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| Sujet: Sandro Di Marzo Sam 27 Nov - 2:55 | |
| | Nom : Di Marzo Prénom : Sandro Date de Naissance : 23 février 1976 Race : Sorcier Camp : Neutre |
- Spoiler:
Il convient de commencer tout d'abord par le visage, enfin, je dis cela en suivant mes critères de description, bien sûr. Sandro possède un visage fin mais très masculin. Ses cheveux sont courts et marrons. Il affectionne à les dresser au-dessus de sa tête très souvent, même s'il lui arrive de changer de coiffure. Ses yeux sont bleus turquoises, tirant parfois vers les verts suivant la luminosité qu'ils réfléchissent. Son nez longe son visage avec harmonie jusqu'à des lèvres subtilement charnues. Il peut lui arriver de laisser une barbe de deux/trois jours ce qui lui ajoute un certain charme encore. Sa peau est couverte d'un très léger hâle provenant de ses origines italiennes, ce qui d'ailleurs se lit sur son apparence, mais aussi sur son accent, encore assez marqué par l'italien. Pour en revenir au corps, éloignons-nous à présent du visage pour décrire la totalité de Sandro. Il est très finement musclé, un peu de pectoraux et des abdominaux légèrement tracés. Ses bras sont quant à eux musclés proportionnellement au reste de son corps. Sa pilosité n'est pas extrêmement développée. Il a une carrure qu'on pourrait qualifier d'athlétique, mesurant environ 1m80 et un port plutôt gracieux mais avec une certaine virilité tout de même.
Venons-en à son caractère. Impulsif et têtu sont les deux défauts qui conviendraient le mieux à décrire Sandro. En effet, celui-ci a ce que pourrait appeler "Le sang chaud". Il réagit parfois un peu violemment à certaines choses qu'il n'apprécie pas, comme l'hypocrisie par exemple, ce qui a pu lui causer quelques ennuis dans le passé. Borné parce qu'il aime avoir raison, c'est une chose qu'il apprécie même s'il ne fera pas un drame d'avoir tort, par-contre, quand il veut quelque chose, en général, il l'obtient. Bien sûr, tous ces défauts sont accompagnés de nombreuses qualités aussi! Il est avant tout un homme affectueux, délicat et doux, autant en amitié qu'en amour. Il apprécie le côte "charnel", "physique" des relations et il ne sera pas rare de faire une accolade à une personne qu'il ne connait que depuis peu, ou un "éternel" embrassement à un ami à lui, c'est pour lui une preuve d'affection plus qu'autre chose, mais aussi un besoin qu'il a de se sentir réconforter. Les paroles n'ont pour lui que peu d'importance, c'est les gestes qui comptent. Autrement, c'est quelqu'un en qui l'on peut facilement avoir confiance et se confier. En effet, il a cette facilité à mettre les gens à l'aise dès une première rencontre ce qui facilite très souvent le dialogue. S'il a bien horreur d'une chose à part l'hypocrisie, c'est la misogynie, sûrement dû à ce qu'il a pu voir dans son enfance avec ses parents.
- Spoiler:
Dix heures du matin ... Un petit village des Pouilles, région du sud de l'Italie, plus précisément dans le "Talon de la botte", se réveille. Enfin, pour certains, la nuit a été très courte, notamment pour une femme, Lucia. Elle avait enduré pendant toute la nuit la douleur et la difficulté de l'accouchement pour finalement donner vie à un petit garçon qu'elle et son mari, Francesco Di Marzo, appelleront "Sandro".
La mère du petit Sandro était une femme très douce, gentille, mais aussi soumise. Les temps étaient durs à cette époque, et la femme n'avait que très peu de place et d'importance dans le sud de l'Italie. Elle était très souvent maltraitée, envoyée aux corvées domestiques, sous la tutelle de leur mari. Elle travaillait toute la journée dans les champs, et le soir, en rentrant épuisée après huit heures de travail laborieux, elle devait encore s'occuper de la maison, de sa famille, nombreuse car les Di Marzo possédaient déjà 6 enfants avant Sandro, faire la cuisine ...etc. Son père par-contre était un homme très dur, fier de lui, de ce qu'il avait fait et faisait. Il se complaisait à écraser les autres et à montrer sa "pseudo-domination" aux yeux de tout le monde. Il avait cet allure d'un homme puissant, et pourtant il n'était qu'un simple propriétaire de vignobles, du moins c'est ce que tout le monde pensait. Revenons à notre petit Sandro qui grandit donc dans cette famille nombreuse. Il suivit l'école jusqu'à ses 11 ans, âge auquel il fut contraint d'aller travailler avec son père dans le vignoble, tout comme la fratrie entière. Sandro détestait ce travail, lui, il était plus un garçon d'études. Ces travaux manuels ne l'intéressaient guère alors, dès qu'il en avait l'occasion, il se cachait où il le pouvait afin de lire, d'étudier en silence et en cachette, seul, sans jamais avoir l'aide de personne.
Un jour alors qu'il se cachait comme à son habitude pour lire et se reposer, il entendit son père hausser la voix dans la maison familiale. Discrètement, le jeune italien leva la tête par dessus la fenêtre pour voir ce qui s'y tramait à l'intérieur et eut le malheur d'y voir qu'il s'agissait de ses parents en train de s'engueuler. Le père semblait brandir une lettre, la faisant tournoyer au-dessus de lui en vociférant des paroles, alors que sa mère se mettait presque à genoux, le suppliant de se calmer et de laisser faire ... Le jeune Sandro ne comprenait plus rien. Tout à coup, et sans que l'adolescent s'y attende, le père fouilla dans son habit et en tira une branche ... Non, une baguette tout de noir qu'il pointa vers la mer en criant avec un haine des paroles quasi incompréhensibles qui s'apparentaient à un "Avada Kedavra". La mère s'écroula sur le sol, inconscience et immobile. Sandro écarquilla les yeux, sans comprendre ce qui venait de s'être passer et, pris de peur, prit ses jambes à son cou rejoignant la ville la plus proche. Là, il alerta les autorités présentes qui accoururent aussitôt, le père étant resté sur place, comme pétrifié par l'acte terrible qu'il venait de faire. Les policiers moldus ne comprirent jamais comment le meurtre s'était déroulé car Sandro s'était tu, il n'avait rien avoué parce que le même jour, il avait ouvert une lettre, la fameuse lettre qu'agitait son père. Le cachet était celui de Beauxbâtons. Il s'agissait d'une invitation à Sandro pour rejoindre leurs rangs. Il relut la lettre plusieurs fois avant de comprendre qu'il s'agissait là d'une école magique, une école de sorcier, comme lui, comme ce qu'il était, comme le meurtrier qu'était son père ... Tout s'éclaircit dans sa tête et, libéré de la domination de son père, il put donc rejoindre Beauxbâtons en tant qu'élève où il y reçut un enseignement magique. Il eut toujours des facilités pour la divination, matière qu'il choisit d'enseigner, mais pas n'importe où, à Poudlard. Lui aussi avait entendu parler de tous les évènements qui s'y étaient passés, ainsi que le fait que beaucoup de professeurs avaient déserté l'endroit à cause des récentes attaques. Mais lui. Lui, son impulsivité et sa curiosité, ils voulaient tous trois aller dans cette école, voir ce qui s'y passait vraiment, et pourquoi par y apporter son aide. C'est ainsi qu'il fut reçu comme professeur de divination là-bas, le poste étant libre.
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| Sujet: Re: Sandro Di Marzo Sam 23 Avr - 15:21 | |
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