[— JOUEUR / JOUEUSE —]

"Mel, assieds-toi faut que je te parle. Je le sens, je le sais, je le suis, il se fout de moi!"

Lorsque Melissandre avait entendu ces mots pronnoncés avec l'accent dramatique de circonstance elle avait compris qu'un autre épisode des amours tourmentés de Kevin et Victoire venait de se jouer. La Poufsouffle connaissait par coeur le théme de la soirée qui allait s'annoncer dans leur dortoir. Elle ne s'était donc pas assise, n'avait pas encore écouté les déboires de son amie Victoire mais avait couru chez Honeydukes chercher des munitions. En ces temps obscures on pouvait estimer que les amourettes d'ados étaient de moindre importance. Pourtant, Meli pensait qu'il était inutile de laisser un moral déjà bas descendre d'avantage. Les petites choses qui avant n'avaient pas trop d'importances et étaient rapidement oubliées prenaient des proportions parfois démesurées.

" Et avec ça Mademoiselle Mc Arena ?"

La voix tranquille de Monsieur Flume sortit la blondinette de ses pensées. Sans qu'elle ne s'en apperçoive, le ballet des sucreries volant à travers la boutique pour attérir dans son sac avait cessé. Ses prunelles vertes annimées d'une lueur vive se levérent à nouveau vers le confiseur tandis que la main fine de Meli désignait un énorme rocher au chocolat, apétissant au possible. Meli en aurait bavé si elle n'avait pas été bien elevée!

- Je voudrais bien ce morceau de chocolat et ce sera tout. Je vais essayer d'être raisonnable pour une fois!

Raisonnable était un grand mot. Quand il s'agissait de nourriture, la jeune Irlandaise n'avait aucune limite et Monsieur Flume le savait bien. Il lui adressa un petit clin d'oeil complice avant d'ajouter l'article demandé ainsi que quelques dragées surprises de Berthie Crochue

" Cadeau de la maison jeune-fille! Et dites à votre amie que les peines de coeur ne sont heureusement que passagéres".

Le confiseur connaissait bien ses habitudes et avait compris que le chocolat aidait grandement à apaiser les petits chagrins de Victoire...et accessoirement l'estomac de le blondinette. La jeune Méli lui adressa un sourire rayonnant.

- Merci Monsieur Flume! Je lui transmettrais!

[Localisation]

"Mel, assieds-toi faut que je te parle. Je le sens, je le sais, je le suis, il se fout de moi!"

Lorsque Melissandre avait entendu ces mots pronnoncés avec l'accent dramatique de circonstance elle avait compris qu'un autre épisode des amours tourmentés de Kevin et Victoire venait de se jouer. La Poufsouffle connaissait par coeur le théme de la soirée qui allait s'annoncer dans leur dortoir. Elle ne s'était donc pas assise, n'avait pas encore écouté les déboires de son amie Victoire mais avait couru chez Honeydukes chercher des munitions. En ces temps obscures on pouvait estimer que les amourettes d'ados étaient de moindre importance. Pourtant, Meli pensait qu'il était inutile de laisser un moral déjà bas descendre d'avantage. Les petites choses qui avant n'avaient pas trop d'importances et étaient rapidement oubliées prenaient des proportions parfois démesurées.

" Et avec ça Mademoiselle Mc Arena ?"

La voix tranquille de Monsieur Flume sortit la blondinette de ses pensées. Sans qu'elle ne s'en apperçoive, le ballet des sucreries volant à travers la boutique pour attérir dans son sac avait cessé. Ses prunelles vertes annimées d'une lueur vive se levérent à nouveau vers le confiseur tandis que la main fine de Meli désignait un énorme rocher au chocolat, apétissant au possible. Meli en aurait bavé si elle n'avait pas été bien elevée!

- Je voudrais bien ce morceau de chocolat et ce sera tout. Je vais essayer d'être raisonnable pour une fois!

Raisonnable était un grand mot. Quand il s'agissait de nourriture, la jeune Irlandaise n'avait aucune limite et Monsieur Flume le savait bien. Il lui adressa un petit clin d'oeil complice avant d'ajouter l'article demandé ainsi que quelques dragées surprises de Berthie Crochue

" Cadeau de la maison jeune-fille! Et dites à votre amie que les peines de coeur ne sont heureusement que passagéres".

Le confiseur connaissait bien ses habitudes et avait compris que le chocolat aidait grandement à apaiser les petits chagrins de Victoire...et accessoirement l'estomac de le blondinette. La jeune Méli lui adressa un sourire rayonnant.

- Merci Monsieur Flume! Je lui transmettrais!

[Nb de messages]

"Mel, assieds-toi faut que je te parle. Je le sens, je le sais, je le suis, il se fout de moi!"

Lorsque Melissandre avait entendu ces mots pronnoncés avec l'accent dramatique de circonstance elle avait compris qu'un autre épisode des amours tourmentés de Kevin et Victoire venait de se jouer. La Poufsouffle connaissait par coeur le théme de la soirée qui allait s'annoncer dans leur dortoir. Elle ne s'était donc pas assise, n'avait pas encore écouté les déboires de son amie Victoire mais avait couru chez Honeydukes chercher des munitions. En ces temps obscures on pouvait estimer que les amourettes d'ados étaient de moindre importance. Pourtant, Meli pensait qu'il était inutile de laisser un moral déjà bas descendre d'avantage. Les petites choses qui avant n'avaient pas trop d'importances et étaient rapidement oubliées prenaient des proportions parfois démesurées.

" Et avec ça Mademoiselle Mc Arena ?"

La voix tranquille de Monsieur Flume sortit la blondinette de ses pensées. Sans qu'elle ne s'en apperçoive, le ballet des sucreries volant à travers la boutique pour attérir dans son sac avait cessé. Ses prunelles vertes annimées d'une lueur vive se levérent à nouveau vers le confiseur tandis que la main fine de Meli désignait un énorme rocher au chocolat, apétissant au possible. Meli en aurait bavé si elle n'avait pas été bien elevée!

- Je voudrais bien ce morceau de chocolat et ce sera tout. Je vais essayer d'être raisonnable pour une fois!

Raisonnable était un grand mot. Quand il s'agissait de nourriture, la jeune Irlandaise n'avait aucune limite et Monsieur Flume le savait bien. Il lui adressa un petit clin d'oeil complice avant d'ajouter l'article demandé ainsi que quelques dragées surprises de Berthie Crochue

" Cadeau de la maison jeune-fille! Et dites à votre amie que les peines de coeur ne sont heureusement que passagéres".

Le confiseur connaissait bien ses habitudes et avait compris que le chocolat aidait grandement à apaiser les petits chagrins de Victoire...et accessoirement l'estomac de le blondinette. La jeune Méli lui adressa un sourire rayonnant.

- Merci Monsieur Flume! Je lui transmettrais!

[Bourse]

"Mel, assieds-toi faut que je te parle. Je le sens, je le sais, je le suis, il se fout de moi!"

Lorsque Melissandre avait entendu ces mots pronnoncés avec l'accent dramatique de circonstance elle avait compris qu'un autre épisode des amours tourmentés de Kevin et Victoire venait de se jouer. La Poufsouffle connaissait par coeur le théme de la soirée qui allait s'annoncer dans leur dortoir. Elle ne s'était donc pas assise, n'avait pas encore écouté les déboires de son amie Victoire mais avait couru chez Honeydukes chercher des munitions. En ces temps obscures on pouvait estimer que les amourettes d'ados étaient de moindre importance. Pourtant, Meli pensait qu'il était inutile de laisser un moral déjà bas descendre d'avantage. Les petites choses qui avant n'avaient pas trop d'importances et étaient rapidement oubliées prenaient des proportions parfois démesurées.

" Et avec ça Mademoiselle Mc Arena ?"

La voix tranquille de Monsieur Flume sortit la blondinette de ses pensées. Sans qu'elle ne s'en apperçoive, le ballet des sucreries volant à travers la boutique pour attérir dans son sac avait cessé. Ses prunelles vertes annimées d'une lueur vive se levérent à nouveau vers le confiseur tandis que la main fine de Meli désignait un énorme rocher au chocolat, apétissant au possible. Meli en aurait bavé si elle n'avait pas été bien elevée!

- Je voudrais bien ce morceau de chocolat et ce sera tout. Je vais essayer d'être raisonnable pour une fois!

Raisonnable était un grand mot. Quand il s'agissait de nourriture, la jeune Irlandaise n'avait aucune limite et Monsieur Flume le savait bien. Il lui adressa un petit clin d'oeil complice avant d'ajouter l'article demandé ainsi que quelques dragées surprises de Berthie Crochue

" Cadeau de la maison jeune-fille! Et dites à votre amie que les peines de coeur ne sont heureusement que passagéres".

Le confiseur connaissait bien ses habitudes et avait compris que le chocolat aidait grandement à apaiser les petits chagrins de Victoire...et accessoirement l'estomac de le blondinette. La jeune Méli lui adressa un sourire rayonnant.

- Merci Monsieur Flume! Je lui transmettrais!

[Données]

"Mel, assieds-toi faut que je te parle. Je le sens, je le sais, je le suis, il se fout de moi!"

Lorsque Melissandre avait entendu ces mots pronnoncés avec l'accent dramatique de circonstance elle avait compris qu'un autre épisode des amours tourmentés de Kevin et Victoire venait de se jouer. La Poufsouffle connaissait par coeur le théme de la soirée qui allait s'annoncer dans leur dortoir. Elle ne s'était donc pas assise, n'avait pas encore écouté les déboires de son amie Victoire mais avait couru chez Honeydukes chercher des munitions. En ces temps obscures on pouvait estimer que les amourettes d'ados étaient de moindre importance. Pourtant, Meli pensait qu'il était inutile de laisser un moral déjà bas descendre d'avantage. Les petites choses qui avant n'avaient pas trop d'importances et étaient rapidement oubliées prenaient des proportions parfois démesurées.

" Et avec ça Mademoiselle Mc Arena ?"

La voix tranquille de Monsieur Flume sortit la blondinette de ses pensées. Sans qu'elle ne s'en apperçoive, le ballet des sucreries volant à travers la boutique pour attérir dans son sac avait cessé. Ses prunelles vertes annimées d'une lueur vive se levérent à nouveau vers le confiseur tandis que la main fine de Meli désignait un énorme rocher au chocolat, apétissant au possible. Meli en aurait bavé si elle n'avait pas été bien elevée!

- Je voudrais bien ce morceau de chocolat et ce sera tout. Je vais essayer d'être raisonnable pour une fois!

Raisonnable était un grand mot. Quand il s'agissait de nourriture, la jeune Irlandaise n'avait aucune limite et Monsieur Flume le savait bien. Il lui adressa un petit clin d'oeil complice avant d'ajouter l'article demandé ainsi que quelques dragées surprises de Berthie Crochue

" Cadeau de la maison jeune-fille! Et dites à votre amie que les peines de coeur ne sont heureusement que passagéres".

Le confiseur connaissait bien ses habitudes et avait compris que le chocolat aidait grandement à apaiser les petits chagrins de Victoire...et accessoirement l'estomac de le blondinette. La jeune Méli lui adressa un sourire rayonnant.

- Merci Monsieur Flume! Je lui transmettrais!

[Expérience]

"Mel, assieds-toi faut que je te parle. Je le sens, je le sais, je le suis, il se fout de moi!"

Lorsque Melissandre avait entendu ces mots pronnoncés avec l'accent dramatique de circonstance elle avait compris qu'un autre épisode des amours tourmentés de Kevin et Victoire venait de se jouer. La Poufsouffle connaissait par coeur le théme de la soirée qui allait s'annoncer dans leur dortoir. Elle ne s'était donc pas assise, n'avait pas encore écouté les déboires de son amie Victoire mais avait couru chez Honeydukes chercher des munitions. En ces temps obscures on pouvait estimer que les amourettes d'ados étaient de moindre importance. Pourtant, Meli pensait qu'il était inutile de laisser un moral déjà bas descendre d'avantage. Les petites choses qui avant n'avaient pas trop d'importances et étaient rapidement oubliées prenaient des proportions parfois démesurées.

" Et avec ça Mademoiselle Mc Arena ?"

La voix tranquille de Monsieur Flume sortit la blondinette de ses pensées. Sans qu'elle ne s'en apperçoive, le ballet des sucreries volant à travers la boutique pour attérir dans son sac avait cessé. Ses prunelles vertes annimées d'une lueur vive se levérent à nouveau vers le confiseur tandis que la main fine de Meli désignait un énorme rocher au chocolat, apétissant au possible. Meli en aurait bavé si elle n'avait pas été bien elevée!

- Je voudrais bien ce morceau de chocolat et ce sera tout. Je vais essayer d'être raisonnable pour une fois!

Raisonnable était un grand mot. Quand il s'agissait de nourriture, la jeune Irlandaise n'avait aucune limite et Monsieur Flume le savait bien. Il lui adressa un petit clin d'oeil complice avant d'ajouter l'article demandé ainsi que quelques dragées surprises de Berthie Crochue

" Cadeau de la maison jeune-fille! Et dites à votre amie que les peines de coeur ne sont heureusement que passagéres".

Le confiseur connaissait bien ses habitudes et avait compris que le chocolat aidait grandement à apaiser les petits chagrins de Victoire...et accessoirement l'estomac de le blondinette. La jeune Méli lui adressa un sourire rayonnant.

- Merci Monsieur Flume! Je lui transmettrais!

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

Ce que c’était emmerdant les journées de travail! Embry s’y était fait un peu, mais reste qu’il aurait préféré passer la journée avec son ami de toujours, son frère d’arme, le seul et l’unique Sebastian! Mais bon, on ne fait pas toujours ce que l’on veut dans la vie, et quand on est au service du plus grand mage noir de tout les temps, on choisit encore moins. La liberté était en fait une notion assez étrangère pour Embry. Pas qu’il ne s’amusait jamais (au contraire même!), mais il n’avait pas vraiment décidé ce qu’il ferait dans la vie. Le choix c’était imposé de lui-même. Il était devenu Mangemort et avait pris un boulot au ministère de la magie afin de passer incognito, en quelque sorte. Ça marchait, personne ne l’ennuyait et ne lui posait de question. Après tout, ce n’est pas tous les anciens Serpentards qui étaient rentrés au service du Seigneur des Ténèbres. Alors les autres sorciers traîtres à leur sang et qui se disaient gens du bien pouvaient bien croire qu’Embry, bien que n’étant pas le plus sympathique des hommes, ne soit pas devenu Mangemort. Et puis de toute façon, avouons-le franchement, Embry s’en foutait. Il était fier d’être ce qu’il était et il combattait pour une juste cause. Les autres, ceux qui étaient trop aveugle et qui refusaient de voir la vérité, soit ils devraient ouvrir les yeux, soit ils mourraient. S’ils découvraient la véritable nature d’Embry, ils les empêcheraient de parler… peut importe la manière. Oui, l’ancien Serpentard était un bon mangemort. Il ne pouvait pas se targuer d’être le meilleur élément du Seigneur des Ténèbres, mais il était loin de lui nuir. En tout cas, revenons à son métier. Il était un tireur d’élite de baguettes magiques. Ironique qu’il fasse partie du département de la Justice magique n’est-ce pas? C’était utile quand même et ça lui permettait de garder la main. Sauf que le ministère manquait parfois d’auror et d’effectif en général pour surveiller l’Angleterre. On avait donc envoyé Embry à Pré-au-Lard, tout près de Poudlard. Tien, ça lui rappellerait de bons souvenirs! Par cette fin de journée, il portait l’uniforme règlementaire que le ministère lui prescrivait pour se balader dans les rues de Pré-au-Lard afin de s’assurer de la bonne sécurité de ses citoyens. La situation faisait parfois rire Embry, mais pas en ce moment. Il aurait eu l’air bien étrange de marcher en riant tout seul. Bref, alors qu’il passait devant la confiserie, il vit à l’intérieur une étudiante. Hum… elle n’était pas sencée se trouver au château celle-là? Il décida de vérifier auprès de la principale concernée et l’attendit à l’extérieur, en s’allumant une cigarette.

