Les différences ne sont pas insurmontables...[Jonathan]

— JOUEUR / JOUEUSE —

Il existe des journées qui se déroulent visiblement sans aucune mauvaise surprise. C’était rare mais toujours appréciable. Katlyne avait passé pour une fois, une journée tranquille, à croire que la moitié de ses collègues au département des mystères étaient enfin devenus silencieux ou qu’ils avaient peut-être tout simplement comprit que leurs points de vue sur l’évolution du ministère ne l’intéressaient pas le moins du monde. Quoi qu’il en soit Merlin soit loué, une journée de calme c’était toujours bien. Ca lui évitait de devoir faire preuve d’un sang froid qu’elle n’a pas et de ne pas passer son temps à contenir son envie de leurs balancer des sortilèges peut recommandable. Tout bénéfice vu que comme ça, elle avait put vraiment avancer dans ce qu’elle faisait. Bon, il y avait juste faillis avoir un accident, parce que de toute évidence le mélange n’était pas stable mais mis à part ça, elle avait put gratter quelques pages qu’elle trouvait beaucoup plus intéressant que ce qu’elle faisait d’habitude.

Néanmoins, la journée était finie et la brune ne se fit pas prier le moins du monde pour replier ses affaires et quitter les pièces sans se tromper de porte. Elle ne se perdait pas vraiment mais il fallait avouer que ces portes qui tournaient à chaque fois que vous arriver dans ce petit couloir avait de quoi être potentiellement énervant surtout les première fois, ou il vous faut presque 10 minutes pour trouver ou peut se trouver votre bureau. Avec le temps on s’y fait. Reprenant quelques feuilles ou rien de bien important étaient notées mais de quoi pouvoir potassé encore un peu chez elle, elle se dirigea d’un pas rapide et sur vers les ascenseurs pour remonter dans les étages. Il n’y avait pas beaucoup de monde par ici et elle put arriver tranquillement jusqu’à l'ascenseur qui arriva rapidement. Etant dans le dernier étage, elle put une nouvelle fois faire preuve de patience pour les remonter tous les étages.

Enfin les portes s’ouvrirent et le brouhara ainsi que la foules des gens s’étala à nouveau devant son regard. Le monde dans l’atrium c’était infernal. Elle reconnut au passage Embry qu’elle salua d’un mouvement de tête. Repartant vers les cheminées, la bousculade fut inévitable. Un soupire mécontent lui échappa des lèvres alors que ses feuilles tombèrent au sol sous le choc.

-S’excusez c’est trop demander !

Claqua t-elle d’une voix froid et sèche. La vengeance est un plat qui se mange froid de tout façon et puis lancer un sort en plein milieu de toute cette foule, ce n’est pas top. La mangemorte s’accroupis finalement pour les ramasser ne pensant, c’est vrai, pas à lancer tout simplement un sort pour les récupérer.

Une autre journée de faite au ministère, encore une où je regrettais le fait d’être dans un bureau plutôt que sur le terrain. La vie de bureau était si monotone, la routine et rien d’autre. Jamais d’imprévue, toujours la même histoire. Aujourd’hui avait encore été plus pénible que d’habitude, je n’avais même pas diné avec les autres. J’avais eu tellement de dossier à remplir que je me demande comme cela ce fait-il que j’ai pu quitter mon bureau ce soir… Je marchais tout bonnement vers les cheminées lorsque j’ai vu une très jolie femme, je l’ai suivi des yeux, elle travaillait dans mon département. C’était une Katlyne il me semble, en tout cas tout ça pour dire que je la suivais des yeux lorsqu’un type qui n’a pas trop l’air nette la bouscula, faisant ainsi tomber ses documents par terre. Le premier réflexe que j’ai eu fut d’aller l’aider à ramasser, mais j’ai pensé ensuite qu’il ne valait mieux pas m’en mêler. J’avais une réputation à défendre, mais tout compte fait, cette fille semblait en valoir le coup. Je m’approchai donc d’elle, la nervosité s’empara peu à peu de moi. Plus je me rapprochais plus j’avais envi de rebrousser chemin, je me sentais idiot. Mais bon il était trop tard j’y étais, accroupi près d’elle… Je pris quelques papiers en prenant bien soins de ne pas les froissés, je ne voulais pas les abîmer. Ma main se posa sur la sienne par inadvertance, en essayant de ramasser d’autre document. Je me sentais mal. Mais qu’est-ce qui ne va pas chez moi j’ai 38 ans et je suis toujours aussi désemparé devant une femme. Je tentai de m’excuser, mais je mâchais mes mots, je bégayais. Je pris soudain une grande respiration, je tentai de me calmer, ça semblait faire effet. J’ouvris à nouveau la bouche et cette fois-ci j’articulai bien.

