02. Même Sang

— ADMINISTRATRICE —

-Et en plus il y croit...

Railla-elle en levant un sourcil sur un ton sarcastique. Puis elle se tournat à nouveau fit trois pas avant de se retourner vers Quénodore en dégageant ses cheveux sutr le côté.

-Regardez le bien, car c'est ce que vous vous en tiendrez faire...

Dit-elle en se donnant un petite tape sur les fesses, avant de continuer à marcher tranquillement en direction de son mari, les cheveux toujours dégagés.

« Rah … c’est pas ce que tu disais y a pas si longtemps … »

L’animagus se mordit la lèvre inférieur, tentant d’étouffer un ricanement, de cacher un nouveau sourire. Il secoua négativement la tête, soupirant à moitié. Irremplaçable, c’était le terme. Elle était irremplaçable. Et lui, il était horrible. Il s’en voulut, pendant quelques secondes, d’être aussi arrogant avec elle, de paraître si immature.

« A la prochaine foi, Lyzzie … »

— ADMINISTRATRICE —

Elle sentit se rune chauffer et la voie du norvégien résonnat dans la tête de Lyzandra qui se figeat sur place avant de faire une fois de plus demi tour et retourner vers Quénodore.
Le regard menaçant elle fit sortir ses crocs, il avait visiblement prit le controle de sa rune et ses attaques magiques se révélaient innéfficace pour de mysterieuses raisons, mais il lui restait tout de même se spouvoirs vampirique, et pour l'instant la jeune hongroise ne voyait pas trop comment il pourrait le sneutraliser, elle n'avait aucune des faiblesses qui étaient le lot de ses cousins appartenants au monde des ténèbres.

-Comment faites-vous cela ???

Articulat-elle.

Lyzandra voulait comprendre.

Elidore eu un léger mouvement de recul en voyant la jeune hongroise arriver comme une furie. Il souleva les sourcils en voyant ses crocs vampiriques ressortit.

- Je crois que tu m’as encore jamais mordu avec ça …

Dit-il avec un sourire, en désignant les crocs

— ADMINISTRATRICE —

-Très amusant vraiment...

Laissa-t-elle tombé méprisante.
Elle secouat la tête de gauche à droite,elle ne voulais pas le brutalisé en utilisant ses "discplines", chez les vapires on ne parlait pas de pouvoirs à proprement parlé, mais de discciplines maitrisées ou non...

-Vouyons si ça vous amuse aussi...

Elle déclenchat une aura de majesté en concentrant toute la puissance sur le norvégien, qui tomba à genou et courbat l'échine devant la jeune hongroise.

-Maintenant dites-moi comment avez-vous prit le controle de ma rune et ce que vous en savez !!!

Bien sur rien ne l'obligeait à répondre et manteant elle se doutait qu'il allait se relever...

Il c’était laissez tomber à genoux, à quatre patte. En même temps, il n’avait pas tellement eu le choix. Pendant quelques secondes, il se demanda comment il allait faire pour se sortir de cette situation. Il ne chercha pas longtemps. A jouer comme ça avec le feu il allait finir par ce bruler. Pourtant, il aimait ça. Il resta à genoux, releva la tête pour regarder Lyzandra droit dans les yeux.

- Allons Lyzzie … qu’est ce que tu veux que je fasse dans cette position … je vient de te promettre que j’arrêtais …

Il baissa la tête, pour rire doucement.

— ADMINISTRATRICE —

-Oui juste avant de commencer à parler de mes fesses, et pas que de ça évidemment...

Répondit-elle avec un regard noir, du tac au tac.

-Et si cette position vous convint tant mieux... En même temps je comprends, vous devez en avoir l'habitude... Wouf ! Hein...

Elle soufflat de lassitude en faisant allusion au fait qu'il soit resté à genous devant elle.
Au milieu de cette bataille la scène prettait presque à rire, Lyzandra pensait avori fait sa part de traval pour l'ordre, elle volait s'amuser... Son ancien professeur... POurquoi pas, il vallait un autre pantin et lui au moins avait du répondant.

Il leva les yeux au ciel, avant de décider de s’allonger sur le sol. Il posa sa tête contre le bitume chauffé par les rayons du soleil. Si le vent était rare quelque centimètre plus haut, au raz-du-sol ce mot ne devait même pas exister.

- Rah oui … tes fesses …

Dit-il en soupirant

- Elles me manquent d’ailleurs …

Ajouta-t-il tout en restant allongé, le dos contre le sol.

— ADMINISTRATRICE —

Elle franchit la faible distance qui le séparait, opur venir se mettre debout au dessus de lui, les jabes de part et d'autre de son corps au niveau de sa ceinture.

-Et qu'est-ce qui vous manque d'autre... Tant que nous y sommes hein... Vous avez l'air d'avoir une imagination plutot développée quand il s'agit de moi... Alors allez-y... Dites moi ce que vous savez de moi Elidore Quénodore... ?

