[— JOUEUR / JOUEUSE —]

Un rayon de soleil filtrat à travers le rideau, se glissant sur la peau de notre jeune Gabrielle. Elle plissa davantage les yeux dans son sommeil, puis ouvrit un œil avant de le refermer. Elle s'enroulant un peu plus dans ses couvertures, puis elle balança le tout à l'autre bout du lit, et posa ses bras devant son visage pour se protéger du rayon de soleil. Elle en profita pour rouvrir les yeux, un peu embrumés pendant quelques secondes. Elle s'assit ensuite sur son lit, les yeux à l'abri du soleil. Elle regarda autour d'elle, pas encore ré habituée à sa chambre. Et oui, les vacances étaient arrivés plus vite qu'elle ne l'avait pensé, et elle avait du rentrer dans son manoir, vide pour la première année. Ses parents avaient disparu durant son année scolaire, au tout début de l'année, et Gaby n'avait pas encore pu revenir ici sans ses parents. Le premier jour, cela lui avait fait bizarre de revoir tout ses domestiques, mais nulle passage de ses parents. Mais elle devra s'y faire, ils ne pourront pas revenir.

La jeune femme se leva et alla jusqu'à sa fenêtre. Elle écarta le rideau, laissant ainsi entrer le soleil dans la pièce, l'illuminant, et regarda dehors. Il faisait beau, il n'y avait aucun doute possible. Elle fixa un instant l'horizon, et les immeubles moldu de Londres. Le manoir De Sainte Croix était un peu à l'écart de Londres, ainsi protéger des moldus par des sortilèges, mais en plus à l'écart du bruit de la ville. Cela donnait un total havre de paix., personne ne venait la déranger.

Gabrielle descendit jusque dans la salle à manger, ou un petit déjeuner l'attendait déjà. Elle s'assit, face à la fenêtre, profitant ainsi de la vue qu'elle avait sur l'immense jardin. Elle croqua dans un petit pain et se servit de quoi boire. Bref, elle prenait un petit déjeuner normal. Une fois son petit déjeuner prit, elle alla prendre une bonne douche, et ressortit toute propre et changé. Elle s'était habillé d'une jupe plus courte que celle des uniforme, et d'un petit débardeur. Une tenue totalement différente de ce qu'elle pouvait porter à l'école. Elle ouvrit ensuite la porte qui donnait sur le jardin, et y fit quelques pas. Le soleil inondait les fleurs, qui s'étaient toutes ouvertes durant la nuit. Un sourire passa sur le visage de la jeune femme, et elle attrapa sa baguette. Elle utilisa ensuite un sort qui fit jaillir de l'eau de sa baguette, et arrosa le jardin. Elle lâcha ensuite le jardin pour retourner dans sa chambre. Là, elle s'installa à son bureau, et regarda un instant par la fenêtre. Le hibou qui lui apportait du courrier arriva, et elle ouvrit la fenêtre, récupérant les quelques lèvres qui étaient attachés à sa patte. L'oiseau alla ensuite s'installer dans sa cage, dans un coin de la chambre de Gaby. Celle-ci regarda les lettres, qui était pour la plupart des condoléances. Elle soupira et les fit rapidement brûler, puis elle prit une plume, et commença à écrire une lettre. Elle attacha ensuite la lettre à la patte de son hibou, et celui-ci reparti.

Elle soupira un instant, et regarda de nouveau par la fenêtre. Avec ce qu'elle avait vécu depuis un mois, Poudlard lui manquait, mais avec l'école, c'était aussi les quelques amis qu'elle avait réussit à se faire. Parce que la jeune femme avait changé en l'espace de quelques semaines. Elle avait apprit à devenir plus douce avec les autres, et moins froide aussi. Cela lui avait permis de sympathiser avec des camarades de classes qu'elle avait depuis sa première année. Elle avait même finit par s'entendre avec Laurence Nixon, un gryffondor. Avec qui elle s'était d'ailleurs bien entendu. Bref, elle avait finit l'année en beauté.

Elle sortit de ses pensées, et alla se mettre au soleil dans le jardin. Elle avait beau avoir une peau assez pâle, elle passait pourtant pas mal de temps au soleil. Et comme aujourd'hui elle n'avait rien de prévu, elle allait profiter un peu du soleil. Un elfe de maison vin lui ramener une boisson fraîche et sa paire de lunette de soleil, avant de retourner à l'intérieur de la maison. Alors qu'elle profitait du soleil, la sonnette retentit, annonçant un visiteur à la porte.

~Voulez-vous que j'aille ouvrir mademoiselle Gabrielle ?

-Non non, je vais y aller moi-même.

Elle retourna à l'intérieur de la maison, rangea sa baguette dans son dos, et se dirigea vers la porte d'entrée. Elle l'ouvrit puis traversa le chemin jusqu'à la grille. Elle l'ouvrit d'un coup de baguette qu'elle rangea aussitôt, et tomba sur quelqu'un qu'elle ne s'attendait pas à rencontrer ici.

[Localisation]

Un rayon de soleil filtrat à travers le rideau, se glissant sur la peau de notre jeune Gabrielle. Elle plissa davantage les yeux dans son sommeil, puis ouvrit un œil avant de le refermer. Elle s'enroulant un peu plus dans ses couvertures, puis elle balança le tout à l'autre bout du lit, et posa ses bras devant son visage pour se protéger du rayon de soleil. Elle en profita pour rouvrir les yeux, un peu embrumés pendant quelques secondes. Elle s'assit ensuite sur son lit, les yeux à l'abri du soleil. Elle regarda autour d'elle, pas encore ré habituée à sa chambre. Et oui, les vacances étaient arrivés plus vite qu'elle ne l'avait pensé, et elle avait du rentrer dans son manoir, vide pour la première année. Ses parents avaient disparu durant son année scolaire, au tout début de l'année, et Gaby n'avait pas encore pu revenir ici sans ses parents. Le premier jour, cela lui avait fait bizarre de revoir tout ses domestiques, mais nulle passage de ses parents. Mais elle devra s'y faire, ils ne pourront pas revenir.

La jeune femme se leva et alla jusqu'à sa fenêtre. Elle écarta le rideau, laissant ainsi entrer le soleil dans la pièce, l'illuminant, et regarda dehors. Il faisait beau, il n'y avait aucun doute possible. Elle fixa un instant l'horizon, et les immeubles moldu de Londres. Le manoir De Sainte Croix était un peu à l'écart de Londres, ainsi protéger des moldus par des sortilèges, mais en plus à l'écart du bruit de la ville. Cela donnait un total havre de paix., personne ne venait la déranger.

Gabrielle descendit jusque dans la salle à manger, ou un petit déjeuner l'attendait déjà. Elle s'assit, face à la fenêtre, profitant ainsi de la vue qu'elle avait sur l'immense jardin. Elle croqua dans un petit pain et se servit de quoi boire. Bref, elle prenait un petit déjeuner normal. Une fois son petit déjeuner prit, elle alla prendre une bonne douche, et ressortit toute propre et changé. Elle s'était habillé d'une jupe plus courte que celle des uniforme, et d'un petit débardeur. Une tenue totalement différente de ce qu'elle pouvait porter à l'école. Elle ouvrit ensuite la porte qui donnait sur le jardin, et y fit quelques pas. Le soleil inondait les fleurs, qui s'étaient toutes ouvertes durant la nuit. Un sourire passa sur le visage de la jeune femme, et elle attrapa sa baguette. Elle utilisa ensuite un sort qui fit jaillir de l'eau de sa baguette, et arrosa le jardin. Elle lâcha ensuite le jardin pour retourner dans sa chambre. Là, elle s'installa à son bureau, et regarda un instant par la fenêtre. Le hibou qui lui apportait du courrier arriva, et elle ouvrit la fenêtre, récupérant les quelques lèvres qui étaient attachés à sa patte. L'oiseau alla ensuite s'installer dans sa cage, dans un coin de la chambre de Gaby. Celle-ci regarda les lettres, qui était pour la plupart des condoléances. Elle soupira et les fit rapidement brûler, puis elle prit une plume, et commença à écrire une lettre. Elle attacha ensuite la lettre à la patte de son hibou, et celui-ci reparti.

Elle soupira un instant, et regarda de nouveau par la fenêtre. Avec ce qu'elle avait vécu depuis un mois, Poudlard lui manquait, mais avec l'école, c'était aussi les quelques amis qu'elle avait réussit à se faire. Parce que la jeune femme avait changé en l'espace de quelques semaines. Elle avait apprit à devenir plus douce avec les autres, et moins froide aussi. Cela lui avait permis de sympathiser avec des camarades de classes qu'elle avait depuis sa première année. Elle avait même finit par s'entendre avec Laurence Nixon, un gryffondor. Avec qui elle s'était d'ailleurs bien entendu. Bref, elle avait finit l'année en beauté.

Elle sortit de ses pensées, et alla se mettre au soleil dans le jardin. Elle avait beau avoir une peau assez pâle, elle passait pourtant pas mal de temps au soleil. Et comme aujourd'hui elle n'avait rien de prévu, elle allait profiter un peu du soleil. Un elfe de maison vin lui ramener une boisson fraîche et sa paire de lunette de soleil, avant de retourner à l'intérieur de la maison. Alors qu'elle profitait du soleil, la sonnette retentit, annonçant un visiteur à la porte.

~Voulez-vous que j'aille ouvrir mademoiselle Gabrielle ?

-Non non, je vais y aller moi-même.

Elle retourna à l'intérieur de la maison, rangea sa baguette dans son dos, et se dirigea vers la porte d'entrée. Elle l'ouvrit puis traversa le chemin jusqu'à la grille. Elle l'ouvrit d'un coup de baguette qu'elle rangea aussitôt, et tomba sur quelqu'un qu'elle ne s'attendait pas à rencontrer ici.

[Nb de messages]

Un rayon de soleil filtrat à travers le rideau, se glissant sur la peau de notre jeune Gabrielle. Elle plissa davantage les yeux dans son sommeil, puis ouvrit un œil avant de le refermer. Elle s'enroulant un peu plus dans ses couvertures, puis elle balança le tout à l'autre bout du lit, et posa ses bras devant son visage pour se protéger du rayon de soleil. Elle en profita pour rouvrir les yeux, un peu embrumés pendant quelques secondes. Elle s'assit ensuite sur son lit, les yeux à l'abri du soleil. Elle regarda autour d'elle, pas encore ré habituée à sa chambre. Et oui, les vacances étaient arrivés plus vite qu'elle ne l'avait pensé, et elle avait du rentrer dans son manoir, vide pour la première année. Ses parents avaient disparu durant son année scolaire, au tout début de l'année, et Gaby n'avait pas encore pu revenir ici sans ses parents. Le premier jour, cela lui avait fait bizarre de revoir tout ses domestiques, mais nulle passage de ses parents. Mais elle devra s'y faire, ils ne pourront pas revenir.

La jeune femme se leva et alla jusqu'à sa fenêtre. Elle écarta le rideau, laissant ainsi entrer le soleil dans la pièce, l'illuminant, et regarda dehors. Il faisait beau, il n'y avait aucun doute possible. Elle fixa un instant l'horizon, et les immeubles moldu de Londres. Le manoir De Sainte Croix était un peu à l'écart de Londres, ainsi protéger des moldus par des sortilèges, mais en plus à l'écart du bruit de la ville. Cela donnait un total havre de paix., personne ne venait la déranger.

Gabrielle descendit jusque dans la salle à manger, ou un petit déjeuner l'attendait déjà. Elle s'assit, face à la fenêtre, profitant ainsi de la vue qu'elle avait sur l'immense jardin. Elle croqua dans un petit pain et se servit de quoi boire. Bref, elle prenait un petit déjeuner normal. Une fois son petit déjeuner prit, elle alla prendre une bonne douche, et ressortit toute propre et changé. Elle s'était habillé d'une jupe plus courte que celle des uniforme, et d'un petit débardeur. Une tenue totalement différente de ce qu'elle pouvait porter à l'école. Elle ouvrit ensuite la porte qui donnait sur le jardin, et y fit quelques pas. Le soleil inondait les fleurs, qui s'étaient toutes ouvertes durant la nuit. Un sourire passa sur le visage de la jeune femme, et elle attrapa sa baguette. Elle utilisa ensuite un sort qui fit jaillir de l'eau de sa baguette, et arrosa le jardin. Elle lâcha ensuite le jardin pour retourner dans sa chambre. Là, elle s'installa à son bureau, et regarda un instant par la fenêtre. Le hibou qui lui apportait du courrier arriva, et elle ouvrit la fenêtre, récupérant les quelques lèvres qui étaient attachés à sa patte. L'oiseau alla ensuite s'installer dans sa cage, dans un coin de la chambre de Gaby. Celle-ci regarda les lettres, qui était pour la plupart des condoléances. Elle soupira et les fit rapidement brûler, puis elle prit une plume, et commença à écrire une lettre. Elle attacha ensuite la lettre à la patte de son hibou, et celui-ci reparti.

Elle soupira un instant, et regarda de nouveau par la fenêtre. Avec ce qu'elle avait vécu depuis un mois, Poudlard lui manquait, mais avec l'école, c'était aussi les quelques amis qu'elle avait réussit à se faire. Parce que la jeune femme avait changé en l'espace de quelques semaines. Elle avait apprit à devenir plus douce avec les autres, et moins froide aussi. Cela lui avait permis de sympathiser avec des camarades de classes qu'elle avait depuis sa première année. Elle avait même finit par s'entendre avec Laurence Nixon, un gryffondor. Avec qui elle s'était d'ailleurs bien entendu. Bref, elle avait finit l'année en beauté.

Elle sortit de ses pensées, et alla se mettre au soleil dans le jardin. Elle avait beau avoir une peau assez pâle, elle passait pourtant pas mal de temps au soleil. Et comme aujourd'hui elle n'avait rien de prévu, elle allait profiter un peu du soleil. Un elfe de maison vin lui ramener une boisson fraîche et sa paire de lunette de soleil, avant de retourner à l'intérieur de la maison. Alors qu'elle profitait du soleil, la sonnette retentit, annonçant un visiteur à la porte.

~Voulez-vous que j'aille ouvrir mademoiselle Gabrielle ?

-Non non, je vais y aller moi-même.

Elle retourna à l'intérieur de la maison, rangea sa baguette dans son dos, et se dirigea vers la porte d'entrée. Elle l'ouvrit puis traversa le chemin jusqu'à la grille. Elle l'ouvrit d'un coup de baguette qu'elle rangea aussitôt, et tomba sur quelqu'un qu'elle ne s'attendait pas à rencontrer ici.

[Bourse]

Un rayon de soleil filtrat à travers le rideau, se glissant sur la peau de notre jeune Gabrielle. Elle plissa davantage les yeux dans son sommeil, puis ouvrit un œil avant de le refermer. Elle s'enroulant un peu plus dans ses couvertures, puis elle balança le tout à l'autre bout du lit, et posa ses bras devant son visage pour se protéger du rayon de soleil. Elle en profita pour rouvrir les yeux, un peu embrumés pendant quelques secondes. Elle s'assit ensuite sur son lit, les yeux à l'abri du soleil. Elle regarda autour d'elle, pas encore ré habituée à sa chambre. Et oui, les vacances étaient arrivés plus vite qu'elle ne l'avait pensé, et elle avait du rentrer dans son manoir, vide pour la première année. Ses parents avaient disparu durant son année scolaire, au tout début de l'année, et Gaby n'avait pas encore pu revenir ici sans ses parents. Le premier jour, cela lui avait fait bizarre de revoir tout ses domestiques, mais nulle passage de ses parents. Mais elle devra s'y faire, ils ne pourront pas revenir.

La jeune femme se leva et alla jusqu'à sa fenêtre. Elle écarta le rideau, laissant ainsi entrer le soleil dans la pièce, l'illuminant, et regarda dehors. Il faisait beau, il n'y avait aucun doute possible. Elle fixa un instant l'horizon, et les immeubles moldu de Londres. Le manoir De Sainte Croix était un peu à l'écart de Londres, ainsi protéger des moldus par des sortilèges, mais en plus à l'écart du bruit de la ville. Cela donnait un total havre de paix., personne ne venait la déranger.

Gabrielle descendit jusque dans la salle à manger, ou un petit déjeuner l'attendait déjà. Elle s'assit, face à la fenêtre, profitant ainsi de la vue qu'elle avait sur l'immense jardin. Elle croqua dans un petit pain et se servit de quoi boire. Bref, elle prenait un petit déjeuner normal. Une fois son petit déjeuner prit, elle alla prendre une bonne douche, et ressortit toute propre et changé. Elle s'était habillé d'une jupe plus courte que celle des uniforme, et d'un petit débardeur. Une tenue totalement différente de ce qu'elle pouvait porter à l'école. Elle ouvrit ensuite la porte qui donnait sur le jardin, et y fit quelques pas. Le soleil inondait les fleurs, qui s'étaient toutes ouvertes durant la nuit. Un sourire passa sur le visage de la jeune femme, et elle attrapa sa baguette. Elle utilisa ensuite un sort qui fit jaillir de l'eau de sa baguette, et arrosa le jardin. Elle lâcha ensuite le jardin pour retourner dans sa chambre. Là, elle s'installa à son bureau, et regarda un instant par la fenêtre. Le hibou qui lui apportait du courrier arriva, et elle ouvrit la fenêtre, récupérant les quelques lèvres qui étaient attachés à sa patte. L'oiseau alla ensuite s'installer dans sa cage, dans un coin de la chambre de Gaby. Celle-ci regarda les lettres, qui était pour la plupart des condoléances. Elle soupira et les fit rapidement brûler, puis elle prit une plume, et commença à écrire une lettre. Elle attacha ensuite la lettre à la patte de son hibou, et celui-ci reparti.

Elle soupira un instant, et regarda de nouveau par la fenêtre. Avec ce qu'elle avait vécu depuis un mois, Poudlard lui manquait, mais avec l'école, c'était aussi les quelques amis qu'elle avait réussit à se faire. Parce que la jeune femme avait changé en l'espace de quelques semaines. Elle avait apprit à devenir plus douce avec les autres, et moins froide aussi. Cela lui avait permis de sympathiser avec des camarades de classes qu'elle avait depuis sa première année. Elle avait même finit par s'entendre avec Laurence Nixon, un gryffondor. Avec qui elle s'était d'ailleurs bien entendu. Bref, elle avait finit l'année en beauté.

Elle sortit de ses pensées, et alla se mettre au soleil dans le jardin. Elle avait beau avoir une peau assez pâle, elle passait pourtant pas mal de temps au soleil. Et comme aujourd'hui elle n'avait rien de prévu, elle allait profiter un peu du soleil. Un elfe de maison vin lui ramener une boisson fraîche et sa paire de lunette de soleil, avant de retourner à l'intérieur de la maison. Alors qu'elle profitait du soleil, la sonnette retentit, annonçant un visiteur à la porte.

~Voulez-vous que j'aille ouvrir mademoiselle Gabrielle ?

-Non non, je vais y aller moi-même.

Elle retourna à l'intérieur de la maison, rangea sa baguette dans son dos, et se dirigea vers la porte d'entrée. Elle l'ouvrit puis traversa le chemin jusqu'à la grille. Elle l'ouvrit d'un coup de baguette qu'elle rangea aussitôt, et tomba sur quelqu'un qu'elle ne s'attendait pas à rencontrer ici.

[Données]

Un rayon de soleil filtrat à travers le rideau, se glissant sur la peau de notre jeune Gabrielle. Elle plissa davantage les yeux dans son sommeil, puis ouvrit un œil avant de le refermer. Elle s'enroulant un peu plus dans ses couvertures, puis elle balança le tout à l'autre bout du lit, et posa ses bras devant son visage pour se protéger du rayon de soleil. Elle en profita pour rouvrir les yeux, un peu embrumés pendant quelques secondes. Elle s'assit ensuite sur son lit, les yeux à l'abri du soleil. Elle regarda autour d'elle, pas encore ré habituée à sa chambre. Et oui, les vacances étaient arrivés plus vite qu'elle ne l'avait pensé, et elle avait du rentrer dans son manoir, vide pour la première année. Ses parents avaient disparu durant son année scolaire, au tout début de l'année, et Gaby n'avait pas encore pu revenir ici sans ses parents. Le premier jour, cela lui avait fait bizarre de revoir tout ses domestiques, mais nulle passage de ses parents. Mais elle devra s'y faire, ils ne pourront pas revenir.

La jeune femme se leva et alla jusqu'à sa fenêtre. Elle écarta le rideau, laissant ainsi entrer le soleil dans la pièce, l'illuminant, et regarda dehors. Il faisait beau, il n'y avait aucun doute possible. Elle fixa un instant l'horizon, et les immeubles moldu de Londres. Le manoir De Sainte Croix était un peu à l'écart de Londres, ainsi protéger des moldus par des sortilèges, mais en plus à l'écart du bruit de la ville. Cela donnait un total havre de paix., personne ne venait la déranger.

Gabrielle descendit jusque dans la salle à manger, ou un petit déjeuner l'attendait déjà. Elle s'assit, face à la fenêtre, profitant ainsi de la vue qu'elle avait sur l'immense jardin. Elle croqua dans un petit pain et se servit de quoi boire. Bref, elle prenait un petit déjeuner normal. Une fois son petit déjeuner prit, elle alla prendre une bonne douche, et ressortit toute propre et changé. Elle s'était habillé d'une jupe plus courte que celle des uniforme, et d'un petit débardeur. Une tenue totalement différente de ce qu'elle pouvait porter à l'école. Elle ouvrit ensuite la porte qui donnait sur le jardin, et y fit quelques pas. Le soleil inondait les fleurs, qui s'étaient toutes ouvertes durant la nuit. Un sourire passa sur le visage de la jeune femme, et elle attrapa sa baguette. Elle utilisa ensuite un sort qui fit jaillir de l'eau de sa baguette, et arrosa le jardin. Elle lâcha ensuite le jardin pour retourner dans sa chambre. Là, elle s'installa à son bureau, et regarda un instant par la fenêtre. Le hibou qui lui apportait du courrier arriva, et elle ouvrit la fenêtre, récupérant les quelques lèvres qui étaient attachés à sa patte. L'oiseau alla ensuite s'installer dans sa cage, dans un coin de la chambre de Gaby. Celle-ci regarda les lettres, qui était pour la plupart des condoléances. Elle soupira et les fit rapidement brûler, puis elle prit une plume, et commença à écrire une lettre. Elle attacha ensuite la lettre à la patte de son hibou, et celui-ci reparti.

Elle soupira un instant, et regarda de nouveau par la fenêtre. Avec ce qu'elle avait vécu depuis un mois, Poudlard lui manquait, mais avec l'école, c'était aussi les quelques amis qu'elle avait réussit à se faire. Parce que la jeune femme avait changé en l'espace de quelques semaines. Elle avait apprit à devenir plus douce avec les autres, et moins froide aussi. Cela lui avait permis de sympathiser avec des camarades de classes qu'elle avait depuis sa première année. Elle avait même finit par s'entendre avec Laurence Nixon, un gryffondor. Avec qui elle s'était d'ailleurs bien entendu. Bref, elle avait finit l'année en beauté.

Elle sortit de ses pensées, et alla se mettre au soleil dans le jardin. Elle avait beau avoir une peau assez pâle, elle passait pourtant pas mal de temps au soleil. Et comme aujourd'hui elle n'avait rien de prévu, elle allait profiter un peu du soleil. Un elfe de maison vin lui ramener une boisson fraîche et sa paire de lunette de soleil, avant de retourner à l'intérieur de la maison. Alors qu'elle profitait du soleil, la sonnette retentit, annonçant un visiteur à la porte.

~Voulez-vous que j'aille ouvrir mademoiselle Gabrielle ?

-Non non, je vais y aller moi-même.

Elle retourna à l'intérieur de la maison, rangea sa baguette dans son dos, et se dirigea vers la porte d'entrée. Elle l'ouvrit puis traversa le chemin jusqu'à la grille. Elle l'ouvrit d'un coup de baguette qu'elle rangea aussitôt, et tomba sur quelqu'un qu'elle ne s'attendait pas à rencontrer ici.

[Expérience]

Un rayon de soleil filtrat à travers le rideau, se glissant sur la peau de notre jeune Gabrielle. Elle plissa davantage les yeux dans son sommeil, puis ouvrit un œil avant de le refermer. Elle s'enroulant un peu plus dans ses couvertures, puis elle balança le tout à l'autre bout du lit, et posa ses bras devant son visage pour se protéger du rayon de soleil. Elle en profita pour rouvrir les yeux, un peu embrumés pendant quelques secondes. Elle s'assit ensuite sur son lit, les yeux à l'abri du soleil. Elle regarda autour d'elle, pas encore ré habituée à sa chambre. Et oui, les vacances étaient arrivés plus vite qu'elle ne l'avait pensé, et elle avait du rentrer dans son manoir, vide pour la première année. Ses parents avaient disparu durant son année scolaire, au tout début de l'année, et Gaby n'avait pas encore pu revenir ici sans ses parents. Le premier jour, cela lui avait fait bizarre de revoir tout ses domestiques, mais nulle passage de ses parents. Mais elle devra s'y faire, ils ne pourront pas revenir.

La jeune femme se leva et alla jusqu'à sa fenêtre. Elle écarta le rideau, laissant ainsi entrer le soleil dans la pièce, l'illuminant, et regarda dehors. Il faisait beau, il n'y avait aucun doute possible. Elle fixa un instant l'horizon, et les immeubles moldu de Londres. Le manoir De Sainte Croix était un peu à l'écart de Londres, ainsi protéger des moldus par des sortilèges, mais en plus à l'écart du bruit de la ville. Cela donnait un total havre de paix., personne ne venait la déranger.

Gabrielle descendit jusque dans la salle à manger, ou un petit déjeuner l'attendait déjà. Elle s'assit, face à la fenêtre, profitant ainsi de la vue qu'elle avait sur l'immense jardin. Elle croqua dans un petit pain et se servit de quoi boire. Bref, elle prenait un petit déjeuner normal. Une fois son petit déjeuner prit, elle alla prendre une bonne douche, et ressortit toute propre et changé. Elle s'était habillé d'une jupe plus courte que celle des uniforme, et d'un petit débardeur. Une tenue totalement différente de ce qu'elle pouvait porter à l'école. Elle ouvrit ensuite la porte qui donnait sur le jardin, et y fit quelques pas. Le soleil inondait les fleurs, qui s'étaient toutes ouvertes durant la nuit. Un sourire passa sur le visage de la jeune femme, et elle attrapa sa baguette. Elle utilisa ensuite un sort qui fit jaillir de l'eau de sa baguette, et arrosa le jardin. Elle lâcha ensuite le jardin pour retourner dans sa chambre. Là, elle s'installa à son bureau, et regarda un instant par la fenêtre. Le hibou qui lui apportait du courrier arriva, et elle ouvrit la fenêtre, récupérant les quelques lèvres qui étaient attachés à sa patte. L'oiseau alla ensuite s'installer dans sa cage, dans un coin de la chambre de Gaby. Celle-ci regarda les lettres, qui était pour la plupart des condoléances. Elle soupira et les fit rapidement brûler, puis elle prit une plume, et commença à écrire une lettre. Elle attacha ensuite la lettre à la patte de son hibou, et celui-ci reparti.

Elle soupira un instant, et regarda de nouveau par la fenêtre. Avec ce qu'elle avait vécu depuis un mois, Poudlard lui manquait, mais avec l'école, c'était aussi les quelques amis qu'elle avait réussit à se faire. Parce que la jeune femme avait changé en l'espace de quelques semaines. Elle avait apprit à devenir plus douce avec les autres, et moins froide aussi. Cela lui avait permis de sympathiser avec des camarades de classes qu'elle avait depuis sa première année. Elle avait même finit par s'entendre avec Laurence Nixon, un gryffondor. Avec qui elle s'était d'ailleurs bien entendu. Bref, elle avait finit l'année en beauté.

Elle sortit de ses pensées, et alla se mettre au soleil dans le jardin. Elle avait beau avoir une peau assez pâle, elle passait pourtant pas mal de temps au soleil. Et comme aujourd'hui elle n'avait rien de prévu, elle allait profiter un peu du soleil. Un elfe de maison vin lui ramener une boisson fraîche et sa paire de lunette de soleil, avant de retourner à l'intérieur de la maison. Alors qu'elle profitait du soleil, la sonnette retentit, annonçant un visiteur à la porte.

~Voulez-vous que j'aille ouvrir mademoiselle Gabrielle ?

-Non non, je vais y aller moi-même.

Elle retourna à l'intérieur de la maison, rangea sa baguette dans son dos, et se dirigea vers la porte d'entrée. Elle l'ouvrit puis traversa le chemin jusqu'à la grille. Elle l'ouvrit d'un coup de baguette qu'elle rangea aussitôt, et tomba sur quelqu'un qu'elle ne s'attendait pas à rencontrer ici.

