[— JOUEUR / JOUEUSE —]

=>Débat entre deux amants

Le lendemain, Hermione devait quitter le Terrier comme elle avait convenu avec son compagnon. Ils avaient décidé de rencontrer le leader de l’ordre pour se rendre utile, pour enfin combattre comme il se devait. Hermione le savait déjà que sa lutte ne durait pas très longtemps, s’arrêtant au fur à mesure que la vie grandirait dans son être. Elle abandonnera la protection de la vie pour la donner, ainsi soit-il.
Se levant du lit, mine triste, visage pâle, sa première action de la journée était une course effrénée jusqu’au toilette où les gorges des entrailles se relevaient aussi puissants que les gorges des Ardennes, sans pourtant avoir son temps. Bref, mais douloureux que la jeune femme reçut comme une claque au visage. Qu’importe, le message valait cette souffrance, attendant l’enfant tant promis. Relevant doucement sa tête, puis marchant tranquillement vers la glace, elle vit un monstre à travers cette plaque, ne pouvant sourire qu’à son pitoyable état. Ouvrant le robinet, elle essayait de se rafraîchir, mais aussi de se nettoyer pour enfin être un peu plus présentable et pour éviter que son Ron ait des remords sur son état. Puis revenant dans son lit, elle vit que son bien aimé était toujours là. Etait-il réveillé, elle ne le savait pas. Mais elle vit qu’il bougeait du lit. Quel état avait-il ? Elle ne savait pas trop.

Se remettant sur le lit, elle caressa le long de son bras et dit :

« Navré de te réveiller. J’espère que cela ne t’a pas gâché ton doux rêve ? »

Elle espérait qu’il n’avait pas entendu qu’elle était partie dans les toilettes, même si au fond d’elle, elle ne savait pas comment réagir à son nouvel état, comme si ses hormones prenaient de plus en plus le pas sur sa raison. Elle commençait à se demander comment elle allait faire pour pouvoir garder son calme devant une situation difficile ? Comment elle ferait si Ron était en danger ? Elle serait capable d’accomplir une action stupide, cela en était sûr. Pourtant, elle était incapable de rester sur le banc de touche, ne voulant pas que ses amis, sa famille prenne un risque pour elle. Elle s’en voudrait terriblement pour le reste de sa vie.
Mais elle savait aussi que son corps ne l’appartenait plus vraiment à présent. Une part de lui était en elle pour une durée limitée. Une partie de lui pourrait vouloir vivre et si Ron perdait cette partie, il serait affecté comme elle le serait. Si Ron perd Hermione, elle savait qu’il aura encore plus de mal à se remettre. Ainsi sachant qu’elle venait de faire un choix égoïste, elle se sentait coupable vis-à-vis Ron, d’aller contre ses envies, contre sa conscience. Mais qu’importe, il fallait choisir le meilleur choix pour leur enfant et Hermione pensait l’avoir, ou du moins priait pour l’avoir.

Et devant ce limbe d’interrogations, Hermione avait un visage signifiant qu’elle était soucieuse, incertaine, pétrifiée par une peur perceptible, descriptible par toute personne voulant la voir. Et comme pour se faire pardonner de tout cela, pour tout, elle posa ses lèvres sur celle de Ron avant de dire.

« Pardonnes moi. »

Des larmes coulaient le long de ses joues….
Ces hormones commençaient à faire effet.

