Le Coeur Parle, Les Yeux Ecoutent | Cloé [TERMINÉ]

— ADMINISTRATEUR —

Spoiler:

Spoiler:

- Te parler. Je t'en demande pas plus, t'aura juste à m'écouter. Après, tu pourra retourner danser avec l'autre mec.

- Vous avez fait un super boulot, cette cabane était dans un état déplorable.

- Que la présence du lit ne t'affole pas... Si je t'ai amené jusqu'ici, c'est pour parler et que c'est le seul endroit ou on peut être tranquille, sans ce geler. Mais si tu veux qu'on aille dehors, je te suivrais.
Si tu m'en donne le droit, je te suivrai ou tu veux Cloé.

- Je... Je sais pas par ou commencer... C'est si facile à faire pourtant, si facile... de reconnaître les faits, les torts. Au terrain de Quidditch... Là, oui, je savais ou j'en étais... Mais depuis beaucoup d'eau à couler sous les ponts... Et je suis perdu Cloé. Complètement.

- Au début, je n'ai pas comprit ta réaction. Nous n'étions pas ensemble, j'avais de la rancoeur, car tu m'avais laissé en plan, et coucher avec Kerta dans ta salle commune, avait un doux parfum de vengeance. Mais, je ne savais pas encore, que je m'étais engager auprès d'une autre avant. Je ne savais pas que je m'étais engagé envers toi Cloé.

La fête battait son pleins et pourtant, Cloé ne s'était pas encore vraiment amusée. contrairement à Cassie qui dansait comme une folle en pleins milieux de la piste. Cloé jeta à sa sœur un regard presque gêné lorsqu'elle se tourna vers elle. Puis finalement, elle se tourna de nouveau vers Laurence. Elle s'obligea à le détailler, pour ne pas se concentrer trop sur ses yeux. Il c'était habillé d'une façon totalement.; Laurencienne. Très classe, très sobre. Cloé savait qu'il misait plus sur son physique que sur la façon dont il s'habillait. Et il avait raison. Il portait un pantalon noir à pinces, un chemise blanche et une veste a col mao. Il était très séduisant, et même si Cloé refusait de l'admettre, elle lui aurait bien sauté au cou, là maintenant tout de suite. Mais pas de fausses illusions tout de suite. Elle inspira doucement et écouta Laurence qui voulait lui parler. Zut.. ça ressemblait un peu trop au coup de la salle sur demande. Cloé faillit grimacer mais se retint. Il précisa que ensuite elle pourrait rejoindre l'autre mec. Soit dit en passant, Charles. Cloé haussa les épaules. Peut importe Charles. Ce n'était qu'un garçon parmi tant d'autres. Et puis il ne dansait pas si bien que cela. Cloé acquiesça du menton et laissa Laurence prendre la place de Charles au niveau de sa taille.

Elle se laissa guider parmi la foule qui dansait. Se forçant à sourire, histoire de cacher ses ressentis. Elle salua plusieurs personnes dans la foule et croyant qu'ils allaient dehors, Cloé se dirigea vers la porte d'entrée. Seulement, Laurence le dirigea vers les escaliers. Heureusement qu'il était derrière elle, parce que Cloé eut un regard choqué. Elle savait que les seules pièces qui étaient en haut étaient des chambres. Si il espérait se la serrer ici, alors là, il pouvait rêver le Nixon. Mais Cloé se rappela ce que Aëlys avait pu lui dire de nombreuses fois. " Temporise ". Temporiser.. Prendre le temps. Ne pas se jeter sur une impression. Cloé inspira doucement et monta les escaliers comme Laurence lui indiquait. Il les complimenta sur le boulot. Elle répondit simplement:

- Alix nous a beaucoup aidé Aëlys et moi.