[— ADMINISTRATEUR —]

Les vacances... C'était assurément les pires qu'il passait de toute sa vie. Il avait eu les résultats de ses ASPIC et c'était lamentablement planté comme il s'en était douté. Puis, il y avait aussi le fait que Poudlard derrière lui, les derniers ponts entre Cloé et lui et Jacob et Lui ceux coupaient définitivement. Et il avait du mal à l'admettre. Il avait envie d'arrêter de s'ennuyer, mais il n'avait pas envie de bouger. Vivant reclu dans sa chambre depuis le début des vacances, il ne faisait que dormir, regarder la télé et dormir. Il ne sortait que pour manger, aller s'acheter à boire et à fumer. Sa tante, s'en foutait de sa vie et le laissait dépérir.
Il en était arrivé à un point qu'il perdit toute notion de temps et dérégla complètement son système horaire. Au bout d'un moment, il se dit qu'il devait faire quelque chose.
Mais quoi ? Il avait envie de voir du monde. Mais pas quelqu'un qui lui demanderait s'il allait bien, si ce n'était pas trop dur. Il voulait s'intéresser à quelqu'un et non pas que quelqu'un s'intéresse à lui.

Après réflexion, il trouva la personne parfaite Gabrielle de Sainte Croix. La dernière fois, ne lui avait-elle pas dit, d'une manière détournée, qu'elle souhaitait le revoir ? Puis les comptes n'étaient toujours pas à zéro ! Vu le départ qu'elle lui avait fait.
Depuis il ne l'avait pas revu, croisé dans les couloirs, mais mis à part quelque regards indéchiffrable , il n'y avait rien eu.
Il fallait encore trouver ou elle habitait ! Bon, avec un nom comme De Sainte Croix, elle vivait sûrement dans un manoir, à l'écart des moldus et protégé par des repousses-moldus.
Laurence gagna le chemin de traverse. Il alla à la bibliothèque et chercha dans les articles de presse archivé le nom de De Sainte Croix. Sûrement que son manoir était dans la famille depuis plusieurs générations. Et il trouva ce qu'il cherchait. Et même plus.
Il apprit ainsi que les parents de Gabrielle De Sainte croix avait été tué par... Lyzandra Bathory ? Ah... Laurence resta bête devant cet nouvelle. Il tomba même de très haut. Bathory, sa directice de Gryffondor, avec qui il avait bossé pas mal de truc … Ça sentait mauvais. Quelque chose lui échappait. Pourquoi s'en serait-elle prit au parents de Gabrielle ? Il connaissait un peu la prof et c'était louche... Et si les parents de Gabrielle avaient quelque chose à voir avec le Seigneur des Ténèbres ? C'était quelque chose de pas si improbable que ça...
Cela ne fit qu'attiser la curiosité du garçon. Et si c'était ça l'aspect étrange de Miss Gaby ? Son secret ? Ce n'était pas improbable...
Il prit l'adresse indiqué dans le journal et sortit des archives.


Laurence arriva devant les grilles du manoir, de très belle taille d'ailleurs. C'était une manie chez les Serpentard de vivre dans de pareil baraque ?
Enfin... Il tira sur la cloche qui annonçait qu'un visiteur était là. Puis il attendit. Une porte qui s'ouvre, des bruits de pas, le portail s'ouvre et...

- Gabrielle !

Il lui fit un sourire énigmatique, sachant que sa présence la surprendra. Il regarda la demoiselle de haut en bas, d'un coup d'oeil très admiratif. Ca lui allait bien, contrairement aux uniformes de l'école, qui cachait ses jolies jambes.
Il planta ses yeux dans ce de la maîtresse des lieux, toujours muette.

- Moi aussi je suis très content de te voir.

[Localisation]

Les vacances... C'était assurément les pires qu'il passait de toute sa vie. Il avait eu les résultats de ses ASPIC et c'était lamentablement planté comme il s'en était douté. Puis, il y avait aussi le fait que Poudlard derrière lui, les derniers ponts entre Cloé et lui et Jacob et Lui ceux coupaient définitivement. Et il avait du mal à l'admettre. Il avait envie d'arrêter de s'ennuyer, mais il n'avait pas envie de bouger. Vivant reclu dans sa chambre depuis le début des vacances, il ne faisait que dormir, regarder la télé et dormir. Il ne sortait que pour manger, aller s'acheter à boire et à fumer. Sa tante, s'en foutait de sa vie et le laissait dépérir.
Il en était arrivé à un point qu'il perdit toute notion de temps et dérégla complètement son système horaire. Au bout d'un moment, il se dit qu'il devait faire quelque chose.
Mais quoi ? Il avait envie de voir du monde. Mais pas quelqu'un qui lui demanderait s'il allait bien, si ce n'était pas trop dur. Il voulait s'intéresser à quelqu'un et non pas que quelqu'un s'intéresse à lui.

Après réflexion, il trouva la personne parfaite Gabrielle de Sainte Croix. La dernière fois, ne lui avait-elle pas dit, d'une manière détournée, qu'elle souhaitait le revoir ? Puis les comptes n'étaient toujours pas à zéro ! Vu le départ qu'elle lui avait fait.
Depuis il ne l'avait pas revu, croisé dans les couloirs, mais mis à part quelque regards indéchiffrable , il n'y avait rien eu.
Il fallait encore trouver ou elle habitait ! Bon, avec un nom comme De Sainte Croix, elle vivait sûrement dans un manoir, à l'écart des moldus et protégé par des repousses-moldus.
Laurence gagna le chemin de traverse. Il alla à la bibliothèque et chercha dans les articles de presse archivé le nom de De Sainte Croix. Sûrement que son manoir était dans la famille depuis plusieurs générations. Et il trouva ce qu'il cherchait. Et même plus.
Il apprit ainsi que les parents de Gabrielle De Sainte croix avait été tué par... Lyzandra Bathory ? Ah... Laurence resta bête devant cet nouvelle. Il tomba même de très haut. Bathory, sa directice de Gryffondor, avec qui il avait bossé pas mal de truc … Ça sentait mauvais. Quelque chose lui échappait. Pourquoi s'en serait-elle prit au parents de Gabrielle ? Il connaissait un peu la prof et c'était louche... Et si les parents de Gabrielle avaient quelque chose à voir avec le Seigneur des Ténèbres ? C'était quelque chose de pas si improbable que ça...
Cela ne fit qu'attiser la curiosité du garçon. Et si c'était ça l'aspect étrange de Miss Gaby ? Son secret ? Ce n'était pas improbable...
Il prit l'adresse indiqué dans le journal et sortit des archives.


Laurence arriva devant les grilles du manoir, de très belle taille d'ailleurs. C'était une manie chez les Serpentard de vivre dans de pareil baraque ?
Enfin... Il tira sur la cloche qui annonçait qu'un visiteur était là. Puis il attendit. Une porte qui s'ouvre, des bruits de pas, le portail s'ouvre et...

- Gabrielle !

Il lui fit un sourire énigmatique, sachant que sa présence la surprendra. Il regarda la demoiselle de haut en bas, d'un coup d'oeil très admiratif. Ca lui allait bien, contrairement aux uniformes de l'école, qui cachait ses jolies jambes.
Il planta ses yeux dans ce de la maîtresse des lieux, toujours muette.

- Moi aussi je suis très content de te voir.

[Nb de messages]

Les vacances... C'était assurément les pires qu'il passait de toute sa vie. Il avait eu les résultats de ses ASPIC et c'était lamentablement planté comme il s'en était douté. Puis, il y avait aussi le fait que Poudlard derrière lui, les derniers ponts entre Cloé et lui et Jacob et Lui ceux coupaient définitivement. Et il avait du mal à l'admettre. Il avait envie d'arrêter de s'ennuyer, mais il n'avait pas envie de bouger. Vivant reclu dans sa chambre depuis le début des vacances, il ne faisait que dormir, regarder la télé et dormir. Il ne sortait que pour manger, aller s'acheter à boire et à fumer. Sa tante, s'en foutait de sa vie et le laissait dépérir.
Il en était arrivé à un point qu'il perdit toute notion de temps et dérégla complètement son système horaire. Au bout d'un moment, il se dit qu'il devait faire quelque chose.
Mais quoi ? Il avait envie de voir du monde. Mais pas quelqu'un qui lui demanderait s'il allait bien, si ce n'était pas trop dur. Il voulait s'intéresser à quelqu'un et non pas que quelqu'un s'intéresse à lui.

Après réflexion, il trouva la personne parfaite Gabrielle de Sainte Croix. La dernière fois, ne lui avait-elle pas dit, d'une manière détournée, qu'elle souhaitait le revoir ? Puis les comptes n'étaient toujours pas à zéro ! Vu le départ qu'elle lui avait fait.
Depuis il ne l'avait pas revu, croisé dans les couloirs, mais mis à part quelque regards indéchiffrable , il n'y avait rien eu.
Il fallait encore trouver ou elle habitait ! Bon, avec un nom comme De Sainte Croix, elle vivait sûrement dans un manoir, à l'écart des moldus et protégé par des repousses-moldus.
Laurence gagna le chemin de traverse. Il alla à la bibliothèque et chercha dans les articles de presse archivé le nom de De Sainte Croix. Sûrement que son manoir était dans la famille depuis plusieurs générations. Et il trouva ce qu'il cherchait. Et même plus.
Il apprit ainsi que les parents de Gabrielle De Sainte croix avait été tué par... Lyzandra Bathory ? Ah... Laurence resta bête devant cet nouvelle. Il tomba même de très haut. Bathory, sa directice de Gryffondor, avec qui il avait bossé pas mal de truc … Ça sentait mauvais. Quelque chose lui échappait. Pourquoi s'en serait-elle prit au parents de Gabrielle ? Il connaissait un peu la prof et c'était louche... Et si les parents de Gabrielle avaient quelque chose à voir avec le Seigneur des Ténèbres ? C'était quelque chose de pas si improbable que ça...
Cela ne fit qu'attiser la curiosité du garçon. Et si c'était ça l'aspect étrange de Miss Gaby ? Son secret ? Ce n'était pas improbable...
Il prit l'adresse indiqué dans le journal et sortit des archives.


Laurence arriva devant les grilles du manoir, de très belle taille d'ailleurs. C'était une manie chez les Serpentard de vivre dans de pareil baraque ?
Enfin... Il tira sur la cloche qui annonçait qu'un visiteur était là. Puis il attendit. Une porte qui s'ouvre, des bruits de pas, le portail s'ouvre et...

- Gabrielle !

Il lui fit un sourire énigmatique, sachant que sa présence la surprendra. Il regarda la demoiselle de haut en bas, d'un coup d'oeil très admiratif. Ca lui allait bien, contrairement aux uniformes de l'école, qui cachait ses jolies jambes.
Il planta ses yeux dans ce de la maîtresse des lieux, toujours muette.

- Moi aussi je suis très content de te voir.

[Bourse]

Les vacances... C'était assurément les pires qu'il passait de toute sa vie. Il avait eu les résultats de ses ASPIC et c'était lamentablement planté comme il s'en était douté. Puis, il y avait aussi le fait que Poudlard derrière lui, les derniers ponts entre Cloé et lui et Jacob et Lui ceux coupaient définitivement. Et il avait du mal à l'admettre. Il avait envie d'arrêter de s'ennuyer, mais il n'avait pas envie de bouger. Vivant reclu dans sa chambre depuis le début des vacances, il ne faisait que dormir, regarder la télé et dormir. Il ne sortait que pour manger, aller s'acheter à boire et à fumer. Sa tante, s'en foutait de sa vie et le laissait dépérir.
Il en était arrivé à un point qu'il perdit toute notion de temps et dérégla complètement son système horaire. Au bout d'un moment, il se dit qu'il devait faire quelque chose.
Mais quoi ? Il avait envie de voir du monde. Mais pas quelqu'un qui lui demanderait s'il allait bien, si ce n'était pas trop dur. Il voulait s'intéresser à quelqu'un et non pas que quelqu'un s'intéresse à lui.

Après réflexion, il trouva la personne parfaite Gabrielle de Sainte Croix. La dernière fois, ne lui avait-elle pas dit, d'une manière détournée, qu'elle souhaitait le revoir ? Puis les comptes n'étaient toujours pas à zéro ! Vu le départ qu'elle lui avait fait.
Depuis il ne l'avait pas revu, croisé dans les couloirs, mais mis à part quelque regards indéchiffrable , il n'y avait rien eu.
Il fallait encore trouver ou elle habitait ! Bon, avec un nom comme De Sainte Croix, elle vivait sûrement dans un manoir, à l'écart des moldus et protégé par des repousses-moldus.
Laurence gagna le chemin de traverse. Il alla à la bibliothèque et chercha dans les articles de presse archivé le nom de De Sainte Croix. Sûrement que son manoir était dans la famille depuis plusieurs générations. Et il trouva ce qu'il cherchait. Et même plus.
Il apprit ainsi que les parents de Gabrielle De Sainte croix avait été tué par... Lyzandra Bathory ? Ah... Laurence resta bête devant cet nouvelle. Il tomba même de très haut. Bathory, sa directice de Gryffondor, avec qui il avait bossé pas mal de truc … Ça sentait mauvais. Quelque chose lui échappait. Pourquoi s'en serait-elle prit au parents de Gabrielle ? Il connaissait un peu la prof et c'était louche... Et si les parents de Gabrielle avaient quelque chose à voir avec le Seigneur des Ténèbres ? C'était quelque chose de pas si improbable que ça...
Cela ne fit qu'attiser la curiosité du garçon. Et si c'était ça l'aspect étrange de Miss Gaby ? Son secret ? Ce n'était pas improbable...
Il prit l'adresse indiqué dans le journal et sortit des archives.


Laurence arriva devant les grilles du manoir, de très belle taille d'ailleurs. C'était une manie chez les Serpentard de vivre dans de pareil baraque ?
Enfin... Il tira sur la cloche qui annonçait qu'un visiteur était là. Puis il attendit. Une porte qui s'ouvre, des bruits de pas, le portail s'ouvre et...

- Gabrielle !

Il lui fit un sourire énigmatique, sachant que sa présence la surprendra. Il regarda la demoiselle de haut en bas, d'un coup d'oeil très admiratif. Ca lui allait bien, contrairement aux uniformes de l'école, qui cachait ses jolies jambes.
Il planta ses yeux dans ce de la maîtresse des lieux, toujours muette.

- Moi aussi je suis très content de te voir.

[Données]

Les vacances... C'était assurément les pires qu'il passait de toute sa vie. Il avait eu les résultats de ses ASPIC et c'était lamentablement planté comme il s'en était douté. Puis, il y avait aussi le fait que Poudlard derrière lui, les derniers ponts entre Cloé et lui et Jacob et Lui ceux coupaient définitivement. Et il avait du mal à l'admettre. Il avait envie d'arrêter de s'ennuyer, mais il n'avait pas envie de bouger. Vivant reclu dans sa chambre depuis le début des vacances, il ne faisait que dormir, regarder la télé et dormir. Il ne sortait que pour manger, aller s'acheter à boire et à fumer. Sa tante, s'en foutait de sa vie et le laissait dépérir.
Il en était arrivé à un point qu'il perdit toute notion de temps et dérégla complètement son système horaire. Au bout d'un moment, il se dit qu'il devait faire quelque chose.
Mais quoi ? Il avait envie de voir du monde. Mais pas quelqu'un qui lui demanderait s'il allait bien, si ce n'était pas trop dur. Il voulait s'intéresser à quelqu'un et non pas que quelqu'un s'intéresse à lui.

Après réflexion, il trouva la personne parfaite Gabrielle de Sainte Croix. La dernière fois, ne lui avait-elle pas dit, d'une manière détournée, qu'elle souhaitait le revoir ? Puis les comptes n'étaient toujours pas à zéro ! Vu le départ qu'elle lui avait fait.
Depuis il ne l'avait pas revu, croisé dans les couloirs, mais mis à part quelque regards indéchiffrable , il n'y avait rien eu.
Il fallait encore trouver ou elle habitait ! Bon, avec un nom comme De Sainte Croix, elle vivait sûrement dans un manoir, à l'écart des moldus et protégé par des repousses-moldus.
Laurence gagna le chemin de traverse. Il alla à la bibliothèque et chercha dans les articles de presse archivé le nom de De Sainte Croix. Sûrement que son manoir était dans la famille depuis plusieurs générations. Et il trouva ce qu'il cherchait. Et même plus.
Il apprit ainsi que les parents de Gabrielle De Sainte croix avait été tué par... Lyzandra Bathory ? Ah... Laurence resta bête devant cet nouvelle. Il tomba même de très haut. Bathory, sa directice de Gryffondor, avec qui il avait bossé pas mal de truc … Ça sentait mauvais. Quelque chose lui échappait. Pourquoi s'en serait-elle prit au parents de Gabrielle ? Il connaissait un peu la prof et c'était louche... Et si les parents de Gabrielle avaient quelque chose à voir avec le Seigneur des Ténèbres ? C'était quelque chose de pas si improbable que ça...
Cela ne fit qu'attiser la curiosité du garçon. Et si c'était ça l'aspect étrange de Miss Gaby ? Son secret ? Ce n'était pas improbable...
Il prit l'adresse indiqué dans le journal et sortit des archives.


Laurence arriva devant les grilles du manoir, de très belle taille d'ailleurs. C'était une manie chez les Serpentard de vivre dans de pareil baraque ?
Enfin... Il tira sur la cloche qui annonçait qu'un visiteur était là. Puis il attendit. Une porte qui s'ouvre, des bruits de pas, le portail s'ouvre et...

- Gabrielle !

Il lui fit un sourire énigmatique, sachant que sa présence la surprendra. Il regarda la demoiselle de haut en bas, d'un coup d'oeil très admiratif. Ca lui allait bien, contrairement aux uniformes de l'école, qui cachait ses jolies jambes.
Il planta ses yeux dans ce de la maîtresse des lieux, toujours muette.

- Moi aussi je suis très content de te voir.

[Expérience]

Les vacances... C'était assurément les pires qu'il passait de toute sa vie. Il avait eu les résultats de ses ASPIC et c'était lamentablement planté comme il s'en était douté. Puis, il y avait aussi le fait que Poudlard derrière lui, les derniers ponts entre Cloé et lui et Jacob et Lui ceux coupaient définitivement. Et il avait du mal à l'admettre. Il avait envie d'arrêter de s'ennuyer, mais il n'avait pas envie de bouger. Vivant reclu dans sa chambre depuis le début des vacances, il ne faisait que dormir, regarder la télé et dormir. Il ne sortait que pour manger, aller s'acheter à boire et à fumer. Sa tante, s'en foutait de sa vie et le laissait dépérir.
Il en était arrivé à un point qu'il perdit toute notion de temps et dérégla complètement son système horaire. Au bout d'un moment, il se dit qu'il devait faire quelque chose.
Mais quoi ? Il avait envie de voir du monde. Mais pas quelqu'un qui lui demanderait s'il allait bien, si ce n'était pas trop dur. Il voulait s'intéresser à quelqu'un et non pas que quelqu'un s'intéresse à lui.

Après réflexion, il trouva la personne parfaite Gabrielle de Sainte Croix. La dernière fois, ne lui avait-elle pas dit, d'une manière détournée, qu'elle souhaitait le revoir ? Puis les comptes n'étaient toujours pas à zéro ! Vu le départ qu'elle lui avait fait.
Depuis il ne l'avait pas revu, croisé dans les couloirs, mais mis à part quelque regards indéchiffrable , il n'y avait rien eu.
Il fallait encore trouver ou elle habitait ! Bon, avec un nom comme De Sainte Croix, elle vivait sûrement dans un manoir, à l'écart des moldus et protégé par des repousses-moldus.
Laurence gagna le chemin de traverse. Il alla à la bibliothèque et chercha dans les articles de presse archivé le nom de De Sainte Croix. Sûrement que son manoir était dans la famille depuis plusieurs générations. Et il trouva ce qu'il cherchait. Et même plus.
Il apprit ainsi que les parents de Gabrielle De Sainte croix avait été tué par... Lyzandra Bathory ? Ah... Laurence resta bête devant cet nouvelle. Il tomba même de très haut. Bathory, sa directice de Gryffondor, avec qui il avait bossé pas mal de truc … Ça sentait mauvais. Quelque chose lui échappait. Pourquoi s'en serait-elle prit au parents de Gabrielle ? Il connaissait un peu la prof et c'était louche... Et si les parents de Gabrielle avaient quelque chose à voir avec le Seigneur des Ténèbres ? C'était quelque chose de pas si improbable que ça...
Cela ne fit qu'attiser la curiosité du garçon. Et si c'était ça l'aspect étrange de Miss Gaby ? Son secret ? Ce n'était pas improbable...
Il prit l'adresse indiqué dans le journal et sortit des archives.


Laurence arriva devant les grilles du manoir, de très belle taille d'ailleurs. C'était une manie chez les Serpentard de vivre dans de pareil baraque ?
Enfin... Il tira sur la cloche qui annonçait qu'un visiteur était là. Puis il attendit. Une porte qui s'ouvre, des bruits de pas, le portail s'ouvre et...

- Gabrielle !

Il lui fit un sourire énigmatique, sachant que sa présence la surprendra. Il regarda la demoiselle de haut en bas, d'un coup d'oeil très admiratif. Ca lui allait bien, contrairement aux uniformes de l'école, qui cachait ses jolies jambes.
Il planta ses yeux dans ce de la maîtresse des lieux, toujours muette.

- Moi aussi je suis très content de te voir.

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

Laurence ? Pendant quelques secondes, l'idée de fermer la grille et de la rouvrir pour vérifié qu'elle n'était pas en train de rêver lui traversa l'esprit. Que pouvait-il bien faire ici, devant la grille de son manoir ? En plus, il disait être content de la revoir. Elle devait bien l'avouer, elle aussi était très contente de le revoir, mais cela semblait presque irréel. Laurence Nixon, le jeune homme avec qui elle avait toujours eu une sorte de compétition indirect était là, devant chez elle, et avait même sonner ! C'était vraiment surprenant !

-Laurence ? Je suis à la fois très surprise et très contente de te revoir. Je t'en prie, entre.

Elle se poussa légèrement de la grille d'entrée, et avec un sourire lui fit signe d'entrer. Lorsqu'il fut entré, elle l'invita à la suivre, et elle marcha jusqu'à la porte du manoir, devant lequel un elfe de maison se tenait, un plateau dans les mains avec une théière, deux tasses de thé et du sucre. La jeune femme regarda son elfe de maison avec un sourire bienveillant. Depuis qu'elle était née, cet elfe était là, et il avait su au fils des années interpréter le moindre geste de la par de sa maîtresse. Lorsqu'il avait vu qu'elle ouvrait un peu plus la grille, il s'était empressé de retirer la théière du feu et de tout mettre sur un plateau avant de l'amener à Gaby. Elle lui sourit donc et répondit à sa question muette.

-Nous allons nous installer dans le jardin Falcon.

Falcon se détourna alors et retourna à l'intérieur de la maison pour aller préparer le jardin à la réception de l'invité de la jeune femme. Pendant ce temps là, Gaby s'était arrêté à la porte de la maison, et c'était tourné vers Laurence.

-Tu ne me refuserai pas un thé ?

Et oui, c'était une manière dissimulée de l'invité à prendre le thé avec elle. D'ailleurs, elle parlait de thé, mais il pouvait très bien lui demander autre chose à boire, elle ne s'en formaliserait pas. Une personne qui aurait connu Gaby avant le mois dernier aurait pu se demander qui était cette fille qui ressemblait tant à Gabrielle De Sainte Croix mais qui était totalement différente dans son attitude. Mais Laurence, lui, l'avait vu lorsqu'elle commençait à changer, alors ça ne devait pas le surprendre autant de la voir aussi souriante. Bon, c'est sur, elle se demandait ce qu'il venait faire là, et se demandait aussi s'il n'avait pas découvert son secret. Si c'était le cas, Gabrielle n'aurait pas d'autre choix que de se défendre, et ce ne serait surement pas très beau. Mais ce n'était pas le moment de penser à cela, il n'avait pas une allure hostile.
La jeune femme l'avait souvent croisé entre la nuit de leur défi et la fin de l'année, mais ce n'était que des regards furtifs, qui ne voulaient parfois pas dire grands chose. Elle avait de nombreuses fois eu envie de venir le saluer, mais elle avait peur de la réaction des autres membres de sa maison, et cela l'en avait empêcher. D'ailleurs, elle avait eu peur des membres de sa propre maison si ils apprenaient qu'elle « côtoyait » Laurence. Bref, elle avait été très discrète sur leur défi, et n'en avait parler à personne. C'était en quelques sorte leur secret. Mais de le voir, là, chez elle la rendait très heureuse. D'une parce que s'il s'était donné la peine de venir, c'était surement pour lui dire un peu plus que bonjour, et ensuite, qu'il l'appréciait un temps soit peu puisqu'il lui rendait visite.
Bref, elle se devait de l'accueillir comme il se devait, surtout qu'elle avait finit par l'apprécier ce petit Gryffondor.

Elle sortit de ses pensées lorsque Falcon vint la prévenir que tout était prêt. Elle laissa alors à Laurence l'occasion de passer devant elle.

[Localisation]

Laurence ? Pendant quelques secondes, l'idée de fermer la grille et de la rouvrir pour vérifié qu'elle n'était pas en train de rêver lui traversa l'esprit. Que pouvait-il bien faire ici, devant la grille de son manoir ? En plus, il disait être content de la revoir. Elle devait bien l'avouer, elle aussi était très contente de le revoir, mais cela semblait presque irréel. Laurence Nixon, le jeune homme avec qui elle avait toujours eu une sorte de compétition indirect était là, devant chez elle, et avait même sonner ! C'était vraiment surprenant !

-Laurence ? Je suis à la fois très surprise et très contente de te revoir. Je t'en prie, entre.

Elle se poussa légèrement de la grille d'entrée, et avec un sourire lui fit signe d'entrer. Lorsqu'il fut entré, elle l'invita à la suivre, et elle marcha jusqu'à la porte du manoir, devant lequel un elfe de maison se tenait, un plateau dans les mains avec une théière, deux tasses de thé et du sucre. La jeune femme regarda son elfe de maison avec un sourire bienveillant. Depuis qu'elle était née, cet elfe était là, et il avait su au fils des années interpréter le moindre geste de la par de sa maîtresse. Lorsqu'il avait vu qu'elle ouvrait un peu plus la grille, il s'était empressé de retirer la théière du feu et de tout mettre sur un plateau avant de l'amener à Gaby. Elle lui sourit donc et répondit à sa question muette.

-Nous allons nous installer dans le jardin Falcon.

Falcon se détourna alors et retourna à l'intérieur de la maison pour aller préparer le jardin à la réception de l'invité de la jeune femme. Pendant ce temps là, Gaby s'était arrêté à la porte de la maison, et c'était tourné vers Laurence.

-Tu ne me refuserai pas un thé ?

Et oui, c'était une manière dissimulée de l'invité à prendre le thé avec elle. D'ailleurs, elle parlait de thé, mais il pouvait très bien lui demander autre chose à boire, elle ne s'en formaliserait pas. Une personne qui aurait connu Gaby avant le mois dernier aurait pu se demander qui était cette fille qui ressemblait tant à Gabrielle De Sainte Croix mais qui était totalement différente dans son attitude. Mais Laurence, lui, l'avait vu lorsqu'elle commençait à changer, alors ça ne devait pas le surprendre autant de la voir aussi souriante. Bon, c'est sur, elle se demandait ce qu'il venait faire là, et se demandait aussi s'il n'avait pas découvert son secret. Si c'était le cas, Gabrielle n'aurait pas d'autre choix que de se défendre, et ce ne serait surement pas très beau. Mais ce n'était pas le moment de penser à cela, il n'avait pas une allure hostile.
La jeune femme l'avait souvent croisé entre la nuit de leur défi et la fin de l'année, mais ce n'était que des regards furtifs, qui ne voulaient parfois pas dire grands chose. Elle avait de nombreuses fois eu envie de venir le saluer, mais elle avait peur de la réaction des autres membres de sa maison, et cela l'en avait empêcher. D'ailleurs, elle avait eu peur des membres de sa propre maison si ils apprenaient qu'elle « côtoyait » Laurence. Bref, elle avait été très discrète sur leur défi, et n'en avait parler à personne. C'était en quelques sorte leur secret. Mais de le voir, là, chez elle la rendait très heureuse. D'une parce que s'il s'était donné la peine de venir, c'était surement pour lui dire un peu plus que bonjour, et ensuite, qu'il l'appréciait un temps soit peu puisqu'il lui rendait visite.
Bref, elle se devait de l'accueillir comme il se devait, surtout qu'elle avait finit par l'apprécier ce petit Gryffondor.

Elle sortit de ses pensées lorsque Falcon vint la prévenir que tout était prêt. Elle laissa alors à Laurence l'occasion de passer devant elle.

[Nb de messages]

Laurence ? Pendant quelques secondes, l'idée de fermer la grille et de la rouvrir pour vérifié qu'elle n'était pas en train de rêver lui traversa l'esprit. Que pouvait-il bien faire ici, devant la grille de son manoir ? En plus, il disait être content de la revoir. Elle devait bien l'avouer, elle aussi était très contente de le revoir, mais cela semblait presque irréel. Laurence Nixon, le jeune homme avec qui elle avait toujours eu une sorte de compétition indirect était là, devant chez elle, et avait même sonner ! C'était vraiment surprenant !

-Laurence ? Je suis à la fois très surprise et très contente de te revoir. Je t'en prie, entre.