Elle était grinçante, elle jouit avec sa proie... Ses instinct se réveillaient, elle aimait ça, elle ricannat doucement en baissant les yeux sur Quénodore.

Elidore commença à faire mine de réfléchir. Il commença à faire une liste sur ses doigts

- Les griffures … ça c’était cool … surtout quand tu les soignais … et les « Mon Roudoudou en Sucre » aussi … les chemises sans boutons … les réveilles en douceur … ah les sorties nocturnes, inoubliable, … je crois que c’est tout …

Au fur et à mesure qu’il avait cité, il changeait de doigt, il fut obliger de changer de main pour le dernier point. Le jeune homme avait dit les derniers mots en redressant la tête, comme pour demander son avis à la jeune hongroise.

— ADMINISTRATRICE —

Elle se laissat tomber à genoux au dessus de Quénodore, crispant légèrement son visage après le choc.
Elle atrappa le norvégien par le col du T-shirt et le redressat jusqu'a elle.

-Vous n'êtes qu'un pervers !!!

Vocifera-t-elle. La seule explication était que cet homme ait été suffisament atteint pour aller l'espionner chez elle ce qui était un exploit et deuxièmement sans se faire voir ou reperer...

Son cœur fit un bond en sentant les mains de la jeune hongroise sur son col. La proximité soudaine n’avait pas le même sens pour les deux, mais qu’importe. Encore une fois, un sourire ce dessina sur les lèvres du jeune homme.

- C’est un compliment ?

Demanda Quénodore en soulevant les sourcils. Il sentit l’hongroise se crisper un peu plus sur ses vêtements.

— ADMINISTRATRICE —

-Vous etes méprisable !

Elle le raprochat un peu plus d'elle, comme pour le percer un peu plus du regard. Il se laissait aller de son poids, elle le mainteanait d'une seule main...

-Répondez à ma question et dites moi ce que vous savez sur cette foutue rune !!!

Au niveau du col du t-shirt elle ressera aussi la tortion, a présent le tissu comprimait légèrement la gorge du norvégien à l'imposante carrure.
A les regarder sans les connaitre sur un pur rapport de force, peu de gen auraient donnés Lyzandra gagnante, et pourtant, à ce niveau elle étaitcertaine d'être à armes égales avec lui.

Elle l’avait à présent tellement rapproché qu’il pouvait sentir son souffle sur son visage. Elidore resta un moment sans bouger, sans parler, hésitant à répliquer une nouvelle provocation. Elle avait peut être eu son taux de haine pour la journée, voir même la semaine … mais en même temps, c’était Lyzandra. Pourtant, Quénodore repris un moment son sérieux.

- D’accord … d’accord … tu veux savoir, tu vas savoir. Mais je te préviens, ne vient pas après me dire que je mens ou quoi que se soit, je t’ai prévenue tout a l’heure que tu ne me croirais pas.

Commença-t-il.

- Imagine, considère-moi, l’espace de 5 minutes, comme un homme neutre, ni Mangemort, ni Membre de l’Ordre. Dit-moi Lyzandra, de quoi exactement te souviens-tu de l'année dernière ?

— ADMINISTRATRICE —

-Tout ce que je dirais c'est que vous etes encore pire dans votre vie quotidienne que pendant vous cours, et qu'ils ont étés pour moi salutaire car votre enseignement me rappelait Durmstrang, rendant de ce fait l'adaptation moins difficile.

Dit-elle après avoir relaché légèrement son etreinte sur le col du norvégien.

-Et pourquoi est-ce que vous me parlez de ce dont je me souviens quel rappart entre mes ouenirs et ma rune...

Soudainement ce n'était plus au mangemort qu'elle parlait, mais au professeur qu'il avait été. Elidore Quénodore, elle l'avait toujours pensé, était un homme plein de contradiction, et aussi très clairement un homme qu'elle ne laissait pas indifférent. De ce fait si elle était plsu douce alors sans douet serait-il plus enclin à parler.

- D’accord. Tu ne te souviens donc de rien.

Résuma-t-il. La pression qu’elle faisait sur son col diminua un peu. Le jeune homme avait senti la tension descendre d’un seul coup. La jeune hongroise s’était ouverte, et elle l’écoutait. L’animagus resta un moment silencieux, il ne savait pas tellement par où commencer, ni se qu’il devait ou non lui dire.

- La rune dans ton dos nous lie tous les deux. Ça explique pourquoi je peux contrôler ta rune, et pourquoi tu es incapable de m’attaquer magiquement. Ce n’est cependant pas réciproque.

Dit-il simplement.

- Le rapport avec tes souvenirs, c’est que cette rune à engendrée pas mal de choses, choses, dont tu ne te souviens plus.

Il resta là-dessus, silencieux.

— ADMINISTRATRICE —

Lyzandra secouat une fois de plus la tête en esquissant un sourire ravageur et enjoleur.

-Et je suppose que vous avez du trouvé ça amusant d'apposer ce genre de marque... Dites moi professeur était-ce juste pour savoir si vous etiez capable d'executer une action si complexe ou alors par pure perversion et par vice pour peut-être un jour me mettre dans votre lit ?...

