Visite Nordique - Récit d'un lointain passé

[ Pour ceux qui ont suivis la FIC => je jouerais Sankara en PNJ avec accord du Staff ]

.: Sankara :.

Le long vol depuis la Norvège avait été … pénible. Etrangement elle avait sus où elle devait allée au moment même où elle avait décollée du Manoir des Quénodore. Le sortilège de désillusion qu’Elidore lui avait lancé lui donnait un pitoyable aspect de grand loup blanc. Elle se posa sur dans un grand parc où un lac gelé reflétait les rayons de la lune. Elle l’observa un instant avant de regarder le reste. Un grand château se dressait un peu plus loin. Derrière elle, une lugubre forêt s’érigeait. De nombreuse choses semblaient s’être passé ici. Et sans qu’elle sache pourquoi elle savait qu’elle était au bon endroit et savait aussi qu’elle y trouverait la bonne personne. Elle se secoua rapidement, étirant ses longues ailes endolories aux plumes bleutées, invisible aux yeux des autres. Elle se figea soudain. Elle sus à cet instant qu’elle venait de trouvé la destinataire de ce qu’elle portait.

— ADMINISTRATRICE —

L'ai froid faisait du bien à Lyzandra, elle était sorti s'aerer un peu. Depuis quelques jours elle dormait peu et était nauséause toute la journée. Ce soir là il lui avait suffit d'allumer un brin d'encens pour se sentir mal et elle était sortie le temps que l'odeur se dissipe dasn leur chambre, Akira ne l'avait pas accompagnée car il avait des devoirs à corriger. Elle regarda le lac et y vit un loup blanc, ce qui ne fut pas sans lui rappeller comment elle avait découvert qu'Elidore était un animagus. L baguette en main elle s'approchat doucement.

-Mais-qu'est-ce que tu es..; Tu n'es pas un loup... Je le sens... Mais est-ce que tu me comprends...

L'animal avait tournée la tête dans sa direction.

.: Sankara :.

La louve se tourna doucement vers l’hongroise. Elle baissa un peu la tête, comme pour mieux l’observer. Elle vit la baguette de la jeune femme. Ses longs cheveux noir se confondaient avec le ciel noir de la nuit. Puis elle parla. Sankara recula un peu … qu’est ce qu’elle pouvait bien raconter ? L’accent anglais résonna dans sa tête. Elle ne savait pas comment réagir. Il était impolie d’entrer dans l’esprit des gens sans y avoir été invité. Mais elle ne voyait pas vraiment d’autre solution. Elle lança prudemment son esprit à la rencontre de la Lyzandra, gardant encore ses distance avec la future maman. On n’était jamais trop prudent.

— ADMINISTRATRICE —

L'animal voulait comuniquer et la jeune fille sentait que prudamment il testait ses barrières mentaes, comme pour demander l'autorisation d'y entre. Lyzandra toujours méfuante laissat libre accès à la louve pour pouvoir s'entretenir avec elle.

.: Sankara :.

Ça lui parut en quelque sorte étrange que la jeune fille accepte de la laissé entrer dans ce qui lui semblait l’intimité même d’une personne. Elle était habitué aux barrières mentale qu’Elidore se forçait à rendre impénétrable.

« Lyzandra ? » demanda-t-elle simplement

Sa voix glaciale raisonna dans la tête de la jeune hongroise. Elle ne pus cacher l’accent Norvégien qu’elle avait depuis toujours.

— ADMINISTRATRICE —

L'étrange naimal connaissait son prénom, cela surprit beaucoup la jeune hongroise qui identifia aussi un accent des pays du Nord sans toute fois poruvoir le défnir réellement. Elle soupira et pensa instinctivement à son ancien compagnon, elle activa sa rune puis s'adressa à l'animal en vieux North espérant se fair eocmprendre.

-Oui c'est bien moi... Tu n'es pas Elidore... Je reconnaitrais son empreinte magique entre 1000, mai spourtant quelques chose me dit que tu as a voir avec lui... Qui es-tu ?

.: Sankara :.

Lorsqu’elle sus que la jeune femme devant elle était bien celle qui avait écrit cette lettre à Elidore, elle étendit ses ailes, provoquant une légère bourrasque, avant de faire une révérence. Le vieux langage qu’utilisa Lyzandra surpris d’abord la louve, mais s’était oublier qui était Bathory. Elle se releva, plongeant son regard bleu dans celui de Lyzandra.

« Il ne voulait pas que je te le dise … mais je vais quand même le faire. Je ne vois pas en quoi ça changera quelque chose … » dit-elle doucement « Je suis Sankara. Dernières gardienne des Quénodore »

Elle fit une pause. Elle huma l’air

« Tu connais Marius … il n’est pas là ? »

En faite, elle avait besoin d’être rassuré. La sorte de pression que lui avait imposé le jeune homme n’avait pas été sans conséquence.

— ADMINISTRATRICE —

Elle s'inclina à son tour.

-Non il n'est pas ici, nous sommes en un lieu de haute magie, impénétrable pour le simportunts tel Marius.

Elle rangeat sa baguette.

-Pourquoi donc Elidore vous as-t-il envoyé révérée gardienne ? Et surtotu comment va-t-il ???

On pouvait lire dans le regard de la jeune fille pas mal d'inquiètude.

.: Sankara :.

La louve baissa les yeux. Elle ne pouvait rien dire. D’abords par ce qu’il lui avait quand même demander de ne rien lâcher. Ensuite par ce qu’elle ne pouvait rien lui dire sous peine de lui avoué certaines chose que seul Elidore devait lui dire. Elle secoua un peu la tête comme pour se rassurer qu’elle faisait le bon choix.

« Je ne peut rien te dire … malgré moi. Il me la demandé. »

Elle s’approcha un peu

« J’ai une chose pour toi. Mais je doit d’abord m’assurer que tu es bien ce que tu dit »

Elle fit à nouveau une pause. Elle répéta mentalement ce que lui avait dit Elidore

« Qui à été la dernière personne qu’Elidore ai tué ? »

— ADMINISTRATRICE —

-Si tu connais réellement Elidore et qu'il t'a parlé de moi alors tu devrais toi aussi savoir certaines choses... Je sais que tu me teste et je ne peux pas répondre à ta question... Il a tué je le sais... Il aurait été près à le faire pour moi... Dans la cimetière c'est sur son frère que je l'ai vu lancer le sortilège qui tue, nous avons laissé Marius pour mort, mais il ne l'était pas... Eliore et lui se sont recroisé une fois et il a bien faillit réussir, je veux dire, Marius a bien faillit tué Elidore. Puis Elidore est parti et depuis Marius me traque et Grégorian aussi, tous deux pense que l'enfant que je porte est celui d'Elidore.

