[— JOUEUR / JOUEUSE —]

Black Swan | Megadeth


J’atterris, sur l’île de Drear, comme prévu. Enfin, je vais d’ailleurs vous expliquer pourquoi je suis sur cette mystérieuse et magique île.

Il y a quelques jours, un gars des renseignements vint voir Sophia, alors que je parlais avec elle d’une attaque des Mangemorts. Selon lui, l’Ordre du Phoenix, allez envoyer un éclaireur sur l’île de Drear pour qu’ils y fassent un nouveau QG, protéger par la magie de cette île et par leurs propres sorts. Sophia me regarda donc, j’haussais des sourcils, je savais ce que signifiait ce regard … J’acceptai d’un mouvement de tête, elle congédia le type des renseignements et alors nous commençâmes à prévoir mon départ …

Je devais avoir avec moi tout l’équipement possible et dont j’avais besoin, car une fois sur l’île je serais coupé du monde, je ne pourrais envoyer aucun message, aucun hibou, et je ne pourrais revenir chez les Wallender qu’une fois l’Ordre partit de l’île, et pour cause, Sophia et Bale voulaient cette île pour en faire une base secrète où seraient gardés par de puissants sorts et esprits toutes les archives des Wallender, et où les Wallender y ferait une prison de guerre, un habitat pour ses membres avec des centaines d’appartement et une immense bibliothèque où règneraient des livres de magie allant de la plus pure des magies aux sombres Horcruxes !

Mon frère, vint me voir l’avant-veille de mon départ pour me souhaiter bonne chance, je lui souris, il était déjà un homme, nous n’avions qu’un an et demi de différence, mais malgré sa jeunesse je pouvais lire dans ses yeux, cette soif de vengeance, exactement la même que j’avais moi et que j’ai toujours. Il n’était pas bien gradé au sein de l’organisation mais il s’en foutait, tout ce qu’il voulait c’est avoir la peau des Mangemorts et des membres de l’Ordre, après le reste peu lui importait !

Il y a quelques mois, je lui conseillai de sortir un peu de sa bulles et sortir en ville, rencontrer du monde, sortir avec une fille ! Enfin faire ce qu’un adolescent de dix-sept ans devait faire, mais « Non », ainsi m’avait-il répondu, il restait dans sa chambre, perfectionnant de jours en jours ses pouvoirs. Le pauvre, à cause de personnes ne pensant qu’au « bien » ils s’étaient tous les deux retrouvés là, à échafauder des plans pour venger leur parents, au lieu de s’amuser et vivre leur jeunesse …

Le bien … C’est une question de relativité, le Lord peut très bien dire que ce qu’il fait est bien, c’est son point de vue ! Chacun peut dire que ce qu’il fait est bien, le monde entier peut nier une vérité et la dire mauvaise. Mais est-ce pourtant le bien et le mal ? Non, ce sont des points de vues, très subjectifs selon les personnes, c’est aussi simple que ça. Le bien n’existe qu’en amour où la fidélité peut-être considéré comme « bien » ; le mal n’existe que dans la mort où les meurtres sont considérés comme « mal » ! Et c’est pourquoi mon frère et moi nous nous battons, nous nous battons pour venger le mal qui nous a été fait : le meurtre de nos parents, qui n’avaient rien à voir dans cette guerre de sorciers, car eux étaient des Moldus.

Ainsi donc me voici sur l’île de Drear, incroyable île, mystérieuse île, mystique île, belle île, splendide île, magique île ! Ces étendues vertes s’allongeaient jusqu’à la lisère de la forêt à l’est, à l’ouest les plaines s’arrêtaient avec de terribles falaises, au nord une plage stoppaient les herbes et au sud les montagnes se faisaient maîtres des lieux.

Oui l’île de Drear est une incroyable île, il y avait des tonnes de cachettes pour y installer un quartier général, et quel quartier ! On pouvait ici cacher trois Poudlard sans qu’on le remarque, les montagnes peuvent les abriter, dans la forêt, on pouvait y cacher des appartements dans les creux des arbres tellement ceux-ci sont grands et énormes, sur les plaines, on pouvait y installer des pièges pour ceux qui oseraient venir, dans les falaises des armes automatiques qui s’actionneraient à coup de baguette, et sur la plage des sorts-pièges attraperaient quiconque qui ne doit pas venir !

Enfin bref tout cela était pur et simple fantasme, bien que le fantasme soit permis, je devais me concentrer sur ma tâche et ne pas louper le membre de l’Ordre qui allait venir !

Quand soudain, un bruit me vint d’un buisson, juste derrière moi, j’étais caché parmi les arbres, je me tournai donc pour voir ce mystérieux être … Ce n’était qu’un écureuil … En me tournant, prenant ainsi ma pose première, je découvris qulqu’un … Une femme, à la lisère de la forêt, elle observait les bois comme si elle m’avait découvert, je me cachais donc sans faire de bruit, attendant ainsi qu’elle fasse le premier pas …

Ce dont j’étais sur, c’est qu’elle était le membre de l’Ordre que j’attendais, je ne savais pas pourquoi, mais mon intuition me le confiait …

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J’atterris, sur l’île de Drear, comme prévu. Enfin, je vais d’ailleurs vous expliquer pourquoi je suis sur cette mystérieuse et magique île.

Il y a quelques jours, un gars des renseignements vint voir Sophia, alors que je parlais avec elle d’une attaque des Mangemorts. Selon lui, l’Ordre du Phoenix, allez envoyer un éclaireur sur l’île de Drear pour qu’ils y fassent un nouveau QG, protéger par la magie de cette île et par leurs propres sorts. Sophia me regarda donc, j’haussais des sourcils, je savais ce que signifiait ce regard … J’acceptai d’un mouvement de tête, elle congédia le type des renseignements et alors nous commençâmes à prévoir mon départ …

Je devais avoir avec moi tout l’équipement possible et dont j’avais besoin, car une fois sur l’île je serais coupé du monde, je ne pourrais envoyer aucun message, aucun hibou, et je ne pourrais revenir chez les Wallender qu’une fois l’Ordre partit de l’île, et pour cause, Sophia et Bale voulaient cette île pour en faire une base secrète où seraient gardés par de puissants sorts et esprits toutes les archives des Wallender, et où les Wallender y ferait une prison de guerre, un habitat pour ses membres avec des centaines d’appartement et une immense bibliothèque où règneraient des livres de magie allant de la plus pure des magies aux sombres Horcruxes !

Mon frère, vint me voir l’avant-veille de mon départ pour me souhaiter bonne chance, je lui souris, il était déjà un homme, nous n’avions qu’un an et demi de différence, mais malgré sa jeunesse je pouvais lire dans ses yeux, cette soif de vengeance, exactement la même que j’avais moi et que j’ai toujours. Il n’était pas bien gradé au sein de l’organisation mais il s’en foutait, tout ce qu’il voulait c’est avoir la peau des Mangemorts et des membres de l’Ordre, après le reste peu lui importait !

Il y a quelques mois, je lui conseillai de sortir un peu de sa bulles et sortir en ville, rencontrer du monde, sortir avec une fille ! Enfin faire ce qu’un adolescent de dix-sept ans devait faire, mais « Non », ainsi m’avait-il répondu, il restait dans sa chambre, perfectionnant de jours en jours ses pouvoirs. Le pauvre, à cause de personnes ne pensant qu’au « bien » ils s’étaient tous les deux retrouvés là, à échafauder des plans pour venger leur parents, au lieu de s’amuser et vivre leur jeunesse …

Le bien … C’est une question de relativité, le Lord peut très bien dire que ce qu’il fait est bien, c’est son point de vue ! Chacun peut dire que ce qu’il fait est bien, le monde entier peut nier une vérité et la dire mauvaise. Mais est-ce pourtant le bien et le mal ? Non, ce sont des points de vues, très subjectifs selon les personnes, c’est aussi simple que ça. Le bien n’existe qu’en amour où la fidélité peut-être considéré comme « bien » ; le mal n’existe que dans la mort où les meurtres sont considérés comme « mal » ! Et c’est pourquoi mon frère et moi nous nous battons, nous nous battons pour venger le mal qui nous a été fait : le meurtre de nos parents, qui n’avaient rien à voir dans cette guerre de sorciers, car eux étaient des Moldus.

Ainsi donc me voici sur l’île de Drear, incroyable île, mystérieuse île, mystique île, belle île, splendide île, magique île ! Ces étendues vertes s’allongeaient jusqu’à la lisère de la forêt à l’est, à l’ouest les plaines s’arrêtaient avec de terribles falaises, au nord une plage stoppaient les herbes et au sud les montagnes se faisaient maîtres des lieux.

Oui l’île de Drear est une incroyable île, il y avait des tonnes de cachettes pour y installer un quartier général, et quel quartier ! On pouvait ici cacher trois Poudlard sans qu’on le remarque, les montagnes peuvent les abriter, dans la forêt, on pouvait y cacher des appartements dans les creux des arbres tellement ceux-ci sont grands et énormes, sur les plaines, on pouvait y installer des pièges pour ceux qui oseraient venir, dans les falaises des armes automatiques qui s’actionneraient à coup de baguette, et sur la plage des sorts-pièges attraperaient quiconque qui ne doit pas venir !

Enfin bref tout cela était pur et simple fantasme, bien que le fantasme soit permis, je devais me concentrer sur ma tâche et ne pas louper le membre de l’Ordre qui allait venir !

Quand soudain, un bruit me vint d’un buisson, juste derrière moi, j’étais caché parmi les arbres, je me tournai donc pour voir ce mystérieux être … Ce n’était qu’un écureuil … En me tournant, prenant ainsi ma pose première, je découvris qulqu’un … Une femme, à la lisère de la forêt, elle observait les bois comme si elle m’avait découvert, je me cachais donc sans faire de bruit, attendant ainsi qu’elle fasse le premier pas …

Ce dont j’étais sur, c’est qu’elle était le membre de l’Ordre que j’attendais, je ne savais pas pourquoi, mais mon intuition me le confiait …

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J’atterris, sur l’île de Drear, comme prévu. Enfin, je vais d’ailleurs vous expliquer pourquoi je suis sur cette mystérieuse et magique île.

Il y a quelques jours, un gars des renseignements vint voir Sophia, alors que je parlais avec elle d’une attaque des Mangemorts. Selon lui, l’Ordre du Phoenix, allez envoyer un éclaireur sur l’île de Drear pour qu’ils y fassent un nouveau QG, protéger par la magie de cette île et par leurs propres sorts. Sophia me regarda donc, j’haussais des sourcils, je savais ce que signifiait ce regard … J’acceptai d’un mouvement de tête, elle congédia le type des renseignements et alors nous commençâmes à prévoir mon départ …

Je devais avoir avec moi tout l’équipement possible et dont j’avais besoin, car une fois sur l’île je serais coupé du monde, je ne pourrais envoyer aucun message, aucun hibou, et je ne pourrais revenir chez les Wallender qu’une fois l’Ordre partit de l’île, et pour cause, Sophia et Bale voulaient cette île pour en faire une base secrète où seraient gardés par de puissants sorts et esprits toutes les archives des Wallender, et où les Wallender y ferait une prison de guerre, un habitat pour ses membres avec des centaines d’appartement et une immense bibliothèque où règneraient des livres de magie allant de la plus pure des magies aux sombres Horcruxes !

Mon frère, vint me voir l’avant-veille de mon départ pour me souhaiter bonne chance, je lui souris, il était déjà un homme, nous n’avions qu’un an et demi de différence, mais malgré sa jeunesse je pouvais lire dans ses yeux, cette soif de vengeance, exactement la même que j’avais moi et que j’ai toujours. Il n’était pas bien gradé au sein de l’organisation mais il s’en foutait, tout ce qu’il voulait c’est avoir la peau des Mangemorts et des membres de l’Ordre, après le reste peu lui importait !

Il y a quelques mois, je lui conseillai de sortir un peu de sa bulles et sortir en ville, rencontrer du monde, sortir avec une fille ! Enfin faire ce qu’un adolescent de dix-sept ans devait faire, mais « Non », ainsi m’avait-il répondu, il restait dans sa chambre, perfectionnant de jours en jours ses pouvoirs. Le pauvre, à cause de personnes ne pensant qu’au « bien » ils s’étaient tous les deux retrouvés là, à échafauder des plans pour venger leur parents, au lieu de s’amuser et vivre leur jeunesse …

Le bien … C’est une question de relativité, le Lord peut très bien dire que ce qu’il fait est bien, c’est son point de vue ! Chacun peut dire que ce qu’il fait est bien, le monde entier peut nier une vérité et la dire mauvaise. Mais est-ce pourtant le bien et le mal ? Non, ce sont des points de vues, très subjectifs selon les personnes, c’est aussi simple que ça. Le bien n’existe qu’en amour où la fidélité peut-être considéré comme « bien » ; le mal n’existe que dans la mort où les meurtres sont considérés comme « mal » ! Et c’est pourquoi mon frère et moi nous nous battons, nous nous battons pour venger le mal qui nous a été fait : le meurtre de nos parents, qui n’avaient rien à voir dans cette guerre de sorciers, car eux étaient des Moldus.

Ainsi donc me voici sur l’île de Drear, incroyable île, mystérieuse île, mystique île, belle île, splendide île, magique île ! Ces étendues vertes s’allongeaient jusqu’à la lisère de la forêt à l’est, à l’ouest les plaines s’arrêtaient avec de terribles falaises, au nord une plage stoppaient les herbes et au sud les montagnes se faisaient maîtres des lieux.

Oui l’île de Drear est une incroyable île, il y avait des tonnes de cachettes pour y installer un quartier général, et quel quartier ! On pouvait ici cacher trois Poudlard sans qu’on le remarque, les montagnes peuvent les abriter, dans la forêt, on pouvait y cacher des appartements dans les creux des arbres tellement ceux-ci sont grands et énormes, sur les plaines, on pouvait y installer des pièges pour ceux qui oseraient venir, dans les falaises des armes automatiques qui s’actionneraient à coup de baguette, et sur la plage des sorts-pièges attraperaient quiconque qui ne doit pas venir !

Enfin bref tout cela était pur et simple fantasme, bien que le fantasme soit permis, je devais me concentrer sur ma tâche et ne pas louper le membre de l’Ordre qui allait venir !

Quand soudain, un bruit me vint d’un buisson, juste derrière moi, j’étais caché parmi les arbres, je me tournai donc pour voir ce mystérieux être … Ce n’était qu’un écureuil … En me tournant, prenant ainsi ma pose première, je découvris qulqu’un … Une femme, à la lisère de la forêt, elle observait les bois comme si elle m’avait découvert, je me cachais donc sans faire de bruit, attendant ainsi qu’elle fasse le premier pas …

Ce dont j’étais sur, c’est qu’elle était le membre de l’Ordre que j’attendais, je ne savais pas pourquoi, mais mon intuition me le confiait …

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J’atterris, sur l’île de Drear, comme prévu. Enfin, je vais d’ailleurs vous expliquer pourquoi je suis sur cette mystérieuse et magique île.