Avait-elle laissé tombé d'un doux et calme pourtant en lui lançant un regard perçant et très profond. Elle eut un petit rire, typique.

-Au moins jamais personne n'était allé si loin pour être sur que je lui appartienne... Vous avez ce mérite...

Le Mangemort resta un moment sans voix, interloqué. Il venait de comprendre ce qu’elle avait compris. Il finit par froncer les sourcils. Son point de vue sur la rune était assez particulier. Elle lui permettait de resté lier à Lyzandra … pour le meilleur et pour le pire. En fin de compte, cette rune l’avait empêchée d’avoir une autre vie, une autre vie qu’il aurait choisie. Pourtant, Lyzandra elle y était parvenue. Devait-il en conclure qu’elle avait … plus de volonté que lui ? Il jugea soudainement la question hors-contexte, se reprit. Sans faire de commentaires sur ce qu’il pensait de la rune, sans répondre non plus à la question de la jeune femme, il la reprit.

- Ce n’est pas moi qui ai posé la rune.

— ADMINISTRATRICE —

-Savez-vous qui a posé cette rune et qu'est-ce que c'est que cette histoire de lien ???

Il lui avait fallu du temps pour se calmer, mais elle fit rentrer ses crocs et reprit une apparence normale san toute fois lacher Quénodore. Autour d'eux il y avait un peu moins de bruit, elle ne prit pasla peine de regarder pourquoi gardant son regard fixé sur le norvégien. Oui elle s'était calmée.

Hors Rp : oui mais pour combien de temps...

- Oui … et oui

Répondit Elidore. Il posa ses avant bras sur le sol, afin de se maintenir seul, pour ne pas avoir à être dépendant de la jeune hongroise pour assurer son équilibre, car si elle était relativement calme et douce là, tout de suite, la suite de la discutions risquait d’être à nouveau brutale : elle poserait des question, et lui refuserait de lui donner les réponses.

— ADMINISTRATRICE —

Elle se décida à lacher prise voulant lui prouver que bien que restant sur la défensive vis à vis de lui, elle n'était plus agressive. Il était plus grand qu'elle ne l'avait imaginé, plus musclé aussi, assise sur lui sur elle avait l'impression de ne rien peser à ses yeux.

-Dites moi qui a posé cette rune s'il vous plait.

Lui demanda-t-elle sans avoir lahcé son regard, toujours calme tant que lui le restait.

Elle était si mignonne comme ça, dans cette position, à le vouvoyer et à lui dire s’il vous plait … mais …

- Non

Répondit-il simplement, calmement. Il devina déjà que le calme n’allait pas resté bien longtemps.

- T’en sais déjà assez. De toute façon, tu n’as presque jamais connus la personne qui t’a posé cette rune. Et puis, sur un plan un petit peu plus personnel … je ne vois aucun avantage à te le dire …

— ADMINISTRATRICE —

-Oui vous perdriez cet avantage que vous avez sur ma rune et qui est précieux aux mangemorts... Je comprends, nous appartenons à des camps différents, et vous savez des choses à mon sujet qui m'ontriguent, surtout que vous même sembliez depuis peu ne plus vouloir me lacher. Voilà pourquoi précisément moi non plus je ne vous lacherai pas... Un vieil adage dit de garder ses amis au frais et ses ennemis sous le coude. Je vous garde sous le coude professeur.

Dit-elle aec une légère pointe d'ironie, seulement sur la denrière phrase, mais qui n'entachat pas la sérénité du reste de ces propos. Après tout Lyzandra disposait maintenant de bonne spistes pour entamer ses recherches au sujet de cette rune,visiblement pas si anodine que ça... Et ça avait un lien avec Quénodore, il l'avait admit lui même.

L’animagus leva les yeux au ciel, soupirant à moitier.

- Je t’ai demandé de ne pas me considérer comme un Mangemort pendant 5 minutes. Les 5 minutes sont pas passées

Lui rappela-t-il. Il reposa sa tête sur le béton, observant un moment le ciel. Elle le gardait sous le coude, c’était le cas de le dire, peut être pas au sens propre, mais au sens figuré.

- On risque de rester longtemps comme ça …

L’informa-t-il. Il n’avait pas l’intention de céder, et il la connaissait assez pour savoir qu’elle non plus.

— ADMINISTRATRICE —

-Vous revoilà devenu grinçant... Curieusemnt ça ne m'avait pas manqué... Durant ces cinq minutes j'aurais presque pu penser que vous n'étiez peut-être pas ce que vous prétendez...

Elle fit à nouveau ressortir ses crocs.

-Et comme vous l'avez judicieusement rappeller ces minutes appartiennent au passé, vous voilà redevenu mon ennemit.

Avant qu'il n'ait pu faire quoi que se soit elle s'était jetté sur sa gorge plantant ses canines dans son coupour immédiatement les retirer et commencer à absorber le sang de l'animagus.