Au sujet des vacances. [Déplacé]

— ADMINISTRATRICE —

Lyzandra venait de laisser Brian à ses valises et elle se doutait que son compagnon n'allait pas trainer au banquet, elle s'était donc rendu dans son bureau en l'y attendant, la jeune fille eu le temps d'enlever sa tenue de sorcier, en dessous elle portait une robe d'été qui remontait plus haut sur ses jambes que ne déscendaient ses cheveux très ceintré elle marquait à la perfection la taille fine de la jeune fille tout en galbant joliment sa poitrine. Elle posait son uniforme quand Elidore entra dans son bureau.
Il eu l'air surprit de trouver Lyzandra ici et son regard s'attardat sur elle. La jeune fille se sentit rougir, puis elle le vat les yeux vers lui.

-Je me doutais bien que tu resterais pas longtemps au banquet.

Elle s'aprochat de lui et l'embrassat tendrement.

-Je voulais savoir... Enfin... Je dois repartir en Hongrie cet été, et bien sur rien ne t'y oblige et tu as peut être mieux à faire évidement... Mais... Si tu veux... Non... En fait je voudrais vraiment que tu vienne avec moi.

Quénodore entra dans le bureau sans faire attention. Mais son regard se posa directement sur Lyzandra. Elle était magnifique habillée comme ça. Il resta un instant à la regarder. Il écoutait se qu’elle lui disait. Partir en Hongrie … il n’avait jamais été tellement chaud pour les voyages, mais il savait que si la jeune hongroise lui demandait de venir … c’est qu’elle avait une raison. Elle aura surement besoin de lui là-bas. Elidore posa son manteau sur son bureau. Après un instant de silence, il répondit simplement

- Je t’accompagnerais

— ADMINISTRATRICE —

Lyzandra trouvat sa réponse froide, qu'à cela ne tienne, elle allait s'amuser un peu et arriver à ses fins en faisant croire à Elidore que l'idée venait de lui.

-On ne restera pas longtemps tu sais, juste le temps de regler les détails administratif de la vente de la propriété, et en suite je m'instalerai à Londres chez Brian.

Elle avait annoncer cela d'un ton dégagé et parfaitement naturel, comme si tout était parfaitement normal.

En entendant les dernière paroles de la jeune hongroise, Quénodore se figea. Pendant un instant il se demandait s’il avait bien entendus.

- Non je te déconseille fortement de vendre quoi que se soit …

Il préférait se taire que d’aborder le sujet d'aménagement à Londre chez Black. Mais la phrase tournait dans sa tête indéfiniment. Il essaya de paraître le plus calme possible, déposant le reste de ses affaires sur son bureau.

- Les Mangemorts ne sont pas totalement stupide … il vont vite se rendre compte de ce qu’ils ont fait … si ce n’est pas déjà le cas …

— ADMINISTRATRICE —

-Et qu'ont-ils fait qu'ils n'ai jamais fait auparavant... Décimer une famille ?... Ils n'ont fait que finir ce qu'ils avaient déjà commencés. Quand à la maison oooh oui bien sur c'est une belle propriété mais je ne vois pas à quoi elle me servirait à part à me rappeller ce que j'ai perdu... Je ne veux pas trainer derrière moi les fantômes du passé. En suite une fois à Londres avec Brian je verrai bien ce que je ferai...

A nouveau, le professeur se tendit. A croire que la jeune hongroise y faisait exprès … à nouveau son sang ne fit qu’un tour et il ne pus pas s’empêcher de répondre froidement à la jeune femme

- Mais qu’est ce que tu va foutre chez Black à Londres ?! s’écria-t-il
Avec l’argent que t’a récupérée tu peux pas t’acheter une baraque !

Il ferma les yeux, se rendant compte de ce qu’il venait de dire. Il venait de s’énervé bien comme il faut contre une jeune fille qui venait de pratiquement tout perdre.
Il se tourna vers son bureau, plaqua un instant sa main sur ses yeux avant de la laissé tombé lourdement point fermé sur la table, laissant la marque des ténèbres qui cuisait sur son avant bras, bougeant au rythme du sang qui coulait dans ses veines.