-De nos jours les gens ne savent plus vivre, je suis désolé pour ce type. Moi c’est Jonathan, mais tu dois déjà me connaitre on travail au même ministère…

Là je me sentais idiot. Tu dois déjà me connaitre, quelle belle phrase pour mettre mal à l’aise quelqu’un et si ce n’était pas le cas, si elle ne me connaissait pas comment allait-elle se sentir. Après coup je me rencontre que je ne sais pas parler aux femmes. Certain son né avec ce don, pas moi. Par contre je pouvais lire les pensées, mais bon ce n’était pas l’interroger que je voulais c’était lui parler… C’est long cheveux roux reposait sur ses épaules, de ma place j’avais une vu magnifique sur elle, on aurait dit une actrice…

— JOUEUR / JOUEUSE —

Tout ne peut jamais être parfait dans une journée. Cela serait sans doute trop utopiste, impossible, un doux rêve. La preuve fut une fois de plus faite quand elle se fit bousculer alors qu’elle tentait juste de quitter cet endroit en se rendant vers les cheminées. Une simple bousculade, rien de bien grave ni de très inhabituelle mais parfois il lui en faut peut pour avoir une réaction un peu exagérée, il est vrai qu’elle eut bien sa baguette qui la démangeait mais ça aurait juste été profondément stupide, alors la brune se contenta d’une réplique tranchante et d’un regard noir vers l’individu qui n’en paraissait pas plus étonné. Méfiance mon cher on ne sait jamais quelle situation peut arriver. Quoi qu’il en soit, Katlyne s’abaissa pour ramasser ses feuilles, se rassurant mentalement en sachant que la moitié de se qu’elle avait écrit dessus ne devait pas être compréhensible par tous et en plus couvert de rature et de récriture. Ca gâchait c’est vrai son écriture fine et un peu penchée mais que soit. Entendant des pas qui revenait vers elle, pendant une fraction de second elle pense que c’est se perturbateur qui revient mais de toute évidence ce n’était pas le cas.

Elle reprend un peu de calme, tentant de rassembler assez vite alors que deux autres mains étaient apparues dans son champ de vision pour l’aider. Sentant finalement le contact avec sa main, Katlyne relève le regard vers la personne qui était arrivée. Revoyant un homme sans doute de taille honorable, brun, plaisant. Elle l’avait déjà croisé ici, ça c’était sur maintenant ou, restait une bonne question. Il parut vouloir reprendre la parole, elle rassembla les dernières feuilles avant de l’écouter recroisant son regard quand sa voix agréable se fit entendre. Un léger sourire vient naitre sur son visage à sa phrase. Mm département de la justice magique c’était ça, auror ?

-Il y a beaucoup de chose qui s’oublie s’est vrai, s’en est dommage. On est beaucoup à travaillez au ministère, vous savez ?

Dit-elle dans un sourire amusé avant de se redresser finalement regardant les feuilles dans une main. La mangemorte, reportant son regard vers lui mais enchaine pour ne pas non plus qu’il se sente un peu plus mal à l’aise qu’il ne paraissait déjà l’être. De plus, ca ne serait pas très poli de ne pas non plus le remercier vu que ca semblait en plus la seule personne qui s’inquiétait de ça.