[Localisation]

Ce que c’était emmerdant les journées de travail! Embry s’y était fait un peu, mais reste qu’il aurait préféré passer la journée avec son ami de toujours, son frère d’arme, le seul et l’unique Sebastian! Mais bon, on ne fait pas toujours ce que l’on veut dans la vie, et quand on est au service du plus grand mage noir de tout les temps, on choisit encore moins. La liberté était en fait une notion assez étrangère pour Embry. Pas qu’il ne s’amusait jamais (au contraire même!), mais il n’avait pas vraiment décidé ce qu’il ferait dans la vie. Le choix c’était imposé de lui-même. Il était devenu Mangemort et avait pris un boulot au ministère de la magie afin de passer incognito, en quelque sorte. Ça marchait, personne ne l’ennuyait et ne lui posait de question. Après tout, ce n’est pas tous les anciens Serpentards qui étaient rentrés au service du Seigneur des Ténèbres. Alors les autres sorciers traîtres à leur sang et qui se disaient gens du bien pouvaient bien croire qu’Embry, bien que n’étant pas le plus sympathique des hommes, ne soit pas devenu Mangemort. Et puis de toute façon, avouons-le franchement, Embry s’en foutait. Il était fier d’être ce qu’il était et il combattait pour une juste cause. Les autres, ceux qui étaient trop aveugle et qui refusaient de voir la vérité, soit ils devraient ouvrir les yeux, soit ils mourraient. S’ils découvraient la véritable nature d’Embry, ils les empêcheraient de parler… peut importe la manière. Oui, l’ancien Serpentard était un bon mangemort. Il ne pouvait pas se targuer d’être le meilleur élément du Seigneur des Ténèbres, mais il était loin de lui nuir. En tout cas, revenons à son métier. Il était un tireur d’élite de baguettes magiques. Ironique qu’il fasse partie du département de la Justice magique n’est-ce pas? C’était utile quand même et ça lui permettait de garder la main. Sauf que le ministère manquait parfois d’auror et d’effectif en général pour surveiller l’Angleterre. On avait donc envoyé Embry à Pré-au-Lard, tout près de Poudlard. Tien, ça lui rappellerait de bons souvenirs! Par cette fin de journée, il portait l’uniforme règlementaire que le ministère lui prescrivait pour se balader dans les rues de Pré-au-Lard afin de s’assurer de la bonne sécurité de ses citoyens. La situation faisait parfois rire Embry, mais pas en ce moment. Il aurait eu l’air bien étrange de marcher en riant tout seul. Bref, alors qu’il passait devant la confiserie, il vit à l’intérieur une étudiante. Hum… elle n’était pas sencée se trouver au château celle-là? Il décida de vérifier auprès de la principale concernée et l’attendit à l’extérieur, en s’allumant une cigarette.

[Nb de messages]

Ce que c’était emmerdant les journées de travail! Embry s’y était fait un peu, mais reste qu’il aurait préféré passer la journée avec son ami de toujours, son frère d’arme, le seul et l’unique Sebastian! Mais bon, on ne fait pas toujours ce que l’on veut dans la vie, et quand on est au service du plus grand mage noir de tout les temps, on choisit encore moins. La liberté était en fait une notion assez étrangère pour Embry. Pas qu’il ne s’amusait jamais (au contraire même!), mais il n’avait pas vraiment décidé ce qu’il ferait dans la vie. Le choix c’était imposé de lui-même. Il était devenu Mangemort et avait pris un boulot au ministère de la magie afin de passer incognito, en quelque sorte. Ça marchait, personne ne l’ennuyait et ne lui posait de question. Après tout, ce n’est pas tous les anciens Serpentards qui étaient rentrés au service du Seigneur des Ténèbres. Alors les autres sorciers traîtres à leur sang et qui se disaient gens du bien pouvaient bien croire qu’Embry, bien que n’étant pas le plus sympathique des hommes, ne soit pas devenu Mangemort. Et puis de toute façon, avouons-le franchement, Embry s’en foutait. Il était fier d’être ce qu’il était et il combattait pour une juste cause. Les autres, ceux qui étaient trop aveugle et qui refusaient de voir la vérité, soit ils devraient ouvrir les yeux, soit ils mourraient. S’ils découvraient la véritable nature d’Embry, ils les empêcheraient de parler… peut importe la manière. Oui, l’ancien Serpentard était un bon mangemort. Il ne pouvait pas se targuer d’être le meilleur élément du Seigneur des Ténèbres, mais il était loin de lui nuir. En tout cas, revenons à son métier. Il était un tireur d’élite de baguettes magiques. Ironique qu’il fasse partie du département de la Justice magique n’est-ce pas? C’était utile quand même et ça lui permettait de garder la main. Sauf que le ministère manquait parfois d’auror et d’effectif en général pour surveiller l’Angleterre. On avait donc envoyé Embry à Pré-au-Lard, tout près de Poudlard. Tien, ça lui rappellerait de bons souvenirs! Par cette fin de journée, il portait l’uniforme règlementaire que le ministère lui prescrivait pour se balader dans les rues de Pré-au-Lard afin de s’assurer de la bonne sécurité de ses citoyens. La situation faisait parfois rire Embry, mais pas en ce moment. Il aurait eu l’air bien étrange de marcher en riant tout seul. Bref, alors qu’il passait devant la confiserie, il vit à l’intérieur une étudiante. Hum… elle n’était pas sencée se trouver au château celle-là? Il décida de vérifier auprès de la principale concernée et l’attendit à l’extérieur, en s’allumant une cigarette.

[Bourse]

Ce que c’était emmerdant les journées de travail! Embry s’y était fait un peu, mais reste qu’il aurait préféré passer la journée avec son ami de toujours, son frère d’arme, le seul et l’unique Sebastian! Mais bon, on ne fait pas toujours ce que l’on veut dans la vie, et quand on est au service du plus grand mage noir de tout les temps, on choisit encore moins. La liberté était en fait une notion assez étrangère pour Embry. Pas qu’il ne s’amusait jamais (au contraire même!), mais il n’avait pas vraiment décidé ce qu’il ferait dans la vie. Le choix c’était imposé de lui-même. Il était devenu Mangemort et avait pris un boulot au ministère de la magie afin de passer incognito, en quelque sorte. Ça marchait, personne ne l’ennuyait et ne lui posait de question. Après tout, ce n’est pas tous les anciens Serpentards qui étaient rentrés au service du Seigneur des Ténèbres. Alors les autres sorciers traîtres à leur sang et qui se disaient gens du bien pouvaient bien croire qu’Embry, bien que n’étant pas le plus sympathique des hommes, ne soit pas devenu Mangemort. Et puis de toute façon, avouons-le franchement, Embry s’en foutait. Il était fier d’être ce qu’il était et il combattait pour une juste cause. Les autres, ceux qui étaient trop aveugle et qui refusaient de voir la vérité, soit ils devraient ouvrir les yeux, soit ils mourraient. S’ils découvraient la véritable nature d’Embry, ils les empêcheraient de parler… peut importe la manière. Oui, l’ancien Serpentard était un bon mangemort. Il ne pouvait pas se targuer d’être le meilleur élément du Seigneur des Ténèbres, mais il était loin de lui nuir. En tout cas, revenons à son métier. Il était un tireur d’élite de baguettes magiques. Ironique qu’il fasse partie du département de la Justice magique n’est-ce pas? C’était utile quand même et ça lui permettait de garder la main. Sauf que le ministère manquait parfois d’auror et d’effectif en général pour surveiller l’Angleterre. On avait donc envoyé Embry à Pré-au-Lard, tout près de Poudlard. Tien, ça lui rappellerait de bons souvenirs! Par cette fin de journée, il portait l’uniforme règlementaire que le ministère lui prescrivait pour se balader dans les rues de Pré-au-Lard afin de s’assurer de la bonne sécurité de ses citoyens. La situation faisait parfois rire Embry, mais pas en ce moment. Il aurait eu l’air bien étrange de marcher en riant tout seul. Bref, alors qu’il passait devant la confiserie, il vit à l’intérieur une étudiante. Hum… elle n’était pas sencée se trouver au château celle-là? Il décida de vérifier auprès de la principale concernée et l’attendit à l’extérieur, en s’allumant une cigarette.

[Données]

Ce que c’était emmerdant les journées de travail! Embry s’y était fait un peu, mais reste qu’il aurait préféré passer la journée avec son ami de toujours, son frère d’arme, le seul et l’unique Sebastian! Mais bon, on ne fait pas toujours ce que l’on veut dans la vie, et quand on est au service du plus grand mage noir de tout les temps, on choisit encore moins. La liberté était en fait une notion assez étrangère pour Embry. Pas qu’il ne s’amusait jamais (au contraire même!), mais il n’avait pas vraiment décidé ce qu’il ferait dans la vie. Le choix c’était imposé de lui-même. Il était devenu Mangemort et avait pris un boulot au ministère de la magie afin de passer incognito, en quelque sorte. Ça marchait, personne ne l’ennuyait et ne lui posait de question. Après tout, ce n’est pas tous les anciens Serpentards qui étaient rentrés au service du Seigneur des Ténèbres. Alors les autres sorciers traîtres à leur sang et qui se disaient gens du bien pouvaient bien croire qu’Embry, bien que n’étant pas le plus sympathique des hommes, ne soit pas devenu Mangemort. Et puis de toute façon, avouons-le franchement, Embry s’en foutait. Il était fier d’être ce qu’il était et il combattait pour une juste cause. Les autres, ceux qui étaient trop aveugle et qui refusaient de voir la vérité, soit ils devraient ouvrir les yeux, soit ils mourraient. S’ils découvraient la véritable nature d’Embry, ils les empêcheraient de parler… peut importe la manière. Oui, l’ancien Serpentard était un bon mangemort. Il ne pouvait pas se targuer d’être le meilleur élément du Seigneur des Ténèbres, mais il était loin de lui nuir. En tout cas, revenons à son métier. Il était un tireur d’élite de baguettes magiques. Ironique qu’il fasse partie du département de la Justice magique n’est-ce pas? C’était utile quand même et ça lui permettait de garder la main. Sauf que le ministère manquait parfois d’auror et d’effectif en général pour surveiller l’Angleterre. On avait donc envoyé Embry à Pré-au-Lard, tout près de Poudlard. Tien, ça lui rappellerait de bons souvenirs! Par cette fin de journée, il portait l’uniforme règlementaire que le ministère lui prescrivait pour se balader dans les rues de Pré-au-Lard afin de s’assurer de la bonne sécurité de ses citoyens. La situation faisait parfois rire Embry, mais pas en ce moment. Il aurait eu l’air bien étrange de marcher en riant tout seul. Bref, alors qu’il passait devant la confiserie, il vit à l’intérieur une étudiante. Hum… elle n’était pas sencée se trouver au château celle-là? Il décida de vérifier auprès de la principale concernée et l’attendit à l’extérieur, en s’allumant une cigarette.

[Expérience]

Ce que c’était emmerdant les journées de travail! Embry s’y était fait un peu, mais reste qu’il aurait préféré passer la journée avec son ami de toujours, son frère d’arme, le seul et l’unique Sebastian! Mais bon, on ne fait pas toujours ce que l’on veut dans la vie, et quand on est au service du plus grand mage noir de tout les temps, on choisit encore moins. La liberté était en fait une notion assez étrangère pour Embry. Pas qu’il ne s’amusait jamais (au contraire même!), mais il n’avait pas vraiment décidé ce qu’il ferait dans la vie. Le choix c’était imposé de lui-même. Il était devenu Mangemort et avait pris un boulot au ministère de la magie afin de passer incognito, en quelque sorte. Ça marchait, personne ne l’ennuyait et ne lui posait de question. Après tout, ce n’est pas tous les anciens Serpentards qui étaient rentrés au service du Seigneur des Ténèbres. Alors les autres sorciers traîtres à leur sang et qui se disaient gens du bien pouvaient bien croire qu’Embry, bien que n’étant pas le plus sympathique des hommes, ne soit pas devenu Mangemort. Et puis de toute façon, avouons-le franchement, Embry s’en foutait. Il était fier d’être ce qu’il était et il combattait pour une juste cause. Les autres, ceux qui étaient trop aveugle et qui refusaient de voir la vérité, soit ils devraient ouvrir les yeux, soit ils mourraient. S’ils découvraient la véritable nature d’Embry, ils les empêcheraient de parler… peut importe la manière. Oui, l’ancien Serpentard était un bon mangemort. Il ne pouvait pas se targuer d’être le meilleur élément du Seigneur des Ténèbres, mais il était loin de lui nuir. En tout cas, revenons à son métier. Il était un tireur d’élite de baguettes magiques. Ironique qu’il fasse partie du département de la Justice magique n’est-ce pas? C’était utile quand même et ça lui permettait de garder la main. Sauf que le ministère manquait parfois d’auror et d’effectif en général pour surveiller l’Angleterre. On avait donc envoyé Embry à Pré-au-Lard, tout près de Poudlard. Tien, ça lui rappellerait de bons souvenirs! Par cette fin de journée, il portait l’uniforme règlementaire que le ministère lui prescrivait pour se balader dans les rues de Pré-au-Lard afin de s’assurer de la bonne sécurité de ses citoyens. La situation faisait parfois rire Embry, mais pas en ce moment. Il aurait eu l’air bien étrange de marcher en riant tout seul. Bref, alors qu’il passait devant la confiserie, il vit à l’intérieur une étudiante. Hum… elle n’était pas sencée se trouver au château celle-là? Il décida de vérifier auprès de la principale concernée et l’attendit à l’extérieur, en s’allumant une cigarette.

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

Méli était passée au comptoir pour payer lorsqu'elle tomba nez à nez avec un de ces condisciples de Poudlard, Justin, Gryfondor de son état et un des sopranes de leur chorale. Eféminée au possible mais tellement sympa!

- Tu sais que le chocolat c'est mauvais pour la voix ?

Ce devait être la façon des garçons de dire bonjour. La Poufsouffle allait répliquer lorsqu'elle s'apperçut que celui-ci avait un sourire en coin.

- Salut Justin! Ca va ?

Celui-ci passa un bras autour des épaules de Méli et prit un air conspirateur

- Ah ma belle si tu savais! Tu es au courant pour la réunion de crise de ce soir ? Le club de Métalleux de l'école a osé nous lancer un défit. Nous devons apprendre à ces espéces de mal appris au cheveux gras les bonnes maniéres!

La blondinette haussa les sourcils indignée!

- Pfff quel bande d'imbéciles, ils vont encore nous casser les oreilles avec leurs instruments à la noix! Je peux pas venir ce soir et...

Mais le jeune homme ne la laissa pas terminer

-Emméne Vic ma chérie! Cotoyer des beaux spécimens mâles et virils de la chorale lui fera oublier ce satané Kevin! Je crois qu'il est gay d'ailleurs et c'est pour ça que ça ne pourra jamais marcher entre eux!

Méli se retint de s'esclaffer. Justin voyait toujours des gays partout! Elle termina de payer et répondit en riant.

- C'est sur que les chorristes tout de suite ça donne une image virile et mâle. Mais c'est d'accord. A ce soir!

Un petit signe d'au-revoir plus tard; Melissandre était dehors. L'air était imprégné d'humidité, glacée. Le ciel était couvert, et la pluie s'abattait sur le Pré au Lard noyant sous ses flots argentés les sombres bâtiments et surtout les inquiétants personnages qui envahissaient ces lieux autrefois joyeux. Combien d'employés du ministére en unfiorme déployés pour la sécurité ? Un flot! Mais puisqu'il y avait nécessité...Elle rabattit son capuchon sur son visage et décida d'attendre que le plus gros de l'averse passe avant de retourner à l'école. Un homme attendait lui aussi en fumant une cigarette. D'un geste aérien, Méli en chassa la fumée qui passait sous son nez puis fit quelques pas de côté.

[Localisation]

Méli était passée au comptoir pour payer lorsqu'elle tomba nez à nez avec un de ces condisciples de Poudlard, Justin, Gryfondor de son état et un des sopranes de leur chorale. Eféminée au possible mais tellement sympa!

- Tu sais que le chocolat c'est mauvais pour la voix ?

Ce devait être la façon des garçons de dire bonjour. La Poufsouffle allait répliquer lorsqu'elle s'apperçut que celui-ci avait un sourire en coin.

- Salut Justin! Ca va ?

Celui-ci passa un bras autour des épaules de Méli et prit un air conspirateur

- Ah ma belle si tu savais! Tu es au courant pour la réunion de crise de ce soir ? Le club de Métalleux de l'école a osé nous lancer un défit. Nous devons apprendre à ces espéces de mal appris au cheveux gras les bonnes maniéres!

La blondinette haussa les sourcils indignée!

- Pfff quel bande d'imbéciles, ils vont encore nous casser les oreilles avec leurs instruments à la noix! Je peux pas venir ce soir et...

Mais le jeune homme ne la laissa pas terminer

-Emméne Vic ma chérie! Cotoyer des beaux spécimens mâles et virils de la chorale lui fera oublier ce satané Kevin! Je crois qu'il est gay d'ailleurs et c'est pour ça que ça ne pourra jamais marcher entre eux!

Méli se retint de s'esclaffer. Justin voyait toujours des gays partout! Elle termina de payer et répondit en riant.

- C'est sur que les chorristes tout de suite ça donne une image virile et mâle. Mais c'est d'accord. A ce soir!

