[— ADMINISTRATEUR —]

*nettoie Voldy de la poussière accumulée* Première fois que je le rejoue depuis que je fais plus de 10 lignes de RP
J'ai raconté ma vie dans le RP, ma réponse sera probablement pas aussi "longue"

NOTE : Le RP se passe AVANT l’Event à PAL.



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Un violent éclair perça le ciel noir et lugubre. Quelques secondes après, le tonner gronda, faisant trembler les vitres que la pluie percutait sans répit. Dehors, des trombes d’eau tombaient, et rendaient les terres de Little Hangleton boueuses et marécageuses. Il en avait souvent été ainsi, d’ailleurs. Les yeux rivés sur l’horizon, sa baguette à la main, les pensées de Jedusort divaguaient dans l’ombre. Voldemort … un autre nom pour un autre départ et pour une autre vie. Une vie, qu’il avait lui-même architecturé, et dont il avait le contrôle absolu. Jeune, il avait longtemps rêvé de cela. Il était incontestablement le sorcier le plus redouté de toute l’Angleterre, et même au-delà. Qu’allait-il faire, maintenant que tout était à sa portée ? La question se posait, comme un cheveu dans une soupe. Potter était radié – du moins c’est ce qu’il croyait – l’Ordre était dissout et Dumbledore n’était plus. Désormais plus personne ne serait en mesure de se dresser contre lui, et il en était tout à fait conscient. Il restait Bathory, cependant, mais leur dernière entente les protégeait chacun l’un de l’autre, et Voldemort connaissait suffisamment l’hongroise pour savoir qu’elle tiendrait parole. Contre son pied le Mage Noir sentit Naguini, qui cherchait la proximité de son seul et unique maître. Le sorcier baissa la tête en direction du serpent, l’observant impassiblement. La bête siffla des mots qu’il était le seul ici à comprendre, avant de s’éloigner et de disparaître derrière une des portes du manoir.

Le mage noir sortit sous la pluie sans autre chose que sa propre veste, et l’eau froide vint perler sur son visage. Il laissa derrière lui Bellatrix et sa clique de Mangemorts tous aussi incompétents les uns que les autres, à quelques rares exceptions prêt. Parfois il se demandait pourquoi avait-il accepté ces hommes-là … il était vrai que le manoir des Malefoy avait été bien utile à une époque, mais même en cherchant au plus profond de lui Voldemort se demandait pourquoi il gardait encore auprès de lui les Malefoy, en particulier Lucius. Lui et Pop devaient faire un concours, ça n’était pas possible autrement. Jedusort finit par transplaner dans un nuage de fumé noir, disparaissant, loin de ses hommes et de cette ville qui l’avait vu naître.




***


Lord Voldemort poussa les portes de l’unique bar sorcier de Londres : le Chaudron Baveur. Ce qu’il avait l’intention d’y faire ? Certainement pas y boire. Ce qu’il y avait de fabuleux dans leur monde actuel, c’était la façon dont moldus et sorciers vivaient : ensemble, sans accrochage ou presque, comme si aucune différence n’existait. Aux yeux de Voldemort ça n’était rien d’autre qu’une pure insulte, de la part de sorciers comme des non-sorciers. Oubliaient-ils la manière dont les moldus les avaient traités au Moyen Age ? Rancunier, le Mage Noir n’était pas près de pardonner, et encore moins d’oublier, aussi vieux que pouvait être l’affront. Plus personnellement encore, il n’avait jamais pardonné à son moldu père d’avoir abandonner sa mère, qui avait tout sacrifié pour lui. Les moldus devaient payer pour tout leurs crimes, c’était aussi simple que cela.

Le brouhaha de la salle envahit le Mage Noir comme de l’huile prenant feu : violemment. A son entrée, personne ne se retourna, ce qui ne l’étonna pas le moins du monde : l’Angleterre entière parlait de lui, mais quasiment personne ne savait qui il était. Son visage même était inconnu des médias, moldus comme magique. Avançant dans la pièce, le mage ouvrit son esprit, écouta les différentes conversations.

- … 5 000 litres par ans ? Dit-moi Tom, tu voudrais en vendre deux fois plus ? Et bhen commence déjà par remplir tes chopes jusqu’en haut !

La remarque fut suivie d’un éclat de rire général, qu’aucun des hommes ne tenta d’étouffer. Tom le barman simula un rire qui sonna faux, avant de retourner à ses services.

- … et à ton avis, qu’est ce qu’il va faire maintenant ? Tu crois qu’il serait capable d’étendre sa Terreur jusqu’en France ? Ma femme et mes deux filles sont parties vivre là-bas, et elles m’ont dit que le Ministère Français était déjà près à le combattre, lui et ses Mangemorts …

Voldemort eut un sourire. Il se tourna vers le fond de la salle, où deux hommes penchés l’un sur l’autre semblaient vouloir discuter discrètement. L’un des deux était anxieux, et ne cessait de regarder à droite et à gauche.

- Arrête de parler de lui comme ça ! Ça pourrait nous attirer des ennuies, et tu vois j’en ai déjà assez comme ça …

- Je peux vous aidez, Monsieur ?

Une voix proche de lui le sortit de ses occupations. Une voix, désagréablement rauque, et bien trop dérangeante à son goût. Jedusor se tourna vers son « interlocuteur » et n’eut qu’à le fusiller du regard pour le dissuader d’aller plus loin. Le Mage Noir le vit déglutir difficilement avant de faire un pas en arrière.

- Si … vous avez … besoin d’aide je … je suis là-bas.

Balbutia l’homme en désignant le bar. Voldemort le laissa s’éloigner, avant d’en faire de même. Il n’avait aujourd’hui aucune raison de massacrer qui que se soit. Aussi simplement qu’il était entré, il ressortit du bar sa baguette en poche. La pluie continuait de tomber, mais les grosses goutes avaient laissé leur place à un crachin si typiquement anglais, trempant qui n’y prenait pas gare. Le sorcier remonta les rues de Londres, comme à la recherche de quelque chose … ou de quelqu’un.

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Un violent éclair perça le ciel noir et lugubre. Quelques secondes après, le tonner gronda, faisant trembler les vitres que la pluie percutait sans répit. Dehors, des trombes d’eau tombaient, et rendaient les terres de Little Hangleton boueuses et marécageuses. Il en avait souvent été ainsi, d’ailleurs. Les yeux rivés sur l’horizon, sa baguette à la main, les pensées de Jedusort divaguaient dans l’ombre. Voldemort … un autre nom pour un autre départ et pour une autre vie. Une vie, qu’il avait lui-même architecturé, et dont il avait le contrôle absolu. Jeune, il avait longtemps rêvé de cela. Il était incontestablement le sorcier le plus redouté de toute l’Angleterre, et même au-delà. Qu’allait-il faire, maintenant que tout était à sa portée ? La question se posait, comme un cheveu dans une soupe. Potter était radié – du moins c’est ce qu’il croyait – l’Ordre était dissout et Dumbledore n’était plus. Désormais plus personne ne serait en mesure de se dresser contre lui, et il en était tout à fait conscient. Il restait Bathory, cependant, mais leur dernière entente les protégeait chacun l’un de l’autre, et Voldemort connaissait suffisamment l’hongroise pour savoir qu’elle tiendrait parole. Contre son pied le Mage Noir sentit Naguini, qui cherchait la proximité de son seul et unique maître. Le sorcier baissa la tête en direction du serpent, l’observant impassiblement. La bête siffla des mots qu’il était le seul ici à comprendre, avant de s’éloigner et de disparaître derrière une des portes du manoir.

Le mage noir sortit sous la pluie sans autre chose que sa propre veste, et l’eau froide vint perler sur son visage. Il laissa derrière lui Bellatrix et sa clique de Mangemorts tous aussi incompétents les uns que les autres, à quelques rares exceptions prêt. Parfois il se demandait pourquoi avait-il accepté ces hommes-là … il était vrai que le manoir des Malefoy avait été bien utile à une époque, mais même en cherchant au plus profond de lui Voldemort se demandait pourquoi il gardait encore auprès de lui les Malefoy, en particulier Lucius. Lui et Pop devaient faire un concours, ça n’était pas possible autrement. Jedusort finit par transplaner dans un nuage de fumé noir, disparaissant, loin de ses hommes et de cette ville qui l’avait vu naître.




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Lord Voldemort poussa les portes de l’unique bar sorcier de Londres : le Chaudron Baveur. Ce qu’il avait l’intention d’y faire ? Certainement pas y boire. Ce qu’il y avait de fabuleux dans leur monde actuel, c’était la façon dont moldus et sorciers vivaient : ensemble, sans accrochage ou presque, comme si aucune différence n’existait. Aux yeux de Voldemort ça n’était rien d’autre qu’une pure insulte, de la part de sorciers comme des non-sorciers. Oubliaient-ils la manière dont les moldus les avaient traités au Moyen Age ? Rancunier, le Mage Noir n’était pas près de pardonner, et encore moins d’oublier, aussi vieux que pouvait être l’affront. Plus personnellement encore, il n’avait jamais pardonné à son moldu père d’avoir abandonner sa mère, qui avait tout sacrifié pour lui. Les moldus devaient payer pour tout leurs crimes, c’était aussi simple que cela.

Le brouhaha de la salle envahit le Mage Noir comme de l’huile prenant feu : violemment. A son entrée, personne ne se retourna, ce qui ne l’étonna pas le moins du monde : l’Angleterre entière parlait de lui, mais quasiment personne ne savait qui il était. Son visage même était inconnu des médias, moldus comme magique. Avançant dans la pièce, le mage ouvrit son esprit, écouta les différentes conversations.

- … 5 000 litres par ans ? Dit-moi Tom, tu voudrais en vendre deux fois plus ? Et bhen commence déjà par remplir tes chopes jusqu’en haut !

La remarque fut suivie d’un éclat de rire général, qu’aucun des hommes ne tenta d’étouffer. Tom le barman simula un rire qui sonna faux, avant de retourner à ses services.

- … et à ton avis, qu’est ce qu’il va faire maintenant ? Tu crois qu’il serait capable d’étendre sa Terreur jusqu’en France ? Ma femme et mes deux filles sont parties vivre là-bas, et elles m’ont dit que le Ministère Français était déjà près à le combattre, lui et ses Mangemorts …

Voldemort eut un sourire. Il se tourna vers le fond de la salle, où deux hommes penchés l’un sur l’autre semblaient vouloir discuter discrètement. L’un des deux était anxieux, et ne cessait de regarder à droite et à gauche.

- Arrête de parler de lui comme ça ! Ça pourrait nous attirer des ennuies, et tu vois j’en ai déjà assez comme ça …

- Je peux vous aidez, Monsieur ?

Une voix proche de lui le sortit de ses occupations. Une voix, désagréablement rauque, et bien trop dérangeante à son goût. Jedusor se tourna vers son « interlocuteur » et n’eut qu’à le fusiller du regard pour le dissuader d’aller plus loin. Le Mage Noir le vit déglutir difficilement avant de faire un pas en arrière.

- Si … vous avez … besoin d’aide je … je suis là-bas.

Balbutia l’homme en désignant le bar. Voldemort le laissa s’éloigner, avant d’en faire de même. Il n’avait aujourd’hui aucune raison de massacrer qui que se soit. Aussi simplement qu’il était entré, il ressortit du bar sa baguette en poche. La pluie continuait de tomber, mais les grosses goutes avaient laissé leur place à un crachin si typiquement anglais, trempant qui n’y prenait pas gare. Le sorcier remonta les rues de Londres, comme à la recherche de quelque chose … ou de quelqu’un.

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Un violent éclair perça le ciel noir et lugubre. Quelques secondes après, le tonner gronda, faisant trembler les vitres que la pluie percutait sans répit. Dehors, des trombes d’eau tombaient, et rendaient les terres de Little Hangleton boueuses et marécageuses. Il en avait souvent été ainsi, d’ailleurs. Les yeux rivés sur l’horizon, sa baguette à la main, les pensées de Jedusort divaguaient dans l’ombre. Voldemort … un autre nom pour un autre départ et pour une autre vie. Une vie, qu’il avait lui-même architecturé, et dont il avait le contrôle absolu. Jeune, il avait longtemps rêvé de cela. Il était incontestablement le sorcier le plus redouté de toute l’Angleterre, et même au-delà. Qu’allait-il faire, maintenant que tout était à sa portée ? La question se posait, comme un cheveu dans une soupe. Potter était radié – du moins c’est ce qu’il croyait – l’Ordre était dissout et Dumbledore n’était plus. Désormais plus personne ne serait en mesure de se dresser contre lui, et il en était tout à fait conscient. Il restait Bathory, cependant, mais leur dernière entente les protégeait chacun l’un de l’autre, et Voldemort connaissait suffisamment l’hongroise pour savoir qu’elle tiendrait parole. Contre son pied le Mage Noir sentit Naguini, qui cherchait la proximité de son seul et unique maître. Le sorcier baissa la tête en direction du serpent, l’observant impassiblement. La bête siffla des mots qu’il était le seul ici à comprendre, avant de s’éloigner et de disparaître derrière une des portes du manoir.