Il y a quelques jours, un gars des renseignements vint voir Sophia, alors que je parlais avec elle d’une attaque des Mangemorts. Selon lui, l’Ordre du Phoenix, allez envoyer un éclaireur sur l’île de Drear pour qu’ils y fassent un nouveau QG, protéger par la magie de cette île et par leurs propres sorts. Sophia me regarda donc, j’haussais des sourcils, je savais ce que signifiait ce regard … J’acceptai d’un mouvement de tête, elle congédia le type des renseignements et alors nous commençâmes à prévoir mon départ …

Je devais avoir avec moi tout l’équipement possible et dont j’avais besoin, car une fois sur l’île je serais coupé du monde, je ne pourrais envoyer aucun message, aucun hibou, et je ne pourrais revenir chez les Wallender qu’une fois l’Ordre partit de l’île, et pour cause, Sophia et Bale voulaient cette île pour en faire une base secrète où seraient gardés par de puissants sorts et esprits toutes les archives des Wallender, et où les Wallender y ferait une prison de guerre, un habitat pour ses membres avec des centaines d’appartement et une immense bibliothèque où règneraient des livres de magie allant de la plus pure des magies aux sombres Horcruxes !

Mon frère, vint me voir l’avant-veille de mon départ pour me souhaiter bonne chance, je lui souris, il était déjà un homme, nous n’avions qu’un an et demi de différence, mais malgré sa jeunesse je pouvais lire dans ses yeux, cette soif de vengeance, exactement la même que j’avais moi et que j’ai toujours. Il n’était pas bien gradé au sein de l’organisation mais il s’en foutait, tout ce qu’il voulait c’est avoir la peau des Mangemorts et des membres de l’Ordre, après le reste peu lui importait !

Il y a quelques mois, je lui conseillai de sortir un peu de sa bulles et sortir en ville, rencontrer du monde, sortir avec une fille ! Enfin faire ce qu’un adolescent de dix-sept ans devait faire, mais « Non », ainsi m’avait-il répondu, il restait dans sa chambre, perfectionnant de jours en jours ses pouvoirs. Le pauvre, à cause de personnes ne pensant qu’au « bien » ils s’étaient tous les deux retrouvés là, à échafauder des plans pour venger leur parents, au lieu de s’amuser et vivre leur jeunesse …

Le bien … C’est une question de relativité, le Lord peut très bien dire que ce qu’il fait est bien, c’est son point de vue ! Chacun peut dire que ce qu’il fait est bien, le monde entier peut nier une vérité et la dire mauvaise. Mais est-ce pourtant le bien et le mal ? Non, ce sont des points de vues, très subjectifs selon les personnes, c’est aussi simple que ça. Le bien n’existe qu’en amour où la fidélité peut-être considéré comme « bien » ; le mal n’existe que dans la mort où les meurtres sont considérés comme « mal » ! Et c’est pourquoi mon frère et moi nous nous battons, nous nous battons pour venger le mal qui nous a été fait : le meurtre de nos parents, qui n’avaient rien à voir dans cette guerre de sorciers, car eux étaient des Moldus.

Ainsi donc me voici sur l’île de Drear, incroyable île, mystérieuse île, mystique île, belle île, splendide île, magique île ! Ces étendues vertes s’allongeaient jusqu’à la lisère de la forêt à l’est, à l’ouest les plaines s’arrêtaient avec de terribles falaises, au nord une plage stoppaient les herbes et au sud les montagnes se faisaient maîtres des lieux.

Oui l’île de Drear est une incroyable île, il y avait des tonnes de cachettes pour y installer un quartier général, et quel quartier ! On pouvait ici cacher trois Poudlard sans qu’on le remarque, les montagnes peuvent les abriter, dans la forêt, on pouvait y cacher des appartements dans les creux des arbres tellement ceux-ci sont grands et énormes, sur les plaines, on pouvait y installer des pièges pour ceux qui oseraient venir, dans les falaises des armes automatiques qui s’actionneraient à coup de baguette, et sur la plage des sorts-pièges attraperaient quiconque qui ne doit pas venir !

Enfin bref tout cela était pur et simple fantasme, bien que le fantasme soit permis, je devais me concentrer sur ma tâche et ne pas louper le membre de l’Ordre qui allait venir !

Quand soudain, un bruit me vint d’un buisson, juste derrière moi, j’étais caché parmi les arbres, je me tournai donc pour voir ce mystérieux être … Ce n’était qu’un écureuil … En me tournant, prenant ainsi ma pose première, je découvris qulqu’un … Une femme, à la lisère de la forêt, elle observait les bois comme si elle m’avait découvert, je me cachais donc sans faire de bruit, attendant ainsi qu’elle fasse le premier pas …

Ce dont j’étais sur, c’est qu’elle était le membre de l’Ordre que j’attendais, je ne savais pas pourquoi, mais mon intuition me le confiait …

[Données]

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J’atterris, sur l’île de Drear, comme prévu. Enfin, je vais d’ailleurs vous expliquer pourquoi je suis sur cette mystérieuse et magique île.

Il y a quelques jours, un gars des renseignements vint voir Sophia, alors que je parlais avec elle d’une attaque des Mangemorts. Selon lui, l’Ordre du Phoenix, allez envoyer un éclaireur sur l’île de Drear pour qu’ils y fassent un nouveau QG, protéger par la magie de cette île et par leurs propres sorts. Sophia me regarda donc, j’haussais des sourcils, je savais ce que signifiait ce regard … J’acceptai d’un mouvement de tête, elle congédia le type des renseignements et alors nous commençâmes à prévoir mon départ …

Je devais avoir avec moi tout l’équipement possible et dont j’avais besoin, car une fois sur l’île je serais coupé du monde, je ne pourrais envoyer aucun message, aucun hibou, et je ne pourrais revenir chez les Wallender qu’une fois l’Ordre partit de l’île, et pour cause, Sophia et Bale voulaient cette île pour en faire une base secrète où seraient gardés par de puissants sorts et esprits toutes les archives des Wallender, et où les Wallender y ferait une prison de guerre, un habitat pour ses membres avec des centaines d’appartement et une immense bibliothèque où règneraient des livres de magie allant de la plus pure des magies aux sombres Horcruxes !

Mon frère, vint me voir l’avant-veille de mon départ pour me souhaiter bonne chance, je lui souris, il était déjà un homme, nous n’avions qu’un an et demi de différence, mais malgré sa jeunesse je pouvais lire dans ses yeux, cette soif de vengeance, exactement la même que j’avais moi et que j’ai toujours. Il n’était pas bien gradé au sein de l’organisation mais il s’en foutait, tout ce qu’il voulait c’est avoir la peau des Mangemorts et des membres de l’Ordre, après le reste peu lui importait !

Il y a quelques mois, je lui conseillai de sortir un peu de sa bulles et sortir en ville, rencontrer du monde, sortir avec une fille ! Enfin faire ce qu’un adolescent de dix-sept ans devait faire, mais « Non », ainsi m’avait-il répondu, il restait dans sa chambre, perfectionnant de jours en jours ses pouvoirs. Le pauvre, à cause de personnes ne pensant qu’au « bien » ils s’étaient tous les deux retrouvés là, à échafauder des plans pour venger leur parents, au lieu de s’amuser et vivre leur jeunesse …

Le bien … C’est une question de relativité, le Lord peut très bien dire que ce qu’il fait est bien, c’est son point de vue ! Chacun peut dire que ce qu’il fait est bien, le monde entier peut nier une vérité et la dire mauvaise. Mais est-ce pourtant le bien et le mal ? Non, ce sont des points de vues, très subjectifs selon les personnes, c’est aussi simple que ça. Le bien n’existe qu’en amour où la fidélité peut-être considéré comme « bien » ; le mal n’existe que dans la mort où les meurtres sont considérés comme « mal » ! Et c’est pourquoi mon frère et moi nous nous battons, nous nous battons pour venger le mal qui nous a été fait : le meurtre de nos parents, qui n’avaient rien à voir dans cette guerre de sorciers, car eux étaient des Moldus.

Ainsi donc me voici sur l’île de Drear, incroyable île, mystérieuse île, mystique île, belle île, splendide île, magique île ! Ces étendues vertes s’allongeaient jusqu’à la lisère de la forêt à l’est, à l’ouest les plaines s’arrêtaient avec de terribles falaises, au nord une plage stoppaient les herbes et au sud les montagnes se faisaient maîtres des lieux.

Oui l’île de Drear est une incroyable île, il y avait des tonnes de cachettes pour y installer un quartier général, et quel quartier ! On pouvait ici cacher trois Poudlard sans qu’on le remarque, les montagnes peuvent les abriter, dans la forêt, on pouvait y cacher des appartements dans les creux des arbres tellement ceux-ci sont grands et énormes, sur les plaines, on pouvait y installer des pièges pour ceux qui oseraient venir, dans les falaises des armes automatiques qui s’actionneraient à coup de baguette, et sur la plage des sorts-pièges attraperaient quiconque qui ne doit pas venir !

Enfin bref tout cela était pur et simple fantasme, bien que le fantasme soit permis, je devais me concentrer sur ma tâche et ne pas louper le membre de l’Ordre qui allait venir !

Quand soudain, un bruit me vint d’un buisson, juste derrière moi, j’étais caché parmi les arbres, je me tournai donc pour voir ce mystérieux être … Ce n’était qu’un écureuil … En me tournant, prenant ainsi ma pose première, je découvris qulqu’un … Une femme, à la lisère de la forêt, elle observait les bois comme si elle m’avait découvert, je me cachais donc sans faire de bruit, attendant ainsi qu’elle fasse le premier pas …

Ce dont j’étais sur, c’est qu’elle était le membre de l’Ordre que j’attendais, je ne savais pas pourquoi, mais mon intuition me le confiait …

[Expérience]

Black Swan | Megadeth


J’atterris, sur l’île de Drear, comme prévu. Enfin, je vais d’ailleurs vous expliquer pourquoi je suis sur cette mystérieuse et magique île.

Il y a quelques jours, un gars des renseignements vint voir Sophia, alors que je parlais avec elle d’une attaque des Mangemorts. Selon lui, l’Ordre du Phoenix, allez envoyer un éclaireur sur l’île de Drear pour qu’ils y fassent un nouveau QG, protéger par la magie de cette île et par leurs propres sorts. Sophia me regarda donc, j’haussais des sourcils, je savais ce que signifiait ce regard … J’acceptai d’un mouvement de tête, elle congédia le type des renseignements et alors nous commençâmes à prévoir mon départ …

Je devais avoir avec moi tout l’équipement possible et dont j’avais besoin, car une fois sur l’île je serais coupé du monde, je ne pourrais envoyer aucun message, aucun hibou, et je ne pourrais revenir chez les Wallender qu’une fois l’Ordre partit de l’île, et pour cause, Sophia et Bale voulaient cette île pour en faire une base secrète où seraient gardés par de puissants sorts et esprits toutes les archives des Wallender, et où les Wallender y ferait une prison de guerre, un habitat pour ses membres avec des centaines d’appartement et une immense bibliothèque où règneraient des livres de magie allant de la plus pure des magies aux sombres Horcruxes !

Mon frère, vint me voir l’avant-veille de mon départ pour me souhaiter bonne chance, je lui souris, il était déjà un homme, nous n’avions qu’un an et demi de différence, mais malgré sa jeunesse je pouvais lire dans ses yeux, cette soif de vengeance, exactement la même que j’avais moi et que j’ai toujours. Il n’était pas bien gradé au sein de l’organisation mais il s’en foutait, tout ce qu’il voulait c’est avoir la peau des Mangemorts et des membres de l’Ordre, après le reste peu lui importait !

Il y a quelques mois, je lui conseillai de sortir un peu de sa bulles et sortir en ville, rencontrer du monde, sortir avec une fille ! Enfin faire ce qu’un adolescent de dix-sept ans devait faire, mais « Non », ainsi m’avait-il répondu, il restait dans sa chambre, perfectionnant de jours en jours ses pouvoirs. Le pauvre, à cause de personnes ne pensant qu’au « bien » ils s’étaient tous les deux retrouvés là, à échafauder des plans pour venger leur parents, au lieu de s’amuser et vivre leur jeunesse …

Le bien … C’est une question de relativité, le Lord peut très bien dire que ce qu’il fait est bien, c’est son point de vue ! Chacun peut dire que ce qu’il fait est bien, le monde entier peut nier une vérité et la dire mauvaise. Mais est-ce pourtant le bien et le mal ? Non, ce sont des points de vues, très subjectifs selon les personnes, c’est aussi simple que ça. Le bien n’existe qu’en amour où la fidélité peut-être considéré comme « bien » ; le mal n’existe que dans la mort où les meurtres sont considérés comme « mal » ! Et c’est pourquoi mon frère et moi nous nous battons, nous nous battons pour venger le mal qui nous a été fait : le meurtre de nos parents, qui n’avaient rien à voir dans cette guerre de sorciers, car eux étaient des Moldus.

Ainsi donc me voici sur l’île de Drear, incroyable île, mystérieuse île, mystique île, belle île, splendide île, magique île ! Ces étendues vertes s’allongeaient jusqu’à la lisère de la forêt à l’est, à l’ouest les plaines s’arrêtaient avec de terribles falaises, au nord une plage stoppaient les herbes et au sud les montagnes se faisaient maîtres des lieux.

Oui l’île de Drear est une incroyable île, il y avait des tonnes de cachettes pour y installer un quartier général, et quel quartier ! On pouvait ici cacher trois Poudlard sans qu’on le remarque, les montagnes peuvent les abriter, dans la forêt, on pouvait y cacher des appartements dans les creux des arbres tellement ceux-ci sont grands et énormes, sur les plaines, on pouvait y installer des pièges pour ceux qui oseraient venir, dans les falaises des armes automatiques qui s’actionneraient à coup de baguette, et sur la plage des sorts-pièges attraperaient quiconque qui ne doit pas venir !

Enfin bref tout cela était pur et simple fantasme, bien que le fantasme soit permis, je devais me concentrer sur ma tâche et ne pas louper le membre de l’Ordre qui allait venir !

Quand soudain, un bruit me vint d’un buisson, juste derrière moi, j’étais caché parmi les arbres, je me tournai donc pour voir ce mystérieux être … Ce n’était qu’un écureuil … En me tournant, prenant ainsi ma pose première, je découvris qulqu’un … Une femme, à la lisère de la forêt, elle observait les bois comme si elle m’avait découvert, je me cachais donc sans faire de bruit, attendant ainsi qu’elle fasse le premier pas …

Ce dont j’étais sur, c’est qu’elle était le membre de l’Ordre que j’attendais, je ne savais pas pourquoi, mais mon intuition me le confiait …

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

J'étais censée me reposer. Les temps étaient durs et mes nerfs eux, étaient à vif. Je passais mon temps dans mon laboratoire improvisé au fond de mon appartement, sur le Chemins de Travers. J'avais d'ailleurs frôlée la perfection dans la préparation de la portion Tue-Loup. C'était quand même jouissif de réussir une potion rare. Mais j'attendais désespérément qu'on me refile du travail. N'importe quoi. Me donner congé n'était pas une si MERVEILLEUSE idée que ça. Au contraire. Après avoir travaillé, tourné en rond dans l'appartement je m'ennuyais fermement. Quizz faisait des allés-retours à la maison pour me faire part des dernières nouvelles de l'Ordre. Remus en mission, tous les autres occupé... Et moi là comme une pauvre gourde à me rouler les pouces.

