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Roxane Moonshadow [ VALIDEE ]

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Invité

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Roxane Moonshadow [ VALIDEE ] Vide
MessageSujet: Roxane Moonshadow [ VALIDEE ]   Roxane Moonshadow [ VALIDEE ] EmptyDim 5 Déc - 21:16

    1. Votre Personnage

    Personne qui représentera votre personnage : Ali Larter
    Nom : Moonshadow
    Prénom : Roxane
    Date de naissance : 16 aout 1975 ( 24 ans )
    Groupe : Sorcière
    Camp : Anti-Voldy mais ne fait pas vraiment partie d'un camp.
    Rang : Sorcière Sans Domicile Fixe et Sans Travail Déclaré.

    Maison souhaitée/Maison d'appartenance: Ancienne Gryffondor

    Baguette : Bois de Saule et Ventricule de cœur de Dragon. (ATT : 25 | DEF : 15 | SOIN : 10)

    Patronus : Un chat de Temminck, Graouw !





    Atout(s) ( 15/15) :

    - 10. Animagus ( si je peux ? Je vais expliquer pourquoi dans l'histoire ^^ )
    - 2. Sixième sens ( voir histoire ^^ )
    - 2. Estomac en béton ( N'étant pas très riche, vivant difficilement depuis son plus jeune âge hors Poudlard, elle a toujours eu l'habitude d'avaler tout et n'importe quoi )
    - 1. Santé de fer ( elle cumule les nuits blanches depuis si longtemps ... )

    Handicap(s) ( 15/15) :

    - 3. Dépendance à la drogue 3 ( un bon moyen pour s'échapper du quotidien )
    - 5. Phobie 5 : claustrophobie ( voir dans l'histoire )
    - 1. Impulsive ( elle n'a jamais appris à se conduire d'une façon censée )
    - 2. Distante ( elle n'a plus l'habitude de la popularité )
    - 4. Mauvaise réputation ( vous allez comprendre ... )

    Je n'aime pas votre système de points. Je préfère donner moi-même les défauts et qualités de mes personnages ( surtout que j'aime les personnages détraqués, loin des êtres parfaits ! ).



    Histoire & Famille

      Il y a un commencement à tout.

      Un jour, je suis née. Ca parait stupide de commencer une histoire comme ça, et pourtant, c'est le premier détail de mon existence. Le premier de toute existence, à bien y réfléchir. Avant de vivre, avant de mourir, on doit venir au monde. Quitter la chaleur réconfortante du ventre de notre mère pour affronter le monde froid qu'est celui des vivants. Certains n'y arrivent pas. On dit d'eux qu'ils sont "morts nés". Mais ce n'est pas mon cas. Je peux donc commencer mon histoire par " Un jour, je suis née". C'est un début comme un autre.
      Pour mes parents, c'était le début d'une nouvelle vie. J'étais le cadeau qui célébrait leurs 3 ans de mariage - oui, je suis née à la date où ils ont décidés de se dire oui ! Certains y verraient un signe de bonheur sans fin, la preuve que leur couple était fait pour durer. J'avoue avoir fait partie de ce groupe au début de ma vie. Comme je me plaisais à crier partout que j'étais le cadeau de mariage de mes parents ! Les adultes m'observaient faire, en riant. Ils trouvaient ça mignon.
      Mignon, oui, j'étais une petite fille mignonne ! Un regard presque unique et bien que certains moldus voient la marque du diable dans ces yeux, ce n'était pas le cas de ma mère. Quant à mon père, il ne me voyait que comme la continuité de son amour pour sa femme. Il ne m'aimait pas pour moi-même mais pour ce que je représentais. Enfin, c'est là une analyse que j'ai réalisé bien plus tard. Ne passons pas d'étapes, cela vous embrumerait.

      Les souvenirs de ma petite enfance sont joyeux. Mes parents m'emmenaient souvent en promenade, m'offraient de nombreux cadeaux et me gâtaient parfois trop. J'étais une petite fille souriante, qui peinait à rester en place. D'autant plus que me voir courir, ma chevelure dorée flottant derrière moi, semblait plaire à Maman. Je n'allais donc pas me forcer à être calme !
      A cette époque, Papa me prenait souvent à bras, tout en faisant des bisous à Maman. Puis, il montait me bercer, me lisait une histoire pour que je m'endorme. Quand je criais après un affreux cauchemar, il était le premier à venir. Je l'aimais mon Papa. A un point que vous ne pouvez imaginer.

      Malheureusement pour moi, j'ai finis par grandir. La dizaine d'années approchait et avec elle, un changement radical dans le comportement de mon père. Peut-être ce changement était-il dû au fait que je vis enfin ce qu'il faisait ... Car un jour, je suis entrée dans le bureau de mon Père - alors que c'était interdit. Et là, je l'ai vu. Il tendait une baguette sur un homme misérable, qui hurlait. La pièce avait été insonorisée, expliquant que je n'aie rien entendu avant de franchir la porte. Les yeux de mon père se tournèrent vers moi et il cessa le sort pour me hurler dessus. Ses mots me parviennent encore, violents. L'homme que je respectais le plus, mon père adoré. Ce fut ce jour là qu'il y eu une cassure entre nous. " DEGUAGE, T'A RIEN A FOUTRE ICI !". Est-ce donc une façon de disputer sa fille qui vient d'assister à une scène que l'on peut, sans crainte d'exagérer, qualifier de traumatisante ? Je ne pense pas.
      Je suis sortie en courant de la pièce, les larmes coulant sur mes joues blanches. Je suis allée me cacher dans ma chambre, faisant la sourde oreille à Maman qui s'inquiétait de me voir dans un tel état. Mais je refusais de bouger, de répondre. Je venais de comprendre que mon père était quelqu'un de mauvais.

