[— JOUEUR / JOUEUSE —]

J'avais demandé un moment de solitude !
PV Johan Vance & Deborah Kerr

Le soleil se posa délicatement sur le visage encore endormi de Miss Deborah Kerr. Il n'en fallu pas d'avantage pour la mettre de mauvaise humeur : si il y avait bien une chose qu'elle haïssait par dessus tout, c'était cela : un rayon de soleil qui se posait sur elle avant même qu'elle ne soit tout à fait réveillé. Habituellement, dans son loft, la demoiselle avait de lourds rideaux de velours noirs qui se chargeaient à merveille de faire obstacle à l'astre solaire. Mais ici …

Deborah avait passé la nuit chez ses parents. Une réunion de famille devait avoir lieu durant le week end et Eliott, son imposant patriarche, avait dument insisté : Deborah devait arriver au manoir des Kerr la veille de la réunion – non pas qu'on eut besoin d'elle. C'était simplement la volonté de montrer à tous que cette vieille famille de Sang Pur était unie. Cette précaution était parfaitement inutile. En effet, on voyait peu de famille de sorciers aussi unie que les Kerr. A part peut être les Weasley … mais jamais au grand jamais les Kerr n'auraient pu comparer leur illustre famille à celle, plus que critique, des Weasley. Bref.

Ici donc, pas de lourds rideaux de velours noir. Plus de lourds rideaux de velours noir serait plus exact. Deborah était en ce moment même en train de s'éveiller dans la chambre qu'elle avait occupé durant de longues années alors qu'elle était encore une enfant, puis une adolescente, avant de quitter le cocon familial pour son loft spacieux et extrêmement luxueux du centre ville Londonien. Lorsqu'elle était enfant, Deborah avait elle même exigée d'avoir des rideaux de velours pour cacher le soleil. Ils avaient été installés dans la journée et aujourd'hui, suite à l'erreur d'une malheureuse domestique peu à l'écoute, ils étaient à laver. Deborah grogna de dépit et se leva dans un mouvement sec. La porte de sa chambre s'ouvrit au même instant pour laisser apparaître Emily, une des domestiques de ses parents. Deborah rembarra la jeune femme avant même que celle ci n'ai le temps de parler.

- Oui je sais. Il est l'heure et le patriarche m'attend. J'arrive.

Son ton était sec. Cassant. Pour une simple histoire de rideaux ? Et bien oui. Miss Kerr avait ses sautes d'humeur de façon très fréquente – et souvent pour peu de choses. Elle fila rapidement sous la douche avant de piocher dans son armoire. Un jean noir ainsi qu'une tunique assortie ? Une petite robe légère ? Se disant que le jean porté avec une tunique ferrai mieux ressortir son humeur, elle opta pour cette option. Elle se coiffa rapidement, attacha ses longs cheveux noir dans un chignon un peu désordonné et passa une soupçon d'ombre noire sur ses paupières. Voilà, un beau regard fumé qui déplairait surement au patriarche … Avec un petit sourire satisfait, Deborah quitta sa chambre. Elle croisa Duncan sur le pallier. Duncan. Le frère qu'elle aimait le mieux, celui dont elle était le plus proche. Elle ne l'avait pas vu la veille au soir – il était surement arrivé dans la nuit. Ravie de le trouver là, elle alla le serrer dans ses bras, déposant au passage un baiser sur sa joue. Il fit de même, se moquant rapidement de sa tenue et anticipant la réaction que leur père ne manquerait pas d'avoir.
Ils descendirent l'escalier côte à côte, bavardant légèrement, se racontant l'un l'autre ce qu'ils avaient fait durant les dernières semaines. Duncan, employé de la banque Gringotts, avait été en France pour un voyage d'affaire. Dans une ville dénommée Marseille, toujours au soleil – trop, selon Duncan. Deborah eu un petit sourire. Ils entrèrent dans la salle à manger, démesurée, à ce moment là. Ils s'inclinèrent devant leurs parents, leur disant bonjour. Ce fut le silence qui leur répondu.

- Deborah, j'espère que vous plaisantez. Vous n'avez tout de même pas l'intention de porter cette … tenue ce soir, lors de la réception ? demanda sa mère d'une voix outrée.