Un petit signe d'au-revoir plus tard; Melissandre était dehors. L'air était imprégné d'humidité, glacée. Le ciel était couvert, et la pluie s'abattait sur le Pré au Lard noyant sous ses flots argentés les sombres bâtiments et surtout les inquiétants personnages qui envahissaient ces lieux autrefois joyeux. Combien d'employés du ministére en unfiorme déployés pour la sécurité ? Un flot! Mais puisqu'il y avait nécessité...Elle rabattit son capuchon sur son visage et décida d'attendre que le plus gros de l'averse passe avant de retourner à l'école. Un homme attendait lui aussi en fumant une cigarette. D'un geste aérien, Méli en chassa la fumée qui passait sous son nez puis fit quelques pas de côté.

[Nb de messages]

Méli était passée au comptoir pour payer lorsqu'elle tomba nez à nez avec un de ces condisciples de Poudlard, Justin, Gryfondor de son état et un des sopranes de leur chorale. Eféminée au possible mais tellement sympa!

- Tu sais que le chocolat c'est mauvais pour la voix ?

Ce devait être la façon des garçons de dire bonjour. La Poufsouffle allait répliquer lorsqu'elle s'apperçut que celui-ci avait un sourire en coin.

- Salut Justin! Ca va ?

Celui-ci passa un bras autour des épaules de Méli et prit un air conspirateur

- Ah ma belle si tu savais! Tu es au courant pour la réunion de crise de ce soir ? Le club de Métalleux de l'école a osé nous lancer un défit. Nous devons apprendre à ces espéces de mal appris au cheveux gras les bonnes maniéres!

La blondinette haussa les sourcils indignée!

- Pfff quel bande d'imbéciles, ils vont encore nous casser les oreilles avec leurs instruments à la noix! Je peux pas venir ce soir et...

Mais le jeune homme ne la laissa pas terminer

-Emméne Vic ma chérie! Cotoyer des beaux spécimens mâles et virils de la chorale lui fera oublier ce satané Kevin! Je crois qu'il est gay d'ailleurs et c'est pour ça que ça ne pourra jamais marcher entre eux!

Méli se retint de s'esclaffer. Justin voyait toujours des gays partout! Elle termina de payer et répondit en riant.

- C'est sur que les chorristes tout de suite ça donne une image virile et mâle. Mais c'est d'accord. A ce soir!

Un petit signe d'au-revoir plus tard; Melissandre était dehors. L'air était imprégné d'humidité, glacée. Le ciel était couvert, et la pluie s'abattait sur le Pré au Lard noyant sous ses flots argentés les sombres bâtiments et surtout les inquiétants personnages qui envahissaient ces lieux autrefois joyeux. Combien d'employés du ministére en unfiorme déployés pour la sécurité ? Un flot! Mais puisqu'il y avait nécessité...Elle rabattit son capuchon sur son visage et décida d'attendre que le plus gros de l'averse passe avant de retourner à l'école. Un homme attendait lui aussi en fumant une cigarette. D'un geste aérien, Méli en chassa la fumée qui passait sous son nez puis fit quelques pas de côté.

[Bourse]

Méli était passée au comptoir pour payer lorsqu'elle tomba nez à nez avec un de ces condisciples de Poudlard, Justin, Gryfondor de son état et un des sopranes de leur chorale. Eféminée au possible mais tellement sympa!

- Tu sais que le chocolat c'est mauvais pour la voix ?

Ce devait être la façon des garçons de dire bonjour. La Poufsouffle allait répliquer lorsqu'elle s'apperçut que celui-ci avait un sourire en coin.

- Salut Justin! Ca va ?

Celui-ci passa un bras autour des épaules de Méli et prit un air conspirateur

- Ah ma belle si tu savais! Tu es au courant pour la réunion de crise de ce soir ? Le club de Métalleux de l'école a osé nous lancer un défit. Nous devons apprendre à ces espéces de mal appris au cheveux gras les bonnes maniéres!

La blondinette haussa les sourcils indignée!

- Pfff quel bande d'imbéciles, ils vont encore nous casser les oreilles avec leurs instruments à la noix! Je peux pas venir ce soir et...

Mais le jeune homme ne la laissa pas terminer

-Emméne Vic ma chérie! Cotoyer des beaux spécimens mâles et virils de la chorale lui fera oublier ce satané Kevin! Je crois qu'il est gay d'ailleurs et c'est pour ça que ça ne pourra jamais marcher entre eux!

Méli se retint de s'esclaffer. Justin voyait toujours des gays partout! Elle termina de payer et répondit en riant.

- C'est sur que les chorristes tout de suite ça donne une image virile et mâle. Mais c'est d'accord. A ce soir!

Un petit signe d'au-revoir plus tard; Melissandre était dehors. L'air était imprégné d'humidité, glacée. Le ciel était couvert, et la pluie s'abattait sur le Pré au Lard noyant sous ses flots argentés les sombres bâtiments et surtout les inquiétants personnages qui envahissaient ces lieux autrefois joyeux. Combien d'employés du ministére en unfiorme déployés pour la sécurité ? Un flot! Mais puisqu'il y avait nécessité...Elle rabattit son capuchon sur son visage et décida d'attendre que le plus gros de l'averse passe avant de retourner à l'école. Un homme attendait lui aussi en fumant une cigarette. D'un geste aérien, Méli en chassa la fumée qui passait sous son nez puis fit quelques pas de côté.

[Données]

Méli était passée au comptoir pour payer lorsqu'elle tomba nez à nez avec un de ces condisciples de Poudlard, Justin, Gryfondor de son état et un des sopranes de leur chorale. Eféminée au possible mais tellement sympa!

- Tu sais que le chocolat c'est mauvais pour la voix ?

Ce devait être la façon des garçons de dire bonjour. La Poufsouffle allait répliquer lorsqu'elle s'apperçut que celui-ci avait un sourire en coin.

- Salut Justin! Ca va ?

Celui-ci passa un bras autour des épaules de Méli et prit un air conspirateur

- Ah ma belle si tu savais! Tu es au courant pour la réunion de crise de ce soir ? Le club de Métalleux de l'école a osé nous lancer un défit. Nous devons apprendre à ces espéces de mal appris au cheveux gras les bonnes maniéres!

La blondinette haussa les sourcils indignée!

- Pfff quel bande d'imbéciles, ils vont encore nous casser les oreilles avec leurs instruments à la noix! Je peux pas venir ce soir et...

Mais le jeune homme ne la laissa pas terminer

-Emméne Vic ma chérie! Cotoyer des beaux spécimens mâles et virils de la chorale lui fera oublier ce satané Kevin! Je crois qu'il est gay d'ailleurs et c'est pour ça que ça ne pourra jamais marcher entre eux!

Méli se retint de s'esclaffer. Justin voyait toujours des gays partout! Elle termina de payer et répondit en riant.

- C'est sur que les chorristes tout de suite ça donne une image virile et mâle. Mais c'est d'accord. A ce soir!

Un petit signe d'au-revoir plus tard; Melissandre était dehors. L'air était imprégné d'humidité, glacée. Le ciel était couvert, et la pluie s'abattait sur le Pré au Lard noyant sous ses flots argentés les sombres bâtiments et surtout les inquiétants personnages qui envahissaient ces lieux autrefois joyeux. Combien d'employés du ministére en unfiorme déployés pour la sécurité ? Un flot! Mais puisqu'il y avait nécessité...Elle rabattit son capuchon sur son visage et décida d'attendre que le plus gros de l'averse passe avant de retourner à l'école. Un homme attendait lui aussi en fumant une cigarette. D'un geste aérien, Méli en chassa la fumée qui passait sous son nez puis fit quelques pas de côté.

[Expérience]

Méli était passée au comptoir pour payer lorsqu'elle tomba nez à nez avec un de ces condisciples de Poudlard, Justin, Gryfondor de son état et un des sopranes de leur chorale. Eféminée au possible mais tellement sympa!

- Tu sais que le chocolat c'est mauvais pour la voix ?

Ce devait être la façon des garçons de dire bonjour. La Poufsouffle allait répliquer lorsqu'elle s'apperçut que celui-ci avait un sourire en coin.

- Salut Justin! Ca va ?

Celui-ci passa un bras autour des épaules de Méli et prit un air conspirateur

- Ah ma belle si tu savais! Tu es au courant pour la réunion de crise de ce soir ? Le club de Métalleux de l'école a osé nous lancer un défit. Nous devons apprendre à ces espéces de mal appris au cheveux gras les bonnes maniéres!

La blondinette haussa les sourcils indignée!

- Pfff quel bande d'imbéciles, ils vont encore nous casser les oreilles avec leurs instruments à la noix! Je peux pas venir ce soir et...

Mais le jeune homme ne la laissa pas terminer

-Emméne Vic ma chérie! Cotoyer des beaux spécimens mâles et virils de la chorale lui fera oublier ce satané Kevin! Je crois qu'il est gay d'ailleurs et c'est pour ça que ça ne pourra jamais marcher entre eux!

Méli se retint de s'esclaffer. Justin voyait toujours des gays partout! Elle termina de payer et répondit en riant.

- C'est sur que les chorristes tout de suite ça donne une image virile et mâle. Mais c'est d'accord. A ce soir!

Un petit signe d'au-revoir plus tard; Melissandre était dehors. L'air était imprégné d'humidité, glacée. Le ciel était couvert, et la pluie s'abattait sur le Pré au Lard noyant sous ses flots argentés les sombres bâtiments et surtout les inquiétants personnages qui envahissaient ces lieux autrefois joyeux. Combien d'employés du ministére en unfiorme déployés pour la sécurité ? Un flot! Mais puisqu'il y avait nécessité...Elle rabattit son capuchon sur son visage et décida d'attendre que le plus gros de l'averse passe avant de retourner à l'école. Un homme attendait lui aussi en fumant une cigarette. D'un geste aérien, Méli en chassa la fumée qui passait sous son nez puis fit quelques pas de côté.

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

La voilà qui sortait enfin, après avoir rencontré un autre élève. Non mais c’était quoi ça? Ils se reproduisaient ou quoi? Ils ne devaient pas sortir de l’école sous peur de rencontrer un méchant Mangemort. Les règles étaient d’ailleurs plus strictes depuis quelques temps. Au temps où Embry était à l’école, ce n’était pas la même chose, et entre nous, le jeune homme en avait profité dans le temps, en compagnie de Sebastian évidemment! Ils se glissaient parfois en douce du château pour ramener un appétissant butin. Ils avaient du arrêter par contre quand ils s’étaient fait prendre. Mais si on connaît un peu les deux hommes, on peut facilement deviner qu’après la retenue et les points en moins, ils avaient recommencé leurs escapades! Mais ce n’était pas la même situation présentement, Embry était celui qui représentait l’autorité (aussi étrange et ironique que cela puisse paraître!) et il se devait, en gentil représentant du ministère qu’il était, de raccompagner cette pauvre élève qui se trouvait sur le mauvais chemin. Attendez de voir quand Embry racontera ça à Sebastian! Il allait mourir de rire ou passer proche du moins! Revenons à la pauvre brebis égarée maintenant! Embry éteignit sa cigarette et la lançant au sol et l’écrasant du bout du pied avant de souffler la fumée qu’il lui restait dans les poumons. Il s’approcha ensuite de la jeune demoiselle et l’apostropha après s’être éclaircit la gorge :

- Est-ce que vous saviez mademoiselle qu’il est interdit de quitter le château en dehors des sorties accompagnées des professeurs? C’est dangereux de sortir seule, surtout avec les temps qui courent…

Embry se tenait droit en face d’elle. Il pouvait paraître un peu imbu de sa personne, mais l’uniforme n’aidait surement pas son cas. Il est vrai qu’il était sur de lui, mais les uniformes, ça change les gens encore plus en exagérant certains points de leur personnalité.

[Localisation]

La voilà qui sortait enfin, après avoir rencontré un autre élève. Non mais c’était quoi ça? Ils se reproduisaient ou quoi? Ils ne devaient pas sortir de l’école sous peur de rencontrer un méchant Mangemort. Les règles étaient d’ailleurs plus strictes depuis quelques temps. Au temps où Embry était à l’école, ce n’était pas la même chose, et entre nous, le jeune homme en avait profité dans le temps, en compagnie de Sebastian évidemment! Ils se glissaient parfois en douce du château pour ramener un appétissant butin. Ils avaient du arrêter par contre quand ils s’étaient fait prendre. Mais si on connaît un peu les deux hommes, on peut facilement deviner qu’après la retenue et les points en moins, ils avaient recommencé leurs escapades! Mais ce n’était pas la même situation présentement, Embry était celui qui représentait l’autorité (aussi étrange et ironique que cela puisse paraître!) et il se devait, en gentil représentant du ministère qu’il était, de raccompagner cette pauvre élève qui se trouvait sur le mauvais chemin. Attendez de voir quand Embry racontera ça à Sebastian! Il allait mourir de rire ou passer proche du moins! Revenons à la pauvre brebis égarée maintenant! Embry éteignit sa cigarette et la lançant au sol et l’écrasant du bout du pied avant de souffler la fumée qu’il lui restait dans les poumons. Il s’approcha ensuite de la jeune demoiselle et l’apostropha après s’être éclaircit la gorge :

- Est-ce que vous saviez mademoiselle qu’il est interdit de quitter le château en dehors des sorties accompagnées des professeurs? C’est dangereux de sortir seule, surtout avec les temps qui courent…

Embry se tenait droit en face d’elle. Il pouvait paraître un peu imbu de sa personne, mais l’uniforme n’aidait surement pas son cas. Il est vrai qu’il était sur de lui, mais les uniformes, ça change les gens encore plus en exagérant certains points de leur personnalité.

[Nb de messages]

La voilà qui sortait enfin, après avoir rencontré un autre élève. Non mais c’était quoi ça? Ils se reproduisaient ou quoi? Ils ne devaient pas sortir de l’école sous peur de rencontrer un méchant Mangemort. Les règles étaient d’ailleurs plus strictes depuis quelques temps. Au temps où Embry était à l’école, ce n’était pas la même chose, et entre nous, le jeune homme en avait profité dans le temps, en compagnie de Sebastian évidemment! Ils se glissaient parfois en douce du château pour ramener un appétissant butin. Ils avaient du arrêter par contre quand ils s’étaient fait prendre. Mais si on connaît un peu les deux hommes, on peut facilement deviner qu’après la retenue et les points en moins, ils avaient recommencé leurs escapades! Mais ce n’était pas la même situation présentement, Embry était celui qui représentait l’autorité (aussi étrange et ironique que cela puisse paraître!) et il se devait, en gentil représentant du ministère qu’il était, de raccompagner cette pauvre élève qui se trouvait sur le mauvais chemin. Attendez de voir quand Embry racontera ça à Sebastian! Il allait mourir de rire ou passer proche du moins! Revenons à la pauvre brebis égarée maintenant! Embry éteignit sa cigarette et la lançant au sol et l’écrasant du bout du pied avant de souffler la fumée qu’il lui restait dans les poumons. Il s’approcha ensuite de la jeune demoiselle et l’apostropha après s’être éclaircit la gorge :

- Est-ce que vous saviez mademoiselle qu’il est interdit de quitter le château en dehors des sorties accompagnées des professeurs? C’est dangereux de sortir seule, surtout avec les temps qui courent…

Embry se tenait droit en face d’elle. Il pouvait paraître un peu imbu de sa personne, mais l’uniforme n’aidait surement pas son cas. Il est vrai qu’il était sur de lui, mais les uniformes, ça change les gens encore plus en exagérant certains points de leur personnalité.

[Bourse]

La voilà qui sortait enfin, après avoir rencontré un autre élève. Non mais c’était quoi ça? Ils se reproduisaient ou quoi? Ils ne devaient pas sortir de l’école sous peur de rencontrer un méchant Mangemort. Les règles étaient d’ailleurs plus strictes depuis quelques temps. Au temps où Embry était à l’école, ce n’était pas la même chose, et entre nous, le jeune homme en avait profité dans le temps, en compagnie de Sebastian évidemment! Ils se glissaient parfois en douce du château pour ramener un appétissant butin. Ils avaient du arrêter par contre quand ils s’étaient fait prendre. Mais si on connaît un peu les deux hommes, on peut facilement deviner qu’après la retenue et les points en moins, ils avaient recommencé leurs escapades! Mais ce n’était pas la même situation présentement, Embry était celui qui représentait l’autorité (aussi étrange et ironique que cela puisse paraître!) et il se devait, en gentil représentant du ministère qu’il était, de raccompagner cette pauvre élève qui se trouvait sur le mauvais chemin. Attendez de voir quand Embry racontera ça à Sebastian! Il allait mourir de rire ou passer proche du moins! Revenons à la pauvre brebis égarée maintenant! Embry éteignit sa cigarette et la lançant au sol et l’écrasant du bout du pied avant de souffler la fumée qu’il lui restait dans les poumons. Il s’approcha ensuite de la jeune demoiselle et l’apostropha après s’être éclaircit la gorge :

- Est-ce que vous saviez mademoiselle qu’il est interdit de quitter le château en dehors des sorties accompagnées des professeurs? C’est dangereux de sortir seule, surtout avec les temps qui courent…

Embry se tenait droit en face d’elle. Il pouvait paraître un peu imbu de sa personne, mais l’uniforme n’aidait surement pas son cas. Il est vrai qu’il était sur de lui, mais les uniformes, ça change les gens encore plus en exagérant certains points de leur personnalité.