Elle se poussa légèrement de la grille d'entrée, et avec un sourire lui fit signe d'entrer. Lorsqu'il fut entré, elle l'invita à la suivre, et elle marcha jusqu'à la porte du manoir, devant lequel un elfe de maison se tenait, un plateau dans les mains avec une théière, deux tasses de thé et du sucre. La jeune femme regarda son elfe de maison avec un sourire bienveillant. Depuis qu'elle était née, cet elfe était là, et il avait su au fils des années interpréter le moindre geste de la par de sa maîtresse. Lorsqu'il avait vu qu'elle ouvrait un peu plus la grille, il s'était empressé de retirer la théière du feu et de tout mettre sur un plateau avant de l'amener à Gaby. Elle lui sourit donc et répondit à sa question muette.

-Nous allons nous installer dans le jardin Falcon.

Falcon se détourna alors et retourna à l'intérieur de la maison pour aller préparer le jardin à la réception de l'invité de la jeune femme. Pendant ce temps là, Gaby s'était arrêté à la porte de la maison, et c'était tourné vers Laurence.

-Tu ne me refuserai pas un thé ?

Et oui, c'était une manière dissimulée de l'invité à prendre le thé avec elle. D'ailleurs, elle parlait de thé, mais il pouvait très bien lui demander autre chose à boire, elle ne s'en formaliserait pas. Une personne qui aurait connu Gaby avant le mois dernier aurait pu se demander qui était cette fille qui ressemblait tant à Gabrielle De Sainte Croix mais qui était totalement différente dans son attitude. Mais Laurence, lui, l'avait vu lorsqu'elle commençait à changer, alors ça ne devait pas le surprendre autant de la voir aussi souriante. Bon, c'est sur, elle se demandait ce qu'il venait faire là, et se demandait aussi s'il n'avait pas découvert son secret. Si c'était le cas, Gabrielle n'aurait pas d'autre choix que de se défendre, et ce ne serait surement pas très beau. Mais ce n'était pas le moment de penser à cela, il n'avait pas une allure hostile.
La jeune femme l'avait souvent croisé entre la nuit de leur défi et la fin de l'année, mais ce n'était que des regards furtifs, qui ne voulaient parfois pas dire grands chose. Elle avait de nombreuses fois eu envie de venir le saluer, mais elle avait peur de la réaction des autres membres de sa maison, et cela l'en avait empêcher. D'ailleurs, elle avait eu peur des membres de sa propre maison si ils apprenaient qu'elle « côtoyait » Laurence. Bref, elle avait été très discrète sur leur défi, et n'en avait parler à personne. C'était en quelques sorte leur secret. Mais de le voir, là, chez elle la rendait très heureuse. D'une parce que s'il s'était donné la peine de venir, c'était surement pour lui dire un peu plus que bonjour, et ensuite, qu'il l'appréciait un temps soit peu puisqu'il lui rendait visite.
Bref, elle se devait de l'accueillir comme il se devait, surtout qu'elle avait finit par l'apprécier ce petit Gryffondor.

Elle sortit de ses pensées lorsque Falcon vint la prévenir que tout était prêt. Elle laissa alors à Laurence l'occasion de passer devant elle.

[Bourse]

Laurence ? Pendant quelques secondes, l'idée de fermer la grille et de la rouvrir pour vérifié qu'elle n'était pas en train de rêver lui traversa l'esprit. Que pouvait-il bien faire ici, devant la grille de son manoir ? En plus, il disait être content de la revoir. Elle devait bien l'avouer, elle aussi était très contente de le revoir, mais cela semblait presque irréel. Laurence Nixon, le jeune homme avec qui elle avait toujours eu une sorte de compétition indirect était là, devant chez elle, et avait même sonner ! C'était vraiment surprenant !

-Laurence ? Je suis à la fois très surprise et très contente de te revoir. Je t'en prie, entre.

Elle se poussa légèrement de la grille d'entrée, et avec un sourire lui fit signe d'entrer. Lorsqu'il fut entré, elle l'invita à la suivre, et elle marcha jusqu'à la porte du manoir, devant lequel un elfe de maison se tenait, un plateau dans les mains avec une théière, deux tasses de thé et du sucre. La jeune femme regarda son elfe de maison avec un sourire bienveillant. Depuis qu'elle était née, cet elfe était là, et il avait su au fils des années interpréter le moindre geste de la par de sa maîtresse. Lorsqu'il avait vu qu'elle ouvrait un peu plus la grille, il s'était empressé de retirer la théière du feu et de tout mettre sur un plateau avant de l'amener à Gaby. Elle lui sourit donc et répondit à sa question muette.

-Nous allons nous installer dans le jardin Falcon.

Falcon se détourna alors et retourna à l'intérieur de la maison pour aller préparer le jardin à la réception de l'invité de la jeune femme. Pendant ce temps là, Gaby s'était arrêté à la porte de la maison, et c'était tourné vers Laurence.

-Tu ne me refuserai pas un thé ?

Et oui, c'était une manière dissimulée de l'invité à prendre le thé avec elle. D'ailleurs, elle parlait de thé, mais il pouvait très bien lui demander autre chose à boire, elle ne s'en formaliserait pas. Une personne qui aurait connu Gaby avant le mois dernier aurait pu se demander qui était cette fille qui ressemblait tant à Gabrielle De Sainte Croix mais qui était totalement différente dans son attitude. Mais Laurence, lui, l'avait vu lorsqu'elle commençait à changer, alors ça ne devait pas le surprendre autant de la voir aussi souriante. Bon, c'est sur, elle se demandait ce qu'il venait faire là, et se demandait aussi s'il n'avait pas découvert son secret. Si c'était le cas, Gabrielle n'aurait pas d'autre choix que de se défendre, et ce ne serait surement pas très beau. Mais ce n'était pas le moment de penser à cela, il n'avait pas une allure hostile.
La jeune femme l'avait souvent croisé entre la nuit de leur défi et la fin de l'année, mais ce n'était que des regards furtifs, qui ne voulaient parfois pas dire grands chose. Elle avait de nombreuses fois eu envie de venir le saluer, mais elle avait peur de la réaction des autres membres de sa maison, et cela l'en avait empêcher. D'ailleurs, elle avait eu peur des membres de sa propre maison si ils apprenaient qu'elle « côtoyait » Laurence. Bref, elle avait été très discrète sur leur défi, et n'en avait parler à personne. C'était en quelques sorte leur secret. Mais de le voir, là, chez elle la rendait très heureuse. D'une parce que s'il s'était donné la peine de venir, c'était surement pour lui dire un peu plus que bonjour, et ensuite, qu'il l'appréciait un temps soit peu puisqu'il lui rendait visite.
Bref, elle se devait de l'accueillir comme il se devait, surtout qu'elle avait finit par l'apprécier ce petit Gryffondor.

Elle sortit de ses pensées lorsque Falcon vint la prévenir que tout était prêt. Elle laissa alors à Laurence l'occasion de passer devant elle.

[Données]

Laurence ? Pendant quelques secondes, l'idée de fermer la grille et de la rouvrir pour vérifié qu'elle n'était pas en train de rêver lui traversa l'esprit. Que pouvait-il bien faire ici, devant la grille de son manoir ? En plus, il disait être content de la revoir. Elle devait bien l'avouer, elle aussi était très contente de le revoir, mais cela semblait presque irréel. Laurence Nixon, le jeune homme avec qui elle avait toujours eu une sorte de compétition indirect était là, devant chez elle, et avait même sonner ! C'était vraiment surprenant !

-Laurence ? Je suis à la fois très surprise et très contente de te revoir. Je t'en prie, entre.

Elle se poussa légèrement de la grille d'entrée, et avec un sourire lui fit signe d'entrer. Lorsqu'il fut entré, elle l'invita à la suivre, et elle marcha jusqu'à la porte du manoir, devant lequel un elfe de maison se tenait, un plateau dans les mains avec une théière, deux tasses de thé et du sucre. La jeune femme regarda son elfe de maison avec un sourire bienveillant. Depuis qu'elle était née, cet elfe était là, et il avait su au fils des années interpréter le moindre geste de la par de sa maîtresse. Lorsqu'il avait vu qu'elle ouvrait un peu plus la grille, il s'était empressé de retirer la théière du feu et de tout mettre sur un plateau avant de l'amener à Gaby. Elle lui sourit donc et répondit à sa question muette.

-Nous allons nous installer dans le jardin Falcon.

Falcon se détourna alors et retourna à l'intérieur de la maison pour aller préparer le jardin à la réception de l'invité de la jeune femme. Pendant ce temps là, Gaby s'était arrêté à la porte de la maison, et c'était tourné vers Laurence.

-Tu ne me refuserai pas un thé ?

Et oui, c'était une manière dissimulée de l'invité à prendre le thé avec elle. D'ailleurs, elle parlait de thé, mais il pouvait très bien lui demander autre chose à boire, elle ne s'en formaliserait pas. Une personne qui aurait connu Gaby avant le mois dernier aurait pu se demander qui était cette fille qui ressemblait tant à Gabrielle De Sainte Croix mais qui était totalement différente dans son attitude. Mais Laurence, lui, l'avait vu lorsqu'elle commençait à changer, alors ça ne devait pas le surprendre autant de la voir aussi souriante. Bon, c'est sur, elle se demandait ce qu'il venait faire là, et se demandait aussi s'il n'avait pas découvert son secret. Si c'était le cas, Gabrielle n'aurait pas d'autre choix que de se défendre, et ce ne serait surement pas très beau. Mais ce n'était pas le moment de penser à cela, il n'avait pas une allure hostile.
La jeune femme l'avait souvent croisé entre la nuit de leur défi et la fin de l'année, mais ce n'était que des regards furtifs, qui ne voulaient parfois pas dire grands chose. Elle avait de nombreuses fois eu envie de venir le saluer, mais elle avait peur de la réaction des autres membres de sa maison, et cela l'en avait empêcher. D'ailleurs, elle avait eu peur des membres de sa propre maison si ils apprenaient qu'elle « côtoyait » Laurence. Bref, elle avait été très discrète sur leur défi, et n'en avait parler à personne. C'était en quelques sorte leur secret. Mais de le voir, là, chez elle la rendait très heureuse. D'une parce que s'il s'était donné la peine de venir, c'était surement pour lui dire un peu plus que bonjour, et ensuite, qu'il l'appréciait un temps soit peu puisqu'il lui rendait visite.
Bref, elle se devait de l'accueillir comme il se devait, surtout qu'elle avait finit par l'apprécier ce petit Gryffondor.

Elle sortit de ses pensées lorsque Falcon vint la prévenir que tout était prêt. Elle laissa alors à Laurence l'occasion de passer devant elle.

[Expérience]

Laurence ? Pendant quelques secondes, l'idée de fermer la grille et de la rouvrir pour vérifié qu'elle n'était pas en train de rêver lui traversa l'esprit. Que pouvait-il bien faire ici, devant la grille de son manoir ? En plus, il disait être content de la revoir. Elle devait bien l'avouer, elle aussi était très contente de le revoir, mais cela semblait presque irréel. Laurence Nixon, le jeune homme avec qui elle avait toujours eu une sorte de compétition indirect était là, devant chez elle, et avait même sonner ! C'était vraiment surprenant !

-Laurence ? Je suis à la fois très surprise et très contente de te revoir. Je t'en prie, entre.

Elle se poussa légèrement de la grille d'entrée, et avec un sourire lui fit signe d'entrer. Lorsqu'il fut entré, elle l'invita à la suivre, et elle marcha jusqu'à la porte du manoir, devant lequel un elfe de maison se tenait, un plateau dans les mains avec une théière, deux tasses de thé et du sucre. La jeune femme regarda son elfe de maison avec un sourire bienveillant. Depuis qu'elle était née, cet elfe était là, et il avait su au fils des années interpréter le moindre geste de la par de sa maîtresse. Lorsqu'il avait vu qu'elle ouvrait un peu plus la grille, il s'était empressé de retirer la théière du feu et de tout mettre sur un plateau avant de l'amener à Gaby. Elle lui sourit donc et répondit à sa question muette.

-Nous allons nous installer dans le jardin Falcon.

Falcon se détourna alors et retourna à l'intérieur de la maison pour aller préparer le jardin à la réception de l'invité de la jeune femme. Pendant ce temps là, Gaby s'était arrêté à la porte de la maison, et c'était tourné vers Laurence.

-Tu ne me refuserai pas un thé ?

Et oui, c'était une manière dissimulée de l'invité à prendre le thé avec elle. D'ailleurs, elle parlait de thé, mais il pouvait très bien lui demander autre chose à boire, elle ne s'en formaliserait pas. Une personne qui aurait connu Gaby avant le mois dernier aurait pu se demander qui était cette fille qui ressemblait tant à Gabrielle De Sainte Croix mais qui était totalement différente dans son attitude. Mais Laurence, lui, l'avait vu lorsqu'elle commençait à changer, alors ça ne devait pas le surprendre autant de la voir aussi souriante. Bon, c'est sur, elle se demandait ce qu'il venait faire là, et se demandait aussi s'il n'avait pas découvert son secret. Si c'était le cas, Gabrielle n'aurait pas d'autre choix que de se défendre, et ce ne serait surement pas très beau. Mais ce n'était pas le moment de penser à cela, il n'avait pas une allure hostile.
La jeune femme l'avait souvent croisé entre la nuit de leur défi et la fin de l'année, mais ce n'était que des regards furtifs, qui ne voulaient parfois pas dire grands chose. Elle avait de nombreuses fois eu envie de venir le saluer, mais elle avait peur de la réaction des autres membres de sa maison, et cela l'en avait empêcher. D'ailleurs, elle avait eu peur des membres de sa propre maison si ils apprenaient qu'elle « côtoyait » Laurence. Bref, elle avait été très discrète sur leur défi, et n'en avait parler à personne. C'était en quelques sorte leur secret. Mais de le voir, là, chez elle la rendait très heureuse. D'une parce que s'il s'était donné la peine de venir, c'était surement pour lui dire un peu plus que bonjour, et ensuite, qu'il l'appréciait un temps soit peu puisqu'il lui rendait visite.
Bref, elle se devait de l'accueillir comme il se devait, surtout qu'elle avait finit par l'apprécier ce petit Gryffondor.

Elle sortit de ses pensées lorsque Falcon vint la prévenir que tout était prêt. Elle laissa alors à Laurence l'occasion de passer devant elle.

[— ADMINISTRATEUR —]

Hé oui, c'était bel et bien lui, Laurence Nixon qui se trouvait là, devant le grand manoir des De Sainte Croix. C'est vrai, que c'était étrange de le voir lui, dans un cadre si pompeux. Non pas qe c'était un clochard qui aimait vivre dans les endroits insalubres, mais là, c'était trop. Une si grande baraque, avec un si grand jardin... il imaginait aisément qu'un elfe de maison ou deux devait y travailler... Pour lui c'était trop. Il n'était pas à l'aise dans ce genre de décor. Déjà car ça ne lui correspondait pas, puis après, ça le mettait mal à l'aise. Mais bon, là, il allait faire un effort pour ne pas fuir rapidement.
Puis rien qu'en voyant Gabrielle, il trouvait une motivation à rester. Comme il l'avait déjà remarqué, le fait de ne pas porter son uniforme, la mettait en valeur.
Enfin bon... Il sortit de sa contemplation pour rentrer comme il y était convié.

- Oui c'est bien moi ! La dernière fois, tu as émis le souhait d'une nouvelle rencontre et je me suis dis que si je tardais trop, tu allais m'oublier alors... Me voilà !

Il lui décrocha son plus beau sourire pour accompagner sa tirade. Pas son sourire le plus charmeur, énigmatique et tout ça... Mais un sourire naturel. Ca lui arrivait de faire dans le vrai aussi. Même si entretenir les apparences ce révélait plus payant en général.
Ils remontèrent l'allée jusqu'à monter les marches ou, en haut, les attendait un elfe de maison avec un plateau composé du matériel nécessaire au thé.
Laurence eu du mal à retenir un sourire moqueur. Il aimait bien ces petites bestioles qu'étaient les elfes de maison, mais leur sens de l'hospitalité n'avait d'égal que leur stupidité. Ils étaient attachant malgré tout.
Il regarda l'elfe partir en trottinant, puis le Gryffondor se tourna vers Gabrielle.

- Je préfèrerais un café si ça dérange pas ton elfe.

En effet, Laurence était américain à la base et il n'avait jamais vraiment bu de thé, comme c'est la coutume en Angleterre. Puis, il détestait ça. Ce goût d'herbe dans la bouche, c'était... beurk !

Il profita du fait d'être dans le hall pour regarder l’intérieur de la demeure. C'était là aussi, très pompeux. Typique des vieilles familles de sorcier. Après le manoir de Cloé, il aurait pensé qu'il ne pouvait pas voir pire en matière de coutume et de tradition. Mais en fait il semblait que si. Ils se transmettaient ces vieilleries de génération en génération... Ce qu'ils appelaient l'héritage familiale.
D'ailleurs, ça lui faisait penser à ce qu'il avait vu dans le journal archivé de la Gazette du Sorcier, un peu plus tôt. Gabrielle vivait seul dans cet demeure maintenant ? Ou avait-elle de la famille ? Il se voyait mal entourer de tout un tas de De Sainte Croix.
Il revint à ses pensées au même moment ou Gaby l'invita à se diriger vers le jardin, comme elle l'avait dit à son fidèle toutou, Falcon.

- Tu l'as bien dressé ta bestiole, c'est bien.

Il lui fit un sourire moqueur et s'avança tranquillement dans la demeure, marchant au côté de Gabrielle. Ils pénétrèrent dans le jardin, qui était superbe, sûrement entretenu par les elfes puis se dirigea vers la table dressé. L'elfe lui tira la chaise, mais Laurence lui sourit et s'écarta pour laisser la maîtresse des lieux s'y assoir, puis le rouge et or alla en face. Gentleman ou pas !!!

- Alors, tes vacances ? Tu t'ennuie pas trop dans ce château ?

Il avait du mal à rester simple et ne pas montrer ce qu'il pensait de temps de richesse... C'était du Laurence pur.

[Localisation]

Hé oui, c'était bel et bien lui, Laurence Nixon qui se trouvait là, devant le grand manoir des De Sainte Croix. C'est vrai, que c'était étrange de le voir lui, dans un cadre si pompeux. Non pas qe c'était un clochard qui aimait vivre dans les endroits insalubres, mais là, c'était trop. Une si grande baraque, avec un si grand jardin... il imaginait aisément qu'un elfe de maison ou deux devait y travailler... Pour lui c'était trop. Il n'était pas à l'aise dans ce genre de décor. Déjà car ça ne lui correspondait pas, puis après, ça le mettait mal à l'aise. Mais bon, là, il allait faire un effort pour ne pas fuir rapidement.
Puis rien qu'en voyant Gabrielle, il trouvait une motivation à rester. Comme il l'avait déjà remarqué, le fait de ne pas porter son uniforme, la mettait en valeur.
Enfin bon... Il sortit de sa contemplation pour rentrer comme il y était convié.

- Oui c'est bien moi ! La dernière fois, tu as émis le souhait d'une nouvelle rencontre et je me suis dis que si je tardais trop, tu allais m'oublier alors... Me voilà !

Il lui décrocha son plus beau sourire pour accompagner sa tirade. Pas son sourire le plus charmeur, énigmatique et tout ça... Mais un sourire naturel. Ca lui arrivait de faire dans le vrai aussi. Même si entretenir les apparences ce révélait plus payant en général.
Ils remontèrent l'allée jusqu'à monter les marches ou, en haut, les attendait un elfe de maison avec un plateau composé du matériel nécessaire au thé.
Laurence eu du mal à retenir un sourire moqueur. Il aimait bien ces petites bestioles qu'étaient les elfes de maison, mais leur sens de l'hospitalité n'avait d'égal que leur stupidité. Ils étaient attachant malgré tout.
Il regarda l'elfe partir en trottinant, puis le Gryffondor se tourna vers Gabrielle.

- Je préfèrerais un café si ça dérange pas ton elfe.

En effet, Laurence était américain à la base et il n'avait jamais vraiment bu de thé, comme c'est la coutume en Angleterre. Puis, il détestait ça. Ce goût d'herbe dans la bouche, c'était... beurk !

Il profita du fait d'être dans le hall pour regarder l’intérieur de la demeure. C'était là aussi, très pompeux. Typique des vieilles familles de sorcier. Après le manoir de Cloé, il aurait pensé qu'il ne pouvait pas voir pire en matière de coutume et de tradition. Mais en fait il semblait que si. Ils se transmettaient ces vieilleries de génération en génération... Ce qu'ils appelaient l'héritage familiale.
D'ailleurs, ça lui faisait penser à ce qu'il avait vu dans le journal archivé de la Gazette du Sorcier, un peu plus tôt. Gabrielle vivait seul dans cet demeure maintenant ? Ou avait-elle de la famille ? Il se voyait mal entourer de tout un tas de De Sainte Croix.
Il revint à ses pensées au même moment ou Gaby l'invita à se diriger vers le jardin, comme elle l'avait dit à son fidèle toutou, Falcon.

- Tu l'as bien dressé ta bestiole, c'est bien.

Il lui fit un sourire moqueur et s'avança tranquillement dans la demeure, marchant au côté de Gabrielle. Ils pénétrèrent dans le jardin, qui était superbe, sûrement entretenu par les elfes puis se dirigea vers la table dressé. L'elfe lui tira la chaise, mais Laurence lui sourit et s'écarta pour laisser la maîtresse des lieux s'y assoir, puis le rouge et or alla en face. Gentleman ou pas !!!

- Alors, tes vacances ? Tu t'ennuie pas trop dans ce château ?

Il avait du mal à rester simple et ne pas montrer ce qu'il pensait de temps de richesse... C'était du Laurence pur.

[Nb de messages]

Hé oui, c'était bel et bien lui, Laurence Nixon qui se trouvait là, devant le grand manoir des De Sainte Croix. C'est vrai, que c'était étrange de le voir lui, dans un cadre si pompeux. Non pas qe c'était un clochard qui aimait vivre dans les endroits insalubres, mais là, c'était trop. Une si grande baraque, avec un si grand jardin... il imaginait aisément qu'un elfe de maison ou deux devait y travailler... Pour lui c'était trop. Il n'était pas à l'aise dans ce genre de décor. Déjà car ça ne lui correspondait pas, puis après, ça le mettait mal à l'aise. Mais bon, là, il allait faire un effort pour ne pas fuir rapidement.
Puis rien qu'en voyant Gabrielle, il trouvait une motivation à rester. Comme il l'avait déjà remarqué, le fait de ne pas porter son uniforme, la mettait en valeur.
Enfin bon... Il sortit de sa contemplation pour rentrer comme il y était convié.

- Oui c'est bien moi ! La dernière fois, tu as émis le souhait d'une nouvelle rencontre et je me suis dis que si je tardais trop, tu allais m'oublier alors... Me voilà !

Il lui décrocha son plus beau sourire pour accompagner sa tirade. Pas son sourire le plus charmeur, énigmatique et tout ça... Mais un sourire naturel. Ca lui arrivait de faire dans le vrai aussi. Même si entretenir les apparences ce révélait plus payant en général.
Ils remontèrent l'allée jusqu'à monter les marches ou, en haut, les attendait un elfe de maison avec un plateau composé du matériel nécessaire au thé.
Laurence eu du mal à retenir un sourire moqueur. Il aimait bien ces petites bestioles qu'étaient les elfes de maison, mais leur sens de l'hospitalité n'avait d'égal que leur stupidité. Ils étaient attachant malgré tout.
Il regarda l'elfe partir en trottinant, puis le Gryffondor se tourna vers Gabrielle.

- Je préfèrerais un café si ça dérange pas ton elfe.

En effet, Laurence était américain à la base et il n'avait jamais vraiment bu de thé, comme c'est la coutume en Angleterre. Puis, il détestait ça. Ce goût d'herbe dans la bouche, c'était... beurk !

Il profita du fait d'être dans le hall pour regarder l’intérieur de la demeure. C'était là aussi, très pompeux. Typique des vieilles familles de sorcier. Après le manoir de Cloé, il aurait pensé qu'il ne pouvait pas voir pire en matière de coutume et de tradition. Mais en fait il semblait que si. Ils se transmettaient ces vieilleries de génération en génération... Ce qu'ils appelaient l'héritage familiale.
D'ailleurs, ça lui faisait penser à ce qu'il avait vu dans le journal archivé de la Gazette du Sorcier, un peu plus tôt. Gabrielle vivait seul dans cet demeure maintenant ? Ou avait-elle de la famille ? Il se voyait mal entourer de tout un tas de De Sainte Croix.
Il revint à ses pensées au même moment ou Gaby l'invita à se diriger vers le jardin, comme elle l'avait dit à son fidèle toutou, Falcon.

- Tu l'as bien dressé ta bestiole, c'est bien.

Il lui fit un sourire moqueur et s'avança tranquillement dans la demeure, marchant au côté de Gabrielle. Ils pénétrèrent dans le jardin, qui était superbe, sûrement entretenu par les elfes puis se dirigea vers la table dressé. L'elfe lui tira la chaise, mais Laurence lui sourit et s'écarta pour laisser la maîtresse des lieux s'y assoir, puis le rouge et or alla en face. Gentleman ou pas !!!

- Alors, tes vacances ? Tu t'ennuie pas trop dans ce château ?

Il avait du mal à rester simple et ne pas montrer ce qu'il pensait de temps de richesse... C'était du Laurence pur.

[Bourse]

Hé oui, c'était bel et bien lui, Laurence Nixon qui se trouvait là, devant le grand manoir des De Sainte Croix. C'est vrai, que c'était étrange de le voir lui, dans un cadre si pompeux. Non pas qe c'était un clochard qui aimait vivre dans les endroits insalubres, mais là, c'était trop. Une si grande baraque, avec un si grand jardin... il imaginait aisément qu'un elfe de maison ou deux devait y travailler... Pour lui c'était trop. Il n'était pas à l'aise dans ce genre de décor. Déjà car ça ne lui correspondait pas, puis après, ça le mettait mal à l'aise. Mais bon, là, il allait faire un effort pour ne pas fuir rapidement.
Puis rien qu'en voyant Gabrielle, il trouvait une motivation à rester. Comme il l'avait déjà remarqué, le fait de ne pas porter son uniforme, la mettait en valeur.
Enfin bon... Il sortit de sa contemplation pour rentrer comme il y était convié.

- Oui c'est bien moi ! La dernière fois, tu as émis le souhait d'une nouvelle rencontre et je me suis dis que si je tardais trop, tu allais m'oublier alors... Me voilà !

Il lui décrocha son plus beau sourire pour accompagner sa tirade. Pas son sourire le plus charmeur, énigmatique et tout ça... Mais un sourire naturel. Ca lui arrivait de faire dans le vrai aussi. Même si entretenir les apparences ce révélait plus payant en général.
Ils remontèrent l'allée jusqu'à monter les marches ou, en haut, les attendait un elfe de maison avec un plateau composé du matériel nécessaire au thé.
Laurence eu du mal à retenir un sourire moqueur. Il aimait bien ces petites bestioles qu'étaient les elfes de maison, mais leur sens de l'hospitalité n'avait d'égal que leur stupidité. Ils étaient attachant malgré tout.
Il regarda l'elfe partir en trottinant, puis le Gryffondor se tourna vers Gabrielle.

- Je préfèrerais un café si ça dérange pas ton elfe.

En effet, Laurence était américain à la base et il n'avait jamais vraiment bu de thé, comme c'est la coutume en Angleterre. Puis, il détestait ça. Ce goût d'herbe dans la bouche, c'était... beurk !

Il profita du fait d'être dans le hall pour regarder l’intérieur de la demeure. C'était là aussi, très pompeux. Typique des vieilles familles de sorcier. Après le manoir de Cloé, il aurait pensé qu'il ne pouvait pas voir pire en matière de coutume et de tradition. Mais en fait il semblait que si. Ils se transmettaient ces vieilleries de génération en génération... Ce qu'ils appelaient l'héritage familiale.
D'ailleurs, ça lui faisait penser à ce qu'il avait vu dans le journal archivé de la Gazette du Sorcier, un peu plus tôt. Gabrielle vivait seul dans cet demeure maintenant ? Ou avait-elle de la famille ? Il se voyait mal entourer de tout un tas de De Sainte Croix.
Il revint à ses pensées au même moment ou Gaby l'invita à se diriger vers le jardin, comme elle l'avait dit à son fidèle toutou, Falcon.

- Tu l'as bien dressé ta bestiole, c'est bien.

Il lui fit un sourire moqueur et s'avança tranquillement dans la demeure, marchant au côté de Gabrielle. Ils pénétrèrent dans le jardin, qui était superbe, sûrement entretenu par les elfes puis se dirigea vers la table dressé. L'elfe lui tira la chaise, mais Laurence lui sourit et s'écarta pour laisser la maîtresse des lieux s'y assoir, puis le rouge et or alla en face. Gentleman ou pas !!!

- Alors, tes vacances ? Tu t'ennuie pas trop dans ce château ?

Il avait du mal à rester simple et ne pas montrer ce qu'il pensait de temps de richesse... C'était du Laurence pur.

[Données]

Hé oui, c'était bel et bien lui, Laurence Nixon qui se trouvait là, devant le grand manoir des De Sainte Croix. C'est vrai, que c'était étrange de le voir lui, dans un cadre si pompeux. Non pas qe c'était un clochard qui aimait vivre dans les endroits insalubres, mais là, c'était trop. Une si grande baraque, avec un si grand jardin... il imaginait aisément qu'un elfe de maison ou deux devait y travailler... Pour lui c'était trop. Il n'était pas à l'aise dans ce genre de décor. Déjà car ça ne lui correspondait pas, puis après, ça le mettait mal à l'aise. Mais bon, là, il allait faire un effort pour ne pas fuir rapidement.
Puis rien qu'en voyant Gabrielle, il trouvait une motivation à rester. Comme il l'avait déjà remarqué, le fait de ne pas porter son uniforme, la mettait en valeur.
Enfin bon... Il sortit de sa contemplation pour rentrer comme il y était convié.

