ou tel Atouts/Handicaps (même si pour certains c'est évident) se serait bien. Petite question absolument pas personnelle ~~(c'est moi qui joue Kraven Zakhar)~~ tu as l'intention de rejoindre le Clair Obscur ?

— JOUEUR / JOUEUSE —

Pour l'instant j'ai aucune intention ! Laughing

C'est un perso en roue libre, on verra où il me mènera. J'avais envie de tenter la vraie Lycan pur souche. effectivement je bosse le BG du serviteur, mais il existera, je vais le poster en suite à ce message.

— ADMINISTRATEUR —

OK. Tu n'oublieras pas de remplir ton profil et ton état magique, et de créer ta feuille de registre Wink

Je change également ton pseudo.
Bon Jeu !

Bienvenue

1. Votre Personnage

Personne qui représentera votre personnage :

Nom :

Prénom :

Date de naissance :

Groupe :

Camp :

Rang :

Atout(s) (2/15) :

Handicap(s) (11/15) :

Histoire & Famille

J'aurais mieux fait de rester coucher... en fait, j'aurais mieux fait de ne pas naître.

Je suis né à Londres au sein d'une famille aisé, je n'ai donc jamais manqué de rien, j'ai suivi une bonne éducation dans de bonnes écoles, j'étais destiné à une vie normale de cadre dynamique. Si seulement !

Je n'ai jamais été un meneur. J'étais toujours dans les dix premiers à l'école, j'avais quelques amis sur qui je pouvais compter, un chien, des parents aimants. J'étais quelqu'un de sympathique, une fois par an j'apportais mon aide à la soupe populaire, le gendre idéal. Si seulement !

Un jour d'octobre 1981, pendant la pause déjeuner, alors que j'étais assis au bord de la Tamise en train de lire un livre du programme littéraire obligatoire, le Horla de Maupassant, un bateau-mouche s'est arrêté à mon niveau. Je m'en rappelle comme si c'était hier, à son bord il y avait deux personnes bizarrement vêtues. Elles portaient des capes noires très longues ainsi que des capuches sombres également. Je me rappelle que je me suis demandé bêtement si c'était des mages...

Bêtement.

Il m'ont demandé de les aider à amarrer leur bateau, ce que je fis, non sans mal vu que je n'étais pas à proprement dit un atlhète. Ils voulurent absolument me payer, et lorsque que l'un deux me fila 100 livres, je ne pu retenir un frisson? Pas pour l'énormité de la somme, mais à cause de la froideur de la main que je frôlais au moment de la transaction. Elle était gla-ciale.

J'appris plus tard que ces deux gars avaient tué une dizaine de personnes dans l'East End. Aucun doute possible, un témoin avait vu deux silhouettes encapuchonnées s'enfuir du lieu du crime. L'info avait été relayée par une radio indépendante et deux heures plus tard, plus aucun média n'en parlait. Comme s'il y avait eu une erreur. Je décidais d'aller vérifier par moi-même, sans avoir tenté de joindre la radio qui avait diffusé l'affaire, sans succès.

Lorsque je me retrouvai devant cette échoppe « condamnée pour travaux » quelques heures plus tard à la tombée de la nuit, j'eus un fugace sentiment de doute. La ruelle était vide, propre. Pas un seule cadavre. J'arrêtai un passant pour lui demander s'il avait vu quelque chose, il me regarda comme si j'étais complètement fou Et si c'était le cas ? Et si ce n'était pas mes affaires ?

J'aurais du me fier à ce sentiment ce jour là. J'aurais dû.

Je me faufilai entre les bandes jaunes de la police, et passai la porte. La maison avait été complètement chamboulée, il y avait deux chambres, un salon et une petite cuisine et une salle de bain. Je commençai par fouiller la chambre d'enfant. Je me demandais ce que je foutais là, j'étais complètement malade, j'étais en train de me jeter dans la gueule du loup...

Et je ne croyais pas si bien dire.

Il y avait quelqu'un d'autre dans la pièce. Il était accroupi dans l'ombre, et il tenait dans sa main un objet métallique. Un médaillon. Je ne sais pas ce qui m'a pris, je me suis approché pour regarder par dessus son épaule. Il y avait une photo dans le médaillon. Un homme et une femme rousse, et leur bébé. Le bébé dont c'était la chambre. Quelle horreur. J'avais contribué à ça. Au meurtre d'une famille aimante qui aurait pu être la mienne.

« Mon dieu ! »

Le cri m'avait échappé, et l'homme se retourna. Sauf que ce n'était pas un homme. Plus tout à fait Il en avait encore l'attitude, mais son corps entier était recouvert de poils. Ses yeux était vitreux, d'une profonde tristesse, et lorsqu'il me vit, son visage se tordit en un rictus d'horreur.