[Données]

La voilà qui sortait enfin, après avoir rencontré un autre élève. Non mais c’était quoi ça? Ils se reproduisaient ou quoi? Ils ne devaient pas sortir de l’école sous peur de rencontrer un méchant Mangemort. Les règles étaient d’ailleurs plus strictes depuis quelques temps. Au temps où Embry était à l’école, ce n’était pas la même chose, et entre nous, le jeune homme en avait profité dans le temps, en compagnie de Sebastian évidemment! Ils se glissaient parfois en douce du château pour ramener un appétissant butin. Ils avaient du arrêter par contre quand ils s’étaient fait prendre. Mais si on connaît un peu les deux hommes, on peut facilement deviner qu’après la retenue et les points en moins, ils avaient recommencé leurs escapades! Mais ce n’était pas la même situation présentement, Embry était celui qui représentait l’autorité (aussi étrange et ironique que cela puisse paraître!) et il se devait, en gentil représentant du ministère qu’il était, de raccompagner cette pauvre élève qui se trouvait sur le mauvais chemin. Attendez de voir quand Embry racontera ça à Sebastian! Il allait mourir de rire ou passer proche du moins! Revenons à la pauvre brebis égarée maintenant! Embry éteignit sa cigarette et la lançant au sol et l’écrasant du bout du pied avant de souffler la fumée qu’il lui restait dans les poumons. Il s’approcha ensuite de la jeune demoiselle et l’apostropha après s’être éclaircit la gorge :

- Est-ce que vous saviez mademoiselle qu’il est interdit de quitter le château en dehors des sorties accompagnées des professeurs? C’est dangereux de sortir seule, surtout avec les temps qui courent…

Embry se tenait droit en face d’elle. Il pouvait paraître un peu imbu de sa personne, mais l’uniforme n’aidait surement pas son cas. Il est vrai qu’il était sur de lui, mais les uniformes, ça change les gens encore plus en exagérant certains points de leur personnalité.

[Expérience]

La voilà qui sortait enfin, après avoir rencontré un autre élève. Non mais c’était quoi ça? Ils se reproduisaient ou quoi? Ils ne devaient pas sortir de l’école sous peur de rencontrer un méchant Mangemort. Les règles étaient d’ailleurs plus strictes depuis quelques temps. Au temps où Embry était à l’école, ce n’était pas la même chose, et entre nous, le jeune homme en avait profité dans le temps, en compagnie de Sebastian évidemment! Ils se glissaient parfois en douce du château pour ramener un appétissant butin. Ils avaient du arrêter par contre quand ils s’étaient fait prendre. Mais si on connaît un peu les deux hommes, on peut facilement deviner qu’après la retenue et les points en moins, ils avaient recommencé leurs escapades! Mais ce n’était pas la même situation présentement, Embry était celui qui représentait l’autorité (aussi étrange et ironique que cela puisse paraître!) et il se devait, en gentil représentant du ministère qu’il était, de raccompagner cette pauvre élève qui se trouvait sur le mauvais chemin. Attendez de voir quand Embry racontera ça à Sebastian! Il allait mourir de rire ou passer proche du moins! Revenons à la pauvre brebis égarée maintenant! Embry éteignit sa cigarette et la lançant au sol et l’écrasant du bout du pied avant de souffler la fumée qu’il lui restait dans les poumons. Il s’approcha ensuite de la jeune demoiselle et l’apostropha après s’être éclaircit la gorge :

- Est-ce que vous saviez mademoiselle qu’il est interdit de quitter le château en dehors des sorties accompagnées des professeurs? C’est dangereux de sortir seule, surtout avec les temps qui courent…

Embry se tenait droit en face d’elle. Il pouvait paraître un peu imbu de sa personne, mais l’uniforme n’aidait surement pas son cas. Il est vrai qu’il était sur de lui, mais les uniformes, ça change les gens encore plus en exagérant certains points de leur personnalité.

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

Donc Meli attendait le plus tranquillement possible. C'est à dire qu'elle savait que normalement elle n'aurait pas du se trouver au Pré au Lard pas plus que les autres éléves de Poudlard. Mais bon...Toujours est-il qu'elle espérait rentrer au plus tôt pour que son absence passe innaperçu. Il y avait bien cet homme en uniforme et à la cigarette qui allait certainement lui faire la morale et faire en sorte que sa sortie soit déc ouverte. Mais tant pis. Non pas que la Poufsouffle refusait de se plier aux régles, c'était d'ailleurs la premiére fois qu'elle sortait sans permission. Mais à presque quinze ans on avait besoin d'un minimum de liberté.

- Est-ce que vous saviez mademoiselle qu’il est interdit de quitter le château en dehors des sorties accompagnées des professeurs? C’est dangereux de sortir seule, surtout avec les temps qui courent…

La question avait été posé sans agressivité et de maniére courtoise. Chose plus qu'appréciable. La baguette n'était pas loin mais objectivement la jeune Irlandaise n'avait guére de chance face à un sold...un homme du Ministére. Par habitude lorsqu'elle voyait un nouveau visage Meli s'attarda un bref instant sur l'homme, ses yeux verts. Puis sur son badge d'uniforme .

- Bonjour M. Axley

Et maintenant ? Comment lui expliquer qu'elle était sortie pour une bonne raison ? Impossible qu'un adulte puisse somprendre. Nier ? Ah quoi bon ? Il aurait fallut être particuliérement stupide pour ne pas être au courant des directives.

- Je sais Monsieur et je suis désolée mais c'était un cas exceptionnel d'urgence. Et puis...il faut bien que nous vivions. Je ne suis pas sûre que passer son temps à se terrer comme des gnomes soit le meilleur des comportements à adopter.

Voilà c'était dit. Et elle allait certainement avoir droit à une morale à deux mornilles suivie d'une punition. Quoique l'homme en question ne semblait pas être spécialement à cheval sur la réglementation ou ce qu'il fallait suivre au mouvement prés et de maniére rigide. Preuve en était d'une barbe de quelques jours. Quelqu'un de stricte n'aurait jamais toléré cela. Elle haussa les épaules.

- Il parait aussi qu'il est interdit de parler aux inconnus. Aprés d'un point de vue pratique c'est une autre histoire.

[Localisation]

Donc Meli attendait le plus tranquillement possible. C'est à dire qu'elle savait que normalement elle n'aurait pas du se trouver au Pré au Lard pas plus que les autres éléves de Poudlard. Mais bon...Toujours est-il qu'elle espérait rentrer au plus tôt pour que son absence passe innaperçu. Il y avait bien cet homme en uniforme et à la cigarette qui allait certainement lui faire la morale et faire en sorte que sa sortie soit déc ouverte. Mais tant pis. Non pas que la Poufsouffle refusait de se plier aux régles, c'était d'ailleurs la premiére fois qu'elle sortait sans permission. Mais à presque quinze ans on avait besoin d'un minimum de liberté.

- Est-ce que vous saviez mademoiselle qu’il est interdit de quitter le château en dehors des sorties accompagnées des professeurs? C’est dangereux de sortir seule, surtout avec les temps qui courent…

La question avait été posé sans agressivité et de maniére courtoise. Chose plus qu'appréciable. La baguette n'était pas loin mais objectivement la jeune Irlandaise n'avait guére de chance face à un sold...un homme du Ministére. Par habitude lorsqu'elle voyait un nouveau visage Meli s'attarda un bref instant sur l'homme, ses yeux verts. Puis sur son badge d'uniforme .

- Bonjour M. Axley

Et maintenant ? Comment lui expliquer qu'elle était sortie pour une bonne raison ? Impossible qu'un adulte puisse somprendre. Nier ? Ah quoi bon ? Il aurait fallut être particuliérement stupide pour ne pas être au courant des directives.

- Je sais Monsieur et je suis désolée mais c'était un cas exceptionnel d'urgence. Et puis...il faut bien que nous vivions. Je ne suis pas sûre que passer son temps à se terrer comme des gnomes soit le meilleur des comportements à adopter.

Voilà c'était dit. Et elle allait certainement avoir droit à une morale à deux mornilles suivie d'une punition. Quoique l'homme en question ne semblait pas être spécialement à cheval sur la réglementation ou ce qu'il fallait suivre au mouvement prés et de maniére rigide. Preuve en était d'une barbe de quelques jours. Quelqu'un de stricte n'aurait jamais toléré cela. Elle haussa les épaules.

- Il parait aussi qu'il est interdit de parler aux inconnus. Aprés d'un point de vue pratique c'est une autre histoire.

[Nb de messages]

Donc Meli attendait le plus tranquillement possible. C'est à dire qu'elle savait que normalement elle n'aurait pas du se trouver au Pré au Lard pas plus que les autres éléves de Poudlard. Mais bon...Toujours est-il qu'elle espérait rentrer au plus tôt pour que son absence passe innaperçu. Il y avait bien cet homme en uniforme et à la cigarette qui allait certainement lui faire la morale et faire en sorte que sa sortie soit déc ouverte. Mais tant pis. Non pas que la Poufsouffle refusait de se plier aux régles, c'était d'ailleurs la premiére fois qu'elle sortait sans permission. Mais à presque quinze ans on avait besoin d'un minimum de liberté.

- Est-ce que vous saviez mademoiselle qu’il est interdit de quitter le château en dehors des sorties accompagnées des professeurs? C’est dangereux de sortir seule, surtout avec les temps qui courent…

La question avait été posé sans agressivité et de maniére courtoise. Chose plus qu'appréciable. La baguette n'était pas loin mais objectivement la jeune Irlandaise n'avait guére de chance face à un sold...un homme du Ministére. Par habitude lorsqu'elle voyait un nouveau visage Meli s'attarda un bref instant sur l'homme, ses yeux verts. Puis sur son badge d'uniforme .

- Bonjour M. Axley

Et maintenant ? Comment lui expliquer qu'elle était sortie pour une bonne raison ? Impossible qu'un adulte puisse somprendre. Nier ? Ah quoi bon ? Il aurait fallut être particuliérement stupide pour ne pas être au courant des directives.

- Je sais Monsieur et je suis désolée mais c'était un cas exceptionnel d'urgence. Et puis...il faut bien que nous vivions. Je ne suis pas sûre que passer son temps à se terrer comme des gnomes soit le meilleur des comportements à adopter.

Voilà c'était dit. Et elle allait certainement avoir droit à une morale à deux mornilles suivie d'une punition. Quoique l'homme en question ne semblait pas être spécialement à cheval sur la réglementation ou ce qu'il fallait suivre au mouvement prés et de maniére rigide. Preuve en était d'une barbe de quelques jours. Quelqu'un de stricte n'aurait jamais toléré cela. Elle haussa les épaules.

- Il parait aussi qu'il est interdit de parler aux inconnus. Aprés d'un point de vue pratique c'est une autre histoire.

[Bourse]

Donc Meli attendait le plus tranquillement possible. C'est à dire qu'elle savait que normalement elle n'aurait pas du se trouver au Pré au Lard pas plus que les autres éléves de Poudlard. Mais bon...Toujours est-il qu'elle espérait rentrer au plus tôt pour que son absence passe innaperçu. Il y avait bien cet homme en uniforme et à la cigarette qui allait certainement lui faire la morale et faire en sorte que sa sortie soit déc ouverte. Mais tant pis. Non pas que la Poufsouffle refusait de se plier aux régles, c'était d'ailleurs la premiére fois qu'elle sortait sans permission. Mais à presque quinze ans on avait besoin d'un minimum de liberté.

- Est-ce que vous saviez mademoiselle qu’il est interdit de quitter le château en dehors des sorties accompagnées des professeurs? C’est dangereux de sortir seule, surtout avec les temps qui courent…

La question avait été posé sans agressivité et de maniére courtoise. Chose plus qu'appréciable. La baguette n'était pas loin mais objectivement la jeune Irlandaise n'avait guére de chance face à un sold...un homme du Ministére. Par habitude lorsqu'elle voyait un nouveau visage Meli s'attarda un bref instant sur l'homme, ses yeux verts. Puis sur son badge d'uniforme .

- Bonjour M. Axley

Et maintenant ? Comment lui expliquer qu'elle était sortie pour une bonne raison ? Impossible qu'un adulte puisse somprendre. Nier ? Ah quoi bon ? Il aurait fallut être particuliérement stupide pour ne pas être au courant des directives.

- Je sais Monsieur et je suis désolée mais c'était un cas exceptionnel d'urgence. Et puis...il faut bien que nous vivions. Je ne suis pas sûre que passer son temps à se terrer comme des gnomes soit le meilleur des comportements à adopter.

Voilà c'était dit. Et elle allait certainement avoir droit à une morale à deux mornilles suivie d'une punition. Quoique l'homme en question ne semblait pas être spécialement à cheval sur la réglementation ou ce qu'il fallait suivre au mouvement prés et de maniére rigide. Preuve en était d'une barbe de quelques jours. Quelqu'un de stricte n'aurait jamais toléré cela. Elle haussa les épaules.

- Il parait aussi qu'il est interdit de parler aux inconnus. Aprés d'un point de vue pratique c'est une autre histoire.

[Données]

Donc Meli attendait le plus tranquillement possible. C'est à dire qu'elle savait que normalement elle n'aurait pas du se trouver au Pré au Lard pas plus que les autres éléves de Poudlard. Mais bon...Toujours est-il qu'elle espérait rentrer au plus tôt pour que son absence passe innaperçu. Il y avait bien cet homme en uniforme et à la cigarette qui allait certainement lui faire la morale et faire en sorte que sa sortie soit déc ouverte. Mais tant pis. Non pas que la Poufsouffle refusait de se plier aux régles, c'était d'ailleurs la premiére fois qu'elle sortait sans permission. Mais à presque quinze ans on avait besoin d'un minimum de liberté.

- Est-ce que vous saviez mademoiselle qu’il est interdit de quitter le château en dehors des sorties accompagnées des professeurs? C’est dangereux de sortir seule, surtout avec les temps qui courent…

La question avait été posé sans agressivité et de maniére courtoise. Chose plus qu'appréciable. La baguette n'était pas loin mais objectivement la jeune Irlandaise n'avait guére de chance face à un sold...un homme du Ministére. Par habitude lorsqu'elle voyait un nouveau visage Meli s'attarda un bref instant sur l'homme, ses yeux verts. Puis sur son badge d'uniforme .

- Bonjour M. Axley

Et maintenant ? Comment lui expliquer qu'elle était sortie pour une bonne raison ? Impossible qu'un adulte puisse somprendre. Nier ? Ah quoi bon ? Il aurait fallut être particuliérement stupide pour ne pas être au courant des directives.

- Je sais Monsieur et je suis désolée mais c'était un cas exceptionnel d'urgence. Et puis...il faut bien que nous vivions. Je ne suis pas sûre que passer son temps à se terrer comme des gnomes soit le meilleur des comportements à adopter.

Voilà c'était dit. Et elle allait certainement avoir droit à une morale à deux mornilles suivie d'une punition. Quoique l'homme en question ne semblait pas être spécialement à cheval sur la réglementation ou ce qu'il fallait suivre au mouvement prés et de maniére rigide. Preuve en était d'une barbe de quelques jours. Quelqu'un de stricte n'aurait jamais toléré cela. Elle haussa les épaules.

- Il parait aussi qu'il est interdit de parler aux inconnus. Aprés d'un point de vue pratique c'est une autre histoire.

[Expérience]

Donc Meli attendait le plus tranquillement possible. C'est à dire qu'elle savait que normalement elle n'aurait pas du se trouver au Pré au Lard pas plus que les autres éléves de Poudlard. Mais bon...Toujours est-il qu'elle espérait rentrer au plus tôt pour que son absence passe innaperçu. Il y avait bien cet homme en uniforme et à la cigarette qui allait certainement lui faire la morale et faire en sorte que sa sortie soit déc ouverte. Mais tant pis. Non pas que la Poufsouffle refusait de se plier aux régles, c'était d'ailleurs la premiére fois qu'elle sortait sans permission. Mais à presque quinze ans on avait besoin d'un minimum de liberté.