- Oui c'est bien moi ! La dernière fois, tu as émis le souhait d'une nouvelle rencontre et je me suis dis que si je tardais trop, tu allais m'oublier alors... Me voilà !

Il lui décrocha son plus beau sourire pour accompagner sa tirade. Pas son sourire le plus charmeur, énigmatique et tout ça... Mais un sourire naturel. Ca lui arrivait de faire dans le vrai aussi. Même si entretenir les apparences ce révélait plus payant en général.
Ils remontèrent l'allée jusqu'à monter les marches ou, en haut, les attendait un elfe de maison avec un plateau composé du matériel nécessaire au thé.
Laurence eu du mal à retenir un sourire moqueur. Il aimait bien ces petites bestioles qu'étaient les elfes de maison, mais leur sens de l'hospitalité n'avait d'égal que leur stupidité. Ils étaient attachant malgré tout.
Il regarda l'elfe partir en trottinant, puis le Gryffondor se tourna vers Gabrielle.

- Je préfèrerais un café si ça dérange pas ton elfe.

En effet, Laurence était américain à la base et il n'avait jamais vraiment bu de thé, comme c'est la coutume en Angleterre. Puis, il détestait ça. Ce goût d'herbe dans la bouche, c'était... beurk !

Il profita du fait d'être dans le hall pour regarder l’intérieur de la demeure. C'était là aussi, très pompeux. Typique des vieilles familles de sorcier. Après le manoir de Cloé, il aurait pensé qu'il ne pouvait pas voir pire en matière de coutume et de tradition. Mais en fait il semblait que si. Ils se transmettaient ces vieilleries de génération en génération... Ce qu'ils appelaient l'héritage familiale.
D'ailleurs, ça lui faisait penser à ce qu'il avait vu dans le journal archivé de la Gazette du Sorcier, un peu plus tôt. Gabrielle vivait seul dans cet demeure maintenant ? Ou avait-elle de la famille ? Il se voyait mal entourer de tout un tas de De Sainte Croix.
Il revint à ses pensées au même moment ou Gaby l'invita à se diriger vers le jardin, comme elle l'avait dit à son fidèle toutou, Falcon.

- Tu l'as bien dressé ta bestiole, c'est bien.

Il lui fit un sourire moqueur et s'avança tranquillement dans la demeure, marchant au côté de Gabrielle. Ils pénétrèrent dans le jardin, qui était superbe, sûrement entretenu par les elfes puis se dirigea vers la table dressé. L'elfe lui tira la chaise, mais Laurence lui sourit et s'écarta pour laisser la maîtresse des lieux s'y assoir, puis le rouge et or alla en face. Gentleman ou pas !!!

- Alors, tes vacances ? Tu t'ennuie pas trop dans ce château ?

Il avait du mal à rester simple et ne pas montrer ce qu'il pensait de temps de richesse... C'était du Laurence pur.

[Expérience]

Hé oui, c'était bel et bien lui, Laurence Nixon qui se trouvait là, devant le grand manoir des De Sainte Croix. C'est vrai, que c'était étrange de le voir lui, dans un cadre si pompeux. Non pas qe c'était un clochard qui aimait vivre dans les endroits insalubres, mais là, c'était trop. Une si grande baraque, avec un si grand jardin... il imaginait aisément qu'un elfe de maison ou deux devait y travailler... Pour lui c'était trop. Il n'était pas à l'aise dans ce genre de décor. Déjà car ça ne lui correspondait pas, puis après, ça le mettait mal à l'aise. Mais bon, là, il allait faire un effort pour ne pas fuir rapidement.
Puis rien qu'en voyant Gabrielle, il trouvait une motivation à rester. Comme il l'avait déjà remarqué, le fait de ne pas porter son uniforme, la mettait en valeur.
Enfin bon... Il sortit de sa contemplation pour rentrer comme il y était convié.

- Oui c'est bien moi ! La dernière fois, tu as émis le souhait d'une nouvelle rencontre et je me suis dis que si je tardais trop, tu allais m'oublier alors... Me voilà !

Il lui décrocha son plus beau sourire pour accompagner sa tirade. Pas son sourire le plus charmeur, énigmatique et tout ça... Mais un sourire naturel. Ca lui arrivait de faire dans le vrai aussi. Même si entretenir les apparences ce révélait plus payant en général.
Ils remontèrent l'allée jusqu'à monter les marches ou, en haut, les attendait un elfe de maison avec un plateau composé du matériel nécessaire au thé.
Laurence eu du mal à retenir un sourire moqueur. Il aimait bien ces petites bestioles qu'étaient les elfes de maison, mais leur sens de l'hospitalité n'avait d'égal que leur stupidité. Ils étaient attachant malgré tout.
Il regarda l'elfe partir en trottinant, puis le Gryffondor se tourna vers Gabrielle.

- Je préfèrerais un café si ça dérange pas ton elfe.

En effet, Laurence était américain à la base et il n'avait jamais vraiment bu de thé, comme c'est la coutume en Angleterre. Puis, il détestait ça. Ce goût d'herbe dans la bouche, c'était... beurk !

Il profita du fait d'être dans le hall pour regarder l’intérieur de la demeure. C'était là aussi, très pompeux. Typique des vieilles familles de sorcier. Après le manoir de Cloé, il aurait pensé qu'il ne pouvait pas voir pire en matière de coutume et de tradition. Mais en fait il semblait que si. Ils se transmettaient ces vieilleries de génération en génération... Ce qu'ils appelaient l'héritage familiale.
D'ailleurs, ça lui faisait penser à ce qu'il avait vu dans le journal archivé de la Gazette du Sorcier, un peu plus tôt. Gabrielle vivait seul dans cet demeure maintenant ? Ou avait-elle de la famille ? Il se voyait mal entourer de tout un tas de De Sainte Croix.
Il revint à ses pensées au même moment ou Gaby l'invita à se diriger vers le jardin, comme elle l'avait dit à son fidèle toutou, Falcon.

- Tu l'as bien dressé ta bestiole, c'est bien.

Il lui fit un sourire moqueur et s'avança tranquillement dans la demeure, marchant au côté de Gabrielle. Ils pénétrèrent dans le jardin, qui était superbe, sûrement entretenu par les elfes puis se dirigea vers la table dressé. L'elfe lui tira la chaise, mais Laurence lui sourit et s'écarta pour laisser la maîtresse des lieux s'y assoir, puis le rouge et or alla en face. Gentleman ou pas !!!

- Alors, tes vacances ? Tu t'ennuie pas trop dans ce château ?

Il avait du mal à rester simple et ne pas montrer ce qu'il pensait de temps de richesse... C'était du Laurence pur.

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

-Oui c'est bien moi ! La dernière fois, tu as émis le souhait d'une nouvelle rencontre et je me suis dis que si je tardais trop, tu allais m'oublier alors... Me voilà !
-Je préfèrerais un café si ça dérange pas ton elfe.

La jeune Gabrielle sourit. C'était bien dans les coutumes de Laurence de contredire les personnes qu'ils côtoyaient, et là encore, il préférait prendre un café. A dire vrai, la jeune femme aussi détestait le thé, mais vivre dans une vielle famille de sorcier avec ses coutumes et ses traditions n'était pas toujours facile à vivre. Elle appréciait la plupart des coutumes de sa famille, comme le fait d'avoir un très grand jardin, mais l'idée d'être imposé sur son choix de boissons, de nourriture ou de vêtements avait toujours exaspéré la jeune femme. D'ailleurs, juste après avoir finit les cours, elle avait été faire les boutiques, toute seule bien sur, mais faire les boutiques pour s'acheter énormément de nouveau vêtement qu'elle n'aurait jamais pu mettre lorsque ses parents étaient encore vivant. Elle avait fait son deuil depuis un bon moment, alors elle n'avait aucune culpabilité à cela. D'ailleurs, les vêtements qu'elle portait aujourd'hui faisait partie de ce qu'elle avait acheter.

-Il est vrai que je me demandais bien quand est-ce que tu me redonnerai des nouvelles. J'avais hâte d'en découvrir un peu plus sur le mystérieux Laurence Nixon.

Elle lui fit un léger sourire, tout à fait sincère, et s'arrêta un instant pour le regarder observer le hall. Il y avait des tas d'objets accrochés un peu partout, ou dans des vitrines, et tout ceci représentait une part des coutumes de la famille. Elle n'aimait pas vraiment toutes ses vielles coutumes, et avait déjà prévu de faire un grand vide dans le manoir de beaucoup d'objets. Elle avait d'ailleurs déjà commencé dans sa chambre, que ses parents avaient décidé de décorer eux-même, au grand désarroi de la jeune verte et argent. Elle sourit légèrement, puis reprit sa route. Elle entraina Laurence dans le jardin, le sortant apparemment de ses pensées, et essuya une moquerie sur son elfe de maison. Dressé ? On pouvait dire cela comme ça...

-Oui c'est vrai, je suis plutôt fière de moi sur ce point là.

Elle avait répondu à sa moquerie par une autre moquerie, mais elle n'était pas sarcastique ou autre. Non, elle avait juste envie de rire un peu en sa compagnie, et rire de son elfe ne la dérangeait nullement. Ils traversèrent le jardin. Lorsqu'ils arrivèrent devant la table, elle s'assit sur la chaise que Laurence lui laissait, avant de le suivre du regard lorsqu'il fit le tour de la table pour s'asseoir face à la maîtresse des lieux. Il lui demanda ensuite comment se passait ses vacances, lui demandant si elle ne s'ennuyait pas trop dans son château. Elle sourit à ce mot, puis regarda Falcon qui revenait avec deux tasses de café bien chaud et une assiette remplit de biscuits de différent parfums, de quoi se régaler un peu. Elle reporta son attention sur Laurence après avoir renvoyé Falcon, et répondit à sa question.

-Il est vrai que vivre toute seule dans ce grand manoir est assez ennuyeux, mais j'arrive à m'occuper pas mal. Et toi tes vacances ? Tu vois toujours Cloé ?

Oui, Cloé, la jeune femme qu'ils avaient en commun comme connaissance. Elle avait toujours été très patiente avec Gaby, et avait été dans les premières à voir son changement. Elles avaient même partager plusieurs repas et quelques sortis ensemble, et Gaby n'avait ainsi passé que de très bons moments avec elle. Mais depuis que les cours étaient finit, elle n'avait plus de nouvelle de la verte et argent, et se demandait bien ce qui pouvait se passer. Bien sûr, elle était bien trop fière pour envoyer d'elle-même des nouvelles, et attendait donc.
Pour en revenir à Laurence, elle se demanda un court instant si elle n'avait pas été un peu loin dans ses questions, et se rattrapa très vite.

-Excuse moi, je suppose que tu n'as pas forcément envie de parler avec moi de tes histoires de cœur., alors tu es dispensé de réponse pour cette question.

Elle lui fit un grand sourire, puis prit une gorgée de café. Décidément, il était vraiment bon ce café qu'elle faisait venir d'Amérique. Enfin, avec tout le stock de café qu'elle avait, elle ne risquait pas d'en manquer, surtout maintenant qu'elle était seule à en boire. Oh, il y avait bien sûr ses tantes qui lui rendaient visite de temps à autres, mais c'était vraiment très rare. Elle les voyait à peu près trois fois dans l'année, et ne s'en plaignait absolument pas. Ses tantes étaient comme ses parents, très traditionalistes. Elle avait épouser de bons sorciers sur plusieurs générations, et ne pouvait supporter qu'on ne dérange les traditions, ce qui donnait parfois quelques étincelles avec leur nièce. Bref, tout ça pour dire que le café était très bon. Elle reposa ensuite sa tasse et attendit la réponse de Laurence.

[Localisation]

-Oui c'est bien moi ! La dernière fois, tu as émis le souhait d'une nouvelle rencontre et je me suis dis que si je tardais trop, tu allais m'oublier alors... Me voilà !
-Je préfèrerais un café si ça dérange pas ton elfe.

La jeune Gabrielle sourit. C'était bien dans les coutumes de Laurence de contredire les personnes qu'ils côtoyaient, et là encore, il préférait prendre un café. A dire vrai, la jeune femme aussi détestait le thé, mais vivre dans une vielle famille de sorcier avec ses coutumes et ses traditions n'était pas toujours facile à vivre. Elle appréciait la plupart des coutumes de sa famille, comme le fait d'avoir un très grand jardin, mais l'idée d'être imposé sur son choix de boissons, de nourriture ou de vêtements avait toujours exaspéré la jeune femme. D'ailleurs, juste après avoir finit les cours, elle avait été faire les boutiques, toute seule bien sur, mais faire les boutiques pour s'acheter énormément de nouveau vêtement qu'elle n'aurait jamais pu mettre lorsque ses parents étaient encore vivant. Elle avait fait son deuil depuis un bon moment, alors elle n'avait aucune culpabilité à cela. D'ailleurs, les vêtements qu'elle portait aujourd'hui faisait partie de ce qu'elle avait acheter.

-Il est vrai que je me demandais bien quand est-ce que tu me redonnerai des nouvelles. J'avais hâte d'en découvrir un peu plus sur le mystérieux Laurence Nixon.

Elle lui fit un léger sourire, tout à fait sincère, et s'arrêta un instant pour le regarder observer le hall. Il y avait des tas d'objets accrochés un peu partout, ou dans des vitrines, et tout ceci représentait une part des coutumes de la famille. Elle n'aimait pas vraiment toutes ses vielles coutumes, et avait déjà prévu de faire un grand vide dans le manoir de beaucoup d'objets. Elle avait d'ailleurs déjà commencé dans sa chambre, que ses parents avaient décidé de décorer eux-même, au grand désarroi de la jeune verte et argent. Elle sourit légèrement, puis reprit sa route. Elle entraina Laurence dans le jardin, le sortant apparemment de ses pensées, et essuya une moquerie sur son elfe de maison. Dressé ? On pouvait dire cela comme ça...

-Oui c'est vrai, je suis plutôt fière de moi sur ce point là.

Elle avait répondu à sa moquerie par une autre moquerie, mais elle n'était pas sarcastique ou autre. Non, elle avait juste envie de rire un peu en sa compagnie, et rire de son elfe ne la dérangeait nullement. Ils traversèrent le jardin. Lorsqu'ils arrivèrent devant la table, elle s'assit sur la chaise que Laurence lui laissait, avant de le suivre du regard lorsqu'il fit le tour de la table pour s'asseoir face à la maîtresse des lieux. Il lui demanda ensuite comment se passait ses vacances, lui demandant si elle ne s'ennuyait pas trop dans son château. Elle sourit à ce mot, puis regarda Falcon qui revenait avec deux tasses de café bien chaud et une assiette remplit de biscuits de différent parfums, de quoi se régaler un peu. Elle reporta son attention sur Laurence après avoir renvoyé Falcon, et répondit à sa question.

-Il est vrai que vivre toute seule dans ce grand manoir est assez ennuyeux, mais j'arrive à m'occuper pas mal. Et toi tes vacances ? Tu vois toujours Cloé ?

Oui, Cloé, la jeune femme qu'ils avaient en commun comme connaissance. Elle avait toujours été très patiente avec Gaby, et avait été dans les premières à voir son changement. Elles avaient même partager plusieurs repas et quelques sortis ensemble, et Gaby n'avait ainsi passé que de très bons moments avec elle. Mais depuis que les cours étaient finit, elle n'avait plus de nouvelle de la verte et argent, et se demandait bien ce qui pouvait se passer. Bien sûr, elle était bien trop fière pour envoyer d'elle-même des nouvelles, et attendait donc.
Pour en revenir à Laurence, elle se demanda un court instant si elle n'avait pas été un peu loin dans ses questions, et se rattrapa très vite.

-Excuse moi, je suppose que tu n'as pas forcément envie de parler avec moi de tes histoires de cœur., alors tu es dispensé de réponse pour cette question.

Elle lui fit un grand sourire, puis prit une gorgée de café. Décidément, il était vraiment bon ce café qu'elle faisait venir d'Amérique. Enfin, avec tout le stock de café qu'elle avait, elle ne risquait pas d'en manquer, surtout maintenant qu'elle était seule à en boire. Oh, il y avait bien sûr ses tantes qui lui rendaient visite de temps à autres, mais c'était vraiment très rare. Elle les voyait à peu près trois fois dans l'année, et ne s'en plaignait absolument pas. Ses tantes étaient comme ses parents, très traditionalistes. Elle avait épouser de bons sorciers sur plusieurs générations, et ne pouvait supporter qu'on ne dérange les traditions, ce qui donnait parfois quelques étincelles avec leur nièce. Bref, tout ça pour dire que le café était très bon. Elle reposa ensuite sa tasse et attendit la réponse de Laurence.

[Nb de messages]

-Oui c'est bien moi ! La dernière fois, tu as émis le souhait d'une nouvelle rencontre et je me suis dis que si je tardais trop, tu allais m'oublier alors... Me voilà !
-Je préfèrerais un café si ça dérange pas ton elfe.

La jeune Gabrielle sourit. C'était bien dans les coutumes de Laurence de contredire les personnes qu'ils côtoyaient, et là encore, il préférait prendre un café. A dire vrai, la jeune femme aussi détestait le thé, mais vivre dans une vielle famille de sorcier avec ses coutumes et ses traditions n'était pas toujours facile à vivre. Elle appréciait la plupart des coutumes de sa famille, comme le fait d'avoir un très grand jardin, mais l'idée d'être imposé sur son choix de boissons, de nourriture ou de vêtements avait toujours exaspéré la jeune femme. D'ailleurs, juste après avoir finit les cours, elle avait été faire les boutiques, toute seule bien sur, mais faire les boutiques pour s'acheter énormément de nouveau vêtement qu'elle n'aurait jamais pu mettre lorsque ses parents étaient encore vivant. Elle avait fait son deuil depuis un bon moment, alors elle n'avait aucune culpabilité à cela. D'ailleurs, les vêtements qu'elle portait aujourd'hui faisait partie de ce qu'elle avait acheter.

-Il est vrai que je me demandais bien quand est-ce que tu me redonnerai des nouvelles. J'avais hâte d'en découvrir un peu plus sur le mystérieux Laurence Nixon.

Elle lui fit un léger sourire, tout à fait sincère, et s'arrêta un instant pour le regarder observer le hall. Il y avait des tas d'objets accrochés un peu partout, ou dans des vitrines, et tout ceci représentait une part des coutumes de la famille. Elle n'aimait pas vraiment toutes ses vielles coutumes, et avait déjà prévu de faire un grand vide dans le manoir de beaucoup d'objets. Elle avait d'ailleurs déjà commencé dans sa chambre, que ses parents avaient décidé de décorer eux-même, au grand désarroi de la jeune verte et argent. Elle sourit légèrement, puis reprit sa route. Elle entraina Laurence dans le jardin, le sortant apparemment de ses pensées, et essuya une moquerie sur son elfe de maison. Dressé ? On pouvait dire cela comme ça...

-Oui c'est vrai, je suis plutôt fière de moi sur ce point là.

Elle avait répondu à sa moquerie par une autre moquerie, mais elle n'était pas sarcastique ou autre. Non, elle avait juste envie de rire un peu en sa compagnie, et rire de son elfe ne la dérangeait nullement. Ils traversèrent le jardin. Lorsqu'ils arrivèrent devant la table, elle s'assit sur la chaise que Laurence lui laissait, avant de le suivre du regard lorsqu'il fit le tour de la table pour s'asseoir face à la maîtresse des lieux. Il lui demanda ensuite comment se passait ses vacances, lui demandant si elle ne s'ennuyait pas trop dans son château. Elle sourit à ce mot, puis regarda Falcon qui revenait avec deux tasses de café bien chaud et une assiette remplit de biscuits de différent parfums, de quoi se régaler un peu. Elle reporta son attention sur Laurence après avoir renvoyé Falcon, et répondit à sa question.

-Il est vrai que vivre toute seule dans ce grand manoir est assez ennuyeux, mais j'arrive à m'occuper pas mal. Et toi tes vacances ? Tu vois toujours Cloé ?

Oui, Cloé, la jeune femme qu'ils avaient en commun comme connaissance. Elle avait toujours été très patiente avec Gaby, et avait été dans les premières à voir son changement. Elles avaient même partager plusieurs repas et quelques sortis ensemble, et Gaby n'avait ainsi passé que de très bons moments avec elle. Mais depuis que les cours étaient finit, elle n'avait plus de nouvelle de la verte et argent, et se demandait bien ce qui pouvait se passer. Bien sûr, elle était bien trop fière pour envoyer d'elle-même des nouvelles, et attendait donc.
Pour en revenir à Laurence, elle se demanda un court instant si elle n'avait pas été un peu loin dans ses questions, et se rattrapa très vite.

-Excuse moi, je suppose que tu n'as pas forcément envie de parler avec moi de tes histoires de cœur., alors tu es dispensé de réponse pour cette question.

Elle lui fit un grand sourire, puis prit une gorgée de café. Décidément, il était vraiment bon ce café qu'elle faisait venir d'Amérique. Enfin, avec tout le stock de café qu'elle avait, elle ne risquait pas d'en manquer, surtout maintenant qu'elle était seule à en boire. Oh, il y avait bien sûr ses tantes qui lui rendaient visite de temps à autres, mais c'était vraiment très rare. Elle les voyait à peu près trois fois dans l'année, et ne s'en plaignait absolument pas. Ses tantes étaient comme ses parents, très traditionalistes. Elle avait épouser de bons sorciers sur plusieurs générations, et ne pouvait supporter qu'on ne dérange les traditions, ce qui donnait parfois quelques étincelles avec leur nièce. Bref, tout ça pour dire que le café était très bon. Elle reposa ensuite sa tasse et attendit la réponse de Laurence.

[Bourse]

-Oui c'est bien moi ! La dernière fois, tu as émis le souhait d'une nouvelle rencontre et je me suis dis que si je tardais trop, tu allais m'oublier alors... Me voilà !
-Je préfèrerais un café si ça dérange pas ton elfe.

La jeune Gabrielle sourit. C'était bien dans les coutumes de Laurence de contredire les personnes qu'ils côtoyaient, et là encore, il préférait prendre un café. A dire vrai, la jeune femme aussi détestait le thé, mais vivre dans une vielle famille de sorcier avec ses coutumes et ses traditions n'était pas toujours facile à vivre. Elle appréciait la plupart des coutumes de sa famille, comme le fait d'avoir un très grand jardin, mais l'idée d'être imposé sur son choix de boissons, de nourriture ou de vêtements avait toujours exaspéré la jeune femme. D'ailleurs, juste après avoir finit les cours, elle avait été faire les boutiques, toute seule bien sur, mais faire les boutiques pour s'acheter énormément de nouveau vêtement qu'elle n'aurait jamais pu mettre lorsque ses parents étaient encore vivant. Elle avait fait son deuil depuis un bon moment, alors elle n'avait aucune culpabilité à cela. D'ailleurs, les vêtements qu'elle portait aujourd'hui faisait partie de ce qu'elle avait acheter.

-Il est vrai que je me demandais bien quand est-ce que tu me redonnerai des nouvelles. J'avais hâte d'en découvrir un peu plus sur le mystérieux Laurence Nixon.

Elle lui fit un léger sourire, tout à fait sincère, et s'arrêta un instant pour le regarder observer le hall. Il y avait des tas d'objets accrochés un peu partout, ou dans des vitrines, et tout ceci représentait une part des coutumes de la famille. Elle n'aimait pas vraiment toutes ses vielles coutumes, et avait déjà prévu de faire un grand vide dans le manoir de beaucoup d'objets. Elle avait d'ailleurs déjà commencé dans sa chambre, que ses parents avaient décidé de décorer eux-même, au grand désarroi de la jeune verte et argent. Elle sourit légèrement, puis reprit sa route. Elle entraina Laurence dans le jardin, le sortant apparemment de ses pensées, et essuya une moquerie sur son elfe de maison. Dressé ? On pouvait dire cela comme ça...

-Oui c'est vrai, je suis plutôt fière de moi sur ce point là.

Elle avait répondu à sa moquerie par une autre moquerie, mais elle n'était pas sarcastique ou autre. Non, elle avait juste envie de rire un peu en sa compagnie, et rire de son elfe ne la dérangeait nullement. Ils traversèrent le jardin. Lorsqu'ils arrivèrent devant la table, elle s'assit sur la chaise que Laurence lui laissait, avant de le suivre du regard lorsqu'il fit le tour de la table pour s'asseoir face à la maîtresse des lieux. Il lui demanda ensuite comment se passait ses vacances, lui demandant si elle ne s'ennuyait pas trop dans son château. Elle sourit à ce mot, puis regarda Falcon qui revenait avec deux tasses de café bien chaud et une assiette remplit de biscuits de différent parfums, de quoi se régaler un peu. Elle reporta son attention sur Laurence après avoir renvoyé Falcon, et répondit à sa question.

-Il est vrai que vivre toute seule dans ce grand manoir est assez ennuyeux, mais j'arrive à m'occuper pas mal. Et toi tes vacances ? Tu vois toujours Cloé ?

Oui, Cloé, la jeune femme qu'ils avaient en commun comme connaissance. Elle avait toujours été très patiente avec Gaby, et avait été dans les premières à voir son changement. Elles avaient même partager plusieurs repas et quelques sortis ensemble, et Gaby n'avait ainsi passé que de très bons moments avec elle. Mais depuis que les cours étaient finit, elle n'avait plus de nouvelle de la verte et argent, et se demandait bien ce qui pouvait se passer. Bien sûr, elle était bien trop fière pour envoyer d'elle-même des nouvelles, et attendait donc.
Pour en revenir à Laurence, elle se demanda un court instant si elle n'avait pas été un peu loin dans ses questions, et se rattrapa très vite.

-Excuse moi, je suppose que tu n'as pas forcément envie de parler avec moi de tes histoires de cœur., alors tu es dispensé de réponse pour cette question.

Elle lui fit un grand sourire, puis prit une gorgée de café. Décidément, il était vraiment bon ce café qu'elle faisait venir d'Amérique. Enfin, avec tout le stock de café qu'elle avait, elle ne risquait pas d'en manquer, surtout maintenant qu'elle était seule à en boire. Oh, il y avait bien sûr ses tantes qui lui rendaient visite de temps à autres, mais c'était vraiment très rare. Elle les voyait à peu près trois fois dans l'année, et ne s'en plaignait absolument pas. Ses tantes étaient comme ses parents, très traditionalistes. Elle avait épouser de bons sorciers sur plusieurs générations, et ne pouvait supporter qu'on ne dérange les traditions, ce qui donnait parfois quelques étincelles avec leur nièce. Bref, tout ça pour dire que le café était très bon. Elle reposa ensuite sa tasse et attendit la réponse de Laurence.

[Données]

-Oui c'est bien moi ! La dernière fois, tu as émis le souhait d'une nouvelle rencontre et je me suis dis que si je tardais trop, tu allais m'oublier alors... Me voilà !
-Je préfèrerais un café si ça dérange pas ton elfe.

La jeune Gabrielle sourit. C'était bien dans les coutumes de Laurence de contredire les personnes qu'ils côtoyaient, et là encore, il préférait prendre un café. A dire vrai, la jeune femme aussi détestait le thé, mais vivre dans une vielle famille de sorcier avec ses coutumes et ses traditions n'était pas toujours facile à vivre. Elle appréciait la plupart des coutumes de sa famille, comme le fait d'avoir un très grand jardin, mais l'idée d'être imposé sur son choix de boissons, de nourriture ou de vêtements avait toujours exaspéré la jeune femme. D'ailleurs, juste après avoir finit les cours, elle avait été faire les boutiques, toute seule bien sur, mais faire les boutiques pour s'acheter énormément de nouveau vêtement qu'elle n'aurait jamais pu mettre lorsque ses parents étaient encore vivant. Elle avait fait son deuil depuis un bon moment, alors elle n'avait aucune culpabilité à cela. D'ailleurs, les vêtements qu'elle portait aujourd'hui faisait partie de ce qu'elle avait acheter.

-Il est vrai que je me demandais bien quand est-ce que tu me redonnerai des nouvelles. J'avais hâte d'en découvrir un peu plus sur le mystérieux Laurence Nixon.

Elle lui fit un léger sourire, tout à fait sincère, et s'arrêta un instant pour le regarder observer le hall. Il y avait des tas d'objets accrochés un peu partout, ou dans des vitrines, et tout ceci représentait une part des coutumes de la famille. Elle n'aimait pas vraiment toutes ses vielles coutumes, et avait déjà prévu de faire un grand vide dans le manoir de beaucoup d'objets. Elle avait d'ailleurs déjà commencé dans sa chambre, que ses parents avaient décidé de décorer eux-même, au grand désarroi de la jeune verte et argent. Elle sourit légèrement, puis reprit sa route. Elle entraina Laurence dans le jardin, le sortant apparemment de ses pensées, et essuya une moquerie sur son elfe de maison. Dressé ? On pouvait dire cela comme ça...

-Oui c'est vrai, je suis plutôt fière de moi sur ce point là.