      Une Moonshadow à Poudlard ou comment marquer l'histoire.

      Je ne vous ai pas encore dit qui étais ma famille. Il serait peut-être temps, avant que je ne vous parle de mon entrée à l'école. Mon père, Monsieur Moonshadow, était un sorcier issus d'une longue lignée. Son sang n'était pas vraiment "pur", mais n'en était pas loin. De plus, il était d'une famille aristocratique ( bien qu'il ait perdu tout son argent, l'imbécile ) et avait un emplois à l'ambassade américaine. Je n'ai jamais compris sa présence en cet endroit, étant donné qu'il était anglais. Mais peut-être m'avait-il mentit ?
      Quant à ma mère, elle était fille d'une sorcière de sang-mêlé et d'un sorcier "sang de bourbe" ( je n'aime pas cette expression mais les mots ne me viennent pas pour en trouver une autre, plus respectueuse ). Je connaissais donc le monde magique relativement bien et avait quelques connaissances du monde des Moldus, qui m'intriguait.
      Maintenant que vous savez ça, je peux enchainer sur Poudlard.

      A mes 11 ans, j'ai reçu la lettre qui m'invitait à me rendre au collège Poudlard, école de sorcellerie, à la rentrée. J'étais heureuse d'enfin recevoir cette lettre, tant ma mère m'avait parlé de sa scolarité ! Comme elle, j'espérais me trouver à Serdaigle et éviter la maison de mon père. Pour ne pas suivre sa voie.
      Mais lorsque, avec beaucoup d'hésitation, j'ai posé le choixpeau magique sur ma tête, sa voix ne m'a pas dit ce que je désirais entendre.

      - Je vois en toi une envie irraisonnée de te joindre aux Serdaigles. Mais ce ne serait pas convenable de ma part d'accepter ton choix. Cette maison convenait à ta mère, qui était fort réfléchie, mais ne te conviendra pas du tout. Comme ton père, tu es trop impulsive et ton courage domine. C'est pourquoi ... GRYFFONDORS !
      - NAAAAN !


      Je pense que j'étais la première élève à réfuter le choix du chapeau tout rapiécé. Mais je refusais d'aller dans cette maison d'où sortais mon père. C'était hors de question, malgré les ordres des professeurs et les regards sidérés des autres élèves. Ma place était à Serdaigle et pas ailleurs ! Mais on ne me laissa pas le choix et lorsque j'exigeai de repasser sous le choixpeau, il ne changea pas d'avis malgré mes protestations grossières. A croire que ce que je lui disais lui passait par dessus la tête ... Hum, expression à ne pas sortie à Sir Nicolas je suppose ...


      Au bout du compte, je finis par baisser les bras et acceptais, la mine sombre, de me joindre à la table des Lions. Ces derniers me jetèrent des regards tantôt intrigués, tantôt agacés. Des chuchotements s'élevèrent, comme quoi si je ne voulais pas me joindre à eux, je n'avais qu'à partir. Quels imbéciles, j'le savais ! J'voulais pas aller dans cette maison ! Pourquoi j'étais pas chez les Bleus ? Les verts à la rigueur ! Mais les rouges ? J'étais choquée. J'avais les larmes aux yeux. Et lorsque le banquet prit fin, sans que je n'adresse la parole à quiconque, je montais me coucher en courant, furieuse.

      Une première année ... unique ...

      Un mois s'écoula, durant lequel j'observai avec attention mes compatriotes Lions. Mes préjugés sur eux tombèrent comme des mouches, alors que je remarquai qu'ils étaient loyaux, amicaux, amusants... J'étais surprise de les découvrir de la sorte, bien loin du caractère hautain de mon Père. Et avec l'arrivée du mois d'Octobre, je pris la décision de me faire des amis chez les rouges et or.
      Ce ne fut pas chose aisée pour moi, qui étais habituée à une certaine solitude. Mais je tentai néanmoins de m'ouvrir aux autres et après plusieurs semaines, mes efforts furent remarqués par un jeune homme de 3ème année. Il s'approcha de moi, un jour où j'étudiais dans la bibliothèque, s'installant à ma table sans même me demander mon accord. Je levai vers lui un regard intrigué, auquel il répondit pas un petit sourire en coin. Nous restâmes un moment silencieux, nous observant l'un l'autre. Il me semblait grand, très grand, avait des cheveux châtains coupés assez courts et partant en une multitude de mèches rebelles sur la tête. Ses yeux étaient vert, un vert comme jamais je n'en avais vu.
      Puis, après quelques minutes, il se décida à parler, d'une voix qui n'avait pas totalement fini de muer.

      " Alors sauvageonne, c'est toi la Gryffondors anti-lion ? "

      C'était une question débile. Très débile même. J'étais connue dans toute l'école pour ma petite crise de la répartition. Mais je n'en fis par la remarque, me contentant d'hausser un sourcil pour qu'il comprenne la stupidité de sa remarque. Mais il n'y prit pas attention et enchaina.

      " Toujours aussi déçue de porter du rouge ? "

      Là, c'était une question à laquelle je me devais de répondre. Je me mis à suçoter ma plume, pour trouver les mots. Je pris un certain temps avant de répondre mais il ne me brusqua pas.

