[— ADMINISTRATEUR —]

Créer la surprise, l'inédit... C'est ce que recherchait constamment Laurence dans ses rapports sexuel, mais aussi sentimentale, social, professionnel. Ne jamais ce laisser entraîner dans la monotonie. C'est aussi pour cela que le Gryffondor ce laissait aller à la provocation, aux vices, à l'interdit... Car tout ce qui est autorisé est empreint d'un sentiment de déjà vu...
A voir la surprise sur le visage de sa belle, il savait qu'elle venait de découvrir quelque chose. Une nouvelle position. En découlait des sensations nouvelles et pas désagréable du tout.
La seule chose qui l'embêtait un peu, c'est qu'il ne pouvait l'embrasser comme il le désirait. Ni lui chuchoter des mots doux à l'oreille. C'était un des inconvénients.

Et comme il ne laissait jamais rien au hasard, il avait déjà prévu de ne pas finir sur cet position. Oui, pour un premier rapport avec la Serpentard, il désirait finir sur plus de proximité, sentir ses lèvres sur les siennes avec l'apogée du moment... Quelque chose de très pur, très cliché, mais qui, selon Laurence, avait de l'importance.
Là encore, son désir de changer son image était bien présente. Si ça avait été purement sexuel, les positions seraient différentes et bien plus brusque.
Et actuellement ce n'tait pas ça. Il allait et venait en elle avec douceur et force, il se retenait pour ne pas aller trop vite, il allait crescendo, mais dans une progression modéré, afin de faire durer l'acte, sans toutefois endormir sa partenaire.

Le Gryffondor caressa d'une main la poitrine de Cloé, tandis que l'autre était posé sur une de ses hanches, afin d'assurer un minimum de maintiens. Il ne cessait de regarder sa partenaire, le plus souvent dans les yeux, des fois sur son corps.
Il créa encore un peu de surprise en appuyant particulièrement fort sur deux mouvements, histoire de faire gémir d'avantage sa belle, puis il repassa sur un rythme régulier.
En continuant ainsi, il savait que ça ne durerait bien plus longtemps, il lui fallait trouve quelque chose pour stimuler ses pensées ailleurs que sur le désir qui montait toujours plus.
Parler, c'était ça là clés. Mais que dire ? Jouer la carte du romantisme, de la provocation ? La taquiner ? Lui dire à combien elle comptait pour lui ? Lui demander comment ce passait ces entraînements ?

- Aurais-je vaincu la fougueuse Cloé Wicked ?

Finalement, la provocation. C'est ce qu'il avait choisit et en même temps, c'était à leurs images. Tout deux provocants, dans leurs vies de tout les jours et aussi en amour. C'était quelque chose qui leurs allaient bien.
Puis surtout, il offrait à Cloé une occasion de prendre les rennes de leur ébats. La connaissant, elle marcherait dans sa provocation et ni une ni deux, elle se retrouverait avec un Laurence docile. Ce dernier en même temps, tenait à préserver l'équilibre du rapport. C'était le premier. Marquer le coup, c'était un de ces buts, afin de garder Cloé le plus longtemps possible.

Après, dans leurs rapports prochains, les choses seraient différentes. Mais là, il se devait de faire les choses bien. Il avait déjà commis des boulettes, autant ce rattraper en lui donnant le plaisir à l'état pur.

[Localisation]

Créer la surprise, l'inédit... C'est ce que recherchait constamment Laurence dans ses rapports sexuel, mais aussi sentimentale, social, professionnel. Ne jamais ce laisser entraîner dans la monotonie. C'est aussi pour cela que le Gryffondor ce laissait aller à la provocation, aux vices, à l'interdit... Car tout ce qui est autorisé est empreint d'un sentiment de déjà vu...
A voir la surprise sur le visage de sa belle, il savait qu'elle venait de découvrir quelque chose. Une nouvelle position. En découlait des sensations nouvelles et pas désagréable du tout.
La seule chose qui l'embêtait un peu, c'est qu'il ne pouvait l'embrasser comme il le désirait. Ni lui chuchoter des mots doux à l'oreille. C'était un des inconvénients.

Et comme il ne laissait jamais rien au hasard, il avait déjà prévu de ne pas finir sur cet position. Oui, pour un premier rapport avec la Serpentard, il désirait finir sur plus de proximité, sentir ses lèvres sur les siennes avec l'apogée du moment... Quelque chose de très pur, très cliché, mais qui, selon Laurence, avait de l'importance.
Là encore, son désir de changer son image était bien présente. Si ça avait été purement sexuel, les positions seraient différentes et bien plus brusque.
Et actuellement ce n'tait pas ça. Il allait et venait en elle avec douceur et force, il se retenait pour ne pas aller trop vite, il allait crescendo, mais dans une progression modéré, afin de faire durer l'acte, sans toutefois endormir sa partenaire.

Le Gryffondor caressa d'une main la poitrine de Cloé, tandis que l'autre était posé sur une de ses hanches, afin d'assurer un minimum de maintiens. Il ne cessait de regarder sa partenaire, le plus souvent dans les yeux, des fois sur son corps.
Il créa encore un peu de surprise en appuyant particulièrement fort sur deux mouvements, histoire de faire gémir d'avantage sa belle, puis il repassa sur un rythme régulier.
En continuant ainsi, il savait que ça ne durerait bien plus longtemps, il lui fallait trouve quelque chose pour stimuler ses pensées ailleurs que sur le désir qui montait toujours plus.
Parler, c'était ça là clés. Mais que dire ? Jouer la carte du romantisme, de la provocation ? La taquiner ? Lui dire à combien elle comptait pour lui ? Lui demander comment ce passait ces entraînements ?

- Aurais-je vaincu la fougueuse Cloé Wicked ?

Finalement, la provocation. C'est ce qu'il avait choisit et en même temps, c'était à leurs images. Tout deux provocants, dans leurs vies de tout les jours et aussi en amour. C'était quelque chose qui leurs allaient bien.
Puis surtout, il offrait à Cloé une occasion de prendre les rennes de leur ébats. La connaissant, elle marcherait dans sa provocation et ni une ni deux, elle se retrouverait avec un Laurence docile. Ce dernier en même temps, tenait à préserver l'équilibre du rapport. C'était le premier. Marquer le coup, c'était un de ces buts, afin de garder Cloé le plus longtemps possible.

Après, dans leurs rapports prochains, les choses seraient différentes. Mais là, il se devait de faire les choses bien. Il avait déjà commis des boulettes, autant ce rattraper en lui donnant le plaisir à l'état pur.

[Nb de messages]

Créer la surprise, l'inédit... C'est ce que recherchait constamment Laurence dans ses rapports sexuel, mais aussi sentimentale, social, professionnel. Ne jamais ce laisser entraîner dans la monotonie. C'est aussi pour cela que le Gryffondor ce laissait aller à la provocation, aux vices, à l'interdit... Car tout ce qui est autorisé est empreint d'un sentiment de déjà vu...
A voir la surprise sur le visage de sa belle, il savait qu'elle venait de découvrir quelque chose. Une nouvelle position. En découlait des sensations nouvelles et pas désagréable du tout.
La seule chose qui l'embêtait un peu, c'est qu'il ne pouvait l'embrasser comme il le désirait. Ni lui chuchoter des mots doux à l'oreille. C'était un des inconvénients.

Et comme il ne laissait jamais rien au hasard, il avait déjà prévu de ne pas finir sur cet position. Oui, pour un premier rapport avec la Serpentard, il désirait finir sur plus de proximité, sentir ses lèvres sur les siennes avec l'apogée du moment... Quelque chose de très pur, très cliché, mais qui, selon Laurence, avait de l'importance.
Là encore, son désir de changer son image était bien présente. Si ça avait été purement sexuel, les positions seraient différentes et bien plus brusque.
Et actuellement ce n'tait pas ça. Il allait et venait en elle avec douceur et force, il se retenait pour ne pas aller trop vite, il allait crescendo, mais dans une progression modéré, afin de faire durer l'acte, sans toutefois endormir sa partenaire.

Le Gryffondor caressa d'une main la poitrine de Cloé, tandis que l'autre était posé sur une de ses hanches, afin d'assurer un minimum de maintiens. Il ne cessait de regarder sa partenaire, le plus souvent dans les yeux, des fois sur son corps.
Il créa encore un peu de surprise en appuyant particulièrement fort sur deux mouvements, histoire de faire gémir d'avantage sa belle, puis il repassa sur un rythme régulier.
En continuant ainsi, il savait que ça ne durerait bien plus longtemps, il lui fallait trouve quelque chose pour stimuler ses pensées ailleurs que sur le désir qui montait toujours plus.
Parler, c'était ça là clés. Mais que dire ? Jouer la carte du romantisme, de la provocation ? La taquiner ? Lui dire à combien elle comptait pour lui ? Lui demander comment ce passait ces entraînements ?

- Aurais-je vaincu la fougueuse Cloé Wicked ?

Finalement, la provocation. C'est ce qu'il avait choisit et en même temps, c'était à leurs images. Tout deux provocants, dans leurs vies de tout les jours et aussi en amour. C'était quelque chose qui leurs allaient bien.
Puis surtout, il offrait à Cloé une occasion de prendre les rennes de leur ébats. La connaissant, elle marcherait dans sa provocation et ni une ni deux, elle se retrouverait avec un Laurence docile. Ce dernier en même temps, tenait à préserver l'équilibre du rapport. C'était le premier. Marquer le coup, c'était un de ces buts, afin de garder Cloé le plus longtemps possible.

Après, dans leurs rapports prochains, les choses seraient différentes. Mais là, il se devait de faire les choses bien. Il avait déjà commis des boulettes, autant ce rattraper en lui donnant le plaisir à l'état pur.

[Bourse]

Créer la surprise, l'inédit... C'est ce que recherchait constamment Laurence dans ses rapports sexuel, mais aussi sentimentale, social, professionnel. Ne jamais ce laisser entraîner dans la monotonie. C'est aussi pour cela que le Gryffondor ce laissait aller à la provocation, aux vices, à l'interdit... Car tout ce qui est autorisé est empreint d'un sentiment de déjà vu...
A voir la surprise sur le visage de sa belle, il savait qu'elle venait de découvrir quelque chose. Une nouvelle position. En découlait des sensations nouvelles et pas désagréable du tout.
La seule chose qui l'embêtait un peu, c'est qu'il ne pouvait l'embrasser comme il le désirait. Ni lui chuchoter des mots doux à l'oreille. C'était un des inconvénients.

Et comme il ne laissait jamais rien au hasard, il avait déjà prévu de ne pas finir sur cet position. Oui, pour un premier rapport avec la Serpentard, il désirait finir sur plus de proximité, sentir ses lèvres sur les siennes avec l'apogée du moment... Quelque chose de très pur, très cliché, mais qui, selon Laurence, avait de l'importance.
Là encore, son désir de changer son image était bien présente. Si ça avait été purement sexuel, les positions seraient différentes et bien plus brusque.
Et actuellement ce n'tait pas ça. Il allait et venait en elle avec douceur et force, il se retenait pour ne pas aller trop vite, il allait crescendo, mais dans une progression modéré, afin de faire durer l'acte, sans toutefois endormir sa partenaire.