« Fuis, mon garçon, ne reste pas là ! »

Sa nervosité accéléra sa transformation, et quelques secondes plus tard, un loup garou se tenait face à moi. Quelle horreur ! Je voulu m'enfuir, mais trébuchais. J'atterris sur un doigt coupé, que je lui lançais comme on lance un poisson à un requin pour détourner son attention. Il l'attrapa malheureusement au vol, me sauta dessus et me mordit, ironie du sort, à la main dont il arracha un doigt. Je hurlais de douleur, et regardais alentour. Dans les contes que j'avais lu enfant, les loups garous craignaient le contact de l'argent. Je me rappelai qu'à l'entrée de la maison, j'avais vu un espèce de tisonnier en argent qui m'avait interpelé. Je passai entre les jambes du montre, et couru sanguinolent jusqu'à la porte d'entrée. Le tisonnier était encore là, je me retournai et plantai le pieu improvisé dans le bras de la bête qui fut ralentie un instant. Je partis en courant, et parvins à fermer la porte derrière moi, l'enfermant dans la maison.

Déboussolé, je me mis à courir sans trop savoir où j'allais. J'avais peur, je saignais comme un porc.

Je craignais de rentrer chez moi. J'avais peur d'être devenu moi aussi un loup-garou, de dévorer ma famille. Mais j'avais encore les idées claires, j'apprendrai plus tard que le premier mois après la morsure fatale, on ne subit aucune transformation.

Ma course me conduit près d'un parc naturel où je n'avais jamais été, loin de chez moi, et j'entendis un hurlement qui n'avait rien d'humain. Bizarrement, je me sentis appelé, et me dirigeai instinctivement vers le bruit. Je me trouvai bientôt nez à gueule d'un autre loup garou, bien plus gros et terrifiant que celui que je venais de croiser. Mais il ne m'attaqua pas. Il me fit signe de le suivre. Sa démarche était lourde, ses pas faisaient trembler le sol, et moi je le suivis.

Bêtement.

C'est ainsi que je fus pris en charge par la meute de Morgane, qui me pris sous son aile. Les choses furent tout de suite claires entre nous, malgré le fait que je sois de sept ans son aîné : « Tu ne seras jamais aussi fort que moi, ce qui est don du ciel pour moi sera pour toi une malédiction. Je t'apprendrai à te cacher quand vient la lune. »

Elle fut une excellente tutrice. Je fus certainement le premier loup-garou à ne commettre aucun meurtre. Je continuai ma vie en portant ce fardot...

Mais une nuit, Morgane me réveilla. Nous avions bien grandi, je ne l'avais pas vu depuis des années. Elle avait grandi, était devenu une jeune femme. Pour ma part, j'étais devenu un éducateur spécialisé dans les quartiers sensibles de Londres. Ma condition lupine m'avait rendu méfiant à l'égard des autres, sans être sociopathe je n'arrivais plus à m'entourer durablement. Je préférai aux histoire d'amour les aventures sans lendemain, aux amitiés les potes de comptoir.

Morgane m'expliqua que c'était la guerre, qu'elle avait été désignée par la meute pour veiller sur moi afin que je ne sois pas attrapé et dominé par le Seigneur des Ténèbres.

_ Voldemort. Un sorcier extrêmement puissant. Il cherche à prendre des loups garous dans ses rangs, même les non-lycans. Tu dois rester avec moi.
_ Je... mais...
_ Il est revenu. Il avait été vaincu mais il est revenu, ton monde de moldus ne sera bientôt que chaos et désolation.
_ Moldus ? Mais de quoi tu parles ?
_ Tais-toi, fais tes bagages, nous partons.

Physique & Caractère

Il fait beaucoup plus jeune que son âge. Sa taille élancée et son sourire en coin font des ravages auprès de la gente féminine sans même qu'il ne le veuille. C'est un garçon effacé, torturé et méfiant, toujours. Il est complètement dévoué à Morgane, qu'il considère à la fois comme une petite soeur et un maître.

Leur relation est ambigüe, pas sentimentalement parlant car étant deux loups, il ne leur est possible d'éprouver des sentiments amoureux l'un pour l'autre, mais dans le rapport de domination qui n'est jamais formulé, et qui pourtant existe. Luc utilise de la Potion Tue-Loup aussi souvent qu'il le peut depuis qu'il l'a découverte. Il ne prend donc jamais sa forme de loup.

Il y a une chose très importante à noter au sujet de Luc également, c'est que c'est un humain, sans aucun pouvoir donc. Mais qui a des contacts importants dans les bas-fonds, qui connaît Londres comme sa poche et qui a l'avantage d'avoir une identité moldue.

2. Vous

Euh, je suis ni modo ni admin mais Luc tu t'es trompé d'emplacement pour ta fiche =/

— JOUEUR / JOUEUSE —

Non c'est mon serviteur je l'ai mis à la suite parce que ce sera un PNJ que j'utiliserai qu'en présence de Morgane. C'est un essai et il est complètement facultatif si les modos n'en veulent pas, mais je me suis éclatée à écrire son BG.

Ah d'accord.

— ADMINISTRATEUR —

Alors même pour les PNJ, faut faire une fiche à part. Si des gens souhaitent avoir des renseignements sur Luc, ils ne sauront pas forcément qu'il faut allé voir sur la fiche de Mégane Wink