      " Oui ... Non ... ... Oui ... ... Je n'sais pas ... "

      Oui, bon, en fait, je n'arrivais pas à les trouver, ces mots. Ce qui sembla le faire rire. Et je n'ai jamais aimer que l'on se rie de moi.

      " Hey ho, c'est pas marrant ! J'me suis retrouvée dans une maison où j'avais rien à faire, et même si vous n'êtes pas tous comme je le pensais, c'est pas simple de changer ses préjugés ! Ca se fait pas en un claquement de doigts !"

      "Holà Tigresse ! Ca doit être pour ça que t'es des nôtres. Changer sa vision des choses, seul, ça demande sacrément de courage, par Merlin ! Et t'as l'air d'avoir du caractère, parfaite petite gryffonne !"


      Quoi ? Parfaite gryffonne ? Mais nan ! Courageuse, j'acceptai. Tout le monde accepte les compliments. Mais parfaite gryffonne ? Il voulait que je me mette en rogne ! Pourtant, ça n'arriva pas. Car il enchaina de suite sur une question qui semblait l'intriguer et que personne ne m'avait encore poser.

      " Dans quelle maison t'aurai voulu aller et pourquoi ? "
      "Pour suivre les traces de ma mère : Serdaigle."
      "Pas assez fûtée."
      "Serpent !"
      "HEY ! On insulte pas, s'teu plait !"
      "D'accord. Donc, on reprend. Serdaigle."
      "P'tite maligne ..."
      "Je sais."
      "Vantarde aussi ... Pourquoi pas Serpentard alors ?"
      "J'aime pas le vert."
      "Bonne réponse cocotte !"
      "..."


      Et c'est ainsi que nous sommes devenus amis. Stupide début n'est-ce pas ? Pourtant, ce sont ces amitiés nées d'un rien qui durent le plus d'après ce que j'ai pu observer. Et notre amitié, elle durait et se solidifiait chaque jour ! Lui sembla, au bout de quelques mois, me considérer comme sa petite soeur. Il me présenta à ses amis et tous se firent un devoir de me protéger. Les esprits changèrent et je n'étais désormais plus la "Gryffondors à renier" mais simplement la "soeur d'âme de Jonathan Ziegler". C'était une description beaucoup moins péjorative, plus facile à supporter ...

      Ce fut donc ainsi que se passa ma première année. Enfin, disons plutôt que ce fut le seul évènement méritant d'être cité de cette année là.

      Poudlard, ou comment prendre sa liberté !

      Ma deuxième année se déroula beaucoup plus agréablement que la première. La petite bande de Jake ( Jonathan, incultes ! ) me sauva de la solitude la plupart du temps. Et lorsqu'ils ne pouvaient être avec moi, j'appris à tisser des liens avec quelques camarades de mon année. Mais aucune amitié bien solide ... Jusqu'à ce jour d'Octobre où les élèves de Poudlard purent voir à quel point j'avais du caractère.
      Un gars de Serpentard dont j'ignorais le nom semblait croire que j'étais une proie facile. D'après ce que je compris durant notre petite altercation, il avait eu des ennuis avec quelques élèves de ma maison et désirait se venger, sachant que les Gryffondors étaient très unis et se protégeaient mutuellement. Un lion blessé, c'était tous les lions qui agonisaient. Enfin, c'était la rumeur ( et j'avoue que je ne partageais que très peu cette vision de notre maison ... ).
      Ce garçon devait être, je pense, en 3ème année. Il était assez vicieux puisqu'il m'attaqua par derrière. Mais stupide car il n'avait pas pensé qu'une jeune fille puisse avoir beaucoup de voix.
      Il s'était amusé à me faire décollé, ce qui avait déclenché des hurlements plus injurieux les uns que les autres de ma part. Surpris, son sort s'était arrêté, ce qui m'avait valu une chute douloureuse sur les fesses. Et en parfaite petite colérique, je m'étais retournée sur lui et lui avait envoyé tous les sorts que je connaissais, m'amusant des furoncles qui apparurent sur sa face de crapaud baveux. Ma petite performance magique ajoutée à mes cris anti-verts effacèrent mes erreurs de la répartition. J'étais désormais une gryffondor comme les autres. OUAIS !
      ...
      Oui, j'avoue. Je fus heureuse d'être enfin considérée comme une "vraie" rouge et or. Oui, oui, moi, Roxane Moonshadow, assumait enfin la maison dans laquelle j'étais. Rien à cirer de mon Père après tout ! Wouh !

      Après cet évènement, j'eus beaucoup d'ennuis. Visiblement, le crapaud baveux n'avait pas apprécier mes injures et provenait d'une famille puissante ou j'sais pas trop quoi. Des baguarres éclatèrent donc régulièrement entre Serpentards de 3ème année et moi ( avec l'aide de Jake et ses amis, bien sûr. J'suis pas un génie de la sorcellerie non plus ! ). Et il faut que j'avoue ... je trouvais ces petites joutes assez amusantes. Je commençais donc à préparer blagues, sorts et répliques à offrir aux verts et argents, profitant soudainement de jeux que je n'aurai jamais pu imaginer avant Poudlard. A croire que ... mon véritable caractère apparaissait soudainement !

      Et Poudlard, en gros, ça se résume à ...