- Est-ce que vous saviez mademoiselle qu’il est interdit de quitter le château en dehors des sorties accompagnées des professeurs? C’est dangereux de sortir seule, surtout avec les temps qui courent…

La question avait été posé sans agressivité et de maniére courtoise. Chose plus qu'appréciable. La baguette n'était pas loin mais objectivement la jeune Irlandaise n'avait guére de chance face à un sold...un homme du Ministére. Par habitude lorsqu'elle voyait un nouveau visage Meli s'attarda un bref instant sur l'homme, ses yeux verts. Puis sur son badge d'uniforme .

- Bonjour M. Axley

Et maintenant ? Comment lui expliquer qu'elle était sortie pour une bonne raison ? Impossible qu'un adulte puisse somprendre. Nier ? Ah quoi bon ? Il aurait fallut être particuliérement stupide pour ne pas être au courant des directives.

- Je sais Monsieur et je suis désolée mais c'était un cas exceptionnel d'urgence. Et puis...il faut bien que nous vivions. Je ne suis pas sûre que passer son temps à se terrer comme des gnomes soit le meilleur des comportements à adopter.

Voilà c'était dit. Et elle allait certainement avoir droit à une morale à deux mornilles suivie d'une punition. Quoique l'homme en question ne semblait pas être spécialement à cheval sur la réglementation ou ce qu'il fallait suivre au mouvement prés et de maniére rigide. Preuve en était d'une barbe de quelques jours. Quelqu'un de stricte n'aurait jamais toléré cela. Elle haussa les épaules.

- Il parait aussi qu'il est interdit de parler aux inconnus. Aprés d'un point de vue pratique c'est une autre histoire.

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

- Yaxley que je me nomme miss…?

Elle avait oublié une simple lettre dans son nom, mais cela pouvait être du au fait qu’elle n’avait pas bien vu le badge. Embry se fit un plaisir de la reprendre puisqu’il était fier du nom qu’il portait, celui d’une grande famille de sang-pur. Cela lui permit aussi de l’interroger sur son nom à elle. Il était curieux de savoir puisque cela pourrait lui donner une indication sur le genre de famille d’où elle venait. Il attendit donc sa réponse et une fois qu’elle lui eut répondu, elle fit ses excuses par rapport au fait qu’elle se trouvait en dehors des limites du château. Elle disait qu’il fallait qu’ils vivent un peu aussi… Embry eut un petit sourire en l’entendant parler. Il est vrai que, dans ses années de scolarité, il n’avait pas été à cheval sur les règlements. Mais les temps avaient changés n’est-ce pas?

- Oui, mais pour vivre, il ne faudrait pas que fassiez de mauvaises rencontres en dehors des murs protecteurs du château…

Il y avait presque un ton de menace, mais Embry se contenait. Après tout, il portait présentement l’uniforme du ministère et non pas celui de Mangemort. Il devait faire attention à l’attitude qu’il adoptait, ne pas se faire prendre. Ce n’est pas qu’il craignait que les gens ne découvrent qui il était en réalité, mais plutôt la réaction du Seigneur des Ténèbres. Il ne souhaitait pas le décevoir.

- Je ne suis pas un inconnu, je suis Yaxley… Embry Yaxley. Je fais partie de la brigade d’élite de tireur de baguette magique du Ministère de la Magie. Honnêtement miss, je crois que je vais vous raccompagner jusqu’au château. Les Mangemorts se font plus actifs et ils craignent de moins en moins de sortir de leur tanière. Une élève comme vous serait une cible idéale.

[Localisation]

- Yaxley que je me nomme miss…?

Elle avait oublié une simple lettre dans son nom, mais cela pouvait être du au fait qu’elle n’avait pas bien vu le badge. Embry se fit un plaisir de la reprendre puisqu’il était fier du nom qu’il portait, celui d’une grande famille de sang-pur. Cela lui permit aussi de l’interroger sur son nom à elle. Il était curieux de savoir puisque cela pourrait lui donner une indication sur le genre de famille d’où elle venait. Il attendit donc sa réponse et une fois qu’elle lui eut répondu, elle fit ses excuses par rapport au fait qu’elle se trouvait en dehors des limites du château. Elle disait qu’il fallait qu’ils vivent un peu aussi… Embry eut un petit sourire en l’entendant parler. Il est vrai que, dans ses années de scolarité, il n’avait pas été à cheval sur les règlements. Mais les temps avaient changés n’est-ce pas?

- Oui, mais pour vivre, il ne faudrait pas que fassiez de mauvaises rencontres en dehors des murs protecteurs du château…

Il y avait presque un ton de menace, mais Embry se contenait. Après tout, il portait présentement l’uniforme du ministère et non pas celui de Mangemort. Il devait faire attention à l’attitude qu’il adoptait, ne pas se faire prendre. Ce n’est pas qu’il craignait que les gens ne découvrent qui il était en réalité, mais plutôt la réaction du Seigneur des Ténèbres. Il ne souhaitait pas le décevoir.

- Je ne suis pas un inconnu, je suis Yaxley… Embry Yaxley. Je fais partie de la brigade d’élite de tireur de baguette magique du Ministère de la Magie. Honnêtement miss, je crois que je vais vous raccompagner jusqu’au château. Les Mangemorts se font plus actifs et ils craignent de moins en moins de sortir de leur tanière. Une élève comme vous serait une cible idéale.

[Nb de messages]

- Yaxley que je me nomme miss…?

Elle avait oublié une simple lettre dans son nom, mais cela pouvait être du au fait qu’elle n’avait pas bien vu le badge. Embry se fit un plaisir de la reprendre puisqu’il était fier du nom qu’il portait, celui d’une grande famille de sang-pur. Cela lui permit aussi de l’interroger sur son nom à elle. Il était curieux de savoir puisque cela pourrait lui donner une indication sur le genre de famille d’où elle venait. Il attendit donc sa réponse et une fois qu’elle lui eut répondu, elle fit ses excuses par rapport au fait qu’elle se trouvait en dehors des limites du château. Elle disait qu’il fallait qu’ils vivent un peu aussi… Embry eut un petit sourire en l’entendant parler. Il est vrai que, dans ses années de scolarité, il n’avait pas été à cheval sur les règlements. Mais les temps avaient changés n’est-ce pas?

- Oui, mais pour vivre, il ne faudrait pas que fassiez de mauvaises rencontres en dehors des murs protecteurs du château…

Il y avait presque un ton de menace, mais Embry se contenait. Après tout, il portait présentement l’uniforme du ministère et non pas celui de Mangemort. Il devait faire attention à l’attitude qu’il adoptait, ne pas se faire prendre. Ce n’est pas qu’il craignait que les gens ne découvrent qui il était en réalité, mais plutôt la réaction du Seigneur des Ténèbres. Il ne souhaitait pas le décevoir.

- Je ne suis pas un inconnu, je suis Yaxley… Embry Yaxley. Je fais partie de la brigade d’élite de tireur de baguette magique du Ministère de la Magie. Honnêtement miss, je crois que je vais vous raccompagner jusqu’au château. Les Mangemorts se font plus actifs et ils craignent de moins en moins de sortir de leur tanière. Une élève comme vous serait une cible idéale.

[Bourse]

- Yaxley que je me nomme miss…?

Elle avait oublié une simple lettre dans son nom, mais cela pouvait être du au fait qu’elle n’avait pas bien vu le badge. Embry se fit un plaisir de la reprendre puisqu’il était fier du nom qu’il portait, celui d’une grande famille de sang-pur. Cela lui permit aussi de l’interroger sur son nom à elle. Il était curieux de savoir puisque cela pourrait lui donner une indication sur le genre de famille d’où elle venait. Il attendit donc sa réponse et une fois qu’elle lui eut répondu, elle fit ses excuses par rapport au fait qu’elle se trouvait en dehors des limites du château. Elle disait qu’il fallait qu’ils vivent un peu aussi… Embry eut un petit sourire en l’entendant parler. Il est vrai que, dans ses années de scolarité, il n’avait pas été à cheval sur les règlements. Mais les temps avaient changés n’est-ce pas?

- Oui, mais pour vivre, il ne faudrait pas que fassiez de mauvaises rencontres en dehors des murs protecteurs du château…

Il y avait presque un ton de menace, mais Embry se contenait. Après tout, il portait présentement l’uniforme du ministère et non pas celui de Mangemort. Il devait faire attention à l’attitude qu’il adoptait, ne pas se faire prendre. Ce n’est pas qu’il craignait que les gens ne découvrent qui il était en réalité, mais plutôt la réaction du Seigneur des Ténèbres. Il ne souhaitait pas le décevoir.

- Je ne suis pas un inconnu, je suis Yaxley… Embry Yaxley. Je fais partie de la brigade d’élite de tireur de baguette magique du Ministère de la Magie. Honnêtement miss, je crois que je vais vous raccompagner jusqu’au château. Les Mangemorts se font plus actifs et ils craignent de moins en moins de sortir de leur tanière. Une élève comme vous serait une cible idéale.

[Données]

- Yaxley que je me nomme miss…?

Elle avait oublié une simple lettre dans son nom, mais cela pouvait être du au fait qu’elle n’avait pas bien vu le badge. Embry se fit un plaisir de la reprendre puisqu’il était fier du nom qu’il portait, celui d’une grande famille de sang-pur. Cela lui permit aussi de l’interroger sur son nom à elle. Il était curieux de savoir puisque cela pourrait lui donner une indication sur le genre de famille d’où elle venait. Il attendit donc sa réponse et une fois qu’elle lui eut répondu, elle fit ses excuses par rapport au fait qu’elle se trouvait en dehors des limites du château. Elle disait qu’il fallait qu’ils vivent un peu aussi… Embry eut un petit sourire en l’entendant parler. Il est vrai que, dans ses années de scolarité, il n’avait pas été à cheval sur les règlements. Mais les temps avaient changés n’est-ce pas?

- Oui, mais pour vivre, il ne faudrait pas que fassiez de mauvaises rencontres en dehors des murs protecteurs du château…

Il y avait presque un ton de menace, mais Embry se contenait. Après tout, il portait présentement l’uniforme du ministère et non pas celui de Mangemort. Il devait faire attention à l’attitude qu’il adoptait, ne pas se faire prendre. Ce n’est pas qu’il craignait que les gens ne découvrent qui il était en réalité, mais plutôt la réaction du Seigneur des Ténèbres. Il ne souhaitait pas le décevoir.

- Je ne suis pas un inconnu, je suis Yaxley… Embry Yaxley. Je fais partie de la brigade d’élite de tireur de baguette magique du Ministère de la Magie. Honnêtement miss, je crois que je vais vous raccompagner jusqu’au château. Les Mangemorts se font plus actifs et ils craignent de moins en moins de sortir de leur tanière. Une élève comme vous serait une cible idéale.

[Expérience]

- Yaxley que je me nomme miss…?

Elle avait oublié une simple lettre dans son nom, mais cela pouvait être du au fait qu’elle n’avait pas bien vu le badge. Embry se fit un plaisir de la reprendre puisqu’il était fier du nom qu’il portait, celui d’une grande famille de sang-pur. Cela lui permit aussi de l’interroger sur son nom à elle. Il était curieux de savoir puisque cela pourrait lui donner une indication sur le genre de famille d’où elle venait. Il attendit donc sa réponse et une fois qu’elle lui eut répondu, elle fit ses excuses par rapport au fait qu’elle se trouvait en dehors des limites du château. Elle disait qu’il fallait qu’ils vivent un peu aussi… Embry eut un petit sourire en l’entendant parler. Il est vrai que, dans ses années de scolarité, il n’avait pas été à cheval sur les règlements. Mais les temps avaient changés n’est-ce pas?

- Oui, mais pour vivre, il ne faudrait pas que fassiez de mauvaises rencontres en dehors des murs protecteurs du château…

Il y avait presque un ton de menace, mais Embry se contenait. Après tout, il portait présentement l’uniforme du ministère et non pas celui de Mangemort. Il devait faire attention à l’attitude qu’il adoptait, ne pas se faire prendre. Ce n’est pas qu’il craignait que les gens ne découvrent qui il était en réalité, mais plutôt la réaction du Seigneur des Ténèbres. Il ne souhaitait pas le décevoir.

- Je ne suis pas un inconnu, je suis Yaxley… Embry Yaxley. Je fais partie de la brigade d’élite de tireur de baguette magique du Ministère de la Magie. Honnêtement miss, je crois que je vais vous raccompagner jusqu’au château. Les Mangemorts se font plus actifs et ils craignent de moins en moins de sortir de leur tanière. Une élève comme vous serait une cible idéale.

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

- Yaxley que je me nomme miss…?

Oups...mal regardé le badge du Monsieur. Melissandre détestait écorcher les noms. Elle se présenta à son tour sachant trés bien ce que cela pouvait impliquer.

- Mc Arena, Melissandre Mc Arena.

Il ne sembla pas tiquer particuliérement à l'évocation de son nom et lui expliqua qu'en dehors des murs "protecteurs"du chateau elle prenait le risque de faire de mauvaises rencontres. Elle nota le ton légérement menaçant. Voulait-il lui faire peur ou avait-il de mauvaises intentions ? Meli penchait plutôt pour la premiére solution mais sans certitude aucune. En tous cas cette propagande qui voulait faire croire que Poudlard était hors de danger l'aggaçait au plus haut point. Si ça avait été le cas, le ministére l'aurait investi depuis bien longtemps! Meli avait toujours détesté le mensonge et les illusions dont on les entourait! Elle se surprit à répondre sur un ton vif typique de l'ado se révoltant

- Si le monde est divisé les éléves et professeurs le sont également. C'est comme dehors à la différence que nous sommes enfermés dans un chateau...

Elle marqua une pause. Son but n'était pas d'entamer une joute verbale inutile et déplacée.

- Malgré tout je sais que vous avez raison...

La blondinette nota qu'Embry Yaxley devait être un nom connu...sauf pour elle. La honte! Elle fut surprise qu'il évoque les Mangemorts aussi facilement. Il n'y avait pas qu'eux qu'il fallait craindre hélas. Il fallait qu'il la racompagne ??? Pour la discrétion de sa sortie c'était fichu du coup! Toutefois elle savait parfois être raisonnable.

- Même en étant de pure sang moldu je doute être une proie spécialement intéressante...A peine un passe-temps pour un Mangemort en manque d'actions...mais c'est comme vous voudrez Monsieur. Et je vous remercie même de l'attention que vous me portez.

La premiére phrase était un test pour son interlocuteur ni plus ni moins. Meli prenait de gros risques mais elle aimait bien connaitre les intentions des gens avec lesquels elle devait faire un bout de chemin. Embry Yaxley venait sans le savoir de pronnoncer des mots magiques"brigade d’élite de tireur de baguette magique ". Une lueur trés intéressée passa dans le regard de la demoiselle qui, sans le moindre complexe, passa à un autre sujet.

- Pouvez-vous me raconter comment cela se passe une formation dans votre brigade ???? Sur quels critéres êtes vous recrutés ? Ce doit être passionnant vraiment...et que combattez vous ?

[Localisation]

- Yaxley que je me nomme miss…?

Oups...mal regardé le badge du Monsieur. Melissandre détestait écorcher les noms. Elle se présenta à son tour sachant trés bien ce que cela pouvait impliquer.

- Mc Arena, Melissandre Mc Arena.

Il ne sembla pas tiquer particuliérement à l'évocation de son nom et lui expliqua qu'en dehors des murs "protecteurs"du chateau elle prenait le risque de faire de mauvaises rencontres. Elle nota le ton légérement menaçant. Voulait-il lui faire peur ou avait-il de mauvaises intentions ? Meli penchait plutôt pour la premiére solution mais sans certitude aucune. En tous cas cette propagande qui voulait faire croire que Poudlard était hors de danger l'aggaçait au plus haut point. Si ça avait été le cas, le ministére l'aurait investi depuis bien longtemps! Meli avait toujours détesté le mensonge et les illusions dont on les entourait! Elle se surprit à répondre sur un ton vif typique de l'ado se révoltant

- Si le monde est divisé les éléves et professeurs le sont également. C'est comme dehors à la différence que nous sommes enfermés dans un chateau...

Elle marqua une pause. Son but n'était pas d'entamer une joute verbale inutile et déplacée.

- Malgré tout je sais que vous avez raison...

La blondinette nota qu'Embry Yaxley devait être un nom connu...sauf pour elle. La honte! Elle fut surprise qu'il évoque les Mangemorts aussi facilement. Il n'y avait pas qu'eux qu'il fallait craindre hélas. Il fallait qu'il la racompagne ??? Pour la discrétion de sa sortie c'était fichu du coup! Toutefois elle savait parfois être raisonnable.