Elle fit une pause, à nouveau elle sentait mal, sa tête tournait.Lyzandra décia de s'assoir en tailleur sur une souche et fit apparaitre un feu.

-Et toi révérée créature quelle preuve peux-tu me donner de ce que tu avances ? Je t'ai pour ma part dit ce que je pouvais.

.: Sankara :.

Les révélations de l’hongroise firent plus qu’intéresser la louve. Elle comprenait encore un peu mieux le pourquoi de l’était de l’animagus. Une étincelle passa dans ses yeux.

« J’ai quelque chose pour toi » dit-elle simplement « Mais pour cela … tu doit juste me redonner ma véritable forme … Elidore m’a dit de te dire qu’il avait utilisé un simple sortilège de désillusion … »

— ADMINISTRATRICE —

La jeune hongroise obtempera et des ailes apparurent. Ses familliers étaient agités par la présence de la louve. La jeune hongroise les renvoyat alors, mais Loki refusat de partir restant à bonne distance de la louve mai sà proximité e sa maitresse.

-Voilà... Que dois-tu me donner révérée créature ? Est-ce quelques chose qui vient d'Elidore ?

.: Sankara :.

Elle souleva l’une de ses longues ailes bleutées et pris dans sa gueule le parchemin qu’Elidore lui avait donné. Sankara le déposa dans la main de la jeune hongroise. Le papier vieillis par le temps portait l’emblème des Quénodore ; une vouivre se mordant la queue.

« C’est écrit en anglais … mais dit-moi … comment ce fait-il que tu comprenne ce que je dit ? »

— ADMINISTRATRICE —

Lyzandra avait le regard posé sur la lettre, elle avait imméditatement reconnu le mythique animal qui servait de parafe.

-C'est a cause d'une rune qui est tatouée sur mon dos, quand je l'active je parle l'antique langage nordique...

Elle hésitait à l'ouvrir ou a la garder telle quelle.

-Dis moi révérée créature... Sais-tu ce qu'écris Elidore ?

.: Sankara :.

La louve ne compris pas tout de suite la question. Elle eu un instant de réflexion

« Non, je ne sais pas ce que contiens cette lettre » avoua-t-elle

Elle s’en voulus soudain d’avoir apporté ce morceau de parchemin alors qu’elle ignorait ce qu’il contenait.

— ADMINISTRATRICE —

Elle ne désserait pas l'enveloppe.

-Je ne suis pas certaine d'avoir envie de l'ouvrir maintenat... Dis moi comment va-t-il ? Je veux dire réelement ?

.: Sankara :.

La louve resta silencieuse. Elle hésita … il lui avait demandé de rien dire … mais il ne lui avait pas dit de ne pas répondre aux question.

- Mal dit-elle simplement

— ADMINISTRATRICE —

[Pour des raisons pratiques je poste le dialogue entre Lyzandra et Sankara d'une seule traite avec l'accord de Quénodore.]
°Sankara parle en gras°

- Je me doutais bien qu'il allait mal, pour être franche j'ai l'impression de ne jamais l'avoir vu aller bien.

- Il l'a été un jour

- Quand ?

- Dans le passé...Il y a longtemps.

- Raconte moi ?
La jeune hongroise venait de s'assoire sur le sol, la lettre toujours en main, puis elle alluma un feu afin de ne pas prendre froid.

-J'ai peur de te donner des armes contre lui qui pourrais lui être fatale. Jure-moi d'abord de ne pas les utiliser contre lui

- La seule que je veux c'est qu'il aille bien, avec moi ou quelqu'un d'autre qu'importe... Je ne l'utiliserai en aucun cas contre lui, je comprendrai alors sans doute mieux certaines choses.

Sankara se coucha à côté du feu que venait d’allumer la jeune hongroise. Ce serait sûrement longs. Elle savait qu’elle devait lui conté le passé de celui qu’elle devait guider. Elle devait savoir.
- Il a sans doute eu une enfance comme tout le monde. Son frère peut être moins ...

- Je ne connais rien de son passé, je n'en ai pas eu le temps, il ne s'est pas laissé approcher suffisamment pour cela.
Disant cela elle eut un pincement au cœur, douloureux stigmate de son passé avec lui.

- C'est un passé qui le faire souffrir, énormément, qu'il s'efforce à oublier.

- Il ferait mieux de l'accepter.

- Le père de son père était encore en vie, Elidore avait une vie avec une femme... Un fils, un seul. C'était... Beau ...

- Je ne comprends pas.

- C'est a ce moment là qu'il devint Animagus, qu'il fit la rencontre de Una et la troupe

- Attends un minute...
Lyzandra avait peur d'avoir compris.

- Là on pourrais qualifié ce temps d'heureux

- Tu es en train de me dire qu'Elidore a eu un enfant ?

- Oui, il y a 4 ans ... bientôt 5.

- Que s'est-il passé ?

- Un enchaînement de mauvaise choses... Sa mère fut tuée ...

- La mère de son enfant ?

- La mère d'Elidore.

-Oh...

- Au fond de lui il a tjrs sus qui l'avait tué ...

- Marius ?

-Mais il ne le dira jamais. C'est son frère. On ne trahis pas un frère.

- Jamais je n'aurais pu trahir Titania.

-Mais là n'est pas le problème...Dans la foulé, le père du père d'Elidore mourut luis aussi.

- Toujours Marius je présume ?

- Faisant ainsi du père de l'animagus l'héritier des Quénodore, Elidore pensera aussi que c'est Marius qui a tué le grand-père mais il n'en n'aura jamais la certitude... Le père d'Elidore devint alors l'héritier ... héritage dont il ne savait rien.

- Oui et i lvaut mieux que les deux frères ne se croisent plus.

-Je suis arrivé trop tard pour intervenir
Elle baissa un peu les yeux. Peut être aurait-elle pus éviter cela si elle avait été là

- Et Marius a tué son père...