Ce n'est que deux semaines plus tard que Quizz transplana dans mon appartement, comme d'habitude. Jusque là je lui proposais un bol de chocolat chaud et je l'écoutais faire son rapport qui ressemblait plus à un récit particulièrement ennuyeux, le nez planqué dans le Chicaneur, lisant les faits divers, intéressants ou non. Ce jour là Quizz accepta mon bol de chocolat maison avec joie même mais me fit part d'une mission qui m'étais attribuée. Je lui balanca mon Chicaneur à la tête et me précipita sur lui pour l'embrasser. Mon elfe de maison batta des oreilles avant de boire son chocolat en me regardant me préparer. Ma mission du jour? Faire l'éclaireur sur l'île de Drear, s'assurer qu'elle est idéale pour construire un quartier général ou autre lieu de stratégie utile en temps de guerre. Sympa, digne d'une visite touristique, on y croirait presque. Je me saisis d'un jean noir particulièrement délabré, d'un haut noir simple et de mes Rangers. J'enfilais le tout à la va-vite avant de m'ébourriffer les cheveux d'avantage, de mettre le manteau de cuir de mon père et de transplaner, baguette en main, sur l'île.

J'arrivais alors dans un buisson. Super atterissage. C'est ça quand on est fatigué. Je me dépétrait en un saut digne des plus grands cascadeurs avant d'éclairer le tout d'un Lumos. Une lisière de forêt, plutôt jolie. On pouvait voir les rayons du jours percer les feuillages des arbres. Le décor semblait iréel, fantastique, digne des plus grands comptes merveilleux. Enfin presque. Je regardais autour de moi, le nez en l'air en piétinant, tournant sur moi même. Mais je sentais une présence. Quelqu'un peut être. Après tout le troisième point de ma mission était de retrouver quelqu'un non? Peut être me cherchait-il dans cette forêt? Facile de le savoir. Je levais ma baguette vers le ciel.

"Hominium revelio!"

Un sorcier et quelques animaux. Il ne me restais plus qu'à le trouver. Du coin de l'oeil je vis qu'un individu me surveillait. Un sourire s'esquissa sur mon visage. Il y avait 99.9% que cet individu soit mon contact mais je voulais le surprendre en plein "espionnage". Mon âme de tête brûlée restera à jamais en moi comme dit ma mère. Elle me manquait d'ailleurs ma mère. Je n'avais plus qu'elle, et Mia aussi. Mia et maman étaient partis de Grande Bretagne, chez un oncle moldu en Espagne. Se cacher des Mangemorts. Le fantasme de ma mère était qu'il n'y est des Mangemorts qu'en Grande Bretagne. C'est beau de rêver. Mia elle était trop jeune, voulait combattre comme ma digne petit soeur. Aussi intrépide que moi je comprenais sa frustration. Tellement occupé par mon "travail" de membre de l'Ordre que j'en oubliais presque les jumeaux qui avaient aussi du fil à retordre avec nos amis Death Eaters.

Je me déportais aussi vite que si j'avais transplané contre un arbre, avant de me déplacer habilement vers le fourret ou était caché mon pseudo-contact. Je tira ma baguette de ma manche et lui tapotat l'épaule avec. J'esquissa un sourire.

"Vous êtes le contact?"

[Localisation]

J'étais censée me reposer. Les temps étaient durs et mes nerfs eux, étaient à vif. Je passais mon temps dans mon laboratoire improvisé au fond de mon appartement, sur le Chemins de Travers. J'avais d'ailleurs frôlée la perfection dans la préparation de la portion Tue-Loup. C'était quand même jouissif de réussir une potion rare. Mais j'attendais désespérément qu'on me refile du travail. N'importe quoi. Me donner congé n'était pas une si MERVEILLEUSE idée que ça. Au contraire. Après avoir travaillé, tourné en rond dans l'appartement je m'ennuyais fermement. Quizz faisait des allés-retours à la maison pour me faire part des dernières nouvelles de l'Ordre. Remus en mission, tous les autres occupé... Et moi là comme une pauvre gourde à me rouler les pouces.

Ce n'est que deux semaines plus tard que Quizz transplana dans mon appartement, comme d'habitude. Jusque là je lui proposais un bol de chocolat chaud et je l'écoutais faire son rapport qui ressemblait plus à un récit particulièrement ennuyeux, le nez planqué dans le Chicaneur, lisant les faits divers, intéressants ou non. Ce jour là Quizz accepta mon bol de chocolat maison avec joie même mais me fit part d'une mission qui m'étais attribuée. Je lui balanca mon Chicaneur à la tête et me précipita sur lui pour l'embrasser. Mon elfe de maison batta des oreilles avant de boire son chocolat en me regardant me préparer. Ma mission du jour? Faire l'éclaireur sur l'île de Drear, s'assurer qu'elle est idéale pour construire un quartier général ou autre lieu de stratégie utile en temps de guerre. Sympa, digne d'une visite touristique, on y croirait presque. Je me saisis d'un jean noir particulièrement délabré, d'un haut noir simple et de mes Rangers. J'enfilais le tout à la va-vite avant de m'ébourriffer les cheveux d'avantage, de mettre le manteau de cuir de mon père et de transplaner, baguette en main, sur l'île.

J'arrivais alors dans un buisson. Super atterissage. C'est ça quand on est fatigué. Je me dépétrait en un saut digne des plus grands cascadeurs avant d'éclairer le tout d'un Lumos. Une lisière de forêt, plutôt jolie. On pouvait voir les rayons du jours percer les feuillages des arbres. Le décor semblait iréel, fantastique, digne des plus grands comptes merveilleux. Enfin presque. Je regardais autour de moi, le nez en l'air en piétinant, tournant sur moi même. Mais je sentais une présence. Quelqu'un peut être. Après tout le troisième point de ma mission était de retrouver quelqu'un non? Peut être me cherchait-il dans cette forêt? Facile de le savoir. Je levais ma baguette vers le ciel.

"Hominium revelio!"

Un sorcier et quelques animaux. Il ne me restais plus qu'à le trouver. Du coin de l'oeil je vis qu'un individu me surveillait. Un sourire s'esquissa sur mon visage. Il y avait 99.9% que cet individu soit mon contact mais je voulais le surprendre en plein "espionnage". Mon âme de tête brûlée restera à jamais en moi comme dit ma mère. Elle me manquait d'ailleurs ma mère. Je n'avais plus qu'elle, et Mia aussi. Mia et maman étaient partis de Grande Bretagne, chez un oncle moldu en Espagne. Se cacher des Mangemorts. Le fantasme de ma mère était qu'il n'y est des Mangemorts qu'en Grande Bretagne. C'est beau de rêver. Mia elle était trop jeune, voulait combattre comme ma digne petit soeur. Aussi intrépide que moi je comprenais sa frustration. Tellement occupé par mon "travail" de membre de l'Ordre que j'en oubliais presque les jumeaux qui avaient aussi du fil à retordre avec nos amis Death Eaters.

Je me déportais aussi vite que si j'avais transplané contre un arbre, avant de me déplacer habilement vers le fourret ou était caché mon pseudo-contact. Je tira ma baguette de ma manche et lui tapotat l'épaule avec. J'esquissa un sourire.

"Vous êtes le contact?"

[Nb de messages]

J'étais censée me reposer. Les temps étaient durs et mes nerfs eux, étaient à vif. Je passais mon temps dans mon laboratoire improvisé au fond de mon appartement, sur le Chemins de Travers. J'avais d'ailleurs frôlée la perfection dans la préparation de la portion Tue-Loup. C'était quand même jouissif de réussir une potion rare. Mais j'attendais désespérément qu'on me refile du travail. N'importe quoi. Me donner congé n'était pas une si MERVEILLEUSE idée que ça. Au contraire. Après avoir travaillé, tourné en rond dans l'appartement je m'ennuyais fermement. Quizz faisait des allés-retours à la maison pour me faire part des dernières nouvelles de l'Ordre. Remus en mission, tous les autres occupé... Et moi là comme une pauvre gourde à me rouler les pouces.

Ce n'est que deux semaines plus tard que Quizz transplana dans mon appartement, comme d'habitude. Jusque là je lui proposais un bol de chocolat chaud et je l'écoutais faire son rapport qui ressemblait plus à un récit particulièrement ennuyeux, le nez planqué dans le Chicaneur, lisant les faits divers, intéressants ou non. Ce jour là Quizz accepta mon bol de chocolat maison avec joie même mais me fit part d'une mission qui m'étais attribuée. Je lui balanca mon Chicaneur à la tête et me précipita sur lui pour l'embrasser. Mon elfe de maison batta des oreilles avant de boire son chocolat en me regardant me préparer. Ma mission du jour? Faire l'éclaireur sur l'île de Drear, s'assurer qu'elle est idéale pour construire un quartier général ou autre lieu de stratégie utile en temps de guerre. Sympa, digne d'une visite touristique, on y croirait presque. Je me saisis d'un jean noir particulièrement délabré, d'un haut noir simple et de mes Rangers. J'enfilais le tout à la va-vite avant de m'ébourriffer les cheveux d'avantage, de mettre le manteau de cuir de mon père et de transplaner, baguette en main, sur l'île.

J'arrivais alors dans un buisson. Super atterissage. C'est ça quand on est fatigué. Je me dépétrait en un saut digne des plus grands cascadeurs avant d'éclairer le tout d'un Lumos. Une lisière de forêt, plutôt jolie. On pouvait voir les rayons du jours percer les feuillages des arbres. Le décor semblait iréel, fantastique, digne des plus grands comptes merveilleux. Enfin presque. Je regardais autour de moi, le nez en l'air en piétinant, tournant sur moi même. Mais je sentais une présence. Quelqu'un peut être. Après tout le troisième point de ma mission était de retrouver quelqu'un non? Peut être me cherchait-il dans cette forêt? Facile de le savoir. Je levais ma baguette vers le ciel.

"Hominium revelio!"

Un sorcier et quelques animaux. Il ne me restais plus qu'à le trouver. Du coin de l'oeil je vis qu'un individu me surveillait. Un sourire s'esquissa sur mon visage. Il y avait 99.9% que cet individu soit mon contact mais je voulais le surprendre en plein "espionnage". Mon âme de tête brûlée restera à jamais en moi comme dit ma mère. Elle me manquait d'ailleurs ma mère. Je n'avais plus qu'elle, et Mia aussi. Mia et maman étaient partis de Grande Bretagne, chez un oncle moldu en Espagne. Se cacher des Mangemorts. Le fantasme de ma mère était qu'il n'y est des Mangemorts qu'en Grande Bretagne. C'est beau de rêver. Mia elle était trop jeune, voulait combattre comme ma digne petit soeur. Aussi intrépide que moi je comprenais sa frustration. Tellement occupé par mon "travail" de membre de l'Ordre que j'en oubliais presque les jumeaux qui avaient aussi du fil à retordre avec nos amis Death Eaters.

Je me déportais aussi vite que si j'avais transplané contre un arbre, avant de me déplacer habilement vers le fourret ou était caché mon pseudo-contact. Je tira ma baguette de ma manche et lui tapotat l'épaule avec. J'esquissa un sourire.

"Vous êtes le contact?"

[Bourse]

J'étais censée me reposer. Les temps étaient durs et mes nerfs eux, étaient à vif. Je passais mon temps dans mon laboratoire improvisé au fond de mon appartement, sur le Chemins de Travers. J'avais d'ailleurs frôlée la perfection dans la préparation de la portion Tue-Loup. C'était quand même jouissif de réussir une potion rare. Mais j'attendais désespérément qu'on me refile du travail. N'importe quoi. Me donner congé n'était pas une si MERVEILLEUSE idée que ça. Au contraire. Après avoir travaillé, tourné en rond dans l'appartement je m'ennuyais fermement. Quizz faisait des allés-retours à la maison pour me faire part des dernières nouvelles de l'Ordre. Remus en mission, tous les autres occupé... Et moi là comme une pauvre gourde à me rouler les pouces.

Ce n'est que deux semaines plus tard que Quizz transplana dans mon appartement, comme d'habitude. Jusque là je lui proposais un bol de chocolat chaud et je l'écoutais faire son rapport qui ressemblait plus à un récit particulièrement ennuyeux, le nez planqué dans le Chicaneur, lisant les faits divers, intéressants ou non. Ce jour là Quizz accepta mon bol de chocolat maison avec joie même mais me fit part d'une mission qui m'étais attribuée. Je lui balanca mon Chicaneur à la tête et me précipita sur lui pour l'embrasser. Mon elfe de maison batta des oreilles avant de boire son chocolat en me regardant me préparer. Ma mission du jour? Faire l'éclaireur sur l'île de Drear, s'assurer qu'elle est idéale pour construire un quartier général ou autre lieu de stratégie utile en temps de guerre. Sympa, digne d'une visite touristique, on y croirait presque. Je me saisis d'un jean noir particulièrement délabré, d'un haut noir simple et de mes Rangers. J'enfilais le tout à la va-vite avant de m'ébourriffer les cheveux d'avantage, de mettre le manteau de cuir de mon père et de transplaner, baguette en main, sur l'île.

J'arrivais alors dans un buisson. Super atterissage. C'est ça quand on est fatigué. Je me dépétrait en un saut digne des plus grands cascadeurs avant d'éclairer le tout d'un Lumos. Une lisière de forêt, plutôt jolie. On pouvait voir les rayons du jours percer les feuillages des arbres. Le décor semblait iréel, fantastique, digne des plus grands comptes merveilleux. Enfin presque. Je regardais autour de moi, le nez en l'air en piétinant, tournant sur moi même. Mais je sentais une présence. Quelqu'un peut être. Après tout le troisième point de ma mission était de retrouver quelqu'un non? Peut être me cherchait-il dans cette forêt? Facile de le savoir. Je levais ma baguette vers le ciel.

"Hominium revelio!"

Un sorcier et quelques animaux. Il ne me restais plus qu'à le trouver. Du coin de l'oeil je vis qu'un individu me surveillait. Un sourire s'esquissa sur mon visage. Il y avait 99.9% que cet individu soit mon contact mais je voulais le surprendre en plein "espionnage". Mon âme de tête brûlée restera à jamais en moi comme dit ma mère. Elle me manquait d'ailleurs ma mère. Je n'avais plus qu'elle, et Mia aussi. Mia et maman étaient partis de Grande Bretagne, chez un oncle moldu en Espagne. Se cacher des Mangemorts. Le fantasme de ma mère était qu'il n'y est des Mangemorts qu'en Grande Bretagne. C'est beau de rêver. Mia elle était trop jeune, voulait combattre comme ma digne petit soeur. Aussi intrépide que moi je comprenais sa frustration. Tellement occupé par mon "travail" de membre de l'Ordre que j'en oubliais presque les jumeaux qui avaient aussi du fil à retordre avec nos amis Death Eaters.

Je me déportais aussi vite que si j'avais transplané contre un arbre, avant de me déplacer habilement vers le fourret ou était caché mon pseudo-contact. Je tira ma baguette de ma manche et lui tapotat l'épaule avec. J'esquissa un sourire.

"Vous êtes le contact?"