Deborah soupira. Elle s'assit à la place qui avait toujours été la sienne et attrapa un toast en répondant à sa mère.

- Je vous rassure, mère, j'ai prévue une robe de soirée pour la réception. répondit la jeune femme d'un ton neutre avant de demander si elle pouvait bouger un petit peu dans la matinée.
En effet, l'envie de quitter le domaine Kerr l'avait saisi. Un réveil brutal était tout à fait contre indiqué pour Deborah car il ne faisait que l'agacer – lui donnant ainsi envie d'avoir un peu de temps seule. Comprenant parfaitement sa fille, Madame Kerr lui adressa un sourire.

-Mais bien entendue, très chère. Tant que vous êtes rentrée pour dis sept heures. Oh non, plutôt seize heure. Vous savez que les invités arriveront dès dix huit heure, je tiens à ce que vous soyez prête à temps.

Sa mère. Tendre et aimante, elle avait toujours été très présente pour ses enfants, les préparant aux grandes étapes qui ponctueraient leur vie : la découverte et l'apprentissage de leurs pouvoirs, Poudlard, leur présentation dans les rangs mangemorts … Elle se leva et alla déposer un baiser sur le front de Deborah – seul signe d'affection visible que montrait la mère à ses enfants. Leur père restait de glace, faisant figure de l'autorité paternelle qui juge et aide – sans sentiment visible, bien qu'il aimait tendrement chacun de ses enfants.

Le petit déjeuner se termina dans le silence le plus complet. Sitôt qu'elle eut fini, Deborah remonta dans sa chambre afin de se préparer à une petite expédition – un tour à la Tête de Sanglier, en fait. Il s'agissait peut être du seul pub sorcier dans le quel la jeune femme pouvait avoir un moment de solitude. Elle saisi sa baguette, une flacon d'antidote à toute forme de potion telle que le veritaserum et transplana en direction du plus célèbre des villages sorciers.

Pré au Lard. La dernière fois que Deborah s'était rendu dans le village, c'était dans le cadre d'une attaque de mangemorts. La jeune femme sourit à ce souvenir. Aujourd'hui, le premier jour du mois de juillet, le village était désert. Les élèves avaient quitté l'école de Poudlard et Deborah savait qu'elle aurait la paix. Même les Trois Balais devaient être relativement calme. Afin de s'en assurer, la jeune femme marcha lentement vers le pub. Arrivée à destination, elle poussa légèrement la porte. Une dizaine de personnes étaient assises dedans – rien du tout, comparée à ce qu'était le pub un samedi durant la période scolaire. Bien trop pour Miss Kerr qui se rendit tout droit à la Tête de Sanglier.

Le bar crasseux était, lui, parfaitement vide. Il n'y avait que le barman, qui salua Deborah avec un tel manque d'entrain que s'en était impressionnant. « A croire qu'il veut réellement que les lieux soient vides ! » pensa la jeune femme. Elle s'approcha du comptoir pour commander un Whisky pur Feu. Elle grimaça en voyant la saleté du verre que saisit l'homme, lança discrètement un « Récurvite ! » informulé avant que le barman ne lui serve sa mixture. Il lui donna le verre, elle paya et alla s'assoir à une table, au fond du bar. Elle prit bien garde à avoir une vue imprenable sur la porte, pouvant ainsi vérifier qui venait. La jeune femme n'aimait pas être prise au dépourvu.
Les minutes s'écoulèrent. Le silence assourdissant qui régnait dans ce lieux était rare et précieux. Deborah n'avait pas le souvenir d'en avoir déjà entendu un si intense. Peut être dans la bibliothèque de ses parents lorsque le manoir était déserté … Même à la bibliothèque de Poudlard, il y avait toujours un écho, le bruit d'une conversation … Ici, le calme était absolu. Deborah savourait cette sensation lorsque la porte s'ouvrit. Un homme entra. Elle le maudit intérieurement. S'il venait rompre la quiétude du lieu ...