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Le lendemain, Hermione devait quitter le Terrier comme elle avait convenu avec son compagnon. Ils avaient décidé de rencontrer le leader de l’ordre pour se rendre utile, pour enfin combattre comme il se devait. Hermione le savait déjà que sa lutte ne durait pas très longtemps, s’arrêtant au fur à mesure que la vie grandirait dans son être. Elle abandonnera la protection de la vie pour la donner, ainsi soit-il.
Se levant du lit, mine triste, visage pâle, sa première action de la journée était une course effrénée jusqu’au toilette où les gorges des entrailles se relevaient aussi puissants que les gorges des Ardennes, sans pourtant avoir son temps. Bref, mais douloureux que la jeune femme reçut comme une claque au visage. Qu’importe, le message valait cette souffrance, attendant l’enfant tant promis. Relevant doucement sa tête, puis marchant tranquillement vers la glace, elle vit un monstre à travers cette plaque, ne pouvant sourire qu’à son pitoyable état. Ouvrant le robinet, elle essayait de se rafraîchir, mais aussi de se nettoyer pour enfin être un peu plus présentable et pour éviter que son Ron ait des remords sur son état. Puis revenant dans son lit, elle vit que son bien aimé était toujours là. Etait-il réveillé, elle ne le savait pas. Mais elle vit qu’il bougeait du lit. Quel état avait-il ? Elle ne savait pas trop.

Se remettant sur le lit, elle caressa le long de son bras et dit :

« Navré de te réveiller. J’espère que cela ne t’a pas gâché ton doux rêve ? »

Elle espérait qu’il n’avait pas entendu qu’elle était partie dans les toilettes, même si au fond d’elle, elle ne savait pas comment réagir à son nouvel état, comme si ses hormones prenaient de plus en plus le pas sur sa raison. Elle commençait à se demander comment elle allait faire pour pouvoir garder son calme devant une situation difficile ? Comment elle ferait si Ron était en danger ? Elle serait capable d’accomplir une action stupide, cela en était sûr. Pourtant, elle était incapable de rester sur le banc de touche, ne voulant pas que ses amis, sa famille prenne un risque pour elle. Elle s’en voudrait terriblement pour le reste de sa vie.
Mais elle savait aussi que son corps ne l’appartenait plus vraiment à présent. Une part de lui était en elle pour une durée limitée. Une partie de lui pourrait vouloir vivre et si Ron perdait cette partie, il serait affecté comme elle le serait. Si Ron perd Hermione, elle savait qu’il aura encore plus de mal à se remettre. Ainsi sachant qu’elle venait de faire un choix égoïste, elle se sentait coupable vis-à-vis Ron, d’aller contre ses envies, contre sa conscience. Mais qu’importe, il fallait choisir le meilleur choix pour leur enfant et Hermione pensait l’avoir, ou du moins priait pour l’avoir.

Et devant ce limbe d’interrogations, Hermione avait un visage signifiant qu’elle était soucieuse, incertaine, pétrifiée par une peur perceptible, descriptible par toute personne voulant la voir. Et comme pour se faire pardonner de tout cela, pour tout, elle posa ses lèvres sur celle de Ron avant de dire.

« Pardonnes moi. »

Des larmes coulaient le long de ses joues….
Ces hormones commençaient à faire effet.

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=>Débat entre deux amants

Le lendemain, Hermione devait quitter le Terrier comme elle avait convenu avec son compagnon. Ils avaient décidé de rencontrer le leader de l’ordre pour se rendre utile, pour enfin combattre comme il se devait. Hermione le savait déjà que sa lutte ne durait pas très longtemps, s’arrêtant au fur à mesure que la vie grandirait dans son être. Elle abandonnera la protection de la vie pour la donner, ainsi soit-il.
Se levant du lit, mine triste, visage pâle, sa première action de la journée était une course effrénée jusqu’au toilette où les gorges des entrailles se relevaient aussi puissants que les gorges des Ardennes, sans pourtant avoir son temps. Bref, mais douloureux que la jeune femme reçut comme une claque au visage. Qu’importe, le message valait cette souffrance, attendant l’enfant tant promis. Relevant doucement sa tête, puis marchant tranquillement vers la glace, elle vit un monstre à travers cette plaque, ne pouvant sourire qu’à son pitoyable état. Ouvrant le robinet, elle essayait de se rafraîchir, mais aussi de se nettoyer pour enfin être un peu plus présentable et pour éviter que son Ron ait des remords sur son état. Puis revenant dans son lit, elle vit que son bien aimé était toujours là. Etait-il réveillé, elle ne le savait pas. Mais elle vit qu’il bougeait du lit. Quel état avait-il ? Elle ne savait pas trop.