Le Gryffondor caressa d'une main la poitrine de Cloé, tandis que l'autre était posé sur une de ses hanches, afin d'assurer un minimum de maintiens. Il ne cessait de regarder sa partenaire, le plus souvent dans les yeux, des fois sur son corps.
Il créa encore un peu de surprise en appuyant particulièrement fort sur deux mouvements, histoire de faire gémir d'avantage sa belle, puis il repassa sur un rythme régulier.
En continuant ainsi, il savait que ça ne durerait bien plus longtemps, il lui fallait trouve quelque chose pour stimuler ses pensées ailleurs que sur le désir qui montait toujours plus.
Parler, c'était ça là clés. Mais que dire ? Jouer la carte du romantisme, de la provocation ? La taquiner ? Lui dire à combien elle comptait pour lui ? Lui demander comment ce passait ces entraînements ?

- Aurais-je vaincu la fougueuse Cloé Wicked ?

Finalement, la provocation. C'est ce qu'il avait choisit et en même temps, c'était à leurs images. Tout deux provocants, dans leurs vies de tout les jours et aussi en amour. C'était quelque chose qui leurs allaient bien.
Puis surtout, il offrait à Cloé une occasion de prendre les rennes de leur ébats. La connaissant, elle marcherait dans sa provocation et ni une ni deux, elle se retrouverait avec un Laurence docile. Ce dernier en même temps, tenait à préserver l'équilibre du rapport. C'était le premier. Marquer le coup, c'était un de ces buts, afin de garder Cloé le plus longtemps possible.

Après, dans leurs rapports prochains, les choses seraient différentes. Mais là, il se devait de faire les choses bien. Il avait déjà commis des boulettes, autant ce rattraper en lui donnant le plaisir à l'état pur.

[Données]

Créer la surprise, l'inédit... C'est ce que recherchait constamment Laurence dans ses rapports sexuel, mais aussi sentimentale, social, professionnel. Ne jamais ce laisser entraîner dans la monotonie. C'est aussi pour cela que le Gryffondor ce laissait aller à la provocation, aux vices, à l'interdit... Car tout ce qui est autorisé est empreint d'un sentiment de déjà vu...
A voir la surprise sur le visage de sa belle, il savait qu'elle venait de découvrir quelque chose. Une nouvelle position. En découlait des sensations nouvelles et pas désagréable du tout.
La seule chose qui l'embêtait un peu, c'est qu'il ne pouvait l'embrasser comme il le désirait. Ni lui chuchoter des mots doux à l'oreille. C'était un des inconvénients.

Et comme il ne laissait jamais rien au hasard, il avait déjà prévu de ne pas finir sur cet position. Oui, pour un premier rapport avec la Serpentard, il désirait finir sur plus de proximité, sentir ses lèvres sur les siennes avec l'apogée du moment... Quelque chose de très pur, très cliché, mais qui, selon Laurence, avait de l'importance.
Là encore, son désir de changer son image était bien présente. Si ça avait été purement sexuel, les positions seraient différentes et bien plus brusque.
Et actuellement ce n'tait pas ça. Il allait et venait en elle avec douceur et force, il se retenait pour ne pas aller trop vite, il allait crescendo, mais dans une progression modéré, afin de faire durer l'acte, sans toutefois endormir sa partenaire.

Le Gryffondor caressa d'une main la poitrine de Cloé, tandis que l'autre était posé sur une de ses hanches, afin d'assurer un minimum de maintiens. Il ne cessait de regarder sa partenaire, le plus souvent dans les yeux, des fois sur son corps.
Il créa encore un peu de surprise en appuyant particulièrement fort sur deux mouvements, histoire de faire gémir d'avantage sa belle, puis il repassa sur un rythme régulier.
En continuant ainsi, il savait que ça ne durerait bien plus longtemps, il lui fallait trouve quelque chose pour stimuler ses pensées ailleurs que sur le désir qui montait toujours plus.
Parler, c'était ça là clés. Mais que dire ? Jouer la carte du romantisme, de la provocation ? La taquiner ? Lui dire à combien elle comptait pour lui ? Lui demander comment ce passait ces entraînements ?

- Aurais-je vaincu la fougueuse Cloé Wicked ?

Finalement, la provocation. C'est ce qu'il avait choisit et en même temps, c'était à leurs images. Tout deux provocants, dans leurs vies de tout les jours et aussi en amour. C'était quelque chose qui leurs allaient bien.
Puis surtout, il offrait à Cloé une occasion de prendre les rennes de leur ébats. La connaissant, elle marcherait dans sa provocation et ni une ni deux, elle se retrouverait avec un Laurence docile. Ce dernier en même temps, tenait à préserver l'équilibre du rapport. C'était le premier. Marquer le coup, c'était un de ces buts, afin de garder Cloé le plus longtemps possible.

Après, dans leurs rapports prochains, les choses seraient différentes. Mais là, il se devait de faire les choses bien. Il avait déjà commis des boulettes, autant ce rattraper en lui donnant le plaisir à l'état pur.

[Expérience]

Créer la surprise, l'inédit... C'est ce que recherchait constamment Laurence dans ses rapports sexuel, mais aussi sentimentale, social, professionnel. Ne jamais ce laisser entraîner dans la monotonie. C'est aussi pour cela que le Gryffondor ce laissait aller à la provocation, aux vices, à l'interdit... Car tout ce qui est autorisé est empreint d'un sentiment de déjà vu...
A voir la surprise sur le visage de sa belle, il savait qu'elle venait de découvrir quelque chose. Une nouvelle position. En découlait des sensations nouvelles et pas désagréable du tout.
La seule chose qui l'embêtait un peu, c'est qu'il ne pouvait l'embrasser comme il le désirait. Ni lui chuchoter des mots doux à l'oreille. C'était un des inconvénients.

Et comme il ne laissait jamais rien au hasard, il avait déjà prévu de ne pas finir sur cet position. Oui, pour un premier rapport avec la Serpentard, il désirait finir sur plus de proximité, sentir ses lèvres sur les siennes avec l'apogée du moment... Quelque chose de très pur, très cliché, mais qui, selon Laurence, avait de l'importance.
Là encore, son désir de changer son image était bien présente. Si ça avait été purement sexuel, les positions seraient différentes et bien plus brusque.
Et actuellement ce n'tait pas ça. Il allait et venait en elle avec douceur et force, il se retenait pour ne pas aller trop vite, il allait crescendo, mais dans une progression modéré, afin de faire durer l'acte, sans toutefois endormir sa partenaire.

Le Gryffondor caressa d'une main la poitrine de Cloé, tandis que l'autre était posé sur une de ses hanches, afin d'assurer un minimum de maintiens. Il ne cessait de regarder sa partenaire, le plus souvent dans les yeux, des fois sur son corps.
Il créa encore un peu de surprise en appuyant particulièrement fort sur deux mouvements, histoire de faire gémir d'avantage sa belle, puis il repassa sur un rythme régulier.
En continuant ainsi, il savait que ça ne durerait bien plus longtemps, il lui fallait trouve quelque chose pour stimuler ses pensées ailleurs que sur le désir qui montait toujours plus.
Parler, c'était ça là clés. Mais que dire ? Jouer la carte du romantisme, de la provocation ? La taquiner ? Lui dire à combien elle comptait pour lui ? Lui demander comment ce passait ces entraînements ?

- Aurais-je vaincu la fougueuse Cloé Wicked ?

Finalement, la provocation. C'est ce qu'il avait choisit et en même temps, c'était à leurs images. Tout deux provocants, dans leurs vies de tout les jours et aussi en amour. C'était quelque chose qui leurs allaient bien.
Puis surtout, il offrait à Cloé une occasion de prendre les rennes de leur ébats. La connaissant, elle marcherait dans sa provocation et ni une ni deux, elle se retrouverait avec un Laurence docile. Ce dernier en même temps, tenait à préserver l'équilibre du rapport. C'était le premier. Marquer le coup, c'était un de ces buts, afin de garder Cloé le plus longtemps possible.

Après, dans leurs rapports prochains, les choses seraient différentes. Mais là, il se devait de faire les choses bien. Il avait déjà commis des boulettes, autant ce rattraper en lui donnant le plaisir à l'état pur.

[— ADMINISTRATEUR —]

Le Gryffondor était ravi en effet. Pour une première fois avec Cloé, il avait voulu marquer le coup et pour l'instant ses exigences étaient remplies. Du moins, il pensait qu'elles étaient remplies. Sauf si la demoiselle était très bonne comédienne. Toutefois, il en doutait.
Bref, il avait réussit à lui donner de l'inédit, à se faire désirer et à s'imposer. Voyez-vous, Cloé était une fille qui aimait à en faire qu'à sa tête, qui prenait les choses en mains la plupart du temps, plus dominante que dominé. Toutefois, pour le bien de leur couple, il était essentiel qu'un équilibre ce fasse. Qu'elle prenne autant de plaisir à dominer qu'être dominé était important donc.
Le jeune homme avait offert à la demoiselle une partie de ses atouts, sans toutefois lui en divulguer la totalité. Ne jamais tout donner d'un coup.
Ainsi, sur les rapports prochains avec la demoiselle, seraient encore plein de surprise. La réputation de Laurence n'était pas bâtit que sur des « on dit ». Il était bel et bien très habile dans ce qui concernait les rapports charnels. Cloé, pour une fille de 15 ans, n'était pas mal non plus. Entreprenante, elle n'avait pas froid aux yeux et elle était à l'aise. Ca lui faisait presque peur qu'une fille de 15 ans puisse se comporter de la sorte... Combien d'homme avant lui avait-elle connu ?

Sur ce sujet là, il n'avait pas grand chose à dire. Il ne pouvait pas reprocher à Cloé d'avoir été trop dévergondé, alors que lui avait sûrement fait bien pire. Et avancer l'argument que c'était différent car c'était une fille plongerait le sujet dans le sexisme et il prendrait la foudre. Une foudre qui s'appelait Cloé.
D'ailleurs celle-ci, prenait les devants une fois de plus. Suite à sa provocation, elle se lança dans le jeu qu'il avait tracé pour elle.
La replique de la blondinette le fit donc sourire, non, ce n'était pas terminé. Honnêtement, après deux mois d'abstinence, il devait avoué qu'il ne pourrait pas tenir sur une longue distance.

Un coup de bassin pour se dégager de l'étreinte, puis elle le poussa en arrière. Il se laissa faire, bien-sûr, alors qu'il aurait pût ne pas bouger et reprendre les devants. Mais elle se serait vexé. Il commençait à bien la connaître. S'allongeant, il la vit se mettre au dessus de lui. Sa main douce ce posa sur sa verge pour la caresser un instant avant de pénétrer en elle une nouvelle fois. L'entrée en matière, si l'ont puis dire, fut sèche et un coup de bassin un peu violent finit d'enfoncer son membre en elle. Laurence poussa un soupire de bien-être.
Déçidement, elle voulait bien lui faire comprendre qu'elle aussi, savait jouer de ses atouts.

Elle ondulait au-dessus de lui, il sentait son bassin aller et venir sur lui. Elle guida une de ses mains sur ses fesses, qu'il entreprit de caresser, tandis que son autre main alla se poser derrière sa nuque. Il l'attira à lui tandis qu'il se redressait un peu, pour lui donner un long baiser.
Il retourna dos au sol et relâcha son étreinte.

- Tu as bien raison, c'est loin d'être terminé. Ce n'est que la première fois d'une longue série.

Il lui fit un clin d’œil et poussa un gémissement sur un coup de bassin un peu plus marqué.
Toutefois, c'était Laurence. Et il pouvait se contrôler encore un peu avant de se laisser envahir par une vague de plaisir qu'il savait démésuré.