[Localisation]

J'avais demandé un moment de solitude !
PV Johan Vance & Deborah Kerr

Le soleil se posa délicatement sur le visage encore endormi de Miss Deborah Kerr. Il n'en fallu pas d'avantage pour la mettre de mauvaise humeur : si il y avait bien une chose qu'elle haïssait par dessus tout, c'était cela : un rayon de soleil qui se posait sur elle avant même qu'elle ne soit tout à fait réveillé. Habituellement, dans son loft, la demoiselle avait de lourds rideaux de velours noirs qui se chargeaient à merveille de faire obstacle à l'astre solaire. Mais ici …

Deborah avait passé la nuit chez ses parents. Une réunion de famille devait avoir lieu durant le week end et Eliott, son imposant patriarche, avait dument insisté : Deborah devait arriver au manoir des Kerr la veille de la réunion – non pas qu'on eut besoin d'elle. C'était simplement la volonté de montrer à tous que cette vieille famille de Sang Pur était unie. Cette précaution était parfaitement inutile. En effet, on voyait peu de famille de sorciers aussi unie que les Kerr. A part peut être les Weasley … mais jamais au grand jamais les Kerr n'auraient pu comparer leur illustre famille à celle, plus que critique, des Weasley. Bref.

Ici donc, pas de lourds rideaux de velours noir. Plus de lourds rideaux de velours noir serait plus exact. Deborah était en ce moment même en train de s'éveiller dans la chambre qu'elle avait occupé durant de longues années alors qu'elle était encore une enfant, puis une adolescente, avant de quitter le cocon familial pour son loft spacieux et extrêmement luxueux du centre ville Londonien. Lorsqu'elle était enfant, Deborah avait elle même exigée d'avoir des rideaux de velours pour cacher le soleil. Ils avaient été installés dans la journée et aujourd'hui, suite à l'erreur d'une malheureuse domestique peu à l'écoute, ils étaient à laver. Deborah grogna de dépit et se leva dans un mouvement sec. La porte de sa chambre s'ouvrit au même instant pour laisser apparaître Emily, une des domestiques de ses parents. Deborah rembarra la jeune femme avant même que celle ci n'ai le temps de parler.

- Oui je sais. Il est l'heure et le patriarche m'attend. J'arrive.

Son ton était sec. Cassant. Pour une simple histoire de rideaux ? Et bien oui. Miss Kerr avait ses sautes d'humeur de façon très fréquente – et souvent pour peu de choses. Elle fila rapidement sous la douche avant de piocher dans son armoire. Un jean noir ainsi qu'une tunique assortie ? Une petite robe légère ? Se disant que le jean porté avec une tunique ferrai mieux ressortir son humeur, elle opta pour cette option. Elle se coiffa rapidement, attacha ses longs cheveux noir dans un chignon un peu désordonné et passa une soupçon d'ombre noire sur ses paupières. Voilà, un beau regard fumé qui déplairait surement au patriarche … Avec un petit sourire satisfait, Deborah quitta sa chambre. Elle croisa Duncan sur le pallier. Duncan. Le frère qu'elle aimait le mieux, celui dont elle était le plus proche. Elle ne l'avait pas vu la veille au soir – il était surement arrivé dans la nuit. Ravie de le trouver là, elle alla le serrer dans ses bras, déposant au passage un baiser sur sa joue. Il fit de même, se moquant rapidement de sa tenue et anticipant la réaction que leur père ne manquerait pas d'avoir.
Ils descendirent l'escalier côte à côte, bavardant légèrement, se racontant l'un l'autre ce qu'ils avaient fait durant les dernières semaines. Duncan, employé de la banque Gringotts, avait été en France pour un voyage d'affaire. Dans une ville dénommée Marseille, toujours au soleil – trop, selon Duncan. Deborah eu un petit sourire. Ils entrèrent dans la salle à manger, démesurée, à ce moment là. Ils s'inclinèrent devant leurs parents, leur disant bonjour. Ce fut le silence qui leur répondu.

- Deborah, j'espère que vous plaisantez. Vous n'avez tout de même pas l'intention de porter cette … tenue ce soir, lors de la réception ? demanda sa mère d'une voix outrée.

Deborah soupira. Elle s'assit à la place qui avait toujours été la sienne et attrapa un toast en répondant à sa mère.