- Même en étant de pure sang moldu je doute être une proie spécialement intéressante...A peine un passe-temps pour un Mangemort en manque d'actions...mais c'est comme vous voudrez Monsieur. Et je vous remercie même de l'attention que vous me portez.

La premiére phrase était un test pour son interlocuteur ni plus ni moins. Meli prenait de gros risques mais elle aimait bien connaitre les intentions des gens avec lesquels elle devait faire un bout de chemin. Embry Yaxley venait sans le savoir de pronnoncer des mots magiques"brigade d’élite de tireur de baguette magique ". Une lueur trés intéressée passa dans le regard de la demoiselle qui, sans le moindre complexe, passa à un autre sujet.

- Pouvez-vous me raconter comment cela se passe une formation dans votre brigade ???? Sur quels critéres êtes vous recrutés ? Ce doit être passionnant vraiment...et que combattez vous ?

[Nb de messages]

- Yaxley que je me nomme miss…?

Oups...mal regardé le badge du Monsieur. Melissandre détestait écorcher les noms. Elle se présenta à son tour sachant trés bien ce que cela pouvait impliquer.

- Mc Arena, Melissandre Mc Arena.

Il ne sembla pas tiquer particuliérement à l'évocation de son nom et lui expliqua qu'en dehors des murs "protecteurs"du chateau elle prenait le risque de faire de mauvaises rencontres. Elle nota le ton légérement menaçant. Voulait-il lui faire peur ou avait-il de mauvaises intentions ? Meli penchait plutôt pour la premiére solution mais sans certitude aucune. En tous cas cette propagande qui voulait faire croire que Poudlard était hors de danger l'aggaçait au plus haut point. Si ça avait été le cas, le ministére l'aurait investi depuis bien longtemps! Meli avait toujours détesté le mensonge et les illusions dont on les entourait! Elle se surprit à répondre sur un ton vif typique de l'ado se révoltant

- Si le monde est divisé les éléves et professeurs le sont également. C'est comme dehors à la différence que nous sommes enfermés dans un chateau...

Elle marqua une pause. Son but n'était pas d'entamer une joute verbale inutile et déplacée.

- Malgré tout je sais que vous avez raison...

La blondinette nota qu'Embry Yaxley devait être un nom connu...sauf pour elle. La honte! Elle fut surprise qu'il évoque les Mangemorts aussi facilement. Il n'y avait pas qu'eux qu'il fallait craindre hélas. Il fallait qu'il la racompagne ??? Pour la discrétion de sa sortie c'était fichu du coup! Toutefois elle savait parfois être raisonnable.

- Même en étant de pure sang moldu je doute être une proie spécialement intéressante...A peine un passe-temps pour un Mangemort en manque d'actions...mais c'est comme vous voudrez Monsieur. Et je vous remercie même de l'attention que vous me portez.

La premiére phrase était un test pour son interlocuteur ni plus ni moins. Meli prenait de gros risques mais elle aimait bien connaitre les intentions des gens avec lesquels elle devait faire un bout de chemin. Embry Yaxley venait sans le savoir de pronnoncer des mots magiques"brigade d’élite de tireur de baguette magique ". Une lueur trés intéressée passa dans le regard de la demoiselle qui, sans le moindre complexe, passa à un autre sujet.

- Pouvez-vous me raconter comment cela se passe une formation dans votre brigade ???? Sur quels critéres êtes vous recrutés ? Ce doit être passionnant vraiment...et que combattez vous ?

[Bourse]

- Yaxley que je me nomme miss…?

Oups...mal regardé le badge du Monsieur. Melissandre détestait écorcher les noms. Elle se présenta à son tour sachant trés bien ce que cela pouvait impliquer.

- Mc Arena, Melissandre Mc Arena.

Il ne sembla pas tiquer particuliérement à l'évocation de son nom et lui expliqua qu'en dehors des murs "protecteurs"du chateau elle prenait le risque de faire de mauvaises rencontres. Elle nota le ton légérement menaçant. Voulait-il lui faire peur ou avait-il de mauvaises intentions ? Meli penchait plutôt pour la premiére solution mais sans certitude aucune. En tous cas cette propagande qui voulait faire croire que Poudlard était hors de danger l'aggaçait au plus haut point. Si ça avait été le cas, le ministére l'aurait investi depuis bien longtemps! Meli avait toujours détesté le mensonge et les illusions dont on les entourait! Elle se surprit à répondre sur un ton vif typique de l'ado se révoltant

- Si le monde est divisé les éléves et professeurs le sont également. C'est comme dehors à la différence que nous sommes enfermés dans un chateau...

Elle marqua une pause. Son but n'était pas d'entamer une joute verbale inutile et déplacée.

- Malgré tout je sais que vous avez raison...

La blondinette nota qu'Embry Yaxley devait être un nom connu...sauf pour elle. La honte! Elle fut surprise qu'il évoque les Mangemorts aussi facilement. Il n'y avait pas qu'eux qu'il fallait craindre hélas. Il fallait qu'il la racompagne ??? Pour la discrétion de sa sortie c'était fichu du coup! Toutefois elle savait parfois être raisonnable.

- Même en étant de pure sang moldu je doute être une proie spécialement intéressante...A peine un passe-temps pour un Mangemort en manque d'actions...mais c'est comme vous voudrez Monsieur. Et je vous remercie même de l'attention que vous me portez.

La premiére phrase était un test pour son interlocuteur ni plus ni moins. Meli prenait de gros risques mais elle aimait bien connaitre les intentions des gens avec lesquels elle devait faire un bout de chemin. Embry Yaxley venait sans le savoir de pronnoncer des mots magiques"brigade d’élite de tireur de baguette magique ". Une lueur trés intéressée passa dans le regard de la demoiselle qui, sans le moindre complexe, passa à un autre sujet.

- Pouvez-vous me raconter comment cela se passe une formation dans votre brigade ???? Sur quels critéres êtes vous recrutés ? Ce doit être passionnant vraiment...et que combattez vous ?

[Données]

- Yaxley que je me nomme miss…?

Oups...mal regardé le badge du Monsieur. Melissandre détestait écorcher les noms. Elle se présenta à son tour sachant trés bien ce que cela pouvait impliquer.

- Mc Arena, Melissandre Mc Arena.

Il ne sembla pas tiquer particuliérement à l'évocation de son nom et lui expliqua qu'en dehors des murs "protecteurs"du chateau elle prenait le risque de faire de mauvaises rencontres. Elle nota le ton légérement menaçant. Voulait-il lui faire peur ou avait-il de mauvaises intentions ? Meli penchait plutôt pour la premiére solution mais sans certitude aucune. En tous cas cette propagande qui voulait faire croire que Poudlard était hors de danger l'aggaçait au plus haut point. Si ça avait été le cas, le ministére l'aurait investi depuis bien longtemps! Meli avait toujours détesté le mensonge et les illusions dont on les entourait! Elle se surprit à répondre sur un ton vif typique de l'ado se révoltant

- Si le monde est divisé les éléves et professeurs le sont également. C'est comme dehors à la différence que nous sommes enfermés dans un chateau...

Elle marqua une pause. Son but n'était pas d'entamer une joute verbale inutile et déplacée.

- Malgré tout je sais que vous avez raison...

La blondinette nota qu'Embry Yaxley devait être un nom connu...sauf pour elle. La honte! Elle fut surprise qu'il évoque les Mangemorts aussi facilement. Il n'y avait pas qu'eux qu'il fallait craindre hélas. Il fallait qu'il la racompagne ??? Pour la discrétion de sa sortie c'était fichu du coup! Toutefois elle savait parfois être raisonnable.

- Même en étant de pure sang moldu je doute être une proie spécialement intéressante...A peine un passe-temps pour un Mangemort en manque d'actions...mais c'est comme vous voudrez Monsieur. Et je vous remercie même de l'attention que vous me portez.

La premiére phrase était un test pour son interlocuteur ni plus ni moins. Meli prenait de gros risques mais elle aimait bien connaitre les intentions des gens avec lesquels elle devait faire un bout de chemin. Embry Yaxley venait sans le savoir de pronnoncer des mots magiques"brigade d’élite de tireur de baguette magique ". Une lueur trés intéressée passa dans le regard de la demoiselle qui, sans le moindre complexe, passa à un autre sujet.

- Pouvez-vous me raconter comment cela se passe une formation dans votre brigade ???? Sur quels critéres êtes vous recrutés ? Ce doit être passionnant vraiment...et que combattez vous ?

[Expérience]

- Yaxley que je me nomme miss…?

Oups...mal regardé le badge du Monsieur. Melissandre détestait écorcher les noms. Elle se présenta à son tour sachant trés bien ce que cela pouvait impliquer.

- Mc Arena, Melissandre Mc Arena.

Il ne sembla pas tiquer particuliérement à l'évocation de son nom et lui expliqua qu'en dehors des murs "protecteurs"du chateau elle prenait le risque de faire de mauvaises rencontres. Elle nota le ton légérement menaçant. Voulait-il lui faire peur ou avait-il de mauvaises intentions ? Meli penchait plutôt pour la premiére solution mais sans certitude aucune. En tous cas cette propagande qui voulait faire croire que Poudlard était hors de danger l'aggaçait au plus haut point. Si ça avait été le cas, le ministére l'aurait investi depuis bien longtemps! Meli avait toujours détesté le mensonge et les illusions dont on les entourait! Elle se surprit à répondre sur un ton vif typique de l'ado se révoltant

- Si le monde est divisé les éléves et professeurs le sont également. C'est comme dehors à la différence que nous sommes enfermés dans un chateau...

Elle marqua une pause. Son but n'était pas d'entamer une joute verbale inutile et déplacée.

- Malgré tout je sais que vous avez raison...

La blondinette nota qu'Embry Yaxley devait être un nom connu...sauf pour elle. La honte! Elle fut surprise qu'il évoque les Mangemorts aussi facilement. Il n'y avait pas qu'eux qu'il fallait craindre hélas. Il fallait qu'il la racompagne ??? Pour la discrétion de sa sortie c'était fichu du coup! Toutefois elle savait parfois être raisonnable.

- Même en étant de pure sang moldu je doute être une proie spécialement intéressante...A peine un passe-temps pour un Mangemort en manque d'actions...mais c'est comme vous voudrez Monsieur. Et je vous remercie même de l'attention que vous me portez.

La premiére phrase était un test pour son interlocuteur ni plus ni moins. Meli prenait de gros risques mais elle aimait bien connaitre les intentions des gens avec lesquels elle devait faire un bout de chemin. Embry Yaxley venait sans le savoir de pronnoncer des mots magiques"brigade d’élite de tireur de baguette magique ". Une lueur trés intéressée passa dans le regard de la demoiselle qui, sans le moindre complexe, passa à un autre sujet.

- Pouvez-vous me raconter comment cela se passe une formation dans votre brigade ???? Sur quels critéres êtes vous recrutés ? Ce doit être passionnant vraiment...et que combattez vous ?

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

La petite avait du cran, il faut l’avouer. Elle ne semblait pas du tout gênée par l’uniforme qu’Embry portait alors que sur tant d’adulte il provoquait non pas de la crainte, mais plutôt du respect. Mais la petite n’avait pas peur de dire son opinion, donc elle le partageait avec Embry. Elle semblait croire qu’en dehors comme en dedans de Poudlard, c’était la même chose. Grave erreur de sa part. À l’extérieur des murs, il y avait des meurtres, des disparitions, de la violence, la peur… Alors que dans les murs, même si certains élèves (fils de Mangemort ou pas) appuyaient le Seigneur des Ténèbres, ceux-ci ne tuaient pas à Poudlard. Le risque en était trop grand pour ce que ça pourrait amener. Enfin, malgré ce qu’elle venait de dire, la jeune femme lui donna raison. Heureusement car Embry aurait pu émettre encore quelques arguments en sa faveur… arguments peut-être moins verbaux que les précédents et plus visuels! Alors heureusement pour les deux qu’elle lui donnait raison. Et là, elle dit ce qu’il voulait savoir et qui fit parcourir un court frisson le long de la colonne d’Embry… «pure sang moldue»… Elle était donc une de ses engeances! Il se retint d’avoir une grimace de dégoût et il ne laissa rien transparaître. Il en avait l’habitude. Après tout, au ministère il croisait sans cesse des traîtres à leur sang et des Sangs-de-Bourbe. Elle en était donc une… Embry laissa à son esprit le soin de concocter un plan pour se débarrasser d’elle. Elle faisait erreur sur erreur finalement en cette journée. Elle n’aurait jamais du quitter Poudlard. Embry devrait être très prudent par contre, ne pas se faire prendre. Il souhaitait de tout cœur l’éliminer, mais quelque chose dans le genre de sa disparition en plein village sorcier ne ferait qu’attirer les soupçons sur lui. L’utiliser peut-être alors… Alors que son esprit fonctionnait à toute allure, elle l’interrogea sur son métier. Quelle drôle de petite de changer ainsi de sujet de conversation, sautant du coq à l’âne!

- Je t’expliquerai en marchant. Viens.

Embry n’aurait pas beaucoup de temps pour décider que faire et surtout pour le faire en toute discrétion. Le temps passerait vite en marchant. Ils se mirent donc en marche, Embry prennant volontairement un pas lent tout en lui parlant :

- Il faut des réflexes pour ne pas se faire avoir à la première occasion. Avoir sa baguette à portée de mains aussi, toujours. Sans elle, nous ne sommes rien. Pour ce qui est de nos ennemis, et bien je dirais simplement que ce sont les mages noirs, les sorciers psychopathes… presque tout ce qui a une baguette et qui représente une menace en fin de compte.

[Localisation]

La petite avait du cran, il faut l’avouer. Elle ne semblait pas du tout gênée par l’uniforme qu’Embry portait alors que sur tant d’adulte il provoquait non pas de la crainte, mais plutôt du respect. Mais la petite n’avait pas peur de dire son opinion, donc elle le partageait avec Embry. Elle semblait croire qu’en dehors comme en dedans de Poudlard, c’était la même chose. Grave erreur de sa part. À l’extérieur des murs, il y avait des meurtres, des disparitions, de la violence, la peur… Alors que dans les murs, même si certains élèves (fils de Mangemort ou pas) appuyaient le Seigneur des Ténèbres, ceux-ci ne tuaient pas à Poudlard. Le risque en était trop grand pour ce que ça pourrait amener. Enfin, malgré ce qu’elle venait de dire, la jeune femme lui donna raison. Heureusement car Embry aurait pu émettre encore quelques arguments en sa faveur… arguments peut-être moins verbaux que les précédents et plus visuels! Alors heureusement pour les deux qu’elle lui donnait raison. Et là, elle dit ce qu’il voulait savoir et qui fit parcourir un court frisson le long de la colonne d’Embry… «pure sang moldue»… Elle était donc une de ses engeances! Il se retint d’avoir une grimace de dégoût et il ne laissa rien transparaître. Il en avait l’habitude. Après tout, au ministère il croisait sans cesse des traîtres à leur sang et des Sangs-de-Bourbe. Elle en était donc une… Embry laissa à son esprit le soin de concocter un plan pour se débarrasser d’elle. Elle faisait erreur sur erreur finalement en cette journée. Elle n’aurait jamais du quitter Poudlard. Embry devrait être très prudent par contre, ne pas se faire prendre. Il souhaitait de tout cœur l’éliminer, mais quelque chose dans le genre de sa disparition en plein village sorcier ne ferait qu’attirer les soupçons sur lui. L’utiliser peut-être alors… Alors que son esprit fonctionnait à toute allure, elle l’interrogea sur son métier. Quelle drôle de petite de changer ainsi de sujet de conversation, sautant du coq à l’âne!

- Je t’expliquerai en marchant. Viens.

Embry n’aurait pas beaucoup de temps pour décider que faire et surtout pour le faire en toute discrétion. Le temps passerait vite en marchant. Ils se mirent donc en marche, Embry prennant volontairement un pas lent tout en lui parlant :

- Il faut des réflexes pour ne pas se faire avoir à la première occasion. Avoir sa baguette à portée de mains aussi, toujours. Sans elle, nous ne sommes rien. Pour ce qui est de nos ennemis, et bien je dirais simplement que ce sont les mages noirs, les sorciers psychopathes… presque tout ce qui a une baguette et qui représente une menace en fin de compte.