Elle laissa Laurence pousser la porte de la chambre. Occupé. Cela renforça bêtement le malaise de la blondinette qui se força à déglutir. Finalement, ils entrèrent dans une seconde chambre, libre celle-ci. Laurence précisa alors que le lit ne devait pas l'affoler. Cette simple phrase réussit à faire baisser la tension d'un cran. Il proposa d'aller dehors mais Cloé fit non de la tête. C'était pas en robe qu'elle risquait de survivre sous ce blizzard. Ce qu'il dit juste ensuite, Cloé le prit en pleins cœur. Sentant ses larmes monter. Elle se mordit la lèvres. Ne pas pleurer. C'était indigne d'une Wicked. Indigne. Il posa une chaise face au lit et l'assit sur la chaise pendant qu'il s'assit sur le lit. Cloé fut surprise de la présence de tact que présenta Laurence. Est ce qu'il avait vraiment changé où avait il inspecté toute la situation ? Ou était-ce vraiment spontané de sa part ? Elle le laissa parler un peu. Il était perdu. Il en avait l'air en effet. Enfin, pas plus qu'elle tout de moins. Drôle de revirement de situation lorsqu'on sait qu'il y a quelques jours à peines elle était une 'copine allumeuse' de Aëlys et qu'il lui hurlait dessus. Il avait jouer sur la vengeance. Que faisait ce mec à Gryffondor ? Il semblait tellement.. vert et argent des fois.

C'est vrai que lorsqu'elle avait su que Laurence avait couché avec Kerta, elle l'avait très mal prit. Très très mal prit serait plus juste même. Mais quand on avait ajouté que ca c'était passé à quelques mètres d'elle, dans SA salle commune, alors qu'elle dormait.. alors la tristesse avait céder la place à la colère. La furie plutôt. Bref, c'était vraiment horrible, et à vrai dire, Cloé l'avait encore au travers de la gorge.

- Tu ne te rends pas comptes que l'effet que ça à put me faire Laurence. Non seulement avec une de mes meilleures amies.. mais en plus chez moi.

Elle avait bien envie de baisser encore les yeux. Mais plus bas c'était impossible. Finalement elle inspira et fut de nouveau touchée. Il c'était donc engagé envers elle. Il s'en était aperçut un peu trop tard. Elle avança alors sa main vers le menton de Laurence, histoire de lui relever la tête. Puis finalement laissé sa main tomber sur ses genoux. Elle ne savait plus trop quoi répondre. Ils s'étaient mis à plat et c'était finit ou.. ?

— ADMINISTRATEUR —

- Non, je ne le sais pas Cloé. Et c'est pour ça que je l'ai fais. Et c'est pour ça que je le regrette. Tu m'avais prévenu, mon côté insouciant me perdra. Voilà, c'est fait.

"Flash-back":

- Je ne joue plus avec les filles Cloé... Depuis Kerta, je n'ai touché aucune fille... Depuis la dernière fois, la seule fille à qui j'ai pensé c'est toi Cloé.

- Si tu me laisse une dernière chance, je te jure, que je ne te décevrais plus.
J'ai pris conscience de mes sentiments envers toi...
S'il te plaît Cloé Wicked... Laissez moi, une dernière chance...

Assise bien droite sur la chaise, le dos collé au dossier, Cloé cherchait un quelconque soutient sur cette chaise minable. Elle aurait voulu se lever et s'assoir sur les genoux de Nixon, comme elle avait pu faire lorsqu'elle le cherchait. Elle aurait voulu pour passer ses bras autour de son cou et se cacher dans le creux qui se présenterait. Elle aurait voulu tout ça. Et si elle l'aurait voulu avant, s'il n'y avait pas eut l'histoire avec Kerta alors ils seraient certainement là à se caliner, pas à s'expliquer tout les maux du monde. Au moins, il prenait conscience qu'il avait fait une connerie avec Kerta. Mais cela ne s'oubliait pas comme ça. Il faudrait qu'il lui laisse un peu de temps. Elle leva les yeux vers Laurence, sentant les larmes couler le long de ses joues. Elle ne savait pas si elle devait laisser tomber toute cette histoire et se réfugier dans les bras de celui qu'elle aimait depuis.. 2 ans ? La première impression n'avait pas été la bonne. Elle l'avait jeté, à cause de sa réputation. Mais Laurence promettait de changer. Il avait déjà changé. Un petit peu.

- Mhm..