- Je vous rassure, mère, j'ai prévue une robe de soirée pour la réception. répondit la jeune femme d'un ton neutre avant de demander si elle pouvait bouger un petit peu dans la matinée.
En effet, l'envie de quitter le domaine Kerr l'avait saisi. Un réveil brutal était tout à fait contre indiqué pour Deborah car il ne faisait que l'agacer – lui donnant ainsi envie d'avoir un peu de temps seule. Comprenant parfaitement sa fille, Madame Kerr lui adressa un sourire.

-Mais bien entendue, très chère. Tant que vous êtes rentrée pour dis sept heures. Oh non, plutôt seize heure. Vous savez que les invités arriveront dès dix huit heure, je tiens à ce que vous soyez prête à temps.

Sa mère. Tendre et aimante, elle avait toujours été très présente pour ses enfants, les préparant aux grandes étapes qui ponctueraient leur vie : la découverte et l'apprentissage de leurs pouvoirs, Poudlard, leur présentation dans les rangs mangemorts … Elle se leva et alla déposer un baiser sur le front de Deborah – seul signe d'affection visible que montrait la mère à ses enfants. Leur père restait de glace, faisant figure de l'autorité paternelle qui juge et aide – sans sentiment visible, bien qu'il aimait tendrement chacun de ses enfants.

Le petit déjeuner se termina dans le silence le plus complet. Sitôt qu'elle eut fini, Deborah remonta dans sa chambre afin de se préparer à une petite expédition – un tour à la Tête de Sanglier, en fait. Il s'agissait peut être du seul pub sorcier dans le quel la jeune femme pouvait avoir un moment de solitude. Elle saisi sa baguette, une flacon d'antidote à toute forme de potion telle que le veritaserum et transplana en direction du plus célèbre des villages sorciers.

Pré au Lard. La dernière fois que Deborah s'était rendu dans le village, c'était dans le cadre d'une attaque de mangemorts. La jeune femme sourit à ce souvenir. Aujourd'hui, le premier jour du mois de juillet, le village était désert. Les élèves avaient quitté l'école de Poudlard et Deborah savait qu'elle aurait la paix. Même les Trois Balais devaient être relativement calme. Afin de s'en assurer, la jeune femme marcha lentement vers le pub. Arrivée à destination, elle poussa légèrement la porte. Une dizaine de personnes étaient assises dedans – rien du tout, comparée à ce qu'était le pub un samedi durant la période scolaire. Bien trop pour Miss Kerr qui se rendit tout droit à la Tête de Sanglier.

Le bar crasseux était, lui, parfaitement vide. Il n'y avait que le barman, qui salua Deborah avec un tel manque d'entrain que s'en était impressionnant. « A croire qu'il veut réellement que les lieux soient vides ! » pensa la jeune femme. Elle s'approcha du comptoir pour commander un Whisky pur Feu. Elle grimaça en voyant la saleté du verre que saisit l'homme, lança discrètement un « Récurvite ! » informulé avant que le barman ne lui serve sa mixture. Il lui donna le verre, elle paya et alla s'assoir à une table, au fond du bar. Elle prit bien garde à avoir une vue imprenable sur la porte, pouvant ainsi vérifier qui venait. La jeune femme n'aimait pas être prise au dépourvu.
Les minutes s'écoulèrent. Le silence assourdissant qui régnait dans ce lieux était rare et précieux. Deborah n'avait pas le souvenir d'en avoir déjà entendu un si intense. Peut être dans la bibliothèque de ses parents lorsque le manoir était déserté … Même à la bibliothèque de Poudlard, il y avait toujours un écho, le bruit d'une conversation … Ici, le calme était absolu. Deborah savourait cette sensation lorsque la porte s'ouvrit. Un homme entra. Elle le maudit intérieurement. S'il venait rompre la quiétude du lieu ...