-Merci pour le coup de main Jonathan…Katlyne.

Ajouta t-elle finalement. Se disant qu’elle ferait sans doute un peu mieux de retenir des nom finalement que de se préoccuper très peu de se qui pouvait se passez ici. Elle lui tendit finalement la main.

-Vous êtes dans le département de la justice magique, c’est cela ?

Demanda t-elle pour relancer la conversation, en même temps ça serait bien dommage qu’elle se termine là. Elle reporta son regard noisette vers le sien, tout aussi brun certes mais avec un petit je ne sais quoi en plus, en attendant sa réponse. Ne s’occupant plus vraiment de toute cette masse de personne qui continuait de se mouvoir dans le hall.

Elle avait l’air mal à l’aise, après coup je me dis que c’était évident que mon intervention la rendrait mal à l’aise, surtout qu’il n’était pas surprenant qu’elle ne me connaisse pas, je suis plutôt réservé, et hormis les gens que j’interroge peu me voit au ministère. Je me sentais bête du coup car en fait elle ne me connaissait pas, j’espère que je ne l’ai pas trop offusqué. Finalement, je n’étais peut-être pas aussi mésadapté socialement que je le pensais. J’avais réussi à engager la conversation et elle, Katlyne, semblait disposé à la continuer. Elle commença tout d’abord pour l’avoir aidé à ramasser ses papiers. Elle me vouvoyait, pourtant je n’étais pas si vieux, je n’ai même pas encore quarante-ans…

-Enchanté de faire votre connaissance… Katlyne… Vous savez que vous avez un très joli nom ? Et pas besoin de me vouvoyer, je n’ai pas encore de cheveux blancs.

J’avais le sourire aux lèvres, c’était une première pour moi depuis des lustres. J’avais dit ma dernière remarque d’un ton blagueur, qu’elle me vouvoie ne me dérange pas tellement, mais je voulais la mettre à l’aise, du moins si j’étais encore de mettre quelqu’un à l’aise malgré le fait que j’aie eu de gros problème dans ma vie professionnel et personnel. Puis la jolie sorcière s’enquit de mon poste au ministère, je ne lui dirai pas que je suis l’as de l’interrogatoire et que pour faire parler les gens il n’y avait pas mieux que moi car comme première impression c’en était une qu’on veut éviter la majorité du temps. Je n’allais cependant pas lui cacher que bibi n’était plus un Auror pour le moment, en fait j’étais suspendus…

-Oui c’est bien cela, je travail au département de la justice magique, je suis un auror en touche en fait, j’attends impatiemment mon retour sur le terrain, mais on dirait que ce n’est pas ce que veule certaines personnes…
J’avais fini ma phrase d’un ton amère car au fond c’était vrai, j’étais près à retourner au feu de l’action, mais certaine personne ne semblait pas le voir. J’enchainai donc en lui retournant la question.

-À ce qu’il me semble vous travaillez au département des mystères ? En quoi consiste votre travail ? C’est intéressant ?

Je sais, il y a mieux comme question, mais je devais m’intéresser à elle pour poursuivre la conversation et avec le stress je n’eue pas de meilleur idée de sujet. Une fois qu’elle m’eut répondu un éclair de génie traversa mon esprit, je devais m’intéresser à ce quel faisait présentement.

-Et si ce n’est pas indiscret, puis-je savoir où vous alliez ?

Mwais encore là je n’ai pas assuré, on aurait dit un contrôle de sécurité, décidément je n’avais pas le tour avec les gens, du moins ceux qui ne sont pas forcé de me dire ce que je veux savoir, mon domaine était bel et bien l’interrogatoire.