[Données]

J'étais censée me reposer. Les temps étaient durs et mes nerfs eux, étaient à vif. Je passais mon temps dans mon laboratoire improvisé au fond de mon appartement, sur le Chemins de Travers. J'avais d'ailleurs frôlée la perfection dans la préparation de la portion Tue-Loup. C'était quand même jouissif de réussir une potion rare. Mais j'attendais désespérément qu'on me refile du travail. N'importe quoi. Me donner congé n'était pas une si MERVEILLEUSE idée que ça. Au contraire. Après avoir travaillé, tourné en rond dans l'appartement je m'ennuyais fermement. Quizz faisait des allés-retours à la maison pour me faire part des dernières nouvelles de l'Ordre. Remus en mission, tous les autres occupé... Et moi là comme une pauvre gourde à me rouler les pouces.

Ce n'est que deux semaines plus tard que Quizz transplana dans mon appartement, comme d'habitude. Jusque là je lui proposais un bol de chocolat chaud et je l'écoutais faire son rapport qui ressemblait plus à un récit particulièrement ennuyeux, le nez planqué dans le Chicaneur, lisant les faits divers, intéressants ou non. Ce jour là Quizz accepta mon bol de chocolat maison avec joie même mais me fit part d'une mission qui m'étais attribuée. Je lui balanca mon Chicaneur à la tête et me précipita sur lui pour l'embrasser. Mon elfe de maison batta des oreilles avant de boire son chocolat en me regardant me préparer. Ma mission du jour? Faire l'éclaireur sur l'île de Drear, s'assurer qu'elle est idéale pour construire un quartier général ou autre lieu de stratégie utile en temps de guerre. Sympa, digne d'une visite touristique, on y croirait presque. Je me saisis d'un jean noir particulièrement délabré, d'un haut noir simple et de mes Rangers. J'enfilais le tout à la va-vite avant de m'ébourriffer les cheveux d'avantage, de mettre le manteau de cuir de mon père et de transplaner, baguette en main, sur l'île.

J'arrivais alors dans un buisson. Super atterissage. C'est ça quand on est fatigué. Je me dépétrait en un saut digne des plus grands cascadeurs avant d'éclairer le tout d'un Lumos. Une lisière de forêt, plutôt jolie. On pouvait voir les rayons du jours percer les feuillages des arbres. Le décor semblait iréel, fantastique, digne des plus grands comptes merveilleux. Enfin presque. Je regardais autour de moi, le nez en l'air en piétinant, tournant sur moi même. Mais je sentais une présence. Quelqu'un peut être. Après tout le troisième point de ma mission était de retrouver quelqu'un non? Peut être me cherchait-il dans cette forêt? Facile de le savoir. Je levais ma baguette vers le ciel.

"Hominium revelio!"

Un sorcier et quelques animaux. Il ne me restais plus qu'à le trouver. Du coin de l'oeil je vis qu'un individu me surveillait. Un sourire s'esquissa sur mon visage. Il y avait 99.9% que cet individu soit mon contact mais je voulais le surprendre en plein "espionnage". Mon âme de tête brûlée restera à jamais en moi comme dit ma mère. Elle me manquait d'ailleurs ma mère. Je n'avais plus qu'elle, et Mia aussi. Mia et maman étaient partis de Grande Bretagne, chez un oncle moldu en Espagne. Se cacher des Mangemorts. Le fantasme de ma mère était qu'il n'y est des Mangemorts qu'en Grande Bretagne. C'est beau de rêver. Mia elle était trop jeune, voulait combattre comme ma digne petit soeur. Aussi intrépide que moi je comprenais sa frustration. Tellement occupé par mon "travail" de membre de l'Ordre que j'en oubliais presque les jumeaux qui avaient aussi du fil à retordre avec nos amis Death Eaters.

Je me déportais aussi vite que si j'avais transplané contre un arbre, avant de me déplacer habilement vers le fourret ou était caché mon pseudo-contact. Je tira ma baguette de ma manche et lui tapotat l'épaule avec. J'esquissa un sourire.

"Vous êtes le contact?"

[Expérience]

J'étais censée me reposer. Les temps étaient durs et mes nerfs eux, étaient à vif. Je passais mon temps dans mon laboratoire improvisé au fond de mon appartement, sur le Chemins de Travers. J'avais d'ailleurs frôlée la perfection dans la préparation de la portion Tue-Loup. C'était quand même jouissif de réussir une potion rare. Mais j'attendais désespérément qu'on me refile du travail. N'importe quoi. Me donner congé n'était pas une si MERVEILLEUSE idée que ça. Au contraire. Après avoir travaillé, tourné en rond dans l'appartement je m'ennuyais fermement. Quizz faisait des allés-retours à la maison pour me faire part des dernières nouvelles de l'Ordre. Remus en mission, tous les autres occupé... Et moi là comme une pauvre gourde à me rouler les pouces.

Ce n'est que deux semaines plus tard que Quizz transplana dans mon appartement, comme d'habitude. Jusque là je lui proposais un bol de chocolat chaud et je l'écoutais faire son rapport qui ressemblait plus à un récit particulièrement ennuyeux, le nez planqué dans le Chicaneur, lisant les faits divers, intéressants ou non. Ce jour là Quizz accepta mon bol de chocolat maison avec joie même mais me fit part d'une mission qui m'étais attribuée. Je lui balanca mon Chicaneur à la tête et me précipita sur lui pour l'embrasser. Mon elfe de maison batta des oreilles avant de boire son chocolat en me regardant me préparer. Ma mission du jour? Faire l'éclaireur sur l'île de Drear, s'assurer qu'elle est idéale pour construire un quartier général ou autre lieu de stratégie utile en temps de guerre. Sympa, digne d'une visite touristique, on y croirait presque. Je me saisis d'un jean noir particulièrement délabré, d'un haut noir simple et de mes Rangers. J'enfilais le tout à la va-vite avant de m'ébourriffer les cheveux d'avantage, de mettre le manteau de cuir de mon père et de transplaner, baguette en main, sur l'île.

J'arrivais alors dans un buisson. Super atterissage. C'est ça quand on est fatigué. Je me dépétrait en un saut digne des plus grands cascadeurs avant d'éclairer le tout d'un Lumos. Une lisière de forêt, plutôt jolie. On pouvait voir les rayons du jours percer les feuillages des arbres. Le décor semblait iréel, fantastique, digne des plus grands comptes merveilleux. Enfin presque. Je regardais autour de moi, le nez en l'air en piétinant, tournant sur moi même. Mais je sentais une présence. Quelqu'un peut être. Après tout le troisième point de ma mission était de retrouver quelqu'un non? Peut être me cherchait-il dans cette forêt? Facile de le savoir. Je levais ma baguette vers le ciel.

"Hominium revelio!"

Un sorcier et quelques animaux. Il ne me restais plus qu'à le trouver. Du coin de l'oeil je vis qu'un individu me surveillait. Un sourire s'esquissa sur mon visage. Il y avait 99.9% que cet individu soit mon contact mais je voulais le surprendre en plein "espionnage". Mon âme de tête brûlée restera à jamais en moi comme dit ma mère. Elle me manquait d'ailleurs ma mère. Je n'avais plus qu'elle, et Mia aussi. Mia et maman étaient partis de Grande Bretagne, chez un oncle moldu en Espagne. Se cacher des Mangemorts. Le fantasme de ma mère était qu'il n'y est des Mangemorts qu'en Grande Bretagne. C'est beau de rêver. Mia elle était trop jeune, voulait combattre comme ma digne petit soeur. Aussi intrépide que moi je comprenais sa frustration. Tellement occupé par mon "travail" de membre de l'Ordre que j'en oubliais presque les jumeaux qui avaient aussi du fil à retordre avec nos amis Death Eaters.

Je me déportais aussi vite que si j'avais transplané contre un arbre, avant de me déplacer habilement vers le fourret ou était caché mon pseudo-contact. Je tira ma baguette de ma manche et lui tapotat l'épaule avec. J'esquissa un sourire.

"Vous êtes le contact?"

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

• « Hominim Revelio ! »
  
  * Et merde !* J’avais oublié ce sort ! Comment allais-je faire maintenant ? Improviser ? Oui, c’était la meilleure des choses à faire et surtout c’est ce dont je faisais le mieux, quitte à tout détruire, mais je n’ai pas d’autre choix.
  
  Durant la minute qui suivit, la jeune fille, enfin je présume puisque sa voix était tout de même aiguë et féminine, approcha. Heureusement que ma baguette était dans ma manche droite, ainsi je n’avais pas de gestes brusques à faire pour la prendre. Je sentais sa respiration derrière moi, je faisais tout pour ne pas lui coller un poing.
  
  Je me retournais vers elle, elle était assez belle, mais pas du tout à mon goût. Elle avait sa baguette pointé sur mon torse, un demi-sourire au visage et me demanda :
  
  « Vous êtes mon contact ? »
  
  Franchement là … L’Ordre avait eut des informations à notre sujet, au sujet des Wallender, il fallait à tout prix que Sophia le sache. J’avais ma main droite baissé, aligné à ma cuisse et ma baguette prolongeait cette parallèle. De ma main gauche j’arrangeais mon col, avec élégance, of course, j’haussais un sourcil.
  
  « Surement, chère … ? »
  
  Je montais doucement ma main, et ma baguette avec, nous avions ainsi tous deux une baguette pointée sur l’autre, allez savoir maintenant qui réagirait en premier ! Je reculai doucement, mes bottes noires aplatirent dans un craquement les feuilles et bouts de branches au sol, ma cape se souleva majestueusement à la venue du vent laissant entrevoir mon pantalon jean noir très serré et une chemise blanche d’une propreté limpide.
  
  « Vous êtes venue ici dans quel but ? Très peu de visiteurs passent par là, on dit généralement que la forêt est maudite ! Moi j’y crois, et vous ? »
  

H RPG : Désolé, je manque énormément d'inspiration aujourd'hui, je me rattraperais la prochaine fois !

[Localisation]

• « Hominim Revelio ! »
  
  * Et merde !* J’avais oublié ce sort ! Comment allais-je faire maintenant ? Improviser ? Oui, c’était la meilleure des choses à faire et surtout c’est ce dont je faisais le mieux, quitte à tout détruire, mais je n’ai pas d’autre choix.
  
  Durant la minute qui suivit, la jeune fille, enfin je présume puisque sa voix était tout de même aiguë et féminine, approcha. Heureusement que ma baguette était dans ma manche droite, ainsi je n’avais pas de gestes brusques à faire pour la prendre. Je sentais sa respiration derrière moi, je faisais tout pour ne pas lui coller un poing.
  
  Je me retournais vers elle, elle était assez belle, mais pas du tout à mon goût. Elle avait sa baguette pointé sur mon torse, un demi-sourire au visage et me demanda :
  
  « Vous êtes mon contact ? »
  
  Franchement là … L’Ordre avait eut des informations à notre sujet, au sujet des Wallender, il fallait à tout prix que Sophia le sache. J’avais ma main droite baissé, aligné à ma cuisse et ma baguette prolongeait cette parallèle. De ma main gauche j’arrangeais mon col, avec élégance, of course, j’haussais un sourcil.
  
  « Surement, chère … ? »
  
  Je montais doucement ma main, et ma baguette avec, nous avions ainsi tous deux une baguette pointée sur l’autre, allez savoir maintenant qui réagirait en premier ! Je reculai doucement, mes bottes noires aplatirent dans un craquement les feuilles et bouts de branches au sol, ma cape se souleva majestueusement à la venue du vent laissant entrevoir mon pantalon jean noir très serré et une chemise blanche d’une propreté limpide.
  
  « Vous êtes venue ici dans quel but ? Très peu de visiteurs passent par là, on dit généralement que la forêt est maudite ! Moi j’y crois, et vous ? »
  

H RPG : Désolé, je manque énormément d'inspiration aujourd'hui, je me rattraperais la prochaine fois !

[Nb de messages]

• « Hominim Revelio ! »
  
  * Et merde !* J’avais oublié ce sort ! Comment allais-je faire maintenant ? Improviser ? Oui, c’était la meilleure des choses à faire et surtout c’est ce dont je faisais le mieux, quitte à tout détruire, mais je n’ai pas d’autre choix.
  
  Durant la minute qui suivit, la jeune fille, enfin je présume puisque sa voix était tout de même aiguë et féminine, approcha. Heureusement que ma baguette était dans ma manche droite, ainsi je n’avais pas de gestes brusques à faire pour la prendre. Je sentais sa respiration derrière moi, je faisais tout pour ne pas lui coller un poing.
  
  Je me retournais vers elle, elle était assez belle, mais pas du tout à mon goût. Elle avait sa baguette pointé sur mon torse, un demi-sourire au visage et me demanda :
  
  « Vous êtes mon contact ? »
  
  Franchement là … L’Ordre avait eut des informations à notre sujet, au sujet des Wallender, il fallait à tout prix que Sophia le sache. J’avais ma main droite baissé, aligné à ma cuisse et ma baguette prolongeait cette parallèle. De ma main gauche j’arrangeais mon col, avec élégance, of course, j’haussais un sourcil.
  
  « Surement, chère … ? »
  
  Je montais doucement ma main, et ma baguette avec, nous avions ainsi tous deux une baguette pointée sur l’autre, allez savoir maintenant qui réagirait en premier ! Je reculai doucement, mes bottes noires aplatirent dans un craquement les feuilles et bouts de branches au sol, ma cape se souleva majestueusement à la venue du vent laissant entrevoir mon pantalon jean noir très serré et une chemise blanche d’une propreté limpide.
  
  « Vous êtes venue ici dans quel but ? Très peu de visiteurs passent par là, on dit généralement que la forêt est maudite ! Moi j’y crois, et vous ? »
  

H RPG : Désolé, je manque énormément d'inspiration aujourd'hui, je me rattraperais la prochaine fois !

[Bourse]

• « Hominim Revelio ! »
  
  * Et merde !* J’avais oublié ce sort ! Comment allais-je faire maintenant ? Improviser ? Oui, c’était la meilleure des choses à faire et surtout c’est ce dont je faisais le mieux, quitte à tout détruire, mais je n’ai pas d’autre choix.
  
  Durant la minute qui suivit, la jeune fille, enfin je présume puisque sa voix était tout de même aiguë et féminine, approcha. Heureusement que ma baguette était dans ma manche droite, ainsi je n’avais pas de gestes brusques à faire pour la prendre. Je sentais sa respiration derrière moi, je faisais tout pour ne pas lui coller un poing.
  
  Je me retournais vers elle, elle était assez belle, mais pas du tout à mon goût. Elle avait sa baguette pointé sur mon torse, un demi-sourire au visage et me demanda :
  
  « Vous êtes mon contact ? »
  
  Franchement là … L’Ordre avait eut des informations à notre sujet, au sujet des Wallender, il fallait à tout prix que Sophia le sache. J’avais ma main droite baissé, aligné à ma cuisse et ma baguette prolongeait cette parallèle. De ma main gauche j’arrangeais mon col, avec élégance, of course, j’haussais un sourcil.
  
  « Surement, chère … ? »
  
  Je montais doucement ma main, et ma baguette avec, nous avions ainsi tous deux une baguette pointée sur l’autre, allez savoir maintenant qui réagirait en premier ! Je reculai doucement, mes bottes noires aplatirent dans un craquement les feuilles et bouts de branches au sol, ma cape se souleva majestueusement à la venue du vent laissant entrevoir mon pantalon jean noir très serré et une chemise blanche d’une propreté limpide.
  