[Nb de messages]

J'avais demandé un moment de solitude !
PV Johan Vance & Deborah Kerr

Le soleil se posa délicatement sur le visage encore endormi de Miss Deborah Kerr. Il n'en fallu pas d'avantage pour la mettre de mauvaise humeur : si il y avait bien une chose qu'elle haïssait par dessus tout, c'était cela : un rayon de soleil qui se posait sur elle avant même qu'elle ne soit tout à fait réveillé. Habituellement, dans son loft, la demoiselle avait de lourds rideaux de velours noirs qui se chargeaient à merveille de faire obstacle à l'astre solaire. Mais ici …

Deborah avait passé la nuit chez ses parents. Une réunion de famille devait avoir lieu durant le week end et Eliott, son imposant patriarche, avait dument insisté : Deborah devait arriver au manoir des Kerr la veille de la réunion – non pas qu'on eut besoin d'elle. C'était simplement la volonté de montrer à tous que cette vieille famille de Sang Pur était unie. Cette précaution était parfaitement inutile. En effet, on voyait peu de famille de sorciers aussi unie que les Kerr. A part peut être les Weasley … mais jamais au grand jamais les Kerr n'auraient pu comparer leur illustre famille à celle, plus que critique, des Weasley. Bref.

Ici donc, pas de lourds rideaux de velours noir. Plus de lourds rideaux de velours noir serait plus exact. Deborah était en ce moment même en train de s'éveiller dans la chambre qu'elle avait occupé durant de longues années alors qu'elle était encore une enfant, puis une adolescente, avant de quitter le cocon familial pour son loft spacieux et extrêmement luxueux du centre ville Londonien. Lorsqu'elle était enfant, Deborah avait elle même exigée d'avoir des rideaux de velours pour cacher le soleil. Ils avaient été installés dans la journée et aujourd'hui, suite à l'erreur d'une malheureuse domestique peu à l'écoute, ils étaient à laver. Deborah grogna de dépit et se leva dans un mouvement sec. La porte de sa chambre s'ouvrit au même instant pour laisser apparaître Emily, une des domestiques de ses parents. Deborah rembarra la jeune femme avant même que celle ci n'ai le temps de parler.

- Oui je sais. Il est l'heure et le patriarche m'attend. J'arrive.

Son ton était sec. Cassant. Pour une simple histoire de rideaux ? Et bien oui. Miss Kerr avait ses sautes d'humeur de façon très fréquente – et souvent pour peu de choses. Elle fila rapidement sous la douche avant de piocher dans son armoire. Un jean noir ainsi qu'une tunique assortie ? Une petite robe légère ? Se disant que le jean porté avec une tunique ferrai mieux ressortir son humeur, elle opta pour cette option. Elle se coiffa rapidement, attacha ses longs cheveux noir dans un chignon un peu désordonné et passa une soupçon d'ombre noire sur ses paupières. Voilà, un beau regard fumé qui déplairait surement au patriarche … Avec un petit sourire satisfait, Deborah quitta sa chambre. Elle croisa Duncan sur le pallier. Duncan. Le frère qu'elle aimait le mieux, celui dont elle était le plus proche. Elle ne l'avait pas vu la veille au soir – il était surement arrivé dans la nuit. Ravie de le trouver là, elle alla le serrer dans ses bras, déposant au passage un baiser sur sa joue. Il fit de même, se moquant rapidement de sa tenue et anticipant la réaction que leur père ne manquerait pas d'avoir.
Ils descendirent l'escalier côte à côte, bavardant légèrement, se racontant l'un l'autre ce qu'ils avaient fait durant les dernières semaines. Duncan, employé de la banque Gringotts, avait été en France pour un voyage d'affaire. Dans une ville dénommée Marseille, toujours au soleil – trop, selon Duncan. Deborah eu un petit sourire. Ils entrèrent dans la salle à manger, démesurée, à ce moment là. Ils s'inclinèrent devant leurs parents, leur disant bonjour. Ce fut le silence qui leur répondu.

- Deborah, j'espère que vous plaisantez. Vous n'avez tout de même pas l'intention de porter cette … tenue ce soir, lors de la réception ? demanda sa mère d'une voix outrée.

Deborah soupira. Elle s'assit à la place qui avait toujours été la sienne et attrapa un toast en répondant à sa mère.

- Je vous rassure, mère, j'ai prévue une robe de soirée pour la réception. répondit la jeune femme d'un ton neutre avant de demander si elle pouvait bouger un petit peu dans la matinée.
En effet, l'envie de quitter le domaine Kerr l'avait saisi. Un réveil brutal était tout à fait contre indiqué pour Deborah car il ne faisait que l'agacer – lui donnant ainsi envie d'avoir un peu de temps seule. Comprenant parfaitement sa fille, Madame Kerr lui adressa un sourire.