— JOUEUR / JOUEUSE —

Une petite boutade en premier, ce n’était peut-être pas la meilleure manière de commencer mais en même temps comme situation banale, elle avait déjà vu mieux. Même si les trois quarts du temps, soit son air suffit à ce qu’on la laisse passer sans trop de dommage soit, elle atteint les cheminées sans encombre. Enfin c’était comme ça. Quoi qu’il en soit, elle tentait mentalement de retrouvée ou elle l’avait croisé. Ici plus que certainement parce qu’elle se baladait que rarement au autres étages du ministère. Néanmoins, elle laissa de côté ce premier point pour finir par le remercier de la gentillesse dont il avait preuve. C’était la moindre des choses tout de même. Un sourire s’afficha volontiers sur ses lèvres en écoutant la réplique. Ca c’était tout bonnement l’habitude du vouvoiement, c’était quelques chose de tenace. Reprenant une pose plus nonchalante et apte à rester sans trop bouger, la brune finit par reprendre la parole.

-Pareillement…Au moins maintenant je le serais. Par contre pour ce qui est des cheveux blancs, on ne sait jamais, ça arrive parfois bien vite mais d’accord je passe au tu si tu fais pareil ?

Il est vrai que les âges ne doivent pas être très éloignés non plus. Elle retenu superbement une envie un peu paradoxale de passez une main dans ses cheveux quand il parla de ceux-ci. Ca ne le ferait pas vraiment. Heureusement, elle avait lancé la suite avec un contexte nettement plus terre à terre surtout dans ses locaux. Son hypothèse fut correcte. Donc oui, il valait mieux qu’elle se contente de dire Katlyne et pas ajouté son nom de famille. Hellington c’est pas forcément bien vu. En même temps, elle aura déjà tellement eut cette discussion, qu’elle a prit le plis de dire ce qu’on veut entendre plus que ce qu’elle pense, question de sécurité et de facilité. Le première prime bien plus, elle n’avait pas envie de passer sa vie et se défiler d’autres personnes toute la journée, ça serait long et ennuyant. Quand la contre question arriva bien assez vite. Elle repose un regard joueur. Nop, personne ne le sait, elle ne comptait pas le signaler.

-Celle-là, je l’avais jamais entendu comme expression…Qu’avez…qu’as-tu fais pour mériter d’être coltiner dans les bureaux ? Je travail effectivement au département des mystères, vous avez une fiche sur tout le monde ?…Pour ce qui est de mon travail, là navré de te décevoir mais je ne vais pas répondre à la question. La plupart des personnes qui travaillent en ces lieux l’ignorent et cela ne doit pas changer…

Dit-elle à nouveau. Néanmoins, ces phrases n’étaient pas tournées méchamment mais elle ne comptait quand même pas le dire. Pour une fois que des ordres du ministère pouvaient être plaisant, fallait bien en profiter. Nul temps de répondre ou de dire quoi que se soit que Jonathan enchaîna. Néanmoins, la mangemorte reposa son regard autours d’eux. La masse tel un peu une fourmilière tournait finalement de l’emplacement qu’il occupait, qu’il soit là où non n’avait de toute évidence pas grande importance. Elle ramena son regard vers le sien. Que de question en si peu de temps, enfin, elles n’étaient pas encore gênantes non plus. Elle montra d’un léger mouvement de tête les cheminées.

-Je rentrais chez moi, ma journée est terminée et vous ? La journée est finie ?

Bon d’accord, elle avait encore un peu de mal et jonglait une fois sur deux entre les qualificatifs. Elle montra d’un signe de la main un endroit un peu plus dégagé, ou en tout cas moins de monde semblaient vouloir marcher.

-Que dite-vous si on allait plutôt là bas ? Question de ne pas faire bouchon près de l’ascenseur ?

Elle releva à nouveau son regard vers l’auror en attendant sa réponse.

Un bon bout de chemin de fait, elle accepte que nous nous tutoyions, je crois que je suis bien partie pour la conversation, ça fait du bien de parler à quelqu’un d’autre qu’à un mage noir.

- Avec plaisir Katlyne.