  « Vous êtes venue ici dans quel but ? Très peu de visiteurs passent par là, on dit généralement que la forêt est maudite ! Moi j’y crois, et vous ? »
  

H RPG : Désolé, je manque énormément d'inspiration aujourd'hui, je me rattraperais la prochaine fois !

[Données]

• « Hominim Revelio ! »
  
  * Et merde !* J’avais oublié ce sort ! Comment allais-je faire maintenant ? Improviser ? Oui, c’était la meilleure des choses à faire et surtout c’est ce dont je faisais le mieux, quitte à tout détruire, mais je n’ai pas d’autre choix.
  
  Durant la minute qui suivit, la jeune fille, enfin je présume puisque sa voix était tout de même aiguë et féminine, approcha. Heureusement que ma baguette était dans ma manche droite, ainsi je n’avais pas de gestes brusques à faire pour la prendre. Je sentais sa respiration derrière moi, je faisais tout pour ne pas lui coller un poing.
  
  Je me retournais vers elle, elle était assez belle, mais pas du tout à mon goût. Elle avait sa baguette pointé sur mon torse, un demi-sourire au visage et me demanda :
  
  « Vous êtes mon contact ? »
  
  Franchement là … L’Ordre avait eut des informations à notre sujet, au sujet des Wallender, il fallait à tout prix que Sophia le sache. J’avais ma main droite baissé, aligné à ma cuisse et ma baguette prolongeait cette parallèle. De ma main gauche j’arrangeais mon col, avec élégance, of course, j’haussais un sourcil.
  
  « Surement, chère … ? »
  
  Je montais doucement ma main, et ma baguette avec, nous avions ainsi tous deux une baguette pointée sur l’autre, allez savoir maintenant qui réagirait en premier ! Je reculai doucement, mes bottes noires aplatirent dans un craquement les feuilles et bouts de branches au sol, ma cape se souleva majestueusement à la venue du vent laissant entrevoir mon pantalon jean noir très serré et une chemise blanche d’une propreté limpide.
  
  « Vous êtes venue ici dans quel but ? Très peu de visiteurs passent par là, on dit généralement que la forêt est maudite ! Moi j’y crois, et vous ? »
  

H RPG : Désolé, je manque énormément d'inspiration aujourd'hui, je me rattraperais la prochaine fois !

[Expérience]

• « Hominim Revelio ! »
  
  * Et merde !* J’avais oublié ce sort ! Comment allais-je faire maintenant ? Improviser ? Oui, c’était la meilleure des choses à faire et surtout c’est ce dont je faisais le mieux, quitte à tout détruire, mais je n’ai pas d’autre choix.
  
  Durant la minute qui suivit, la jeune fille, enfin je présume puisque sa voix était tout de même aiguë et féminine, approcha. Heureusement que ma baguette était dans ma manche droite, ainsi je n’avais pas de gestes brusques à faire pour la prendre. Je sentais sa respiration derrière moi, je faisais tout pour ne pas lui coller un poing.
  
  Je me retournais vers elle, elle était assez belle, mais pas du tout à mon goût. Elle avait sa baguette pointé sur mon torse, un demi-sourire au visage et me demanda :
  
  « Vous êtes mon contact ? »
  
  Franchement là … L’Ordre avait eut des informations à notre sujet, au sujet des Wallender, il fallait à tout prix que Sophia le sache. J’avais ma main droite baissé, aligné à ma cuisse et ma baguette prolongeait cette parallèle. De ma main gauche j’arrangeais mon col, avec élégance, of course, j’haussais un sourcil.
  
  « Surement, chère … ? »
  
  Je montais doucement ma main, et ma baguette avec, nous avions ainsi tous deux une baguette pointée sur l’autre, allez savoir maintenant qui réagirait en premier ! Je reculai doucement, mes bottes noires aplatirent dans un craquement les feuilles et bouts de branches au sol, ma cape se souleva majestueusement à la venue du vent laissant entrevoir mon pantalon jean noir très serré et une chemise blanche d’une propreté limpide.
  
  « Vous êtes venue ici dans quel but ? Très peu de visiteurs passent par là, on dit généralement que la forêt est maudite ! Moi j’y crois, et vous ? »
  

H RPG : Désolé, je manque énormément d'inspiration aujourd'hui, je me rattraperais la prochaine fois !

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

HS: Pas grave. Désolé du temps de réponse j'étais pas dispo' hier. Oups j'ai confondu ma façon de RP avec un autre fow' j'ai fais à la 1ère personne n__n"... Pas grave. On continu comme ça pour la peine 8D

Plutôt mignon pour un animal de la forêt. M'enfin, faut le dire, j'avais mieu à la maison. Enfin bon je ne savais pas trop ou il était passé mais en tout cas je l'avais sous le pied ou cas ou. Qui? ... Là n'est pas la question je fais juste la remarque que mon interlocuteur n'était pas si moche que ça. Et voilà qu'il me pointait sa baguette dans le bout de gras. Enfin le bout d'gras... Faut le dire vite. J'avais mincie depuis que le temps de guerre avait commencé. Je m'enfilais Biereaubeurre sur Biereaubeurre, du Earl Grey par litres entiers ainsi que des livres et des livres de Chocogrenouilles. Manger cinq fruits et légumes par jours comme dise les informations Moldus. Info ou intox? Mieu vaut écouter la médecine moldue parfois. Le Earl Gray m'empêchait de dormir tout comme les sucreries. Résultat j'étais épuisée. Enfin bref là n'étais pas la question.

J'arquais un sourcil en l'écoutant parler. Qu'il est mignon. La forêt abritait presque autant de créatures que la forêt interdite de l'école. Il devait y avoir quelques licornes, Botrucs et autres bestioles quelconques. Pas de quoi fouetter un hippogriffe me direz-vous. Lassée de tailler le bout de gras dans les fougères, je me dépétrais en un élégant coup de baguette. Une délicate secousse s'éleva de ma baguette en frôlant celle du Wallander. Lui tourner le dos? Dangereux? Non. Nous étions sur cette île pour la fouiller ensemble à ce que j'avais compris non? Je ne pense donc pas qu'il allait m'ensorceler lâchement dans le dos. Je me détourna en le regardant de toute sa hauteur s'avancer vers moi, dans cette clairière. Plutôt grand. Il faut le dire quand même, c'est que cet homme avait une certaine classe. Je tendis ma main vers lui, ma baguette plaqué le long de mon corps dans l'autre main.

"Stella Galactica."

On lisait en moi cette éternelle note de malice. Quand on trainaille avec des cancres roux ca laisse des traces. Mon tempérament de feu avait cependant toujours été en moi. J'étais comme ça moi. Aventurière, courageuse... Ou pas. Non téméraire serait le therme exacte. Je faisais quelques pas, le tintement des boucles de mes Rangers perçant le silence de mort de cette forêt. Je me retournais à nouveau vers mon associé du jour. Un sourire dévoilant mes dents blanches, droites - canines légèrement plus pointues que la moyenne - et je m'en allais regarder de plus près cette petite forêt mafoi bien sympathique.

"Maudite? À part ce faire attaquer par une acromentule j'vois pas trop ce qu'il pourrait ce passer. Une île inhabitée comme celle là. Ah quoi que..."

Des lutins. Mignon, mais pas franchement dangereux. Je secouais une branche qui se trouvait à portée de main pour voir une dixaine de petits lutins gambader jusqu'à une série de branche plus haute. J'avancais ma baguette devant moi histoire d'avoir un peu de lumière. Il devait y avoir des endroits plus intéressant sur cette île.

"Le mieu ce serait de grimper vers les colines. Y doit y avoir des grottes ou un truc dans l'genre. Qu'est ce que vous en pensez euh... C'est quoi vôtre nom déjà?"

[Localisation]

HS: Pas grave. Désolé du temps de réponse j'étais pas dispo' hier. Oups j'ai confondu ma façon de RP avec un autre fow' j'ai fais à la 1ère personne n__n"... Pas grave. On continu comme ça pour la peine 8D

Plutôt mignon pour un animal de la forêt. M'enfin, faut le dire, j'avais mieu à la maison. Enfin bon je ne savais pas trop ou il était passé mais en tout cas je l'avais sous le pied ou cas ou. Qui? ... Là n'est pas la question je fais juste la remarque que mon interlocuteur n'était pas si moche que ça. Et voilà qu'il me pointait sa baguette dans le bout de gras. Enfin le bout d'gras... Faut le dire vite. J'avais mincie depuis que le temps de guerre avait commencé. Je m'enfilais Biereaubeurre sur Biereaubeurre, du Earl Grey par litres entiers ainsi que des livres et des livres de Chocogrenouilles. Manger cinq fruits et légumes par jours comme dise les informations Moldus. Info ou intox? Mieu vaut écouter la médecine moldue parfois. Le Earl Gray m'empêchait de dormir tout comme les sucreries. Résultat j'étais épuisée. Enfin bref là n'étais pas la question.

J'arquais un sourcil en l'écoutant parler. Qu'il est mignon. La forêt abritait presque autant de créatures que la forêt interdite de l'école. Il devait y avoir quelques licornes, Botrucs et autres bestioles quelconques. Pas de quoi fouetter un hippogriffe me direz-vous. Lassée de tailler le bout de gras dans les fougères, je me dépétrais en un élégant coup de baguette. Une délicate secousse s'éleva de ma baguette en frôlant celle du Wallander. Lui tourner le dos? Dangereux? Non. Nous étions sur cette île pour la fouiller ensemble à ce que j'avais compris non? Je ne pense donc pas qu'il allait m'ensorceler lâchement dans le dos. Je me détourna en le regardant de toute sa hauteur s'avancer vers moi, dans cette clairière. Plutôt grand. Il faut le dire quand même, c'est que cet homme avait une certaine classe. Je tendis ma main vers lui, ma baguette plaqué le long de mon corps dans l'autre main.

"Stella Galactica."

On lisait en moi cette éternelle note de malice. Quand on trainaille avec des cancres roux ca laisse des traces. Mon tempérament de feu avait cependant toujours été en moi. J'étais comme ça moi. Aventurière, courageuse... Ou pas. Non téméraire serait le therme exacte. Je faisais quelques pas, le tintement des boucles de mes Rangers perçant le silence de mort de cette forêt. Je me retournais à nouveau vers mon associé du jour. Un sourire dévoilant mes dents blanches, droites - canines légèrement plus pointues que la moyenne - et je m'en allais regarder de plus près cette petite forêt mafoi bien sympathique.

"Maudite? À part ce faire attaquer par une acromentule j'vois pas trop ce qu'il pourrait ce passer. Une île inhabitée comme celle là. Ah quoi que..."

Des lutins. Mignon, mais pas franchement dangereux. Je secouais une branche qui se trouvait à portée de main pour voir une dixaine de petits lutins gambader jusqu'à une série de branche plus haute. J'avancais ma baguette devant moi histoire d'avoir un peu de lumière. Il devait y avoir des endroits plus intéressant sur cette île.

"Le mieu ce serait de grimper vers les colines. Y doit y avoir des grottes ou un truc dans l'genre. Qu'est ce que vous en pensez euh... C'est quoi vôtre nom déjà?"

[Nb de messages]

HS: Pas grave. Désolé du temps de réponse j'étais pas dispo' hier. Oups j'ai confondu ma façon de RP avec un autre fow' j'ai fais à la 1ère personne n__n"... Pas grave. On continu comme ça pour la peine 8D

Plutôt mignon pour un animal de la forêt. M'enfin, faut le dire, j'avais mieu à la maison. Enfin bon je ne savais pas trop ou il était passé mais en tout cas je l'avais sous le pied ou cas ou. Qui? ... Là n'est pas la question je fais juste la remarque que mon interlocuteur n'était pas si moche que ça. Et voilà qu'il me pointait sa baguette dans le bout de gras. Enfin le bout d'gras... Faut le dire vite. J'avais mincie depuis que le temps de guerre avait commencé. Je m'enfilais Biereaubeurre sur Biereaubeurre, du Earl Grey par litres entiers ainsi que des livres et des livres de Chocogrenouilles. Manger cinq fruits et légumes par jours comme dise les informations Moldus. Info ou intox? Mieu vaut écouter la médecine moldue parfois. Le Earl Gray m'empêchait de dormir tout comme les sucreries. Résultat j'étais épuisée. Enfin bref là n'étais pas la question.

J'arquais un sourcil en l'écoutant parler. Qu'il est mignon. La forêt abritait presque autant de créatures que la forêt interdite de l'école. Il devait y avoir quelques licornes, Botrucs et autres bestioles quelconques. Pas de quoi fouetter un hippogriffe me direz-vous. Lassée de tailler le bout de gras dans les fougères, je me dépétrais en un élégant coup de baguette. Une délicate secousse s'éleva de ma baguette en frôlant celle du Wallander. Lui tourner le dos? Dangereux? Non. Nous étions sur cette île pour la fouiller ensemble à ce que j'avais compris non? Je ne pense donc pas qu'il allait m'ensorceler lâchement dans le dos. Je me détourna en le regardant de toute sa hauteur s'avancer vers moi, dans cette clairière. Plutôt grand. Il faut le dire quand même, c'est que cet homme avait une certaine classe. Je tendis ma main vers lui, ma baguette plaqué le long de mon corps dans l'autre main.

"Stella Galactica."

On lisait en moi cette éternelle note de malice. Quand on trainaille avec des cancres roux ca laisse des traces. Mon tempérament de feu avait cependant toujours été en moi. J'étais comme ça moi. Aventurière, courageuse... Ou pas. Non téméraire serait le therme exacte. Je faisais quelques pas, le tintement des boucles de mes Rangers perçant le silence de mort de cette forêt. Je me retournais à nouveau vers mon associé du jour. Un sourire dévoilant mes dents blanches, droites - canines légèrement plus pointues que la moyenne - et je m'en allais regarder de plus près cette petite forêt mafoi bien sympathique.

"Maudite? À part ce faire attaquer par une acromentule j'vois pas trop ce qu'il pourrait ce passer. Une île inhabitée comme celle là. Ah quoi que..."

Des lutins. Mignon, mais pas franchement dangereux. Je secouais une branche qui se trouvait à portée de main pour voir une dixaine de petits lutins gambader jusqu'à une série de branche plus haute. J'avancais ma baguette devant moi histoire d'avoir un peu de lumière. Il devait y avoir des endroits plus intéressant sur cette île.

"Le mieu ce serait de grimper vers les colines. Y doit y avoir des grottes ou un truc dans l'genre. Qu'est ce que vous en pensez euh... C'est quoi vôtre nom déjà?"

[Bourse]

HS: Pas grave. Désolé du temps de réponse j'étais pas dispo' hier. Oups j'ai confondu ma façon de RP avec un autre fow' j'ai fais à la 1ère personne n__n"... Pas grave. On continu comme ça pour la peine 8D

Plutôt mignon pour un animal de la forêt. M'enfin, faut le dire, j'avais mieu à la maison. Enfin bon je ne savais pas trop ou il était passé mais en tout cas je l'avais sous le pied ou cas ou. Qui? ... Là n'est pas la question je fais juste la remarque que mon interlocuteur n'était pas si moche que ça. Et voilà qu'il me pointait sa baguette dans le bout de gras. Enfin le bout d'gras... Faut le dire vite. J'avais mincie depuis que le temps de guerre avait commencé. Je m'enfilais Biereaubeurre sur Biereaubeurre, du Earl Grey par litres entiers ainsi que des livres et des livres de Chocogrenouilles. Manger cinq fruits et légumes par jours comme dise les informations Moldus. Info ou intox? Mieu vaut écouter la médecine moldue parfois. Le Earl Gray m'empêchait de dormir tout comme les sucreries. Résultat j'étais épuisée. Enfin bref là n'étais pas la question.