-Mais bien entendue, très chère. Tant que vous êtes rentrée pour dis sept heures. Oh non, plutôt seize heure. Vous savez que les invités arriveront dès dix huit heure, je tiens à ce que vous soyez prête à temps.

Sa mère. Tendre et aimante, elle avait toujours été très présente pour ses enfants, les préparant aux grandes étapes qui ponctueraient leur vie : la découverte et l'apprentissage de leurs pouvoirs, Poudlard, leur présentation dans les rangs mangemorts … Elle se leva et alla déposer un baiser sur le front de Deborah – seul signe d'affection visible que montrait la mère à ses enfants. Leur père restait de glace, faisant figure de l'autorité paternelle qui juge et aide – sans sentiment visible, bien qu'il aimait tendrement chacun de ses enfants.

Le petit déjeuner se termina dans le silence le plus complet. Sitôt qu'elle eut fini, Deborah remonta dans sa chambre afin de se préparer à une petite expédition – un tour à la Tête de Sanglier, en fait. Il s'agissait peut être du seul pub sorcier dans le quel la jeune femme pouvait avoir un moment de solitude. Elle saisi sa baguette, une flacon d'antidote à toute forme de potion telle que le veritaserum et transplana en direction du plus célèbre des villages sorciers.

Pré au Lard. La dernière fois que Deborah s'était rendu dans le village, c'était dans le cadre d'une attaque de mangemorts. La jeune femme sourit à ce souvenir. Aujourd'hui, le premier jour du mois de juillet, le village était désert. Les élèves avaient quitté l'école de Poudlard et Deborah savait qu'elle aurait la paix. Même les Trois Balais devaient être relativement calme. Afin de s'en assurer, la jeune femme marcha lentement vers le pub. Arrivée à destination, elle poussa légèrement la porte. Une dizaine de personnes étaient assises dedans – rien du tout, comparée à ce qu'était le pub un samedi durant la période scolaire. Bien trop pour Miss Kerr qui se rendit tout droit à la Tête de Sanglier.

Le bar crasseux était, lui, parfaitement vide. Il n'y avait que le barman, qui salua Deborah avec un tel manque d'entrain que s'en était impressionnant. « A croire qu'il veut réellement que les lieux soient vides ! » pensa la jeune femme. Elle s'approcha du comptoir pour commander un Whisky pur Feu. Elle grimaça en voyant la saleté du verre que saisit l'homme, lança discrètement un « Récurvite ! » informulé avant que le barman ne lui serve sa mixture. Il lui donna le verre, elle paya et alla s'assoir à une table, au fond du bar. Elle prit bien garde à avoir une vue imprenable sur la porte, pouvant ainsi vérifier qui venait. La jeune femme n'aimait pas être prise au dépourvu.
Les minutes s'écoulèrent. Le silence assourdissant qui régnait dans ce lieux était rare et précieux. Deborah n'avait pas le souvenir d'en avoir déjà entendu un si intense. Peut être dans la bibliothèque de ses parents lorsque le manoir était déserté … Même à la bibliothèque de Poudlard, il y avait toujours un écho, le bruit d'une conversation … Ici, le calme était absolu. Deborah savourait cette sensation lorsque la porte s'ouvrit. Un homme entra. Elle le maudit intérieurement. S'il venait rompre la quiétude du lieu ...

[Bourse]

J'avais demandé un moment de solitude !
PV Johan Vance & Deborah Kerr

Le soleil se posa délicatement sur le visage encore endormi de Miss Deborah Kerr. Il n'en fallu pas d'avantage pour la mettre de mauvaise humeur : si il y avait bien une chose qu'elle haïssait par dessus tout, c'était cela : un rayon de soleil qui se posait sur elle avant même qu'elle ne soit tout à fait réveillé. Habituellement, dans son loft, la demoiselle avait de lourds rideaux de velours noirs qui se chargeaient à merveille de faire obstacle à l'astre solaire. Mais ici …

Deborah avait passé la nuit chez ses parents. Une réunion de famille devait avoir lieu durant le week end et Eliott, son imposant patriarche, avait dument insisté : Deborah devait arriver au manoir des Kerr la veille de la réunion – non pas qu'on eut besoin d'elle. C'était simplement la volonté de montrer à tous que cette vieille famille de Sang Pur était unie. Cette précaution était parfaitement inutile. En effet, on voyait peu de famille de sorciers aussi unie que les Kerr. A part peut être les Weasley … mais jamais au grand jamais les Kerr n'auraient pu comparer leur illustre famille à celle, plus que critique, des Weasley. Bref.