- Non ... MArius était trop faible encore

- Marius l'a avoué d'une certaine manière quand nous étions au cimetière.

- Il a tué son père bien après. Au moment où le père d'Elidore à reçut son héritage ... il s'est rendus compte du fardeau, il ne savait pas. Il s'est laissé mené par la soif de pouvoir. Il l'a laissé trop s'imprégné en lui. Il l'a rendus ... Incontrôlable ...

-Le pouvoir a cet effet sur bien des hommes.

-L'héritage a pris le dessus. Ce soir là ... le fils d'Elidore, ainsi que la mère de son fils étaient là... Ils avaient eu le malheur d'être là. Ce fut ... un formidable bain de sang ...

- C'est horrible...
A présent si Elidore avait été a proximité sans doute lui serait-elle tombé dans les bras tellement sa volonté d'annihiler ses souffrances était forte et elle savait a défaut de le rendre heureux comment faire disparaître une bonne partie de ce mal qui le rongeait... Même si cela signifiait pour elle se sacrifier, lui sacrifier son bonheur... Mais encore faudrait-il qu'il en veuille. C'est seulement à présent qu'elle réalisait ce qu'avait traversé celui qu'elle avait tant aimé et dont elle avait du mal à prononcer le nom sans rien ressentir. Elle comprenait mieux son attitude et son caractère, soudain elle eu l'impression qu'Elidore qui lui avait parut si impénétrable était à présent pour elle un livre ouvert, livre qu'elle devait portant laisser ranger sur une étagère suffisamment haut de manière à ne plus le voir, jusqu'au jour ou elle l'aurait oublier.

- La moitié du Manoir fut détruit. Khan et moi sommes arriver trop tard, la fille et le fils avaient déjà périls ... mais nous avons fait en sorte que ce qui avait fait ça soit neutraliser ... Pour un temps. Elidore à vécus avec ça.. Avec son père. Avec son frère. Et le reste de sa famille... Il n'y a pas longtemps, Marius est revenus au Manoir. Là, il a tuer son père. Son père, qui était privé de ce qui devait normalement le protégé. L'héritage que nous avions neutralisé. Marius en a profité. La suite, tu la connais je crois.

- Eliore est devenu mangemort et héritier.

-Marius à tuer, puis il est venus en Angleterre pour terminer le travail. Durant les 4 ans, je ne sais pas ce qu'est devenus Elidore. Mais si MArius est partis en Angleterre, c'est que sont frère devait y être. Je ne sais pas si Marius se rend compte que s'il arrivait à tuer Elidore ... Il deviendrait héritier ... Je crois que ce qui fait peur à Elidore... C'est qu'il est devenus l'héritier de ce qui a détruit sa vie. Je crois qu'en faite... Il a simplement peur

- Quel est cet héritage ?

- Ca c'est une chose que je ne peut dire. J'ai vécus assez de chose pour savoir qu'il est préférable de taire certaines chose.

- Il faudra donc à Elidore chasser ses vieux démons ou vivre avec pour entamer son parcours initiatique... Et lui qui me parlait d'honnêteté non mais je rêve...

- Tu sais Lyzandra ... S'il ne te l'avais pas dit ... C'est qu'il ne jugeait pas nécessaire de te le dire. Peut de gens connaisse sont histoire. Ce qui me préoccupe ... c'est de la rancune et de la haine dont il peut faire preuve ...

- Pas nécessaire... PAS NECESSAIRE ??? Et il voulait que moi je ferme les yeux sur le fait que j'ignore tout de lui ?!? Lui ais-je caché mon héritage et mon passé moi ?!? Comment voulait-il que je puisse rester avec lui perdu dans le noir... C'est absurde, tout simplement absurde !

La bibliothécaire s'était levé perdant son calme et avait commencé à faire les cent pas. Elle venait de prendre conscience du fait que si elle avait su tout ce qu'elle venait d'apprendre par un tiers il y a plusieurs mois alors qu'elle était encore élève jamais elle n'aurait fait ni dites certaines choses, et sûrement aurait-elle fait plus attention à se préserver pour lui..

-Il avait peut être simplement peur ...
Lorsque Lyzandra s’était levé brusquement, la louve n’avait pas bouger. Elle l’avait simplement suivis de regard.

- Peur de quoi... Mon héritage est tout simplement démoniaque ni plus ni moins, lui aussi est sans doute trop puissant pour être contrôlé, je suis morte de peur à l'idée que ce pouvoir m'échappe, et pourtant je lui en ai parlé... Je me suis donnée à lui sans faux semblant et lui est resté fermé à moi. Si il veut vivre il va falloir qu'il accepte son passé, si lourd soit-il.
Cette fois ci sans avoir cessé de marcher elle était au bord des larmes, toujours en colère mais définitivement blessé... Toujours cette souffrance qui ne la lâchait pas. Mais pourquoi alors ne pouvait-elle s'en passer si cela la faisait tant souffrir...

- Il le fera. Mais j'ai biens peur qu'il ne soit pas le seul à en subir les conséquence... Et je crains qu'il ne mette tout ça sur le dos d'une seule et unique personne...

- Qui donc ?

- Réfléchis ... qui à tuer sa mère ? Qui à tuer - d'après lui - son grand père ? Son père ?

- Marius... Il m'a dit... La dernière fois que je l'ai vu... Il m'a dit que tuer Marius était désormais une tache que JE devrais accomplir.

- C'est son frère. Je ne suis pas là pour sauver des vie. Je suis là pour sauver ce que je garde depuis des siècles.
.
- Si cela suffit à lui rendre une certaine serenité alors je le ferai.

- Pourquoi est ce la tache qu TU devais accomplir, Lyzandra ?

- Parce que Marius me poursuit. Il croit Elidore mort et pense que l'enfant que je porte est celui d'Elidore : il va donc sen prendre à moi et à mon enfant, s'il le fait alors je le tuerai.

- Oh ... Marius est donc encore plus stupide que je ne le pensais... Non, vous ne devrez pas le tuer. S'il arrive quoi que se soit à Elidore, c'est le dernier héritier

-Alors je l'enfermerai... Chez moi.

- Tu ne pourras pas

- La demeure de mon aïeule a ce qu'il faut, je ne parle pas de la maison que j'ai ici.

