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Luc Fitzgérald Vide
 

Luc Fitzgérald

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Anonymous

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Luc Fitzgérald Vide
MessageSujet: Luc Fitzgérald   Luc Fitzgérald EmptyLun 27 Sep - 23:55

— IDENTITÉ —


      Luc Fitzgérald 6a00fa9681b106000201101641e4ff860c-500pi
        Nom : Fitzgérald
        Prénom : Luc
        Né le : 16 07 1969
        Race : Moldu
        Camp : Neutre

— PHYSIQUE & CARACTÈRE —


Luc Fitzgérald DR_Drew Luc Fitzgérald Joseph-gordon-levitt-150 Luc Fitzgérald Joseph_gordon_levitt-150x150
    Il fait beaucoup plus jeune que son âge. Sa taille élancée et son sourire en coin font des ravages auprès de la gente féminine sans même qu'il ne le veuille. C'est un garçon effacé, torturé et méfiant, toujours. Il est complètement dévoué à Morgane, qu'il considère à la fois comme une petite soeur et un maître.

    Leur relation est ambigüe, pas sentimentalement parlant car étant deux loups, il ne leur est possible d'éprouver des sentiments amoureux l'un pour l'autre, mais dans le rapport de domination qui n'est jamais formulé, et qui pourtant existe. Luc utilise de la Potion Tue-Loup aussi souvent qu'il le peut depuis qu'il l'a découverte. Il ne prend donc jamais sa forme de loup.

    Il y a une chose très importante à noter au sujet de Luc également, c'est que c'est un humain, sans aucun pouvoir donc. Mais qui a des contacts importants dans les bas-fonds, qui connaît Londres comme sa poche et qui a l'avantage d'avoir une identité moldue.

— HISTOIRE —

    J'aurais mieux fait de rester coucher... en fait, j'aurais mieux fait de ne pas naître.

    Je suis né à Londres au sein d'une famille aisé, je n'ai donc jamais manqué de rien, j'ai suivi une bonne éducation dans de bonnes écoles, j'étais destiné à une vie normale de cadre dynamique. Si seulement !

    Je n'ai jamais été un meneur. J'étais toujours dans les dix premiers à l'école, j'avais quelques amis sur qui je pouvais compter, un chien, des parents aimants. J'étais quelqu'un de sympathique, une fois par an j'apportais mon aide à la soupe populaire, le gendre idéal. Si seulement !

    Un jour d'octobre 1981, pendant la pause déjeuner, alors que j'étais assis au bord de la Tamise en train de lire un livre du programme littéraire obligatoire, le Horla de Maupassant, un bateau-mouche s'est arrêté à mon niveau. Je m'en rappelle comme si c'était hier, à son bord il y avait deux personnes bizarrement vêtues. Elles portaient des capes noires très longues ainsi que des capuches sombres également. Je me rappelle que je me suis demandé bêtement si c'était des mages...

    Bêtement.

    Il m'ont demandé de les aider à amarrer leur bateau, ce que je fis, non sans mal vu que je n'étais pas à proprement dit un atlhète. Ils voulurent absolument me payer, et lorsque que l'un deux me fila 100 livres, je ne pu retenir un frisson? Pas pour l'énormité de la somme, mais à cause de la froideur de la main que je frôlais au moment de la transaction. Elle était gla-ciale.

    J'appris plus tard que ces deux gars avaient tué une dizaine de personnes dans l'East End. Aucun doute possible, un témoin avait vu deux silhouettes encapuchonnées s'enfuir du lieu du crime. L'info avait été relayée par une radio indépendante et deux heures plus tard, plus aucun média n'en parlait. Comme s'il y avait eu une erreur. Je décidais d'aller vérifier par moi-même, sans avoir tenté de joindre la radio qui avait diffusé l'affaire, sans succès.

    Lorsque je me retrouvai devant cette échoppe « condamnée pour travaux » quelques heures plus tard à la tombée de la nuit, j'eus un fugace sentiment de doute. La ruelle était vide, propre. Pas un seule cadavre. J'arrêtai un passant pour lui demander s'il avait vu quelque chose, il me regarda comme si j'étais complètement fou Et si c'était le cas ? Et si ce n'était pas mes affaires ?

    J'aurais du me fier à ce sentiment ce jour là. J'aurais dû.

    Je me faufilai entre les bandes jaunes de la police, et passai la porte. La maison avait été complètement chamboulée, il y avait deux chambres, un salon et une petite cuisine et une salle de bain. Je commençai par fouiller la chambre d'enfant. Je me demandais ce que je foutais là, j'étais complètement malade, j'étais en train de me jeter dans la gueule du loup...