Elle avait répondu à sa moquerie par une autre moquerie, mais elle n'était pas sarcastique ou autre. Non, elle avait juste envie de rire un peu en sa compagnie, et rire de son elfe ne la dérangeait nullement. Ils traversèrent le jardin. Lorsqu'ils arrivèrent devant la table, elle s'assit sur la chaise que Laurence lui laissait, avant de le suivre du regard lorsqu'il fit le tour de la table pour s'asseoir face à la maîtresse des lieux. Il lui demanda ensuite comment se passait ses vacances, lui demandant si elle ne s'ennuyait pas trop dans son château. Elle sourit à ce mot, puis regarda Falcon qui revenait avec deux tasses de café bien chaud et une assiette remplit de biscuits de différent parfums, de quoi se régaler un peu. Elle reporta son attention sur Laurence après avoir renvoyé Falcon, et répondit à sa question.

-Il est vrai que vivre toute seule dans ce grand manoir est assez ennuyeux, mais j'arrive à m'occuper pas mal. Et toi tes vacances ? Tu vois toujours Cloé ?

Oui, Cloé, la jeune femme qu'ils avaient en commun comme connaissance. Elle avait toujours été très patiente avec Gaby, et avait été dans les premières à voir son changement. Elles avaient même partager plusieurs repas et quelques sortis ensemble, et Gaby n'avait ainsi passé que de très bons moments avec elle. Mais depuis que les cours étaient finit, elle n'avait plus de nouvelle de la verte et argent, et se demandait bien ce qui pouvait se passer. Bien sûr, elle était bien trop fière pour envoyer d'elle-même des nouvelles, et attendait donc.
Pour en revenir à Laurence, elle se demanda un court instant si elle n'avait pas été un peu loin dans ses questions, et se rattrapa très vite.

-Excuse moi, je suppose que tu n'as pas forcément envie de parler avec moi de tes histoires de cœur., alors tu es dispensé de réponse pour cette question.

Elle lui fit un grand sourire, puis prit une gorgée de café. Décidément, il était vraiment bon ce café qu'elle faisait venir d'Amérique. Enfin, avec tout le stock de café qu'elle avait, elle ne risquait pas d'en manquer, surtout maintenant qu'elle était seule à en boire. Oh, il y avait bien sûr ses tantes qui lui rendaient visite de temps à autres, mais c'était vraiment très rare. Elle les voyait à peu près trois fois dans l'année, et ne s'en plaignait absolument pas. Ses tantes étaient comme ses parents, très traditionalistes. Elle avait épouser de bons sorciers sur plusieurs générations, et ne pouvait supporter qu'on ne dérange les traditions, ce qui donnait parfois quelques étincelles avec leur nièce. Bref, tout ça pour dire que le café était très bon. Elle reposa ensuite sa tasse et attendit la réponse de Laurence.

[Expérience]

-Oui c'est bien moi ! La dernière fois, tu as émis le souhait d'une nouvelle rencontre et je me suis dis que si je tardais trop, tu allais m'oublier alors... Me voilà !
-Je préfèrerais un café si ça dérange pas ton elfe.

La jeune Gabrielle sourit. C'était bien dans les coutumes de Laurence de contredire les personnes qu'ils côtoyaient, et là encore, il préférait prendre un café. A dire vrai, la jeune femme aussi détestait le thé, mais vivre dans une vielle famille de sorcier avec ses coutumes et ses traditions n'était pas toujours facile à vivre. Elle appréciait la plupart des coutumes de sa famille, comme le fait d'avoir un très grand jardin, mais l'idée d'être imposé sur son choix de boissons, de nourriture ou de vêtements avait toujours exaspéré la jeune femme. D'ailleurs, juste après avoir finit les cours, elle avait été faire les boutiques, toute seule bien sur, mais faire les boutiques pour s'acheter énormément de nouveau vêtement qu'elle n'aurait jamais pu mettre lorsque ses parents étaient encore vivant. Elle avait fait son deuil depuis un bon moment, alors elle n'avait aucune culpabilité à cela. D'ailleurs, les vêtements qu'elle portait aujourd'hui faisait partie de ce qu'elle avait acheter.

-Il est vrai que je me demandais bien quand est-ce que tu me redonnerai des nouvelles. J'avais hâte d'en découvrir un peu plus sur le mystérieux Laurence Nixon.

Elle lui fit un léger sourire, tout à fait sincère, et s'arrêta un instant pour le regarder observer le hall. Il y avait des tas d'objets accrochés un peu partout, ou dans des vitrines, et tout ceci représentait une part des coutumes de la famille. Elle n'aimait pas vraiment toutes ses vielles coutumes, et avait déjà prévu de faire un grand vide dans le manoir de beaucoup d'objets. Elle avait d'ailleurs déjà commencé dans sa chambre, que ses parents avaient décidé de décorer eux-même, au grand désarroi de la jeune verte et argent. Elle sourit légèrement, puis reprit sa route. Elle entraina Laurence dans le jardin, le sortant apparemment de ses pensées, et essuya une moquerie sur son elfe de maison. Dressé ? On pouvait dire cela comme ça...

-Oui c'est vrai, je suis plutôt fière de moi sur ce point là.

Elle avait répondu à sa moquerie par une autre moquerie, mais elle n'était pas sarcastique ou autre. Non, elle avait juste envie de rire un peu en sa compagnie, et rire de son elfe ne la dérangeait nullement. Ils traversèrent le jardin. Lorsqu'ils arrivèrent devant la table, elle s'assit sur la chaise que Laurence lui laissait, avant de le suivre du regard lorsqu'il fit le tour de la table pour s'asseoir face à la maîtresse des lieux. Il lui demanda ensuite comment se passait ses vacances, lui demandant si elle ne s'ennuyait pas trop dans son château. Elle sourit à ce mot, puis regarda Falcon qui revenait avec deux tasses de café bien chaud et une assiette remplit de biscuits de différent parfums, de quoi se régaler un peu. Elle reporta son attention sur Laurence après avoir renvoyé Falcon, et répondit à sa question.

-Il est vrai que vivre toute seule dans ce grand manoir est assez ennuyeux, mais j'arrive à m'occuper pas mal. Et toi tes vacances ? Tu vois toujours Cloé ?

Oui, Cloé, la jeune femme qu'ils avaient en commun comme connaissance. Elle avait toujours été très patiente avec Gaby, et avait été dans les premières à voir son changement. Elles avaient même partager plusieurs repas et quelques sortis ensemble, et Gaby n'avait ainsi passé que de très bons moments avec elle. Mais depuis que les cours étaient finit, elle n'avait plus de nouvelle de la verte et argent, et se demandait bien ce qui pouvait se passer. Bien sûr, elle était bien trop fière pour envoyer d'elle-même des nouvelles, et attendait donc.
Pour en revenir à Laurence, elle se demanda un court instant si elle n'avait pas été un peu loin dans ses questions, et se rattrapa très vite.

-Excuse moi, je suppose que tu n'as pas forcément envie de parler avec moi de tes histoires de cœur., alors tu es dispensé de réponse pour cette question.

Elle lui fit un grand sourire, puis prit une gorgée de café. Décidément, il était vraiment bon ce café qu'elle faisait venir d'Amérique. Enfin, avec tout le stock de café qu'elle avait, elle ne risquait pas d'en manquer, surtout maintenant qu'elle était seule à en boire. Oh, il y avait bien sûr ses tantes qui lui rendaient visite de temps à autres, mais c'était vraiment très rare. Elle les voyait à peu près trois fois dans l'année, et ne s'en plaignait absolument pas. Ses tantes étaient comme ses parents, très traditionalistes. Elle avait épouser de bons sorciers sur plusieurs générations, et ne pouvait supporter qu'on ne dérange les traditions, ce qui donnait parfois quelques étincelles avec leur nièce. Bref, tout ça pour dire que le café était très bon. Elle reposa ensuite sa tasse et attendit la réponse de Laurence.

[— ADMINISTRATEUR —]

Lui, mystérieux ? Pourtant à écouter certaines mauvaises langues, il ne cessait de parler de lui. A croire que malgré ça, il conservait une part énigmatique de lui-même. Le garçon n'était pas du genre à mentir et il gardait pour lui un fait, juste un seul.
Ses parents. Est-ce que Nixon vous a déjà parlé de ses parents ? Non. Pas la peine de réfléchir. C'est un sujet tabou. Et quand des personnes lui sont proches et qu'elles s'intéressent à sa famille, il dit juste «  Je suis en froid avec eux. ». Ca suffit à stopper toute conversation.
Mais c'était plus qu'une mauvaise relation qu'ils entretenaient. Toutefois, même si elle avait hâte d'en apprendre plus sur lui, elle devrait prendre son mal à patience. Ce qu'il montre au quotidien et qui il est vraiment, c'est légèrement différent et il faut passer beaucoup de temps avec lui pour le connaître. Savoir quand est-ce qu'il est sérieux ou pas ? Quand est-ce qu'il est ironique ou non...

- Le mystérieux Laurence Nixon ? Qui y a t-il de si mystérieux chez moi ? A en croire tes amis de Serpentard, je ne cesse de parler que de moi et de faire mon intéressant.

Il se doutait que sa remarque ne changerait rien. Au cours des semaines qui avaient suivit leurs échanges dans la salle des Trophées, il s'était aperçu que bien peu de Serpentard parlait à Gabrielle. Après tout, elle c'était toujours tenu à l'écart et son changement de tempérament n'allait pas changer les réactions des gens du jour au lendemain.
Mais elle arriverait à s'intégrer avec le temps, si elle continuait ses efforts du moins. D'ailleurs la remarque ironique à propos de son elfe de maison tira un sourire au jeune homme. Elle était en bonne voie pour devenir quelqu'un d'appréciable !
Puis il la suivit à l'extèrieur. Il faisait beau, le soleil brillait, c'était tout à fait agréable. Peu aprés s'être assis, Falcon, l'elfe fidèle, revint avec son plateau, café et biscuit. D'ailleurs ils avaient l'air très bon. Le garçon se laisserait tenter, vu qu'il mangeait n'importe comment et n'importe quoi depuis le début des vacances .
Il remercia l'elfe quand celui-ci déposa une tasse devant lui puis reporta son attention sur Gabrielle. Vivre dans ce grand manoir toute seule, devait, en effet, être ennuyeux. Toute seule... Cela lui fit aussitôt repenser à l'article qu'il avait lu un peu plus tôt. Mais il n'aborderait pas le sujet de lui-même, il se doutait que ça devait être assez délicat pour elle.
Comme c'était délicat pour lui de parler de ses parents ou même de Cloé. D'ailleurs, elle aborda le sujet et cela ne le surprit guère. Il ne pût s'empêcher de ressentir une certaine contrariété.

- Mes vacances, je fais rien. Je m'ennuie. Disons que j'ai pas envie de faire quoi que ce soit... C'est complexe. Quant à Cloé, c'est tout aussi complexe et non, je l'ai pas revu.

En temps normal, il aurait lancé une pique du genre «  Ca t'intéresse en quoi ? » mais il n'avait pas la tête à ça. Pas sur ce sujet. Si ses vacances étaient aussi merdiques, c'était en partit à cause de ça d'ailleurs.
Buvant une gorgée de café, il prit un biscuit et croqua un morceau. Ils étaient très bon. Cela lui permit de prendre un petit délai pour relancer la conversation sur un sujet qu'il voulait plus léger et plus intéressant pour lui.

- Et toi ? Tu vois quelqu'un ?

Question détourner pour lui demander si elle était célibataire ou non. Elle était charmante et ça ne l'étonnerait pas qu'elle en est un. Toutefois, il se doutait de la réponse. Malgré son changement de comportement, etait-elle prêt à faire confiance à quelqu'un ?

[Localisation]

Lui, mystérieux ? Pourtant à écouter certaines mauvaises langues, il ne cessait de parler de lui. A croire que malgré ça, il conservait une part énigmatique de lui-même. Le garçon n'était pas du genre à mentir et il gardait pour lui un fait, juste un seul.
Ses parents. Est-ce que Nixon vous a déjà parlé de ses parents ? Non. Pas la peine de réfléchir. C'est un sujet tabou. Et quand des personnes lui sont proches et qu'elles s'intéressent à sa famille, il dit juste «  Je suis en froid avec eux. ». Ca suffit à stopper toute conversation.
Mais c'était plus qu'une mauvaise relation qu'ils entretenaient. Toutefois, même si elle avait hâte d'en apprendre plus sur lui, elle devrait prendre son mal à patience. Ce qu'il montre au quotidien et qui il est vraiment, c'est légèrement différent et il faut passer beaucoup de temps avec lui pour le connaître. Savoir quand est-ce qu'il est sérieux ou pas ? Quand est-ce qu'il est ironique ou non...

- Le mystérieux Laurence Nixon ? Qui y a t-il de si mystérieux chez moi ? A en croire tes amis de Serpentard, je ne cesse de parler que de moi et de faire mon intéressant.

Il se doutait que sa remarque ne changerait rien. Au cours des semaines qui avaient suivit leurs échanges dans la salle des Trophées, il s'était aperçu que bien peu de Serpentard parlait à Gabrielle. Après tout, elle c'était toujours tenu à l'écart et son changement de tempérament n'allait pas changer les réactions des gens du jour au lendemain.
Mais elle arriverait à s'intégrer avec le temps, si elle continuait ses efforts du moins. D'ailleurs la remarque ironique à propos de son elfe de maison tira un sourire au jeune homme. Elle était en bonne voie pour devenir quelqu'un d'appréciable !
Puis il la suivit à l'extèrieur. Il faisait beau, le soleil brillait, c'était tout à fait agréable. Peu aprés s'être assis, Falcon, l'elfe fidèle, revint avec son plateau, café et biscuit. D'ailleurs ils avaient l'air très bon. Le garçon se laisserait tenter, vu qu'il mangeait n'importe comment et n'importe quoi depuis le début des vacances .
Il remercia l'elfe quand celui-ci déposa une tasse devant lui puis reporta son attention sur Gabrielle. Vivre dans ce grand manoir toute seule, devait, en effet, être ennuyeux. Toute seule... Cela lui fit aussitôt repenser à l'article qu'il avait lu un peu plus tôt. Mais il n'aborderait pas le sujet de lui-même, il se doutait que ça devait être assez délicat pour elle.
Comme c'était délicat pour lui de parler de ses parents ou même de Cloé. D'ailleurs, elle aborda le sujet et cela ne le surprit guère. Il ne pût s'empêcher de ressentir une certaine contrariété.

- Mes vacances, je fais rien. Je m'ennuie. Disons que j'ai pas envie de faire quoi que ce soit... C'est complexe. Quant à Cloé, c'est tout aussi complexe et non, je l'ai pas revu.

En temps normal, il aurait lancé une pique du genre «  Ca t'intéresse en quoi ? » mais il n'avait pas la tête à ça. Pas sur ce sujet. Si ses vacances étaient aussi merdiques, c'était en partit à cause de ça d'ailleurs.
Buvant une gorgée de café, il prit un biscuit et croqua un morceau. Ils étaient très bon. Cela lui permit de prendre un petit délai pour relancer la conversation sur un sujet qu'il voulait plus léger et plus intéressant pour lui.

- Et toi ? Tu vois quelqu'un ?

Question détourner pour lui demander si elle était célibataire ou non. Elle était charmante et ça ne l'étonnerait pas qu'elle en est un. Toutefois, il se doutait de la réponse. Malgré son changement de comportement, etait-elle prêt à faire confiance à quelqu'un ?

[Nb de messages]

Lui, mystérieux ? Pourtant à écouter certaines mauvaises langues, il ne cessait de parler de lui. A croire que malgré ça, il conservait une part énigmatique de lui-même. Le garçon n'était pas du genre à mentir et il gardait pour lui un fait, juste un seul.
Ses parents. Est-ce que Nixon vous a déjà parlé de ses parents ? Non. Pas la peine de réfléchir. C'est un sujet tabou. Et quand des personnes lui sont proches et qu'elles s'intéressent à sa famille, il dit juste «  Je suis en froid avec eux. ». Ca suffit à stopper toute conversation.
Mais c'était plus qu'une mauvaise relation qu'ils entretenaient. Toutefois, même si elle avait hâte d'en apprendre plus sur lui, elle devrait prendre son mal à patience. Ce qu'il montre au quotidien et qui il est vraiment, c'est légèrement différent et il faut passer beaucoup de temps avec lui pour le connaître. Savoir quand est-ce qu'il est sérieux ou pas ? Quand est-ce qu'il est ironique ou non...

- Le mystérieux Laurence Nixon ? Qui y a t-il de si mystérieux chez moi ? A en croire tes amis de Serpentard, je ne cesse de parler que de moi et de faire mon intéressant.

Il se doutait que sa remarque ne changerait rien. Au cours des semaines qui avaient suivit leurs échanges dans la salle des Trophées, il s'était aperçu que bien peu de Serpentard parlait à Gabrielle. Après tout, elle c'était toujours tenu à l'écart et son changement de tempérament n'allait pas changer les réactions des gens du jour au lendemain.
Mais elle arriverait à s'intégrer avec le temps, si elle continuait ses efforts du moins. D'ailleurs la remarque ironique à propos de son elfe de maison tira un sourire au jeune homme. Elle était en bonne voie pour devenir quelqu'un d'appréciable !
Puis il la suivit à l'extèrieur. Il faisait beau, le soleil brillait, c'était tout à fait agréable. Peu aprés s'être assis, Falcon, l'elfe fidèle, revint avec son plateau, café et biscuit. D'ailleurs ils avaient l'air très bon. Le garçon se laisserait tenter, vu qu'il mangeait n'importe comment et n'importe quoi depuis le début des vacances .
Il remercia l'elfe quand celui-ci déposa une tasse devant lui puis reporta son attention sur Gabrielle. Vivre dans ce grand manoir toute seule, devait, en effet, être ennuyeux. Toute seule... Cela lui fit aussitôt repenser à l'article qu'il avait lu un peu plus tôt. Mais il n'aborderait pas le sujet de lui-même, il se doutait que ça devait être assez délicat pour elle.
Comme c'était délicat pour lui de parler de ses parents ou même de Cloé. D'ailleurs, elle aborda le sujet et cela ne le surprit guère. Il ne pût s'empêcher de ressentir une certaine contrariété.

- Mes vacances, je fais rien. Je m'ennuie. Disons que j'ai pas envie de faire quoi que ce soit... C'est complexe. Quant à Cloé, c'est tout aussi complexe et non, je l'ai pas revu.

En temps normal, il aurait lancé une pique du genre «  Ca t'intéresse en quoi ? » mais il n'avait pas la tête à ça. Pas sur ce sujet. Si ses vacances étaient aussi merdiques, c'était en partit à cause de ça d'ailleurs.
Buvant une gorgée de café, il prit un biscuit et croqua un morceau. Ils étaient très bon. Cela lui permit de prendre un petit délai pour relancer la conversation sur un sujet qu'il voulait plus léger et plus intéressant pour lui.

- Et toi ? Tu vois quelqu'un ?

Question détourner pour lui demander si elle était célibataire ou non. Elle était charmante et ça ne l'étonnerait pas qu'elle en est un. Toutefois, il se doutait de la réponse. Malgré son changement de comportement, etait-elle prêt à faire confiance à quelqu'un ?

[Bourse]

Lui, mystérieux ? Pourtant à écouter certaines mauvaises langues, il ne cessait de parler de lui. A croire que malgré ça, il conservait une part énigmatique de lui-même. Le garçon n'était pas du genre à mentir et il gardait pour lui un fait, juste un seul.
Ses parents. Est-ce que Nixon vous a déjà parlé de ses parents ? Non. Pas la peine de réfléchir. C'est un sujet tabou. Et quand des personnes lui sont proches et qu'elles s'intéressent à sa famille, il dit juste «  Je suis en froid avec eux. ». Ca suffit à stopper toute conversation.
Mais c'était plus qu'une mauvaise relation qu'ils entretenaient. Toutefois, même si elle avait hâte d'en apprendre plus sur lui, elle devrait prendre son mal à patience. Ce qu'il montre au quotidien et qui il est vraiment, c'est légèrement différent et il faut passer beaucoup de temps avec lui pour le connaître. Savoir quand est-ce qu'il est sérieux ou pas ? Quand est-ce qu'il est ironique ou non...

- Le mystérieux Laurence Nixon ? Qui y a t-il de si mystérieux chez moi ? A en croire tes amis de Serpentard, je ne cesse de parler que de moi et de faire mon intéressant.

Il se doutait que sa remarque ne changerait rien. Au cours des semaines qui avaient suivit leurs échanges dans la salle des Trophées, il s'était aperçu que bien peu de Serpentard parlait à Gabrielle. Après tout, elle c'était toujours tenu à l'écart et son changement de tempérament n'allait pas changer les réactions des gens du jour au lendemain.
Mais elle arriverait à s'intégrer avec le temps, si elle continuait ses efforts du moins. D'ailleurs la remarque ironique à propos de son elfe de maison tira un sourire au jeune homme. Elle était en bonne voie pour devenir quelqu'un d'appréciable !
Puis il la suivit à l'extèrieur. Il faisait beau, le soleil brillait, c'était tout à fait agréable. Peu aprés s'être assis, Falcon, l'elfe fidèle, revint avec son plateau, café et biscuit. D'ailleurs ils avaient l'air très bon. Le garçon se laisserait tenter, vu qu'il mangeait n'importe comment et n'importe quoi depuis le début des vacances .
Il remercia l'elfe quand celui-ci déposa une tasse devant lui puis reporta son attention sur Gabrielle. Vivre dans ce grand manoir toute seule, devait, en effet, être ennuyeux. Toute seule... Cela lui fit aussitôt repenser à l'article qu'il avait lu un peu plus tôt. Mais il n'aborderait pas le sujet de lui-même, il se doutait que ça devait être assez délicat pour elle.
Comme c'était délicat pour lui de parler de ses parents ou même de Cloé. D'ailleurs, elle aborda le sujet et cela ne le surprit guère. Il ne pût s'empêcher de ressentir une certaine contrariété.

- Mes vacances, je fais rien. Je m'ennuie. Disons que j'ai pas envie de faire quoi que ce soit... C'est complexe. Quant à Cloé, c'est tout aussi complexe et non, je l'ai pas revu.

En temps normal, il aurait lancé une pique du genre «  Ca t'intéresse en quoi ? » mais il n'avait pas la tête à ça. Pas sur ce sujet. Si ses vacances étaient aussi merdiques, c'était en partit à cause de ça d'ailleurs.
Buvant une gorgée de café, il prit un biscuit et croqua un morceau. Ils étaient très bon. Cela lui permit de prendre un petit délai pour relancer la conversation sur un sujet qu'il voulait plus léger et plus intéressant pour lui.

- Et toi ? Tu vois quelqu'un ?

Question détourner pour lui demander si elle était célibataire ou non. Elle était charmante et ça ne l'étonnerait pas qu'elle en est un. Toutefois, il se doutait de la réponse. Malgré son changement de comportement, etait-elle prêt à faire confiance à quelqu'un ?

[Données]

Lui, mystérieux ? Pourtant à écouter certaines mauvaises langues, il ne cessait de parler de lui. A croire que malgré ça, il conservait une part énigmatique de lui-même. Le garçon n'était pas du genre à mentir et il gardait pour lui un fait, juste un seul.
Ses parents. Est-ce que Nixon vous a déjà parlé de ses parents ? Non. Pas la peine de réfléchir. C'est un sujet tabou. Et quand des personnes lui sont proches et qu'elles s'intéressent à sa famille, il dit juste «  Je suis en froid avec eux. ». Ca suffit à stopper toute conversation.
Mais c'était plus qu'une mauvaise relation qu'ils entretenaient. Toutefois, même si elle avait hâte d'en apprendre plus sur lui, elle devrait prendre son mal à patience. Ce qu'il montre au quotidien et qui il est vraiment, c'est légèrement différent et il faut passer beaucoup de temps avec lui pour le connaître. Savoir quand est-ce qu'il est sérieux ou pas ? Quand est-ce qu'il est ironique ou non...

- Le mystérieux Laurence Nixon ? Qui y a t-il de si mystérieux chez moi ? A en croire tes amis de Serpentard, je ne cesse de parler que de moi et de faire mon intéressant.

Il se doutait que sa remarque ne changerait rien. Au cours des semaines qui avaient suivit leurs échanges dans la salle des Trophées, il s'était aperçu que bien peu de Serpentard parlait à Gabrielle. Après tout, elle c'était toujours tenu à l'écart et son changement de tempérament n'allait pas changer les réactions des gens du jour au lendemain.
Mais elle arriverait à s'intégrer avec le temps, si elle continuait ses efforts du moins. D'ailleurs la remarque ironique à propos de son elfe de maison tira un sourire au jeune homme. Elle était en bonne voie pour devenir quelqu'un d'appréciable !
Puis il la suivit à l'extèrieur. Il faisait beau, le soleil brillait, c'était tout à fait agréable. Peu aprés s'être assis, Falcon, l'elfe fidèle, revint avec son plateau, café et biscuit. D'ailleurs ils avaient l'air très bon. Le garçon se laisserait tenter, vu qu'il mangeait n'importe comment et n'importe quoi depuis le début des vacances .
Il remercia l'elfe quand celui-ci déposa une tasse devant lui puis reporta son attention sur Gabrielle. Vivre dans ce grand manoir toute seule, devait, en effet, être ennuyeux. Toute seule... Cela lui fit aussitôt repenser à l'article qu'il avait lu un peu plus tôt. Mais il n'aborderait pas le sujet de lui-même, il se doutait que ça devait être assez délicat pour elle.
Comme c'était délicat pour lui de parler de ses parents ou même de Cloé. D'ailleurs, elle aborda le sujet et cela ne le surprit guère. Il ne pût s'empêcher de ressentir une certaine contrariété.

- Mes vacances, je fais rien. Je m'ennuie. Disons que j'ai pas envie de faire quoi que ce soit... C'est complexe. Quant à Cloé, c'est tout aussi complexe et non, je l'ai pas revu.

En temps normal, il aurait lancé une pique du genre «  Ca t'intéresse en quoi ? » mais il n'avait pas la tête à ça. Pas sur ce sujet. Si ses vacances étaient aussi merdiques, c'était en partit à cause de ça d'ailleurs.
Buvant une gorgée de café, il prit un biscuit et croqua un morceau. Ils étaient très bon. Cela lui permit de prendre un petit délai pour relancer la conversation sur un sujet qu'il voulait plus léger et plus intéressant pour lui.

- Et toi ? Tu vois quelqu'un ?

Question détourner pour lui demander si elle était célibataire ou non. Elle était charmante et ça ne l'étonnerait pas qu'elle en est un. Toutefois, il se doutait de la réponse. Malgré son changement de comportement, etait-elle prêt à faire confiance à quelqu'un ?

[Expérience]

Lui, mystérieux ? Pourtant à écouter certaines mauvaises langues, il ne cessait de parler de lui. A croire que malgré ça, il conservait une part énigmatique de lui-même. Le garçon n'était pas du genre à mentir et il gardait pour lui un fait, juste un seul.
Ses parents. Est-ce que Nixon vous a déjà parlé de ses parents ? Non. Pas la peine de réfléchir. C'est un sujet tabou. Et quand des personnes lui sont proches et qu'elles s'intéressent à sa famille, il dit juste «  Je suis en froid avec eux. ». Ca suffit à stopper toute conversation.
Mais c'était plus qu'une mauvaise relation qu'ils entretenaient. Toutefois, même si elle avait hâte d'en apprendre plus sur lui, elle devrait prendre son mal à patience. Ce qu'il montre au quotidien et qui il est vraiment, c'est légèrement différent et il faut passer beaucoup de temps avec lui pour le connaître. Savoir quand est-ce qu'il est sérieux ou pas ? Quand est-ce qu'il est ironique ou non...

- Le mystérieux Laurence Nixon ? Qui y a t-il de si mystérieux chez moi ? A en croire tes amis de Serpentard, je ne cesse de parler que de moi et de faire mon intéressant.

Il se doutait que sa remarque ne changerait rien. Au cours des semaines qui avaient suivit leurs échanges dans la salle des Trophées, il s'était aperçu que bien peu de Serpentard parlait à Gabrielle. Après tout, elle c'était toujours tenu à l'écart et son changement de tempérament n'allait pas changer les réactions des gens du jour au lendemain.
Mais elle arriverait à s'intégrer avec le temps, si elle continuait ses efforts du moins. D'ailleurs la remarque ironique à propos de son elfe de maison tira un sourire au jeune homme. Elle était en bonne voie pour devenir quelqu'un d'appréciable !
Puis il la suivit à l'extèrieur. Il faisait beau, le soleil brillait, c'était tout à fait agréable. Peu aprés s'être assis, Falcon, l'elfe fidèle, revint avec son plateau, café et biscuit. D'ailleurs ils avaient l'air très bon. Le garçon se laisserait tenter, vu qu'il mangeait n'importe comment et n'importe quoi depuis le début des vacances .
Il remercia l'elfe quand celui-ci déposa une tasse devant lui puis reporta son attention sur Gabrielle. Vivre dans ce grand manoir toute seule, devait, en effet, être ennuyeux. Toute seule... Cela lui fit aussitôt repenser à l'article qu'il avait lu un peu plus tôt. Mais il n'aborderait pas le sujet de lui-même, il se doutait que ça devait être assez délicat pour elle.
Comme c'était délicat pour lui de parler de ses parents ou même de Cloé. D'ailleurs, elle aborda le sujet et cela ne le surprit guère. Il ne pût s'empêcher de ressentir une certaine contrariété.