J'arquais un sourcil en l'écoutant parler. Qu'il est mignon. La forêt abritait presque autant de créatures que la forêt interdite de l'école. Il devait y avoir quelques licornes, Botrucs et autres bestioles quelconques. Pas de quoi fouetter un hippogriffe me direz-vous. Lassée de tailler le bout de gras dans les fougères, je me dépétrais en un élégant coup de baguette. Une délicate secousse s'éleva de ma baguette en frôlant celle du Wallander. Lui tourner le dos? Dangereux? Non. Nous étions sur cette île pour la fouiller ensemble à ce que j'avais compris non? Je ne pense donc pas qu'il allait m'ensorceler lâchement dans le dos. Je me détourna en le regardant de toute sa hauteur s'avancer vers moi, dans cette clairière. Plutôt grand. Il faut le dire quand même, c'est que cet homme avait une certaine classe. Je tendis ma main vers lui, ma baguette plaqué le long de mon corps dans l'autre main.

"Stella Galactica."

On lisait en moi cette éternelle note de malice. Quand on trainaille avec des cancres roux ca laisse des traces. Mon tempérament de feu avait cependant toujours été en moi. J'étais comme ça moi. Aventurière, courageuse... Ou pas. Non téméraire serait le therme exacte. Je faisais quelques pas, le tintement des boucles de mes Rangers perçant le silence de mort de cette forêt. Je me retournais à nouveau vers mon associé du jour. Un sourire dévoilant mes dents blanches, droites - canines légèrement plus pointues que la moyenne - et je m'en allais regarder de plus près cette petite forêt mafoi bien sympathique.

"Maudite? À part ce faire attaquer par une acromentule j'vois pas trop ce qu'il pourrait ce passer. Une île inhabitée comme celle là. Ah quoi que..."

Des lutins. Mignon, mais pas franchement dangereux. Je secouais une branche qui se trouvait à portée de main pour voir une dixaine de petits lutins gambader jusqu'à une série de branche plus haute. J'avancais ma baguette devant moi histoire d'avoir un peu de lumière. Il devait y avoir des endroits plus intéressant sur cette île.

"Le mieu ce serait de grimper vers les colines. Y doit y avoir des grottes ou un truc dans l'genre. Qu'est ce que vous en pensez euh... C'est quoi vôtre nom déjà?"

[Données]

HS: Pas grave. Désolé du temps de réponse j'étais pas dispo' hier. Oups j'ai confondu ma façon de RP avec un autre fow' j'ai fais à la 1ère personne n__n"... Pas grave. On continu comme ça pour la peine 8D

Plutôt mignon pour un animal de la forêt. M'enfin, faut le dire, j'avais mieu à la maison. Enfin bon je ne savais pas trop ou il était passé mais en tout cas je l'avais sous le pied ou cas ou. Qui? ... Là n'est pas la question je fais juste la remarque que mon interlocuteur n'était pas si moche que ça. Et voilà qu'il me pointait sa baguette dans le bout de gras. Enfin le bout d'gras... Faut le dire vite. J'avais mincie depuis que le temps de guerre avait commencé. Je m'enfilais Biereaubeurre sur Biereaubeurre, du Earl Grey par litres entiers ainsi que des livres et des livres de Chocogrenouilles. Manger cinq fruits et légumes par jours comme dise les informations Moldus. Info ou intox? Mieu vaut écouter la médecine moldue parfois. Le Earl Gray m'empêchait de dormir tout comme les sucreries. Résultat j'étais épuisée. Enfin bref là n'étais pas la question.

J'arquais un sourcil en l'écoutant parler. Qu'il est mignon. La forêt abritait presque autant de créatures que la forêt interdite de l'école. Il devait y avoir quelques licornes, Botrucs et autres bestioles quelconques. Pas de quoi fouetter un hippogriffe me direz-vous. Lassée de tailler le bout de gras dans les fougères, je me dépétrais en un élégant coup de baguette. Une délicate secousse s'éleva de ma baguette en frôlant celle du Wallander. Lui tourner le dos? Dangereux? Non. Nous étions sur cette île pour la fouiller ensemble à ce que j'avais compris non? Je ne pense donc pas qu'il allait m'ensorceler lâchement dans le dos. Je me détourna en le regardant de toute sa hauteur s'avancer vers moi, dans cette clairière. Plutôt grand. Il faut le dire quand même, c'est que cet homme avait une certaine classe. Je tendis ma main vers lui, ma baguette plaqué le long de mon corps dans l'autre main.

"Stella Galactica."

On lisait en moi cette éternelle note de malice. Quand on trainaille avec des cancres roux ca laisse des traces. Mon tempérament de feu avait cependant toujours été en moi. J'étais comme ça moi. Aventurière, courageuse... Ou pas. Non téméraire serait le therme exacte. Je faisais quelques pas, le tintement des boucles de mes Rangers perçant le silence de mort de cette forêt. Je me retournais à nouveau vers mon associé du jour. Un sourire dévoilant mes dents blanches, droites - canines légèrement plus pointues que la moyenne - et je m'en allais regarder de plus près cette petite forêt mafoi bien sympathique.

"Maudite? À part ce faire attaquer par une acromentule j'vois pas trop ce qu'il pourrait ce passer. Une île inhabitée comme celle là. Ah quoi que..."

Des lutins. Mignon, mais pas franchement dangereux. Je secouais une branche qui se trouvait à portée de main pour voir une dixaine de petits lutins gambader jusqu'à une série de branche plus haute. J'avancais ma baguette devant moi histoire d'avoir un peu de lumière. Il devait y avoir des endroits plus intéressant sur cette île.

"Le mieu ce serait de grimper vers les colines. Y doit y avoir des grottes ou un truc dans l'genre. Qu'est ce que vous en pensez euh... C'est quoi vôtre nom déjà?"

[Expérience]

HS: Pas grave. Désolé du temps de réponse j'étais pas dispo' hier. Oups j'ai confondu ma façon de RP avec un autre fow' j'ai fais à la 1ère personne n__n"... Pas grave. On continu comme ça pour la peine 8D

Plutôt mignon pour un animal de la forêt. M'enfin, faut le dire, j'avais mieu à la maison. Enfin bon je ne savais pas trop ou il était passé mais en tout cas je l'avais sous le pied ou cas ou. Qui? ... Là n'est pas la question je fais juste la remarque que mon interlocuteur n'était pas si moche que ça. Et voilà qu'il me pointait sa baguette dans le bout de gras. Enfin le bout d'gras... Faut le dire vite. J'avais mincie depuis que le temps de guerre avait commencé. Je m'enfilais Biereaubeurre sur Biereaubeurre, du Earl Grey par litres entiers ainsi que des livres et des livres de Chocogrenouilles. Manger cinq fruits et légumes par jours comme dise les informations Moldus. Info ou intox? Mieu vaut écouter la médecine moldue parfois. Le Earl Gray m'empêchait de dormir tout comme les sucreries. Résultat j'étais épuisée. Enfin bref là n'étais pas la question.

J'arquais un sourcil en l'écoutant parler. Qu'il est mignon. La forêt abritait presque autant de créatures que la forêt interdite de l'école. Il devait y avoir quelques licornes, Botrucs et autres bestioles quelconques. Pas de quoi fouetter un hippogriffe me direz-vous. Lassée de tailler le bout de gras dans les fougères, je me dépétrais en un élégant coup de baguette. Une délicate secousse s'éleva de ma baguette en frôlant celle du Wallander. Lui tourner le dos? Dangereux? Non. Nous étions sur cette île pour la fouiller ensemble à ce que j'avais compris non? Je ne pense donc pas qu'il allait m'ensorceler lâchement dans le dos. Je me détourna en le regardant de toute sa hauteur s'avancer vers moi, dans cette clairière. Plutôt grand. Il faut le dire quand même, c'est que cet homme avait une certaine classe. Je tendis ma main vers lui, ma baguette plaqué le long de mon corps dans l'autre main.

"Stella Galactica."

On lisait en moi cette éternelle note de malice. Quand on trainaille avec des cancres roux ca laisse des traces. Mon tempérament de feu avait cependant toujours été en moi. J'étais comme ça moi. Aventurière, courageuse... Ou pas. Non téméraire serait le therme exacte. Je faisais quelques pas, le tintement des boucles de mes Rangers perçant le silence de mort de cette forêt. Je me retournais à nouveau vers mon associé du jour. Un sourire dévoilant mes dents blanches, droites - canines légèrement plus pointues que la moyenne - et je m'en allais regarder de plus près cette petite forêt mafoi bien sympathique.

"Maudite? À part ce faire attaquer par une acromentule j'vois pas trop ce qu'il pourrait ce passer. Une île inhabitée comme celle là. Ah quoi que..."

Des lutins. Mignon, mais pas franchement dangereux. Je secouais une branche qui se trouvait à portée de main pour voir une dixaine de petits lutins gambader jusqu'à une série de branche plus haute. J'avancais ma baguette devant moi histoire d'avoir un peu de lumière. Il devait y avoir des endroits plus intéressant sur cette île.

"Le mieu ce serait de grimper vers les colines. Y doit y avoir des grottes ou un truc dans l'genre. Qu'est ce que vous en pensez euh... C'est quoi vôtre nom déjà?"

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

Stella GAlactica … Pour être un nom c’est un nom ! Tout droit sorti d’un film moldu du style de Star Wars, un sourire se dessina proprement sur mon visage, laissant apparaitre des dents d’une blancheur naturelle rare. Elle me tendit sa main, et baissa sa baguette. Je l’attrapai, comme tous gentlemen, et elle continuait de parler. C’était une drôle de fille, sure d’elle et honnête. Elle disait ce qu’elle avait sur le cœur avec une pointe d’humour, tout à fait particulière. A vrai dire c’était charmant, dommage que ma mission consistait à lui faire mal … Enfin, je m’arrangerais pour ne pas qu’elle ait de dommage ! Mais pour le moment, je décidai de ne pas l’attaquer, non j’allais sympathiser et voir comment la suite des événements se dérouleraient.

Elle proposa d’aller regarder vers les collines, et les montagnes pour observer les grottes qu’il y avait. Elle devait surement être au courant des trolls de la région, alors je ne l’averti guère plus, de toute façon elle était mon ennemie, non ? Je baissai ma baguette moi aussi, et la rangea dans ma manche, pour prendre sa main. Sa main était douce aussi lisse qu’une peau de bébé. Ses doigts révélaient une dextérité exceptionnelle. Ainsi observant pendant une demi-seconde sa main, je baissai mon buste et inclinai ensuite ma tête pour aller rejoindre sa main que je baisai tendrement d’un furtif contact entre mes lèvres et sa main.

Je me relevais presque aussi tôt, mon père avait eut la patience de m’éduquer dans le chemin de la classe et de l’élégance comme tout britannique fier de ses origines. Bien entendu cette classe devait aussi s’exprimer par le choix des mots dans une réponse, ce que je faisais tout le temps. Mon nom, elle me demandait mon nom, je n’allais tout de même pas le lui révéler … Non je lui dirai mon pseudonyme, enfin le nom sous lequel tout le monde me connaissait depuis quelques temps ! Je la regardai droit dans les yeux, puis avec une pointe d’amusement répondis :

« Marchombre … On me nomme Marchombre, miss Stella. »

J’avais un peu trop précipité le premier mot, mais je me repris avec le reste de la phrase qui vient bien plus douce et moins agressive ! Je ne suis pas tellement un bon acteur, bien que j’adore le théâtre et le cinéma moldu ! Je ressortis donc ma baguette, toujours au cas où ! Cette île regorgeait de créature aussi malfaisante que bienfaisante et je n’allais pas courir de risque, ou mettre mon destin dans les mains d’un membre de l’Ordre, je ne voudrais pas lui être reconnaissant ! Je regardais donc au loin, vers les collines et montagnes avant de reporter mon attention sur la jeune demoiselle qui me regardait comme on regarde un tableau au musée ou un déchet encombrant !

« Les collines, pourquoi pas ? De toute façon, si j’ai bien compris il faut visiter toute l’île ? Donc commençons par les endroits les plus sombres pour ne pas mourir jeune ! »

Mon humour était dérisoire, et il l’est toujours, mais bon j’adore les sarcasmes et l’ironie, il faut avoir un certain parler et une bonne connaissance des mots et du vocabulaire pour pouvoir l’utiliser, enfin je crois. Toujours est-il, que je fis un pas en arrière sans cesser de regarder mon interlocutrice. Une fois sorti de derrière l’arbre massif qui aurait du me servir de cachette, je commençai à avancer sans savoir si Stella me suivait et qu’importe, mais je vérifier toujours mes arrières : je n’avais pas confiance en cette membre de l’Ordre, pas la moindre !

Me retournant, une fois à la lisère, je lui dis :

« Alors, êtes-vous prête pour une escapades dans les recoins d’une île qui fera tout pour nous tuer ? »

Et pas seulement l’île chérie, moi aussi j’aimerais te tuer …

[Localisation]

Stella GAlactica … Pour être un nom c’est un nom ! Tout droit sorti d’un film moldu du style de Star Wars, un sourire se dessina proprement sur mon visage, laissant apparaitre des dents d’une blancheur naturelle rare. Elle me tendit sa main, et baissa sa baguette. Je l’attrapai, comme tous gentlemen, et elle continuait de parler. C’était une drôle de fille, sure d’elle et honnête. Elle disait ce qu’elle avait sur le cœur avec une pointe d’humour, tout à fait particulière. A vrai dire c’était charmant, dommage que ma mission consistait à lui faire mal … Enfin, je m’arrangerais pour ne pas qu’elle ait de dommage ! Mais pour le moment, je décidai de ne pas l’attaquer, non j’allais sympathiser et voir comment la suite des événements se dérouleraient.

Elle proposa d’aller regarder vers les collines, et les montagnes pour observer les grottes qu’il y avait. Elle devait surement être au courant des trolls de la région, alors je ne l’averti guère plus, de toute façon elle était mon ennemie, non ? Je baissai ma baguette moi aussi, et la rangea dans ma manche, pour prendre sa main. Sa main était douce aussi lisse qu’une peau de bébé. Ses doigts révélaient une dextérité exceptionnelle. Ainsi observant pendant une demi-seconde sa main, je baissai mon buste et inclinai ensuite ma tête pour aller rejoindre sa main que je baisai tendrement d’un furtif contact entre mes lèvres et sa main.