[Nb de messages]

La petite avait du cran, il faut l’avouer. Elle ne semblait pas du tout gênée par l’uniforme qu’Embry portait alors que sur tant d’adulte il provoquait non pas de la crainte, mais plutôt du respect. Mais la petite n’avait pas peur de dire son opinion, donc elle le partageait avec Embry. Elle semblait croire qu’en dehors comme en dedans de Poudlard, c’était la même chose. Grave erreur de sa part. À l’extérieur des murs, il y avait des meurtres, des disparitions, de la violence, la peur… Alors que dans les murs, même si certains élèves (fils de Mangemort ou pas) appuyaient le Seigneur des Ténèbres, ceux-ci ne tuaient pas à Poudlard. Le risque en était trop grand pour ce que ça pourrait amener. Enfin, malgré ce qu’elle venait de dire, la jeune femme lui donna raison. Heureusement car Embry aurait pu émettre encore quelques arguments en sa faveur… arguments peut-être moins verbaux que les précédents et plus visuels! Alors heureusement pour les deux qu’elle lui donnait raison. Et là, elle dit ce qu’il voulait savoir et qui fit parcourir un court frisson le long de la colonne d’Embry… «pure sang moldue»… Elle était donc une de ses engeances! Il se retint d’avoir une grimace de dégoût et il ne laissa rien transparaître. Il en avait l’habitude. Après tout, au ministère il croisait sans cesse des traîtres à leur sang et des Sangs-de-Bourbe. Elle en était donc une… Embry laissa à son esprit le soin de concocter un plan pour se débarrasser d’elle. Elle faisait erreur sur erreur finalement en cette journée. Elle n’aurait jamais du quitter Poudlard. Embry devrait être très prudent par contre, ne pas se faire prendre. Il souhaitait de tout cœur l’éliminer, mais quelque chose dans le genre de sa disparition en plein village sorcier ne ferait qu’attirer les soupçons sur lui. L’utiliser peut-être alors… Alors que son esprit fonctionnait à toute allure, elle l’interrogea sur son métier. Quelle drôle de petite de changer ainsi de sujet de conversation, sautant du coq à l’âne!

- Je t’expliquerai en marchant. Viens.

Embry n’aurait pas beaucoup de temps pour décider que faire et surtout pour le faire en toute discrétion. Le temps passerait vite en marchant. Ils se mirent donc en marche, Embry prennant volontairement un pas lent tout en lui parlant :

- Il faut des réflexes pour ne pas se faire avoir à la première occasion. Avoir sa baguette à portée de mains aussi, toujours. Sans elle, nous ne sommes rien. Pour ce qui est de nos ennemis, et bien je dirais simplement que ce sont les mages noirs, les sorciers psychopathes… presque tout ce qui a une baguette et qui représente une menace en fin de compte.

[Bourse]

La petite avait du cran, il faut l’avouer. Elle ne semblait pas du tout gênée par l’uniforme qu’Embry portait alors que sur tant d’adulte il provoquait non pas de la crainte, mais plutôt du respect. Mais la petite n’avait pas peur de dire son opinion, donc elle le partageait avec Embry. Elle semblait croire qu’en dehors comme en dedans de Poudlard, c’était la même chose. Grave erreur de sa part. À l’extérieur des murs, il y avait des meurtres, des disparitions, de la violence, la peur… Alors que dans les murs, même si certains élèves (fils de Mangemort ou pas) appuyaient le Seigneur des Ténèbres, ceux-ci ne tuaient pas à Poudlard. Le risque en était trop grand pour ce que ça pourrait amener. Enfin, malgré ce qu’elle venait de dire, la jeune femme lui donna raison. Heureusement car Embry aurait pu émettre encore quelques arguments en sa faveur… arguments peut-être moins verbaux que les précédents et plus visuels! Alors heureusement pour les deux qu’elle lui donnait raison. Et là, elle dit ce qu’il voulait savoir et qui fit parcourir un court frisson le long de la colonne d’Embry… «pure sang moldue»… Elle était donc une de ses engeances! Il se retint d’avoir une grimace de dégoût et il ne laissa rien transparaître. Il en avait l’habitude. Après tout, au ministère il croisait sans cesse des traîtres à leur sang et des Sangs-de-Bourbe. Elle en était donc une… Embry laissa à son esprit le soin de concocter un plan pour se débarrasser d’elle. Elle faisait erreur sur erreur finalement en cette journée. Elle n’aurait jamais du quitter Poudlard. Embry devrait être très prudent par contre, ne pas se faire prendre. Il souhaitait de tout cœur l’éliminer, mais quelque chose dans le genre de sa disparition en plein village sorcier ne ferait qu’attirer les soupçons sur lui. L’utiliser peut-être alors… Alors que son esprit fonctionnait à toute allure, elle l’interrogea sur son métier. Quelle drôle de petite de changer ainsi de sujet de conversation, sautant du coq à l’âne!

- Je t’expliquerai en marchant. Viens.

Embry n’aurait pas beaucoup de temps pour décider que faire et surtout pour le faire en toute discrétion. Le temps passerait vite en marchant. Ils se mirent donc en marche, Embry prennant volontairement un pas lent tout en lui parlant :

- Il faut des réflexes pour ne pas se faire avoir à la première occasion. Avoir sa baguette à portée de mains aussi, toujours. Sans elle, nous ne sommes rien. Pour ce qui est de nos ennemis, et bien je dirais simplement que ce sont les mages noirs, les sorciers psychopathes… presque tout ce qui a une baguette et qui représente une menace en fin de compte.

[Données]

La petite avait du cran, il faut l’avouer. Elle ne semblait pas du tout gênée par l’uniforme qu’Embry portait alors que sur tant d’adulte il provoquait non pas de la crainte, mais plutôt du respect. Mais la petite n’avait pas peur de dire son opinion, donc elle le partageait avec Embry. Elle semblait croire qu’en dehors comme en dedans de Poudlard, c’était la même chose. Grave erreur de sa part. À l’extérieur des murs, il y avait des meurtres, des disparitions, de la violence, la peur… Alors que dans les murs, même si certains élèves (fils de Mangemort ou pas) appuyaient le Seigneur des Ténèbres, ceux-ci ne tuaient pas à Poudlard. Le risque en était trop grand pour ce que ça pourrait amener. Enfin, malgré ce qu’elle venait de dire, la jeune femme lui donna raison. Heureusement car Embry aurait pu émettre encore quelques arguments en sa faveur… arguments peut-être moins verbaux que les précédents et plus visuels! Alors heureusement pour les deux qu’elle lui donnait raison. Et là, elle dit ce qu’il voulait savoir et qui fit parcourir un court frisson le long de la colonne d’Embry… «pure sang moldue»… Elle était donc une de ses engeances! Il se retint d’avoir une grimace de dégoût et il ne laissa rien transparaître. Il en avait l’habitude. Après tout, au ministère il croisait sans cesse des traîtres à leur sang et des Sangs-de-Bourbe. Elle en était donc une… Embry laissa à son esprit le soin de concocter un plan pour se débarrasser d’elle. Elle faisait erreur sur erreur finalement en cette journée. Elle n’aurait jamais du quitter Poudlard. Embry devrait être très prudent par contre, ne pas se faire prendre. Il souhaitait de tout cœur l’éliminer, mais quelque chose dans le genre de sa disparition en plein village sorcier ne ferait qu’attirer les soupçons sur lui. L’utiliser peut-être alors… Alors que son esprit fonctionnait à toute allure, elle l’interrogea sur son métier. Quelle drôle de petite de changer ainsi de sujet de conversation, sautant du coq à l’âne!

- Je t’expliquerai en marchant. Viens.

Embry n’aurait pas beaucoup de temps pour décider que faire et surtout pour le faire en toute discrétion. Le temps passerait vite en marchant. Ils se mirent donc en marche, Embry prennant volontairement un pas lent tout en lui parlant :

- Il faut des réflexes pour ne pas se faire avoir à la première occasion. Avoir sa baguette à portée de mains aussi, toujours. Sans elle, nous ne sommes rien. Pour ce qui est de nos ennemis, et bien je dirais simplement que ce sont les mages noirs, les sorciers psychopathes… presque tout ce qui a une baguette et qui représente une menace en fin de compte.

[Expérience]

La petite avait du cran, il faut l’avouer. Elle ne semblait pas du tout gênée par l’uniforme qu’Embry portait alors que sur tant d’adulte il provoquait non pas de la crainte, mais plutôt du respect. Mais la petite n’avait pas peur de dire son opinion, donc elle le partageait avec Embry. Elle semblait croire qu’en dehors comme en dedans de Poudlard, c’était la même chose. Grave erreur de sa part. À l’extérieur des murs, il y avait des meurtres, des disparitions, de la violence, la peur… Alors que dans les murs, même si certains élèves (fils de Mangemort ou pas) appuyaient le Seigneur des Ténèbres, ceux-ci ne tuaient pas à Poudlard. Le risque en était trop grand pour ce que ça pourrait amener. Enfin, malgré ce qu’elle venait de dire, la jeune femme lui donna raison. Heureusement car Embry aurait pu émettre encore quelques arguments en sa faveur… arguments peut-être moins verbaux que les précédents et plus visuels! Alors heureusement pour les deux qu’elle lui donnait raison. Et là, elle dit ce qu’il voulait savoir et qui fit parcourir un court frisson le long de la colonne d’Embry… «pure sang moldue»… Elle était donc une de ses engeances! Il se retint d’avoir une grimace de dégoût et il ne laissa rien transparaître. Il en avait l’habitude. Après tout, au ministère il croisait sans cesse des traîtres à leur sang et des Sangs-de-Bourbe. Elle en était donc une… Embry laissa à son esprit le soin de concocter un plan pour se débarrasser d’elle. Elle faisait erreur sur erreur finalement en cette journée. Elle n’aurait jamais du quitter Poudlard. Embry devrait être très prudent par contre, ne pas se faire prendre. Il souhaitait de tout cœur l’éliminer, mais quelque chose dans le genre de sa disparition en plein village sorcier ne ferait qu’attirer les soupçons sur lui. L’utiliser peut-être alors… Alors que son esprit fonctionnait à toute allure, elle l’interrogea sur son métier. Quelle drôle de petite de changer ainsi de sujet de conversation, sautant du coq à l’âne!

- Je t’expliquerai en marchant. Viens.

Embry n’aurait pas beaucoup de temps pour décider que faire et surtout pour le faire en toute discrétion. Le temps passerait vite en marchant. Ils se mirent donc en marche, Embry prennant volontairement un pas lent tout en lui parlant :

- Il faut des réflexes pour ne pas se faire avoir à la première occasion. Avoir sa baguette à portée de mains aussi, toujours. Sans elle, nous ne sommes rien. Pour ce qui est de nos ennemis, et bien je dirais simplement que ce sont les mages noirs, les sorciers psychopathes… presque tout ce qui a une baguette et qui représente une menace en fin de compte.

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

dialoguer, échanger permettait de mieux cerner une personnalité et d'avancer. Si Melissandre parlait beaucoup elle ne perdait absolument rien des réactions de son interlocuteur, tous les sens de la jeune Irlandaise étaient en éveil. Le changement de ton soudain de l'officier la mit en halerte. Il ne la vousvoyait plus mais la tutoyait. La blondinette plissa légèrement les paupières, ressentant les vibrations diverses du lieu qui s'entrechoquaient, se mélangeaient, se perdaient.

- Je t’expliquerai en marchant. Viens.

Et elle obtempéra sans savoir vraiment pourquoi. Sa curiosité la perdrait cdertainement mais elle devait savoir. Le pas était lent, il parlait, elle pensait. Pour l'instant et comme ils étaient au milieu d'un village peuplé de gens qui connaissaient la Poufsouffle, rien ne pouvait vraiment arriver. Et si c'était le cas un masque tomberait qui inexorablement en entrainerait d'autres avec lui. Elle plongea son regard dans celui d'Embry pour étudier le mouvement de ses yeux . Si la réponse était donnée en regardant en haut à gauche, c'était qu'il sollicitait la zone imaginative de son cerveau. Par opposition, s'il regardait en bas à droite, il faisait appel à sa mémoire.

- Il faut des réflexes pour ne pas se faire avoir à la première occasion. Avoir sa baguette à portée de mains aussi, toujours. Sans elle, nous ne sommes rien. Pour ce qui est de nos ennemis, et bien je dirais simplement que ce sont les mages noirs, les sorciers psychopathes… presque tout ce qui a une baguette et qui représente une menace en fin de compte.

La jeune fille stoppa le pas brusquement provoquant délibérement un léger carambolage et par conséquent un contact physique.

-Tout ce qui a une baguette alors... Avez-vous souvent à faire à des Mangemorts M. Yaxley ?

[Localisation]

dialoguer, échanger permettait de mieux cerner une personnalité et d'avancer. Si Melissandre parlait beaucoup elle ne perdait absolument rien des réactions de son interlocuteur, tous les sens de la jeune Irlandaise étaient en éveil. Le changement de ton soudain de l'officier la mit en halerte. Il ne la vousvoyait plus mais la tutoyait. La blondinette plissa légèrement les paupières, ressentant les vibrations diverses du lieu qui s'entrechoquaient, se mélangeaient, se perdaient.

- Je t’expliquerai en marchant. Viens.

Et elle obtempéra sans savoir vraiment pourquoi. Sa curiosité la perdrait cdertainement mais elle devait savoir. Le pas était lent, il parlait, elle pensait. Pour l'instant et comme ils étaient au milieu d'un village peuplé de gens qui connaissaient la Poufsouffle, rien ne pouvait vraiment arriver. Et si c'était le cas un masque tomberait qui inexorablement en entrainerait d'autres avec lui. Elle plongea son regard dans celui d'Embry pour étudier le mouvement de ses yeux . Si la réponse était donnée en regardant en haut à gauche, c'était qu'il sollicitait la zone imaginative de son cerveau. Par opposition, s'il regardait en bas à droite, il faisait appel à sa mémoire.

- Il faut des réflexes pour ne pas se faire avoir à la première occasion. Avoir sa baguette à portée de mains aussi, toujours. Sans elle, nous ne sommes rien. Pour ce qui est de nos ennemis, et bien je dirais simplement que ce sont les mages noirs, les sorciers psychopathes… presque tout ce qui a une baguette et qui représente une menace en fin de compte.

La jeune fille stoppa le pas brusquement provoquant délibérement un léger carambolage et par conséquent un contact physique.

-Tout ce qui a une baguette alors... Avez-vous souvent à faire à des Mangemorts M. Yaxley ?

[Nb de messages]

dialoguer, échanger permettait de mieux cerner une personnalité et d'avancer. Si Melissandre parlait beaucoup elle ne perdait absolument rien des réactions de son interlocuteur, tous les sens de la jeune Irlandaise étaient en éveil. Le changement de ton soudain de l'officier la mit en halerte. Il ne la vousvoyait plus mais la tutoyait. La blondinette plissa légèrement les paupières, ressentant les vibrations diverses du lieu qui s'entrechoquaient, se mélangeaient, se perdaient.

- Je t’expliquerai en marchant. Viens.

Et elle obtempéra sans savoir vraiment pourquoi. Sa curiosité la perdrait cdertainement mais elle devait savoir. Le pas était lent, il parlait, elle pensait. Pour l'instant et comme ils étaient au milieu d'un village peuplé de gens qui connaissaient la Poufsouffle, rien ne pouvait vraiment arriver. Et si c'était le cas un masque tomberait qui inexorablement en entrainerait d'autres avec lui. Elle plongea son regard dans celui d'Embry pour étudier le mouvement de ses yeux . Si la réponse était donnée en regardant en haut à gauche, c'était qu'il sollicitait la zone imaginative de son cerveau. Par opposition, s'il regardait en bas à droite, il faisait appel à sa mémoire.

- Il faut des réflexes pour ne pas se faire avoir à la première occasion. Avoir sa baguette à portée de mains aussi, toujours. Sans elle, nous ne sommes rien. Pour ce qui est de nos ennemis, et bien je dirais simplement que ce sont les mages noirs, les sorciers psychopathes… presque tout ce qui a une baguette et qui représente une menace en fin de compte.

La jeune fille stoppa le pas brusquement provoquant délibérement un léger carambolage et par conséquent un contact physique.

-Tout ce qui a une baguette alors... Avez-vous souvent à faire à des Mangemorts M. Yaxley ?

[Bourse]

dialoguer, échanger permettait de mieux cerner une personnalité et d'avancer. Si Melissandre parlait beaucoup elle ne perdait absolument rien des réactions de son interlocuteur, tous les sens de la jeune Irlandaise étaient en éveil. Le changement de ton soudain de l'officier la mit en halerte. Il ne la vousvoyait plus mais la tutoyait. La blondinette plissa légèrement les paupières, ressentant les vibrations diverses du lieu qui s'entrechoquaient, se mélangeaient, se perdaient.

- Je t’expliquerai en marchant. Viens.