[Localisation]

Le Gryffondor était ravi en effet. Pour une première fois avec Cloé, il avait voulu marquer le coup et pour l'instant ses exigences étaient remplies. Du moins, il pensait qu'elles étaient remplies. Sauf si la demoiselle était très bonne comédienne. Toutefois, il en doutait.
Bref, il avait réussit à lui donner de l'inédit, à se faire désirer et à s'imposer. Voyez-vous, Cloé était une fille qui aimait à en faire qu'à sa tête, qui prenait les choses en mains la plupart du temps, plus dominante que dominé. Toutefois, pour le bien de leur couple, il était essentiel qu'un équilibre ce fasse. Qu'elle prenne autant de plaisir à dominer qu'être dominé était important donc.
Le jeune homme avait offert à la demoiselle une partie de ses atouts, sans toutefois lui en divulguer la totalité. Ne jamais tout donner d'un coup.
Ainsi, sur les rapports prochains avec la demoiselle, seraient encore plein de surprise. La réputation de Laurence n'était pas bâtit que sur des « on dit ». Il était bel et bien très habile dans ce qui concernait les rapports charnels. Cloé, pour une fille de 15 ans, n'était pas mal non plus. Entreprenante, elle n'avait pas froid aux yeux et elle était à l'aise. Ca lui faisait presque peur qu'une fille de 15 ans puisse se comporter de la sorte... Combien d'homme avant lui avait-elle connu ?

Sur ce sujet là, il n'avait pas grand chose à dire. Il ne pouvait pas reprocher à Cloé d'avoir été trop dévergondé, alors que lui avait sûrement fait bien pire. Et avancer l'argument que c'était différent car c'était une fille plongerait le sujet dans le sexisme et il prendrait la foudre. Une foudre qui s'appelait Cloé.
D'ailleurs celle-ci, prenait les devants une fois de plus. Suite à sa provocation, elle se lança dans le jeu qu'il avait tracé pour elle.
La replique de la blondinette le fit donc sourire, non, ce n'était pas terminé. Honnêtement, après deux mois d'abstinence, il devait avoué qu'il ne pourrait pas tenir sur une longue distance.

Un coup de bassin pour se dégager de l'étreinte, puis elle le poussa en arrière. Il se laissa faire, bien-sûr, alors qu'il aurait pût ne pas bouger et reprendre les devants. Mais elle se serait vexé. Il commençait à bien la connaître. S'allongeant, il la vit se mettre au dessus de lui. Sa main douce ce posa sur sa verge pour la caresser un instant avant de pénétrer en elle une nouvelle fois. L'entrée en matière, si l'ont puis dire, fut sèche et un coup de bassin un peu violent finit d'enfoncer son membre en elle. Laurence poussa un soupire de bien-être.
Déçidement, elle voulait bien lui faire comprendre qu'elle aussi, savait jouer de ses atouts.

Elle ondulait au-dessus de lui, il sentait son bassin aller et venir sur lui. Elle guida une de ses mains sur ses fesses, qu'il entreprit de caresser, tandis que son autre main alla se poser derrière sa nuque. Il l'attira à lui tandis qu'il se redressait un peu, pour lui donner un long baiser.
Il retourna dos au sol et relâcha son étreinte.

- Tu as bien raison, c'est loin d'être terminé. Ce n'est que la première fois d'une longue série.

Il lui fit un clin d’œil et poussa un gémissement sur un coup de bassin un peu plus marqué.
Toutefois, c'était Laurence. Et il pouvait se contrôler encore un peu avant de se laisser envahir par une vague de plaisir qu'il savait démésuré.

[Nb de messages]

Le Gryffondor était ravi en effet. Pour une première fois avec Cloé, il avait voulu marquer le coup et pour l'instant ses exigences étaient remplies. Du moins, il pensait qu'elles étaient remplies. Sauf si la demoiselle était très bonne comédienne. Toutefois, il en doutait.
Bref, il avait réussit à lui donner de l'inédit, à se faire désirer et à s'imposer. Voyez-vous, Cloé était une fille qui aimait à en faire qu'à sa tête, qui prenait les choses en mains la plupart du temps, plus dominante que dominé. Toutefois, pour le bien de leur couple, il était essentiel qu'un équilibre ce fasse. Qu'elle prenne autant de plaisir à dominer qu'être dominé était important donc.
Le jeune homme avait offert à la demoiselle une partie de ses atouts, sans toutefois lui en divulguer la totalité. Ne jamais tout donner d'un coup.
Ainsi, sur les rapports prochains avec la demoiselle, seraient encore plein de surprise. La réputation de Laurence n'était pas bâtit que sur des « on dit ». Il était bel et bien très habile dans ce qui concernait les rapports charnels. Cloé, pour une fille de 15 ans, n'était pas mal non plus. Entreprenante, elle n'avait pas froid aux yeux et elle était à l'aise. Ca lui faisait presque peur qu'une fille de 15 ans puisse se comporter de la sorte... Combien d'homme avant lui avait-elle connu ?

Sur ce sujet là, il n'avait pas grand chose à dire. Il ne pouvait pas reprocher à Cloé d'avoir été trop dévergondé, alors que lui avait sûrement fait bien pire. Et avancer l'argument que c'était différent car c'était une fille plongerait le sujet dans le sexisme et il prendrait la foudre. Une foudre qui s'appelait Cloé.
D'ailleurs celle-ci, prenait les devants une fois de plus. Suite à sa provocation, elle se lança dans le jeu qu'il avait tracé pour elle.
La replique de la blondinette le fit donc sourire, non, ce n'était pas terminé. Honnêtement, après deux mois d'abstinence, il devait avoué qu'il ne pourrait pas tenir sur une longue distance.

Un coup de bassin pour se dégager de l'étreinte, puis elle le poussa en arrière. Il se laissa faire, bien-sûr, alors qu'il aurait pût ne pas bouger et reprendre les devants. Mais elle se serait vexé. Il commençait à bien la connaître. S'allongeant, il la vit se mettre au dessus de lui. Sa main douce ce posa sur sa verge pour la caresser un instant avant de pénétrer en elle une nouvelle fois. L'entrée en matière, si l'ont puis dire, fut sèche et un coup de bassin un peu violent finit d'enfoncer son membre en elle. Laurence poussa un soupire de bien-être.
Déçidement, elle voulait bien lui faire comprendre qu'elle aussi, savait jouer de ses atouts.

Elle ondulait au-dessus de lui, il sentait son bassin aller et venir sur lui. Elle guida une de ses mains sur ses fesses, qu'il entreprit de caresser, tandis que son autre main alla se poser derrière sa nuque. Il l'attira à lui tandis qu'il se redressait un peu, pour lui donner un long baiser.
Il retourna dos au sol et relâcha son étreinte.

- Tu as bien raison, c'est loin d'être terminé. Ce n'est que la première fois d'une longue série.

Il lui fit un clin d’œil et poussa un gémissement sur un coup de bassin un peu plus marqué.
Toutefois, c'était Laurence. Et il pouvait se contrôler encore un peu avant de se laisser envahir par une vague de plaisir qu'il savait démésuré.

[Bourse]

Le Gryffondor était ravi en effet. Pour une première fois avec Cloé, il avait voulu marquer le coup et pour l'instant ses exigences étaient remplies. Du moins, il pensait qu'elles étaient remplies. Sauf si la demoiselle était très bonne comédienne. Toutefois, il en doutait.
Bref, il avait réussit à lui donner de l'inédit, à se faire désirer et à s'imposer. Voyez-vous, Cloé était une fille qui aimait à en faire qu'à sa tête, qui prenait les choses en mains la plupart du temps, plus dominante que dominé. Toutefois, pour le bien de leur couple, il était essentiel qu'un équilibre ce fasse. Qu'elle prenne autant de plaisir à dominer qu'être dominé était important donc.
Le jeune homme avait offert à la demoiselle une partie de ses atouts, sans toutefois lui en divulguer la totalité. Ne jamais tout donner d'un coup.
Ainsi, sur les rapports prochains avec la demoiselle, seraient encore plein de surprise. La réputation de Laurence n'était pas bâtit que sur des « on dit ». Il était bel et bien très habile dans ce qui concernait les rapports charnels. Cloé, pour une fille de 15 ans, n'était pas mal non plus. Entreprenante, elle n'avait pas froid aux yeux et elle était à l'aise. Ca lui faisait presque peur qu'une fille de 15 ans puisse se comporter de la sorte... Combien d'homme avant lui avait-elle connu ?

Sur ce sujet là, il n'avait pas grand chose à dire. Il ne pouvait pas reprocher à Cloé d'avoir été trop dévergondé, alors que lui avait sûrement fait bien pire. Et avancer l'argument que c'était différent car c'était une fille plongerait le sujet dans le sexisme et il prendrait la foudre. Une foudre qui s'appelait Cloé.
D'ailleurs celle-ci, prenait les devants une fois de plus. Suite à sa provocation, elle se lança dans le jeu qu'il avait tracé pour elle.
La replique de la blondinette le fit donc sourire, non, ce n'était pas terminé. Honnêtement, après deux mois d'abstinence, il devait avoué qu'il ne pourrait pas tenir sur une longue distance.

Un coup de bassin pour se dégager de l'étreinte, puis elle le poussa en arrière. Il se laissa faire, bien-sûr, alors qu'il aurait pût ne pas bouger et reprendre les devants. Mais elle se serait vexé. Il commençait à bien la connaître. S'allongeant, il la vit se mettre au dessus de lui. Sa main douce ce posa sur sa verge pour la caresser un instant avant de pénétrer en elle une nouvelle fois. L'entrée en matière, si l'ont puis dire, fut sèche et un coup de bassin un peu violent finit d'enfoncer son membre en elle. Laurence poussa un soupire de bien-être.
Déçidement, elle voulait bien lui faire comprendre qu'elle aussi, savait jouer de ses atouts.

Elle ondulait au-dessus de lui, il sentait son bassin aller et venir sur lui. Elle guida une de ses mains sur ses fesses, qu'il entreprit de caresser, tandis que son autre main alla se poser derrière sa nuque. Il l'attira à lui tandis qu'il se redressait un peu, pour lui donner un long baiser.
Il retourna dos au sol et relâcha son étreinte.

- Tu as bien raison, c'est loin d'être terminé. Ce n'est que la première fois d'une longue série.

Il lui fit un clin d’œil et poussa un gémissement sur un coup de bassin un peu plus marqué.
Toutefois, c'était Laurence. Et il pouvait se contrôler encore un peu avant de se laisser envahir par une vague de plaisir qu'il savait démésuré.

[Données]

Le Gryffondor était ravi en effet. Pour une première fois avec Cloé, il avait voulu marquer le coup et pour l'instant ses exigences étaient remplies. Du moins, il pensait qu'elles étaient remplies. Sauf si la demoiselle était très bonne comédienne. Toutefois, il en doutait.
Bref, il avait réussit à lui donner de l'inédit, à se faire désirer et à s'imposer. Voyez-vous, Cloé était une fille qui aimait à en faire qu'à sa tête, qui prenait les choses en mains la plupart du temps, plus dominante que dominé. Toutefois, pour le bien de leur couple, il était essentiel qu'un équilibre ce fasse. Qu'elle prenne autant de plaisir à dominer qu'être dominé était important donc.
Le jeune homme avait offert à la demoiselle une partie de ses atouts, sans toutefois lui en divulguer la totalité. Ne jamais tout donner d'un coup.
Ainsi, sur les rapports prochains avec la demoiselle, seraient encore plein de surprise. La réputation de Laurence n'était pas bâtit que sur des « on dit ». Il était bel et bien très habile dans ce qui concernait les rapports charnels. Cloé, pour une fille de 15 ans, n'était pas mal non plus. Entreprenante, elle n'avait pas froid aux yeux et elle était à l'aise. Ca lui faisait presque peur qu'une fille de 15 ans puisse se comporter de la sorte... Combien d'homme avant lui avait-elle connu ?