Ici donc, pas de lourds rideaux de velours noir. Plus de lourds rideaux de velours noir serait plus exact. Deborah était en ce moment même en train de s'éveiller dans la chambre qu'elle avait occupé durant de longues années alors qu'elle était encore une enfant, puis une adolescente, avant de quitter le cocon familial pour son loft spacieux et extrêmement luxueux du centre ville Londonien. Lorsqu'elle était enfant, Deborah avait elle même exigée d'avoir des rideaux de velours pour cacher le soleil. Ils avaient été installés dans la journée et aujourd'hui, suite à l'erreur d'une malheureuse domestique peu à l'écoute, ils étaient à laver. Deborah grogna de dépit et se leva dans un mouvement sec. La porte de sa chambre s'ouvrit au même instant pour laisser apparaître Emily, une des domestiques de ses parents. Deborah rembarra la jeune femme avant même que celle ci n'ai le temps de parler.

- Oui je sais. Il est l'heure et le patriarche m'attend. J'arrive.

Son ton était sec. Cassant. Pour une simple histoire de rideaux ? Et bien oui. Miss Kerr avait ses sautes d'humeur de façon très fréquente – et souvent pour peu de choses. Elle fila rapidement sous la douche avant de piocher dans son armoire. Un jean noir ainsi qu'une tunique assortie ? Une petite robe légère ? Se disant que le jean porté avec une tunique ferrai mieux ressortir son humeur, elle opta pour cette option. Elle se coiffa rapidement, attacha ses longs cheveux noir dans un chignon un peu désordonné et passa une soupçon d'ombre noire sur ses paupières. Voilà, un beau regard fumé qui déplairait surement au patriarche … Avec un petit sourire satisfait, Deborah quitta sa chambre. Elle croisa Duncan sur le pallier. Duncan. Le frère qu'elle aimait le mieux, celui dont elle était le plus proche. Elle ne l'avait pas vu la veille au soir – il était surement arrivé dans la nuit. Ravie de le trouver là, elle alla le serrer dans ses bras, déposant au passage un baiser sur sa joue. Il fit de même, se moquant rapidement de sa tenue et anticipant la réaction que leur père ne manquerait pas d'avoir.
Ils descendirent l'escalier côte à côte, bavardant légèrement, se racontant l'un l'autre ce qu'ils avaient fait durant les dernières semaines. Duncan, employé de la banque Gringotts, avait été en France pour un voyage d'affaire. Dans une ville dénommée Marseille, toujours au soleil – trop, selon Duncan. Deborah eu un petit sourire. Ils entrèrent dans la salle à manger, démesurée, à ce moment là. Ils s'inclinèrent devant leurs parents, leur disant bonjour. Ce fut le silence qui leur répondu.

- Deborah, j'espère que vous plaisantez. Vous n'avez tout de même pas l'intention de porter cette … tenue ce soir, lors de la réception ? demanda sa mère d'une voix outrée.

Deborah soupira. Elle s'assit à la place qui avait toujours été la sienne et attrapa un toast en répondant à sa mère.

- Je vous rassure, mère, j'ai prévue une robe de soirée pour la réception. répondit la jeune femme d'un ton neutre avant de demander si elle pouvait bouger un petit peu dans la matinée.
En effet, l'envie de quitter le domaine Kerr l'avait saisi. Un réveil brutal était tout à fait contre indiqué pour Deborah car il ne faisait que l'agacer – lui donnant ainsi envie d'avoir un peu de temps seule. Comprenant parfaitement sa fille, Madame Kerr lui adressa un sourire.

-Mais bien entendue, très chère. Tant que vous êtes rentrée pour dis sept heures. Oh non, plutôt seize heure. Vous savez que les invités arriveront dès dix huit heure, je tiens à ce que vous soyez prête à temps.