- Mes vacances, je fais rien. Je m'ennuie. Disons que j'ai pas envie de faire quoi que ce soit... C'est complexe. Quant à Cloé, c'est tout aussi complexe et non, je l'ai pas revu.

En temps normal, il aurait lancé une pique du genre «  Ca t'intéresse en quoi ? » mais il n'avait pas la tête à ça. Pas sur ce sujet. Si ses vacances étaient aussi merdiques, c'était en partit à cause de ça d'ailleurs.
Buvant une gorgée de café, il prit un biscuit et croqua un morceau. Ils étaient très bon. Cela lui permit de prendre un petit délai pour relancer la conversation sur un sujet qu'il voulait plus léger et plus intéressant pour lui.

- Et toi ? Tu vois quelqu'un ?

Question détourner pour lui demander si elle était célibataire ou non. Elle était charmante et ça ne l'étonnerait pas qu'elle en est un. Toutefois, il se doutait de la réponse. Malgré son changement de comportement, etait-elle prêt à faire confiance à quelqu'un ?

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

-Mes vacances, je fais rien. Je m'ennuie. Disons que j'ai pas envie de faire quoi que ce soit... C'est complexe. Quant à Cloé, c'est tout aussi complexe et non, je l'ai pas revu.
-Et toi ? Tu vois quelqu'un ?

La jeune femme fut plutôt étonnée qu'il accepte de lui répondre sur un sujet délicat, et lui retourna en quelques sortes sa question en lui demandant si elle voyait quelqu'un. C'était, comment dire, assez complexe à décrire pour la jeune Serpentarde. En vérité, elle ne voyait personne, n'était pas non plus intéressé par quelqu'un. Jusqu'à maintenant, elle n'avait jamais prêter attention aux hommes pour ce genres de relations. Elle était dans une famille ou la coutume voulait que les parents choisisse l'époux ou l'épouse de leur enfants, pour ainsi garder une noblesse de sang. C'était d'ailleurs comme cela que ça c'était passé pour les parents de la jeune femme. Seulement voilà, maintenant que ses parents n'étaient plus, son regard sur les hommes allait devoir changer étant donné que ses parents ne sont plus là pour lui trouver quelqu'un. De plus, étant donné le comportement qu'elle avait eu jusqu'à il y a encore quelques mois, les garçons ne l'approchaient pas vraiment, et sa solitude lui à apprit à ne faire confiance qu'à elle même. Alors sortir avec quelqu'un serait difficile pour elle. Mais elle commençait déjà à faire un peu plus confiance aux personnes qui l'entourent, tels que Cloé, Déborah, ou même Laurence. Alors peut-être que cela sera envisageable un jour. Mais pour l'instant, c'était complexe, mais elle allait essayer de lui expliquer.

-Non je ne vois personne. Vois-tu, nous avons une coutume dans la famille, qui remonte aux premiers De Sainte Croix. Ce sont les parents qui choisissent pour leurs enfants.

Elle se tut un instant, prenant une gorgée de café avant de continuer.

-Alors jusqu'à maintenant, comme je savais que je n'avais pas le droit de trouver par moi-même quelqu'un qui aurait pu me supporter, j'ai toujours refuser d'écouter mes sentiments.

Elle s'arrêta là dans son explication. Pour l'instant, elle voulait garder un peu plus longtemps la part de mystère qu'elle avait. Après tout, s'il était revenue, c'était certainement par curiosité sur ce qu'elle pouvait caché. En partant de cette supposition, si elle voulait le revoir à nouveau, elle devrait ne pas se dévoiler entièrement. Parce que oui, la jeune femme voulait revoir Laurence. Pourquoi ? Parce que malgré la différence de maison qui les poussaient à se détesté, par le changement de comportement qu'elle avait eu, ils avaient réussit à se comprendre. Ils avaient même pu partager un moment de complicité, lorsque dans le noir à la recherche de l'autre durant le défi ils avaient posés chacun leurs lèvres sur une partie du corps de l'autre, et c'était cette complicité passagère qui avait tant donné envie à Gaby de le revoir.

C'était la première fois depuis bien longtemps qu'elle s'était sentie aussi vivante, aussi proche de quelqu'un. Il ne se passerait peut-être rien de plus entre eux que cette complicité, mais elle espérait tout de même ressentir à nouveau cette proximité. Elle avait, depuis leurs duel, espérer le revoir, patienter chaque fois qu'elle le croisait dans l'espoir de le voir venir la saluer, comme il le faisait avec d'autres jeunes femmes. Elle avait espérer le croiser un jour dans un couloir désert, ou ils se seraient parler comme de vieux amis. Elle avait même espérer avoir un nouveau contact physique avec lui comme ceux qui avaient eut lieux dans la salle des trophées. Et là, il était assise face à elle, dans son propre manoir, à discuter avec elle de leurs situation amoureuse, comme si ils espéraient de l'autre une réponse négative qui ne viendrait peut-être pas.

Et pourtant, en entendant leurs propos, on pouvait considéré qu'ils avaient tout deux donné une réponse négative à une question qui n'avait pas été posée, mais suggéré : es-tu célibataire. Finalement, elle était peut-être prête à en dire plus sur elle, sur ce sujet en particulier. Elle reposa sa tasse sur la table et regarda Laurence, le fixant dans les yeux de ses beaux yeux marrons clairs.

-Même si parfois ils étaient extrêmement forts.

Elle continua de le regarder quelques secondes, presque comme si elle avait eu l'intention de lui transmettre un message caché en même temps que ces paroles, puis elle reporta son attention sur sa tasse, et but une nouvelle gorgée de café avant de grignoter un biscuit. Décidément, elle était pleine de surprise !

[Localisation]

-Mes vacances, je fais rien. Je m'ennuie. Disons que j'ai pas envie de faire quoi que ce soit... C'est complexe. Quant à Cloé, c'est tout aussi complexe et non, je l'ai pas revu.
-Et toi ? Tu vois quelqu'un ?

La jeune femme fut plutôt étonnée qu'il accepte de lui répondre sur un sujet délicat, et lui retourna en quelques sortes sa question en lui demandant si elle voyait quelqu'un. C'était, comment dire, assez complexe à décrire pour la jeune Serpentarde. En vérité, elle ne voyait personne, n'était pas non plus intéressé par quelqu'un. Jusqu'à maintenant, elle n'avait jamais prêter attention aux hommes pour ce genres de relations. Elle était dans une famille ou la coutume voulait que les parents choisisse l'époux ou l'épouse de leur enfants, pour ainsi garder une noblesse de sang. C'était d'ailleurs comme cela que ça c'était passé pour les parents de la jeune femme. Seulement voilà, maintenant que ses parents n'étaient plus, son regard sur les hommes allait devoir changer étant donné que ses parents ne sont plus là pour lui trouver quelqu'un. De plus, étant donné le comportement qu'elle avait eu jusqu'à il y a encore quelques mois, les garçons ne l'approchaient pas vraiment, et sa solitude lui à apprit à ne faire confiance qu'à elle même. Alors sortir avec quelqu'un serait difficile pour elle. Mais elle commençait déjà à faire un peu plus confiance aux personnes qui l'entourent, tels que Cloé, Déborah, ou même Laurence. Alors peut-être que cela sera envisageable un jour. Mais pour l'instant, c'était complexe, mais elle allait essayer de lui expliquer.

-Non je ne vois personne. Vois-tu, nous avons une coutume dans la famille, qui remonte aux premiers De Sainte Croix. Ce sont les parents qui choisissent pour leurs enfants.

Elle se tut un instant, prenant une gorgée de café avant de continuer.

-Alors jusqu'à maintenant, comme je savais que je n'avais pas le droit de trouver par moi-même quelqu'un qui aurait pu me supporter, j'ai toujours refuser d'écouter mes sentiments.

Elle s'arrêta là dans son explication. Pour l'instant, elle voulait garder un peu plus longtemps la part de mystère qu'elle avait. Après tout, s'il était revenue, c'était certainement par curiosité sur ce qu'elle pouvait caché. En partant de cette supposition, si elle voulait le revoir à nouveau, elle devrait ne pas se dévoiler entièrement. Parce que oui, la jeune femme voulait revoir Laurence. Pourquoi ? Parce que malgré la différence de maison qui les poussaient à se détesté, par le changement de comportement qu'elle avait eu, ils avaient réussit à se comprendre. Ils avaient même pu partager un moment de complicité, lorsque dans le noir à la recherche de l'autre durant le défi ils avaient posés chacun leurs lèvres sur une partie du corps de l'autre, et c'était cette complicité passagère qui avait tant donné envie à Gaby de le revoir.

C'était la première fois depuis bien longtemps qu'elle s'était sentie aussi vivante, aussi proche de quelqu'un. Il ne se passerait peut-être rien de plus entre eux que cette complicité, mais elle espérait tout de même ressentir à nouveau cette proximité. Elle avait, depuis leurs duel, espérer le revoir, patienter chaque fois qu'elle le croisait dans l'espoir de le voir venir la saluer, comme il le faisait avec d'autres jeunes femmes. Elle avait espérer le croiser un jour dans un couloir désert, ou ils se seraient parler comme de vieux amis. Elle avait même espérer avoir un nouveau contact physique avec lui comme ceux qui avaient eut lieux dans la salle des trophées. Et là, il était assise face à elle, dans son propre manoir, à discuter avec elle de leurs situation amoureuse, comme si ils espéraient de l'autre une réponse négative qui ne viendrait peut-être pas.

Et pourtant, en entendant leurs propos, on pouvait considéré qu'ils avaient tout deux donné une réponse négative à une question qui n'avait pas été posée, mais suggéré : es-tu célibataire. Finalement, elle était peut-être prête à en dire plus sur elle, sur ce sujet en particulier. Elle reposa sa tasse sur la table et regarda Laurence, le fixant dans les yeux de ses beaux yeux marrons clairs.

-Même si parfois ils étaient extrêmement forts.

Elle continua de le regarder quelques secondes, presque comme si elle avait eu l'intention de lui transmettre un message caché en même temps que ces paroles, puis elle reporta son attention sur sa tasse, et but une nouvelle gorgée de café avant de grignoter un biscuit. Décidément, elle était pleine de surprise !

[Nb de messages]

-Mes vacances, je fais rien. Je m'ennuie. Disons que j'ai pas envie de faire quoi que ce soit... C'est complexe. Quant à Cloé, c'est tout aussi complexe et non, je l'ai pas revu.
-Et toi ? Tu vois quelqu'un ?

La jeune femme fut plutôt étonnée qu'il accepte de lui répondre sur un sujet délicat, et lui retourna en quelques sortes sa question en lui demandant si elle voyait quelqu'un. C'était, comment dire, assez complexe à décrire pour la jeune Serpentarde. En vérité, elle ne voyait personne, n'était pas non plus intéressé par quelqu'un. Jusqu'à maintenant, elle n'avait jamais prêter attention aux hommes pour ce genres de relations. Elle était dans une famille ou la coutume voulait que les parents choisisse l'époux ou l'épouse de leur enfants, pour ainsi garder une noblesse de sang. C'était d'ailleurs comme cela que ça c'était passé pour les parents de la jeune femme. Seulement voilà, maintenant que ses parents n'étaient plus, son regard sur les hommes allait devoir changer étant donné que ses parents ne sont plus là pour lui trouver quelqu'un. De plus, étant donné le comportement qu'elle avait eu jusqu'à il y a encore quelques mois, les garçons ne l'approchaient pas vraiment, et sa solitude lui à apprit à ne faire confiance qu'à elle même. Alors sortir avec quelqu'un serait difficile pour elle. Mais elle commençait déjà à faire un peu plus confiance aux personnes qui l'entourent, tels que Cloé, Déborah, ou même Laurence. Alors peut-être que cela sera envisageable un jour. Mais pour l'instant, c'était complexe, mais elle allait essayer de lui expliquer.

-Non je ne vois personne. Vois-tu, nous avons une coutume dans la famille, qui remonte aux premiers De Sainte Croix. Ce sont les parents qui choisissent pour leurs enfants.

Elle se tut un instant, prenant une gorgée de café avant de continuer.

-Alors jusqu'à maintenant, comme je savais que je n'avais pas le droit de trouver par moi-même quelqu'un qui aurait pu me supporter, j'ai toujours refuser d'écouter mes sentiments.

Elle s'arrêta là dans son explication. Pour l'instant, elle voulait garder un peu plus longtemps la part de mystère qu'elle avait. Après tout, s'il était revenue, c'était certainement par curiosité sur ce qu'elle pouvait caché. En partant de cette supposition, si elle voulait le revoir à nouveau, elle devrait ne pas se dévoiler entièrement. Parce que oui, la jeune femme voulait revoir Laurence. Pourquoi ? Parce que malgré la différence de maison qui les poussaient à se détesté, par le changement de comportement qu'elle avait eu, ils avaient réussit à se comprendre. Ils avaient même pu partager un moment de complicité, lorsque dans le noir à la recherche de l'autre durant le défi ils avaient posés chacun leurs lèvres sur une partie du corps de l'autre, et c'était cette complicité passagère qui avait tant donné envie à Gaby de le revoir.

C'était la première fois depuis bien longtemps qu'elle s'était sentie aussi vivante, aussi proche de quelqu'un. Il ne se passerait peut-être rien de plus entre eux que cette complicité, mais elle espérait tout de même ressentir à nouveau cette proximité. Elle avait, depuis leurs duel, espérer le revoir, patienter chaque fois qu'elle le croisait dans l'espoir de le voir venir la saluer, comme il le faisait avec d'autres jeunes femmes. Elle avait espérer le croiser un jour dans un couloir désert, ou ils se seraient parler comme de vieux amis. Elle avait même espérer avoir un nouveau contact physique avec lui comme ceux qui avaient eut lieux dans la salle des trophées. Et là, il était assise face à elle, dans son propre manoir, à discuter avec elle de leurs situation amoureuse, comme si ils espéraient de l'autre une réponse négative qui ne viendrait peut-être pas.

Et pourtant, en entendant leurs propos, on pouvait considéré qu'ils avaient tout deux donné une réponse négative à une question qui n'avait pas été posée, mais suggéré : es-tu célibataire. Finalement, elle était peut-être prête à en dire plus sur elle, sur ce sujet en particulier. Elle reposa sa tasse sur la table et regarda Laurence, le fixant dans les yeux de ses beaux yeux marrons clairs.

-Même si parfois ils étaient extrêmement forts.

Elle continua de le regarder quelques secondes, presque comme si elle avait eu l'intention de lui transmettre un message caché en même temps que ces paroles, puis elle reporta son attention sur sa tasse, et but une nouvelle gorgée de café avant de grignoter un biscuit. Décidément, elle était pleine de surprise !

[Bourse]

-Mes vacances, je fais rien. Je m'ennuie. Disons que j'ai pas envie de faire quoi que ce soit... C'est complexe. Quant à Cloé, c'est tout aussi complexe et non, je l'ai pas revu.
-Et toi ? Tu vois quelqu'un ?

La jeune femme fut plutôt étonnée qu'il accepte de lui répondre sur un sujet délicat, et lui retourna en quelques sortes sa question en lui demandant si elle voyait quelqu'un. C'était, comment dire, assez complexe à décrire pour la jeune Serpentarde. En vérité, elle ne voyait personne, n'était pas non plus intéressé par quelqu'un. Jusqu'à maintenant, elle n'avait jamais prêter attention aux hommes pour ce genres de relations. Elle était dans une famille ou la coutume voulait que les parents choisisse l'époux ou l'épouse de leur enfants, pour ainsi garder une noblesse de sang. C'était d'ailleurs comme cela que ça c'était passé pour les parents de la jeune femme. Seulement voilà, maintenant que ses parents n'étaient plus, son regard sur les hommes allait devoir changer étant donné que ses parents ne sont plus là pour lui trouver quelqu'un. De plus, étant donné le comportement qu'elle avait eu jusqu'à il y a encore quelques mois, les garçons ne l'approchaient pas vraiment, et sa solitude lui à apprit à ne faire confiance qu'à elle même. Alors sortir avec quelqu'un serait difficile pour elle. Mais elle commençait déjà à faire un peu plus confiance aux personnes qui l'entourent, tels que Cloé, Déborah, ou même Laurence. Alors peut-être que cela sera envisageable un jour. Mais pour l'instant, c'était complexe, mais elle allait essayer de lui expliquer.

-Non je ne vois personne. Vois-tu, nous avons une coutume dans la famille, qui remonte aux premiers De Sainte Croix. Ce sont les parents qui choisissent pour leurs enfants.

Elle se tut un instant, prenant une gorgée de café avant de continuer.

-Alors jusqu'à maintenant, comme je savais que je n'avais pas le droit de trouver par moi-même quelqu'un qui aurait pu me supporter, j'ai toujours refuser d'écouter mes sentiments.

Elle s'arrêta là dans son explication. Pour l'instant, elle voulait garder un peu plus longtemps la part de mystère qu'elle avait. Après tout, s'il était revenue, c'était certainement par curiosité sur ce qu'elle pouvait caché. En partant de cette supposition, si elle voulait le revoir à nouveau, elle devrait ne pas se dévoiler entièrement. Parce que oui, la jeune femme voulait revoir Laurence. Pourquoi ? Parce que malgré la différence de maison qui les poussaient à se détesté, par le changement de comportement qu'elle avait eu, ils avaient réussit à se comprendre. Ils avaient même pu partager un moment de complicité, lorsque dans le noir à la recherche de l'autre durant le défi ils avaient posés chacun leurs lèvres sur une partie du corps de l'autre, et c'était cette complicité passagère qui avait tant donné envie à Gaby de le revoir.

C'était la première fois depuis bien longtemps qu'elle s'était sentie aussi vivante, aussi proche de quelqu'un. Il ne se passerait peut-être rien de plus entre eux que cette complicité, mais elle espérait tout de même ressentir à nouveau cette proximité. Elle avait, depuis leurs duel, espérer le revoir, patienter chaque fois qu'elle le croisait dans l'espoir de le voir venir la saluer, comme il le faisait avec d'autres jeunes femmes. Elle avait espérer le croiser un jour dans un couloir désert, ou ils se seraient parler comme de vieux amis. Elle avait même espérer avoir un nouveau contact physique avec lui comme ceux qui avaient eut lieux dans la salle des trophées. Et là, il était assise face à elle, dans son propre manoir, à discuter avec elle de leurs situation amoureuse, comme si ils espéraient de l'autre une réponse négative qui ne viendrait peut-être pas.

Et pourtant, en entendant leurs propos, on pouvait considéré qu'ils avaient tout deux donné une réponse négative à une question qui n'avait pas été posée, mais suggéré : es-tu célibataire. Finalement, elle était peut-être prête à en dire plus sur elle, sur ce sujet en particulier. Elle reposa sa tasse sur la table et regarda Laurence, le fixant dans les yeux de ses beaux yeux marrons clairs.

-Même si parfois ils étaient extrêmement forts.

Elle continua de le regarder quelques secondes, presque comme si elle avait eu l'intention de lui transmettre un message caché en même temps que ces paroles, puis elle reporta son attention sur sa tasse, et but une nouvelle gorgée de café avant de grignoter un biscuit. Décidément, elle était pleine de surprise !

[Données]

-Mes vacances, je fais rien. Je m'ennuie. Disons que j'ai pas envie de faire quoi que ce soit... C'est complexe. Quant à Cloé, c'est tout aussi complexe et non, je l'ai pas revu.
-Et toi ? Tu vois quelqu'un ?

La jeune femme fut plutôt étonnée qu'il accepte de lui répondre sur un sujet délicat, et lui retourna en quelques sortes sa question en lui demandant si elle voyait quelqu'un. C'était, comment dire, assez complexe à décrire pour la jeune Serpentarde. En vérité, elle ne voyait personne, n'était pas non plus intéressé par quelqu'un. Jusqu'à maintenant, elle n'avait jamais prêter attention aux hommes pour ce genres de relations. Elle était dans une famille ou la coutume voulait que les parents choisisse l'époux ou l'épouse de leur enfants, pour ainsi garder une noblesse de sang. C'était d'ailleurs comme cela que ça c'était passé pour les parents de la jeune femme. Seulement voilà, maintenant que ses parents n'étaient plus, son regard sur les hommes allait devoir changer étant donné que ses parents ne sont plus là pour lui trouver quelqu'un. De plus, étant donné le comportement qu'elle avait eu jusqu'à il y a encore quelques mois, les garçons ne l'approchaient pas vraiment, et sa solitude lui à apprit à ne faire confiance qu'à elle même. Alors sortir avec quelqu'un serait difficile pour elle. Mais elle commençait déjà à faire un peu plus confiance aux personnes qui l'entourent, tels que Cloé, Déborah, ou même Laurence. Alors peut-être que cela sera envisageable un jour. Mais pour l'instant, c'était complexe, mais elle allait essayer de lui expliquer.

-Non je ne vois personne. Vois-tu, nous avons une coutume dans la famille, qui remonte aux premiers De Sainte Croix. Ce sont les parents qui choisissent pour leurs enfants.

Elle se tut un instant, prenant une gorgée de café avant de continuer.

-Alors jusqu'à maintenant, comme je savais que je n'avais pas le droit de trouver par moi-même quelqu'un qui aurait pu me supporter, j'ai toujours refuser d'écouter mes sentiments.

Elle s'arrêta là dans son explication. Pour l'instant, elle voulait garder un peu plus longtemps la part de mystère qu'elle avait. Après tout, s'il était revenue, c'était certainement par curiosité sur ce qu'elle pouvait caché. En partant de cette supposition, si elle voulait le revoir à nouveau, elle devrait ne pas se dévoiler entièrement. Parce que oui, la jeune femme voulait revoir Laurence. Pourquoi ? Parce que malgré la différence de maison qui les poussaient à se détesté, par le changement de comportement qu'elle avait eu, ils avaient réussit à se comprendre. Ils avaient même pu partager un moment de complicité, lorsque dans le noir à la recherche de l'autre durant le défi ils avaient posés chacun leurs lèvres sur une partie du corps de l'autre, et c'était cette complicité passagère qui avait tant donné envie à Gaby de le revoir.

C'était la première fois depuis bien longtemps qu'elle s'était sentie aussi vivante, aussi proche de quelqu'un. Il ne se passerait peut-être rien de plus entre eux que cette complicité, mais elle espérait tout de même ressentir à nouveau cette proximité. Elle avait, depuis leurs duel, espérer le revoir, patienter chaque fois qu'elle le croisait dans l'espoir de le voir venir la saluer, comme il le faisait avec d'autres jeunes femmes. Elle avait espérer le croiser un jour dans un couloir désert, ou ils se seraient parler comme de vieux amis. Elle avait même espérer avoir un nouveau contact physique avec lui comme ceux qui avaient eut lieux dans la salle des trophées. Et là, il était assise face à elle, dans son propre manoir, à discuter avec elle de leurs situation amoureuse, comme si ils espéraient de l'autre une réponse négative qui ne viendrait peut-être pas.

Et pourtant, en entendant leurs propos, on pouvait considéré qu'ils avaient tout deux donné une réponse négative à une question qui n'avait pas été posée, mais suggéré : es-tu célibataire. Finalement, elle était peut-être prête à en dire plus sur elle, sur ce sujet en particulier. Elle reposa sa tasse sur la table et regarda Laurence, le fixant dans les yeux de ses beaux yeux marrons clairs.

-Même si parfois ils étaient extrêmement forts.

Elle continua de le regarder quelques secondes, presque comme si elle avait eu l'intention de lui transmettre un message caché en même temps que ces paroles, puis elle reporta son attention sur sa tasse, et but une nouvelle gorgée de café avant de grignoter un biscuit. Décidément, elle était pleine de surprise !

[Expérience]

-Mes vacances, je fais rien. Je m'ennuie. Disons que j'ai pas envie de faire quoi que ce soit... C'est complexe. Quant à Cloé, c'est tout aussi complexe et non, je l'ai pas revu.
-Et toi ? Tu vois quelqu'un ?

La jeune femme fut plutôt étonnée qu'il accepte de lui répondre sur un sujet délicat, et lui retourna en quelques sortes sa question en lui demandant si elle voyait quelqu'un. C'était, comment dire, assez complexe à décrire pour la jeune Serpentarde. En vérité, elle ne voyait personne, n'était pas non plus intéressé par quelqu'un. Jusqu'à maintenant, elle n'avait jamais prêter attention aux hommes pour ce genres de relations. Elle était dans une famille ou la coutume voulait que les parents choisisse l'époux ou l'épouse de leur enfants, pour ainsi garder une noblesse de sang. C'était d'ailleurs comme cela que ça c'était passé pour les parents de la jeune femme. Seulement voilà, maintenant que ses parents n'étaient plus, son regard sur les hommes allait devoir changer étant donné que ses parents ne sont plus là pour lui trouver quelqu'un. De plus, étant donné le comportement qu'elle avait eu jusqu'à il y a encore quelques mois, les garçons ne l'approchaient pas vraiment, et sa solitude lui à apprit à ne faire confiance qu'à elle même. Alors sortir avec quelqu'un serait difficile pour elle. Mais elle commençait déjà à faire un peu plus confiance aux personnes qui l'entourent, tels que Cloé, Déborah, ou même Laurence. Alors peut-être que cela sera envisageable un jour. Mais pour l'instant, c'était complexe, mais elle allait essayer de lui expliquer.

-Non je ne vois personne. Vois-tu, nous avons une coutume dans la famille, qui remonte aux premiers De Sainte Croix. Ce sont les parents qui choisissent pour leurs enfants.

Elle se tut un instant, prenant une gorgée de café avant de continuer.

-Alors jusqu'à maintenant, comme je savais que je n'avais pas le droit de trouver par moi-même quelqu'un qui aurait pu me supporter, j'ai toujours refuser d'écouter mes sentiments.

Elle s'arrêta là dans son explication. Pour l'instant, elle voulait garder un peu plus longtemps la part de mystère qu'elle avait. Après tout, s'il était revenue, c'était certainement par curiosité sur ce qu'elle pouvait caché. En partant de cette supposition, si elle voulait le revoir à nouveau, elle devrait ne pas se dévoiler entièrement. Parce que oui, la jeune femme voulait revoir Laurence. Pourquoi ? Parce que malgré la différence de maison qui les poussaient à se détesté, par le changement de comportement qu'elle avait eu, ils avaient réussit à se comprendre. Ils avaient même pu partager un moment de complicité, lorsque dans le noir à la recherche de l'autre durant le défi ils avaient posés chacun leurs lèvres sur une partie du corps de l'autre, et c'était cette complicité passagère qui avait tant donné envie à Gaby de le revoir.

C'était la première fois depuis bien longtemps qu'elle s'était sentie aussi vivante, aussi proche de quelqu'un. Il ne se passerait peut-être rien de plus entre eux que cette complicité, mais elle espérait tout de même ressentir à nouveau cette proximité. Elle avait, depuis leurs duel, espérer le revoir, patienter chaque fois qu'elle le croisait dans l'espoir de le voir venir la saluer, comme il le faisait avec d'autres jeunes femmes. Elle avait espérer le croiser un jour dans un couloir désert, ou ils se seraient parler comme de vieux amis. Elle avait même espérer avoir un nouveau contact physique avec lui comme ceux qui avaient eut lieux dans la salle des trophées. Et là, il était assise face à elle, dans son propre manoir, à discuter avec elle de leurs situation amoureuse, comme si ils espéraient de l'autre une réponse négative qui ne viendrait peut-être pas.

Et pourtant, en entendant leurs propos, on pouvait considéré qu'ils avaient tout deux donné une réponse négative à une question qui n'avait pas été posée, mais suggéré : es-tu célibataire. Finalement, elle était peut-être prête à en dire plus sur elle, sur ce sujet en particulier. Elle reposa sa tasse sur la table et regarda Laurence, le fixant dans les yeux de ses beaux yeux marrons clairs.

-Même si parfois ils étaient extrêmement forts.

Elle continua de le regarder quelques secondes, presque comme si elle avait eu l'intention de lui transmettre un message caché en même temps que ces paroles, puis elle reporta son attention sur sa tasse, et but une nouvelle gorgée de café avant de grignoter un biscuit. Décidément, elle était pleine de surprise !

[— ADMINISTRATEUR —]

Ah ouais quand même... Il pensait que si les De Sainte-Croix étaient traditionalistes, ils étaient à la page du jour, sur certains point. Comme sur le fait de choisir l'homme qui est le bon pour leurs fille. C'était très moyenâgeux comme méthode quand même... Il supposait que la douce Gabrielle devait aussi avoir une dot et une dot conséquente vu la taille du manoir !
Un mode de vie que décidément, il ne comprendrait jamais. Vivre enfermer dans des traditions, bloquer par des coutumes, des carcans sociales qu'on s'impose et qui font plus mal qu'autre chose, alors que l'Homme, avec un grand H, aspire avant tout à la liberté. Enfin, en général du moins... Et accepter ces conditions, pour faire plaisir à ses parents ou pour ne pas se les mettre à dos, c'était tout aussi stupide.
Cela restait que son avis, lui qui n'avait jamais pût supporter les règles.