Le mage noir sortit sous la pluie sans autre chose que sa propre veste, et l’eau froide vint perler sur son visage. Il laissa derrière lui Bellatrix et sa clique de Mangemorts tous aussi incompétents les uns que les autres, à quelques rares exceptions prêt. Parfois il se demandait pourquoi avait-il accepté ces hommes-là … il était vrai que le manoir des Malefoy avait été bien utile à une époque, mais même en cherchant au plus profond de lui Voldemort se demandait pourquoi il gardait encore auprès de lui les Malefoy, en particulier Lucius. Lui et Pop devaient faire un concours, ça n’était pas possible autrement. Jedusort finit par transplaner dans un nuage de fumé noir, disparaissant, loin de ses hommes et de cette ville qui l’avait vu naître.




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Lord Voldemort poussa les portes de l’unique bar sorcier de Londres : le Chaudron Baveur. Ce qu’il avait l’intention d’y faire ? Certainement pas y boire. Ce qu’il y avait de fabuleux dans leur monde actuel, c’était la façon dont moldus et sorciers vivaient : ensemble, sans accrochage ou presque, comme si aucune différence n’existait. Aux yeux de Voldemort ça n’était rien d’autre qu’une pure insulte, de la part de sorciers comme des non-sorciers. Oubliaient-ils la manière dont les moldus les avaient traités au Moyen Age ? Rancunier, le Mage Noir n’était pas près de pardonner, et encore moins d’oublier, aussi vieux que pouvait être l’affront. Plus personnellement encore, il n’avait jamais pardonné à son moldu père d’avoir abandonner sa mère, qui avait tout sacrifié pour lui. Les moldus devaient payer pour tout leurs crimes, c’était aussi simple que cela.

Le brouhaha de la salle envahit le Mage Noir comme de l’huile prenant feu : violemment. A son entrée, personne ne se retourna, ce qui ne l’étonna pas le moins du monde : l’Angleterre entière parlait de lui, mais quasiment personne ne savait qui il était. Son visage même était inconnu des médias, moldus comme magique. Avançant dans la pièce, le mage ouvrit son esprit, écouta les différentes conversations.

- … 5 000 litres par ans ? Dit-moi Tom, tu voudrais en vendre deux fois plus ? Et bhen commence déjà par remplir tes chopes jusqu’en haut !

La remarque fut suivie d’un éclat de rire général, qu’aucun des hommes ne tenta d’étouffer. Tom le barman simula un rire qui sonna faux, avant de retourner à ses services.

- … et à ton avis, qu’est ce qu’il va faire maintenant ? Tu crois qu’il serait capable d’étendre sa Terreur jusqu’en France ? Ma femme et mes deux filles sont parties vivre là-bas, et elles m’ont dit que le Ministère Français était déjà près à le combattre, lui et ses Mangemorts …

Voldemort eut un sourire. Il se tourna vers le fond de la salle, où deux hommes penchés l’un sur l’autre semblaient vouloir discuter discrètement. L’un des deux était anxieux, et ne cessait de regarder à droite et à gauche.

- Arrête de parler de lui comme ça ! Ça pourrait nous attirer des ennuies, et tu vois j’en ai déjà assez comme ça …

- Je peux vous aidez, Monsieur ?

Une voix proche de lui le sortit de ses occupations. Une voix, désagréablement rauque, et bien trop dérangeante à son goût. Jedusor se tourna vers son « interlocuteur » et n’eut qu’à le fusiller du regard pour le dissuader d’aller plus loin. Le Mage Noir le vit déglutir difficilement avant de faire un pas en arrière.

- Si … vous avez … besoin d’aide je … je suis là-bas.

Balbutia l’homme en désignant le bar. Voldemort le laissa s’éloigner, avant d’en faire de même. Il n’avait aujourd’hui aucune raison de massacrer qui que se soit. Aussi simplement qu’il était entré, il ressortit du bar sa baguette en poche. La pluie continuait de tomber, mais les grosses goutes avaient laissé leur place à un crachin si typiquement anglais, trempant qui n’y prenait pas gare. Le sorcier remonta les rues de Londres, comme à la recherche de quelque chose … ou de quelqu’un.

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Un violent éclair perça le ciel noir et lugubre. Quelques secondes après, le tonner gronda, faisant trembler les vitres que la pluie percutait sans répit. Dehors, des trombes d’eau tombaient, et rendaient les terres de Little Hangleton boueuses et marécageuses. Il en avait souvent été ainsi, d’ailleurs. Les yeux rivés sur l’horizon, sa baguette à la main, les pensées de Jedusort divaguaient dans l’ombre. Voldemort … un autre nom pour un autre départ et pour une autre vie. Une vie, qu’il avait lui-même architecturé, et dont il avait le contrôle absolu. Jeune, il avait longtemps rêvé de cela. Il était incontestablement le sorcier le plus redouté de toute l’Angleterre, et même au-delà. Qu’allait-il faire, maintenant que tout était à sa portée ? La question se posait, comme un cheveu dans une soupe. Potter était radié – du moins c’est ce qu’il croyait – l’Ordre était dissout et Dumbledore n’était plus. Désormais plus personne ne serait en mesure de se dresser contre lui, et il en était tout à fait conscient. Il restait Bathory, cependant, mais leur dernière entente les protégeait chacun l’un de l’autre, et Voldemort connaissait suffisamment l’hongroise pour savoir qu’elle tiendrait parole. Contre son pied le Mage Noir sentit Naguini, qui cherchait la proximité de son seul et unique maître. Le sorcier baissa la tête en direction du serpent, l’observant impassiblement. La bête siffla des mots qu’il était le seul ici à comprendre, avant de s’éloigner et de disparaître derrière une des portes du manoir.

Le mage noir sortit sous la pluie sans autre chose que sa propre veste, et l’eau froide vint perler sur son visage. Il laissa derrière lui Bellatrix et sa clique de Mangemorts tous aussi incompétents les uns que les autres, à quelques rares exceptions prêt. Parfois il se demandait pourquoi avait-il accepté ces hommes-là … il était vrai que le manoir des Malefoy avait été bien utile à une époque, mais même en cherchant au plus profond de lui Voldemort se demandait pourquoi il gardait encore auprès de lui les Malefoy, en particulier Lucius. Lui et Pop devaient faire un concours, ça n’était pas possible autrement. Jedusort finit par transplaner dans un nuage de fumé noir, disparaissant, loin de ses hommes et de cette ville qui l’avait vu naître.




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Lord Voldemort poussa les portes de l’unique bar sorcier de Londres : le Chaudron Baveur. Ce qu’il avait l’intention d’y faire ? Certainement pas y boire. Ce qu’il y avait de fabuleux dans leur monde actuel, c’était la façon dont moldus et sorciers vivaient : ensemble, sans accrochage ou presque, comme si aucune différence n’existait. Aux yeux de Voldemort ça n’était rien d’autre qu’une pure insulte, de la part de sorciers comme des non-sorciers. Oubliaient-ils la manière dont les moldus les avaient traités au Moyen Age ? Rancunier, le Mage Noir n’était pas près de pardonner, et encore moins d’oublier, aussi vieux que pouvait être l’affront. Plus personnellement encore, il n’avait jamais pardonné à son moldu père d’avoir abandonner sa mère, qui avait tout sacrifié pour lui. Les moldus devaient payer pour tout leurs crimes, c’était aussi simple que cela.

Le brouhaha de la salle envahit le Mage Noir comme de l’huile prenant feu : violemment. A son entrée, personne ne se retourna, ce qui ne l’étonna pas le moins du monde : l’Angleterre entière parlait de lui, mais quasiment personne ne savait qui il était. Son visage même était inconnu des médias, moldus comme magique. Avançant dans la pièce, le mage ouvrit son esprit, écouta les différentes conversations.

- … 5 000 litres par ans ? Dit-moi Tom, tu voudrais en vendre deux fois plus ? Et bhen commence déjà par remplir tes chopes jusqu’en haut !

La remarque fut suivie d’un éclat de rire général, qu’aucun des hommes ne tenta d’étouffer. Tom le barman simula un rire qui sonna faux, avant de retourner à ses services.

- … et à ton avis, qu’est ce qu’il va faire maintenant ? Tu crois qu’il serait capable d’étendre sa Terreur jusqu’en France ? Ma femme et mes deux filles sont parties vivre là-bas, et elles m’ont dit que le Ministère Français était déjà près à le combattre, lui et ses Mangemorts …

Voldemort eut un sourire. Il se tourna vers le fond de la salle, où deux hommes penchés l’un sur l’autre semblaient vouloir discuter discrètement. L’un des deux était anxieux, et ne cessait de regarder à droite et à gauche.

- Arrête de parler de lui comme ça ! Ça pourrait nous attirer des ennuies, et tu vois j’en ai déjà assez comme ça …

- Je peux vous aidez, Monsieur ?

Une voix proche de lui le sortit de ses occupations. Une voix, désagréablement rauque, et bien trop dérangeante à son goût. Jedusor se tourna vers son « interlocuteur » et n’eut qu’à le fusiller du regard pour le dissuader d’aller plus loin. Le Mage Noir le vit déglutir difficilement avant de faire un pas en arrière.

- Si … vous avez … besoin d’aide je … je suis là-bas.

Balbutia l’homme en désignant le bar. Voldemort le laissa s’éloigner, avant d’en faire de même. Il n’avait aujourd’hui aucune raison de massacrer qui que se soit. Aussi simplement qu’il était entré, il ressortit du bar sa baguette en poche. La pluie continuait de tomber, mais les grosses goutes avaient laissé leur place à un crachin si typiquement anglais, trempant qui n’y prenait pas gare. Le sorcier remonta les rues de Londres, comme à la recherche de quelque chose … ou de quelqu’un.

[Données]

*nettoie Voldy de la poussière accumulée* Première fois que je le rejoue depuis que je fais plus de 10 lignes de RP
J'ai raconté ma vie dans le RP, ma réponse sera probablement pas aussi "longue"

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Un violent éclair perça le ciel noir et lugubre. Quelques secondes après, le tonner gronda, faisant trembler les vitres que la pluie percutait sans répit. Dehors, des trombes d’eau tombaient, et rendaient les terres de Little Hangleton boueuses et marécageuses. Il en avait souvent été ainsi, d’ailleurs. Les yeux rivés sur l’horizon, sa baguette à la main, les pensées de Jedusort divaguaient dans l’ombre. Voldemort … un autre nom pour un autre départ et pour une autre vie. Une vie, qu’il avait lui-même architecturé, et dont il avait le contrôle absolu. Jeune, il avait longtemps rêvé de cela. Il était incontestablement le sorcier le plus redouté de toute l’Angleterre, et même au-delà. Qu’allait-il faire, maintenant que tout était à sa portée ? La question se posait, comme un cheveu dans une soupe. Potter était radié – du moins c’est ce qu’il croyait – l’Ordre était dissout et Dumbledore n’était plus. Désormais plus personne ne serait en mesure de se dresser contre lui, et il en était tout à fait conscient. Il restait Bathory, cependant, mais leur dernière entente les protégeait chacun l’un de l’autre, et Voldemort connaissait suffisamment l’hongroise pour savoir qu’elle tiendrait parole. Contre son pied le Mage Noir sentit Naguini, qui cherchait la proximité de son seul et unique maître. Le sorcier baissa la tête en direction du serpent, l’observant impassiblement. La bête siffla des mots qu’il était le seul ici à comprendre, avant de s’éloigner et de disparaître derrière une des portes du manoir.

Le mage noir sortit sous la pluie sans autre chose que sa propre veste, et l’eau froide vint perler sur son visage. Il laissa derrière lui Bellatrix et sa clique de Mangemorts tous aussi incompétents les uns que les autres, à quelques rares exceptions prêt. Parfois il se demandait pourquoi avait-il accepté ces hommes-là … il était vrai que le manoir des Malefoy avait été bien utile à une époque, mais même en cherchant au plus profond de lui Voldemort se demandait pourquoi il gardait encore auprès de lui les Malefoy, en particulier Lucius. Lui et Pop devaient faire un concours, ça n’était pas possible autrement. Jedusort finit par transplaner dans un nuage de fumé noir, disparaissant, loin de ses hommes et de cette ville qui l’avait vu naître.