Sur ce sujet là, il n'avait pas grand chose à dire. Il ne pouvait pas reprocher à Cloé d'avoir été trop dévergondé, alors que lui avait sûrement fait bien pire. Et avancer l'argument que c'était différent car c'était une fille plongerait le sujet dans le sexisme et il prendrait la foudre. Une foudre qui s'appelait Cloé.
D'ailleurs celle-ci, prenait les devants une fois de plus. Suite à sa provocation, elle se lança dans le jeu qu'il avait tracé pour elle.
La replique de la blondinette le fit donc sourire, non, ce n'était pas terminé. Honnêtement, après deux mois d'abstinence, il devait avoué qu'il ne pourrait pas tenir sur une longue distance.

Un coup de bassin pour se dégager de l'étreinte, puis elle le poussa en arrière. Il se laissa faire, bien-sûr, alors qu'il aurait pût ne pas bouger et reprendre les devants. Mais elle se serait vexé. Il commençait à bien la connaître. S'allongeant, il la vit se mettre au dessus de lui. Sa main douce ce posa sur sa verge pour la caresser un instant avant de pénétrer en elle une nouvelle fois. L'entrée en matière, si l'ont puis dire, fut sèche et un coup de bassin un peu violent finit d'enfoncer son membre en elle. Laurence poussa un soupire de bien-être.
Déçidement, elle voulait bien lui faire comprendre qu'elle aussi, savait jouer de ses atouts.

Elle ondulait au-dessus de lui, il sentait son bassin aller et venir sur lui. Elle guida une de ses mains sur ses fesses, qu'il entreprit de caresser, tandis que son autre main alla se poser derrière sa nuque. Il l'attira à lui tandis qu'il se redressait un peu, pour lui donner un long baiser.
Il retourna dos au sol et relâcha son étreinte.

- Tu as bien raison, c'est loin d'être terminé. Ce n'est que la première fois d'une longue série.

Il lui fit un clin d’œil et poussa un gémissement sur un coup de bassin un peu plus marqué.
Toutefois, c'était Laurence. Et il pouvait se contrôler encore un peu avant de se laisser envahir par une vague de plaisir qu'il savait démésuré.

[Expérience]

Le Gryffondor était ravi en effet. Pour une première fois avec Cloé, il avait voulu marquer le coup et pour l'instant ses exigences étaient remplies. Du moins, il pensait qu'elles étaient remplies. Sauf si la demoiselle était très bonne comédienne. Toutefois, il en doutait.
Bref, il avait réussit à lui donner de l'inédit, à se faire désirer et à s'imposer. Voyez-vous, Cloé était une fille qui aimait à en faire qu'à sa tête, qui prenait les choses en mains la plupart du temps, plus dominante que dominé. Toutefois, pour le bien de leur couple, il était essentiel qu'un équilibre ce fasse. Qu'elle prenne autant de plaisir à dominer qu'être dominé était important donc.
Le jeune homme avait offert à la demoiselle une partie de ses atouts, sans toutefois lui en divulguer la totalité. Ne jamais tout donner d'un coup.
Ainsi, sur les rapports prochains avec la demoiselle, seraient encore plein de surprise. La réputation de Laurence n'était pas bâtit que sur des « on dit ». Il était bel et bien très habile dans ce qui concernait les rapports charnels. Cloé, pour une fille de 15 ans, n'était pas mal non plus. Entreprenante, elle n'avait pas froid aux yeux et elle était à l'aise. Ca lui faisait presque peur qu'une fille de 15 ans puisse se comporter de la sorte... Combien d'homme avant lui avait-elle connu ?

Sur ce sujet là, il n'avait pas grand chose à dire. Il ne pouvait pas reprocher à Cloé d'avoir été trop dévergondé, alors que lui avait sûrement fait bien pire. Et avancer l'argument que c'était différent car c'était une fille plongerait le sujet dans le sexisme et il prendrait la foudre. Une foudre qui s'appelait Cloé.
D'ailleurs celle-ci, prenait les devants une fois de plus. Suite à sa provocation, elle se lança dans le jeu qu'il avait tracé pour elle.
La replique de la blondinette le fit donc sourire, non, ce n'était pas terminé. Honnêtement, après deux mois d'abstinence, il devait avoué qu'il ne pourrait pas tenir sur une longue distance.

Un coup de bassin pour se dégager de l'étreinte, puis elle le poussa en arrière. Il se laissa faire, bien-sûr, alors qu'il aurait pût ne pas bouger et reprendre les devants. Mais elle se serait vexé. Il commençait à bien la connaître. S'allongeant, il la vit se mettre au dessus de lui. Sa main douce ce posa sur sa verge pour la caresser un instant avant de pénétrer en elle une nouvelle fois. L'entrée en matière, si l'ont puis dire, fut sèche et un coup de bassin un peu violent finit d'enfoncer son membre en elle. Laurence poussa un soupire de bien-être.
Déçidement, elle voulait bien lui faire comprendre qu'elle aussi, savait jouer de ses atouts.

Elle ondulait au-dessus de lui, il sentait son bassin aller et venir sur lui. Elle guida une de ses mains sur ses fesses, qu'il entreprit de caresser, tandis que son autre main alla se poser derrière sa nuque. Il l'attira à lui tandis qu'il se redressait un peu, pour lui donner un long baiser.
Il retourna dos au sol et relâcha son étreinte.

- Tu as bien raison, c'est loin d'être terminé. Ce n'est que la première fois d'une longue série.

Il lui fit un clin d’œil et poussa un gémissement sur un coup de bassin un peu plus marqué.
Toutefois, c'était Laurence. Et il pouvait se contrôler encore un peu avant de se laisser envahir par une vague de plaisir qu'il savait démésuré.

[— ADMINISTRATEUR —]

Ce concentrer... Si elle savait. Il était plus que concentré même. Car au plus le rapport s'accélérait, au plus il avait envie de reprendre les devants. Ce serait si simple. Une roulade sur le côté et le voilà au dessus. Il pourrait ainsi donner à Cloé tout ce qu'il avait.
Toutefois, la blondinette avait l'air trop heureuse de sa position dominante, au dessus du rouge et or, à donner la cadence... Il lui laissait cet manche là.
Le mouvement de hanche plus ample qu'elle lui donna lui tira un gémissement et sa prise sur les fesses de sa partenaire se raffermit.
Alors qu'elle faisait des aller-retour, Laurence, sagement allongé, glissa son autre main sur les fesses bien rondes de Cloé. Elle pouvait dominer, toutefois, il n'était pas dit qu'il reste passif.
Un coup de bassin, puissant, ses mains appuyant sur ses fesses, pour prendre appuie et donner de l'ampleur. Un autre encore...

Il n'allait pas progressivement cet fois, directement un rythme soutenu. Il avait comprit qu'il était temps de conclure. A faire trop durer, le plaisir retombe, la lassitude s'installe et ça gâche le moment. Pour ne pas tomber dans ce piège, il était temps d'arrêter de faire reculer l'échéance.
Cloé s'y employait, il faisait de même.
Les yeux fermés, il profitait du plaisir que lui apportait ses coups de bassin ainsi que ceux de Cloé.
Et quand il ouvrait les yeux c'était pour les plonger dans ceux de la verte. Pour lui aussi, c'était différent.
Pas que sur le plan charnel. Il l'avait désirer ardemment. Elle plus que quiconque, pourquoi ? La première fois qu'il l'avait abordé, c'était le physique qu'il avait remarqué. Puis, après il avait appris à la connaître, dans la rivalité certes, mais il en découvrait toujours un peu plus sur cet fille dont il était de deux ans son ainé.
Pourquoi elle ? Il se posait toujours la question en fait. Car elle avait sût résister à son charme, elle avait plus de charisme et de volonté que les autres demoiselles certes, mais cela se résumait à ça ?
Non, en fait, elle était son homologue féminine. Si une personne avait une personnalité assez semblable à la sienne, c'était bien elle.
Ils avaient des goûts et des opinions très différentes, mais une façon d'être assez similaire.

Laurence donna un coup de bassin particulièrement puissant, le premier d'un série identique. Le Gryffondor savait la fin proche et il donnait ce qu'il pouvait dans ses gestes. Des gestes violent, brute.
Toutefois, il était très limité dans sa position. Oubliant sa promesse, il attira Cloé à lui, l'embrassa fougueusement, et hop! Il la fit basculer sur le côté et il était au dessus. Il posa ses mains sur les hanches de la blondinette et reprit le pénétration, rapide et forte, toujours un peu plus, tandis qu'il sentait que la conclusion ne serait plus très longue à venir.

[Localisation]

Ce concentrer... Si elle savait. Il était plus que concentré même. Car au plus le rapport s'accélérait, au plus il avait envie de reprendre les devants. Ce serait si simple. Une roulade sur le côté et le voilà au dessus. Il pourrait ainsi donner à Cloé tout ce qu'il avait.
Toutefois, la blondinette avait l'air trop heureuse de sa position dominante, au dessus du rouge et or, à donner la cadence... Il lui laissait cet manche là.
Le mouvement de hanche plus ample qu'elle lui donna lui tira un gémissement et sa prise sur les fesses de sa partenaire se raffermit.
Alors qu'elle faisait des aller-retour, Laurence, sagement allongé, glissa son autre main sur les fesses bien rondes de Cloé. Elle pouvait dominer, toutefois, il n'était pas dit qu'il reste passif.
Un coup de bassin, puissant, ses mains appuyant sur ses fesses, pour prendre appuie et donner de l'ampleur. Un autre encore...

Il n'allait pas progressivement cet fois, directement un rythme soutenu. Il avait comprit qu'il était temps de conclure. A faire trop durer, le plaisir retombe, la lassitude s'installe et ça gâche le moment. Pour ne pas tomber dans ce piège, il était temps d'arrêter de faire reculer l'échéance.
Cloé s'y employait, il faisait de même.
Les yeux fermés, il profitait du plaisir que lui apportait ses coups de bassin ainsi que ceux de Cloé.
Et quand il ouvrait les yeux c'était pour les plonger dans ceux de la verte. Pour lui aussi, c'était différent.
Pas que sur le plan charnel. Il l'avait désirer ardemment. Elle plus que quiconque, pourquoi ? La première fois qu'il l'avait abordé, c'était le physique qu'il avait remarqué. Puis, après il avait appris à la connaître, dans la rivalité certes, mais il en découvrait toujours un peu plus sur cet fille dont il était de deux ans son ainé.
Pourquoi elle ? Il se posait toujours la question en fait. Car elle avait sût résister à son charme, elle avait plus de charisme et de volonté que les autres demoiselles certes, mais cela se résumait à ça ?
Non, en fait, elle était son homologue féminine. Si une personne avait une personnalité assez semblable à la sienne, c'était bien elle.
Ils avaient des goûts et des opinions très différentes, mais une façon d'être assez similaire.

Laurence donna un coup de bassin particulièrement puissant, le premier d'un série identique. Le Gryffondor savait la fin proche et il donnait ce qu'il pouvait dans ses gestes. Des gestes violent, brute.
Toutefois, il était très limité dans sa position. Oubliant sa promesse, il attira Cloé à lui, l'embrassa fougueusement, et hop! Il la fit basculer sur le côté et il était au dessus. Il posa ses mains sur les hanches de la blondinette et reprit le pénétration, rapide et forte, toujours un peu plus, tandis qu'il sentait que la conclusion ne serait plus très longue à venir.