Buvant une gorgée de café, il attendit patiemment que Gabrielle finisse de parler. Son regard ne lâchant pas le sien, conscient du sujet qu'elle abordait. Car, il ne faut pas oublier que Laurence a une forte attirance pour les demoiselles, surtout quand elles sont audacieuses et intéressantes.
Lorsqu'elle braqua son regard dans le sien, il ne le lâcha pas, sans ciller, il l'écouta mettre un point à sa tirade. Elle avait ressentit quelque chose de très fort donc... Envers qui ? Son regard, ne le laissait pas douter.
Patiemment, il termina son biscuit, bu une nouvelle gorgée de café et reposa la tasse.

- Étaient ? Ce n'est donc plus d'actualité ?

Pourquoi c'était si compliqué ? Tourner autours du pot... Alors qu'il interprétait son regard aisément, que lui aussi avait envie de reprendre ses lèvres, d'une manière plus intense que lors de leurs duel... ils prenaient le temps, patiemment, attendant que la situation se débloque d'une manière ou d'une autre.
Il pouvait débloquer cet situation d'ailleurs, mais un souci se posait... Il ne savait pas exactement ce qu'elle ressentait pour lui. Il avait une vague idée, évidemment, mais à quel intensité. Sortant d'une situation difficile, il ne pouvait s'attacher plus que de raison à une autre demoiselle, lui accordait sa confiance etc... Une fois il l'avait fait. Il avait souffert. C'est quelque chose qu'il ne voulait plus connaître. Est-ce qu'une relation plus ou moins ouverte conviendrait à Gaby ? Il ne savait pas... Vu le traditionalisme de celle-ci, il avait peur que ça ne colle pas. Mais d'un autre côté, ses parents n'étaient plus et elle accepterait peut-être la chose.
Toutefois, pour le moment, il ne voulait pas être éclairé sur ce sujet, il préférait voir s'ils pouvaient arriver à quelque chose à l'instant présent.

- A quoi tu pense ? De quoi as tu envie ?

Il c'était rapproché un peu, ce penchant légèrement sur la table, les bras croisés devant lui. Il ne lâcha pas la belle du regard.

[Localisation]

Ah ouais quand même... Il pensait que si les De Sainte-Croix étaient traditionalistes, ils étaient à la page du jour, sur certains point. Comme sur le fait de choisir l'homme qui est le bon pour leurs fille. C'était très moyenâgeux comme méthode quand même... Il supposait que la douce Gabrielle devait aussi avoir une dot et une dot conséquente vu la taille du manoir !
Un mode de vie que décidément, il ne comprendrait jamais. Vivre enfermer dans des traditions, bloquer par des coutumes, des carcans sociales qu'on s'impose et qui font plus mal qu'autre chose, alors que l'Homme, avec un grand H, aspire avant tout à la liberté. Enfin, en général du moins... Et accepter ces conditions, pour faire plaisir à ses parents ou pour ne pas se les mettre à dos, c'était tout aussi stupide.
Cela restait que son avis, lui qui n'avait jamais pût supporter les règles.

Buvant une gorgée de café, il attendit patiemment que Gabrielle finisse de parler. Son regard ne lâchant pas le sien, conscient du sujet qu'elle abordait. Car, il ne faut pas oublier que Laurence a une forte attirance pour les demoiselles, surtout quand elles sont audacieuses et intéressantes.
Lorsqu'elle braqua son regard dans le sien, il ne le lâcha pas, sans ciller, il l'écouta mettre un point à sa tirade. Elle avait ressentit quelque chose de très fort donc... Envers qui ? Son regard, ne le laissait pas douter.
Patiemment, il termina son biscuit, bu une nouvelle gorgée de café et reposa la tasse.

- Étaient ? Ce n'est donc plus d'actualité ?

Pourquoi c'était si compliqué ? Tourner autours du pot... Alors qu'il interprétait son regard aisément, que lui aussi avait envie de reprendre ses lèvres, d'une manière plus intense que lors de leurs duel... ils prenaient le temps, patiemment, attendant que la situation se débloque d'une manière ou d'une autre.
Il pouvait débloquer cet situation d'ailleurs, mais un souci se posait... Il ne savait pas exactement ce qu'elle ressentait pour lui. Il avait une vague idée, évidemment, mais à quel intensité. Sortant d'une situation difficile, il ne pouvait s'attacher plus que de raison à une autre demoiselle, lui accordait sa confiance etc... Une fois il l'avait fait. Il avait souffert. C'est quelque chose qu'il ne voulait plus connaître. Est-ce qu'une relation plus ou moins ouverte conviendrait à Gaby ? Il ne savait pas... Vu le traditionalisme de celle-ci, il avait peur que ça ne colle pas. Mais d'un autre côté, ses parents n'étaient plus et elle accepterait peut-être la chose.
Toutefois, pour le moment, il ne voulait pas être éclairé sur ce sujet, il préférait voir s'ils pouvaient arriver à quelque chose à l'instant présent.

- A quoi tu pense ? De quoi as tu envie ?

Il c'était rapproché un peu, ce penchant légèrement sur la table, les bras croisés devant lui. Il ne lâcha pas la belle du regard.

[Nb de messages]

Ah ouais quand même... Il pensait que si les De Sainte-Croix étaient traditionalistes, ils étaient à la page du jour, sur certains point. Comme sur le fait de choisir l'homme qui est le bon pour leurs fille. C'était très moyenâgeux comme méthode quand même... Il supposait que la douce Gabrielle devait aussi avoir une dot et une dot conséquente vu la taille du manoir !
Un mode de vie que décidément, il ne comprendrait jamais. Vivre enfermer dans des traditions, bloquer par des coutumes, des carcans sociales qu'on s'impose et qui font plus mal qu'autre chose, alors que l'Homme, avec un grand H, aspire avant tout à la liberté. Enfin, en général du moins... Et accepter ces conditions, pour faire plaisir à ses parents ou pour ne pas se les mettre à dos, c'était tout aussi stupide.
Cela restait que son avis, lui qui n'avait jamais pût supporter les règles.

Buvant une gorgée de café, il attendit patiemment que Gabrielle finisse de parler. Son regard ne lâchant pas le sien, conscient du sujet qu'elle abordait. Car, il ne faut pas oublier que Laurence a une forte attirance pour les demoiselles, surtout quand elles sont audacieuses et intéressantes.
Lorsqu'elle braqua son regard dans le sien, il ne le lâcha pas, sans ciller, il l'écouta mettre un point à sa tirade. Elle avait ressentit quelque chose de très fort donc... Envers qui ? Son regard, ne le laissait pas douter.
Patiemment, il termina son biscuit, bu une nouvelle gorgée de café et reposa la tasse.

- Étaient ? Ce n'est donc plus d'actualité ?

Pourquoi c'était si compliqué ? Tourner autours du pot... Alors qu'il interprétait son regard aisément, que lui aussi avait envie de reprendre ses lèvres, d'une manière plus intense que lors de leurs duel... ils prenaient le temps, patiemment, attendant que la situation se débloque d'une manière ou d'une autre.
Il pouvait débloquer cet situation d'ailleurs, mais un souci se posait... Il ne savait pas exactement ce qu'elle ressentait pour lui. Il avait une vague idée, évidemment, mais à quel intensité. Sortant d'une situation difficile, il ne pouvait s'attacher plus que de raison à une autre demoiselle, lui accordait sa confiance etc... Une fois il l'avait fait. Il avait souffert. C'est quelque chose qu'il ne voulait plus connaître. Est-ce qu'une relation plus ou moins ouverte conviendrait à Gaby ? Il ne savait pas... Vu le traditionalisme de celle-ci, il avait peur que ça ne colle pas. Mais d'un autre côté, ses parents n'étaient plus et elle accepterait peut-être la chose.
Toutefois, pour le moment, il ne voulait pas être éclairé sur ce sujet, il préférait voir s'ils pouvaient arriver à quelque chose à l'instant présent.

- A quoi tu pense ? De quoi as tu envie ?

Il c'était rapproché un peu, ce penchant légèrement sur la table, les bras croisés devant lui. Il ne lâcha pas la belle du regard.

[Bourse]

Ah ouais quand même... Il pensait que si les De Sainte-Croix étaient traditionalistes, ils étaient à la page du jour, sur certains point. Comme sur le fait de choisir l'homme qui est le bon pour leurs fille. C'était très moyenâgeux comme méthode quand même... Il supposait que la douce Gabrielle devait aussi avoir une dot et une dot conséquente vu la taille du manoir !
Un mode de vie que décidément, il ne comprendrait jamais. Vivre enfermer dans des traditions, bloquer par des coutumes, des carcans sociales qu'on s'impose et qui font plus mal qu'autre chose, alors que l'Homme, avec un grand H, aspire avant tout à la liberté. Enfin, en général du moins... Et accepter ces conditions, pour faire plaisir à ses parents ou pour ne pas se les mettre à dos, c'était tout aussi stupide.
Cela restait que son avis, lui qui n'avait jamais pût supporter les règles.

Buvant une gorgée de café, il attendit patiemment que Gabrielle finisse de parler. Son regard ne lâchant pas le sien, conscient du sujet qu'elle abordait. Car, il ne faut pas oublier que Laurence a une forte attirance pour les demoiselles, surtout quand elles sont audacieuses et intéressantes.
Lorsqu'elle braqua son regard dans le sien, il ne le lâcha pas, sans ciller, il l'écouta mettre un point à sa tirade. Elle avait ressentit quelque chose de très fort donc... Envers qui ? Son regard, ne le laissait pas douter.
Patiemment, il termina son biscuit, bu une nouvelle gorgée de café et reposa la tasse.

- Étaient ? Ce n'est donc plus d'actualité ?

Pourquoi c'était si compliqué ? Tourner autours du pot... Alors qu'il interprétait son regard aisément, que lui aussi avait envie de reprendre ses lèvres, d'une manière plus intense que lors de leurs duel... ils prenaient le temps, patiemment, attendant que la situation se débloque d'une manière ou d'une autre.
Il pouvait débloquer cet situation d'ailleurs, mais un souci se posait... Il ne savait pas exactement ce qu'elle ressentait pour lui. Il avait une vague idée, évidemment, mais à quel intensité. Sortant d'une situation difficile, il ne pouvait s'attacher plus que de raison à une autre demoiselle, lui accordait sa confiance etc... Une fois il l'avait fait. Il avait souffert. C'est quelque chose qu'il ne voulait plus connaître. Est-ce qu'une relation plus ou moins ouverte conviendrait à Gaby ? Il ne savait pas... Vu le traditionalisme de celle-ci, il avait peur que ça ne colle pas. Mais d'un autre côté, ses parents n'étaient plus et elle accepterait peut-être la chose.
Toutefois, pour le moment, il ne voulait pas être éclairé sur ce sujet, il préférait voir s'ils pouvaient arriver à quelque chose à l'instant présent.

- A quoi tu pense ? De quoi as tu envie ?

Il c'était rapproché un peu, ce penchant légèrement sur la table, les bras croisés devant lui. Il ne lâcha pas la belle du regard.

[Données]

Ah ouais quand même... Il pensait que si les De Sainte-Croix étaient traditionalistes, ils étaient à la page du jour, sur certains point. Comme sur le fait de choisir l'homme qui est le bon pour leurs fille. C'était très moyenâgeux comme méthode quand même... Il supposait que la douce Gabrielle devait aussi avoir une dot et une dot conséquente vu la taille du manoir !
Un mode de vie que décidément, il ne comprendrait jamais. Vivre enfermer dans des traditions, bloquer par des coutumes, des carcans sociales qu'on s'impose et qui font plus mal qu'autre chose, alors que l'Homme, avec un grand H, aspire avant tout à la liberté. Enfin, en général du moins... Et accepter ces conditions, pour faire plaisir à ses parents ou pour ne pas se les mettre à dos, c'était tout aussi stupide.
Cela restait que son avis, lui qui n'avait jamais pût supporter les règles.

Buvant une gorgée de café, il attendit patiemment que Gabrielle finisse de parler. Son regard ne lâchant pas le sien, conscient du sujet qu'elle abordait. Car, il ne faut pas oublier que Laurence a une forte attirance pour les demoiselles, surtout quand elles sont audacieuses et intéressantes.
Lorsqu'elle braqua son regard dans le sien, il ne le lâcha pas, sans ciller, il l'écouta mettre un point à sa tirade. Elle avait ressentit quelque chose de très fort donc... Envers qui ? Son regard, ne le laissait pas douter.
Patiemment, il termina son biscuit, bu une nouvelle gorgée de café et reposa la tasse.

- Étaient ? Ce n'est donc plus d'actualité ?

Pourquoi c'était si compliqué ? Tourner autours du pot... Alors qu'il interprétait son regard aisément, que lui aussi avait envie de reprendre ses lèvres, d'une manière plus intense que lors de leurs duel... ils prenaient le temps, patiemment, attendant que la situation se débloque d'une manière ou d'une autre.
Il pouvait débloquer cet situation d'ailleurs, mais un souci se posait... Il ne savait pas exactement ce qu'elle ressentait pour lui. Il avait une vague idée, évidemment, mais à quel intensité. Sortant d'une situation difficile, il ne pouvait s'attacher plus que de raison à une autre demoiselle, lui accordait sa confiance etc... Une fois il l'avait fait. Il avait souffert. C'est quelque chose qu'il ne voulait plus connaître. Est-ce qu'une relation plus ou moins ouverte conviendrait à Gaby ? Il ne savait pas... Vu le traditionalisme de celle-ci, il avait peur que ça ne colle pas. Mais d'un autre côté, ses parents n'étaient plus et elle accepterait peut-être la chose.
Toutefois, pour le moment, il ne voulait pas être éclairé sur ce sujet, il préférait voir s'ils pouvaient arriver à quelque chose à l'instant présent.

- A quoi tu pense ? De quoi as tu envie ?

Il c'était rapproché un peu, ce penchant légèrement sur la table, les bras croisés devant lui. Il ne lâcha pas la belle du regard.

[Expérience]

Ah ouais quand même... Il pensait que si les De Sainte-Croix étaient traditionalistes, ils étaient à la page du jour, sur certains point. Comme sur le fait de choisir l'homme qui est le bon pour leurs fille. C'était très moyenâgeux comme méthode quand même... Il supposait que la douce Gabrielle devait aussi avoir une dot et une dot conséquente vu la taille du manoir !
Un mode de vie que décidément, il ne comprendrait jamais. Vivre enfermer dans des traditions, bloquer par des coutumes, des carcans sociales qu'on s'impose et qui font plus mal qu'autre chose, alors que l'Homme, avec un grand H, aspire avant tout à la liberté. Enfin, en général du moins... Et accepter ces conditions, pour faire plaisir à ses parents ou pour ne pas se les mettre à dos, c'était tout aussi stupide.
Cela restait que son avis, lui qui n'avait jamais pût supporter les règles.

Buvant une gorgée de café, il attendit patiemment que Gabrielle finisse de parler. Son regard ne lâchant pas le sien, conscient du sujet qu'elle abordait. Car, il ne faut pas oublier que Laurence a une forte attirance pour les demoiselles, surtout quand elles sont audacieuses et intéressantes.
Lorsqu'elle braqua son regard dans le sien, il ne le lâcha pas, sans ciller, il l'écouta mettre un point à sa tirade. Elle avait ressentit quelque chose de très fort donc... Envers qui ? Son regard, ne le laissait pas douter.
Patiemment, il termina son biscuit, bu une nouvelle gorgée de café et reposa la tasse.

- Étaient ? Ce n'est donc plus d'actualité ?

Pourquoi c'était si compliqué ? Tourner autours du pot... Alors qu'il interprétait son regard aisément, que lui aussi avait envie de reprendre ses lèvres, d'une manière plus intense que lors de leurs duel... ils prenaient le temps, patiemment, attendant que la situation se débloque d'une manière ou d'une autre.
Il pouvait débloquer cet situation d'ailleurs, mais un souci se posait... Il ne savait pas exactement ce qu'elle ressentait pour lui. Il avait une vague idée, évidemment, mais à quel intensité. Sortant d'une situation difficile, il ne pouvait s'attacher plus que de raison à une autre demoiselle, lui accordait sa confiance etc... Une fois il l'avait fait. Il avait souffert. C'est quelque chose qu'il ne voulait plus connaître. Est-ce qu'une relation plus ou moins ouverte conviendrait à Gaby ? Il ne savait pas... Vu le traditionalisme de celle-ci, il avait peur que ça ne colle pas. Mais d'un autre côté, ses parents n'étaient plus et elle accepterait peut-être la chose.
Toutefois, pour le moment, il ne voulait pas être éclairé sur ce sujet, il préférait voir s'ils pouvaient arriver à quelque chose à l'instant présent.

- A quoi tu pense ? De quoi as tu envie ?

Il c'était rapproché un peu, ce penchant légèrement sur la table, les bras croisés devant lui. Il ne lâcha pas la belle du regard.

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

Et oui, notre mystérieuse Gaby avait eu, et avait toujours d'ailleurs, des sentiments pour son invité. Cela avait commencé lorsqu'elle était en cinquième année, puisque cette année là, ils avaient eu de nombreux cours en commun. De plus, il la fascinait depuis toujours, enfin, depuis qu'elle le connaissait. Il était l'un des plus doué en pratique de la magie, et malgré la distante qu'elle gardait avec lui, et même le fait qu'elle savait qu'elle n'était absolument rien pour lui, elle le respectait énormément. Bien sur, elle ne l'aurait jamais avouer, elle était bien trop fière pour cela.

Alors oui, lorsqu'elle avait dit avoir des sentiments extrêmement forts, c'était bien à lui qu'elle pensait. Mais elle s'était toujours refuser d'en parler, que ce soit avec des amis qu'elle n'avait pas, ou même avec sa famille. Non, elle avait toujours paru froide pour éviter que l'on remarque cet amour. Après tout, elle se devait d'obéir à ses parents, et ils devaient choisir son compagnon, alors qu'importait qu'elle l'aime ou non. Mais maintenant, c'était totalement différent, et depuis que ses parents n'étaient plus, ses sentiments avait fait comme un « forcing », et à cause de cela elle avait souffert. Elle avait souffert d'apprendre qu'il sortait avec Cloé. Et pourtant, elle n'avait rien dit, rien montré, c'était montrer heureuse pour Cloé qui était devenue entre temps l'une des seules avec qui elle s'était ouverte. Depuis près de trois mois, elle avait changé, était devenue beaucoup plus agréable, et c'était à cause de cela qu'elle avait apprit qu'ils sortaient ensemble, c'était ainsi qu'elle avait souffert.
Alors forcément, lorsque le jeune homme lui demanda si ce n'était donc plus d'actualité, elle posa fixement son regard sur sa tasse de café, qui était vide à présent. Oh non, c'était loin de ne plus être d'actualité, mais la jeune femme ne l'aurait pour rien au monde avouer, elle avait trop de fierté pour avouer ses sentiments. Mais son attitude la trahissait.

Oui, elle avait toujours des sentiments très forts pour lui. Oui, elle avait envie de reprendre ses lèvres, plus longtemps que lors de leur duel. Mais pour l'instant,, ce n'était pas le moment de penser à tout cela, puisque le jeune homme venait de reprendre la parole, lui demandant a quoi elle pensait, et de quoi elle avait envie. Elle releva la tête, le voyant plus près d'elle, les bras croisés, le regard posé sur la jeune femme. Elle le regarda, se demandant ce qu'il voulait qu'elle réponde. Elle reposa quelques secondes son regard sur sa tasse vide, puis sourit malicieusement. Elle se pencha légèrement aussi, son regard dans le sien, et leurs visage ne furent plus qu'à quelques centimètres l'un de l'autre.

-Je veux une autre tasse de café ?

Elle lui sourit, mais ne bougea pas d'un cheveux, restant ainsi à le regarder dans les yeux. C'était assez étrange comme situation. Elle, Gabrielle De Sainte Croix, qui avait pendant presque toute sa vie été plus froide qu'un bloc de glace en apparence, se permettait d'être malicieuse avec le jeune homme ? Elle avait décidément réellement changé, elle était redevenue la petite fille souriante qu'elle avait été autrefois pendant quelques années. Finalement, il y avait du bon à être soi-même, à ne pas essayer de se protéger derrière une apparence. Malgré cette phrase qu'elle avait dit, il n'y avait aucun doutes sur ses réelles envies, comme par exemple celle de se laisser aller dans ses bras. Seulement, elle ne voulait pas le dire. Elle ne savait pas réellement à quel stade était sa relation avec Cloé, et elle ne pouvait s'interposer entre eux d'eux, même si cela semblait plutôt mort comme relation.

Elle continua de le regarder, et toujours avec cet air malicieux, lui retourna la question.

-Et toi, du quoi as-tu envie ?

Elle souriait, et ses yeux dévoilaient doucement ses sentiments, contre son gré. Elle aurait aimer pouvoir encore les cacher comme elle savait si bien le faire, mais maintenant que ses parents n'étaient plus, elle ne se sentait plus la force de les refouler, et maintenant, ils filtraient à l'extérieur d'elle par ses gestes ou ses paroles, parfois dans des sous-entendu.

[Localisation]

Et oui, notre mystérieuse Gaby avait eu, et avait toujours d'ailleurs, des sentiments pour son invité. Cela avait commencé lorsqu'elle était en cinquième année, puisque cette année là, ils avaient eu de nombreux cours en commun. De plus, il la fascinait depuis toujours, enfin, depuis qu'elle le connaissait. Il était l'un des plus doué en pratique de la magie, et malgré la distante qu'elle gardait avec lui, et même le fait qu'elle savait qu'elle n'était absolument rien pour lui, elle le respectait énormément. Bien sur, elle ne l'aurait jamais avouer, elle était bien trop fière pour cela.

Alors oui, lorsqu'elle avait dit avoir des sentiments extrêmement forts, c'était bien à lui qu'elle pensait. Mais elle s'était toujours refuser d'en parler, que ce soit avec des amis qu'elle n'avait pas, ou même avec sa famille. Non, elle avait toujours paru froide pour éviter que l'on remarque cet amour. Après tout, elle se devait d'obéir à ses parents, et ils devaient choisir son compagnon, alors qu'importait qu'elle l'aime ou non. Mais maintenant, c'était totalement différent, et depuis que ses parents n'étaient plus, ses sentiments avait fait comme un « forcing », et à cause de cela elle avait souffert. Elle avait souffert d'apprendre qu'il sortait avec Cloé. Et pourtant, elle n'avait rien dit, rien montré, c'était montrer heureuse pour Cloé qui était devenue entre temps l'une des seules avec qui elle s'était ouverte. Depuis près de trois mois, elle avait changé, était devenue beaucoup plus agréable, et c'était à cause de cela qu'elle avait apprit qu'ils sortaient ensemble, c'était ainsi qu'elle avait souffert.
Alors forcément, lorsque le jeune homme lui demanda si ce n'était donc plus d'actualité, elle posa fixement son regard sur sa tasse de café, qui était vide à présent. Oh non, c'était loin de ne plus être d'actualité, mais la jeune femme ne l'aurait pour rien au monde avouer, elle avait trop de fierté pour avouer ses sentiments. Mais son attitude la trahissait.

Oui, elle avait toujours des sentiments très forts pour lui. Oui, elle avait envie de reprendre ses lèvres, plus longtemps que lors de leur duel. Mais pour l'instant,, ce n'était pas le moment de penser à tout cela, puisque le jeune homme venait de reprendre la parole, lui demandant a quoi elle pensait, et de quoi elle avait envie. Elle releva la tête, le voyant plus près d'elle, les bras croisés, le regard posé sur la jeune femme. Elle le regarda, se demandant ce qu'il voulait qu'elle réponde. Elle reposa quelques secondes son regard sur sa tasse vide, puis sourit malicieusement. Elle se pencha légèrement aussi, son regard dans le sien, et leurs visage ne furent plus qu'à quelques centimètres l'un de l'autre.

-Je veux une autre tasse de café ?

Elle lui sourit, mais ne bougea pas d'un cheveux, restant ainsi à le regarder dans les yeux. C'était assez étrange comme situation. Elle, Gabrielle De Sainte Croix, qui avait pendant presque toute sa vie été plus froide qu'un bloc de glace en apparence, se permettait d'être malicieuse avec le jeune homme ? Elle avait décidément réellement changé, elle était redevenue la petite fille souriante qu'elle avait été autrefois pendant quelques années. Finalement, il y avait du bon à être soi-même, à ne pas essayer de se protéger derrière une apparence. Malgré cette phrase qu'elle avait dit, il n'y avait aucun doutes sur ses réelles envies, comme par exemple celle de se laisser aller dans ses bras. Seulement, elle ne voulait pas le dire. Elle ne savait pas réellement à quel stade était sa relation avec Cloé, et elle ne pouvait s'interposer entre eux d'eux, même si cela semblait plutôt mort comme relation.

Elle continua de le regarder, et toujours avec cet air malicieux, lui retourna la question.

-Et toi, du quoi as-tu envie ?

Elle souriait, et ses yeux dévoilaient doucement ses sentiments, contre son gré. Elle aurait aimer pouvoir encore les cacher comme elle savait si bien le faire, mais maintenant que ses parents n'étaient plus, elle ne se sentait plus la force de les refouler, et maintenant, ils filtraient à l'extérieur d'elle par ses gestes ou ses paroles, parfois dans des sous-entendu.

[Nb de messages]

Et oui, notre mystérieuse Gaby avait eu, et avait toujours d'ailleurs, des sentiments pour son invité. Cela avait commencé lorsqu'elle était en cinquième année, puisque cette année là, ils avaient eu de nombreux cours en commun. De plus, il la fascinait depuis toujours, enfin, depuis qu'elle le connaissait. Il était l'un des plus doué en pratique de la magie, et malgré la distante qu'elle gardait avec lui, et même le fait qu'elle savait qu'elle n'était absolument rien pour lui, elle le respectait énormément. Bien sur, elle ne l'aurait jamais avouer, elle était bien trop fière pour cela.

Alors oui, lorsqu'elle avait dit avoir des sentiments extrêmement forts, c'était bien à lui qu'elle pensait. Mais elle s'était toujours refuser d'en parler, que ce soit avec des amis qu'elle n'avait pas, ou même avec sa famille. Non, elle avait toujours paru froide pour éviter que l'on remarque cet amour. Après tout, elle se devait d'obéir à ses parents, et ils devaient choisir son compagnon, alors qu'importait qu'elle l'aime ou non. Mais maintenant, c'était totalement différent, et depuis que ses parents n'étaient plus, ses sentiments avait fait comme un « forcing », et à cause de cela elle avait souffert. Elle avait souffert d'apprendre qu'il sortait avec Cloé. Et pourtant, elle n'avait rien dit, rien montré, c'était montrer heureuse pour Cloé qui était devenue entre temps l'une des seules avec qui elle s'était ouverte. Depuis près de trois mois, elle avait changé, était devenue beaucoup plus agréable, et c'était à cause de cela qu'elle avait apprit qu'ils sortaient ensemble, c'était ainsi qu'elle avait souffert.
Alors forcément, lorsque le jeune homme lui demanda si ce n'était donc plus d'actualité, elle posa fixement son regard sur sa tasse de café, qui était vide à présent. Oh non, c'était loin de ne plus être d'actualité, mais la jeune femme ne l'aurait pour rien au monde avouer, elle avait trop de fierté pour avouer ses sentiments. Mais son attitude la trahissait.

Oui, elle avait toujours des sentiments très forts pour lui. Oui, elle avait envie de reprendre ses lèvres, plus longtemps que lors de leur duel. Mais pour l'instant,, ce n'était pas le moment de penser à tout cela, puisque le jeune homme venait de reprendre la parole, lui demandant a quoi elle pensait, et de quoi elle avait envie. Elle releva la tête, le voyant plus près d'elle, les bras croisés, le regard posé sur la jeune femme. Elle le regarda, se demandant ce qu'il voulait qu'elle réponde. Elle reposa quelques secondes son regard sur sa tasse vide, puis sourit malicieusement. Elle se pencha légèrement aussi, son regard dans le sien, et leurs visage ne furent plus qu'à quelques centimètres l'un de l'autre.

-Je veux une autre tasse de café ?

Elle lui sourit, mais ne bougea pas d'un cheveux, restant ainsi à le regarder dans les yeux. C'était assez étrange comme situation. Elle, Gabrielle De Sainte Croix, qui avait pendant presque toute sa vie été plus froide qu'un bloc de glace en apparence, se permettait d'être malicieuse avec le jeune homme ? Elle avait décidément réellement changé, elle était redevenue la petite fille souriante qu'elle avait été autrefois pendant quelques années. Finalement, il y avait du bon à être soi-même, à ne pas essayer de se protéger derrière une apparence. Malgré cette phrase qu'elle avait dit, il n'y avait aucun doutes sur ses réelles envies, comme par exemple celle de se laisser aller dans ses bras. Seulement, elle ne voulait pas le dire. Elle ne savait pas réellement à quel stade était sa relation avec Cloé, et elle ne pouvait s'interposer entre eux d'eux, même si cela semblait plutôt mort comme relation.

Elle continua de le regarder, et toujours avec cet air malicieux, lui retourna la question.

-Et toi, du quoi as-tu envie ?

Elle souriait, et ses yeux dévoilaient doucement ses sentiments, contre son gré. Elle aurait aimer pouvoir encore les cacher comme elle savait si bien le faire, mais maintenant que ses parents n'étaient plus, elle ne se sentait plus la force de les refouler, et maintenant, ils filtraient à l'extérieur d'elle par ses gestes ou ses paroles, parfois dans des sous-entendu.