- Si Marius devient l'héritier... Le Manoir aussi avait été construit pour empêcher l'héritage de le détruire ...

- Si Elidore meurt je le saurai instantanément, et si Marius hérite alors il faudra le tuer.

- Dans ce cas je ne pourrais pas te laissez faire. Mon devoir est de protéger l'héritage. Mon devoir est de m'assurer qu'il prospérera. Si je doit te tuer pour pouvoir tenir la promesse que j'ai faite jadis, alors je le ferais.

- Alors prions pour qu'un nouvel hériter vienne à naître un jour

- Wyrda... Le temps ne soigne pas les blessures. Elle ne font que les refermer.

- Oui...Sans doute. Mais que feras tu si Marius hérite ?
Le temps un jour refermerait ses blessures et celles d'Elidore, mais arriverait-elle a vivre avec cela...

- Je devrais faire ce que j'ai toujours fait.

- Tu es un guide ?

-Je suis un guide. Je le guiderais vers ce qui sera bénéfique pour lui.

- Pourquoi es-tu donc ici ?

- Je suis ici, car quoi qu'il puisse penser, quoi qu'il puisse dire... Nos chemins devait se croiser, Lyzandra. Ils le devaient, car tu es la deuxième femme a qui il ai ouvert sont cœur. Tu devais savoir son passé.

- Je comprends... Comme tu es son guide il faut alors tu sache une chose

La louve dressa les oreilles.

- Je veillerai toujours sur lui, c'est comme cela, c'est mon héritage qui le veut... Wyrda comme tu le dis si bien

-Alors nous seront deux dit-elle d’un ton solennelle.

- Au moins nous avons un but commun

La jeune fille savait à présent qu'elle devait lire la lettre d'Elidore. La lueure du fu était suffisament intense pour lui permettre de lire. Elle cassat le cachet et commença sa lecture.

"Lyzandra,
J'ai fait en sorte que cette lettre t'arrive en main propre et à toi seule. Je n'ai pas pu te renvoyer le hibou que tu m'avais envoyé. Tu demanderas pourquoi au coursier qui t'a approté la lettre. Tu n'attendais pas de réponse, mais au fond e toi je sais que tu en voulais une.
Le temps soigne les blessures. Celles que tu m'as infligées sont proondes et laisseront des traces. Il et plus facile de donner satisfaction à un homme pour avoir ce que l'on désir, puis de le berner quand il ne s'y attend pas ; plutot que de se battre avec le risque d'échouer.
Nos chemin se sont croisés pour la denrière fois lorsque tu m'as fait tes adieux aux côtés de ton fiancé. Il y a certaines choses qui ne peuvent être effacées. Te dire que je ne t'en veux pas serait mentir. Dire que je n'y pense plus le serait aussi.
Malgrès le lien qui uni toujours, nos chemins ne doivent plus se croiser. Ne pas l'empecher ne serait surement pas bénéfique pour aucun de nous. Je suis tout aussi navré que cette histoire se soit terminée ainsi. Toutes les bonnes choses ont une fin.
Ne prends pas ça pour un abandon. Prends ça pour la nouvelle chance que je n'aurai pas."

Une fois qu'ele eu finit elle resta un moment les yeux dans le vague assimiler ce que lui disait Elidore, Sankara n'avait pas bouger, elle attendait patiement sur la jeune hongroise.

— ADMINISTRATRICE —

Lyzandra :
Penses tu qu'il soit sincère quand il dit ne pas souhaiter me revoir ?

Sankara :
C'est ce qu'il a marqué ?

Lyzandra :
A peu de choses rès oui

Sankara :
... Non, je ne pense pas. Je ne pense pas que c'est ce qu'il veux au fond de lui. Je crois qu'il veux simplement te faire croire l'inverse de ce qu'il veut

Lyzandra :
Oui, fidèle a cette carapace qu'il s'est lui même forgé

Sankara :
Je crois qu'on fond de lui, il n'arrive pas a accepter qu'il ne puis ce pas ouublié certain chose

Lyzandra :
Certains évenements nous marquent au fer rouge, il faut 'accepter, accepeter ce qui ne peut être changer, et se battre quandon sait que ce n'est pas imuable, et non l'inverse

Sankara :
Je crois qu'il ne comprend pas cela. Pas encore. Pour le moment, il ne vois que la souffrance que cela lui engendre

Lyzandra :
Comment compte-il vivre si il passe son temps à s'apitoyer sur lui même...

Sankara :
Je ne sais pas. Peut être que justement, il veux oublier pour ne pas s'apitoyer sur lui même. Il est en train de se rendre compte ... qu'il ne peut pas.

Lyzandra ::
Du coup il passe à côté de tant de choses...

Sankara :
Qu'appelles-tu par "tant de choses" ?

Lyzandra :
Il se protège même des gens qui l'aiment, d'une vie qui aurait pu être poru lui heureuse, épanouissante, et il ne l'a même pas vu au moment ou il l'avait devant les yeux... Au moment ou c'était un acquis

Sankara :
Peut être avait-il peur de l'avenir elle même. Peut être avait-il peur de ce qui est en train de se passer. Il ne voulais peut être pas revir ce qu'il a vécut, pas tant d'être sur de pouvoir le garder

Lyzandra :
Alors surement pour cette raison entre autre ai-je bien faut de garder le silence sur certains évenemnt qui auraient pus encore plus le détruire.

Sankara ::
Quel genre de chose ?

Lyzandra :
Puis-je compter sur ton silence vis à vis de lui ? Si tu m'as fait des révélations alors je me dois de t'en faire.

Sankara :
Tout comme je compte sur le tiens pour garder son passé secret.

Lyzandra :
Il y a 8 mois environ, en pleine année scolaire j'ai eu une periode assez... Mauvaise... Je ne n'arrivais plus à trouver le sommeil, je devais prendre en charge ma jeune soeur scolariser a poudlard alors qu'elle ne parlait pas l'anglais, ça impliquait donc deli traduire les cours et de lui réexpliqer tout ce qu'elle n'avait pas compris, ma rune me causait énormément de soucis...j''avais en prime la charge de travail e quelqu'un qui va passe son diplome, mais le plus dur était de garder secrète la relation amoureuse que j'entretenais avec Elidore qui était professeur ici, cela durait dpeuis 3 mois environ. En plus de tout cela je portais un secret sans arrivé à en parler a personne.