— ADMINISTRATRICE —

-Je crois que tu ferais mieux d'oublier cette histoire de Hongrie d'accord... Je vais me débrouiller seule, comme je l'ai toujours fait... Je n'ai besoin de personne en fin de compte je ferai tout ce que je peux magiquement le reste consiste à signer des papiers, pas de quoi être accompagnée sommes toutes... Désolée de t'avoir ennuyé avec ça...

La jeune fille soupira.

-Peut-être que ça te permettra de savoir ce que tu veux. Je doute que ça puisse t'interesser, mais je sais ce que je veux ou plutot ce que je ne veux pas. Ce que je ne veux pas c'est un homme qui martyrise mon coeur chaque fois qu'il le peut et qui ne semble même pas s'en rendre compte.

Lyzandra était à deux doigts de craquer, elle avait traverser ses dernières semaines la tête hors de l'eau solide comme le roc mais seule. Elle essayait de vivre normalement mais à dire vrai elle aurait eu besoin du soutient de son compagnon, tout du moins de sa présence...
Elle savait qu'elle l'aimait néanmoins elle se demandait réellement si oui ou non elle pouvait compter sur lui.

Il resta un instant sans bouger, dos à la belle hongroise. Il y eu un moment de silences pendant lequel on pouvait entendre les respirations du couple. Puis, Quénodore finit par se retourner, son regard se planta dans celui de Lyzandra.

- Il faudrait aussi savoir ce que toi tu veux … et surtout pour qui tu as le plus de sentiments … si j’avais sus j’aurais laisser Black se faire tuer … hurla-t-il presque

Mais il savait que plus il parlait, plus ils s’enfonçait. Car à ce stade, il la jeune hongroise ne voulait plus qu’un chose. A nouveau, il y eu un silence. Elidore semblait se calmer doucement. Son regard noir venait de tombé sur le sol. Il lui fallut un effort surhumain pour lâcher les quelques mots. Il serra une dernière fois le poing.

- Excuse moi … ne me parle plus de Black …

— ADMINISTRATRICE —

-Si j'avais eu la moindre hésitation ce n'est pas ici que je serais mais quelques part chez les serpentards en train de damander à quelqu'un d'autre de m'accompagner en Hongrie.

La jeune femme se raprochat alors de son compagnon qui lui tournait toujours le dos. Lentement elle l'enlaçat.

-Puis jusqu'a preuve du contraire c'est dans tes bras que je passe mes nuits non ?

Il ne répondit rien, ne voulant pas avouer qu’elle avait raison, et qu’il avait dans un sens tors. Il se retourna vers la belle hongroise et l’embrassa tendrement, glissant sa main sur l’échine de la Gryffondor. Ça faisait longtemps qu’il ne l’avait pas embrasser comme ça …
Au fond de lui même il eu un long soupire, surement de soulagement

— ADMINISTRATRICE —

Lyzandra se trouvait à présent dans les bras d'Elidore, comme une certaine nuit dans la foret son coeur battait à tout rompre et ses jambes avaient du mal à la porter. Elle n'était bien qu'avec lui, mais ne pouvait faire taire son tempérament de feu.

-Il va falloir que j'aille faire mes valises. A moins bien sur professeur que vous n'ayez une exellente raison de retenir votre élève en ce dernier jour de cours...

L'élève rendit alors son baiser au professeur, attendant de savoir si oui ou non elle devrait quitter le bureau.

- Tout dépend de la façon dont vous prenez les choses pour « d’excellente raison » Miss Bathory …

Il l’embrassa à nouveau, mais son regard se posa sur les feuilles qu’il avait posé à son arrivé.
Il stoppa un instant.

- Au faîte Miss. Bathory … j’ai vos résultats … vos résultats d’ASPIC …

Il montra de la tête les copies, la jeune hongroise les regarda rapidement. Un sourire s’afficha sur ses lèvres. Quénodore les avait déjà vus. Il était plus que bon. Il posa ses mains sur les hanches de la Gryffondor et déposa son mentons sur son épaule droite, attendant la réaction de la part de Lyzandra.