[Nb de messages]

Ce concentrer... Si elle savait. Il était plus que concentré même. Car au plus le rapport s'accélérait, au plus il avait envie de reprendre les devants. Ce serait si simple. Une roulade sur le côté et le voilà au dessus. Il pourrait ainsi donner à Cloé tout ce qu'il avait.
Toutefois, la blondinette avait l'air trop heureuse de sa position dominante, au dessus du rouge et or, à donner la cadence... Il lui laissait cet manche là.
Le mouvement de hanche plus ample qu'elle lui donna lui tira un gémissement et sa prise sur les fesses de sa partenaire se raffermit.
Alors qu'elle faisait des aller-retour, Laurence, sagement allongé, glissa son autre main sur les fesses bien rondes de Cloé. Elle pouvait dominer, toutefois, il n'était pas dit qu'il reste passif.
Un coup de bassin, puissant, ses mains appuyant sur ses fesses, pour prendre appuie et donner de l'ampleur. Un autre encore...

Il n'allait pas progressivement cet fois, directement un rythme soutenu. Il avait comprit qu'il était temps de conclure. A faire trop durer, le plaisir retombe, la lassitude s'installe et ça gâche le moment. Pour ne pas tomber dans ce piège, il était temps d'arrêter de faire reculer l'échéance.
Cloé s'y employait, il faisait de même.
Les yeux fermés, il profitait du plaisir que lui apportait ses coups de bassin ainsi que ceux de Cloé.
Et quand il ouvrait les yeux c'était pour les plonger dans ceux de la verte. Pour lui aussi, c'était différent.
Pas que sur le plan charnel. Il l'avait désirer ardemment. Elle plus que quiconque, pourquoi ? La première fois qu'il l'avait abordé, c'était le physique qu'il avait remarqué. Puis, après il avait appris à la connaître, dans la rivalité certes, mais il en découvrait toujours un peu plus sur cet fille dont il était de deux ans son ainé.
Pourquoi elle ? Il se posait toujours la question en fait. Car elle avait sût résister à son charme, elle avait plus de charisme et de volonté que les autres demoiselles certes, mais cela se résumait à ça ?
Non, en fait, elle était son homologue féminine. Si une personne avait une personnalité assez semblable à la sienne, c'était bien elle.
Ils avaient des goûts et des opinions très différentes, mais une façon d'être assez similaire.

Laurence donna un coup de bassin particulièrement puissant, le premier d'un série identique. Le Gryffondor savait la fin proche et il donnait ce qu'il pouvait dans ses gestes. Des gestes violent, brute.
Toutefois, il était très limité dans sa position. Oubliant sa promesse, il attira Cloé à lui, l'embrassa fougueusement, et hop! Il la fit basculer sur le côté et il était au dessus. Il posa ses mains sur les hanches de la blondinette et reprit le pénétration, rapide et forte, toujours un peu plus, tandis qu'il sentait que la conclusion ne serait plus très longue à venir.

[Bourse]

Ce concentrer... Si elle savait. Il était plus que concentré même. Car au plus le rapport s'accélérait, au plus il avait envie de reprendre les devants. Ce serait si simple. Une roulade sur le côté et le voilà au dessus. Il pourrait ainsi donner à Cloé tout ce qu'il avait.
Toutefois, la blondinette avait l'air trop heureuse de sa position dominante, au dessus du rouge et or, à donner la cadence... Il lui laissait cet manche là.
Le mouvement de hanche plus ample qu'elle lui donna lui tira un gémissement et sa prise sur les fesses de sa partenaire se raffermit.
Alors qu'elle faisait des aller-retour, Laurence, sagement allongé, glissa son autre main sur les fesses bien rondes de Cloé. Elle pouvait dominer, toutefois, il n'était pas dit qu'il reste passif.
Un coup de bassin, puissant, ses mains appuyant sur ses fesses, pour prendre appuie et donner de l'ampleur. Un autre encore...

Il n'allait pas progressivement cet fois, directement un rythme soutenu. Il avait comprit qu'il était temps de conclure. A faire trop durer, le plaisir retombe, la lassitude s'installe et ça gâche le moment. Pour ne pas tomber dans ce piège, il était temps d'arrêter de faire reculer l'échéance.
Cloé s'y employait, il faisait de même.
Les yeux fermés, il profitait du plaisir que lui apportait ses coups de bassin ainsi que ceux de Cloé.
Et quand il ouvrait les yeux c'était pour les plonger dans ceux de la verte. Pour lui aussi, c'était différent.
Pas que sur le plan charnel. Il l'avait désirer ardemment. Elle plus que quiconque, pourquoi ? La première fois qu'il l'avait abordé, c'était le physique qu'il avait remarqué. Puis, après il avait appris à la connaître, dans la rivalité certes, mais il en découvrait toujours un peu plus sur cet fille dont il était de deux ans son ainé.
Pourquoi elle ? Il se posait toujours la question en fait. Car elle avait sût résister à son charme, elle avait plus de charisme et de volonté que les autres demoiselles certes, mais cela se résumait à ça ?
Non, en fait, elle était son homologue féminine. Si une personne avait une personnalité assez semblable à la sienne, c'était bien elle.
Ils avaient des goûts et des opinions très différentes, mais une façon d'être assez similaire.

Laurence donna un coup de bassin particulièrement puissant, le premier d'un série identique. Le Gryffondor savait la fin proche et il donnait ce qu'il pouvait dans ses gestes. Des gestes violent, brute.
Toutefois, il était très limité dans sa position. Oubliant sa promesse, il attira Cloé à lui, l'embrassa fougueusement, et hop! Il la fit basculer sur le côté et il était au dessus. Il posa ses mains sur les hanches de la blondinette et reprit le pénétration, rapide et forte, toujours un peu plus, tandis qu'il sentait que la conclusion ne serait plus très longue à venir.

[Données]

Ce concentrer... Si elle savait. Il était plus que concentré même. Car au plus le rapport s'accélérait, au plus il avait envie de reprendre les devants. Ce serait si simple. Une roulade sur le côté et le voilà au dessus. Il pourrait ainsi donner à Cloé tout ce qu'il avait.
Toutefois, la blondinette avait l'air trop heureuse de sa position dominante, au dessus du rouge et or, à donner la cadence... Il lui laissait cet manche là.
Le mouvement de hanche plus ample qu'elle lui donna lui tira un gémissement et sa prise sur les fesses de sa partenaire se raffermit.
Alors qu'elle faisait des aller-retour, Laurence, sagement allongé, glissa son autre main sur les fesses bien rondes de Cloé. Elle pouvait dominer, toutefois, il n'était pas dit qu'il reste passif.
Un coup de bassin, puissant, ses mains appuyant sur ses fesses, pour prendre appuie et donner de l'ampleur. Un autre encore...

Il n'allait pas progressivement cet fois, directement un rythme soutenu. Il avait comprit qu'il était temps de conclure. A faire trop durer, le plaisir retombe, la lassitude s'installe et ça gâche le moment. Pour ne pas tomber dans ce piège, il était temps d'arrêter de faire reculer l'échéance.
Cloé s'y employait, il faisait de même.
Les yeux fermés, il profitait du plaisir que lui apportait ses coups de bassin ainsi que ceux de Cloé.
Et quand il ouvrait les yeux c'était pour les plonger dans ceux de la verte. Pour lui aussi, c'était différent.
Pas que sur le plan charnel. Il l'avait désirer ardemment. Elle plus que quiconque, pourquoi ? La première fois qu'il l'avait abordé, c'était le physique qu'il avait remarqué. Puis, après il avait appris à la connaître, dans la rivalité certes, mais il en découvrait toujours un peu plus sur cet fille dont il était de deux ans son ainé.
Pourquoi elle ? Il se posait toujours la question en fait. Car elle avait sût résister à son charme, elle avait plus de charisme et de volonté que les autres demoiselles certes, mais cela se résumait à ça ?
Non, en fait, elle était son homologue féminine. Si une personne avait une personnalité assez semblable à la sienne, c'était bien elle.
Ils avaient des goûts et des opinions très différentes, mais une façon d'être assez similaire.

Laurence donna un coup de bassin particulièrement puissant, le premier d'un série identique. Le Gryffondor savait la fin proche et il donnait ce qu'il pouvait dans ses gestes. Des gestes violent, brute.
Toutefois, il était très limité dans sa position. Oubliant sa promesse, il attira Cloé à lui, l'embrassa fougueusement, et hop! Il la fit basculer sur le côté et il était au dessus. Il posa ses mains sur les hanches de la blondinette et reprit le pénétration, rapide et forte, toujours un peu plus, tandis qu'il sentait que la conclusion ne serait plus très longue à venir.

[Expérience]

Ce concentrer... Si elle savait. Il était plus que concentré même. Car au plus le rapport s'accélérait, au plus il avait envie de reprendre les devants. Ce serait si simple. Une roulade sur le côté et le voilà au dessus. Il pourrait ainsi donner à Cloé tout ce qu'il avait.
Toutefois, la blondinette avait l'air trop heureuse de sa position dominante, au dessus du rouge et or, à donner la cadence... Il lui laissait cet manche là.
Le mouvement de hanche plus ample qu'elle lui donna lui tira un gémissement et sa prise sur les fesses de sa partenaire se raffermit.
Alors qu'elle faisait des aller-retour, Laurence, sagement allongé, glissa son autre main sur les fesses bien rondes de Cloé. Elle pouvait dominer, toutefois, il n'était pas dit qu'il reste passif.
Un coup de bassin, puissant, ses mains appuyant sur ses fesses, pour prendre appuie et donner de l'ampleur. Un autre encore...

Il n'allait pas progressivement cet fois, directement un rythme soutenu. Il avait comprit qu'il était temps de conclure. A faire trop durer, le plaisir retombe, la lassitude s'installe et ça gâche le moment. Pour ne pas tomber dans ce piège, il était temps d'arrêter de faire reculer l'échéance.
Cloé s'y employait, il faisait de même.
Les yeux fermés, il profitait du plaisir que lui apportait ses coups de bassin ainsi que ceux de Cloé.
Et quand il ouvrait les yeux c'était pour les plonger dans ceux de la verte. Pour lui aussi, c'était différent.
Pas que sur le plan charnel. Il l'avait désirer ardemment. Elle plus que quiconque, pourquoi ? La première fois qu'il l'avait abordé, c'était le physique qu'il avait remarqué. Puis, après il avait appris à la connaître, dans la rivalité certes, mais il en découvrait toujours un peu plus sur cet fille dont il était de deux ans son ainé.
Pourquoi elle ? Il se posait toujours la question en fait. Car elle avait sût résister à son charme, elle avait plus de charisme et de volonté que les autres demoiselles certes, mais cela se résumait à ça ?
Non, en fait, elle était son homologue féminine. Si une personne avait une personnalité assez semblable à la sienne, c'était bien elle.
Ils avaient des goûts et des opinions très différentes, mais une façon d'être assez similaire.

Laurence donna un coup de bassin particulièrement puissant, le premier d'un série identique. Le Gryffondor savait la fin proche et il donnait ce qu'il pouvait dans ses gestes. Des gestes violent, brute.
Toutefois, il était très limité dans sa position. Oubliant sa promesse, il attira Cloé à lui, l'embrassa fougueusement, et hop! Il la fit basculer sur le côté et il était au dessus. Il posa ses mains sur les hanches de la blondinette et reprit le pénétration, rapide et forte, toujours un peu plus, tandis qu'il sentait que la conclusion ne serait plus très longue à venir.