Sankara :
Il ne m'avait pas dit qu'il avait été professeur. Ton secret était-il aussi lourd que le sien ?

Lyzandra :
Ca le concernait dirrectement et je ne pouvais, ne savais pas comment aborder le sujet avec lui

Sankara :
Conte-moi ton fardeau Lyzandra. Peut être que cela m'aidera à guider mieux celui qui semble si perdu ...

Lyzandra :
oui... Même maintenant ce n'ets pas facile d'en parler... Encore moins maintenant à dire vrai... En un sens je l'ai trahis en ne lui en parlant pas. La solution à mon problème s'est présenté d'elle même.

Sankara :
Tu n'as pas à regretter le passé Lyzandra

Lyzandra :
Sans que ma volonté puisse y faire quoi que se soit.

Sankara :
On ne devrais pas avoir à regretter ce que l'on a fait ou pas fait ...

Lyzandra :
Oui ce qui est fait est fait... Un soir ou une fois de plus je ne dormais je suis sortie du chateau poour prendre l'air. Elidore m'avait suivit, il disait avoir quelques chose à me faire voir, cela impliquait activer ma rune et le suivre sous forme animale. J'étais déjà au bord de l'épuisement, mais je l'ai fait quand même... Nous nous sommes rendus à u e cérémonie faites par les centaures, nou sl'obervions, lui sous forme de chien loup, moi sous forme de corbeau.
Puis à cause de l'épuisement sans doute j'ai repris forme humaine, s'en est suivits une altercation avec les centaures. Durant cette altercation j'aiperdu conscience, puis Elidore m'a ramené à l'école ou nous avons vu le directeur puis le professeur de rune, après quoi j'ai été conduite à l'infirmerie. C'est là que je me suis maudite de n'avoir rien dit à Elidore...

Sankara :
Tu pensais faire bien ...

Lyzandra :
Durant cette nuit jai perdu l'enfant que je portais, celui d'Elidore.

Sankara :
Le destin en a voulus ainsi Lyzandra.

Lyzandra :
Qui suis-je dnc pour avoir laisser cela arriver

Sankara :
Il y a des choses que l'on peut éviter ... D'autres qu'on ne peut pas. Tu aurais pus peut être l'éviter. Mais ... tu l'aimais ... tu ne voulais luis faire la peine de ne pas le suivre. Tu ne doit pas t'en vouloir pour ça ...

Lyzandra :
Je savais que j'aurais du faier plus attention à moi !

Sankara :
Le savais-tu avant que cela n'arrive ?

Lyzandra :
Oui

Sankara :
Cela prouve donc que tu l'aimais beacoup.

Lyzandra :
Seulement je ne pouvais pas lui en parler... Comment lui aurais-je annoncer ???

Sankara :
Car tu l'as suivis malgrès le danger
Je connais Elidore depuis longtemps. Je sais a quel point il est dure de lui parler.

Lyzandra :
Surtout aborder ce sujet précis... Je n'ai jamais été sure de ses sentiments pour moi...

Sankara :
C'est un homme que le temps à détruit. Il est devenus froid, glacial, impénétrable peut être. On ne peut jamais vraiment savoir ce qu'il pense, pensait, pensera.. Moi même je ne le peut pas avec certitude. Mais je pense que ... il s'est ouvert de sa façon à toi.

Lyzandra :
Sans doute, mais que penseraitil de moi s'il savait que j'ai tué son enfant et qu'en plus de cela je n'ai pas juger bon de l'en avertir ???

Sankara :
Il devait t'aimé beacoup pour en arriver à là. Je me demande d'ailleurs comment il a pus résister. Tu doit être quelqu'un de bien. Vraiment.

Lyzandra :
J'en doute révérée créature, j'en doute...

Sankara :
Ne dit pas cela. C'est toi qu'il a aimé. Toi seule. C'est a toi qu'il s'est 'ouvert'. Il ne fait confiance a personne. Et pourtant il t'a laissé l'approché. Tu es quelqu'un de bien Lyzandra. Et il le sais

Lyzandra :
Si j'étais si bien que cela alors il ne souffrirait pas... Je suis coupable...Coupable de ne l'avoir que trop aimer, plus que ma propre vie, aimé au point de lui avoir sacrifié la vie de notre enfant, et je me suis laissée rongé par ça.

Sankara :
Je ... j'ai quelque chose à te demander ... que c'est-t-il passé pour que vous en arriviez a point d'aujourd'hui ? Le passé que tu me conte semblait si ... sure ... Il refuse de m'en parler véritablement.

Lyzandra :
Ce n'est pas étonnant de sa part n'est-ce pas ? Je n'arrivais plus à le regarder dans les yeux, je ne pouvais c'était plus fort que moi.

Sankara :
Pas après ce que tu lui avait caché ... ?

Lyzandra :
Je suis entière et ne peux pas mentir ou pas très longtemps, mais d'un autre côté ce fardeau est le miens, je devai dobnc traversée cette épreuve seule. Je n'avais pas lui imposer cela, et pourtant je l'aimais sincèrement, .mais je ne voulais pas qu'il puisse souffrir et je craignais encore plus qu'il me rejette à cause de ce qui c'était passé.

Sankara :
Je ne suis pas en droit de te dire ce que tu aurais du faire ou non. C'est ce fardeau qui vous à fait arriver à là ... ce fardeau qui est le tiens. Te penses-tu responsable de ce qu'a engendré ce fardeau ?

Lyzandra :
Oui je le suis en partie, mais la faute ne m'incombe pas entièrement. Elidore et moi nous ressemblons beaucoup, trop sans doute, nous avons le même caractère, nous sommes attirés l'un par l'autre et il n'y a rien que nou spuissions faire pour aller contre ça, mais nous sommes trop semblables pour pouvoir nous accorder.

Sankara :
Je ne peut pas te dire comment va se passer l'avenir. Je n'en ai pas le droit. Je commence simplement à comprendre la situation. Et je ne sais où elle vous menera. Je ne sais où elle LE menera. Il ne sais pas encore qu'il ne va pas devoir se battre contre l'énnemie qu'il pense. Il va se rendre compte trop tardivement qu'il se l'ai crée lui même

Lyzandra :
C'est à ce moment que je devrai être là.