Elle me demande qu’ai-je fais pour être suspendu, en même temps j’aurais dû m’y attendre, c’est quand même moi qui a abordé le sujet… C’est simple en fait, j’ai des problèmes depuis que je suis tout jeune, ma famille a été assassiné, je bois pour oublier la triste réalité du monde dans lequel nous vivons. J’imagine déjà sa tête si je lui réponds ça… Non, je dois trouver quelque chose de mieux, non pas que je veuille lui mentir, mais plutôt dire la vérité d’une autre manière. Mais, il me semble que même lorsque j’avais de tel comportement mes missions étaient toujours des succès, bon quelque incident se produisait quelques fois, mais ce sont les risques, non ?

-En fait, j’ai été suspendu parce que j’avais un comportement qui, supposément, ne convenait pas au poste auquel j’aspirais. Comme s’il fallait être un ange ou un saint pour chasser les mages noirs…

Finalement ça a mieux sorti que je le pensais, pas mal comme réponse. Je me demande vraiment quel est son poste. Le département des mystères porte bien son nom, un jour je devrais aller y faire un tour pour y scruter quelques pensées…

-Je n’insisterai donc pas sur votre travail, si celui-ci doit rester secret je comprends. Et pour votre seconde question, en tant qu’Aurore on a quelque privilège, comme celui d’avoir accès au dossier, mais bon je les feuillettes généralement que très peu, j’ai pris une chance avec le département des mystères, une intuition rien de plus.

En même temps savoir ce qu’elle fait n’est pas la chose la plus importante dans ma vie, j’avais abordé le sujet en premier lieux pour être polie et pour continuer la conversation. J’étais très content de la tournure de notre conversation, pas d’engueulade, pas de mesquinerie, que de la simple politesse et gentillesse. Cela fait grandement changement de mon quotidien. Je plaçai la main dans ma poche instinctivement puis j’écoutai la jolie brune parlé à nouveau. Elle me demanda si ma journée était fini, en fait oui depuis un petit bout, mais je venais de sortir qu’à ce moment, j’avais de la paperasse à remplir.

-Oui elle est fini aussi, et j’accepte avec joie que nous nous ôtions d’en plein milieu du chemin.

J’avais dit cela avec un grand sourire, je crois que cet après midi j’ai plus souris qu’en dix ans de ma vie. Nous nous déplaçâmes donc à l’écart pour continuer à discuter. Je voulais continuer à parler, mais les sujets de conversation commençais à manquer, j’étais plus doué pour soutiré de l’info que pour en donner, mais bon un sujet d’actualité ne devrais pas poser problème.

-As-tu entendu parler de la dernière invention moldu ? Selon eux lors de la nouvelle année, toutes leurs inventions crasheront. Un bug je crois que ça s’appelle, le bug de l’an 2000 je pense. Entre toi et moi, je ne serais aucunement peiné que leur monde s’effondre, pour ce qu’ils nous ont fait dans le passé…

Ici, je faisais référence au bucher et à la sainte inquisition, selon moi voldemort n’est pas pire qu’eux, bien que je ne cautionne aucun acte du genre… J’attentai donc l’opinion de Katlyne tout en me disant que ce n’était finalement pas le meilleur sujet de conversation que j’aurais pu trouver.

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Politesse sur politesse, en somme une conversation bien civilisée. De toute manière, vu les locaux ou nous étions c’était la meilleure des choses à faire. De plus, elle n’avait rien à lui reprocher ni aucune animosité à son égard. Tout dépendra les sujets qu’il abordera bien évidemment. Si il nous dit qu’il aime les moldu ou qu’il vente les mérite de Luthor la, elle ne dit pas que son avis sur Jonathan risque de changer. Mais pour le moment on passait au tutoiement. Beaucoup moins conventionnelle mais aussi un peu plus sympathique. Question de ne pas vous faire sentir comme un simple numéro de plus dans le ministère. Emboita le pas un sujet plus orienté travail. Comme tout commencement à vrai dire. Ayant eut droit à une flopée de question, elle se permit de demander plus de détail à se qu’il avait donné. En même temps, lui seule avait lancé se sujet. Sa voix agréable reprit, la brune releva à nouveau son regard vers le sien. Sa réplique eut le mérite de la faire sourire. Un peu mystérieux c’est vrai, mais un sourire quand même. Sur ce point, il n’avait pas tord à quoi bon jouer dans les règles du jeu quand on sait qu’une partie n’en tient point compte. Katlyne peut comprendre facilement pourquoi il est donc un peu puni.