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Lord Voldemort poussa les portes de l’unique bar sorcier de Londres : le Chaudron Baveur. Ce qu’il avait l’intention d’y faire ? Certainement pas y boire. Ce qu’il y avait de fabuleux dans leur monde actuel, c’était la façon dont moldus et sorciers vivaient : ensemble, sans accrochage ou presque, comme si aucune différence n’existait. Aux yeux de Voldemort ça n’était rien d’autre qu’une pure insulte, de la part de sorciers comme des non-sorciers. Oubliaient-ils la manière dont les moldus les avaient traités au Moyen Age ? Rancunier, le Mage Noir n’était pas près de pardonner, et encore moins d’oublier, aussi vieux que pouvait être l’affront. Plus personnellement encore, il n’avait jamais pardonné à son moldu père d’avoir abandonner sa mère, qui avait tout sacrifié pour lui. Les moldus devaient payer pour tout leurs crimes, c’était aussi simple que cela.

Le brouhaha de la salle envahit le Mage Noir comme de l’huile prenant feu : violemment. A son entrée, personne ne se retourna, ce qui ne l’étonna pas le moins du monde : l’Angleterre entière parlait de lui, mais quasiment personne ne savait qui il était. Son visage même était inconnu des médias, moldus comme magique. Avançant dans la pièce, le mage ouvrit son esprit, écouta les différentes conversations.

- … 5 000 litres par ans ? Dit-moi Tom, tu voudrais en vendre deux fois plus ? Et bhen commence déjà par remplir tes chopes jusqu’en haut !

La remarque fut suivie d’un éclat de rire général, qu’aucun des hommes ne tenta d’étouffer. Tom le barman simula un rire qui sonna faux, avant de retourner à ses services.

- … et à ton avis, qu’est ce qu’il va faire maintenant ? Tu crois qu’il serait capable d’étendre sa Terreur jusqu’en France ? Ma femme et mes deux filles sont parties vivre là-bas, et elles m’ont dit que le Ministère Français était déjà près à le combattre, lui et ses Mangemorts …

Voldemort eut un sourire. Il se tourna vers le fond de la salle, où deux hommes penchés l’un sur l’autre semblaient vouloir discuter discrètement. L’un des deux était anxieux, et ne cessait de regarder à droite et à gauche.

- Arrête de parler de lui comme ça ! Ça pourrait nous attirer des ennuies, et tu vois j’en ai déjà assez comme ça …

- Je peux vous aidez, Monsieur ?

Une voix proche de lui le sortit de ses occupations. Une voix, désagréablement rauque, et bien trop dérangeante à son goût. Jedusor se tourna vers son « interlocuteur » et n’eut qu’à le fusiller du regard pour le dissuader d’aller plus loin. Le Mage Noir le vit déglutir difficilement avant de faire un pas en arrière.

- Si … vous avez … besoin d’aide je … je suis là-bas.

Balbutia l’homme en désignant le bar. Voldemort le laissa s’éloigner, avant d’en faire de même. Il n’avait aujourd’hui aucune raison de massacrer qui que se soit. Aussi simplement qu’il était entré, il ressortit du bar sa baguette en poche. La pluie continuait de tomber, mais les grosses goutes avaient laissé leur place à un crachin si typiquement anglais, trempant qui n’y prenait pas gare. Le sorcier remonta les rues de Londres, comme à la recherche de quelque chose … ou de quelqu’un.

[Expérience]

*nettoie Voldy de la poussière accumulée* Première fois que je le rejoue depuis que je fais plus de 10 lignes de RP
J'ai raconté ma vie dans le RP, ma réponse sera probablement pas aussi "longue"

NOTE : Le RP se passe AVANT l’Event à PAL.



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Un violent éclair perça le ciel noir et lugubre. Quelques secondes après, le tonner gronda, faisant trembler les vitres que la pluie percutait sans répit. Dehors, des trombes d’eau tombaient, et rendaient les terres de Little Hangleton boueuses et marécageuses. Il en avait souvent été ainsi, d’ailleurs. Les yeux rivés sur l’horizon, sa baguette à la main, les pensées de Jedusort divaguaient dans l’ombre. Voldemort … un autre nom pour un autre départ et pour une autre vie. Une vie, qu’il avait lui-même architecturé, et dont il avait le contrôle absolu. Jeune, il avait longtemps rêvé de cela. Il était incontestablement le sorcier le plus redouté de toute l’Angleterre, et même au-delà. Qu’allait-il faire, maintenant que tout était à sa portée ? La question se posait, comme un cheveu dans une soupe. Potter était radié – du moins c’est ce qu’il croyait – l’Ordre était dissout et Dumbledore n’était plus. Désormais plus personne ne serait en mesure de se dresser contre lui, et il en était tout à fait conscient. Il restait Bathory, cependant, mais leur dernière entente les protégeait chacun l’un de l’autre, et Voldemort connaissait suffisamment l’hongroise pour savoir qu’elle tiendrait parole. Contre son pied le Mage Noir sentit Naguini, qui cherchait la proximité de son seul et unique maître. Le sorcier baissa la tête en direction du serpent, l’observant impassiblement. La bête siffla des mots qu’il était le seul ici à comprendre, avant de s’éloigner et de disparaître derrière une des portes du manoir.

Le mage noir sortit sous la pluie sans autre chose que sa propre veste, et l’eau froide vint perler sur son visage. Il laissa derrière lui Bellatrix et sa clique de Mangemorts tous aussi incompétents les uns que les autres, à quelques rares exceptions prêt. Parfois il se demandait pourquoi avait-il accepté ces hommes-là … il était vrai que le manoir des Malefoy avait été bien utile à une époque, mais même en cherchant au plus profond de lui Voldemort se demandait pourquoi il gardait encore auprès de lui les Malefoy, en particulier Lucius. Lui et Pop devaient faire un concours, ça n’était pas possible autrement. Jedusort finit par transplaner dans un nuage de fumé noir, disparaissant, loin de ses hommes et de cette ville qui l’avait vu naître.




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Lord Voldemort poussa les portes de l’unique bar sorcier de Londres : le Chaudron Baveur. Ce qu’il avait l’intention d’y faire ? Certainement pas y boire. Ce qu’il y avait de fabuleux dans leur monde actuel, c’était la façon dont moldus et sorciers vivaient : ensemble, sans accrochage ou presque, comme si aucune différence n’existait. Aux yeux de Voldemort ça n’était rien d’autre qu’une pure insulte, de la part de sorciers comme des non-sorciers. Oubliaient-ils la manière dont les moldus les avaient traités au Moyen Age ? Rancunier, le Mage Noir n’était pas près de pardonner, et encore moins d’oublier, aussi vieux que pouvait être l’affront. Plus personnellement encore, il n’avait jamais pardonné à son moldu père d’avoir abandonner sa mère, qui avait tout sacrifié pour lui. Les moldus devaient payer pour tout leurs crimes, c’était aussi simple que cela.

Le brouhaha de la salle envahit le Mage Noir comme de l’huile prenant feu : violemment. A son entrée, personne ne se retourna, ce qui ne l’étonna pas le moins du monde : l’Angleterre entière parlait de lui, mais quasiment personne ne savait qui il était. Son visage même était inconnu des médias, moldus comme magique. Avançant dans la pièce, le mage ouvrit son esprit, écouta les différentes conversations.

- … 5 000 litres par ans ? Dit-moi Tom, tu voudrais en vendre deux fois plus ? Et bhen commence déjà par remplir tes chopes jusqu’en haut !

La remarque fut suivie d’un éclat de rire général, qu’aucun des hommes ne tenta d’étouffer. Tom le barman simula un rire qui sonna faux, avant de retourner à ses services.

- … et à ton avis, qu’est ce qu’il va faire maintenant ? Tu crois qu’il serait capable d’étendre sa Terreur jusqu’en France ? Ma femme et mes deux filles sont parties vivre là-bas, et elles m’ont dit que le Ministère Français était déjà près à le combattre, lui et ses Mangemorts …

Voldemort eut un sourire. Il se tourna vers le fond de la salle, où deux hommes penchés l’un sur l’autre semblaient vouloir discuter discrètement. L’un des deux était anxieux, et ne cessait de regarder à droite et à gauche.

- Arrête de parler de lui comme ça ! Ça pourrait nous attirer des ennuies, et tu vois j’en ai déjà assez comme ça …

- Je peux vous aidez, Monsieur ?

Une voix proche de lui le sortit de ses occupations. Une voix, désagréablement rauque, et bien trop dérangeante à son goût. Jedusor se tourna vers son « interlocuteur » et n’eut qu’à le fusiller du regard pour le dissuader d’aller plus loin. Le Mage Noir le vit déglutir difficilement avant de faire un pas en arrière.

- Si … vous avez … besoin d’aide je … je suis là-bas.

Balbutia l’homme en désignant le bar. Voldemort le laissa s’éloigner, avant d’en faire de même. Il n’avait aujourd’hui aucune raison de massacrer qui que se soit. Aussi simplement qu’il était entré, il ressortit du bar sa baguette en poche. La pluie continuait de tomber, mais les grosses goutes avaient laissé leur place à un crachin si typiquement anglais, trempant qui n’y prenait pas gare. Le sorcier remonta les rues de Londres, comme à la recherche de quelque chose … ou de quelqu’un.

[— ADMINISTRATEUR —]

Même s’il ne faisait pas froid dehors, il était loin de faire chaud pour un mois de juillet qui commençait, et la pluie qui s’y ajoutait n’arrangeait rien. Voldemort ne put s’empêcher alors de se demander pourquoi l’homme qu’il venait de croiser restait là, immobile, le regard rivé sur lui au point de l’en suivre. Il ne semblait pas simplement s’être arrêté quelques instants, car déjà il s’était adossé contre le mur le plus proche, comme s’il avait l’intention d’attendre un bon moment. De toutes les rues de Londres, il devait bien être le seul à avoir ce soir ce comportement-là. Le Mage Noir jeta un œil à la boutique devant lequel l’homme s’était arrêté … de la technologie moldus … il devait surement l’être, car aucun sorcier digne de ce nom ne s’encombrerait avec des futilités pareilles.

La pluie déjà avait trempé ses cheveux lorsque dans l’ombre Voldemort aperçut son homme. Vêtu d’une simple cape noire il le vit se courber de quelques centimètres, assez pour que son maître le voit, mais suffisamment adroitement pour ne pas être vu des autres. Il y eu un léger silence entre les deux hommes avant qu’il ne soit briser par l’inconnu.

- En plein Londres, Maître ?

Sur le visage de Voldemort se dessina un sourire, qui retint un rire ironique.

- Tu as peur d’être mouillé, Steven ?
- Non, mais … c’est que … nous pourrions être vu …
- Vraiment ?

Le Lord fit mine de regarder les rues de Londres, observant à droite et à gauche, à la recherche de quelconques personnes susceptibles de les voir. Son regard s’arrêta quelque instant sur le potentiel moldu de tout à l’heure, toujours adossé contre son mur. Le mage ne pouvait s’empêcher de se demander – encore une fois – ce qu’il faisait encore ici. Pour avoir eu le malheur de les côtoyer durant sa terrible enfance, Jedusor savait que ces erreurs de la nature utilisaient des parapluies pour se protéger de l’eau qui tombait du ciel, si fréquente en Angleterre. Celui-là n’en avait pas, autre point qu’il ne pouvait ignorer. Lorsqu’il eut terminé son manège, Voldemort fixa à nouveau le dénommé Steven.

- Viens-en aux faits, Blackwood.

Ordonna-t-il. Nerveux, Steven se redressa un peu, prit une légère inspiration.

- J’ai tout ce qu’il vous faut. Le convoi est déjà en route mais, mais mes gars doivent faire des détours afin de ne pas être vu …
- Quand arriveront-ils ?
- D’ici une semaine, nous ne pouvons pas aller plus vite …

À nouveau, il y eut un léger silence.

- Je ne vous donne pas un jour de plus. Je ne TE donne pas un jour de plus.

Placé de manière à voir pleinement l’inconnu, l’intention de Voldemort se posa à nouveau sur lui, et cette fois leurs regards se croisèrent. Steven lui continua de parler, mais si le Mage Noir l’entendait il ne l’écoutait pas. Quelque chose le dérangeait dans sa façon d’être, et si quelques minutes auparavant il avait été certains d’avoir à faire à un moldu, désormais le doute sommeillait en lui.

- … la Manticore est impitoyable et …
- Tais-toi.

Le coupa-t-il soudainement. Voyant son maître fixer ouvertement le chinois loin en face d’eux, Steven sembla comprendre immédiatement. Si Voldemort était sûr d’avoir parlé suffisamment bas pour ne pas être entendu, et l’était également sur le fait d’être épié. Le regard de Blackwood faisait des allers-retours entre son maître et l’inconnu, cherchant le moindre signe qui lui indiquerait comment agir.