Sankara :
Non Lyzandra ...

Lyzandra :
J'ai trop de mal à vivre sans lui pour laisser lui arriver quoi que se soit.

Sankara :
Tu sais, il y a plusieurs moyent d'être l'énnemie de quelqu'un ...

Lyzandra :
Elidore est son propre pire ennemi.

Sankara :
Oui. Et il le sais déjà.

Lyzandra :
Il s'auto détruit en ne s'accordant pas le droit au bonheur.

Sankara :
Son bonheur à lui est si loin... Pour lui il semble si inatégnable.

Lyzandra :
Oui et je m'en sens engrande partie responsable

Sankara :
L'avenir est un long passé ...

Lyzandra :
tu veux donc dire qu'il était amené à perdre une fois de plus celle qu'il aimait et sa descendance ?

Sankara :
N'est ce pas ce qui c'est passé ?

Lyzandra :
Si justement...

Sankara :
j'oserais dire qu'en partie non... Tu n'est pas morte Lyzandra. L'avenir me dit que ... tu auras un choix à faire ... et qu'il dépendra de ça.

Lyzandra :
N'ais-je pas déjà fait ce choix ?

Sankara :
Non Lyzandra.

Lyzandra :
Comment cela ?

Sankara :
Je ne peux pas te le dire. Mais ton choix tu auras a le faire. Je crois que ... tu l'as encore.

Lyzandra :
Je vais me marier et avoir un enfant révérée créature.

Sankara :
...Il me l'avait dit. Mais je ne retire pas ce que j'ai dit.

Lyzandra :
Mon amour pour lui a été si fort qu'il m'en reste encore des stigmates.

Sankara :
Un phénix renaît de ses cendre. Wyrda ...

Lyzandra :
n'est-ce pas ce que TOI gardienne de la lignée tu voudrais ?

Sankara :
Ne dois-je pas le guidé vers ce qu'il eest le mieux pour lui ? Son destin s'est mêlé au tien. Et il viendra le jour où il aura ce choix à faire. Où tu auras ce choix à faire.

Lyzandra :
Pourquoi ferais-je le choix de me jetter dans le vide sans filet ?

Sankara :
Tu verras Lyzandra... Laisse le destin te mêner là où il doit

Lyzandra :
Et si je n'en ai pas envie ? Vais je une fois de plus être malmenée par ce fichu destin ???

Sankara :
Tu n'auras pas le choix. On est tous malmenée par le destin. Mais tu auras le choix de la façon dont tu veux qu'il tourne. Le destin n'est pas droit. Sinon on en verrait le bout.

Lyzandra :
Tu es partiale, mais comment pourrais tu ne pas l'être...

Sankara :
Je ne peux t'obliger a faire le choix que tu ne veux pas. Je ne le ferais pas...Mais dans ce cas, il faudra que tu sois sure.

Lyzandra :
Qui peut être sur de quoi que se soit ?

Sankara :
Il le faudra...Tu sais, j'ai une promesse a tenir, ça fait 1000 ans que je la tient.

Lyzandra :
Pourquoi penses-tu que je suis la bonne personne ?

Sankara :
Par ce que c'est toi qu'il a choisit

Lyzandra :
Penses-tu qu'il m'aime vraiment ?

Sankara :
Je ne le pense pas. J'en suis sure. Sinon vous n'en seriez pas arriver à la. Il m'a laissé voir ce que tu lui avait fait la dernière fois où vous vous êtes vus. Il n'arrive pas à t'en vouloir pour ça, malgré ce qu'il se force à penser.

Lyzandra :
Je ne crois pas que se soit bon pour lui... Peut être devrais-je le faire souffrir encore plus, peut être parviendrait-il a me haïr véritablement... Même si pour cela c'est mon coeur que je livrerai à la mort...

Sankara :
Peut être ... mais est-ce vraiment ce que tu veux ?

Lyzandra :
Non... Bien sur que non... Pourquoi est-ce si compliqué ??? Pourquoi ais-je l'impression d'avoir besoin de lui ??? Surtout qu'en même temps je ne veux pas être avec lui

Sankara :
Tu me semble aussi perdu que lui ...

Lyzandra :
Oui. J'aime Akira, mon fiancé, le père de l'enfant à naitre. Mais je n'arrive pas a tourner la page avec Elidore

Sankara :
Tu aimais Elidore aussi. De la même façon qu'Akira. Dit moi le contraire ! ... Pardonne moi... Je souffre trop de cette génération. Je m'impregne trop de cette histoire qui n'ai pas la mienne.

Lyzandra ::
Quel que soit le choix que je puisse faire j'en serai malheurese à jamais, c'est là mon lègue. Imagine révérée créature que nou sunissions nos deux lignées... Tu dois connaitres quelque speut ma lignée non ?

Sankara :
Tu es hongroise, n'est ce pas ?

Lyzandra :
Oui en effet.

Sankara :
Tu es la descendante des Bathory

Lyzandra :
Cela même.

Sankara :
Parfois un probleme peut en régler un autre.

Lyzandra :
Ou bien s'y ajouter. Je suis une abération... du sang démoniaque coule dans mes veines... Il ne peut rien sortir de bon de cela non ?

Sankara :
Tu semble en être si sure ...

Lyzandra :
J'ai 17 ans et je lance les impardonable comme unsimple sortilège de lévitation... Je suis intrinsèquement mauvaise. Je le contients pour l'instant ce côté, mais jusqu'a quand...

Sankara :
Tu sais, nous sommes tous pareil dans le fond. Ce qui fait surgir ce que nous sommes vraiment, c'est notre envie. As-tu envie de fairee du mal aux gens ?

Lyzandra :
Non. Je veux le bien et le bonheur de ceux que j'aime

Sankara :
Alors tu ne seras jamais mauvaise Lyzandra. Cette envie de vouloir faire le bonheur te distingue de ceux qui ne le veulent pas. C'est ça le plus important.

Lyzandra :
Et si quand bien même je faisais le mal... Il n'y a qu'a regarder... J'ai choisits Akira et Elidore en souffre... Si jamais je retournais ma veste c'est Akira qui serait profondément blessé... Et dans chacun des cas j'y laisse une partie de moi. Tu vois... Intrinsèquement mauvaise.

