01. Retour de pays lointains

— JOUEUR / JOUEUSE —

Tamriel jeta un regard noir vers Rogue. Il souffla, desespérer de voir qu’il n’avait pas changé.
Le jeune homme se tourna vers la miss. Elle était belle, rien de plus

- Quel est votre nom demoiselle ?

Edoc ‘sil se pencha pour ramasser les affaires de Barker que Rogue avait déposé par terre.

Toute intimider elle regardais fixement les pieds de Edoc 'sil.

- Barker. Johanna Barker, Mr.

Elle était gèner de tout ça, elle qui avais eu dans l'espoir de faire plus amplement connaissance avec les membres, elle avais vraiment l'impression qu'on s'occuper d'elle comme une enfant. Voulais t'elle grandir trop vite. Elle aimai qu'on s'occupe d'elle, qui n'aimerai pas, mais pas de cette manière comme un paquet genan.

— JOUEUR / JOUEUSE —

- Et bien Mlle Barker … ce qu’a dit le professeur Rogue n’est malheureusement pas totalement faux …
Poudlard a-t-il beaucoup changé ? demanda-t-il

Il incita Barker à sortir hors du QG afin de pouvoir transplaner.

- Que je sache un peu se qui m’attend après 10 ans d’absence plaisanta-t-il

L'air un peu amuser elle suivi Mr Edoc'sil en bas des marches le QG disparure derrière eux.

- Comment dire... je n'était pas la bas il y a 10ans. (lol) Et euh ... je ne connais pas encore beaucoup Poudlard hélas, je ne suis arriver que cette année avant j'était en France a Beaubattons.

La pluie tombai encore mais vraiment pas grand chose, elle resera sa cape au tour de ces épaules. Elle n'avais pas peur au coté de Tamriel.
Elle avais lever les yeux sur le visage de l'homme qui lui fessait face, l'eau coulai sur le visage de Johanna, après la chaleur de la cape du professeur Rogue, la pluie lui raffraichi l'esprit.

— JOUEUR / JOUEUSE —

A présent la pluie avait cesser de tombé, mais elle avait déjà traversée les vêtements de Tamriel : il ne pleuvait pas en Afrique ; très peu.
Il faisait froid, mais la chaleur que répandait la pierre dans la poche d’Edoc’sil l’empêchait de le remarqué.

- Il pleut moins en France … fit-il remarqué.

Il n’attendait pas une réponse de la part de Johanna. Bien qu’il l’a connaissait depuis seulement quelques minutes, il s’était vite rendus compte que le jeune fille parlait très peu.
Tamriel posa sa main sur l’épaule de Barker, prêt à partir.

- Accrochez-vous Mlle Barker

Il sentit Johanna s’agripper à sa veste détrempé.
Le premier pop retentit, et ils disparurent tous deux.

SUJET SUIVANT POUR JOHANNA & TAMRIEL

Tonks resta plantée là à observer la situation. L'échange n'avait duré que quelques minutes et maintenant, il ne restait presque plus personne. Avec son habituel sourire, Tonks regarda Miki et sa petite fille.

-Salut Miki! Alors, tu aime ta nouvelle vie de maman? Demanda t-elle sur le ton de la conversation.

Lily rentra en trombe dans la maison, bousculant violemment tonks.
Elle était si pressée qu'elle ne prit même pas la peine de s'excuser, une chose bien plus importante semblait la preoccuper:

"J'ai entendu dire que Tamriel était de retour, cela parait si invraisemblable! Il est partit depuis si longtemps!"

En réalité, Lily était encore très jeune quand Edoc'sil avait quitté le pays pour cette mission, elle ne gardait que peu de souvenirs de lui.
Il avait été ami avec son père et ne savait encore rien de sa disparition.

Fouillant du regard les alentours, elle fit la moue:

"Je pensais que je pourrais le trouver ici, enfin...si son retour n'était pas qu'une rumeur."
"Mais plusieurs sorciers en ont parlé" ajouta-elle avec un regain d'espoir.

Elle aurait été contente de le revoir, mais bien au delà, le savoir rentré après dix ans d'absence la rassurait, elle voulait croire que pour son père, tout était encore possible.
Elle s'était promis, par respect pour Dumbledore qui l'avait acceptée au sein de l'ordre et ce malgré son jeune age, d'accomplir au mieux chaque mission, sans se laisser influencer par son histoire personnelle.
C'était beaucoup plus compliqué qu'elle ne le croyait, mais elle voulait faire ses preuves, montrer ce dont elle était capable.
Elle voulait que l'on soit fier d'elle.

"Oh et excuse moi pour la bousculade, Dora!" ajouta-t'elle en se precipitant à l'étage.

Elle ne tenait jamais en plaçe, c'était son defaut, et en plus de cela, elle parlait trop...