- Allons dire bonsoir à notre cher asiatique, qui semblait fort intéresser par l’informatique …

Ironisa Voldemort. Le Mage Noir fit quelques pas dans sa direction, reprenant le chemin qu’il avait pris pour venir, cette fois suivi par Blackwood. Les deux hommes arrivèrent rapidement à sa hauteur, et s’arrêtèrent à quelques mètres de lui. Les mains dans les poches, Steven sera le manche de sa baguette, légèrement tendu. Il n’avait aucune idée de ce qu’avait l’intention de faire son maître, et ne pas le savoir le rendait quelque peu soucieux.

- On peut faire quelque chose pour vous ?

Demanda Voldemort le plus aimablement du monde. Steven retint un rire à mi-chemin entre l’anxiété et l’amusement, qu’il tenta de camoufler en toussotant un peu. Pour toute réponse le Mage Noir lui jeta un faux regard interlocuteur, tout en attendant la réponse du chinois informaticien.


---

Je me suis permise de dire que ton perso nous avait regardé encore une fois, histoire de donner une raison à la rencontre, parce qu’autrement à part transformer Voldy en racaille en lui faisait dire « Ouaich va-y comment tu m’as regardé là ? » je voyais pas trop comment intégrer le truck J’ai utilisé le terme « épier » mais c’est l’impression de Voldy, après à toi de décider si c’est le cas ou non

La tête de Steven Blackwood (futur poste vacant)

[Localisation]

Même s’il ne faisait pas froid dehors, il était loin de faire chaud pour un mois de juillet qui commençait, et la pluie qui s’y ajoutait n’arrangeait rien. Voldemort ne put s’empêcher alors de se demander pourquoi l’homme qu’il venait de croiser restait là, immobile, le regard rivé sur lui au point de l’en suivre. Il ne semblait pas simplement s’être arrêté quelques instants, car déjà il s’était adossé contre le mur le plus proche, comme s’il avait l’intention d’attendre un bon moment. De toutes les rues de Londres, il devait bien être le seul à avoir ce soir ce comportement-là. Le Mage Noir jeta un œil à la boutique devant lequel l’homme s’était arrêté … de la technologie moldus … il devait surement l’être, car aucun sorcier digne de ce nom ne s’encombrerait avec des futilités pareilles.

La pluie déjà avait trempé ses cheveux lorsque dans l’ombre Voldemort aperçut son homme. Vêtu d’une simple cape noire il le vit se courber de quelques centimètres, assez pour que son maître le voit, mais suffisamment adroitement pour ne pas être vu des autres. Il y eu un léger silence entre les deux hommes avant qu’il ne soit briser par l’inconnu.

- En plein Londres, Maître ?

Sur le visage de Voldemort se dessina un sourire, qui retint un rire ironique.

- Tu as peur d’être mouillé, Steven ?
- Non, mais … c’est que … nous pourrions être vu …
- Vraiment ?

Le Lord fit mine de regarder les rues de Londres, observant à droite et à gauche, à la recherche de quelconques personnes susceptibles de les voir. Son regard s’arrêta quelque instant sur le potentiel moldu de tout à l’heure, toujours adossé contre son mur. Le mage ne pouvait s’empêcher de se demander – encore une fois – ce qu’il faisait encore ici. Pour avoir eu le malheur de les côtoyer durant sa terrible enfance, Jedusor savait que ces erreurs de la nature utilisaient des parapluies pour se protéger de l’eau qui tombait du ciel, si fréquente en Angleterre. Celui-là n’en avait pas, autre point qu’il ne pouvait ignorer. Lorsqu’il eut terminé son manège, Voldemort fixa à nouveau le dénommé Steven.

- Viens-en aux faits, Blackwood.

Ordonna-t-il. Nerveux, Steven se redressa un peu, prit une légère inspiration.

- J’ai tout ce qu’il vous faut. Le convoi est déjà en route mais, mais mes gars doivent faire des détours afin de ne pas être vu …
- Quand arriveront-ils ?
- D’ici une semaine, nous ne pouvons pas aller plus vite …

À nouveau, il y eut un léger silence.

- Je ne vous donne pas un jour de plus. Je ne TE donne pas un jour de plus.

Placé de manière à voir pleinement l’inconnu, l’intention de Voldemort se posa à nouveau sur lui, et cette fois leurs regards se croisèrent. Steven lui continua de parler, mais si le Mage Noir l’entendait il ne l’écoutait pas. Quelque chose le dérangeait dans sa façon d’être, et si quelques minutes auparavant il avait été certains d’avoir à faire à un moldu, désormais le doute sommeillait en lui.

- … la Manticore est impitoyable et …
- Tais-toi.

Le coupa-t-il soudainement. Voyant son maître fixer ouvertement le chinois loin en face d’eux, Steven sembla comprendre immédiatement. Si Voldemort était sûr d’avoir parlé suffisamment bas pour ne pas être entendu, et l’était également sur le fait d’être épié. Le regard de Blackwood faisait des allers-retours entre son maître et l’inconnu, cherchant le moindre signe qui lui indiquerait comment agir.

- Allons dire bonsoir à notre cher asiatique, qui semblait fort intéresser par l’informatique …

Ironisa Voldemort. Le Mage Noir fit quelques pas dans sa direction, reprenant le chemin qu’il avait pris pour venir, cette fois suivi par Blackwood. Les deux hommes arrivèrent rapidement à sa hauteur, et s’arrêtèrent à quelques mètres de lui. Les mains dans les poches, Steven sera le manche de sa baguette, légèrement tendu. Il n’avait aucune idée de ce qu’avait l’intention de faire son maître, et ne pas le savoir le rendait quelque peu soucieux.

- On peut faire quelque chose pour vous ?

Demanda Voldemort le plus aimablement du monde. Steven retint un rire à mi-chemin entre l’anxiété et l’amusement, qu’il tenta de camoufler en toussotant un peu. Pour toute réponse le Mage Noir lui jeta un faux regard interlocuteur, tout en attendant la réponse du chinois informaticien.


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Je me suis permise de dire que ton perso nous avait regardé encore une fois, histoire de donner une raison à la rencontre, parce qu’autrement à part transformer Voldy en racaille en lui faisait dire « Ouaich va-y comment tu m’as regardé là ? » je voyais pas trop comment intégrer le truck J’ai utilisé le terme « épier » mais c’est l’impression de Voldy, après à toi de décider si c’est le cas ou non

La tête de Steven Blackwood (futur poste vacant)

[Nb de messages]

Même s’il ne faisait pas froid dehors, il était loin de faire chaud pour un mois de juillet qui commençait, et la pluie qui s’y ajoutait n’arrangeait rien. Voldemort ne put s’empêcher alors de se demander pourquoi l’homme qu’il venait de croiser restait là, immobile, le regard rivé sur lui au point de l’en suivre. Il ne semblait pas simplement s’être arrêté quelques instants, car déjà il s’était adossé contre le mur le plus proche, comme s’il avait l’intention d’attendre un bon moment. De toutes les rues de Londres, il devait bien être le seul à avoir ce soir ce comportement-là. Le Mage Noir jeta un œil à la boutique devant lequel l’homme s’était arrêté … de la technologie moldus … il devait surement l’être, car aucun sorcier digne de ce nom ne s’encombrerait avec des futilités pareilles.

La pluie déjà avait trempé ses cheveux lorsque dans l’ombre Voldemort aperçut son homme. Vêtu d’une simple cape noire il le vit se courber de quelques centimètres, assez pour que son maître le voit, mais suffisamment adroitement pour ne pas être vu des autres. Il y eu un léger silence entre les deux hommes avant qu’il ne soit briser par l’inconnu.

- En plein Londres, Maître ?

Sur le visage de Voldemort se dessina un sourire, qui retint un rire ironique.

- Tu as peur d’être mouillé, Steven ?
- Non, mais … c’est que … nous pourrions être vu …
- Vraiment ?

Le Lord fit mine de regarder les rues de Londres, observant à droite et à gauche, à la recherche de quelconques personnes susceptibles de les voir. Son regard s’arrêta quelque instant sur le potentiel moldu de tout à l’heure, toujours adossé contre son mur. Le mage ne pouvait s’empêcher de se demander – encore une fois – ce qu’il faisait encore ici. Pour avoir eu le malheur de les côtoyer durant sa terrible enfance, Jedusor savait que ces erreurs de la nature utilisaient des parapluies pour se protéger de l’eau qui tombait du ciel, si fréquente en Angleterre. Celui-là n’en avait pas, autre point qu’il ne pouvait ignorer. Lorsqu’il eut terminé son manège, Voldemort fixa à nouveau le dénommé Steven.

- Viens-en aux faits, Blackwood.

Ordonna-t-il. Nerveux, Steven se redressa un peu, prit une légère inspiration.

- J’ai tout ce qu’il vous faut. Le convoi est déjà en route mais, mais mes gars doivent faire des détours afin de ne pas être vu …
- Quand arriveront-ils ?
- D’ici une semaine, nous ne pouvons pas aller plus vite …

À nouveau, il y eut un léger silence.

- Je ne vous donne pas un jour de plus. Je ne TE donne pas un jour de plus.

Placé de manière à voir pleinement l’inconnu, l’intention de Voldemort se posa à nouveau sur lui, et cette fois leurs regards se croisèrent. Steven lui continua de parler, mais si le Mage Noir l’entendait il ne l’écoutait pas. Quelque chose le dérangeait dans sa façon d’être, et si quelques minutes auparavant il avait été certains d’avoir à faire à un moldu, désormais le doute sommeillait en lui.

- … la Manticore est impitoyable et …
- Tais-toi.

Le coupa-t-il soudainement. Voyant son maître fixer ouvertement le chinois loin en face d’eux, Steven sembla comprendre immédiatement. Si Voldemort était sûr d’avoir parlé suffisamment bas pour ne pas être entendu, et l’était également sur le fait d’être épié. Le regard de Blackwood faisait des allers-retours entre son maître et l’inconnu, cherchant le moindre signe qui lui indiquerait comment agir.

- Allons dire bonsoir à notre cher asiatique, qui semblait fort intéresser par l’informatique …

Ironisa Voldemort. Le Mage Noir fit quelques pas dans sa direction, reprenant le chemin qu’il avait pris pour venir, cette fois suivi par Blackwood. Les deux hommes arrivèrent rapidement à sa hauteur, et s’arrêtèrent à quelques mètres de lui. Les mains dans les poches, Steven sera le manche de sa baguette, légèrement tendu. Il n’avait aucune idée de ce qu’avait l’intention de faire son maître, et ne pas le savoir le rendait quelque peu soucieux.

- On peut faire quelque chose pour vous ?

Demanda Voldemort le plus aimablement du monde. Steven retint un rire à mi-chemin entre l’anxiété et l’amusement, qu’il tenta de camoufler en toussotant un peu. Pour toute réponse le Mage Noir lui jeta un faux regard interlocuteur, tout en attendant la réponse du chinois informaticien.


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Je me suis permise de dire que ton perso nous avait regardé encore une fois, histoire de donner une raison à la rencontre, parce qu’autrement à part transformer Voldy en racaille en lui faisait dire « Ouaich va-y comment tu m’as regardé là ? » je voyais pas trop comment intégrer le truck J’ai utilisé le terme « épier » mais c’est l’impression de Voldy, après à toi de décider si c’est le cas ou non

La tête de Steven Blackwood (futur poste vacant)

[Bourse]

Même s’il ne faisait pas froid dehors, il était loin de faire chaud pour un mois de juillet qui commençait, et la pluie qui s’y ajoutait n’arrangeait rien. Voldemort ne put s’empêcher alors de se demander pourquoi l’homme qu’il venait de croiser restait là, immobile, le regard rivé sur lui au point de l’en suivre. Il ne semblait pas simplement s’être arrêté quelques instants, car déjà il s’était adossé contre le mur le plus proche, comme s’il avait l’intention d’attendre un bon moment. De toutes les rues de Londres, il devait bien être le seul à avoir ce soir ce comportement-là. Le Mage Noir jeta un œil à la boutique devant lequel l’homme s’était arrêté … de la technologie moldus … il devait surement l’être, car aucun sorcier digne de ce nom ne s’encombrerait avec des futilités pareilles.

La pluie déjà avait trempé ses cheveux lorsque dans l’ombre Voldemort aperçut son homme. Vêtu d’une simple cape noire il le vit se courber de quelques centimètres, assez pour que son maître le voit, mais suffisamment adroitement pour ne pas être vu des autres. Il y eu un léger silence entre les deux hommes avant qu’il ne soit briser par l’inconnu.

- En plein Londres, Maître ?

Sur le visage de Voldemort se dessina un sourire, qui retint un rire ironique.

- Tu as peur d’être mouillé, Steven ?
- Non, mais … c’est que … nous pourrions être vu …
- Vraiment ?