Sankara :
On peut tous se dire ainsi Lyzandra.

Lyzandra :
Peut être oui...Si je ne voulais pas faire de choix ?

Sankara :
Tu finiras par devoir le faire.

Lyzandra :
De toute façon là n'est pas la question. Mon choix est fait.

Sankara :
Tu en semble si sure ... si persuader ... tu semble si sure de l'avenir Lyzandra. Une partie de moi en est heureus pour toi... L'autre partie ... se demande comment ferais-tu si l'avenir ne s'annonce pas comme tu le voulais

Lyzandra :
Je ne sais pas. Mais je vois pas pourquoi il n'en serait pas ainsi... Je suis aussi tetue que ton protégé, et même s'il restera toujours et à jamais une place dasn mon coeur pour Elidore c'est bel et bien Akira que j'ai choisit.

Sankara :
Si tel est ton choix ...Mais ... nous verrons bien. Je ne retire pas ce que j'ai dit.

— ADMINISTRATRICE —

Lyzandra avait demandé à la louve de l'attendre, il fallait que malgrès totu elle écrive un second courrier à Elidore, elle ne pouvait pas resté sur le point d'orgue qu'aurait voulu l'animagus, surtout pas après avoir appris tant de choses... Elle monta donc rapidement dans la bibliothèque et se mit à son bureau pour y écrire.

Octobre
Poudlard

Mon Elidore,
J’ai bien reçu ta lettre, ainsi que la visite de ta gardienne, enfin celle de ta famille tout du moins. J’ai longtemps hésité à ouvrir ta réponse, j’avais peur de ce que je pouvais u trouver. Peur de lire des choses que je ne voulais pas. Mais je l’ai finalement ouverte après avoir longuement discuté avec Sankara. A ce propos deux choses.
La première est que je m’excuse de l’avoir retenue ici une journée, mais je souhaitais qu’elle te délivre ma réponse. A l’heure qu’il est les premiers rayons du soleil commencent à filtrer sur le lac. Si tu voyais comme c’est beau. Depuis là où je suis j’ai la même vue que tu avais depuis ton bureau, mais trois étages plus haut.
Deuxièmement c’est que si je t’écris si tôt c’est que j’ai passé une bonne partie de la nuit à discuter avec Sankara. Pour ne rien te cacher notre discutions n’a pas eu beaucoup de sujet différent. Il a surtout été question de toi, puis de moi et enfin de nous, ou plutôt de ce qu’il en reste … Je voudrais te demander une faveur : ne réprimande pas la révérée créature qui te tient lieu de guide, car en aucun cas elle ne t’a trahi ou alors la confiance que tu avais en elle, en réalité Sankara m’a dit certaine choses à ton sujet qui m’aiment à mieux te comprendre. Autrement dit à présent je vois plus clair en toi, mieux que je n’aurais jamais pus le faire du temps ou j’ignorais encore quel fardeau était le tient. En réalité j’ai commencé à l’entrevoir quand tu m’as avoué que Marius était ton frère, puis avec ce qu’il s’est passé à l’usine, j’ai compris que tu devais avoir un très lourd passif familiale … J’étais bien loin de me douter à quel point … Ce n’est que quand Sankara a évoqué l’héritage de ta lignée et qu’a cause de lui tu avais tant que j’en ai pris la pleine mesure. Perdre ainsi ta famille et surtout ta femme et ton fils a du être invivable pour toi, une tragédie dans le vrai sens du terme. Lorsque je l’ai appris j’ai tout d’abord voulus, et je l’aurais fait si tu n’avais été heureusement pour moi en Norvège, me jeter dans tes bras mettant ainsi une fin à une partie de tes souffrances. Car quoi que tu puisses en penser je sais exactement ce que tu ressens tout comme je sais pertinemment que si je … Non je ne peux pas évoquer cette possibilité, je ne VEUX pas l’évoquer. Bien qu’il me hante, tout comme elle doit te hanter toi … Pas la peine de nommer cette éventualité n’est-ce pas, toi et moi savons parfaitement de quoi je parle … Bref je sais que se serait un moyen pour toi de moins souffrir. Mais si au grand jamais je ne pourrais effacer le passé, ton passé. Je ne le souhaite pas d’ailleurs, pour rien au monde. Sais-tu pourquoi ? Par ce que simplement ton douloureux passé fait de toi ce que tu es. Cet homme si fort et inébranlable, ce roc indestructible qui a enfouit son cœur si profond en lui que la personne qui s’en saisit un jour semble ne jamais vouloir y renoncer … Vois-tu c’est ainsi que je t’ai connus et aimé. Tu as enduré ce qu’il y a de pire pour un homme et tu t’en es relevé, tu as survécut pour vivre à nouveau et aimé à nouveau. Sans doute aurais-je d’avantage soigné ce trésor que j’avais si j’avais eu conscience de sa valeur. Je n’ai pas été à la hauteur ni digne de ce magnifique présent que tu me faisais … Je t’avoue même que je t’en ai voulus de m’avoir caché quelques choses de si important, bien que tu te sois ouvert à moi plus que tu ne l’avais jamais fait depuis longtemps … Sans doutes ais-je trop attendus de toi et surtout trop tôt. Même si concrètement toi et moi n’avons jamais rien envisagés … Pas même le fait de venir un jour à vivre ensemble … Nous n’avions même pas « officialisé » notre relation … Je crois même ne pas me souvenir de m’être un jour promené main dans la main avec toi sur le chemin de traverse … Tu avais sans doute peur et moi en un sens, peur de te perdre alors que je voulais tout l’inverse de ce qui est arrivé. Au début tout du moins. Je doutais constamment de toi Elidore et de tes sentiments … Ne vas pas croire que je suis vaniteuse ou autre, mais je sais à quoi je ressemble, je le vois tous les jours dans les regards des membres de la gent masculine que je croise. C’est de famille, une beauté du diable dit-on, une vraie malédiction, car je n’ai jamais été certaine des sentiments des autres garçon que je fréquentais à cause de ça … Etaient-ils avec moi pour moi ou pour mon physique ? Je préfère ne pas compter le nombre de fois où je me suis donnée … Toujours avec passion oui mais jamais avec amour, et jamais non plus en face je n’ai su si j’avais été aimé ou simplement désirée avec passion. Puis je t’ai rencontré, en ta présence impossible d’être maîtresse de moi même, mon cœur s’emballait et mes jambes avaient du mal à vouloir me portée. Je me souviendrai toujours du début de l’année dernière … J’avais décidé que le cours de DCFM était superflu étant donné que sept ans durant j’avais étudié la magie noire, puis je t’ai croisé dans les couloirs du château ; c’est à ce moment là seulement que j’ai trouvé une bonne raison d’aller à ce cours : Toi.
La suite, tu l’a connais … Je dois juste t’avouer avoir légèrement bridé mes connaissances durant tes cours, notamment au sujet des impardonables, comme tu as pu le constater lors de cette fameuse nuit au cimetière, je maîtrise plutôt bien ces trois sortilèges. Pour contre pour ma rune ce n’était pas un mensonge, c’est bien avec toi que j’ai appris à la maîtriser, bien que je doive continuer à y travailler. Même si en ce moment je n’ai pas trop le loisir de m’y consacrer.
Nous avons arrêté une date pour le mariage, il aura lieu le 28 décembre, c’est proche et les préparatifs prennent beaucoup d’espace dans mon quotidien, surtout qu’il est possible que j’ai a retoucher la robe au dernier moment selon le volume qu’aura mon ventre à cette date … Mais bon nous verrons bien le jour venu. Par ailleurs j’ai totalement transformé la bibliothèque de l’école (c’est là que je travaille) et à dire vrai c’est à cela que je consacre tout ou partie de mon énergie magique quotidienne. A terme j’aurais modifié totalement sa structure magique pour en faire un vaste espace circulaire organisé autour d’un bureau dans lequel je pourrais tout surveiller, puis j’ai supprimer la réserve pour y placer l’atelier d’initiation aux runes que je tiens également. Toi qui connais les lieux et qui sais combien ils sont imprégnés magiquement tu peux t’imaginer combien il est difficile ne serait-ce que d’abattre une simple cloison … Mais je fait attention à ne pas dépasser les limites et ne pas m’épuiser …
Contrairement à l’année dernière, j’ai d’ailleurs quelques choses à te dire à ce propos … Tu te souviens de cette fameuse nuit avec les centaures ? Biensûre que tu t’en souviens … Cette nuit là je suis tombée d’épuisement et s’en sont suivis trois longue journée à l’infirmerie. A cette époque quand tu m’a demandé pourquoi ma convalescence avait été si longue je t’ai dit que c’était le temps qu’avait mit mon flux magique à se régénérer. Ce jour là je t’ai menti. En réalité je te mentais depuis deux mois et demis … Cela faisait deux moi et demis que je me fatiguais très vite et j’en connaissais la réponse … A cette époque j’aurais du te parler et surtout lever le pied. Mais je ne pouvais pas, j’avais trop peur de ta réaction si jamais je te parlais. La vérité Elidore est que cette nuit là si j’ai d’abord refusé de t’accompagné c’est parce que j’étais fatiguée et que je savais … J’attendais un enfant. Un enfant de toi … Je le savais depuis un peu plus de 2 mois, et cette nuit là je l’ai perdu … Oui … J’ai perdu notre enfant et une bonne partie de mon amour propre … Non seulement je t’avais mentis et continais à le faire mais plus que tout j’ étais, je suis, responsable de la perte de cet enfant … Alors je me suis relevée, seule … Tu n’avais pas à vivre cela. Voilà, une fois de plus nous sommes quittes. Une partie de toi qui m’aide à te comprendre m’as été révélée alors je te confie en retour ce que j’estime devoir te dire absolument et surtout le faire tant qu’il est encore temps.