      Le temps passa, plus ou moins rapidement. J'avais désormais des amis et acquis une certaine popularité. Mes éclats de rires étaient courants. Non, en fait, j'en avais presque toutes les heures. Je respirai la joie de vivre, ce qui attirait les gens vers moi. C'était agréable.
      Avec les amis, je me suis découverte un côté de moi que j'ignorais : l'entraide. Je prenais un immense plaisir à aider les gens pour leurs devoirs, donnant des conseils aux plus jeunes. Quand un camarade avait une peine quelconque, j'aimais être l'épaule sur laquelle il pouvait pleurer, j'aimais être celle qui conseillait. Tout le monde disait de moi que j'étais la douceur incarnée - sauf en présence de Serpentards. Car après deux ans, plus aucun doutes, j'étais une Gryffondors, une vraie, qui éprouvait une haine inimaginable envers les reptiles ! La vie, c'était chouette. Amis, popularité, petits copains ... Poudlard, c'était mon univers. Et si ma mère n'avait été celle qu'elle était, j'y serai restée toutes les vacances. Mais 10 mois sans voir ma meilleure amie, c'était long. Alors, à Noël, j'allais toujours chez moi, passer du temps avec ma mère. Parfois, un ami ou l'autre venait. Nous étions tous souriants, insouciants. Même mon Père ... Ce qui me donna envie de le revoir comme un Père, à nouveau. Nous nous rapprochâmes l'un de l'autre et notre relation redevint celle qu'elle était avant mon "traumatisme". Celle d'un père et d'une fille unis, rieurs. C'était la belle vie !

      La vie ne nous prépare pas à affronter l'Horreur.

      L'été de ma cinquième année, Maman est tombée malade. Les médicomages ne sont jamais parvenus à donner un diagnostic correcte et son état empira vite. Elle perdit beaucoup de poids, son teint devint cireux, ses yeux perdirent de leur éclat et ses sourires se fanèrent sur le bord de ses lèvres. Quand je la voyais, j'avais l'impression d'être face à un fantôme, ignorant tout de sa mort. Ca me paniquait, ça me blessait, mais je faisais de mon mieux pour le cacher. Je refusais de la blesser par une quelconque faiblesse et ma fierté m'empêchait d'en parler aux amis. Encore moins aux professeurs.
      J'ai toujours été fière, trop fière. C'est un défaut parfois bien pénible à porter, qui peut mener à des situations fort périlleuses. Surtout lorsque cette fierté est mal placée et ajoutée à un courage suicidaire. C'est ainsi que je me vois et c'est ainsi que je m'explique ce qui est arrivé.

      Jake n'était pas aveugle. Il voyait fort bien que j'allais mal. En 5ème année, je ne pense pas avoir rigolé une seule fois. Sourit, parfois, oui, mais rien de plus. En parfaite synchronisation avec ma mère, nous dépérissions ensemble. Nous perdions nos kilos et nos couleurs, l'éclat de notre personnalité, toutes les deux ensemble.
      Certains virent dans cette dépression une forme de faiblesse. Les attaques serpentaresques furent donc plus nombreuses encore et les points tombèrent des deux côtés. Avec la peur de recevoir un jour une lettre m'annonçant la mort de ma tendre Maman qui me tenaillait le ventre, j'en devenais parfois extrêmement agressive. Il n'y avait pas que ça ... Tous mes défauts ressortaient.

      Le dernier week-end avant les vacances de Noël, une sortie à Pré-au-lard fut prévue. Jake m'obligea à y aller, argumentant que ça me ferait du bien, que les fêtes devaient redonner le sourire à tout le monde. Je n'étais pas convaincue mais l'avait tout de même laisser me trainer.
      Ce jour-là, je m'étais battue, violemment, avec un élève de ma classe. Un Gryffondor sans cervelle, comme il en existe certains. Nous nous en étions sortis avec des retenues jusqu'à la fin de l'année chacun et une lèvre enflée pour ma part. Mais ce n'était pas le pire combat de la journée.

      Jake me fit boire. Plus que de raison. Ca faisait du bien de perdre pied, de ne plus ressentir qu'un minime poids dans la poitrine. Je sentis plusieurs fois, cependant, les larmes me monter aux yeux. Mais je les chassai chaque fois, privilégiant la légèreté procurée par l'alcool à un "vidage de sac" pour lequel je m'en serai voulue par après.
      Alors que nous rentrions, insouciants, bras dessus, bras dessous, vers le château, quelques verts et argents ( ils sont tenaces, que voulez-vous ) nous tombèrent dessus. Demandez-moi des noms, des visages, je ne pourrai vous répondre. Les seuls souvenirs que j'ai de ce combat sont une grande douleur, mentale et physique, et mes poings qui frappent, encore et encore, jusqu'à ce que des bras m'encerclent et m'arrachent à ma proie. J'allais le tuer. Je l'ai tuer ? Je n'en sais rien. Je n'ai jamais voulu savoir. Je ne faisais attention à rien lors de ma dernière semaine à Poudlard.


      Les vacances sont arrivées. Avec elles, la suite de ma descente en enfer.

      Adieu...

      J'avais passé ma dernière semaine de cours à l'infirmerie, tremblante et versant toutes les larmes de mon corps. Je n'avais pas prononcé un seul mot, n'avait rien avaler. Jake passait me voir dès qu'il le pouvait. Il était le seul autorisé à venir, le seul contre lequel je ne lançais rien. Je le laissai me serrer dans ses bras, mais ne lui parlai pas. Je ne pouvais pas. Depuis cette bagarre dont je n'avais que quelques souvenirs indistincts, mes barrières avaient cédées. Je craquais. Je n'en pouvais plus.
      Le dernier jour, je me levai, titubante et fut aidée pour me rendre jusqu'au Poudlard Express. Durant le trajet, je restai collée contre mon ami, immobile et faible. Les gens m'observaient, je le sentais, mais personne ne fit de commentaires. Ils savaient que je ne répondrai pas. Pas encore. De plus, certains avaient peur. Peur que je ne recommence à frapper.
      Quand le train s'arrêta en gare, je descendis sur le quai et cherchai mes parents des yeux. Le visage de mon père se démarqua de la foule, plus blanc qu'à notre dernière rencontre. Je lançais un regard à Jonathan, puis me dirigeai vers mon père. Si j'avais su...