Et elle obtempéra sans savoir vraiment pourquoi. Sa curiosité la perdrait cdertainement mais elle devait savoir. Le pas était lent, il parlait, elle pensait. Pour l'instant et comme ils étaient au milieu d'un village peuplé de gens qui connaissaient la Poufsouffle, rien ne pouvait vraiment arriver. Et si c'était le cas un masque tomberait qui inexorablement en entrainerait d'autres avec lui. Elle plongea son regard dans celui d'Embry pour étudier le mouvement de ses yeux . Si la réponse était donnée en regardant en haut à gauche, c'était qu'il sollicitait la zone imaginative de son cerveau. Par opposition, s'il regardait en bas à droite, il faisait appel à sa mémoire.

- Il faut des réflexes pour ne pas se faire avoir à la première occasion. Avoir sa baguette à portée de mains aussi, toujours. Sans elle, nous ne sommes rien. Pour ce qui est de nos ennemis, et bien je dirais simplement que ce sont les mages noirs, les sorciers psychopathes… presque tout ce qui a une baguette et qui représente une menace en fin de compte.

La jeune fille stoppa le pas brusquement provoquant délibérement un léger carambolage et par conséquent un contact physique.

-Tout ce qui a une baguette alors... Avez-vous souvent à faire à des Mangemorts M. Yaxley ?

[Données]

dialoguer, échanger permettait de mieux cerner une personnalité et d'avancer. Si Melissandre parlait beaucoup elle ne perdait absolument rien des réactions de son interlocuteur, tous les sens de la jeune Irlandaise étaient en éveil. Le changement de ton soudain de l'officier la mit en halerte. Il ne la vousvoyait plus mais la tutoyait. La blondinette plissa légèrement les paupières, ressentant les vibrations diverses du lieu qui s'entrechoquaient, se mélangeaient, se perdaient.

- Je t’expliquerai en marchant. Viens.

Et elle obtempéra sans savoir vraiment pourquoi. Sa curiosité la perdrait cdertainement mais elle devait savoir. Le pas était lent, il parlait, elle pensait. Pour l'instant et comme ils étaient au milieu d'un village peuplé de gens qui connaissaient la Poufsouffle, rien ne pouvait vraiment arriver. Et si c'était le cas un masque tomberait qui inexorablement en entrainerait d'autres avec lui. Elle plongea son regard dans celui d'Embry pour étudier le mouvement de ses yeux . Si la réponse était donnée en regardant en haut à gauche, c'était qu'il sollicitait la zone imaginative de son cerveau. Par opposition, s'il regardait en bas à droite, il faisait appel à sa mémoire.

- Il faut des réflexes pour ne pas se faire avoir à la première occasion. Avoir sa baguette à portée de mains aussi, toujours. Sans elle, nous ne sommes rien. Pour ce qui est de nos ennemis, et bien je dirais simplement que ce sont les mages noirs, les sorciers psychopathes… presque tout ce qui a une baguette et qui représente une menace en fin de compte.

La jeune fille stoppa le pas brusquement provoquant délibérement un léger carambolage et par conséquent un contact physique.

-Tout ce qui a une baguette alors... Avez-vous souvent à faire à des Mangemorts M. Yaxley ?

[Expérience]

dialoguer, échanger permettait de mieux cerner une personnalité et d'avancer. Si Melissandre parlait beaucoup elle ne perdait absolument rien des réactions de son interlocuteur, tous les sens de la jeune Irlandaise étaient en éveil. Le changement de ton soudain de l'officier la mit en halerte. Il ne la vousvoyait plus mais la tutoyait. La blondinette plissa légèrement les paupières, ressentant les vibrations diverses du lieu qui s'entrechoquaient, se mélangeaient, se perdaient.

- Je t’expliquerai en marchant. Viens.

Et elle obtempéra sans savoir vraiment pourquoi. Sa curiosité la perdrait cdertainement mais elle devait savoir. Le pas était lent, il parlait, elle pensait. Pour l'instant et comme ils étaient au milieu d'un village peuplé de gens qui connaissaient la Poufsouffle, rien ne pouvait vraiment arriver. Et si c'était le cas un masque tomberait qui inexorablement en entrainerait d'autres avec lui. Elle plongea son regard dans celui d'Embry pour étudier le mouvement de ses yeux . Si la réponse était donnée en regardant en haut à gauche, c'était qu'il sollicitait la zone imaginative de son cerveau. Par opposition, s'il regardait en bas à droite, il faisait appel à sa mémoire.

- Il faut des réflexes pour ne pas se faire avoir à la première occasion. Avoir sa baguette à portée de mains aussi, toujours. Sans elle, nous ne sommes rien. Pour ce qui est de nos ennemis, et bien je dirais simplement que ce sont les mages noirs, les sorciers psychopathes… presque tout ce qui a une baguette et qui représente une menace en fin de compte.

La jeune fille stoppa le pas brusquement provoquant délibérement un léger carambolage et par conséquent un contact physique.

-Tout ce qui a une baguette alors... Avez-vous souvent à faire à des Mangemorts M. Yaxley ?

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

Embry marchait d’un pas lent et contrôlé. Il se trouvait dans une situation délicate, mais c’est une situation qu’il devait vivre constamment après tout. Dans la vie de tous les jours, au ministère et en «bonne société», il devait porter un masque et faire croire à tous qu’il était quelqu’un d’autre. Disons qu’il n’avait (heureusement), jamais eu de problème avec cela. Et à la longue, il s’approchait pas à pas de la maîtrise de cet art. Il faisait attention à ses gestes et ses paroles, pour ne pas se trahir. Sans crier gare, alors qu’il venait tout juste de terminer ses explications, la jeune fille s’arrêta d’un coup et Embry l’accrocha, sans lui rentrer dedans par contre. Sinon, à la grosseur de la jeune fille, elle aurait revolée bien loin! Sauf qu’il n’eut pas le réflexe de s’excuser. Il reprit seulement position, à un pas de distance environ de la jeune femme pour la fixer dans les yeux. Elle lui demanda s’il avait déjà eu affaires avec des Mangemorts. Est-ce qu’elle avait des doutes? Pourtant, rien dans ce qu’il avait dit ne laissait entendre quoique ce soit par rapport à son appartenance avec les Mages Noirs. Il conserva donc à peu près le même faciès, sérieux mais pas trop afin de lui expliquer.

- Les Aurors sont habituellement les premiers dépêchés contre les Mangemorts. Sauf qu’avec les temps qui courent, nous sommes mandés de plus en plus souvent afin de combler d’éventuelles lacunes.

Il ne mentait pas. Après tout, avec son métier au ministère, il faisait effectivement face aux Mangemorts. Il ne les tuait pas, s’organisant pour seulement les capturer, parfois les laissant filer. Jamais encore il n’avait été inquiété à ce propos. Embry sortit encore une fois son paquet de cigarette et s’en alluma une. Il était véritablement accro, mais il ne tentait pas vraiment de mettre fin à cela non plus.

HJ: Vraiment désolée du temps de réponse, j'avais la tête ailleurs il faut croire!

[Localisation]

Embry marchait d’un pas lent et contrôlé. Il se trouvait dans une situation délicate, mais c’est une situation qu’il devait vivre constamment après tout. Dans la vie de tous les jours, au ministère et en «bonne société», il devait porter un masque et faire croire à tous qu’il était quelqu’un d’autre. Disons qu’il n’avait (heureusement), jamais eu de problème avec cela. Et à la longue, il s’approchait pas à pas de la maîtrise de cet art. Il faisait attention à ses gestes et ses paroles, pour ne pas se trahir. Sans crier gare, alors qu’il venait tout juste de terminer ses explications, la jeune fille s’arrêta d’un coup et Embry l’accrocha, sans lui rentrer dedans par contre. Sinon, à la grosseur de la jeune fille, elle aurait revolée bien loin! Sauf qu’il n’eut pas le réflexe de s’excuser. Il reprit seulement position, à un pas de distance environ de la jeune femme pour la fixer dans les yeux. Elle lui demanda s’il avait déjà eu affaires avec des Mangemorts. Est-ce qu’elle avait des doutes? Pourtant, rien dans ce qu’il avait dit ne laissait entendre quoique ce soit par rapport à son appartenance avec les Mages Noirs. Il conserva donc à peu près le même faciès, sérieux mais pas trop afin de lui expliquer.

- Les Aurors sont habituellement les premiers dépêchés contre les Mangemorts. Sauf qu’avec les temps qui courent, nous sommes mandés de plus en plus souvent afin de combler d’éventuelles lacunes.

Il ne mentait pas. Après tout, avec son métier au ministère, il faisait effectivement face aux Mangemorts. Il ne les tuait pas, s’organisant pour seulement les capturer, parfois les laissant filer. Jamais encore il n’avait été inquiété à ce propos. Embry sortit encore une fois son paquet de cigarette et s’en alluma une. Il était véritablement accro, mais il ne tentait pas vraiment de mettre fin à cela non plus.

HJ: Vraiment désolée du temps de réponse, j'avais la tête ailleurs il faut croire!

[Nb de messages]

Embry marchait d’un pas lent et contrôlé. Il se trouvait dans une situation délicate, mais c’est une situation qu’il devait vivre constamment après tout. Dans la vie de tous les jours, au ministère et en «bonne société», il devait porter un masque et faire croire à tous qu’il était quelqu’un d’autre. Disons qu’il n’avait (heureusement), jamais eu de problème avec cela. Et à la longue, il s’approchait pas à pas de la maîtrise de cet art. Il faisait attention à ses gestes et ses paroles, pour ne pas se trahir. Sans crier gare, alors qu’il venait tout juste de terminer ses explications, la jeune fille s’arrêta d’un coup et Embry l’accrocha, sans lui rentrer dedans par contre. Sinon, à la grosseur de la jeune fille, elle aurait revolée bien loin! Sauf qu’il n’eut pas le réflexe de s’excuser. Il reprit seulement position, à un pas de distance environ de la jeune femme pour la fixer dans les yeux. Elle lui demanda s’il avait déjà eu affaires avec des Mangemorts. Est-ce qu’elle avait des doutes? Pourtant, rien dans ce qu’il avait dit ne laissait entendre quoique ce soit par rapport à son appartenance avec les Mages Noirs. Il conserva donc à peu près le même faciès, sérieux mais pas trop afin de lui expliquer.

- Les Aurors sont habituellement les premiers dépêchés contre les Mangemorts. Sauf qu’avec les temps qui courent, nous sommes mandés de plus en plus souvent afin de combler d’éventuelles lacunes.

Il ne mentait pas. Après tout, avec son métier au ministère, il faisait effectivement face aux Mangemorts. Il ne les tuait pas, s’organisant pour seulement les capturer, parfois les laissant filer. Jamais encore il n’avait été inquiété à ce propos. Embry sortit encore une fois son paquet de cigarette et s’en alluma une. Il était véritablement accro, mais il ne tentait pas vraiment de mettre fin à cela non plus.

HJ: Vraiment désolée du temps de réponse, j'avais la tête ailleurs il faut croire!

[Bourse]

Embry marchait d’un pas lent et contrôlé. Il se trouvait dans une situation délicate, mais c’est une situation qu’il devait vivre constamment après tout. Dans la vie de tous les jours, au ministère et en «bonne société», il devait porter un masque et faire croire à tous qu’il était quelqu’un d’autre. Disons qu’il n’avait (heureusement), jamais eu de problème avec cela. Et à la longue, il s’approchait pas à pas de la maîtrise de cet art. Il faisait attention à ses gestes et ses paroles, pour ne pas se trahir. Sans crier gare, alors qu’il venait tout juste de terminer ses explications, la jeune fille s’arrêta d’un coup et Embry l’accrocha, sans lui rentrer dedans par contre. Sinon, à la grosseur de la jeune fille, elle aurait revolée bien loin! Sauf qu’il n’eut pas le réflexe de s’excuser. Il reprit seulement position, à un pas de distance environ de la jeune femme pour la fixer dans les yeux. Elle lui demanda s’il avait déjà eu affaires avec des Mangemorts. Est-ce qu’elle avait des doutes? Pourtant, rien dans ce qu’il avait dit ne laissait entendre quoique ce soit par rapport à son appartenance avec les Mages Noirs. Il conserva donc à peu près le même faciès, sérieux mais pas trop afin de lui expliquer.

- Les Aurors sont habituellement les premiers dépêchés contre les Mangemorts. Sauf qu’avec les temps qui courent, nous sommes mandés de plus en plus souvent afin de combler d’éventuelles lacunes.

Il ne mentait pas. Après tout, avec son métier au ministère, il faisait effectivement face aux Mangemorts. Il ne les tuait pas, s’organisant pour seulement les capturer, parfois les laissant filer. Jamais encore il n’avait été inquiété à ce propos. Embry sortit encore une fois son paquet de cigarette et s’en alluma une. Il était véritablement accro, mais il ne tentait pas vraiment de mettre fin à cela non plus.

HJ: Vraiment désolée du temps de réponse, j'avais la tête ailleurs il faut croire!

[Données]

Embry marchait d’un pas lent et contrôlé. Il se trouvait dans une situation délicate, mais c’est une situation qu’il devait vivre constamment après tout. Dans la vie de tous les jours, au ministère et en «bonne société», il devait porter un masque et faire croire à tous qu’il était quelqu’un d’autre. Disons qu’il n’avait (heureusement), jamais eu de problème avec cela. Et à la longue, il s’approchait pas à pas de la maîtrise de cet art. Il faisait attention à ses gestes et ses paroles, pour ne pas se trahir. Sans crier gare, alors qu’il venait tout juste de terminer ses explications, la jeune fille s’arrêta d’un coup et Embry l’accrocha, sans lui rentrer dedans par contre. Sinon, à la grosseur de la jeune fille, elle aurait revolée bien loin! Sauf qu’il n’eut pas le réflexe de s’excuser. Il reprit seulement position, à un pas de distance environ de la jeune femme pour la fixer dans les yeux. Elle lui demanda s’il avait déjà eu affaires avec des Mangemorts. Est-ce qu’elle avait des doutes? Pourtant, rien dans ce qu’il avait dit ne laissait entendre quoique ce soit par rapport à son appartenance avec les Mages Noirs. Il conserva donc à peu près le même faciès, sérieux mais pas trop afin de lui expliquer.

- Les Aurors sont habituellement les premiers dépêchés contre les Mangemorts. Sauf qu’avec les temps qui courent, nous sommes mandés de plus en plus souvent afin de combler d’éventuelles lacunes.

Il ne mentait pas. Après tout, avec son métier au ministère, il faisait effectivement face aux Mangemorts. Il ne les tuait pas, s’organisant pour seulement les capturer, parfois les laissant filer. Jamais encore il n’avait été inquiété à ce propos. Embry sortit encore une fois son paquet de cigarette et s’en alluma une. Il était véritablement accro, mais il ne tentait pas vraiment de mettre fin à cela non plus.

HJ: Vraiment désolée du temps de réponse, j'avais la tête ailleurs il faut croire!

[Expérience]

Embry marchait d’un pas lent et contrôlé. Il se trouvait dans une situation délicate, mais c’est une situation qu’il devait vivre constamment après tout. Dans la vie de tous les jours, au ministère et en «bonne société», il devait porter un masque et faire croire à tous qu’il était quelqu’un d’autre. Disons qu’il n’avait (heureusement), jamais eu de problème avec cela. Et à la longue, il s’approchait pas à pas de la maîtrise de cet art. Il faisait attention à ses gestes et ses paroles, pour ne pas se trahir. Sans crier gare, alors qu’il venait tout juste de terminer ses explications, la jeune fille s’arrêta d’un coup et Embry l’accrocha, sans lui rentrer dedans par contre. Sinon, à la grosseur de la jeune fille, elle aurait revolée bien loin! Sauf qu’il n’eut pas le réflexe de s’excuser. Il reprit seulement position, à un pas de distance environ de la jeune femme pour la fixer dans les yeux. Elle lui demanda s’il avait déjà eu affaires avec des Mangemorts. Est-ce qu’elle avait des doutes? Pourtant, rien dans ce qu’il avait dit ne laissait entendre quoique ce soit par rapport à son appartenance avec les Mages Noirs. Il conserva donc à peu près le même faciès, sérieux mais pas trop afin de lui expliquer.

- Les Aurors sont habituellement les premiers dépêchés contre les Mangemorts. Sauf qu’avec les temps qui courent, nous sommes mandés de plus en plus souvent afin de combler d’éventuelles lacunes.

Il ne mentait pas. Après tout, avec son métier au ministère, il faisait effectivement face aux Mangemorts. Il ne les tuait pas, s’organisant pour seulement les capturer, parfois les laissant filer. Jamais encore il n’avait été inquiété à ce propos. Embry sortit encore une fois son paquet de cigarette et s’en alluma une. Il était véritablement accro, mais il ne tentait pas vraiment de mettre fin à cela non plus.

HJ: Vraiment désolée du temps de réponse, j'avais la tête ailleurs il faut croire!