Se remettant sur le lit, elle caressa le long de son bras et dit :

« Navré de te réveiller. J’espère que cela ne t’a pas gâché ton doux rêve ? »

Elle espérait qu’il n’avait pas entendu qu’elle était partie dans les toilettes, même si au fond d’elle, elle ne savait pas comment réagir à son nouvel état, comme si ses hormones prenaient de plus en plus le pas sur sa raison. Elle commençait à se demander comment elle allait faire pour pouvoir garder son calme devant une situation difficile ? Comment elle ferait si Ron était en danger ? Elle serait capable d’accomplir une action stupide, cela en était sûr. Pourtant, elle était incapable de rester sur le banc de touche, ne voulant pas que ses amis, sa famille prenne un risque pour elle. Elle s’en voudrait terriblement pour le reste de sa vie.
Mais elle savait aussi que son corps ne l’appartenait plus vraiment à présent. Une part de lui était en elle pour une durée limitée. Une partie de lui pourrait vouloir vivre et si Ron perdait cette partie, il serait affecté comme elle le serait. Si Ron perd Hermione, elle savait qu’il aura encore plus de mal à se remettre. Ainsi sachant qu’elle venait de faire un choix égoïste, elle se sentait coupable vis-à-vis Ron, d’aller contre ses envies, contre sa conscience. Mais qu’importe, il fallait choisir le meilleur choix pour leur enfant et Hermione pensait l’avoir, ou du moins priait pour l’avoir.

Et devant ce limbe d’interrogations, Hermione avait un visage signifiant qu’elle était soucieuse, incertaine, pétrifiée par une peur perceptible, descriptible par toute personne voulant la voir. Et comme pour se faire pardonner de tout cela, pour tout, elle posa ses lèvres sur celle de Ron avant de dire.

« Pardonnes moi. »

Des larmes coulaient le long de ses joues….
Ces hormones commençaient à faire effet.

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Le lendemain, Hermione devait quitter le Terrier comme elle avait convenu avec son compagnon. Ils avaient décidé de rencontrer le leader de l’ordre pour se rendre utile, pour enfin combattre comme il se devait. Hermione le savait déjà que sa lutte ne durait pas très longtemps, s’arrêtant au fur à mesure que la vie grandirait dans son être. Elle abandonnera la protection de la vie pour la donner, ainsi soit-il.
Se levant du lit, mine triste, visage pâle, sa première action de la journée était une course effrénée jusqu’au toilette où les gorges des entrailles se relevaient aussi puissants que les gorges des Ardennes, sans pourtant avoir son temps. Bref, mais douloureux que la jeune femme reçut comme une claque au visage. Qu’importe, le message valait cette souffrance, attendant l’enfant tant promis. Relevant doucement sa tête, puis marchant tranquillement vers la glace, elle vit un monstre à travers cette plaque, ne pouvant sourire qu’à son pitoyable état. Ouvrant le robinet, elle essayait de se rafraîchir, mais aussi de se nettoyer pour enfin être un peu plus présentable et pour éviter que son Ron ait des remords sur son état. Puis revenant dans son lit, elle vit que son bien aimé était toujours là. Etait-il réveillé, elle ne le savait pas. Mais elle vit qu’il bougeait du lit. Quel état avait-il ? Elle ne savait pas trop.