Elle tenta alors de lui toucher le visage. Puis finalement laissa tomber et sa main retombe mollement sur ses genoux. Il prit alors l'initiative d'attraper la sienne. Cloé sentit son cœur rater un battement. Ça faisait une éternité qu'ils n'avaient plus eut de contact physique, si ce n'est le moment ou il l'avait plaqué contre le mur. Cloé regarda alors ses poignets. Plus de traces d'hématomes. Alors disons que c'était le massage de la fois dernière. Dans les vestiaires. Cloé sentit ses bras se détendre. Le toucher de Laurence l'emplit de confiance. Il était doux. Il n'avait penser qu'a elle. Cloé sentit ses larmes couler de nouveau. De plus belle. Ce n'étaient que des larmes. Pas de sanglots. Juste des larmes qui coulaient le long de ses joues et s'écrasaient sur sa belle robe de soie. Il lui demanda finalement une dernière chance. Elle n'avait plus rien à perdre. De toute façon elle n'était rien sans lui. Elle avait besoin de ces rapports de force, de ces fou rires qu'elle pouvait avoir avec lui. Des disputes aussi. Mais tout sauf l'ignorance. Cloé fit alors ce qu'elle avait voulu depuis tout t'a l'heure. Elle se leva et alla se blottir dans les bras de Laurence, le visage dans le creux de son cou, pleurant encore doucement.

- D'accord..

Dit-elle d'une voix qui n'était pas la sienne, encore légèrement gênée par l'enrouement qu'engendraient les larmes qui coulaient à présent sur Laurence. Elle lui ferait confiance dorénavant. Cassie n'allait pas être enchantée, mais elle comprendrait. C'était sa sœur après tout. Quant à Aëlys, elle était surement déjà au courant. Elle inspira profondément, cherchant à arrêter de pleurer. Elle se sentait déjà un peu mieux contre la chaleur de Laurence et s'appliquait à ne pas renifler in-élégamment.

— ADMINISTRATEUR —

- Cloé... Je me rends de plus en plus compte à quel point je t'ai fais mal... Mais c'est finit!

Maintenant que Cloé y pensait, c'était la première fois qu'elle faisait un câlin au Gryffondor. Ils s'étaient battus souvent, ils s'étaient masser. Mais jamais d'accolades ni de câlins. C'était une drôle de manière de s'exprimer. Elle avait tellement balancé ses petits poings dans les abdos du Gryffondor que de s'y blottir faisait comme une antithèse. Cloé s'y sentait bien pourtant. Elle était blottie, cherchant non seulement la chaleur mais aussi la douceur de son Gryffondor. Elle avait envie de se laisser sommeiller. Les larmes obscurcissait sa vue et elle savait que lorsqu'elle pleurait elle avait souvent tendance à s'endormir. Elle frotta son nez contre le cou du Gryffondor, calme dans sa tristesse, heureuse finalement. Elle se laissait bercer dans les bras de Laurence. Il est vrai que Cloé avait très souvent espérer pouvoir se blottir ainsi. Seulement, sa méfiance et les hormones du Gryffondor avaient retardé ce moment. Mais finalement, Cloé ne s'en souciait plus. Elle voulait juste ne plus jamais avoir à ignorer celui qu'elle portait finalement dans son cœur.

Il caressait doucement ses cheveux, geste qui adoucissait n'importe qu'elle femme. Elle se laissait faire, elle ne se sentait plus du tout l'âme de résister à Laurence. Elle laissait juste ses gestes se faire tout seul. A présent, ses mains étaient doucement posés dans son cou. Cloé pensa alors qu'il serait temps de prévenir sa sœur. Elle devait sûrement se demander comment ça se passait ici. Elle n'avait guère envie de briser l'instant en communiquant avec sa jumelle. Cloé se servit donc de la deuxième fonction du bracelet qui permettait d'envoyer une couleur à Cassie, histoire de lui montrer son état d'âme. Cloé, dans le cou de Laurence, appuya sur l'émeraude qui prit un doux ton bleu qui signifiait la douceur et la tendresse, puis elle redevint verte. Le message était bien passé.