[— ADMINISTRATEUR —]

Un sourire. C'est l'expression qu'il prit lorsqu'il vit la mine agacée de la demoiselle. Oui, il venait de lui prendre sa place avec brio, de meneuse elle passait à dominé. Mais ce n'était pas bien grave, puisqu'elle ne le regretterait pas.
Laurence pénétra en elle avec vigueur. Ses muscles contractés , ses traits tendus par la concentration, son visage devenu rouge par l'effort, la sueur faisant briller son front... La fin était plus que proche. Il la sentait venir, incontrôlable.
Le Gryffondor allait et venait en elle avec force et rapidité, son regard ne ce détachant pas de celui de sa belle.

Oui, la sienne. Il avait eu du mal à la faire changer d'avis, à lui montrer qu'il n'était pas seulement un gros con de Gryffondor qui s'amusait avec les filles. Il avait fait beaucoup d'effort et c'était devenu payant. Pour cela, il ne comptait pas la lâcher de si tôt. Il méritait d'être avec elle.
Jamais, toutefois, il n'aurait crut se prendre de sentiment pour la fille d'un mangemort.
Laurence se rappelait la première fois qu'il avait vu la demoiselle...

C'était dans le train, le Poudlard Express. Il débarquait des States, ayant aménagé chez sa tante quelques mois plutôt. Il c'était inscrit à Poudlard et commençait dés le lendemain dans cet nouvelle institution.
Seul dans son wagon, ne connaissant encore personne, il avait vu deux blondes, plus jeunes que lui ouvrir la porte de son compartiment. Déjà, à cet époque, il était beau-parleur et il invita ces demoiselles à partager son compartiment.
Elles étaient toutes les deux jolies, bien qu'un peu jeune, on voyait aisément qu'elles seraient des femmes superbes plus tard. S'il éveilla l'intérêt de l'une d'elle, l'autre, semblait moins intéressée. Celle-ci, tira sa sœur hors du compartiment. Juste avant qu'elle ferme la porte, Laurence avait demandé comment elle s'appelait.

- Moi c'est Cloé et ma sœur Cassie.

Très bien, Cloé et Cassie. Deux jumelles très jolies, une qui avait l'air particulièrement chiante et l'autre un peu plus enjouée comme fille.
Lorsqu'il les revus, quelques jours plus tard, dans les couloirs de l'école, il portait son uniforme, arborant le blason des rouges et or. Lorsqu'il les salua, il vit clairement Cloé, ou Cassie, regardait ses couleurs et affiché une mine dégouté, prendre un air hautain et filer. L'envie de Laurence de les gifler fut grande. Il ne supportait pas ce genre de comportement. Il découvrit rapidement qu'il n'y avait pas qu'elles qui se comportaient de la sorte et qu'il n'y avait pas qu'elles comme filles. Aussitôt il engagea une histoire passionnel avec la maison des verts et argent, bagarre, mesquineries... et une véritable histoire d'amour avec les filles du château.
Jamais, il n'avait complètement abandonné le cas Cloé Wicked.

Et cet même demoiselle était là, aujourd'hui, dans ses bras, dans un acte charnel torride.
Les coups de bassin atteignirent l'apogée de leurs forces et de leurs rapidités, puis dans un gémissement de bien-être, Laurence ce laissa alla et jouit.
Le souffle court, il garda sa position quelques instants, puis, alla embrasser passionnément Cloé avant d'aller poser sa tête contre son cou. Il prit la main de la belle, tandis que l'autre dessinait des glyphes sur on ventre, dans une caresse.

- Tu es merveilleuse Cloé Wicked.

Il lui fit un autre sourire et l'embrassa de nouveau.

[Localisation]

Un sourire. C'est l'expression qu'il prit lorsqu'il vit la mine agacée de la demoiselle. Oui, il venait de lui prendre sa place avec brio, de meneuse elle passait à dominé. Mais ce n'était pas bien grave, puisqu'elle ne le regretterait pas.
Laurence pénétra en elle avec vigueur. Ses muscles contractés , ses traits tendus par la concentration, son visage devenu rouge par l'effort, la sueur faisant briller son front... La fin était plus que proche. Il la sentait venir, incontrôlable.
Le Gryffondor allait et venait en elle avec force et rapidité, son regard ne ce détachant pas de celui de sa belle.

Oui, la sienne. Il avait eu du mal à la faire changer d'avis, à lui montrer qu'il n'était pas seulement un gros con de Gryffondor qui s'amusait avec les filles. Il avait fait beaucoup d'effort et c'était devenu payant. Pour cela, il ne comptait pas la lâcher de si tôt. Il méritait d'être avec elle.
Jamais, toutefois, il n'aurait crut se prendre de sentiment pour la fille d'un mangemort.
Laurence se rappelait la première fois qu'il avait vu la demoiselle...

C'était dans le train, le Poudlard Express. Il débarquait des States, ayant aménagé chez sa tante quelques mois plutôt. Il c'était inscrit à Poudlard et commençait dés le lendemain dans cet nouvelle institution.
Seul dans son wagon, ne connaissant encore personne, il avait vu deux blondes, plus jeunes que lui ouvrir la porte de son compartiment. Déjà, à cet époque, il était beau-parleur et il invita ces demoiselles à partager son compartiment.
Elles étaient toutes les deux jolies, bien qu'un peu jeune, on voyait aisément qu'elles seraient des femmes superbes plus tard. S'il éveilla l'intérêt de l'une d'elle, l'autre, semblait moins intéressée. Celle-ci, tira sa sœur hors du compartiment. Juste avant qu'elle ferme la porte, Laurence avait demandé comment elle s'appelait.

- Moi c'est Cloé et ma sœur Cassie.

Très bien, Cloé et Cassie. Deux jumelles très jolies, une qui avait l'air particulièrement chiante et l'autre un peu plus enjouée comme fille.
Lorsqu'il les revus, quelques jours plus tard, dans les couloirs de l'école, il portait son uniforme, arborant le blason des rouges et or. Lorsqu'il les salua, il vit clairement Cloé, ou Cassie, regardait ses couleurs et affiché une mine dégouté, prendre un air hautain et filer. L'envie de Laurence de les gifler fut grande. Il ne supportait pas ce genre de comportement. Il découvrit rapidement qu'il n'y avait pas qu'elles qui se comportaient de la sorte et qu'il n'y avait pas qu'elles comme filles. Aussitôt il engagea une histoire passionnel avec la maison des verts et argent, bagarre, mesquineries... et une véritable histoire d'amour avec les filles du château.
Jamais, il n'avait complètement abandonné le cas Cloé Wicked.

Et cet même demoiselle était là, aujourd'hui, dans ses bras, dans un acte charnel torride.
Les coups de bassin atteignirent l'apogée de leurs forces et de leurs rapidités, puis dans un gémissement de bien-être, Laurence ce laissa alla et jouit.
Le souffle court, il garda sa position quelques instants, puis, alla embrasser passionnément Cloé avant d'aller poser sa tête contre son cou. Il prit la main de la belle, tandis que l'autre dessinait des glyphes sur on ventre, dans une caresse.

- Tu es merveilleuse Cloé Wicked.

Il lui fit un autre sourire et l'embrassa de nouveau.

[Nb de messages]

Un sourire. C'est l'expression qu'il prit lorsqu'il vit la mine agacée de la demoiselle. Oui, il venait de lui prendre sa place avec brio, de meneuse elle passait à dominé. Mais ce n'était pas bien grave, puisqu'elle ne le regretterait pas.
Laurence pénétra en elle avec vigueur. Ses muscles contractés , ses traits tendus par la concentration, son visage devenu rouge par l'effort, la sueur faisant briller son front... La fin était plus que proche. Il la sentait venir, incontrôlable.
Le Gryffondor allait et venait en elle avec force et rapidité, son regard ne ce détachant pas de celui de sa belle.

Oui, la sienne. Il avait eu du mal à la faire changer d'avis, à lui montrer qu'il n'était pas seulement un gros con de Gryffondor qui s'amusait avec les filles. Il avait fait beaucoup d'effort et c'était devenu payant. Pour cela, il ne comptait pas la lâcher de si tôt. Il méritait d'être avec elle.
Jamais, toutefois, il n'aurait crut se prendre de sentiment pour la fille d'un mangemort.
Laurence se rappelait la première fois qu'il avait vu la demoiselle...

C'était dans le train, le Poudlard Express. Il débarquait des States, ayant aménagé chez sa tante quelques mois plutôt. Il c'était inscrit à Poudlard et commençait dés le lendemain dans cet nouvelle institution.
Seul dans son wagon, ne connaissant encore personne, il avait vu deux blondes, plus jeunes que lui ouvrir la porte de son compartiment. Déjà, à cet époque, il était beau-parleur et il invita ces demoiselles à partager son compartiment.
Elles étaient toutes les deux jolies, bien qu'un peu jeune, on voyait aisément qu'elles seraient des femmes superbes plus tard. S'il éveilla l'intérêt de l'une d'elle, l'autre, semblait moins intéressée. Celle-ci, tira sa sœur hors du compartiment. Juste avant qu'elle ferme la porte, Laurence avait demandé comment elle s'appelait.

- Moi c'est Cloé et ma sœur Cassie.

Très bien, Cloé et Cassie. Deux jumelles très jolies, une qui avait l'air particulièrement chiante et l'autre un peu plus enjouée comme fille.
Lorsqu'il les revus, quelques jours plus tard, dans les couloirs de l'école, il portait son uniforme, arborant le blason des rouges et or. Lorsqu'il les salua, il vit clairement Cloé, ou Cassie, regardait ses couleurs et affiché une mine dégouté, prendre un air hautain et filer. L'envie de Laurence de les gifler fut grande. Il ne supportait pas ce genre de comportement. Il découvrit rapidement qu'il n'y avait pas qu'elles qui se comportaient de la sorte et qu'il n'y avait pas qu'elles comme filles. Aussitôt il engagea une histoire passionnel avec la maison des verts et argent, bagarre, mesquineries... et une véritable histoire d'amour avec les filles du château.
Jamais, il n'avait complètement abandonné le cas Cloé Wicked.

Et cet même demoiselle était là, aujourd'hui, dans ses bras, dans un acte charnel torride.
Les coups de bassin atteignirent l'apogée de leurs forces et de leurs rapidités, puis dans un gémissement de bien-être, Laurence ce laissa alla et jouit.
Le souffle court, il garda sa position quelques instants, puis, alla embrasser passionnément Cloé avant d'aller poser sa tête contre son cou. Il prit la main de la belle, tandis que l'autre dessinait des glyphes sur on ventre, dans une caresse.

- Tu es merveilleuse Cloé Wicked.

Il lui fit un autre sourire et l'embrassa de nouveau.

[Bourse]

Un sourire. C'est l'expression qu'il prit lorsqu'il vit la mine agacée de la demoiselle. Oui, il venait de lui prendre sa place avec brio, de meneuse elle passait à dominé. Mais ce n'était pas bien grave, puisqu'elle ne le regretterait pas.
Laurence pénétra en elle avec vigueur. Ses muscles contractés , ses traits tendus par la concentration, son visage devenu rouge par l'effort, la sueur faisant briller son front... La fin était plus que proche. Il la sentait venir, incontrôlable.
Le Gryffondor allait et venait en elle avec force et rapidité, son regard ne ce détachant pas de celui de sa belle.

Oui, la sienne. Il avait eu du mal à la faire changer d'avis, à lui montrer qu'il n'était pas seulement un gros con de Gryffondor qui s'amusait avec les filles. Il avait fait beaucoup d'effort et c'était devenu payant. Pour cela, il ne comptait pas la lâcher de si tôt. Il méritait d'être avec elle.
Jamais, toutefois, il n'aurait crut se prendre de sentiment pour la fille d'un mangemort.
Laurence se rappelait la première fois qu'il avait vu la demoiselle...