Je me relevais presque aussi tôt, mon père avait eut la patience de m’éduquer dans le chemin de la classe et de l’élégance comme tout britannique fier de ses origines. Bien entendu cette classe devait aussi s’exprimer par le choix des mots dans une réponse, ce que je faisais tout le temps. Mon nom, elle me demandait mon nom, je n’allais tout de même pas le lui révéler … Non je lui dirai mon pseudonyme, enfin le nom sous lequel tout le monde me connaissait depuis quelques temps ! Je la regardai droit dans les yeux, puis avec une pointe d’amusement répondis :

« Marchombre … On me nomme Marchombre, miss Stella. »

J’avais un peu trop précipité le premier mot, mais je me repris avec le reste de la phrase qui vient bien plus douce et moins agressive ! Je ne suis pas tellement un bon acteur, bien que j’adore le théâtre et le cinéma moldu ! Je ressortis donc ma baguette, toujours au cas où ! Cette île regorgeait de créature aussi malfaisante que bienfaisante et je n’allais pas courir de risque, ou mettre mon destin dans les mains d’un membre de l’Ordre, je ne voudrais pas lui être reconnaissant ! Je regardais donc au loin, vers les collines et montagnes avant de reporter mon attention sur la jeune demoiselle qui me regardait comme on regarde un tableau au musée ou un déchet encombrant !

« Les collines, pourquoi pas ? De toute façon, si j’ai bien compris il faut visiter toute l’île ? Donc commençons par les endroits les plus sombres pour ne pas mourir jeune ! »

Mon humour était dérisoire, et il l’est toujours, mais bon j’adore les sarcasmes et l’ironie, il faut avoir un certain parler et une bonne connaissance des mots et du vocabulaire pour pouvoir l’utiliser, enfin je crois. Toujours est-il, que je fis un pas en arrière sans cesser de regarder mon interlocutrice. Une fois sorti de derrière l’arbre massif qui aurait du me servir de cachette, je commençai à avancer sans savoir si Stella me suivait et qu’importe, mais je vérifier toujours mes arrières : je n’avais pas confiance en cette membre de l’Ordre, pas la moindre !

Me retournant, une fois à la lisère, je lui dis :

« Alors, êtes-vous prête pour une escapades dans les recoins d’une île qui fera tout pour nous tuer ? »

Et pas seulement l’île chérie, moi aussi j’aimerais te tuer …

[Nb de messages]

Stella GAlactica … Pour être un nom c’est un nom ! Tout droit sorti d’un film moldu du style de Star Wars, un sourire se dessina proprement sur mon visage, laissant apparaitre des dents d’une blancheur naturelle rare. Elle me tendit sa main, et baissa sa baguette. Je l’attrapai, comme tous gentlemen, et elle continuait de parler. C’était une drôle de fille, sure d’elle et honnête. Elle disait ce qu’elle avait sur le cœur avec une pointe d’humour, tout à fait particulière. A vrai dire c’était charmant, dommage que ma mission consistait à lui faire mal … Enfin, je m’arrangerais pour ne pas qu’elle ait de dommage ! Mais pour le moment, je décidai de ne pas l’attaquer, non j’allais sympathiser et voir comment la suite des événements se dérouleraient.

Elle proposa d’aller regarder vers les collines, et les montagnes pour observer les grottes qu’il y avait. Elle devait surement être au courant des trolls de la région, alors je ne l’averti guère plus, de toute façon elle était mon ennemie, non ? Je baissai ma baguette moi aussi, et la rangea dans ma manche, pour prendre sa main. Sa main était douce aussi lisse qu’une peau de bébé. Ses doigts révélaient une dextérité exceptionnelle. Ainsi observant pendant une demi-seconde sa main, je baissai mon buste et inclinai ensuite ma tête pour aller rejoindre sa main que je baisai tendrement d’un furtif contact entre mes lèvres et sa main.

Je me relevais presque aussi tôt, mon père avait eut la patience de m’éduquer dans le chemin de la classe et de l’élégance comme tout britannique fier de ses origines. Bien entendu cette classe devait aussi s’exprimer par le choix des mots dans une réponse, ce que je faisais tout le temps. Mon nom, elle me demandait mon nom, je n’allais tout de même pas le lui révéler … Non je lui dirai mon pseudonyme, enfin le nom sous lequel tout le monde me connaissait depuis quelques temps ! Je la regardai droit dans les yeux, puis avec une pointe d’amusement répondis :

« Marchombre … On me nomme Marchombre, miss Stella. »

J’avais un peu trop précipité le premier mot, mais je me repris avec le reste de la phrase qui vient bien plus douce et moins agressive ! Je ne suis pas tellement un bon acteur, bien que j’adore le théâtre et le cinéma moldu ! Je ressortis donc ma baguette, toujours au cas où ! Cette île regorgeait de créature aussi malfaisante que bienfaisante et je n’allais pas courir de risque, ou mettre mon destin dans les mains d’un membre de l’Ordre, je ne voudrais pas lui être reconnaissant ! Je regardais donc au loin, vers les collines et montagnes avant de reporter mon attention sur la jeune demoiselle qui me regardait comme on regarde un tableau au musée ou un déchet encombrant !

« Les collines, pourquoi pas ? De toute façon, si j’ai bien compris il faut visiter toute l’île ? Donc commençons par les endroits les plus sombres pour ne pas mourir jeune ! »

Mon humour était dérisoire, et il l’est toujours, mais bon j’adore les sarcasmes et l’ironie, il faut avoir un certain parler et une bonne connaissance des mots et du vocabulaire pour pouvoir l’utiliser, enfin je crois. Toujours est-il, que je fis un pas en arrière sans cesser de regarder mon interlocutrice. Une fois sorti de derrière l’arbre massif qui aurait du me servir de cachette, je commençai à avancer sans savoir si Stella me suivait et qu’importe, mais je vérifier toujours mes arrières : je n’avais pas confiance en cette membre de l’Ordre, pas la moindre !

Me retournant, une fois à la lisère, je lui dis :

« Alors, êtes-vous prête pour une escapades dans les recoins d’une île qui fera tout pour nous tuer ? »

Et pas seulement l’île chérie, moi aussi j’aimerais te tuer …

[Bourse]

Stella GAlactica … Pour être un nom c’est un nom ! Tout droit sorti d’un film moldu du style de Star Wars, un sourire se dessina proprement sur mon visage, laissant apparaitre des dents d’une blancheur naturelle rare. Elle me tendit sa main, et baissa sa baguette. Je l’attrapai, comme tous gentlemen, et elle continuait de parler. C’était une drôle de fille, sure d’elle et honnête. Elle disait ce qu’elle avait sur le cœur avec une pointe d’humour, tout à fait particulière. A vrai dire c’était charmant, dommage que ma mission consistait à lui faire mal … Enfin, je m’arrangerais pour ne pas qu’elle ait de dommage ! Mais pour le moment, je décidai de ne pas l’attaquer, non j’allais sympathiser et voir comment la suite des événements se dérouleraient.

Elle proposa d’aller regarder vers les collines, et les montagnes pour observer les grottes qu’il y avait. Elle devait surement être au courant des trolls de la région, alors je ne l’averti guère plus, de toute façon elle était mon ennemie, non ? Je baissai ma baguette moi aussi, et la rangea dans ma manche, pour prendre sa main. Sa main était douce aussi lisse qu’une peau de bébé. Ses doigts révélaient une dextérité exceptionnelle. Ainsi observant pendant une demi-seconde sa main, je baissai mon buste et inclinai ensuite ma tête pour aller rejoindre sa main que je baisai tendrement d’un furtif contact entre mes lèvres et sa main.

Je me relevais presque aussi tôt, mon père avait eut la patience de m’éduquer dans le chemin de la classe et de l’élégance comme tout britannique fier de ses origines. Bien entendu cette classe devait aussi s’exprimer par le choix des mots dans une réponse, ce que je faisais tout le temps. Mon nom, elle me demandait mon nom, je n’allais tout de même pas le lui révéler … Non je lui dirai mon pseudonyme, enfin le nom sous lequel tout le monde me connaissait depuis quelques temps ! Je la regardai droit dans les yeux, puis avec une pointe d’amusement répondis :

« Marchombre … On me nomme Marchombre, miss Stella. »

J’avais un peu trop précipité le premier mot, mais je me repris avec le reste de la phrase qui vient bien plus douce et moins agressive ! Je ne suis pas tellement un bon acteur, bien que j’adore le théâtre et le cinéma moldu ! Je ressortis donc ma baguette, toujours au cas où ! Cette île regorgeait de créature aussi malfaisante que bienfaisante et je n’allais pas courir de risque, ou mettre mon destin dans les mains d’un membre de l’Ordre, je ne voudrais pas lui être reconnaissant ! Je regardais donc au loin, vers les collines et montagnes avant de reporter mon attention sur la jeune demoiselle qui me regardait comme on regarde un tableau au musée ou un déchet encombrant !

« Les collines, pourquoi pas ? De toute façon, si j’ai bien compris il faut visiter toute l’île ? Donc commençons par les endroits les plus sombres pour ne pas mourir jeune ! »

Mon humour était dérisoire, et il l’est toujours, mais bon j’adore les sarcasmes et l’ironie, il faut avoir un certain parler et une bonne connaissance des mots et du vocabulaire pour pouvoir l’utiliser, enfin je crois. Toujours est-il, que je fis un pas en arrière sans cesser de regarder mon interlocutrice. Une fois sorti de derrière l’arbre massif qui aurait du me servir de cachette, je commençai à avancer sans savoir si Stella me suivait et qu’importe, mais je vérifier toujours mes arrières : je n’avais pas confiance en cette membre de l’Ordre, pas la moindre !

Me retournant, une fois à la lisère, je lui dis :

« Alors, êtes-vous prête pour une escapades dans les recoins d’une île qui fera tout pour nous tuer ? »

Et pas seulement l’île chérie, moi aussi j’aimerais te tuer …

[Données]

Stella GAlactica … Pour être un nom c’est un nom ! Tout droit sorti d’un film moldu du style de Star Wars, un sourire se dessina proprement sur mon visage, laissant apparaitre des dents d’une blancheur naturelle rare. Elle me tendit sa main, et baissa sa baguette. Je l’attrapai, comme tous gentlemen, et elle continuait de parler. C’était une drôle de fille, sure d’elle et honnête. Elle disait ce qu’elle avait sur le cœur avec une pointe d’humour, tout à fait particulière. A vrai dire c’était charmant, dommage que ma mission consistait à lui faire mal … Enfin, je m’arrangerais pour ne pas qu’elle ait de dommage ! Mais pour le moment, je décidai de ne pas l’attaquer, non j’allais sympathiser et voir comment la suite des événements se dérouleraient.

Elle proposa d’aller regarder vers les collines, et les montagnes pour observer les grottes qu’il y avait. Elle devait surement être au courant des trolls de la région, alors je ne l’averti guère plus, de toute façon elle était mon ennemie, non ? Je baissai ma baguette moi aussi, et la rangea dans ma manche, pour prendre sa main. Sa main était douce aussi lisse qu’une peau de bébé. Ses doigts révélaient une dextérité exceptionnelle. Ainsi observant pendant une demi-seconde sa main, je baissai mon buste et inclinai ensuite ma tête pour aller rejoindre sa main que je baisai tendrement d’un furtif contact entre mes lèvres et sa main.

Je me relevais presque aussi tôt, mon père avait eut la patience de m’éduquer dans le chemin de la classe et de l’élégance comme tout britannique fier de ses origines. Bien entendu cette classe devait aussi s’exprimer par le choix des mots dans une réponse, ce que je faisais tout le temps. Mon nom, elle me demandait mon nom, je n’allais tout de même pas le lui révéler … Non je lui dirai mon pseudonyme, enfin le nom sous lequel tout le monde me connaissait depuis quelques temps ! Je la regardai droit dans les yeux, puis avec une pointe d’amusement répondis :

« Marchombre … On me nomme Marchombre, miss Stella. »

J’avais un peu trop précipité le premier mot, mais je me repris avec le reste de la phrase qui vient bien plus douce et moins agressive ! Je ne suis pas tellement un bon acteur, bien que j’adore le théâtre et le cinéma moldu ! Je ressortis donc ma baguette, toujours au cas où ! Cette île regorgeait de créature aussi malfaisante que bienfaisante et je n’allais pas courir de risque, ou mettre mon destin dans les mains d’un membre de l’Ordre, je ne voudrais pas lui être reconnaissant ! Je regardais donc au loin, vers les collines et montagnes avant de reporter mon attention sur la jeune demoiselle qui me regardait comme on regarde un tableau au musée ou un déchet encombrant !

« Les collines, pourquoi pas ? De toute façon, si j’ai bien compris il faut visiter toute l’île ? Donc commençons par les endroits les plus sombres pour ne pas mourir jeune ! »

Mon humour était dérisoire, et il l’est toujours, mais bon j’adore les sarcasmes et l’ironie, il faut avoir un certain parler et une bonne connaissance des mots et du vocabulaire pour pouvoir l’utiliser, enfin je crois. Toujours est-il, que je fis un pas en arrière sans cesser de regarder mon interlocutrice. Une fois sorti de derrière l’arbre massif qui aurait du me servir de cachette, je commençai à avancer sans savoir si Stella me suivait et qu’importe, mais je vérifier toujours mes arrières : je n’avais pas confiance en cette membre de l’Ordre, pas la moindre !

Me retournant, une fois à la lisère, je lui dis :

« Alors, êtes-vous prête pour une escapades dans les recoins d’une île qui fera tout pour nous tuer ? »

Et pas seulement l’île chérie, moi aussi j’aimerais te tuer …

[Expérience]

Stella GAlactica … Pour être un nom c’est un nom ! Tout droit sorti d’un film moldu du style de Star Wars, un sourire se dessina proprement sur mon visage, laissant apparaitre des dents d’une blancheur naturelle rare. Elle me tendit sa main, et baissa sa baguette. Je l’attrapai, comme tous gentlemen, et elle continuait de parler. C’était une drôle de fille, sure d’elle et honnête. Elle disait ce qu’elle avait sur le cœur avec une pointe d’humour, tout à fait particulière. A vrai dire c’était charmant, dommage que ma mission consistait à lui faire mal … Enfin, je m’arrangerais pour ne pas qu’elle ait de dommage ! Mais pour le moment, je décidai de ne pas l’attaquer, non j’allais sympathiser et voir comment la suite des événements se dérouleraient.

Elle proposa d’aller regarder vers les collines, et les montagnes pour observer les grottes qu’il y avait. Elle devait surement être au courant des trolls de la région, alors je ne l’averti guère plus, de toute façon elle était mon ennemie, non ? Je baissai ma baguette moi aussi, et la rangea dans ma manche, pour prendre sa main. Sa main était douce aussi lisse qu’une peau de bébé. Ses doigts révélaient une dextérité exceptionnelle. Ainsi observant pendant une demi-seconde sa main, je baissai mon buste et inclinai ensuite ma tête pour aller rejoindre sa main que je baisai tendrement d’un furtif contact entre mes lèvres et sa main.