Se remettant sur le lit, elle caressa le long de son bras et dit :

« Navré de te réveiller. J’espère que cela ne t’a pas gâché ton doux rêve ? »

Elle espérait qu’il n’avait pas entendu qu’elle était partie dans les toilettes, même si au fond d’elle, elle ne savait pas comment réagir à son nouvel état, comme si ses hormones prenaient de plus en plus le pas sur sa raison. Elle commençait à se demander comment elle allait faire pour pouvoir garder son calme devant une situation difficile ? Comment elle ferait si Ron était en danger ? Elle serait capable d’accomplir une action stupide, cela en était sûr. Pourtant, elle était incapable de rester sur le banc de touche, ne voulant pas que ses amis, sa famille prenne un risque pour elle. Elle s’en voudrait terriblement pour le reste de sa vie.
Mais elle savait aussi que son corps ne l’appartenait plus vraiment à présent. Une part de lui était en elle pour une durée limitée. Une partie de lui pourrait vouloir vivre et si Ron perdait cette partie, il serait affecté comme elle le serait. Si Ron perd Hermione, elle savait qu’il aura encore plus de mal à se remettre. Ainsi sachant qu’elle venait de faire un choix égoïste, elle se sentait coupable vis-à-vis Ron, d’aller contre ses envies, contre sa conscience. Mais qu’importe, il fallait choisir le meilleur choix pour leur enfant et Hermione pensait l’avoir, ou du moins priait pour l’avoir.

Et devant ce limbe d’interrogations, Hermione avait un visage signifiant qu’elle était soucieuse, incertaine, pétrifiée par une peur perceptible, descriptible par toute personne voulant la voir. Et comme pour se faire pardonner de tout cela, pour tout, elle posa ses lèvres sur celle de Ron avant de dire.

« Pardonnes moi. »

Des larmes coulaient le long de ses joues….
Ces hormones commençaient à faire effet.

[Données]

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Le lendemain, Hermione devait quitter le Terrier comme elle avait convenu avec son compagnon. Ils avaient décidé de rencontrer le leader de l’ordre pour se rendre utile, pour enfin combattre comme il se devait. Hermione le savait déjà que sa lutte ne durait pas très longtemps, s’arrêtant au fur à mesure que la vie grandirait dans son être. Elle abandonnera la protection de la vie pour la donner, ainsi soit-il.
Se levant du lit, mine triste, visage pâle, sa première action de la journée était une course effrénée jusqu’au toilette où les gorges des entrailles se relevaient aussi puissants que les gorges des Ardennes, sans pourtant avoir son temps. Bref, mais douloureux que la jeune femme reçut comme une claque au visage. Qu’importe, le message valait cette souffrance, attendant l’enfant tant promis. Relevant doucement sa tête, puis marchant tranquillement vers la glace, elle vit un monstre à travers cette plaque, ne pouvant sourire qu’à son pitoyable état. Ouvrant le robinet, elle essayait de se rafraîchir, mais aussi de se nettoyer pour enfin être un peu plus présentable et pour éviter que son Ron ait des remords sur son état. Puis revenant dans son lit, elle vit que son bien aimé était toujours là. Etait-il réveillé, elle ne le savait pas. Mais elle vit qu’il bougeait du lit. Quel état avait-il ? Elle ne savait pas trop.

Se remettant sur le lit, elle caressa le long de son bras et dit :

« Navré de te réveiller. J’espère que cela ne t’a pas gâché ton doux rêve ? »

Elle espérait qu’il n’avait pas entendu qu’elle était partie dans les toilettes, même si au fond d’elle, elle ne savait pas comment réagir à son nouvel état, comme si ses hormones prenaient de plus en plus le pas sur sa raison. Elle commençait à se demander comment elle allait faire pour pouvoir garder son calme devant une situation difficile ? Comment elle ferait si Ron était en danger ? Elle serait capable d’accomplir une action stupide, cela en était sûr. Pourtant, elle était incapable de rester sur le banc de touche, ne voulant pas que ses amis, sa famille prenne un risque pour elle. Elle s’en voudrait terriblement pour le reste de sa vie.
Mais elle savait aussi que son corps ne l’appartenait plus vraiment à présent. Une part de lui était en elle pour une durée limitée. Une partie de lui pourrait vouloir vivre et si Ron perdait cette partie, il serait affecté comme elle le serait. Si Ron perd Hermione, elle savait qu’il aura encore plus de mal à se remettre. Ainsi sachant qu’elle venait de faire un choix égoïste, elle se sentait coupable vis-à-vis Ron, d’aller contre ses envies, contre sa conscience. Mais qu’importe, il fallait choisir le meilleur choix pour leur enfant et Hermione pensait l’avoir, ou du moins priait pour l’avoir.