-Je vois ou est le problème effectivement. La sagesse de croire que tout se résoudra en douceur, bien gentiment. Que la loi sera la plus forte…Parfois on se dit que ceux qui pense cela ne sont jamais sortit voir ce que c’est dehors n’est ce pas ?

Que c’était bien dit. Enfin en même temps, elle était quand même de l’avis que demander calmement ne sert à rien. Préférant plutôt l’action on peut lui pardonner cela. Surtout que dans le cas de figure du ministère, c’est à l’encontre de ses collègues si on peut dire ça comme ça. Après son travail vient évidemment le sien. Encore une part d’ombre mais qui n’a rien avoir avec ses choix. Quoi que elle a choisit se poste c’est vrai mais si le silence est la aussi imposée c’est comme ça. Ce n’était pas pour rien qu’on les surnommait des langues-de-plomb. Arf, accès au dossier. Ca mâchoire se serre un peu avant de retrouver la neutralité. Moins bon effectivement, surtout que tout doit être noté dedans. Cela voulait dire qu’il l’avait lu ? Qu’il avait lu le sien ? L’incertitude prit un peu place dans son regard bien qu’elle ne se démonta pas le moins du monde au contraire. Cela l’intriguait un peu plus que la prudence qu’une part de son esprit voulait imposer.

-Quel genre d’intuition si je puis me permettre ? L’espérance de trouver un dossier intéressant…Cela voudrait dire que tu as lu le mien ?

Demanda t-elle dans un petit sourire joueur bien que son regard restait un peu alerte. Allez savoir pourquoi, elle avait envie de lui faire confiance en ce qu’il disait alors que techniquement parlant, rien cas savoir son métier, il valait mieux se méfier et ne pas tenter le diable. A moins que ce faite fût déjà passé et qu’il tenait à savoir autre chose. Mouis avec toutes ses réflexions, elle ne savait plus vraiment comme prendre ce qui se passe. Enfin la réalité s’en chargea parce qu’ils se trouvaient en plein milieu du chemin. Elle acquiesça quand il accepta de se déplacer, avant de se mouvoir un peu plus loin, là ou on dérangeait moins. Elle tourna la tête pour recroiser son magnifique regard, s’y plongeant un peu tout en entendant le sujet. Arf invention moldu, qu’est ce que ça peut bien lui faire ? Mais la suite lui fit comprendre un peu plus facilement de quoi il voulait parler. Entendait-elle bien ? Et bien dit donc en plus d’être charmant, il va finir par devenir sympathique. Elle haussa les épaules dans un pale sourire.

-Je dois avouer que ce qu’il peut leurs arriver m’importe un peu, mais je doute qu’il se passe quoique se soit tout simplement parce que nous changeons d’année, enfin de siècle…Maintenant, si ça leurs arriveraient, sans doute que ça ne serait que juste vengeance pour le passé bien que notre ministère serait capable d’aller les aider. Enfin la date approche nous verrons bien ce qui se passera. Qu’est ce que tu en penses ?

Demanda t-elle en reportant son regard vers l’auror aux cheveux bruns. Néanmoins, continuer une conversation sur les thèmes moldu ne serait pas toujours aussi clément et elle ne sera certainement pas du même avis sur tout les points que son vis-à-vis, quoique. Son regard se porta un peu plus loin, avant de revenir vers lui. Une envie de continuer de parler, de ne pas dire à la prochaine et de partir en direction de la cheminée la reprit. Ses lèvres s’entrouvrirent pour laisser passer les mots qui se formèrent dans son esprit.

-Alors que comptes-tu faire maintenant que ta journée est terminée ?

Cela faisait un peu deux personnes qui se connaissaient depuis toujours mais bon, même si ce n’était pas le cas, cela n’allait pas déranger la brune. Au contraire.