Je me relevais presque aussi tôt, mon père avait eut la patience de m’éduquer dans le chemin de la classe et de l’élégance comme tout britannique fier de ses origines. Bien entendu cette classe devait aussi s’exprimer par le choix des mots dans une réponse, ce que je faisais tout le temps. Mon nom, elle me demandait mon nom, je n’allais tout de même pas le lui révéler … Non je lui dirai mon pseudonyme, enfin le nom sous lequel tout le monde me connaissait depuis quelques temps ! Je la regardai droit dans les yeux, puis avec une pointe d’amusement répondis :

« Marchombre … On me nomme Marchombre, miss Stella. »

J’avais un peu trop précipité le premier mot, mais je me repris avec le reste de la phrase qui vient bien plus douce et moins agressive ! Je ne suis pas tellement un bon acteur, bien que j’adore le théâtre et le cinéma moldu ! Je ressortis donc ma baguette, toujours au cas où ! Cette île regorgeait de créature aussi malfaisante que bienfaisante et je n’allais pas courir de risque, ou mettre mon destin dans les mains d’un membre de l’Ordre, je ne voudrais pas lui être reconnaissant ! Je regardais donc au loin, vers les collines et montagnes avant de reporter mon attention sur la jeune demoiselle qui me regardait comme on regarde un tableau au musée ou un déchet encombrant !

« Les collines, pourquoi pas ? De toute façon, si j’ai bien compris il faut visiter toute l’île ? Donc commençons par les endroits les plus sombres pour ne pas mourir jeune ! »

Mon humour était dérisoire, et il l’est toujours, mais bon j’adore les sarcasmes et l’ironie, il faut avoir un certain parler et une bonne connaissance des mots et du vocabulaire pour pouvoir l’utiliser, enfin je crois. Toujours est-il, que je fis un pas en arrière sans cesser de regarder mon interlocutrice. Une fois sorti de derrière l’arbre massif qui aurait du me servir de cachette, je commençai à avancer sans savoir si Stella me suivait et qu’importe, mais je vérifier toujours mes arrières : je n’avais pas confiance en cette membre de l’Ordre, pas la moindre !

Me retournant, une fois à la lisère, je lui dis :

« Alors, êtes-vous prête pour une escapades dans les recoins d’une île qui fera tout pour nous tuer ? »

Et pas seulement l’île chérie, moi aussi j’aimerais te tuer …

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

Wallander, pas bien. Le ton de sa voix, tout le reste. De toute manière je savais qui il était. Ma mission était bien d'explorer cette île tout en risquant de ce faire attaquer par un ennemi. En faites, je ne savais pas si les Wallanders étaient VRAIMENT dangereux. Les Mangemorts m'avaient personnellement fait du mal. Je nourrissais tellement de haine envers eux. Envers lui plus particulièrement. J'avais bien l'intention de retrouver mon père, et ça par tout les moyens possibles et imaginables. Ce n'est pas un petit Wallander qui allait me faire peur ça non. Marchombre? Son nom c'était Marchombre?! ... Un joyeux petit surnom de pirate pour un sorcier qui à choisit le clan de la facilitée. Sans doute. C'était ça les Wallanders. J'en avais conclu que vouloir éliminer les deux parties en guerre était purement stupide.

Humour noir. Commencer par les endroits sombres pour ne pas mourrir jeune. ... C'est marrant plus il parlait plus je le trouvais ennuyeux et sombre. Et voilà qu'il en rajoutais une couche. Comme si cette île regorgeait de filets du Diable. N'importe quoi. Je sortis des poches de mon manteau des gants en cuir de dragon. De chez "Mrs Guipure, prêt-à-porter pour mages et sorciers", grande qualité pour petit budget. Sympa. Je me saisis de ma baguette et repris mon chemin. Je marchais au côté de ce Wallander. Je jetais quelques regards furtifs à cet homme tout en avancant sur un sentier montant. Une pente sèche qui menait à une espèce de plaine déserte. Tout en regardant droit devant moi, la baguette lever pour m'éclairer je lui expliquais:

"Soyons honnête, je sais ce que vous êtes et pourquoi vous êtes ici. Quand à moi je suis ici pour m'informer sur cette île. Pour réduire les Mangemorts et vous-savez-qui au silence. Je pense que vous êtes là pour faire "concurrence" ou simplement pour m'arrêter. Personnellement ma mission n'est pas de vous prêter attention mais d'effectuer des recherches. A bon entendeur bien sûr."

Je lui esquissais un sourire qui n'était en d'aucunes sortes ironique mais plutôt confiant. Je tiens TOUJOURS ma parole.

HS: Désolé de cette réponse à deux Noises ><" Pas d'inspi!

[Localisation]

Wallander, pas bien. Le ton de sa voix, tout le reste. De toute manière je savais qui il était. Ma mission était bien d'explorer cette île tout en risquant de ce faire attaquer par un ennemi. En faites, je ne savais pas si les Wallanders étaient VRAIMENT dangereux. Les Mangemorts m'avaient personnellement fait du mal. Je nourrissais tellement de haine envers eux. Envers lui plus particulièrement. J'avais bien l'intention de retrouver mon père, et ça par tout les moyens possibles et imaginables. Ce n'est pas un petit Wallander qui allait me faire peur ça non. Marchombre? Son nom c'était Marchombre?! ... Un joyeux petit surnom de pirate pour un sorcier qui à choisit le clan de la facilitée. Sans doute. C'était ça les Wallanders. J'en avais conclu que vouloir éliminer les deux parties en guerre était purement stupide.

Humour noir. Commencer par les endroits sombres pour ne pas mourrir jeune. ... C'est marrant plus il parlait plus je le trouvais ennuyeux et sombre. Et voilà qu'il en rajoutais une couche. Comme si cette île regorgeait de filets du Diable. N'importe quoi. Je sortis des poches de mon manteau des gants en cuir de dragon. De chez "Mrs Guipure, prêt-à-porter pour mages et sorciers", grande qualité pour petit budget. Sympa. Je me saisis de ma baguette et repris mon chemin. Je marchais au côté de ce Wallander. Je jetais quelques regards furtifs à cet homme tout en avancant sur un sentier montant. Une pente sèche qui menait à une espèce de plaine déserte. Tout en regardant droit devant moi, la baguette lever pour m'éclairer je lui expliquais:

"Soyons honnête, je sais ce que vous êtes et pourquoi vous êtes ici. Quand à moi je suis ici pour m'informer sur cette île. Pour réduire les Mangemorts et vous-savez-qui au silence. Je pense que vous êtes là pour faire "concurrence" ou simplement pour m'arrêter. Personnellement ma mission n'est pas de vous prêter attention mais d'effectuer des recherches. A bon entendeur bien sûr."

Je lui esquissais un sourire qui n'était en d'aucunes sortes ironique mais plutôt confiant. Je tiens TOUJOURS ma parole.

HS: Désolé de cette réponse à deux Noises ><" Pas d'inspi!

[Nb de messages]

Wallander, pas bien. Le ton de sa voix, tout le reste. De toute manière je savais qui il était. Ma mission était bien d'explorer cette île tout en risquant de ce faire attaquer par un ennemi. En faites, je ne savais pas si les Wallanders étaient VRAIMENT dangereux. Les Mangemorts m'avaient personnellement fait du mal. Je nourrissais tellement de haine envers eux. Envers lui plus particulièrement. J'avais bien l'intention de retrouver mon père, et ça par tout les moyens possibles et imaginables. Ce n'est pas un petit Wallander qui allait me faire peur ça non. Marchombre? Son nom c'était Marchombre?! ... Un joyeux petit surnom de pirate pour un sorcier qui à choisit le clan de la facilitée. Sans doute. C'était ça les Wallanders. J'en avais conclu que vouloir éliminer les deux parties en guerre était purement stupide.

Humour noir. Commencer par les endroits sombres pour ne pas mourrir jeune. ... C'est marrant plus il parlait plus je le trouvais ennuyeux et sombre. Et voilà qu'il en rajoutais une couche. Comme si cette île regorgeait de filets du Diable. N'importe quoi. Je sortis des poches de mon manteau des gants en cuir de dragon. De chez "Mrs Guipure, prêt-à-porter pour mages et sorciers", grande qualité pour petit budget. Sympa. Je me saisis de ma baguette et repris mon chemin. Je marchais au côté de ce Wallander. Je jetais quelques regards furtifs à cet homme tout en avancant sur un sentier montant. Une pente sèche qui menait à une espèce de plaine déserte. Tout en regardant droit devant moi, la baguette lever pour m'éclairer je lui expliquais:

"Soyons honnête, je sais ce que vous êtes et pourquoi vous êtes ici. Quand à moi je suis ici pour m'informer sur cette île. Pour réduire les Mangemorts et vous-savez-qui au silence. Je pense que vous êtes là pour faire "concurrence" ou simplement pour m'arrêter. Personnellement ma mission n'est pas de vous prêter attention mais d'effectuer des recherches. A bon entendeur bien sûr."

Je lui esquissais un sourire qui n'était en d'aucunes sortes ironique mais plutôt confiant. Je tiens TOUJOURS ma parole.

HS: Désolé de cette réponse à deux Noises ><" Pas d'inspi!

[Bourse]

Wallander, pas bien. Le ton de sa voix, tout le reste. De toute manière je savais qui il était. Ma mission était bien d'explorer cette île tout en risquant de ce faire attaquer par un ennemi. En faites, je ne savais pas si les Wallanders étaient VRAIMENT dangereux. Les Mangemorts m'avaient personnellement fait du mal. Je nourrissais tellement de haine envers eux. Envers lui plus particulièrement. J'avais bien l'intention de retrouver mon père, et ça par tout les moyens possibles et imaginables. Ce n'est pas un petit Wallander qui allait me faire peur ça non. Marchombre? Son nom c'était Marchombre?! ... Un joyeux petit surnom de pirate pour un sorcier qui à choisit le clan de la facilitée. Sans doute. C'était ça les Wallanders. J'en avais conclu que vouloir éliminer les deux parties en guerre était purement stupide.

Humour noir. Commencer par les endroits sombres pour ne pas mourrir jeune. ... C'est marrant plus il parlait plus je le trouvais ennuyeux et sombre. Et voilà qu'il en rajoutais une couche. Comme si cette île regorgeait de filets du Diable. N'importe quoi. Je sortis des poches de mon manteau des gants en cuir de dragon. De chez "Mrs Guipure, prêt-à-porter pour mages et sorciers", grande qualité pour petit budget. Sympa. Je me saisis de ma baguette et repris mon chemin. Je marchais au côté de ce Wallander. Je jetais quelques regards furtifs à cet homme tout en avancant sur un sentier montant. Une pente sèche qui menait à une espèce de plaine déserte. Tout en regardant droit devant moi, la baguette lever pour m'éclairer je lui expliquais:

"Soyons honnête, je sais ce que vous êtes et pourquoi vous êtes ici. Quand à moi je suis ici pour m'informer sur cette île. Pour réduire les Mangemorts et vous-savez-qui au silence. Je pense que vous êtes là pour faire "concurrence" ou simplement pour m'arrêter. Personnellement ma mission n'est pas de vous prêter attention mais d'effectuer des recherches. A bon entendeur bien sûr."

Je lui esquissais un sourire qui n'était en d'aucunes sortes ironique mais plutôt confiant. Je tiens TOUJOURS ma parole.

HS: Désolé de cette réponse à deux Noises ><" Pas d'inspi!

[Données]

Wallander, pas bien. Le ton de sa voix, tout le reste. De toute manière je savais qui il était. Ma mission était bien d'explorer cette île tout en risquant de ce faire attaquer par un ennemi. En faites, je ne savais pas si les Wallanders étaient VRAIMENT dangereux. Les Mangemorts m'avaient personnellement fait du mal. Je nourrissais tellement de haine envers eux. Envers lui plus particulièrement. J'avais bien l'intention de retrouver mon père, et ça par tout les moyens possibles et imaginables. Ce n'est pas un petit Wallander qui allait me faire peur ça non. Marchombre? Son nom c'était Marchombre?! ... Un joyeux petit surnom de pirate pour un sorcier qui à choisit le clan de la facilitée. Sans doute. C'était ça les Wallanders. J'en avais conclu que vouloir éliminer les deux parties en guerre était purement stupide.

Humour noir. Commencer par les endroits sombres pour ne pas mourrir jeune. ... C'est marrant plus il parlait plus je le trouvais ennuyeux et sombre. Et voilà qu'il en rajoutais une couche. Comme si cette île regorgeait de filets du Diable. N'importe quoi. Je sortis des poches de mon manteau des gants en cuir de dragon. De chez "Mrs Guipure, prêt-à-porter pour mages et sorciers", grande qualité pour petit budget. Sympa. Je me saisis de ma baguette et repris mon chemin. Je marchais au côté de ce Wallander. Je jetais quelques regards furtifs à cet homme tout en avancant sur un sentier montant. Une pente sèche qui menait à une espèce de plaine déserte. Tout en regardant droit devant moi, la baguette lever pour m'éclairer je lui expliquais:

"Soyons honnête, je sais ce que vous êtes et pourquoi vous êtes ici. Quand à moi je suis ici pour m'informer sur cette île. Pour réduire les Mangemorts et vous-savez-qui au silence. Je pense que vous êtes là pour faire "concurrence" ou simplement pour m'arrêter. Personnellement ma mission n'est pas de vous prêter attention mais d'effectuer des recherches. A bon entendeur bien sûr."

Je lui esquissais un sourire qui n'était en d'aucunes sortes ironique mais plutôt confiant. Je tiens TOUJOURS ma parole.

HS: Désolé de cette réponse à deux Noises ><" Pas d'inspi!

[Expérience]

Wallander, pas bien. Le ton de sa voix, tout le reste. De toute manière je savais qui il était. Ma mission était bien d'explorer cette île tout en risquant de ce faire attaquer par un ennemi. En faites, je ne savais pas si les Wallanders étaient VRAIMENT dangereux. Les Mangemorts m'avaient personnellement fait du mal. Je nourrissais tellement de haine envers eux. Envers lui plus particulièrement. J'avais bien l'intention de retrouver mon père, et ça par tout les moyens possibles et imaginables. Ce n'est pas un petit Wallander qui allait me faire peur ça non. Marchombre? Son nom c'était Marchombre?! ... Un joyeux petit surnom de pirate pour un sorcier qui à choisit le clan de la facilitée. Sans doute. C'était ça les Wallanders. J'en avais conclu que vouloir éliminer les deux parties en guerre était purement stupide.

Humour noir. Commencer par les endroits sombres pour ne pas mourrir jeune. ... C'est marrant plus il parlait plus je le trouvais ennuyeux et sombre. Et voilà qu'il en rajoutais une couche. Comme si cette île regorgeait de filets du Diable. N'importe quoi. Je sortis des poches de mon manteau des gants en cuir de dragon. De chez "Mrs Guipure, prêt-à-porter pour mages et sorciers", grande qualité pour petit budget. Sympa. Je me saisis de ma baguette et repris mon chemin. Je marchais au côté de ce Wallander. Je jetais quelques regards furtifs à cet homme tout en avancant sur un sentier montant. Une pente sèche qui menait à une espèce de plaine déserte. Tout en regardant droit devant moi, la baguette lever pour m'éclairer je lui expliquais:

"Soyons honnête, je sais ce que vous êtes et pourquoi vous êtes ici. Quand à moi je suis ici pour m'informer sur cette île. Pour réduire les Mangemorts et vous-savez-qui au silence. Je pense que vous êtes là pour faire "concurrence" ou simplement pour m'arrêter. Personnellement ma mission n'est pas de vous prêter attention mais d'effectuer des recherches. A bon entendeur bien sûr."

Je lui esquissais un sourire qui n'était en d'aucunes sortes ironique mais plutôt confiant. Je tiens TOUJOURS ma parole.

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