Pendant ce temps là, les mains de Laurence caressaient doucement sa peau, ses joues. Il laissa sa main aller jusqu'a son cou et lui releva doucement la tête. Pas top. Cloé était tout sauf séduisante là. Elle avait les yeux un peu gonflés, rouges et dont le mascara coulaient sur ses joues. Son nez prenait également une intéressante couleur rose. Mais Cloé ne baissa pas les yeux, elle se noya dans ceux du Gryffondor qui exprimaient une autre forme de charme. Ils étaient doux. Presque serein. Mais on sentait quelque-chose. Quelque-chose qui le tourmentait. Cloé n'eut pas à chercher longtemps. De toute façon elle en était incapable. Son cerveau était tout engourdit par les évènement. Il lui avait fait mal. Oui. Mais.. Elle n'eut le temps de répondre qu'il déposa ses lèvres sur les siennes. Cloé se sentit mieux, comme si il lui avait dit "je t'aime". Elle répondit au baiser sensuellement, doucement, comme elle aimait le faire. Lorsque Laurence rompit le baiser Cloé sembla presque agacé qu'il le termine si vite. Mais elle en profita pour souffler:

- C'est finit maintenant, on oublie et on repart comme tout aurait dû commencer.

C'était finit. Oui. Plus d'ignorance. Oh, il aurait surement encore des étincelles par-ci par-là. Mais rien de bien méchant. De toute façon les deux étaient trop différents pour que tout sois parfait tout de suite. Ils leurs faudra bien des sacrifices et des hurlement pour que tout soit calme et serein. Mais jamais d'ignorance. Ils seraient toujours là pour l'autre. C'était comme une certitude dans le petit cœur de Cloé. Celle-ci commençait d'ailleurs à se calmer. Laurence déposa de nouveau un bisou sur ses lèvres et la serra contre elle. Désireuse d'être rassurée, et aussi d'être sûre de ne pas être entrain de rêver elle demanda d'une petite voix -qui n'était toujours pas la sienne- :

- Ce n'est pas une blague hein..

Elle baissa les yeux et ajouta :

- Je sais que j'aurais pas dû te faire ça dans la salle sur demande. Mais c'était là seule façon de réussir à t'isoler..

Elle leva un regard désolé sur Laurence. Elle aussi avait fait des fautes. Elle aussi voulait qu'on les pardonne.

— ADMINISTRATEUR —

- Ta soeur sait que je suis ici et que je suis avec toi...

- Oublier? Si c'est ce que tu veux, dans ce cas, fait. Moi je pense plutôt en tirer une leçon. Puis, je ne peux oublier la difficulté que j'ai eu pour te soutirer quelques baisers...

- T'es têtu hein... Non c'est pas une blague. Peut-être un rêve, mais dans ce cas, laisse le durer.

Comment lui expliquer. De toute façon il n'avait pas de jumeau, ni de jumelle. Il ne pouvait pas comprendre. Cloé et Cassie, c'était une relation fusionnelle non-stop. Elles avaient toujours besoin de savoir comment allait l'autre, où était l'autre. Des fois, lorsque Cassie avait mal, Cloé le ressentait, même si elles étaient affreusement éloignées. Comme une sorte de lien télépathique qui unirait les deux sœurs à chaque instant. Elle fut gênée que Laurence le voit. Surtout, elle avait peur qu'il le prenne mal. ce n'était pas par rapport à lui qu'elle faisait ça. Mais par rapport à elle même. Cloé se sentit rougir un peu. Est-ce qu'elle devait expliquer ça à Laurence ? Le prendrait-il plus mal encore ? Elle décida de jouer la carte de l'honnêteté. Histoire de ne pas créer d'histoire à peine après trois minutes de vie de couple. Elle inspira doucement et en se blottissant de nouveau contre l'épaule de son tendre elle chuchota:

- Ne le prend pas mal.. C'est une habitude lorsqu'on est pas ensemble..