Le Lord fit mine de regarder les rues de Londres, observant à droite et à gauche, à la recherche de quelconques personnes susceptibles de les voir. Son regard s’arrêta quelque instant sur le potentiel moldu de tout à l’heure, toujours adossé contre son mur. Le mage ne pouvait s’empêcher de se demander – encore une fois – ce qu’il faisait encore ici. Pour avoir eu le malheur de les côtoyer durant sa terrible enfance, Jedusor savait que ces erreurs de la nature utilisaient des parapluies pour se protéger de l’eau qui tombait du ciel, si fréquente en Angleterre. Celui-là n’en avait pas, autre point qu’il ne pouvait ignorer. Lorsqu’il eut terminé son manège, Voldemort fixa à nouveau le dénommé Steven.

- Viens-en aux faits, Blackwood.

Ordonna-t-il. Nerveux, Steven se redressa un peu, prit une légère inspiration.

- J’ai tout ce qu’il vous faut. Le convoi est déjà en route mais, mais mes gars doivent faire des détours afin de ne pas être vu …
- Quand arriveront-ils ?
- D’ici une semaine, nous ne pouvons pas aller plus vite …

À nouveau, il y eut un léger silence.

- Je ne vous donne pas un jour de plus. Je ne TE donne pas un jour de plus.

Placé de manière à voir pleinement l’inconnu, l’intention de Voldemort se posa à nouveau sur lui, et cette fois leurs regards se croisèrent. Steven lui continua de parler, mais si le Mage Noir l’entendait il ne l’écoutait pas. Quelque chose le dérangeait dans sa façon d’être, et si quelques minutes auparavant il avait été certains d’avoir à faire à un moldu, désormais le doute sommeillait en lui.

- … la Manticore est impitoyable et …
- Tais-toi.

Le coupa-t-il soudainement. Voyant son maître fixer ouvertement le chinois loin en face d’eux, Steven sembla comprendre immédiatement. Si Voldemort était sûr d’avoir parlé suffisamment bas pour ne pas être entendu, et l’était également sur le fait d’être épié. Le regard de Blackwood faisait des allers-retours entre son maître et l’inconnu, cherchant le moindre signe qui lui indiquerait comment agir.

- Allons dire bonsoir à notre cher asiatique, qui semblait fort intéresser par l’informatique …

Ironisa Voldemort. Le Mage Noir fit quelques pas dans sa direction, reprenant le chemin qu’il avait pris pour venir, cette fois suivi par Blackwood. Les deux hommes arrivèrent rapidement à sa hauteur, et s’arrêtèrent à quelques mètres de lui. Les mains dans les poches, Steven sera le manche de sa baguette, légèrement tendu. Il n’avait aucune idée de ce qu’avait l’intention de faire son maître, et ne pas le savoir le rendait quelque peu soucieux.

- On peut faire quelque chose pour vous ?

Demanda Voldemort le plus aimablement du monde. Steven retint un rire à mi-chemin entre l’anxiété et l’amusement, qu’il tenta de camoufler en toussotant un peu. Pour toute réponse le Mage Noir lui jeta un faux regard interlocuteur, tout en attendant la réponse du chinois informaticien.


---

Je me suis permise de dire que ton perso nous avait regardé encore une fois, histoire de donner une raison à la rencontre, parce qu’autrement à part transformer Voldy en racaille en lui faisait dire « Ouaich va-y comment tu m’as regardé là ? » je voyais pas trop comment intégrer le truck J’ai utilisé le terme « épier » mais c’est l’impression de Voldy, après à toi de décider si c’est le cas ou non

La tête de Steven Blackwood (futur poste vacant)

[Données]

Même s’il ne faisait pas froid dehors, il était loin de faire chaud pour un mois de juillet qui commençait, et la pluie qui s’y ajoutait n’arrangeait rien. Voldemort ne put s’empêcher alors de se demander pourquoi l’homme qu’il venait de croiser restait là, immobile, le regard rivé sur lui au point de l’en suivre. Il ne semblait pas simplement s’être arrêté quelques instants, car déjà il s’était adossé contre le mur le plus proche, comme s’il avait l’intention d’attendre un bon moment. De toutes les rues de Londres, il devait bien être le seul à avoir ce soir ce comportement-là. Le Mage Noir jeta un œil à la boutique devant lequel l’homme s’était arrêté … de la technologie moldus … il devait surement l’être, car aucun sorcier digne de ce nom ne s’encombrerait avec des futilités pareilles.

La pluie déjà avait trempé ses cheveux lorsque dans l’ombre Voldemort aperçut son homme. Vêtu d’une simple cape noire il le vit se courber de quelques centimètres, assez pour que son maître le voit, mais suffisamment adroitement pour ne pas être vu des autres. Il y eu un léger silence entre les deux hommes avant qu’il ne soit briser par l’inconnu.

- En plein Londres, Maître ?

Sur le visage de Voldemort se dessina un sourire, qui retint un rire ironique.

- Tu as peur d’être mouillé, Steven ?
- Non, mais … c’est que … nous pourrions être vu …
- Vraiment ?

Le Lord fit mine de regarder les rues de Londres, observant à droite et à gauche, à la recherche de quelconques personnes susceptibles de les voir. Son regard s’arrêta quelque instant sur le potentiel moldu de tout à l’heure, toujours adossé contre son mur. Le mage ne pouvait s’empêcher de se demander – encore une fois – ce qu’il faisait encore ici. Pour avoir eu le malheur de les côtoyer durant sa terrible enfance, Jedusor savait que ces erreurs de la nature utilisaient des parapluies pour se protéger de l’eau qui tombait du ciel, si fréquente en Angleterre. Celui-là n’en avait pas, autre point qu’il ne pouvait ignorer. Lorsqu’il eut terminé son manège, Voldemort fixa à nouveau le dénommé Steven.

- Viens-en aux faits, Blackwood.

Ordonna-t-il. Nerveux, Steven se redressa un peu, prit une légère inspiration.

- J’ai tout ce qu’il vous faut. Le convoi est déjà en route mais, mais mes gars doivent faire des détours afin de ne pas être vu …
- Quand arriveront-ils ?
- D’ici une semaine, nous ne pouvons pas aller plus vite …

À nouveau, il y eut un léger silence.

- Je ne vous donne pas un jour de plus. Je ne TE donne pas un jour de plus.

Placé de manière à voir pleinement l’inconnu, l’intention de Voldemort se posa à nouveau sur lui, et cette fois leurs regards se croisèrent. Steven lui continua de parler, mais si le Mage Noir l’entendait il ne l’écoutait pas. Quelque chose le dérangeait dans sa façon d’être, et si quelques minutes auparavant il avait été certains d’avoir à faire à un moldu, désormais le doute sommeillait en lui.

- … la Manticore est impitoyable et …
- Tais-toi.

Le coupa-t-il soudainement. Voyant son maître fixer ouvertement le chinois loin en face d’eux, Steven sembla comprendre immédiatement. Si Voldemort était sûr d’avoir parlé suffisamment bas pour ne pas être entendu, et l’était également sur le fait d’être épié. Le regard de Blackwood faisait des allers-retours entre son maître et l’inconnu, cherchant le moindre signe qui lui indiquerait comment agir.

- Allons dire bonsoir à notre cher asiatique, qui semblait fort intéresser par l’informatique …

Ironisa Voldemort. Le Mage Noir fit quelques pas dans sa direction, reprenant le chemin qu’il avait pris pour venir, cette fois suivi par Blackwood. Les deux hommes arrivèrent rapidement à sa hauteur, et s’arrêtèrent à quelques mètres de lui. Les mains dans les poches, Steven sera le manche de sa baguette, légèrement tendu. Il n’avait aucune idée de ce qu’avait l’intention de faire son maître, et ne pas le savoir le rendait quelque peu soucieux.

- On peut faire quelque chose pour vous ?

Demanda Voldemort le plus aimablement du monde. Steven retint un rire à mi-chemin entre l’anxiété et l’amusement, qu’il tenta de camoufler en toussotant un peu. Pour toute réponse le Mage Noir lui jeta un faux regard interlocuteur, tout en attendant la réponse du chinois informaticien.


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Je me suis permise de dire que ton perso nous avait regardé encore une fois, histoire de donner une raison à la rencontre, parce qu’autrement à part transformer Voldy en racaille en lui faisait dire « Ouaich va-y comment tu m’as regardé là ? » je voyais pas trop comment intégrer le truck J’ai utilisé le terme « épier » mais c’est l’impression de Voldy, après à toi de décider si c’est le cas ou non

La tête de Steven Blackwood (futur poste vacant)

[Expérience]

Même s’il ne faisait pas froid dehors, il était loin de faire chaud pour un mois de juillet qui commençait, et la pluie qui s’y ajoutait n’arrangeait rien. Voldemort ne put s’empêcher alors de se demander pourquoi l’homme qu’il venait de croiser restait là, immobile, le regard rivé sur lui au point de l’en suivre. Il ne semblait pas simplement s’être arrêté quelques instants, car déjà il s’était adossé contre le mur le plus proche, comme s’il avait l’intention d’attendre un bon moment. De toutes les rues de Londres, il devait bien être le seul à avoir ce soir ce comportement-là. Le Mage Noir jeta un œil à la boutique devant lequel l’homme s’était arrêté … de la technologie moldus … il devait surement l’être, car aucun sorcier digne de ce nom ne s’encombrerait avec des futilités pareilles.

La pluie déjà avait trempé ses cheveux lorsque dans l’ombre Voldemort aperçut son homme. Vêtu d’une simple cape noire il le vit se courber de quelques centimètres, assez pour que son maître le voit, mais suffisamment adroitement pour ne pas être vu des autres. Il y eu un léger silence entre les deux hommes avant qu’il ne soit briser par l’inconnu.

- En plein Londres, Maître ?

Sur le visage de Voldemort se dessina un sourire, qui retint un rire ironique.

- Tu as peur d’être mouillé, Steven ?
- Non, mais … c’est que … nous pourrions être vu …
- Vraiment ?

Le Lord fit mine de regarder les rues de Londres, observant à droite et à gauche, à la recherche de quelconques personnes susceptibles de les voir. Son regard s’arrêta quelque instant sur le potentiel moldu de tout à l’heure, toujours adossé contre son mur. Le mage ne pouvait s’empêcher de se demander – encore une fois – ce qu’il faisait encore ici. Pour avoir eu le malheur de les côtoyer durant sa terrible enfance, Jedusor savait que ces erreurs de la nature utilisaient des parapluies pour se protéger de l’eau qui tombait du ciel, si fréquente en Angleterre. Celui-là n’en avait pas, autre point qu’il ne pouvait ignorer. Lorsqu’il eut terminé son manège, Voldemort fixa à nouveau le dénommé Steven.

- Viens-en aux faits, Blackwood.

Ordonna-t-il. Nerveux, Steven se redressa un peu, prit une légère inspiration.

- J’ai tout ce qu’il vous faut. Le convoi est déjà en route mais, mais mes gars doivent faire des détours afin de ne pas être vu …
- Quand arriveront-ils ?
- D’ici une semaine, nous ne pouvons pas aller plus vite …

À nouveau, il y eut un léger silence.

- Je ne vous donne pas un jour de plus. Je ne TE donne pas un jour de plus.

Placé de manière à voir pleinement l’inconnu, l’intention de Voldemort se posa à nouveau sur lui, et cette fois leurs regards se croisèrent. Steven lui continua de parler, mais si le Mage Noir l’entendait il ne l’écoutait pas. Quelque chose le dérangeait dans sa façon d’être, et si quelques minutes auparavant il avait été certains d’avoir à faire à un moldu, désormais le doute sommeillait en lui.

- … la Manticore est impitoyable et …
- Tais-toi.

Le coupa-t-il soudainement. Voyant son maître fixer ouvertement le chinois loin en face d’eux, Steven sembla comprendre immédiatement. Si Voldemort était sûr d’avoir parlé suffisamment bas pour ne pas être entendu, et l’était également sur le fait d’être épié. Le regard de Blackwood faisait des allers-retours entre son maître et l’inconnu, cherchant le moindre signe qui lui indiquerait comment agir.

- Allons dire bonsoir à notre cher asiatique, qui semblait fort intéresser par l’informatique …

Ironisa Voldemort. Le Mage Noir fit quelques pas dans sa direction, reprenant le chemin qu’il avait pris pour venir, cette fois suivi par Blackwood. Les deux hommes arrivèrent rapidement à sa hauteur, et s’arrêtèrent à quelques mètres de lui. Les mains dans les poches, Steven sera le manche de sa baguette, légèrement tendu. Il n’avait aucune idée de ce qu’avait l’intention de faire son maître, et ne pas le savoir le rendait quelque peu soucieux.

- On peut faire quelque chose pour vous ?