[Bourse]

Et oui, notre mystérieuse Gaby avait eu, et avait toujours d'ailleurs, des sentiments pour son invité. Cela avait commencé lorsqu'elle était en cinquième année, puisque cette année là, ils avaient eu de nombreux cours en commun. De plus, il la fascinait depuis toujours, enfin, depuis qu'elle le connaissait. Il était l'un des plus doué en pratique de la magie, et malgré la distante qu'elle gardait avec lui, et même le fait qu'elle savait qu'elle n'était absolument rien pour lui, elle le respectait énormément. Bien sur, elle ne l'aurait jamais avouer, elle était bien trop fière pour cela.

Alors oui, lorsqu'elle avait dit avoir des sentiments extrêmement forts, c'était bien à lui qu'elle pensait. Mais elle s'était toujours refuser d'en parler, que ce soit avec des amis qu'elle n'avait pas, ou même avec sa famille. Non, elle avait toujours paru froide pour éviter que l'on remarque cet amour. Après tout, elle se devait d'obéir à ses parents, et ils devaient choisir son compagnon, alors qu'importait qu'elle l'aime ou non. Mais maintenant, c'était totalement différent, et depuis que ses parents n'étaient plus, ses sentiments avait fait comme un « forcing », et à cause de cela elle avait souffert. Elle avait souffert d'apprendre qu'il sortait avec Cloé. Et pourtant, elle n'avait rien dit, rien montré, c'était montrer heureuse pour Cloé qui était devenue entre temps l'une des seules avec qui elle s'était ouverte. Depuis près de trois mois, elle avait changé, était devenue beaucoup plus agréable, et c'était à cause de cela qu'elle avait apprit qu'ils sortaient ensemble, c'était ainsi qu'elle avait souffert.
Alors forcément, lorsque le jeune homme lui demanda si ce n'était donc plus d'actualité, elle posa fixement son regard sur sa tasse de café, qui était vide à présent. Oh non, c'était loin de ne plus être d'actualité, mais la jeune femme ne l'aurait pour rien au monde avouer, elle avait trop de fierté pour avouer ses sentiments. Mais son attitude la trahissait.

Oui, elle avait toujours des sentiments très forts pour lui. Oui, elle avait envie de reprendre ses lèvres, plus longtemps que lors de leur duel. Mais pour l'instant,, ce n'était pas le moment de penser à tout cela, puisque le jeune homme venait de reprendre la parole, lui demandant a quoi elle pensait, et de quoi elle avait envie. Elle releva la tête, le voyant plus près d'elle, les bras croisés, le regard posé sur la jeune femme. Elle le regarda, se demandant ce qu'il voulait qu'elle réponde. Elle reposa quelques secondes son regard sur sa tasse vide, puis sourit malicieusement. Elle se pencha légèrement aussi, son regard dans le sien, et leurs visage ne furent plus qu'à quelques centimètres l'un de l'autre.

-Je veux une autre tasse de café ?

Elle lui sourit, mais ne bougea pas d'un cheveux, restant ainsi à le regarder dans les yeux. C'était assez étrange comme situation. Elle, Gabrielle De Sainte Croix, qui avait pendant presque toute sa vie été plus froide qu'un bloc de glace en apparence, se permettait d'être malicieuse avec le jeune homme ? Elle avait décidément réellement changé, elle était redevenue la petite fille souriante qu'elle avait été autrefois pendant quelques années. Finalement, il y avait du bon à être soi-même, à ne pas essayer de se protéger derrière une apparence. Malgré cette phrase qu'elle avait dit, il n'y avait aucun doutes sur ses réelles envies, comme par exemple celle de se laisser aller dans ses bras. Seulement, elle ne voulait pas le dire. Elle ne savait pas réellement à quel stade était sa relation avec Cloé, et elle ne pouvait s'interposer entre eux d'eux, même si cela semblait plutôt mort comme relation.

Elle continua de le regarder, et toujours avec cet air malicieux, lui retourna la question.

-Et toi, du quoi as-tu envie ?

Elle souriait, et ses yeux dévoilaient doucement ses sentiments, contre son gré. Elle aurait aimer pouvoir encore les cacher comme elle savait si bien le faire, mais maintenant que ses parents n'étaient plus, elle ne se sentait plus la force de les refouler, et maintenant, ils filtraient à l'extérieur d'elle par ses gestes ou ses paroles, parfois dans des sous-entendu.

[Données]

Et oui, notre mystérieuse Gaby avait eu, et avait toujours d'ailleurs, des sentiments pour son invité. Cela avait commencé lorsqu'elle était en cinquième année, puisque cette année là, ils avaient eu de nombreux cours en commun. De plus, il la fascinait depuis toujours, enfin, depuis qu'elle le connaissait. Il était l'un des plus doué en pratique de la magie, et malgré la distante qu'elle gardait avec lui, et même le fait qu'elle savait qu'elle n'était absolument rien pour lui, elle le respectait énormément. Bien sur, elle ne l'aurait jamais avouer, elle était bien trop fière pour cela.

Alors oui, lorsqu'elle avait dit avoir des sentiments extrêmement forts, c'était bien à lui qu'elle pensait. Mais elle s'était toujours refuser d'en parler, que ce soit avec des amis qu'elle n'avait pas, ou même avec sa famille. Non, elle avait toujours paru froide pour éviter que l'on remarque cet amour. Après tout, elle se devait d'obéir à ses parents, et ils devaient choisir son compagnon, alors qu'importait qu'elle l'aime ou non. Mais maintenant, c'était totalement différent, et depuis que ses parents n'étaient plus, ses sentiments avait fait comme un « forcing », et à cause de cela elle avait souffert. Elle avait souffert d'apprendre qu'il sortait avec Cloé. Et pourtant, elle n'avait rien dit, rien montré, c'était montrer heureuse pour Cloé qui était devenue entre temps l'une des seules avec qui elle s'était ouverte. Depuis près de trois mois, elle avait changé, était devenue beaucoup plus agréable, et c'était à cause de cela qu'elle avait apprit qu'ils sortaient ensemble, c'était ainsi qu'elle avait souffert.
Alors forcément, lorsque le jeune homme lui demanda si ce n'était donc plus d'actualité, elle posa fixement son regard sur sa tasse de café, qui était vide à présent. Oh non, c'était loin de ne plus être d'actualité, mais la jeune femme ne l'aurait pour rien au monde avouer, elle avait trop de fierté pour avouer ses sentiments. Mais son attitude la trahissait.

Oui, elle avait toujours des sentiments très forts pour lui. Oui, elle avait envie de reprendre ses lèvres, plus longtemps que lors de leur duel. Mais pour l'instant,, ce n'était pas le moment de penser à tout cela, puisque le jeune homme venait de reprendre la parole, lui demandant a quoi elle pensait, et de quoi elle avait envie. Elle releva la tête, le voyant plus près d'elle, les bras croisés, le regard posé sur la jeune femme. Elle le regarda, se demandant ce qu'il voulait qu'elle réponde. Elle reposa quelques secondes son regard sur sa tasse vide, puis sourit malicieusement. Elle se pencha légèrement aussi, son regard dans le sien, et leurs visage ne furent plus qu'à quelques centimètres l'un de l'autre.

-Je veux une autre tasse de café ?

Elle lui sourit, mais ne bougea pas d'un cheveux, restant ainsi à le regarder dans les yeux. C'était assez étrange comme situation. Elle, Gabrielle De Sainte Croix, qui avait pendant presque toute sa vie été plus froide qu'un bloc de glace en apparence, se permettait d'être malicieuse avec le jeune homme ? Elle avait décidément réellement changé, elle était redevenue la petite fille souriante qu'elle avait été autrefois pendant quelques années. Finalement, il y avait du bon à être soi-même, à ne pas essayer de se protéger derrière une apparence. Malgré cette phrase qu'elle avait dit, il n'y avait aucun doutes sur ses réelles envies, comme par exemple celle de se laisser aller dans ses bras. Seulement, elle ne voulait pas le dire. Elle ne savait pas réellement à quel stade était sa relation avec Cloé, et elle ne pouvait s'interposer entre eux d'eux, même si cela semblait plutôt mort comme relation.

Elle continua de le regarder, et toujours avec cet air malicieux, lui retourna la question.

-Et toi, du quoi as-tu envie ?

Elle souriait, et ses yeux dévoilaient doucement ses sentiments, contre son gré. Elle aurait aimer pouvoir encore les cacher comme elle savait si bien le faire, mais maintenant que ses parents n'étaient plus, elle ne se sentait plus la force de les refouler, et maintenant, ils filtraient à l'extérieur d'elle par ses gestes ou ses paroles, parfois dans des sous-entendu.

[Expérience]

Et oui, notre mystérieuse Gaby avait eu, et avait toujours d'ailleurs, des sentiments pour son invité. Cela avait commencé lorsqu'elle était en cinquième année, puisque cette année là, ils avaient eu de nombreux cours en commun. De plus, il la fascinait depuis toujours, enfin, depuis qu'elle le connaissait. Il était l'un des plus doué en pratique de la magie, et malgré la distante qu'elle gardait avec lui, et même le fait qu'elle savait qu'elle n'était absolument rien pour lui, elle le respectait énormément. Bien sur, elle ne l'aurait jamais avouer, elle était bien trop fière pour cela.

Alors oui, lorsqu'elle avait dit avoir des sentiments extrêmement forts, c'était bien à lui qu'elle pensait. Mais elle s'était toujours refuser d'en parler, que ce soit avec des amis qu'elle n'avait pas, ou même avec sa famille. Non, elle avait toujours paru froide pour éviter que l'on remarque cet amour. Après tout, elle se devait d'obéir à ses parents, et ils devaient choisir son compagnon, alors qu'importait qu'elle l'aime ou non. Mais maintenant, c'était totalement différent, et depuis que ses parents n'étaient plus, ses sentiments avait fait comme un « forcing », et à cause de cela elle avait souffert. Elle avait souffert d'apprendre qu'il sortait avec Cloé. Et pourtant, elle n'avait rien dit, rien montré, c'était montrer heureuse pour Cloé qui était devenue entre temps l'une des seules avec qui elle s'était ouverte. Depuis près de trois mois, elle avait changé, était devenue beaucoup plus agréable, et c'était à cause de cela qu'elle avait apprit qu'ils sortaient ensemble, c'était ainsi qu'elle avait souffert.
Alors forcément, lorsque le jeune homme lui demanda si ce n'était donc plus d'actualité, elle posa fixement son regard sur sa tasse de café, qui était vide à présent. Oh non, c'était loin de ne plus être d'actualité, mais la jeune femme ne l'aurait pour rien au monde avouer, elle avait trop de fierté pour avouer ses sentiments. Mais son attitude la trahissait.

Oui, elle avait toujours des sentiments très forts pour lui. Oui, elle avait envie de reprendre ses lèvres, plus longtemps que lors de leur duel. Mais pour l'instant,, ce n'était pas le moment de penser à tout cela, puisque le jeune homme venait de reprendre la parole, lui demandant a quoi elle pensait, et de quoi elle avait envie. Elle releva la tête, le voyant plus près d'elle, les bras croisés, le regard posé sur la jeune femme. Elle le regarda, se demandant ce qu'il voulait qu'elle réponde. Elle reposa quelques secondes son regard sur sa tasse vide, puis sourit malicieusement. Elle se pencha légèrement aussi, son regard dans le sien, et leurs visage ne furent plus qu'à quelques centimètres l'un de l'autre.

-Je veux une autre tasse de café ?

Elle lui sourit, mais ne bougea pas d'un cheveux, restant ainsi à le regarder dans les yeux. C'était assez étrange comme situation. Elle, Gabrielle De Sainte Croix, qui avait pendant presque toute sa vie été plus froide qu'un bloc de glace en apparence, se permettait d'être malicieuse avec le jeune homme ? Elle avait décidément réellement changé, elle était redevenue la petite fille souriante qu'elle avait été autrefois pendant quelques années. Finalement, il y avait du bon à être soi-même, à ne pas essayer de se protéger derrière une apparence. Malgré cette phrase qu'elle avait dit, il n'y avait aucun doutes sur ses réelles envies, comme par exemple celle de se laisser aller dans ses bras. Seulement, elle ne voulait pas le dire. Elle ne savait pas réellement à quel stade était sa relation avec Cloé, et elle ne pouvait s'interposer entre eux d'eux, même si cela semblait plutôt mort comme relation.

Elle continua de le regarder, et toujours avec cet air malicieux, lui retourna la question.

-Et toi, du quoi as-tu envie ?

Elle souriait, et ses yeux dévoilaient doucement ses sentiments, contre son gré. Elle aurait aimer pouvoir encore les cacher comme elle savait si bien le faire, mais maintenant que ses parents n'étaient plus, elle ne se sentait plus la force de les refouler, et maintenant, ils filtraient à l'extérieur d'elle par ses gestes ou ses paroles, parfois dans des sous-entendu.

[— ADMINISTRATEUR —]

Le café... Découvert en Éthiopie, cet boisson était fort apprécié en France, en Italie, en Suède... Mais moins chez les anglais, attaché à leurs thé ! Pour Laurence le café c'était un carburant. Le matin grand café et c'était partit ! A Poudlard, il ne pouvait en boire que le matin, mais chez lui, il torpillait la cafetière !
C'est ainsi qu'il reconnut que mademoiselle Gabrielle avait beaucoup de goût. En effet, le café servit était d'une très bonne qualité. Sortant de ses pensées, Laurence prit quelques instants pour l'apprécier avant de retomber dans ses réflexions.

Il avait bien vu que Gaby, avait occulté, volontairement, sa question sur sa présence de sentiment envers une personne, en ce moment. Des sentiments très fort en plus... De qui s'agissait-il ? De lui ? Il aurait bien avancé cet hypothèse, mais c ne serait pas un peu présomptueux ? Après tout, Gabrielle, il ne la connaît pas depuis très longtemps, su un plan rapproché du moins. La relancer ? Laisser faire ? Laurence s'interrogeait sur la conduite à tenir. Finalement, il décida de laisser aller les choses.
Et c'était tant mieux, car elles prenaient une tournure intéressante.
Ne cilla pas d'un cheveux lorsque Gabrielle s'avança vers lui, rajoutant d'avantage de proximité. Il sentait son léger souffle chaud sur son visage et il pouvait contempler ses yeux à sa guise... Et malgré le romantisme du moment, il ne put s'empêcher de ricaner à sa remarque. Une tasse de café... Quoi d'autre ?

- Faux.

En disant cella il avait encore rapproché ses lèvres, suffisamment proche pour lui effleurer en fait. Un geste très doux, presque imperceptible, mais bien réel. Lui jetant un regard énigmatique, il tint sa position un moment, s’imprégnant du désir qu'il voyait dans son regard, puis recula doucement, ce calant au fond de sa chaise, une fois que la gestion de la maîtresse de maison franchit ses lèvres.
De quoi avait-il envie, la, de suite ? Cet question méritait-elle vraiment un réponse ? Non, c'était pur provocation de la part de Gabrielle, jouant au même jeu que lui et il ne s'y trompa. Même pas un peu !

Il lui fit un grand sourire et prenant sa tasse à la main, il déclara d'une voix enjouée :

- De café, quoi d'autre ?

Une chose était sûr, s'il la désirait, c'était réciproque, maintenant, qui ferait le premier pas ? En gentleman, ce serait à lui de le faire, mais il avait un côté égocentrique, puis, son petit côté maso, le poussait à retarder l'échéance.
Et l'envie de l'embrasser, de la toucher augmentait encore.
Finissant son café d'une traite, il reposa sa tasse, regardant Gaby, la détaillant d'un air appréciable et dit d'une voix lourde de sens :

- Délicieux.

[Localisation]

Le café... Découvert en Éthiopie, cet boisson était fort apprécié en France, en Italie, en Suède... Mais moins chez les anglais, attaché à leurs thé ! Pour Laurence le café c'était un carburant. Le matin grand café et c'était partit ! A Poudlard, il ne pouvait en boire que le matin, mais chez lui, il torpillait la cafetière !
C'est ainsi qu'il reconnut que mademoiselle Gabrielle avait beaucoup de goût. En effet, le café servit était d'une très bonne qualité. Sortant de ses pensées, Laurence prit quelques instants pour l'apprécier avant de retomber dans ses réflexions.

Il avait bien vu que Gaby, avait occulté, volontairement, sa question sur sa présence de sentiment envers une personne, en ce moment. Des sentiments très fort en plus... De qui s'agissait-il ? De lui ? Il aurait bien avancé cet hypothèse, mais c ne serait pas un peu présomptueux ? Après tout, Gabrielle, il ne la connaît pas depuis très longtemps, su un plan rapproché du moins. La relancer ? Laisser faire ? Laurence s'interrogeait sur la conduite à tenir. Finalement, il décida de laisser aller les choses.
Et c'était tant mieux, car elles prenaient une tournure intéressante.
Ne cilla pas d'un cheveux lorsque Gabrielle s'avança vers lui, rajoutant d'avantage de proximité. Il sentait son léger souffle chaud sur son visage et il pouvait contempler ses yeux à sa guise... Et malgré le romantisme du moment, il ne put s'empêcher de ricaner à sa remarque. Une tasse de café... Quoi d'autre ?

- Faux.

En disant cella il avait encore rapproché ses lèvres, suffisamment proche pour lui effleurer en fait. Un geste très doux, presque imperceptible, mais bien réel. Lui jetant un regard énigmatique, il tint sa position un moment, s’imprégnant du désir qu'il voyait dans son regard, puis recula doucement, ce calant au fond de sa chaise, une fois que la gestion de la maîtresse de maison franchit ses lèvres.
De quoi avait-il envie, la, de suite ? Cet question méritait-elle vraiment un réponse ? Non, c'était pur provocation de la part de Gabrielle, jouant au même jeu que lui et il ne s'y trompa. Même pas un peu !

Il lui fit un grand sourire et prenant sa tasse à la main, il déclara d'une voix enjouée :

- De café, quoi d'autre ?

Une chose était sûr, s'il la désirait, c'était réciproque, maintenant, qui ferait le premier pas ? En gentleman, ce serait à lui de le faire, mais il avait un côté égocentrique, puis, son petit côté maso, le poussait à retarder l'échéance.
Et l'envie de l'embrasser, de la toucher augmentait encore.
Finissant son café d'une traite, il reposa sa tasse, regardant Gaby, la détaillant d'un air appréciable et dit d'une voix lourde de sens :

- Délicieux.

[Nb de messages]

Le café... Découvert en Éthiopie, cet boisson était fort apprécié en France, en Italie, en Suède... Mais moins chez les anglais, attaché à leurs thé ! Pour Laurence le café c'était un carburant. Le matin grand café et c'était partit ! A Poudlard, il ne pouvait en boire que le matin, mais chez lui, il torpillait la cafetière !
C'est ainsi qu'il reconnut que mademoiselle Gabrielle avait beaucoup de goût. En effet, le café servit était d'une très bonne qualité. Sortant de ses pensées, Laurence prit quelques instants pour l'apprécier avant de retomber dans ses réflexions.

Il avait bien vu que Gaby, avait occulté, volontairement, sa question sur sa présence de sentiment envers une personne, en ce moment. Des sentiments très fort en plus... De qui s'agissait-il ? De lui ? Il aurait bien avancé cet hypothèse, mais c ne serait pas un peu présomptueux ? Après tout, Gabrielle, il ne la connaît pas depuis très longtemps, su un plan rapproché du moins. La relancer ? Laisser faire ? Laurence s'interrogeait sur la conduite à tenir. Finalement, il décida de laisser aller les choses.
Et c'était tant mieux, car elles prenaient une tournure intéressante.
Ne cilla pas d'un cheveux lorsque Gabrielle s'avança vers lui, rajoutant d'avantage de proximité. Il sentait son léger souffle chaud sur son visage et il pouvait contempler ses yeux à sa guise... Et malgré le romantisme du moment, il ne put s'empêcher de ricaner à sa remarque. Une tasse de café... Quoi d'autre ?

- Faux.

En disant cella il avait encore rapproché ses lèvres, suffisamment proche pour lui effleurer en fait. Un geste très doux, presque imperceptible, mais bien réel. Lui jetant un regard énigmatique, il tint sa position un moment, s’imprégnant du désir qu'il voyait dans son regard, puis recula doucement, ce calant au fond de sa chaise, une fois que la gestion de la maîtresse de maison franchit ses lèvres.
De quoi avait-il envie, la, de suite ? Cet question méritait-elle vraiment un réponse ? Non, c'était pur provocation de la part de Gabrielle, jouant au même jeu que lui et il ne s'y trompa. Même pas un peu !

Il lui fit un grand sourire et prenant sa tasse à la main, il déclara d'une voix enjouée :

- De café, quoi d'autre ?

Une chose était sûr, s'il la désirait, c'était réciproque, maintenant, qui ferait le premier pas ? En gentleman, ce serait à lui de le faire, mais il avait un côté égocentrique, puis, son petit côté maso, le poussait à retarder l'échéance.
Et l'envie de l'embrasser, de la toucher augmentait encore.
Finissant son café d'une traite, il reposa sa tasse, regardant Gaby, la détaillant d'un air appréciable et dit d'une voix lourde de sens :

- Délicieux.

[Bourse]

Le café... Découvert en Éthiopie, cet boisson était fort apprécié en France, en Italie, en Suède... Mais moins chez les anglais, attaché à leurs thé ! Pour Laurence le café c'était un carburant. Le matin grand café et c'était partit ! A Poudlard, il ne pouvait en boire que le matin, mais chez lui, il torpillait la cafetière !
C'est ainsi qu'il reconnut que mademoiselle Gabrielle avait beaucoup de goût. En effet, le café servit était d'une très bonne qualité. Sortant de ses pensées, Laurence prit quelques instants pour l'apprécier avant de retomber dans ses réflexions.

Il avait bien vu que Gaby, avait occulté, volontairement, sa question sur sa présence de sentiment envers une personne, en ce moment. Des sentiments très fort en plus... De qui s'agissait-il ? De lui ? Il aurait bien avancé cet hypothèse, mais c ne serait pas un peu présomptueux ? Après tout, Gabrielle, il ne la connaît pas depuis très longtemps, su un plan rapproché du moins. La relancer ? Laisser faire ? Laurence s'interrogeait sur la conduite à tenir. Finalement, il décida de laisser aller les choses.
Et c'était tant mieux, car elles prenaient une tournure intéressante.
Ne cilla pas d'un cheveux lorsque Gabrielle s'avança vers lui, rajoutant d'avantage de proximité. Il sentait son léger souffle chaud sur son visage et il pouvait contempler ses yeux à sa guise... Et malgré le romantisme du moment, il ne put s'empêcher de ricaner à sa remarque. Une tasse de café... Quoi d'autre ?

- Faux.

En disant cella il avait encore rapproché ses lèvres, suffisamment proche pour lui effleurer en fait. Un geste très doux, presque imperceptible, mais bien réel. Lui jetant un regard énigmatique, il tint sa position un moment, s’imprégnant du désir qu'il voyait dans son regard, puis recula doucement, ce calant au fond de sa chaise, une fois que la gestion de la maîtresse de maison franchit ses lèvres.
De quoi avait-il envie, la, de suite ? Cet question méritait-elle vraiment un réponse ? Non, c'était pur provocation de la part de Gabrielle, jouant au même jeu que lui et il ne s'y trompa. Même pas un peu !

Il lui fit un grand sourire et prenant sa tasse à la main, il déclara d'une voix enjouée :

- De café, quoi d'autre ?

Une chose était sûr, s'il la désirait, c'était réciproque, maintenant, qui ferait le premier pas ? En gentleman, ce serait à lui de le faire, mais il avait un côté égocentrique, puis, son petit côté maso, le poussait à retarder l'échéance.
Et l'envie de l'embrasser, de la toucher augmentait encore.
Finissant son café d'une traite, il reposa sa tasse, regardant Gaby, la détaillant d'un air appréciable et dit d'une voix lourde de sens :

- Délicieux.

[Données]

Le café... Découvert en Éthiopie, cet boisson était fort apprécié en France, en Italie, en Suède... Mais moins chez les anglais, attaché à leurs thé ! Pour Laurence le café c'était un carburant. Le matin grand café et c'était partit ! A Poudlard, il ne pouvait en boire que le matin, mais chez lui, il torpillait la cafetière !
C'est ainsi qu'il reconnut que mademoiselle Gabrielle avait beaucoup de goût. En effet, le café servit était d'une très bonne qualité. Sortant de ses pensées, Laurence prit quelques instants pour l'apprécier avant de retomber dans ses réflexions.

Il avait bien vu que Gaby, avait occulté, volontairement, sa question sur sa présence de sentiment envers une personne, en ce moment. Des sentiments très fort en plus... De qui s'agissait-il ? De lui ? Il aurait bien avancé cet hypothèse, mais c ne serait pas un peu présomptueux ? Après tout, Gabrielle, il ne la connaît pas depuis très longtemps, su un plan rapproché du moins. La relancer ? Laisser faire ? Laurence s'interrogeait sur la conduite à tenir. Finalement, il décida de laisser aller les choses.
Et c'était tant mieux, car elles prenaient une tournure intéressante.
Ne cilla pas d'un cheveux lorsque Gabrielle s'avança vers lui, rajoutant d'avantage de proximité. Il sentait son léger souffle chaud sur son visage et il pouvait contempler ses yeux à sa guise... Et malgré le romantisme du moment, il ne put s'empêcher de ricaner à sa remarque. Une tasse de café... Quoi d'autre ?

- Faux.

En disant cella il avait encore rapproché ses lèvres, suffisamment proche pour lui effleurer en fait. Un geste très doux, presque imperceptible, mais bien réel. Lui jetant un regard énigmatique, il tint sa position un moment, s’imprégnant du désir qu'il voyait dans son regard, puis recula doucement, ce calant au fond de sa chaise, une fois que la gestion de la maîtresse de maison franchit ses lèvres.
De quoi avait-il envie, la, de suite ? Cet question méritait-elle vraiment un réponse ? Non, c'était pur provocation de la part de Gabrielle, jouant au même jeu que lui et il ne s'y trompa. Même pas un peu !

Il lui fit un grand sourire et prenant sa tasse à la main, il déclara d'une voix enjouée :

- De café, quoi d'autre ?

Une chose était sûr, s'il la désirait, c'était réciproque, maintenant, qui ferait le premier pas ? En gentleman, ce serait à lui de le faire, mais il avait un côté égocentrique, puis, son petit côté maso, le poussait à retarder l'échéance.
Et l'envie de l'embrasser, de la toucher augmentait encore.
Finissant son café d'une traite, il reposa sa tasse, regardant Gaby, la détaillant d'un air appréciable et dit d'une voix lourde de sens :

- Délicieux.

[Expérience]

Le café... Découvert en Éthiopie, cet boisson était fort apprécié en France, en Italie, en Suède... Mais moins chez les anglais, attaché à leurs thé ! Pour Laurence le café c'était un carburant. Le matin grand café et c'était partit ! A Poudlard, il ne pouvait en boire que le matin, mais chez lui, il torpillait la cafetière !
C'est ainsi qu'il reconnut que mademoiselle Gabrielle avait beaucoup de goût. En effet, le café servit était d'une très bonne qualité. Sortant de ses pensées, Laurence prit quelques instants pour l'apprécier avant de retomber dans ses réflexions.

Il avait bien vu que Gaby, avait occulté, volontairement, sa question sur sa présence de sentiment envers une personne, en ce moment. Des sentiments très fort en plus... De qui s'agissait-il ? De lui ? Il aurait bien avancé cet hypothèse, mais c ne serait pas un peu présomptueux ? Après tout, Gabrielle, il ne la connaît pas depuis très longtemps, su un plan rapproché du moins. La relancer ? Laisser faire ? Laurence s'interrogeait sur la conduite à tenir. Finalement, il décida de laisser aller les choses.
Et c'était tant mieux, car elles prenaient une tournure intéressante.
Ne cilla pas d'un cheveux lorsque Gabrielle s'avança vers lui, rajoutant d'avantage de proximité. Il sentait son léger souffle chaud sur son visage et il pouvait contempler ses yeux à sa guise... Et malgré le romantisme du moment, il ne put s'empêcher de ricaner à sa remarque. Une tasse de café... Quoi d'autre ?

- Faux.

En disant cella il avait encore rapproché ses lèvres, suffisamment proche pour lui effleurer en fait. Un geste très doux, presque imperceptible, mais bien réel. Lui jetant un regard énigmatique, il tint sa position un moment, s’imprégnant du désir qu'il voyait dans son regard, puis recula doucement, ce calant au fond de sa chaise, une fois que la gestion de la maîtresse de maison franchit ses lèvres.
De quoi avait-il envie, la, de suite ? Cet question méritait-elle vraiment un réponse ? Non, c'était pur provocation de la part de Gabrielle, jouant au même jeu que lui et il ne s'y trompa. Même pas un peu !

Il lui fit un grand sourire et prenant sa tasse à la main, il déclara d'une voix enjouée :

- De café, quoi d'autre ?

Une chose était sûr, s'il la désirait, c'était réciproque, maintenant, qui ferait le premier pas ? En gentleman, ce serait à lui de le faire, mais il avait un côté égocentrique, puis, son petit côté maso, le poussait à retarder l'échéance.
Et l'envie de l'embrasser, de la toucher augmentait encore.
Finissant son café d'une traite, il reposa sa tasse, regardant Gaby, la détaillant d'un air appréciable et dit d'une voix lourde de sens :

- Délicieux.