C'était dans le train, le Poudlard Express. Il débarquait des States, ayant aménagé chez sa tante quelques mois plutôt. Il c'était inscrit à Poudlard et commençait dés le lendemain dans cet nouvelle institution.
Seul dans son wagon, ne connaissant encore personne, il avait vu deux blondes, plus jeunes que lui ouvrir la porte de son compartiment. Déjà, à cet époque, il était beau-parleur et il invita ces demoiselles à partager son compartiment.
Elles étaient toutes les deux jolies, bien qu'un peu jeune, on voyait aisément qu'elles seraient des femmes superbes plus tard. S'il éveilla l'intérêt de l'une d'elle, l'autre, semblait moins intéressée. Celle-ci, tira sa sœur hors du compartiment. Juste avant qu'elle ferme la porte, Laurence avait demandé comment elle s'appelait.

- Moi c'est Cloé et ma sœur Cassie.

Très bien, Cloé et Cassie. Deux jumelles très jolies, une qui avait l'air particulièrement chiante et l'autre un peu plus enjouée comme fille.
Lorsqu'il les revus, quelques jours plus tard, dans les couloirs de l'école, il portait son uniforme, arborant le blason des rouges et or. Lorsqu'il les salua, il vit clairement Cloé, ou Cassie, regardait ses couleurs et affiché une mine dégouté, prendre un air hautain et filer. L'envie de Laurence de les gifler fut grande. Il ne supportait pas ce genre de comportement. Il découvrit rapidement qu'il n'y avait pas qu'elles qui se comportaient de la sorte et qu'il n'y avait pas qu'elles comme filles. Aussitôt il engagea une histoire passionnel avec la maison des verts et argent, bagarre, mesquineries... et une véritable histoire d'amour avec les filles du château.
Jamais, il n'avait complètement abandonné le cas Cloé Wicked.

Et cet même demoiselle était là, aujourd'hui, dans ses bras, dans un acte charnel torride.
Les coups de bassin atteignirent l'apogée de leurs forces et de leurs rapidités, puis dans un gémissement de bien-être, Laurence ce laissa alla et jouit.
Le souffle court, il garda sa position quelques instants, puis, alla embrasser passionnément Cloé avant d'aller poser sa tête contre son cou. Il prit la main de la belle, tandis que l'autre dessinait des glyphes sur on ventre, dans une caresse.

- Tu es merveilleuse Cloé Wicked.

Il lui fit un autre sourire et l'embrassa de nouveau.

[Données]

Un sourire. C'est l'expression qu'il prit lorsqu'il vit la mine agacée de la demoiselle. Oui, il venait de lui prendre sa place avec brio, de meneuse elle passait à dominé. Mais ce n'était pas bien grave, puisqu'elle ne le regretterait pas.
Laurence pénétra en elle avec vigueur. Ses muscles contractés , ses traits tendus par la concentration, son visage devenu rouge par l'effort, la sueur faisant briller son front... La fin était plus que proche. Il la sentait venir, incontrôlable.
Le Gryffondor allait et venait en elle avec force et rapidité, son regard ne ce détachant pas de celui de sa belle.

Oui, la sienne. Il avait eu du mal à la faire changer d'avis, à lui montrer qu'il n'était pas seulement un gros con de Gryffondor qui s'amusait avec les filles. Il avait fait beaucoup d'effort et c'était devenu payant. Pour cela, il ne comptait pas la lâcher de si tôt. Il méritait d'être avec elle.
Jamais, toutefois, il n'aurait crut se prendre de sentiment pour la fille d'un mangemort.
Laurence se rappelait la première fois qu'il avait vu la demoiselle...

C'était dans le train, le Poudlard Express. Il débarquait des States, ayant aménagé chez sa tante quelques mois plutôt. Il c'était inscrit à Poudlard et commençait dés le lendemain dans cet nouvelle institution.
Seul dans son wagon, ne connaissant encore personne, il avait vu deux blondes, plus jeunes que lui ouvrir la porte de son compartiment. Déjà, à cet époque, il était beau-parleur et il invita ces demoiselles à partager son compartiment.
Elles étaient toutes les deux jolies, bien qu'un peu jeune, on voyait aisément qu'elles seraient des femmes superbes plus tard. S'il éveilla l'intérêt de l'une d'elle, l'autre, semblait moins intéressée. Celle-ci, tira sa sœur hors du compartiment. Juste avant qu'elle ferme la porte, Laurence avait demandé comment elle s'appelait.

- Moi c'est Cloé et ma sœur Cassie.

Très bien, Cloé et Cassie. Deux jumelles très jolies, une qui avait l'air particulièrement chiante et l'autre un peu plus enjouée comme fille.
Lorsqu'il les revus, quelques jours plus tard, dans les couloirs de l'école, il portait son uniforme, arborant le blason des rouges et or. Lorsqu'il les salua, il vit clairement Cloé, ou Cassie, regardait ses couleurs et affiché une mine dégouté, prendre un air hautain et filer. L'envie de Laurence de les gifler fut grande. Il ne supportait pas ce genre de comportement. Il découvrit rapidement qu'il n'y avait pas qu'elles qui se comportaient de la sorte et qu'il n'y avait pas qu'elles comme filles. Aussitôt il engagea une histoire passionnel avec la maison des verts et argent, bagarre, mesquineries... et une véritable histoire d'amour avec les filles du château.
Jamais, il n'avait complètement abandonné le cas Cloé Wicked.

Et cet même demoiselle était là, aujourd'hui, dans ses bras, dans un acte charnel torride.
Les coups de bassin atteignirent l'apogée de leurs forces et de leurs rapidités, puis dans un gémissement de bien-être, Laurence ce laissa alla et jouit.
Le souffle court, il garda sa position quelques instants, puis, alla embrasser passionnément Cloé avant d'aller poser sa tête contre son cou. Il prit la main de la belle, tandis que l'autre dessinait des glyphes sur on ventre, dans une caresse.

- Tu es merveilleuse Cloé Wicked.

Il lui fit un autre sourire et l'embrassa de nouveau.

[Expérience]

Un sourire. C'est l'expression qu'il prit lorsqu'il vit la mine agacée de la demoiselle. Oui, il venait de lui prendre sa place avec brio, de meneuse elle passait à dominé. Mais ce n'était pas bien grave, puisqu'elle ne le regretterait pas.
Laurence pénétra en elle avec vigueur. Ses muscles contractés , ses traits tendus par la concentration, son visage devenu rouge par l'effort, la sueur faisant briller son front... La fin était plus que proche. Il la sentait venir, incontrôlable.
Le Gryffondor allait et venait en elle avec force et rapidité, son regard ne ce détachant pas de celui de sa belle.

Oui, la sienne. Il avait eu du mal à la faire changer d'avis, à lui montrer qu'il n'était pas seulement un gros con de Gryffondor qui s'amusait avec les filles. Il avait fait beaucoup d'effort et c'était devenu payant. Pour cela, il ne comptait pas la lâcher de si tôt. Il méritait d'être avec elle.
Jamais, toutefois, il n'aurait crut se prendre de sentiment pour la fille d'un mangemort.
Laurence se rappelait la première fois qu'il avait vu la demoiselle...

C'était dans le train, le Poudlard Express. Il débarquait des States, ayant aménagé chez sa tante quelques mois plutôt. Il c'était inscrit à Poudlard et commençait dés le lendemain dans cet nouvelle institution.
Seul dans son wagon, ne connaissant encore personne, il avait vu deux blondes, plus jeunes que lui ouvrir la porte de son compartiment. Déjà, à cet époque, il était beau-parleur et il invita ces demoiselles à partager son compartiment.
Elles étaient toutes les deux jolies, bien qu'un peu jeune, on voyait aisément qu'elles seraient des femmes superbes plus tard. S'il éveilla l'intérêt de l'une d'elle, l'autre, semblait moins intéressée. Celle-ci, tira sa sœur hors du compartiment. Juste avant qu'elle ferme la porte, Laurence avait demandé comment elle s'appelait.

- Moi c'est Cloé et ma sœur Cassie.

Très bien, Cloé et Cassie. Deux jumelles très jolies, une qui avait l'air particulièrement chiante et l'autre un peu plus enjouée comme fille.
Lorsqu'il les revus, quelques jours plus tard, dans les couloirs de l'école, il portait son uniforme, arborant le blason des rouges et or. Lorsqu'il les salua, il vit clairement Cloé, ou Cassie, regardait ses couleurs et affiché une mine dégouté, prendre un air hautain et filer. L'envie de Laurence de les gifler fut grande. Il ne supportait pas ce genre de comportement. Il découvrit rapidement qu'il n'y avait pas qu'elles qui se comportaient de la sorte et qu'il n'y avait pas qu'elles comme filles. Aussitôt il engagea une histoire passionnel avec la maison des verts et argent, bagarre, mesquineries... et une véritable histoire d'amour avec les filles du château.
Jamais, il n'avait complètement abandonné le cas Cloé Wicked.

Et cet même demoiselle était là, aujourd'hui, dans ses bras, dans un acte charnel torride.
Les coups de bassin atteignirent l'apogée de leurs forces et de leurs rapidités, puis dans un gémissement de bien-être, Laurence ce laissa alla et jouit.
Le souffle court, il garda sa position quelques instants, puis, alla embrasser passionnément Cloé avant d'aller poser sa tête contre son cou. Il prit la main de la belle, tandis que l'autre dessinait des glyphes sur on ventre, dans une caresse.

- Tu es merveilleuse Cloé Wicked.

Il lui fit un autre sourire et l'embrassa de nouveau.

[— ADMINISTRATEUR —]

Hé oui, les meilleurs choses ont une fin. C'est un fait universel ça... L'acte charnel ne faisait pas exception à la règle.
Tandis qu'il était nu, serré contre sa Cloé, il pensait. Voilà, il avait couché avec une énième fille du château, sauf qu'elle, elle ressortait du lot. C'est une des rares qu'il avait véritablement désiré, une des rares qui l'avait tenu en haleine si longtemps et maintenant, après avoir fait l'amour, il désirait la conserver le plus longtemps possible, toujours.
Laurence, quand il drague une fille, il entame un jeu, un défi. Dés qu'il a couché avec, il a gagné. Là, en général, il recommence une autre partie. Avec une autre demoiselle. L'acte charnel concrétise en fait, les efforts qu'il aura fournit pour emmener sa proie à baisser sa garde et s'offrir à lui.
Cloé était la plus farouche de ses proies et il savait qu'il ne se lasserait pas du jour au lendemain avec elle. Qu'il y avait encore beaucoup à découvrir d'elle.

Elle posa ses lèvres sur les siennes et parla, donnant la réplique à sa phrase précédente. Il faisait donc ressortit ce qu'il y a de meilleurs en elle ? Il pensait simplement qu'en réalité, il était arrivé à voir Cloé sous son vrai jour et non l'image de Princesse Wicked Cloé, fille d'une lignée de sorcier au sang-pur, garce et capricieuse. Elle était naturel avec lui. Elle n'avait pas besoin de faux-semblant, c'est comme elle l'était qu'il la voulait.

- Ce qu'il y a de meilleur en toi, c'est ton naturel tout simplement. Et non l'image pleine d’orgueil que tu renvois.