Demanda Voldemort le plus aimablement du monde. Steven retint un rire à mi-chemin entre l’anxiété et l’amusement, qu’il tenta de camoufler en toussotant un peu. Pour toute réponse le Mage Noir lui jeta un faux regard interlocuteur, tout en attendant la réponse du chinois informaticien.


---

Je me suis permise de dire que ton perso nous avait regardé encore une fois, histoire de donner une raison à la rencontre, parce qu’autrement à part transformer Voldy en racaille en lui faisait dire « Ouaich va-y comment tu m’as regardé là ? » je voyais pas trop comment intégrer le truck J’ai utilisé le terme « épier » mais c’est l’impression de Voldy, après à toi de décider si c’est le cas ou non

La tête de Steven Blackwood (futur poste vacant)

[— ADMINISTRATEUR —]

- Nous ? Oh … nous préparons une attaque à Pré-Au-Lard …

A côté de lui, Voldemort sentit Steven se raidir. Lorsqu’ils étaient arrivés, l’homme qui était à présent bien en face d’eux avait rangé un objet typiquement moldu, un de ces jouets qu’ils nommaient « téléphone portable » … une chose indispensable pour eux, mais si inutile aux yeux des sorciers. Durant quelques secondes, le Mage Noir s’imagina appeler ses Mangemorts de cette manière … c’était si peu discret, et tellement plus long que sa manière à lui … le Lord eut un léger sourire. Quelques secondes s’étaient écoulées depuis sa première réponse, et Blackwood regardait son maître avec une certaine appréhension. Voldemort sentit la tension monter d’un cran, et il ne pu s’empêcher de ricaner en pensant que Steven s’imaginait que le Grand Lord Voldemort raconterait ses plans au premier venus … mais il fallait le pardonner : cela faisait peu de temps qu’il avait rejoins ses rangs.

- Non, je plaisante.

Affirma-t-il en souriant, ricanant toujours encore un peu. Blackwood avait dû cesser de respirer car le Mage Noir le sentit inspirer discrètement. Le Mangemort, toujours vêtu de sa cape noire, passa sa main sur son visage, secoua son vêtement de manière à s’aérer et se força à sourire, de façon à paraître le plus crédible possible. Dans sa poche il sentit toujours sa baguette, prêt à la sortir si les choses tournaient mal … mais Voldemort semblait serein autant que lui semblait tendu.

- Allons, détend-toi, Steven … on dirait que tu es entouré de Mangemort …

Plaisanta à nouveau le Lord. Encore une fois, Blackwood mima un sourire amusé. Qu’était en train de faire son maître ? Quelles idées avait-il en tête ? La remarque était finement raisonnée : la réaction de l’homme définirait son statut de moldu ou de sorcier – bien que les deux Mangemorts avaient la quasi-certitude qu’il était sorcier – ainsi que son point de vue vis-à-vis du nouveau maître du Royaume Unis et de ses sujets.

Voldemort n’avait aucune idée de qui pouvait bien être l’homme en face de lui, mais il était sûr d’une chose : pour le moment, son interlocuteur était dans le même cas que lui, et il devait être à mille lieues de savoir à qui il s’adressait.

- … si c’était le cas, nous le saurions quand même …
- N’est ce pas ?

Le Lord s’adressait à son sujet, mais la dernière partie de sa phrase était dédiée au chinois, qu’il apostropha d’un signe de tête. Le crachin venu du ciel continuait de tomber, trempant les rues de Londres et ses habitants d’une eau fine et glacée si appréciable en ces mois de chaleurs. Blackwood resta silencieux, ne sachant que répondre ni comment réagir aux dires de son maître : il ne souhaitait pas plus que cela faire une erreur, surtout quand cela concernait Voldemort, l’actuel plus puissant sorcier de toute l’Angleterre.

[Localisation]

- Nous ? Oh … nous préparons une attaque à Pré-Au-Lard …

A côté de lui, Voldemort sentit Steven se raidir. Lorsqu’ils étaient arrivés, l’homme qui était à présent bien en face d’eux avait rangé un objet typiquement moldu, un de ces jouets qu’ils nommaient « téléphone portable » … une chose indispensable pour eux, mais si inutile aux yeux des sorciers. Durant quelques secondes, le Mage Noir s’imagina appeler ses Mangemorts de cette manière … c’était si peu discret, et tellement plus long que sa manière à lui … le Lord eut un léger sourire. Quelques secondes s’étaient écoulées depuis sa première réponse, et Blackwood regardait son maître avec une certaine appréhension. Voldemort sentit la tension monter d’un cran, et il ne pu s’empêcher de ricaner en pensant que Steven s’imaginait que le Grand Lord Voldemort raconterait ses plans au premier venus … mais il fallait le pardonner : cela faisait peu de temps qu’il avait rejoins ses rangs.

- Non, je plaisante.

Affirma-t-il en souriant, ricanant toujours encore un peu. Blackwood avait dû cesser de respirer car le Mage Noir le sentit inspirer discrètement. Le Mangemort, toujours vêtu de sa cape noire, passa sa main sur son visage, secoua son vêtement de manière à s’aérer et se força à sourire, de façon à paraître le plus crédible possible. Dans sa poche il sentit toujours sa baguette, prêt à la sortir si les choses tournaient mal … mais Voldemort semblait serein autant que lui semblait tendu.

- Allons, détend-toi, Steven … on dirait que tu es entouré de Mangemort …

Plaisanta à nouveau le Lord. Encore une fois, Blackwood mima un sourire amusé. Qu’était en train de faire son maître ? Quelles idées avait-il en tête ? La remarque était finement raisonnée : la réaction de l’homme définirait son statut de moldu ou de sorcier – bien que les deux Mangemorts avaient la quasi-certitude qu’il était sorcier – ainsi que son point de vue vis-à-vis du nouveau maître du Royaume Unis et de ses sujets.

Voldemort n’avait aucune idée de qui pouvait bien être l’homme en face de lui, mais il était sûr d’une chose : pour le moment, son interlocuteur était dans le même cas que lui, et il devait être à mille lieues de savoir à qui il s’adressait.

- … si c’était le cas, nous le saurions quand même …
- N’est ce pas ?

Le Lord s’adressait à son sujet, mais la dernière partie de sa phrase était dédiée au chinois, qu’il apostropha d’un signe de tête. Le crachin venu du ciel continuait de tomber, trempant les rues de Londres et ses habitants d’une eau fine et glacée si appréciable en ces mois de chaleurs. Blackwood resta silencieux, ne sachant que répondre ni comment réagir aux dires de son maître : il ne souhaitait pas plus que cela faire une erreur, surtout quand cela concernait Voldemort, l’actuel plus puissant sorcier de toute l’Angleterre.

[Nb de messages]

- Nous ? Oh … nous préparons une attaque à Pré-Au-Lard …

A côté de lui, Voldemort sentit Steven se raidir. Lorsqu’ils étaient arrivés, l’homme qui était à présent bien en face d’eux avait rangé un objet typiquement moldu, un de ces jouets qu’ils nommaient « téléphone portable » … une chose indispensable pour eux, mais si inutile aux yeux des sorciers. Durant quelques secondes, le Mage Noir s’imagina appeler ses Mangemorts de cette manière … c’était si peu discret, et tellement plus long que sa manière à lui … le Lord eut un léger sourire. Quelques secondes s’étaient écoulées depuis sa première réponse, et Blackwood regardait son maître avec une certaine appréhension. Voldemort sentit la tension monter d’un cran, et il ne pu s’empêcher de ricaner en pensant que Steven s’imaginait que le Grand Lord Voldemort raconterait ses plans au premier venus … mais il fallait le pardonner : cela faisait peu de temps qu’il avait rejoins ses rangs.

- Non, je plaisante.

Affirma-t-il en souriant, ricanant toujours encore un peu. Blackwood avait dû cesser de respirer car le Mage Noir le sentit inspirer discrètement. Le Mangemort, toujours vêtu de sa cape noire, passa sa main sur son visage, secoua son vêtement de manière à s’aérer et se força à sourire, de façon à paraître le plus crédible possible. Dans sa poche il sentit toujours sa baguette, prêt à la sortir si les choses tournaient mal … mais Voldemort semblait serein autant que lui semblait tendu.

- Allons, détend-toi, Steven … on dirait que tu es entouré de Mangemort …

Plaisanta à nouveau le Lord. Encore une fois, Blackwood mima un sourire amusé. Qu’était en train de faire son maître ? Quelles idées avait-il en tête ? La remarque était finement raisonnée : la réaction de l’homme définirait son statut de moldu ou de sorcier – bien que les deux Mangemorts avaient la quasi-certitude qu’il était sorcier – ainsi que son point de vue vis-à-vis du nouveau maître du Royaume Unis et de ses sujets.

Voldemort n’avait aucune idée de qui pouvait bien être l’homme en face de lui, mais il était sûr d’une chose : pour le moment, son interlocuteur était dans le même cas que lui, et il devait être à mille lieues de savoir à qui il s’adressait.

- … si c’était le cas, nous le saurions quand même …
- N’est ce pas ?

Le Lord s’adressait à son sujet, mais la dernière partie de sa phrase était dédiée au chinois, qu’il apostropha d’un signe de tête. Le crachin venu du ciel continuait de tomber, trempant les rues de Londres et ses habitants d’une eau fine et glacée si appréciable en ces mois de chaleurs. Blackwood resta silencieux, ne sachant que répondre ni comment réagir aux dires de son maître : il ne souhaitait pas plus que cela faire une erreur, surtout quand cela concernait Voldemort, l’actuel plus puissant sorcier de toute l’Angleterre.

[Bourse]

- Nous ? Oh … nous préparons une attaque à Pré-Au-Lard …

A côté de lui, Voldemort sentit Steven se raidir. Lorsqu’ils étaient arrivés, l’homme qui était à présent bien en face d’eux avait rangé un objet typiquement moldu, un de ces jouets qu’ils nommaient « téléphone portable » … une chose indispensable pour eux, mais si inutile aux yeux des sorciers. Durant quelques secondes, le Mage Noir s’imagina appeler ses Mangemorts de cette manière … c’était si peu discret, et tellement plus long que sa manière à lui … le Lord eut un léger sourire. Quelques secondes s’étaient écoulées depuis sa première réponse, et Blackwood regardait son maître avec une certaine appréhension. Voldemort sentit la tension monter d’un cran, et il ne pu s’empêcher de ricaner en pensant que Steven s’imaginait que le Grand Lord Voldemort raconterait ses plans au premier venus … mais il fallait le pardonner : cela faisait peu de temps qu’il avait rejoins ses rangs.

- Non, je plaisante.

Affirma-t-il en souriant, ricanant toujours encore un peu. Blackwood avait dû cesser de respirer car le Mage Noir le sentit inspirer discrètement. Le Mangemort, toujours vêtu de sa cape noire, passa sa main sur son visage, secoua son vêtement de manière à s’aérer et se força à sourire, de façon à paraître le plus crédible possible. Dans sa poche il sentit toujours sa baguette, prêt à la sortir si les choses tournaient mal … mais Voldemort semblait serein autant que lui semblait tendu.

- Allons, détend-toi, Steven … on dirait que tu es entouré de Mangemort …

Plaisanta à nouveau le Lord. Encore une fois, Blackwood mima un sourire amusé. Qu’était en train de faire son maître ? Quelles idées avait-il en tête ? La remarque était finement raisonnée : la réaction de l’homme définirait son statut de moldu ou de sorcier – bien que les deux Mangemorts avaient la quasi-certitude qu’il était sorcier – ainsi que son point de vue vis-à-vis du nouveau maître du Royaume Unis et de ses sujets.

Voldemort n’avait aucune idée de qui pouvait bien être l’homme en face de lui, mais il était sûr d’une chose : pour le moment, son interlocuteur était dans le même cas que lui, et il devait être à mille lieues de savoir à qui il s’adressait.

- … si c’était le cas, nous le saurions quand même …
- N’est ce pas ?

Le Lord s’adressait à son sujet, mais la dernière partie de sa phrase était dédiée au chinois, qu’il apostropha d’un signe de tête. Le crachin venu du ciel continuait de tomber, trempant les rues de Londres et ses habitants d’une eau fine et glacée si appréciable en ces mois de chaleurs. Blackwood resta silencieux, ne sachant que répondre ni comment réagir aux dires de son maître : il ne souhaitait pas plus que cela faire une erreur, surtout quand cela concernait Voldemort, l’actuel plus puissant sorcier de toute l’Angleterre.