      Nous rentrâmes chez nous rapidement, muets l'un comme l'autre. L'angoisse me tordait le ventre mais les larmes refusaient désormais de sortir. Comme si j'avais trop pleuré. Et c'est quand je suis arrivée dans le salon que j'ai compris. Compris l'impossible. Elle n'était pas là, elle ne m'attendait pas et aucune odeur de gaufres ne planait dans l'air. Aucunes décorations de Noël n'étaient installées.
      Les yeux secs, je me tournai vers mon père, l'interrogeant du regard. Je n'osais pas poser la question. Et lui, il me fixait sans me voir, les yeux vides. Lui non plus n'avait pas de larmes dans le regard. Nous restâmes quelques secondes ainsi, avant qu'il ne fronce les sourcils et que ses muscles ne se crispent. Alors, d'une voix froide, il m'ordonna de lui poser la question. Cette question qui me brûla les lèvres lorsque je la prononçais, qui fut comme un coup de poignard en plein coeur.

      " Je ne la verrai plus ... ? "

      Les yeux de mon père devinrent alors rageurs et il fonça sur moi, m'attrapa à la gorge. Il tremblait de rage et c'est seulement à cet instant qu'il se mit à pleurer, m'étranglant petit à petit.

      " TU NE PENSES QU'A TOI ! "

      Je ne comprenais pas. Rien du tout. Et l'air commençait à me manquer.

      " Moi non plus, je ne la verrai plus... Elle est partie... Elle... Elle m'a abandonné... "

      Il desserra doucement l'emprise qu'il avait de mon cou, laissa ses yeux couler sur moi.

      " Tu lui ressembles tellement... "

      Il était devenu fou. Oh, comme je le comprenais ! Moi aussi, j'aurai aimer sombrer dans la folie. Plus que tout, j'aurai aimer oublier. Oublier celle qui avait tant compter pour moi, oublier ma mère. Oublier ces souvenirs si douloureux que passaient en boucle dans mes pensées. Ne plus voir son visage, ne plus entendre sa voix, ne plus me souvenir. Comme j'aurai aimer en être capable... Mais c'était impossible. Son fantôme me hantait. Ma Maman n'était plus, mais les murs de la maison étaient imprégnés de son amour, de sa présence. Tout comme nombre d'objets de la maison et mon coeur. C'était une douleur qu'aucun mot ne peut décrire. Une douleur qui fait regretter la vie, qui rend rageur et qui montre le futur comme impossible.

      A côté de cette douleurs, celles physiques que je subissais me semblaient si futiles... J'étais enfermée dans une petite pièce, sans fenêtres, sans lumière. J'avais de l'eau à volonté, ainsi que du pain rassis. De quoi vivre. Mais je refusais de manger. Mon père venait souvent dans la pièce où il m'avait enfermée, s'asseyait face à moi et me fixait. Il ne prononçait pas un mot et nous nous observions, comme deux inconnus, différents et cherchant à se comprendre. Il restait une heure, parfois deux, puis repartais et je ne le revoyais plus jusqu'à sa prochaine crise de folie, où il venait et déchargeait sa colère sur moi à coup de doloris. Une fois calmé, il venait m'observer à nouveau, comme si c'était sa façon de s'excuser ou de se comprendre. Peut-être de se rappeler.
      J'ignore le temps que je passai dans cette pièce. Mais j'avais mal. Je dormais de plus en plus, merci Merlin. Je ne voulais plus me réveiller. Plus jamais. Mais mon corps n'était pas vraiment d'accord avec moi et luttai comme il le pouvait, sans mon esprit pour l'aider.

      Un jour, j'ai vu de la lumière. Puis à nouveau les ténèbres. Cet évènement s'est produit plusieurs fois, jusqu'à ce que je comprenne. J'entendis des voix. Le calme. Puis des bruits de pas. Je restai longtemps ainsi, à n'entendre que quelques bruits indistincts, à ne distinguer que de la lumière aveuglante. Jusqu'au jour où je me suis entièrement éveillée, découvrant les murs blancs de St Mangouste. J'aurai tellement aimer mourir et rejoindre Maman dans les cieux... Pourquoi ne pouvais-je pas devenir ange comme elle ?
      Car le corps professoral de Poudlard avait jugé anormal que je ne donne plus signe de vie, que mon père disparaisse et qu'ils avaient donc fouillé la maison, nous retrouvant tous les deux. La vie est risible. Ceux qui désirent vivre meurent, ceux qui désirent mourir et ne sont pas loin du salut doivent vivre. Cruauté. J'avais envie de retourner dans cette pièce noire, d'y mourir en ressassant mes sombres pensées. Mais je ne le fis pas. Je fus surveillée jusqu'à rétablissement physique, fut envoyée en psychiatrie et placée sous surveillance. Tout ce qu'il fallut pour que je m'énerve.