Il lui fit un petit sourire, glissa une de ses mèches derrière son oreille et l'embrassa de nouveau.
Il était bien là, il souhaitait ne plus bouger. De plus, la journée, les danses du bal et les sensations de la fin de soirée, firent tomber une écharpe de fatigue sur les épaules du garçon. Calé confortablement contre sa Cloé, il pourrait dormir là. Sauf que la nuit risquerait d'être un peu fraîche et le réveil pas forcément à leur goût si quelqu'un débarquait à l'improviste.
Toutefois, pour le moment, il souhaitait simplement être avec elle, parler ou se taire, simplement.

[Localisation]

Hé oui, les meilleurs choses ont une fin. C'est un fait universel ça... L'acte charnel ne faisait pas exception à la règle.
Tandis qu'il était nu, serré contre sa Cloé, il pensait. Voilà, il avait couché avec une énième fille du château, sauf qu'elle, elle ressortait du lot. C'est une des rares qu'il avait véritablement désiré, une des rares qui l'avait tenu en haleine si longtemps et maintenant, après avoir fait l'amour, il désirait la conserver le plus longtemps possible, toujours.
Laurence, quand il drague une fille, il entame un jeu, un défi. Dés qu'il a couché avec, il a gagné. Là, en général, il recommence une autre partie. Avec une autre demoiselle. L'acte charnel concrétise en fait, les efforts qu'il aura fournit pour emmener sa proie à baisser sa garde et s'offrir à lui.
Cloé était la plus farouche de ses proies et il savait qu'il ne se lasserait pas du jour au lendemain avec elle. Qu'il y avait encore beaucoup à découvrir d'elle.

Elle posa ses lèvres sur les siennes et parla, donnant la réplique à sa phrase précédente. Il faisait donc ressortit ce qu'il y a de meilleurs en elle ? Il pensait simplement qu'en réalité, il était arrivé à voir Cloé sous son vrai jour et non l'image de Princesse Wicked Cloé, fille d'une lignée de sorcier au sang-pur, garce et capricieuse. Elle était naturel avec lui. Elle n'avait pas besoin de faux-semblant, c'est comme elle l'était qu'il la voulait.

- Ce qu'il y a de meilleur en toi, c'est ton naturel tout simplement. Et non l'image pleine d’orgueil que tu renvois.

Il lui fit un petit sourire, glissa une de ses mèches derrière son oreille et l'embrassa de nouveau.
Il était bien là, il souhaitait ne plus bouger. De plus, la journée, les danses du bal et les sensations de la fin de soirée, firent tomber une écharpe de fatigue sur les épaules du garçon. Calé confortablement contre sa Cloé, il pourrait dormir là. Sauf que la nuit risquerait d'être un peu fraîche et le réveil pas forcément à leur goût si quelqu'un débarquait à l'improviste.
Toutefois, pour le moment, il souhaitait simplement être avec elle, parler ou se taire, simplement.

[Nb de messages]

Hé oui, les meilleurs choses ont une fin. C'est un fait universel ça... L'acte charnel ne faisait pas exception à la règle.
Tandis qu'il était nu, serré contre sa Cloé, il pensait. Voilà, il avait couché avec une énième fille du château, sauf qu'elle, elle ressortait du lot. C'est une des rares qu'il avait véritablement désiré, une des rares qui l'avait tenu en haleine si longtemps et maintenant, après avoir fait l'amour, il désirait la conserver le plus longtemps possible, toujours.
Laurence, quand il drague une fille, il entame un jeu, un défi. Dés qu'il a couché avec, il a gagné. Là, en général, il recommence une autre partie. Avec une autre demoiselle. L'acte charnel concrétise en fait, les efforts qu'il aura fournit pour emmener sa proie à baisser sa garde et s'offrir à lui.
Cloé était la plus farouche de ses proies et il savait qu'il ne se lasserait pas du jour au lendemain avec elle. Qu'il y avait encore beaucoup à découvrir d'elle.

Elle posa ses lèvres sur les siennes et parla, donnant la réplique à sa phrase précédente. Il faisait donc ressortit ce qu'il y a de meilleurs en elle ? Il pensait simplement qu'en réalité, il était arrivé à voir Cloé sous son vrai jour et non l'image de Princesse Wicked Cloé, fille d'une lignée de sorcier au sang-pur, garce et capricieuse. Elle était naturel avec lui. Elle n'avait pas besoin de faux-semblant, c'est comme elle l'était qu'il la voulait.

- Ce qu'il y a de meilleur en toi, c'est ton naturel tout simplement. Et non l'image pleine d’orgueil que tu renvois.

Il lui fit un petit sourire, glissa une de ses mèches derrière son oreille et l'embrassa de nouveau.
Il était bien là, il souhaitait ne plus bouger. De plus, la journée, les danses du bal et les sensations de la fin de soirée, firent tomber une écharpe de fatigue sur les épaules du garçon. Calé confortablement contre sa Cloé, il pourrait dormir là. Sauf que la nuit risquerait d'être un peu fraîche et le réveil pas forcément à leur goût si quelqu'un débarquait à l'improviste.
Toutefois, pour le moment, il souhaitait simplement être avec elle, parler ou se taire, simplement.

[Bourse]

Hé oui, les meilleurs choses ont une fin. C'est un fait universel ça... L'acte charnel ne faisait pas exception à la règle.
Tandis qu'il était nu, serré contre sa Cloé, il pensait. Voilà, il avait couché avec une énième fille du château, sauf qu'elle, elle ressortait du lot. C'est une des rares qu'il avait véritablement désiré, une des rares qui l'avait tenu en haleine si longtemps et maintenant, après avoir fait l'amour, il désirait la conserver le plus longtemps possible, toujours.
Laurence, quand il drague une fille, il entame un jeu, un défi. Dés qu'il a couché avec, il a gagné. Là, en général, il recommence une autre partie. Avec une autre demoiselle. L'acte charnel concrétise en fait, les efforts qu'il aura fournit pour emmener sa proie à baisser sa garde et s'offrir à lui.
Cloé était la plus farouche de ses proies et il savait qu'il ne se lasserait pas du jour au lendemain avec elle. Qu'il y avait encore beaucoup à découvrir d'elle.

Elle posa ses lèvres sur les siennes et parla, donnant la réplique à sa phrase précédente. Il faisait donc ressortit ce qu'il y a de meilleurs en elle ? Il pensait simplement qu'en réalité, il était arrivé à voir Cloé sous son vrai jour et non l'image de Princesse Wicked Cloé, fille d'une lignée de sorcier au sang-pur, garce et capricieuse. Elle était naturel avec lui. Elle n'avait pas besoin de faux-semblant, c'est comme elle l'était qu'il la voulait.

- Ce qu'il y a de meilleur en toi, c'est ton naturel tout simplement. Et non l'image pleine d’orgueil que tu renvois.

Il lui fit un petit sourire, glissa une de ses mèches derrière son oreille et l'embrassa de nouveau.
Il était bien là, il souhaitait ne plus bouger. De plus, la journée, les danses du bal et les sensations de la fin de soirée, firent tomber une écharpe de fatigue sur les épaules du garçon. Calé confortablement contre sa Cloé, il pourrait dormir là. Sauf que la nuit risquerait d'être un peu fraîche et le réveil pas forcément à leur goût si quelqu'un débarquait à l'improviste.
Toutefois, pour le moment, il souhaitait simplement être avec elle, parler ou se taire, simplement.

[Données]

Hé oui, les meilleurs choses ont une fin. C'est un fait universel ça... L'acte charnel ne faisait pas exception à la règle.
Tandis qu'il était nu, serré contre sa Cloé, il pensait. Voilà, il avait couché avec une énième fille du château, sauf qu'elle, elle ressortait du lot. C'est une des rares qu'il avait véritablement désiré, une des rares qui l'avait tenu en haleine si longtemps et maintenant, après avoir fait l'amour, il désirait la conserver le plus longtemps possible, toujours.
Laurence, quand il drague une fille, il entame un jeu, un défi. Dés qu'il a couché avec, il a gagné. Là, en général, il recommence une autre partie. Avec une autre demoiselle. L'acte charnel concrétise en fait, les efforts qu'il aura fournit pour emmener sa proie à baisser sa garde et s'offrir à lui.
Cloé était la plus farouche de ses proies et il savait qu'il ne se lasserait pas du jour au lendemain avec elle. Qu'il y avait encore beaucoup à découvrir d'elle.

Elle posa ses lèvres sur les siennes et parla, donnant la réplique à sa phrase précédente. Il faisait donc ressortit ce qu'il y a de meilleurs en elle ? Il pensait simplement qu'en réalité, il était arrivé à voir Cloé sous son vrai jour et non l'image de Princesse Wicked Cloé, fille d'une lignée de sorcier au sang-pur, garce et capricieuse. Elle était naturel avec lui. Elle n'avait pas besoin de faux-semblant, c'est comme elle l'était qu'il la voulait.

- Ce qu'il y a de meilleur en toi, c'est ton naturel tout simplement. Et non l'image pleine d’orgueil que tu renvois.

Il lui fit un petit sourire, glissa une de ses mèches derrière son oreille et l'embrassa de nouveau.
Il était bien là, il souhaitait ne plus bouger. De plus, la journée, les danses du bal et les sensations de la fin de soirée, firent tomber une écharpe de fatigue sur les épaules du garçon. Calé confortablement contre sa Cloé, il pourrait dormir là. Sauf que la nuit risquerait d'être un peu fraîche et le réveil pas forcément à leur goût si quelqu'un débarquait à l'improviste.
Toutefois, pour le moment, il souhaitait simplement être avec elle, parler ou se taire, simplement.

[Expérience]

Hé oui, les meilleurs choses ont une fin. C'est un fait universel ça... L'acte charnel ne faisait pas exception à la règle.
Tandis qu'il était nu, serré contre sa Cloé, il pensait. Voilà, il avait couché avec une énième fille du château, sauf qu'elle, elle ressortait du lot. C'est une des rares qu'il avait véritablement désiré, une des rares qui l'avait tenu en haleine si longtemps et maintenant, après avoir fait l'amour, il désirait la conserver le plus longtemps possible, toujours.
Laurence, quand il drague une fille, il entame un jeu, un défi. Dés qu'il a couché avec, il a gagné. Là, en général, il recommence une autre partie. Avec une autre demoiselle. L'acte charnel concrétise en fait, les efforts qu'il aura fournit pour emmener sa proie à baisser sa garde et s'offrir à lui.
Cloé était la plus farouche de ses proies et il savait qu'il ne se lasserait pas du jour au lendemain avec elle. Qu'il y avait encore beaucoup à découvrir d'elle.

Elle posa ses lèvres sur les siennes et parla, donnant la réplique à sa phrase précédente. Il faisait donc ressortit ce qu'il y a de meilleurs en elle ? Il pensait simplement qu'en réalité, il était arrivé à voir Cloé sous son vrai jour et non l'image de Princesse Wicked Cloé, fille d'une lignée de sorcier au sang-pur, garce et capricieuse. Elle était naturel avec lui. Elle n'avait pas besoin de faux-semblant, c'est comme elle l'était qu'il la voulait.

- Ce qu'il y a de meilleur en toi, c'est ton naturel tout simplement. Et non l'image pleine d’orgueil que tu renvois.

Il lui fit un petit sourire, glissa une de ses mèches derrière son oreille et l'embrassa de nouveau.
Il était bien là, il souhaitait ne plus bouger. De plus, la journée, les danses du bal et les sensations de la fin de soirée, firent tomber une écharpe de fatigue sur les épaules du garçon. Calé confortablement contre sa Cloé, il pourrait dormir là. Sauf que la nuit risquerait d'être un peu fraîche et le réveil pas forcément à leur goût si quelqu'un débarquait à l'improviste.
Toutefois, pour le moment, il souhaitait simplement être avec elle, parler ou se taire, simplement.