[Données]

- Nous ? Oh … nous préparons une attaque à Pré-Au-Lard …

A côté de lui, Voldemort sentit Steven se raidir. Lorsqu’ils étaient arrivés, l’homme qui était à présent bien en face d’eux avait rangé un objet typiquement moldu, un de ces jouets qu’ils nommaient « téléphone portable » … une chose indispensable pour eux, mais si inutile aux yeux des sorciers. Durant quelques secondes, le Mage Noir s’imagina appeler ses Mangemorts de cette manière … c’était si peu discret, et tellement plus long que sa manière à lui … le Lord eut un léger sourire. Quelques secondes s’étaient écoulées depuis sa première réponse, et Blackwood regardait son maître avec une certaine appréhension. Voldemort sentit la tension monter d’un cran, et il ne pu s’empêcher de ricaner en pensant que Steven s’imaginait que le Grand Lord Voldemort raconterait ses plans au premier venus … mais il fallait le pardonner : cela faisait peu de temps qu’il avait rejoins ses rangs.

- Non, je plaisante.

Affirma-t-il en souriant, ricanant toujours encore un peu. Blackwood avait dû cesser de respirer car le Mage Noir le sentit inspirer discrètement. Le Mangemort, toujours vêtu de sa cape noire, passa sa main sur son visage, secoua son vêtement de manière à s’aérer et se força à sourire, de façon à paraître le plus crédible possible. Dans sa poche il sentit toujours sa baguette, prêt à la sortir si les choses tournaient mal … mais Voldemort semblait serein autant que lui semblait tendu.

- Allons, détend-toi, Steven … on dirait que tu es entouré de Mangemort …

Plaisanta à nouveau le Lord. Encore une fois, Blackwood mima un sourire amusé. Qu’était en train de faire son maître ? Quelles idées avait-il en tête ? La remarque était finement raisonnée : la réaction de l’homme définirait son statut de moldu ou de sorcier – bien que les deux Mangemorts avaient la quasi-certitude qu’il était sorcier – ainsi que son point de vue vis-à-vis du nouveau maître du Royaume Unis et de ses sujets.

Voldemort n’avait aucune idée de qui pouvait bien être l’homme en face de lui, mais il était sûr d’une chose : pour le moment, son interlocuteur était dans le même cas que lui, et il devait être à mille lieues de savoir à qui il s’adressait.

- … si c’était le cas, nous le saurions quand même …
- N’est ce pas ?

Le Lord s’adressait à son sujet, mais la dernière partie de sa phrase était dédiée au chinois, qu’il apostropha d’un signe de tête. Le crachin venu du ciel continuait de tomber, trempant les rues de Londres et ses habitants d’une eau fine et glacée si appréciable en ces mois de chaleurs. Blackwood resta silencieux, ne sachant que répondre ni comment réagir aux dires de son maître : il ne souhaitait pas plus que cela faire une erreur, surtout quand cela concernait Voldemort, l’actuel plus puissant sorcier de toute l’Angleterre.

[Expérience]

- Nous ? Oh … nous préparons une attaque à Pré-Au-Lard …

A côté de lui, Voldemort sentit Steven se raidir. Lorsqu’ils étaient arrivés, l’homme qui était à présent bien en face d’eux avait rangé un objet typiquement moldu, un de ces jouets qu’ils nommaient « téléphone portable » … une chose indispensable pour eux, mais si inutile aux yeux des sorciers. Durant quelques secondes, le Mage Noir s’imagina appeler ses Mangemorts de cette manière … c’était si peu discret, et tellement plus long que sa manière à lui … le Lord eut un léger sourire. Quelques secondes s’étaient écoulées depuis sa première réponse, et Blackwood regardait son maître avec une certaine appréhension. Voldemort sentit la tension monter d’un cran, et il ne pu s’empêcher de ricaner en pensant que Steven s’imaginait que le Grand Lord Voldemort raconterait ses plans au premier venus … mais il fallait le pardonner : cela faisait peu de temps qu’il avait rejoins ses rangs.

- Non, je plaisante.

Affirma-t-il en souriant, ricanant toujours encore un peu. Blackwood avait dû cesser de respirer car le Mage Noir le sentit inspirer discrètement. Le Mangemort, toujours vêtu de sa cape noire, passa sa main sur son visage, secoua son vêtement de manière à s’aérer et se força à sourire, de façon à paraître le plus crédible possible. Dans sa poche il sentit toujours sa baguette, prêt à la sortir si les choses tournaient mal … mais Voldemort semblait serein autant que lui semblait tendu.

- Allons, détend-toi, Steven … on dirait que tu es entouré de Mangemort …

Plaisanta à nouveau le Lord. Encore une fois, Blackwood mima un sourire amusé. Qu’était en train de faire son maître ? Quelles idées avait-il en tête ? La remarque était finement raisonnée : la réaction de l’homme définirait son statut de moldu ou de sorcier – bien que les deux Mangemorts avaient la quasi-certitude qu’il était sorcier – ainsi que son point de vue vis-à-vis du nouveau maître du Royaume Unis et de ses sujets.

Voldemort n’avait aucune idée de qui pouvait bien être l’homme en face de lui, mais il était sûr d’une chose : pour le moment, son interlocuteur était dans le même cas que lui, et il devait être à mille lieues de savoir à qui il s’adressait.

- … si c’était le cas, nous le saurions quand même …
- N’est ce pas ?

Le Lord s’adressait à son sujet, mais la dernière partie de sa phrase était dédiée au chinois, qu’il apostropha d’un signe de tête. Le crachin venu du ciel continuait de tomber, trempant les rues de Londres et ses habitants d’une eau fine et glacée si appréciable en ces mois de chaleurs. Blackwood resta silencieux, ne sachant que répondre ni comment réagir aux dires de son maître : il ne souhaitait pas plus que cela faire une erreur, surtout quand cela concernait Voldemort, l’actuel plus puissant sorcier de toute l’Angleterre.

[— ADMINISTRATEUR —]

- COMMENT OSES-T…

Aux mots du chinois, Steven s’était enflammé instantanément. Le manque de respect vis-à-vis du plus grand sorcier de l’Angleterre et accessoirement de ses Mangemort l’avait mis hors de lui. Bien décidé à montrer à son nouveau maître son total dévouement, Blackwood l’avait également pris personnellement : il n’avait jamais vraiment apprécié le fait que l’on dénigre ses actes, aussi mauvais soient-ils. Ses mots étaient sortis comme la lave d’un volcan : depuis quelques minutes déjà il fulminait, et les dires de l’informaticien n’avaient fait que déclencher le processus suivant. Tout en grondant, le jeune partisan avait fait mine de sortir sa baguette, tout en avançant vers cet homme bientôt mort … mais pourtant d’un simple geste Voldemort l’avait arrêté, et Blackwood c’était figé. Durant quelques secondes un certain malaise s’installa, et dans la rue n’était audible que le bruit de la pluie tombant sur les pavés.

- Steven. Ça suffit.

Trois simples mots qui suffirent à réduire au silence total Blackwood, dont la colère s’évaporait doucement. Au-delà de ses paroles, le sourire narquois du chinois avait mis la puce à l’oreille au mage noir, qui savait maintenant que chacune des personnes dans cette rue jouaient la comédie. Une comédie, qui risquait de terminer en tragédie si les choses continuaient ainsi. Maintenant toujours de sa main le jeune homme, Voldemort sentit la respiration haletante de Steven, qui peinait à se calmer.

- Maître … je veux le tuer …

Les dents serrées, les poings de Blackwood étranglaient le manche de sa baguette, dont l’extrémité tremblait légèrement. Un silence de mort demeurait, une goutte d’eau ruissela le long de la joue du jeune trafiquant, qui fixait d’un regard assassin le chinois.

- Oui, merci Steven. Je l’avais deviné tout seul.

Lui répondit Voldemort avec un petit sourire, comme légèrement blasé. Ses Mangemorts avaient parfois la fâcheuse habitude de le prendre pour un imbécile, et même si Blackwood n’en était pas encore un il en avait déjà les coutumes. Après s’être attardé sur le jeune homme, le regard de Voldemort se posa sur l’informaticien, son sourire faussement amical toujours sur le coin des lèvres.


- Pardonnez-le … il est un petit peu … impulsif.

Le Lord insista sur le dernier mot, tout en jetant à nouveau un regard sur Steven. Allait-il se reprendre ? Il avait plutôt intérêt … Voldemort n’appréciait guère que l’on transgresse ses règles, en particulier en sa présence, et si Blackwood ne l’avait pas encore appris, il ne le tarderait pas. Il finit cependant par se calmer, reculant d’un pas puis de deux. Un nouveau silence s’installa parmi les hommes, tendis que Steven s’éloignait légèrement. Voldemort fixa à nouveau le chinois, hésitant un peu entre le fait de le tuer maintenant ou plus tard, quand il aurait une meilleure excuse.

- Dites-mois, maintenant que les présentations sont faites … je peux savoir ce que vous espériez en nous fixant de cette manière ? Par ce que – détrompez-mois si je faute – mais j’avais l’intime conviction que vous nous écoutiez … ce qui serait fort regrettable, je dois le reconnaître …

Son léger sourire toujours aux lèvres, Voldemort attendis la réponse de l’homme.

[Localisation]

- COMMENT OSES-T…

Aux mots du chinois, Steven s’était enflammé instantanément. Le manque de respect vis-à-vis du plus grand sorcier de l’Angleterre et accessoirement de ses Mangemort l’avait mis hors de lui. Bien décidé à montrer à son nouveau maître son total dévouement, Blackwood l’avait également pris personnellement : il n’avait jamais vraiment apprécié le fait que l’on dénigre ses actes, aussi mauvais soient-ils. Ses mots étaient sortis comme la lave d’un volcan : depuis quelques minutes déjà il fulminait, et les dires de l’informaticien n’avaient fait que déclencher le processus suivant. Tout en grondant, le jeune partisan avait fait mine de sortir sa baguette, tout en avançant vers cet homme bientôt mort … mais pourtant d’un simple geste Voldemort l’avait arrêté, et Blackwood c’était figé. Durant quelques secondes un certain malaise s’installa, et dans la rue n’était audible que le bruit de la pluie tombant sur les pavés.

- Steven. Ça suffit.

Trois simples mots qui suffirent à réduire au silence total Blackwood, dont la colère s’évaporait doucement. Au-delà de ses paroles, le sourire narquois du chinois avait mis la puce à l’oreille au mage noir, qui savait maintenant que chacune des personnes dans cette rue jouaient la comédie. Une comédie, qui risquait de terminer en tragédie si les choses continuaient ainsi. Maintenant toujours de sa main le jeune homme, Voldemort sentit la respiration haletante de Steven, qui peinait à se calmer.

- Maître … je veux le tuer …

Les dents serrées, les poings de Blackwood étranglaient le manche de sa baguette, dont l’extrémité tremblait légèrement. Un silence de mort demeurait, une goutte d’eau ruissela le long de la joue du jeune trafiquant, qui fixait d’un regard assassin le chinois.

- Oui, merci Steven. Je l’avais deviné tout seul.

Lui répondit Voldemort avec un petit sourire, comme légèrement blasé. Ses Mangemorts avaient parfois la fâcheuse habitude de le prendre pour un imbécile, et même si Blackwood n’en était pas encore un il en avait déjà les coutumes. Après s’être attardé sur le jeune homme, le regard de Voldemort se posa sur l’informaticien, son sourire faussement amical toujours sur le coin des lèvres.


- Pardonnez-le … il est un petit peu … impulsif.

Le Lord insista sur le dernier mot, tout en jetant à nouveau un regard sur Steven. Allait-il se reprendre ? Il avait plutôt intérêt … Voldemort n’appréciait guère que l’on transgresse ses règles, en particulier en sa présence, et si Blackwood ne l’avait pas encore appris, il ne le tarderait pas. Il finit cependant par se calmer, reculant d’un pas puis de deux. Un nouveau silence s’installa parmi les hommes, tendis que Steven s’éloignait légèrement. Voldemort fixa à nouveau le chinois, hésitant un peu entre le fait de le tuer maintenant ou plus tard, quand il aurait une meilleure excuse.

- Dites-mois, maintenant que les présentations sont faites … je peux savoir ce que vous espériez en nous fixant de cette manière ? Par ce que – détrompez-mois si je faute – mais j’avais l’intime conviction que vous nous écoutiez … ce qui serait fort regrettable, je dois le reconnaître …

Son léger sourire toujours aux lèvres, Voldemort attendis la réponse de l’homme.

[Nb de messages]

- COMMENT OSES-T…

Aux mots du chinois, Steven s’était enflammé instantanément. Le manque de respect vis-à-vis du plus grand sorcier de l’Angleterre et accessoirement de ses Mangemort l’avait mis hors de lui. Bien décidé à montrer à son nouveau maître son total dévouement, Blackwood l’avait également pris personnellement : il n’avait jamais vraiment apprécié le fait que l’on dénigre ses actes, aussi mauvais soient-ils. Ses mots étaient sortis comme la lave d’un volcan : depuis quelques minutes déjà il fulminait, et les dires de l’informaticien n’avaient fait que déclencher le processus suivant. Tout en grondant, le jeune partisan avait fait mine de sortir sa baguette, tout en avançant vers cet homme bientôt mort … mais pourtant d’un simple geste Voldemort l’avait arrêté, et Blackwood c’était figé. Durant quelques secondes un certain malaise s’installa, et dans la rue n’était audible que le bruit de la pluie tombant sur les pavés.