— ADMINISTRATRICE —

Lyzandra savait qu'elle n'aurait pas du regarder ses résultats mais elle ne pouvait pas s'en empecher. Elidore était juse derrière elle, il souriait.
Elle ne tarda pas à trouver son nom suivit de ses résultats. Elle faillit en tomber, oui elle avait toujours été plutot bonne élève, mais elle ne s'était pas attendue à de pareil résultats, elle avait reçut la note maximale en potion, elle n'en revenait pas, et à part une réussite mitigée en métamorphose il n'y avait rien à redire...

-Dis le moi franchement professeur, tu as surnoté ton élève en défense contre les forces du mal non ?

Elle faisait face à son compagnon et le regardait d'un air faussement sceptique et accusateur.

- On ne surnote pas une bonne élève … fit-il remarqué

A nouveau, il passa sa main sur le cous de la jeune fille, parcourant son échine. Ses mains finirent par se poser sur ses hanches. Elidore passa ses lèvres sur le cous nus de la jeune hongroise, s’approchant un peu plus d’elle. Il voulait la sentir un peu plus

— ADMINISTRATRICE —

Le souffle de son professeur sur sa nuque la fit frissoner, tout autant que le contact des lèvres du jeune homme sur sa peau. Elle fermat les yeux et inclina la tête en s'abandonner totalemnt à son compagnon.

Il effleura le corps de la jeune hongroise, sentant sous ses doits les frissons dont elle était parcourus. Il tomba sur la fermeture de la robe d’ébène, puis l’ouvris d’un geste délicat. La robe tomba et il pus sentir la peau de Lyzandra.

- Est-ce une bonne raison ? demanda-t-il

— ADMINISTRATRICE —

-Une exellente raison mon amour.

Lui répondit-elle alors qu'elle lui avait fait face et entreprenait d'enlever les vetements de son amant.

Il l’embrassa à nouveau fougueusement, refermant son étreinte sur celle qu’il aimait. Tout en l’embrassant, il l’a guida vers l’arrière de la salle, ne s’arrêtant que pour reprendre leur souffle. D’un geste de baguette il claqua la porte derrière eux, la fermant pour qu’elle ne se rouvre plus. Il l’a déposa délicatement sur l’unique lit de la pièce.

— ADMINISTRATRICE —

La jeune hongroise se it à genoux sur le lit afin d'être à la même taille que son amant. Elle passat une main dasn ses ongs cheveux blonds puis l'embrassat tout en lui ouvrant brutalement sa chemise en arrachant les boutons.
Quénodore eut un petit ricanement sans pour autant esquisser lemoindre geste pour ralentir les ardeurs de sa compagne qui à présent s'affairait en ouvrir le pantalon du jeune tout aussi délicatement qu'elle avait ouvert sa chemise, ci fait elle l'attira à elle et tous deux basculèrent sur le lit.

Il caressa le corps dénudé de la jeune hongroise tout en l’embrassant. Son corps tout entier était parcourut de long frisson en sentant la peau nu de Lyzzie contre la sienne […]

[ Ellipse de quelques heures ... allez aujoud'hui je suis d'humeur un peu chaud Au sujet des vacances. [Déplacé] 574494

... SUITE pour ceux qui veulent ... attention c'est crue ]

Allongé l’un contre l’autre, il caressait doucement les longs cheveux noire de la belle hongroise. Leur disputes de plus tôt dans la soirée semblait avoir été oubliée. Le fait de sentir Lyandra contre lui faisait accéléré son rythme cardiaque.

— ADMINISTRATRICE —

La tête posée sur le torse de son amant Lyzandra repensait à l'année écoulée, quand la cadence du coeur d'Elidor la rappella à la réalité. Elle passat tendrement la main sur son torse avant de se redresser la tête appuyée sur la paume de sa main...

-Hééé calme toi Elidore...

Lui murmura-t-elle

-C'est moi qui te fais cet effet là ?

Il lui jeta un regard amusé en riant doucement. Elle n’avait pas tors, et l’animagus était presque sure qu’elle savait quel effet elle avait sur lui …

- Surement belle hongroise …

Il effleurait de ses doigts la peau dénudée de Lyzandra avant de lui déposer un baiser sur les lèvres.