      Imaginez. Vous perdez votre mère. Par la suite, votre père vous torture. Vous souhaitez la mort depuis un temps indéterminé, mais des gens ne vous connaissant ni d'Ève, ni d'Adam, se font un devoir de vous garder en vie et de se conduire avec vous comme si vous étiez un gamin turbulent. Comment réagiriez-vous ? Pour ma part, j'ai réagis en fuguant de cet hôpital. C'était pas évident, mais j'ai réussis.
      La seule chose que je dois reconnaitre, c'est qu'avoir vu des psychologues m'a fait comprendre que non, je ne devais pas mourir. Peut-être est-ce une part de mon caractère lunatique qui me fit comprendre l'importance de la vie, ou peut-être est-ce la prise de conscience que ma mère n'aurait pas apprécier que je me tue pour elle. Quoiqu'il en soit, j'étais décidée à vivre. Et vivre, c'est une chose qui se fait loin d'un hôpital.

      Je ne savais pas où aller. A Poudlard, je risquais les ennuis. Ils me renverraient à St Mangouste, me renverraient ou que sais-je encore. C'était une mauvaise idée. De la famille ? Je n'en avais plus. Retourner chez moi ? C'était une mauvaise idée et je n'en avais pas la force.
      Alors, je suis partie. Sans but. J'ai errer, découvrant l'Angleterre sauvage. J'aimais me trouver principalement dans des bois, là où il y avait peu de chances d'être découverte. Malheureusement, une jeune fille se promenant seule dans les bois, si elle est découverte, à peu de chance d'être laissée en paix. Alors, je dus faire quelque chose qui me prit du temps, de l'énergie. Je dus faire quelque chose censé me faciliter la vie.
      Pour survivre, j'allais souvent dans des villages prendre des provisions. J'étais une voleuse, j'assume. Je remplissais toujours mon sac à dos à fond, pour rester le plus longtemps possible loin de la civilisation. C'est grâce à ça que je pus le faire...

      Renier sa nature pour survivre. Incognito.

      Je n'ai pas vraiment pesé le pour et le contre avant d'entreprendre cette étape importante de ma vie. J'ai biffé les risques d'une telle entreprise, ne me concentrant que sur la méthode, apprise en cours et dans divers livres sur le sujet. C'était la seule solution qui m'était venue pour survivre, pour pouvoir un jour revoir la lumière du soleil, prouver à ma mère que je vallais quelque chose. Sur le moment, je pensais ne pas avoir le choix. On est sot à 15 ans, on agit sans réfléchir. Surtout dans des situations telles que la mienne. Pourtant, je n'ai jamais regretté ce choix.
      Je m'étais trouver un abris, qui me semblait assez sûr. C'était dans une forêt, j'avais quitter le dernier village depuis deux jours. L'endroit était constitué d'arbres immenses, dont le feuillage protégeait quelques peu de la pluie. Puis, ce que je préférais, c'était cette petite grotte, sortie de nulle part. Il y avait à peine assez de place pour que je m'y allonge, je ne pouvais pas me mettre debout à l'intérieur, mais ça me convenait. De toute façons, je ne pouvais pas me permettre de faire la difficile.

      Il parait que les méthodes pour le faire varient d'un sorcier à l'autre. Ca se passe beaucoup dans la tête. La volonté est la véritable clef de la transformation. Et moi, j'étais motivée. Oh oui !
      Pour m'aider, j'avais fait un petit feu de camp dans la grotte, près de la sortie. Je fixai la fumée qui montait, essayant d'y voir une forme animale qui pourrait m'aider. J'hésitais encore beaucoup quant à la forme que je voulais prendre. J'étais tiraillée par mon amour des canidés et mon caractère de tigre. Rendre hommage à mon Patronus, félin magnifique, ou pas ? La raison l'emporta. Un tigre est bien moins discret qu'un gros chien. Ou qu'un loup noir...

      Avez-vous déjà observer un loup ? Ce sont des animaux merveilleux, si beaux et dont les moeurs sont instructives à qui les connait. Ils sont fidèles à leurs conjoints, protègent les petits coûte que coûte et vivent dans une famille unie. J'aime les loups. Je les admire.

      A écrire ainsi, vous pouvez avoir l'impression que cette décision s'est faite en quelques minutes. Que nenni. Il m'avait fallut plusieurs heures pour être sûre de moi, sûre que je ne regretterai pas le choix de mon animal. Mais j'en étais désormais persuadée. Ma forme d'animagus serait un loup, noir de préférence.

      Je commençais donc le rituel me permettant de faire cette transformation. J'avais, avec moi, de la nourriture pour plusieurs jours et quelques gourdes d'eau. Vive les sortilèges pour agrandir les sacs ! J'étais parée.
      J'avais commencé par fermer les yeux et visualiser la forme souhaitée. Un loup se dessinait derrière mes paupières closes, avec tous les détails nécessaires, sa façon de marcher, de trotter, de courir. J'essayais de me sentir louve, de ressentir des poils qui s'agitent avec le vent absent.