    Et je ne croyais pas si bien dire.

    Il y avait quelqu'un d'autre dans la pièce. Il était accroupi dans l'ombre, et il tenait dans sa main un objet métallique. Un médaillon. Je ne sais pas ce qui m'a pris, je me suis approché pour regarder par dessus son épaule. Il y avait une photo dans le médaillon. Un homme et une femme rousse, et leur bébé. Le bébé dont c'était la chambre. Quelle horreur. J'avais contribué à ça. Au meurtre d'une famille aimante qui aurait pu être la mienne.

    « Mon dieu ! »

    Le cri m'avait échappé, et l'homme se retourna. Sauf que ce n'était pas un homme. Plus tout à fait Il en avait encore l'attitude, mais son corps entier était recouvert de poils. Ses yeux était vitreux, d'une profonde tristesse, et lorsqu'il me vit, son visage se tordit en un rictus d'horreur.

    « Fuis, mon garçon, ne reste pas là ! »

    Sa nervosité accéléra sa transformation, et quelques secondes plus tard, un loup garou se tenait face à moi. Quelle horreur ! Je voulu m'enfuir, mais trébuchais. J'atterris sur un doigt coupé, que je lui lançais comme on lance un poisson à un requin pour détourner son attention. Il l'attrapa malheureusement au vol, me sauta dessus et me mordit, ironie du sort, à la main dont il arracha un doigt. Je hurlais de douleur, et regardais alentour. Dans les contes que j'avais lu enfant, les loups garous craignaient le contact de l'argent. Je me rappelai qu'à l'entrée de la maison, j'avais vu un espèce de tisonnier en argent qui m'avait interpelé. Je passai entre les jambes du montre, et couru sanguinolent jusqu'à la porte d'entrée. Le tisonnier était encore là, je me retournai et plantai le pieu improvisé dans le bras de la bête qui fut ralentie un instant. Je partis en courant, et parvins à fermer la porte derrière moi, l'enfermant dans la maison.

    Déboussolé, je me mis à courir sans trop savoir où j'allais. J'avais peur, je saignais comme un porc.

    Je craignais de rentrer chez moi. J'avais peur d'être devenu moi aussi un loup-garou, de dévorer ma famille. Mais j'avais encore les idées claires, j'apprendrai plus tard que le premier mois après la morsure fatale, on ne subit aucune transformation.

    Ma course me conduit près d'un parc naturel où je n'avais jamais été, loin de chez moi, et j'entendis un hurlement qui n'avait rien d'humain. Bizarrement, je me sentis appelé, et me dirigeai instinctivement vers le bruit. Je me trouvai bientôt nez à gueule d'un autre loup garou, bien plus gros et terrifiant que celui que je venais de croiser. Mais il ne m'attaqua pas. Il me fit signe de le suivre. Sa démarche était lourde, ses pas faisaient trembler le sol, et moi je le suivis.

    Bêtement.

    C'est ainsi que je fus pris en charge par la meute de Morgane, qui me pris sous son aile. Les choses furent tout de suite claires entre nous, malgré le fait que je sois de sept ans son aîné : « Tu ne seras jamais aussi fort que moi, ce qui est don du ciel pour moi sera pour toi une malédiction. Je t'apprendrai à te cacher quand vient la lune. »

    Elle fut une excellente tutrice. Je fus certainement le premier loup-garou à ne commettre aucun meurtre. Je continuai ma vie en portant ce fardot...

    Mais une nuit, Morgane me réveilla. Nous avions bien grandi, je ne l'avais pas vu depuis des années. Elle avait grandi, était devenu une jeune femme. Pour ma part, j'étais devenu un éducateur spécialisé dans les quartiers sensibles de Londres. Ma condition lupine m'avait rendu méfiant à l'égard des autres, sans être sociopathe je n'arrivais plus à m'entourer durablement. Je préférai aux histoire d'amour les aventures sans lendemain, aux amitiés les potes de comptoir.

    Morgane m'expliqua que c'était la guerre, qu'elle avait été désignée par la meute pour veiller sur moi afin que je ne sois pas attrapé et dominé par le Seigneur des Ténèbres.

    _ Voldemort. Un sorcier extrêmement puissant. Il cherche à prendre des loups garous dans ses rangs, même les non-lycans. Tu dois rester avec moi.
    _ Je... mais...
    _ Il est revenu. Il avait été vaincu mais il est revenu, ton monde de moldus ne sera bientôt que chaos et désolation.
    _ Moldus ? Mais de quoi tu parles ?
    _ Tais-toi, fais tes bagages, nous partons.

— ET VOICI MA VIE —

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