Elle n'eut pas le temps d'en dire d'avantage que Laurence lui rappela que Cassie savait parfaitement qu'ils étaient là haut. Ah oui.. Cloé avait presque oublié que c'était ce qu'elle avait vu Laurence et avec ce que Aëlys lui avait dit. D'ailleurs, ça la chipotait toujours un peu, Laurence et Cassie ne s'étaient jamais vu en peinture. Heureusement que Cassie était compréhensive parce que sinon, elle n'aurait même pas pu voir sa sœur avec Laurence. Mais là.. là elle ne comprenait pas pourquoi Laurence avait été voir sa sœur. Intenable, la blondinette ne pu s'empêcher de demander :

- Mais pourquoi est-ce que tu as été lui parlé ?

Elle sentit aussitôt Laurence passer à autre-chose. Il ne voulait pas oublier, il préférait en tirer leçon. Cloé haussa légèrement les épaules. Il ajouta qu'il ne voulait pas oublier comment il avait ramé pour lui voler quelques baisers. Cloé lui tira doucement la langue et mordilla sa lèvre inférieure d'un air taquin. Puis elle ajouta un peu penaude, mais toujours souriante :

- Je t'ai vraiment fait galérer n'est ce pas ?

Laurence eut la bonne idée de la rassurer en douceur. Elle était têtue oui, mais il devrait faire avec. Parce que Cloé avait toujours raison ! Enfin presque. Mais fallait faire comme ci c'était vraiment le cas. Elle fut contente de pouvoir passer ses bras autour du buste de Laurence et le serrer du plus fort qu'elle pouvait. Il l'empêcha de s'excuser. Bhen c'était une première encore. Un doigt sur la bouche et Cloé se tut. Il n'avait apparemment pas envie d'en parler. Elle le laissa passer sa main dans ses cheveux et ne fit rien lorsqu'il pivota. Ce fut une autre histoire lorsqu'il l'allongea doucement sur le lit. Cloé allait protester. Sévèrement même. Mais Laurence lui fit son petit regard apaisant et Cloé abandonna. De toute façon elle n'avait plus la force de l'empêcher. Elle se laissa tomber sur le matelas et s'enfonça légèrement dans les couvertures. Il attrapa sa main droite et enlaça sa main dans la sienne. Ils se regardèrent un instant. Comme si rien ne compter plus que de pouvoir admirer l'autre. Mais Cloé fut bientôt obligée de fermer les yeux. Laurence se penchait sur elle et s'emparait de ses lèvres avec une infinie tendresse. Cloé sentit alors sentit toutes ses peurs s'envoler. Maintenant, tout serait plus simple. Elle se laissa envouter par le baiser du Gryffondor, cherchant toujours plus de tendresse et d'affection dans les mouvements des lèvres qui se cherchaient et se trouvaient. Elle passa sa main gauche dans le cou du Rouge et or et laissa ses doigts blancs caresser sa peau avec douceur. Cloé laissa la durer le baiser jusqu'à ce que sa tête commence à lui tourner d'enivrement. Doucement, elle laissa ses lèvres lâcher celles de Laurence. Elle le laissa reculer mais garda une main dans son cou pour ne pas qu'il aille trop loin. Elle chercha le regard de son rouge et or et plongea de nouveau dans ses yeux qui avaient changés d'étincelle sans perdre de leur charme. Il était beau. Elle n'avait jamais caché l'attirance qu'elle avait pour Laurence. C'était plutôt les sentiments qu'elle avait caché pendant ce deux années. Elle attira finalement Laurence contre elle, dans une étreinte à la fois douce et sensuelle.

— ADMINISTRATEUR —

C'est stressant en fait...

Ta soeur, tu la tiens en haute-estime. De plus, vous êtes jumelles. Plus que de simple soeur. Et je sais qu'elle ne m'apprécie pas. Je lui ai demandé qu'elle me laisse un peu de crédit. Pour que je n'ai pas à subir ses regards.
Elle me laisse une chance de me rattraper on va dire... Comme toi.

Ça valait le coup non?

N'oublions pas qu'il y a une fête en bas. Et t'as des invités. Allons-y.

- Je peux comprendre, n'y pense plus.

- D'accord, je penses que tu as bien fait.

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