    Physique & Caractère

      Roxane n'est pas quelqu'un de sain. Elle assume sa dépendance aux narcotiques, seul moyen qu'elle a trouver pour parvenir à aller de l'avant. Faut dire, la vie, pour elle, n'a pas toujours été facile. C'est peut-être ce qui lui a forgé ce caractère de folle. Ou peut-être était-elle destinée à devenir cette étrange créature qu'elle est désormais ...
      Depuis qu'elle a quitté Poudlard, Roxane n'a plus vraiment eu de contacts sociaux. Elle parle un minimum avec les êtres humains, les trouvant lourds et stupides. Elle a une mauvaise opinion de tout le monde, y comprit d'elle-même. A moins qu'elle ne soit simplement réaliste ...
      Elle sait qu'elle possède un caractère de cochon. Elle s'énerve facilement, même trop, et pique des colères à faire pâlir Voldemort lui-même ! Ou pas mais elle aime cette expression. Elle est aussi têtue et il lui en faut beaucoup pour qu'elle change d'opinion. Si elle dit que vous êtes stupide, il vous faudra des années pour parvenir à la faire changer d'avis. Si elle dit que les épinards, c'est la mort, rien ne pourra la contredire. Elle a des arguments en béton ! En béton tellement ils sont stupides ...
      Cette femme, n'ayant plus l'habitude des contacts sociaux, ne se conduit pas toujours convenablement en public. Elle est franche et ce qu'elle pense ne reste jamais bloqué derrière ses lèvres. Elle est assez gamine par moment et peut jouer à "Nan ! Si !" durant de longues heures, sans se lasser. Et puis, elle aime avoir le dernier mot.
      Mais Roxy, elle a aussi quelques qualités. Elle ne fut pas Gryffondor pour rien ! Car au plus profond d'elle-même se trouve encore le courage de son enfance, sa volonté de vaincre les pires maux du monde et sa joie de vivre. Tout est bien caché, mais qui sait quand ces parties d'elle-même ressurgiront ? Car la demoiselle n'est pas qu'un monstre insensible. Fut un temps où elle collectionnait les petits copains, où elle avait énormément d'amis, où elle s'amusait avec sa bande avec pour unique pensée : "Tous pour un, Un pour tous ! ". Insouciance de l'enfance diront certains ...
      Un jour, peut-être, que son romantisme ressortira, que sa bonté redeviendra naturelle, que ses mots cesseront d'être lames de rasoirs, que ses yeux perdront ce voile qui les assombrit ... Un jour, la douce Roxane, la souriante et amusante Roxane pourrait bien revenir. Mais pour ça, il va lui falloir de l'aide ...


      Physiquement, elle a beaucoup changé de la jeune fille qu'elle était autrefois. Peu pourraient encore la reconnaître ! Elle a perdu les rondeurs qui faisaient son charme, s'est musclée et a perdu l'éclat qui brillait dans son regard dépareillé. Oui, oui, dépareillé, vous avez bien lu. Un oeil gris, l'autre bleu délavé. Autrefois, ce regard pouvait fasciné par sa beauté. Aujourd'hui, il aurait plutôt tendance à faire trembler d'effroi par sa froideur, sa distance.
      La peau de la jeune fille est naturellement pâle, lui donnant l'air d'une poupée de porcelaine lorsqu'elle s'apprête joliment pour une quelconque raison. Mais ces raisons étant rare et son temps d'exposition au soleil assez élevé, Roxane a finit par avoir une peau légèrement halée. Mais avec son retour en Angleterre, peu de chance que cette teinte de peau lui reste longtemps ...
      Dotée de cheveux longs d'une couleur blonde naturellement, Roxane s'amuse cependant à tester les produits moldus lui permettant d'en changer la couleur. Elle a ainsi essayé les couleurs rouge, orange, noir, gris, brun et blanc. Elle prétexte ces changements de couleur par un besoin de passer inaperçue ou, au moins, de ne pas être reconnue. Ainsi, la seule couleur qu'elle n'arbore plus est le blond.
      Quant à la coupe, il est hors de question que ses cheveux lui arrivent un jour au dessus des épaules. Elle les aime longs, même si elle ne s'en occupe que peu. Ses cheveux et ses yeux font sa fierté. A croire que " Roxane Moonshadow" n'existe que dans de longs cheveux et un regard vairon ...




    2. Vous

    Votre Pseudo - PUF : Ilsé.
    Comment avez-vous connu HP RPG ? En faisant votre analyse sur le Petit Bout de Paradis du Lapin Blanc Very Happy
    Votre niveau en RP : A vous de me noter.
    Avez-vous lus le règlement ? Donnez le code de Validation : OKAYCLOE

    J'accepte que mon personnage soit intégré dans l'Histoire d'Harry Potter RPG™ et qu'en cas de non-activité de ma part il soit repris par un(e) autre joueur (joueuse) : OUI [X] NON [] ( si je deviens inactive, je fais en sorte que Rox meurt *sors* )

    Autre : Bouh. L'histoire est en rédaction, il va falloir patienter ( merci les exameeeens ! ). Avec elle, vous comprendrez mes choix d'atouts / handicapes Smile
    Et Voldy, ici, il est sexy ! *sors*


Dernière édition par Roxane Moonshadow le Lun 31 Jan - 0:37, édité 12 fois
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MessageSujet: Re: Roxane Moonshadow [ VALIDEE ]   Roxane Moonshadow [ VALIDEE ] EmptyDim 5 Déc - 22:58

Alors bienvenue !
Tout d'abord, je plussoie la nouvelle, Voldy est sexy ! Naaaan, je fayote pas !
Mhm, sinon pour les atouts et handicaps tout doit te plier à la règle, mais ne t'inquiète pas, tu peux rajouter autant de traits de caractère que tu veux dans la catégorie caractère et physique, enfaite, les atouts et handicaps c'est juste pour cerner le personnage et ses aptitudes.
Sinon, je valide ton code (:
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Miki Mihyana

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MessageSujet: Re: Roxane Moonshadow [ VALIDEE ]   Roxane Moonshadow [ VALIDEE ] EmptyDim 5 Déc - 23:04

Salut à toi,

petite précision : il faut indiquer le total des points pour la baguette, pas le détail^^.