Et devant ce limbe d’interrogations, Hermione avait un visage signifiant qu’elle était soucieuse, incertaine, pétrifiée par une peur perceptible, descriptible par toute personne voulant la voir. Et comme pour se faire pardonner de tout cela, pour tout, elle posa ses lèvres sur celle de Ron avant de dire.

« Pardonnes moi. »

Des larmes coulaient le long de ses joues….
Ces hormones commençaient à faire effet.

[Expérience]

=>Débat entre deux amants

Le lendemain, Hermione devait quitter le Terrier comme elle avait convenu avec son compagnon. Ils avaient décidé de rencontrer le leader de l’ordre pour se rendre utile, pour enfin combattre comme il se devait. Hermione le savait déjà que sa lutte ne durait pas très longtemps, s’arrêtant au fur à mesure que la vie grandirait dans son être. Elle abandonnera la protection de la vie pour la donner, ainsi soit-il.
Se levant du lit, mine triste, visage pâle, sa première action de la journée était une course effrénée jusqu’au toilette où les gorges des entrailles se relevaient aussi puissants que les gorges des Ardennes, sans pourtant avoir son temps. Bref, mais douloureux que la jeune femme reçut comme une claque au visage. Qu’importe, le message valait cette souffrance, attendant l’enfant tant promis. Relevant doucement sa tête, puis marchant tranquillement vers la glace, elle vit un monstre à travers cette plaque, ne pouvant sourire qu’à son pitoyable état. Ouvrant le robinet, elle essayait de se rafraîchir, mais aussi de se nettoyer pour enfin être un peu plus présentable et pour éviter que son Ron ait des remords sur son état. Puis revenant dans son lit, elle vit que son bien aimé était toujours là. Etait-il réveillé, elle ne le savait pas. Mais elle vit qu’il bougeait du lit. Quel état avait-il ? Elle ne savait pas trop.

Se remettant sur le lit, elle caressa le long de son bras et dit :

« Navré de te réveiller. J’espère que cela ne t’a pas gâché ton doux rêve ? »

Elle espérait qu’il n’avait pas entendu qu’elle était partie dans les toilettes, même si au fond d’elle, elle ne savait pas comment réagir à son nouvel état, comme si ses hormones prenaient de plus en plus le pas sur sa raison. Elle commençait à se demander comment elle allait faire pour pouvoir garder son calme devant une situation difficile ? Comment elle ferait si Ron était en danger ? Elle serait capable d’accomplir une action stupide, cela en était sûr. Pourtant, elle était incapable de rester sur le banc de touche, ne voulant pas que ses amis, sa famille prenne un risque pour elle. Elle s’en voudrait terriblement pour le reste de sa vie.
Mais elle savait aussi que son corps ne l’appartenait plus vraiment à présent. Une part de lui était en elle pour une durée limitée. Une partie de lui pourrait vouloir vivre et si Ron perdait cette partie, il serait affecté comme elle le serait. Si Ron perd Hermione, elle savait qu’il aura encore plus de mal à se remettre. Ainsi sachant qu’elle venait de faire un choix égoïste, elle se sentait coupable vis-à-vis Ron, d’aller contre ses envies, contre sa conscience. Mais qu’importe, il fallait choisir le meilleur choix pour leur enfant et Hermione pensait l’avoir, ou du moins priait pour l’avoir.

Et devant ce limbe d’interrogations, Hermione avait un visage signifiant qu’elle était soucieuse, incertaine, pétrifiée par une peur perceptible, descriptible par toute personne voulant la voir. Et comme pour se faire pardonner de tout cela, pour tout, elle posa ses lèvres sur celle de Ron avant de dire.

« Pardonnes moi. »

Des larmes coulaient le long de ses joues….
Ces hormones commençaient à faire effet.