- Steven. Ça suffit.

Trois simples mots qui suffirent à réduire au silence total Blackwood, dont la colère s’évaporait doucement. Au-delà de ses paroles, le sourire narquois du chinois avait mis la puce à l’oreille au mage noir, qui savait maintenant que chacune des personnes dans cette rue jouaient la comédie. Une comédie, qui risquait de terminer en tragédie si les choses continuaient ainsi. Maintenant toujours de sa main le jeune homme, Voldemort sentit la respiration haletante de Steven, qui peinait à se calmer.

- Maître … je veux le tuer …

Les dents serrées, les poings de Blackwood étranglaient le manche de sa baguette, dont l’extrémité tremblait légèrement. Un silence de mort demeurait, une goutte d’eau ruissela le long de la joue du jeune trafiquant, qui fixait d’un regard assassin le chinois.

- Oui, merci Steven. Je l’avais deviné tout seul.

Lui répondit Voldemort avec un petit sourire, comme légèrement blasé. Ses Mangemorts avaient parfois la fâcheuse habitude de le prendre pour un imbécile, et même si Blackwood n’en était pas encore un il en avait déjà les coutumes. Après s’être attardé sur le jeune homme, le regard de Voldemort se posa sur l’informaticien, son sourire faussement amical toujours sur le coin des lèvres.


- Pardonnez-le … il est un petit peu … impulsif.

Le Lord insista sur le dernier mot, tout en jetant à nouveau un regard sur Steven. Allait-il se reprendre ? Il avait plutôt intérêt … Voldemort n’appréciait guère que l’on transgresse ses règles, en particulier en sa présence, et si Blackwood ne l’avait pas encore appris, il ne le tarderait pas. Il finit cependant par se calmer, reculant d’un pas puis de deux. Un nouveau silence s’installa parmi les hommes, tendis que Steven s’éloignait légèrement. Voldemort fixa à nouveau le chinois, hésitant un peu entre le fait de le tuer maintenant ou plus tard, quand il aurait une meilleure excuse.

- Dites-mois, maintenant que les présentations sont faites … je peux savoir ce que vous espériez en nous fixant de cette manière ? Par ce que – détrompez-mois si je faute – mais j’avais l’intime conviction que vous nous écoutiez … ce qui serait fort regrettable, je dois le reconnaître …

Son léger sourire toujours aux lèvres, Voldemort attendis la réponse de l’homme.

[Bourse]

- COMMENT OSES-T…

Aux mots du chinois, Steven s’était enflammé instantanément. Le manque de respect vis-à-vis du plus grand sorcier de l’Angleterre et accessoirement de ses Mangemort l’avait mis hors de lui. Bien décidé à montrer à son nouveau maître son total dévouement, Blackwood l’avait également pris personnellement : il n’avait jamais vraiment apprécié le fait que l’on dénigre ses actes, aussi mauvais soient-ils. Ses mots étaient sortis comme la lave d’un volcan : depuis quelques minutes déjà il fulminait, et les dires de l’informaticien n’avaient fait que déclencher le processus suivant. Tout en grondant, le jeune partisan avait fait mine de sortir sa baguette, tout en avançant vers cet homme bientôt mort … mais pourtant d’un simple geste Voldemort l’avait arrêté, et Blackwood c’était figé. Durant quelques secondes un certain malaise s’installa, et dans la rue n’était audible que le bruit de la pluie tombant sur les pavés.

- Steven. Ça suffit.

Trois simples mots qui suffirent à réduire au silence total Blackwood, dont la colère s’évaporait doucement. Au-delà de ses paroles, le sourire narquois du chinois avait mis la puce à l’oreille au mage noir, qui savait maintenant que chacune des personnes dans cette rue jouaient la comédie. Une comédie, qui risquait de terminer en tragédie si les choses continuaient ainsi. Maintenant toujours de sa main le jeune homme, Voldemort sentit la respiration haletante de Steven, qui peinait à se calmer.

- Maître … je veux le tuer …

Les dents serrées, les poings de Blackwood étranglaient le manche de sa baguette, dont l’extrémité tremblait légèrement. Un silence de mort demeurait, une goutte d’eau ruissela le long de la joue du jeune trafiquant, qui fixait d’un regard assassin le chinois.

- Oui, merci Steven. Je l’avais deviné tout seul.

Lui répondit Voldemort avec un petit sourire, comme légèrement blasé. Ses Mangemorts avaient parfois la fâcheuse habitude de le prendre pour un imbécile, et même si Blackwood n’en était pas encore un il en avait déjà les coutumes. Après s’être attardé sur le jeune homme, le regard de Voldemort se posa sur l’informaticien, son sourire faussement amical toujours sur le coin des lèvres.


- Pardonnez-le … il est un petit peu … impulsif.

Le Lord insista sur le dernier mot, tout en jetant à nouveau un regard sur Steven. Allait-il se reprendre ? Il avait plutôt intérêt … Voldemort n’appréciait guère que l’on transgresse ses règles, en particulier en sa présence, et si Blackwood ne l’avait pas encore appris, il ne le tarderait pas. Il finit cependant par se calmer, reculant d’un pas puis de deux. Un nouveau silence s’installa parmi les hommes, tendis que Steven s’éloignait légèrement. Voldemort fixa à nouveau le chinois, hésitant un peu entre le fait de le tuer maintenant ou plus tard, quand il aurait une meilleure excuse.

- Dites-mois, maintenant que les présentations sont faites … je peux savoir ce que vous espériez en nous fixant de cette manière ? Par ce que – détrompez-mois si je faute – mais j’avais l’intime conviction que vous nous écoutiez … ce qui serait fort regrettable, je dois le reconnaître …

Son léger sourire toujours aux lèvres, Voldemort attendis la réponse de l’homme.

[Données]

- COMMENT OSES-T…

Aux mots du chinois, Steven s’était enflammé instantanément. Le manque de respect vis-à-vis du plus grand sorcier de l’Angleterre et accessoirement de ses Mangemort l’avait mis hors de lui. Bien décidé à montrer à son nouveau maître son total dévouement, Blackwood l’avait également pris personnellement : il n’avait jamais vraiment apprécié le fait que l’on dénigre ses actes, aussi mauvais soient-ils. Ses mots étaient sortis comme la lave d’un volcan : depuis quelques minutes déjà il fulminait, et les dires de l’informaticien n’avaient fait que déclencher le processus suivant. Tout en grondant, le jeune partisan avait fait mine de sortir sa baguette, tout en avançant vers cet homme bientôt mort … mais pourtant d’un simple geste Voldemort l’avait arrêté, et Blackwood c’était figé. Durant quelques secondes un certain malaise s’installa, et dans la rue n’était audible que le bruit de la pluie tombant sur les pavés.

- Steven. Ça suffit.

Trois simples mots qui suffirent à réduire au silence total Blackwood, dont la colère s’évaporait doucement. Au-delà de ses paroles, le sourire narquois du chinois avait mis la puce à l’oreille au mage noir, qui savait maintenant que chacune des personnes dans cette rue jouaient la comédie. Une comédie, qui risquait de terminer en tragédie si les choses continuaient ainsi. Maintenant toujours de sa main le jeune homme, Voldemort sentit la respiration haletante de Steven, qui peinait à se calmer.

- Maître … je veux le tuer …

Les dents serrées, les poings de Blackwood étranglaient le manche de sa baguette, dont l’extrémité tremblait légèrement. Un silence de mort demeurait, une goutte d’eau ruissela le long de la joue du jeune trafiquant, qui fixait d’un regard assassin le chinois.

- Oui, merci Steven. Je l’avais deviné tout seul.

Lui répondit Voldemort avec un petit sourire, comme légèrement blasé. Ses Mangemorts avaient parfois la fâcheuse habitude de le prendre pour un imbécile, et même si Blackwood n’en était pas encore un il en avait déjà les coutumes. Après s’être attardé sur le jeune homme, le regard de Voldemort se posa sur l’informaticien, son sourire faussement amical toujours sur le coin des lèvres.


- Pardonnez-le … il est un petit peu … impulsif.

Le Lord insista sur le dernier mot, tout en jetant à nouveau un regard sur Steven. Allait-il se reprendre ? Il avait plutôt intérêt … Voldemort n’appréciait guère que l’on transgresse ses règles, en particulier en sa présence, et si Blackwood ne l’avait pas encore appris, il ne le tarderait pas. Il finit cependant par se calmer, reculant d’un pas puis de deux. Un nouveau silence s’installa parmi les hommes, tendis que Steven s’éloignait légèrement. Voldemort fixa à nouveau le chinois, hésitant un peu entre le fait de le tuer maintenant ou plus tard, quand il aurait une meilleure excuse.

- Dites-mois, maintenant que les présentations sont faites … je peux savoir ce que vous espériez en nous fixant de cette manière ? Par ce que – détrompez-mois si je faute – mais j’avais l’intime conviction que vous nous écoutiez … ce qui serait fort regrettable, je dois le reconnaître …

Son léger sourire toujours aux lèvres, Voldemort attendis la réponse de l’homme.

[Expérience]

- COMMENT OSES-T…

Aux mots du chinois, Steven s’était enflammé instantanément. Le manque de respect vis-à-vis du plus grand sorcier de l’Angleterre et accessoirement de ses Mangemort l’avait mis hors de lui. Bien décidé à montrer à son nouveau maître son total dévouement, Blackwood l’avait également pris personnellement : il n’avait jamais vraiment apprécié le fait que l’on dénigre ses actes, aussi mauvais soient-ils. Ses mots étaient sortis comme la lave d’un volcan : depuis quelques minutes déjà il fulminait, et les dires de l’informaticien n’avaient fait que déclencher le processus suivant. Tout en grondant, le jeune partisan avait fait mine de sortir sa baguette, tout en avançant vers cet homme bientôt mort … mais pourtant d’un simple geste Voldemort l’avait arrêté, et Blackwood c’était figé. Durant quelques secondes un certain malaise s’installa, et dans la rue n’était audible que le bruit de la pluie tombant sur les pavés.

- Steven. Ça suffit.

Trois simples mots qui suffirent à réduire au silence total Blackwood, dont la colère s’évaporait doucement. Au-delà de ses paroles, le sourire narquois du chinois avait mis la puce à l’oreille au mage noir, qui savait maintenant que chacune des personnes dans cette rue jouaient la comédie. Une comédie, qui risquait de terminer en tragédie si les choses continuaient ainsi. Maintenant toujours de sa main le jeune homme, Voldemort sentit la respiration haletante de Steven, qui peinait à se calmer.

- Maître … je veux le tuer …

Les dents serrées, les poings de Blackwood étranglaient le manche de sa baguette, dont l’extrémité tremblait légèrement. Un silence de mort demeurait, une goutte d’eau ruissela le long de la joue du jeune trafiquant, qui fixait d’un regard assassin le chinois.

- Oui, merci Steven. Je l’avais deviné tout seul.

Lui répondit Voldemort avec un petit sourire, comme légèrement blasé. Ses Mangemorts avaient parfois la fâcheuse habitude de le prendre pour un imbécile, et même si Blackwood n’en était pas encore un il en avait déjà les coutumes. Après s’être attardé sur le jeune homme, le regard de Voldemort se posa sur l’informaticien, son sourire faussement amical toujours sur le coin des lèvres.


- Pardonnez-le … il est un petit peu … impulsif.

Le Lord insista sur le dernier mot, tout en jetant à nouveau un regard sur Steven. Allait-il se reprendre ? Il avait plutôt intérêt … Voldemort n’appréciait guère que l’on transgresse ses règles, en particulier en sa présence, et si Blackwood ne l’avait pas encore appris, il ne le tarderait pas. Il finit cependant par se calmer, reculant d’un pas puis de deux. Un nouveau silence s’installa parmi les hommes, tendis que Steven s’éloignait légèrement. Voldemort fixa à nouveau le chinois, hésitant un peu entre le fait de le tuer maintenant ou plus tard, quand il aurait une meilleure excuse.

- Dites-mois, maintenant que les présentations sont faites … je peux savoir ce que vous espériez en nous fixant de cette manière ? Par ce que – détrompez-mois si je faute – mais j’avais l’intime conviction que vous nous écoutiez … ce qui serait fort regrettable, je dois le reconnaître …

Son léger sourire toujours aux lèvres, Voldemort attendis la réponse de l’homme.