Ensuite il faudrait également que tu indiques le nombre de points de chaque atouts et handicaps, autrement c'est bon^^.

Bonne soirée.
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Lord Voldemort

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MessageSujet: Re: Roxane Moonshadow [ VALIDEE ]   Roxane Moonshadow [ VALIDEE ] EmptyDim 5 Déc - 23:16

Ahhh, c'est toi qui veux épouser notre règlement ? Merci beaucoup pour ton analyse, j'ai pas encore eu le temps de répondre sur WP :$

Bienvenue Very Happy
Les filles vont s'occuper de toi, si tu as des question n'hésite pas à leur envoyer des MP
Et ouii, je suis beau.
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MessageSujet: Re: Roxane Moonshadow [ VALIDEE ]   Roxane Moonshadow [ VALIDEE ] EmptyLun 6 Déc - 20:36

    Huhu, merci vous tous !
    (ouaaaah, un message de Tonton Voldy Sexy ** *Go prendre la porte* )
    Et ouais, c'mon règlement, c'plus le vôtre ! Je l'épouse ! Na !

    De rien pour l'analyse ^^

    Je terminerai ma fiche de la semaine mais j'sais pas quand exactement. Juste pour prévenir Very Happy
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Lord Voldemort

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MessageSujet: Re: Roxane Moonshadow [ VALIDEE ]   Roxane Moonshadow [ VALIDEE ] EmptyVen 10 Déc - 21:26

Tu nous préviens dès que c'est terminé Wink
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MessageSujet: Re: Roxane Moonshadow [ VALIDEE ]   Roxane Moonshadow [ VALIDEE ] EmptySam 11 Déc - 20:04

    Bien sûr Very Happy
    J'ai un peu de mal actuellement avec l'histoire, d'autant plus que je suis en session d'examens ^^"
    Mais je fais au plus vite !
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Fany McFaon

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MessageSujet: Re: Roxane Moonshadow [ VALIDEE ]   Roxane Moonshadow [ VALIDEE ] EmptyDim 12 Déc - 17:45

Bienvenue
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MessageSujet: Re: Roxane Moonshadow [ VALIDEE ]   Roxane Moonshadow [ VALIDEE ] EmptyLun 3 Jan - 22:15

    Erf, désolée pour le retard ! :O
    Aucunes excuses en plus. Je continue ma fiche au plus vite !

    ( petit message pour pas que vous archiviez )

    EDIT : J'ai vraiment du mal avec l'histoire è.é
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Fany McFaon

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MessageSujet: Re: Roxane Moonshadow [ VALIDEE ]   Roxane Moonshadow [ VALIDEE ] EmptyDim 30 Jan - 12:32

Ta présentation est finie, plus qu'à attendre la décision d'un des admins Very Happy
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Miki Mihyana

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MessageSujet: Re: Roxane Moonshadow [ VALIDEE ]   Roxane Moonshadow [ VALIDEE ] EmptyDim 30 Jan - 19:34

Voilà, fiche validée^^. Désolée pour le retard.

N'oublie pas ton état magique et ta fiche de registre et bienvenue parmi nous^^.
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MessageSujet: Re: Roxane Moonshadow [ VALIDEE ]   Roxane Moonshadow [ VALIDEE ] EmptyDim 30 Jan - 20:36

    Heu... J'ai pas le sentiment d'avoir finit mon histoire ... ^^" Mais si ça vous convient, autant pour moi !
    (il manque la raison de l'animagus et quelques problèmes... Quoique ça peut faire un côté mystérieux qui ressortirait au fil des RP's =D )

    Merci Smile
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MessageSujet: Re: Roxane Moonshadow [ VALIDEE ]   Roxane Moonshadow [ VALIDEE ] EmptyDim 30 Jan - 20:41

Toutes nos excuses ! Tu peux terminer évidemment !
Par contre, pour l'animagus il faut un rp spécial de 30 lignes dans ton registre. Wink
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MessageSujet: Re: Roxane Moonshadow [ VALIDEE ]   Roxane Moonshadow [ VALIDEE ] EmptyDim 30 Jan - 20:43

    C'est rien, c'est un peu ma faute aussi. Je traine de trop ^^"
    Un RP expliquant la première transformation et comment l'idée est venue pourrait être suffisant ?
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MessageSujet: Re: Roxane Moonshadow [ VALIDEE ]   Roxane Moonshadow [ VALIDEE ] EmptyDim 30 Jan - 21:34

Enfaite, le mieux c'est un rp qui regroupe le comment, le temps qu'il à fallut, les difficultés et la réussite finale serait le must !
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MessageSujet: Re: Roxane Moonshadow [ VALIDEE ]   Roxane Moonshadow [ VALIDEE ] EmptyDim 30 Jan - 22:35

    Je vais faire ça =D
    Je le place dans l'histoire, mais si ça pose problème, je le fais à part ^^
    Me reste plus que ça !
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MessageSujet: Re: Roxane Moonshadow [ VALIDEE ]   Roxane Moonshadow [ VALIDEE ] EmptyDim 30 Jan - 22:41

Pas de soucis, il faudra juste qu'il soit aussi bien à part dans ton registre Wink
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MessageSujet: Re: Roxane Moonshadow [ VALIDEE ]   Roxane Moonshadow [ VALIDEE ] Empty

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