Peut être cela va-t-il te faire réfléchir … Au fait pas exemple qu’a toujours vivre dans le passé on finit par le voir se reproduire continuellement … Sauf que cette fois comme l’a justement soulignée Sankara j’ai perdu ton enfant mais pour le moment je suis en vie et en sécurité à Poudlard. Cela pourrait aussi te faire réfléchir au fait que a refuser ton passé tu passes à côté de ton présent. Le passé est le passé, si douloureux soit-il, tu dois te débarrasser de ta culpabilité d’avoir survécut. Pourquoi t’empêcher de vivre par ce que tu as perdu des êtres cher à ton cœur ? Tu devrais au contraire vivre plus intensément encore, prendre conscience de la chance d’être en vie …

Je vais te laisser méditer là dessus, le soleil se lève et pour moi la journée va commencer.

A toi plus que jamais,
Lyzandra.

PS : je me doute bien dans quel état va te mettre cette lettre, et j’espère qu’au bout du compte cela te permettra de réagir pour toi même … Mais si tu veux en discuter plus avant avec moi je met en la possession de ton guide le moyen de le faire, ainsi tu n’auras pas a revenir en Angleterre si tu veux d’avantage d’explication, pas plus que tu ne casseras la promesse faîtes à Akira. Il s’agit d’un procédé relativement simple tu verras, il va de falloir faire brûler le contenu du sachet comme si c’était de l’encens, puis d’en respirer la fumée. Tu tomberas dans un sommeil profond dont nul ne pourra te tirer. C’est alors que tu commenceras à rêver ; et je serais prête à répondre à toutes tes questions. Pour ton réveil ne t’en fait pas, il dépend de ta seule volonté, il est par contre possible qu’au matin tu ais un léger mal de crâne qui passera en quelques heures. Le soir où tu auras décider d’utiliser le processus je le saurais grâce à ce lien qui existe entre nous. Je t’attends donc en rêve car je sais que tu viendras, tôt ou tard, mais tu viendras … Pour la même raison qui fait que tu as répondus à ma précédente lettre et pour la même raison qui fait qu’a mon tour je te renvois un courrier

A très bientôt donc, d’ici là prend bien soins de toi.

Elle mit la lettre dasn une enveloppe et saisit au passage une petite bourse qu'elle joindrait au courrier que Sankara allait apporter en rentrant en Norvège.
Elle lui indiquat quelle marche à suivre et lui confiat le courrier et la précieuse poudre.

[ C'est bon, tu t'es bien déchaînée ? Laughing

]

.: Sankara :.

La louve fit une dernière révérence à la jeune hongroise, prenant la lettre, avant de s'envoler vers la Norvège, avant de transplaner quand elle le pu.