Sa mère. Tendre et aimante, elle avait toujours été très présente pour ses enfants, les préparant aux grandes étapes qui ponctueraient leur vie : la découverte et l'apprentissage de leurs pouvoirs, Poudlard, leur présentation dans les rangs mangemorts … Elle se leva et alla déposer un baiser sur le front de Deborah – seul signe d'affection visible que montrait la mère à ses enfants. Leur père restait de glace, faisant figure de l'autorité paternelle qui juge et aide – sans sentiment visible, bien qu'il aimait tendrement chacun de ses enfants.

Le petit déjeuner se termina dans le silence le plus complet. Sitôt qu'elle eut fini, Deborah remonta dans sa chambre afin de se préparer à une petite expédition – un tour à la Tête de Sanglier, en fait. Il s'agissait peut être du seul pub sorcier dans le quel la jeune femme pouvait avoir un moment de solitude. Elle saisi sa baguette, une flacon d'antidote à toute forme de potion telle que le veritaserum et transplana en direction du plus célèbre des villages sorciers.

Pré au Lard. La dernière fois que Deborah s'était rendu dans le village, c'était dans le cadre d'une attaque de mangemorts. La jeune femme sourit à ce souvenir. Aujourd'hui, le premier jour du mois de juillet, le village était désert. Les élèves avaient quitté l'école de Poudlard et Deborah savait qu'elle aurait la paix. Même les Trois Balais devaient être relativement calme. Afin de s'en assurer, la jeune femme marcha lentement vers le pub. Arrivée à destination, elle poussa légèrement la porte. Une dizaine de personnes étaient assises dedans – rien du tout, comparée à ce qu'était le pub un samedi durant la période scolaire. Bien trop pour Miss Kerr qui se rendit tout droit à la Tête de Sanglier.

Le bar crasseux était, lui, parfaitement vide. Il n'y avait que le barman, qui salua Deborah avec un tel manque d'entrain que s'en était impressionnant. « A croire qu'il veut réellement que les lieux soient vides ! » pensa la jeune femme. Elle s'approcha du comptoir pour commander un Whisky pur Feu. Elle grimaça en voyant la saleté du verre que saisit l'homme, lança discrètement un « Récurvite ! » informulé avant que le barman ne lui serve sa mixture. Il lui donna le verre, elle paya et alla s'assoir à une table, au fond du bar. Elle prit bien garde à avoir une vue imprenable sur la porte, pouvant ainsi vérifier qui venait. La jeune femme n'aimait pas être prise au dépourvu.
Les minutes s'écoulèrent. Le silence assourdissant qui régnait dans ce lieux était rare et précieux. Deborah n'avait pas le souvenir d'en avoir déjà entendu un si intense. Peut être dans la bibliothèque de ses parents lorsque le manoir était déserté … Même à la bibliothèque de Poudlard, il y avait toujours un écho, le bruit d'une conversation … Ici, le calme était absolu. Deborah savourait cette sensation lorsque la porte s'ouvrit. Un homme entra. Elle le maudit intérieurement. S'il venait rompre la quiétude du lieu ...

[Données]

J'avais demandé un moment de solitude !
PV Johan Vance & Deborah Kerr

Le soleil se posa délicatement sur le visage encore endormi de Miss Deborah Kerr. Il n'en fallu pas d'avantage pour la mettre de mauvaise humeur : si il y avait bien une chose qu'elle haïssait par dessus tout, c'était cela : un rayon de soleil qui se posait sur elle avant même qu'elle ne soit tout à fait réveillé. Habituellement, dans son loft, la demoiselle avait de lourds rideaux de velours noirs qui se chargeaient à merveille de faire obstacle à l'astre solaire. Mais ici …

Deborah avait passé la nuit chez ses parents. Une réunion de famille devait avoir lieu durant le week end et Eliott, son imposant patriarche, avait dument insisté : Deborah devait arriver au manoir des Kerr la veille de la réunion – non pas qu'on eut besoin d'elle. C'était simplement la volonté de montrer à tous que cette vieille famille de Sang Pur était unie. Cette précaution était parfaitement inutile. En effet, on voyait peu de famille de sorciers aussi unie que les Kerr. A part peut être les Weasley … mais jamais au grand jamais les Kerr n'auraient pu comparer leur illustre famille à celle, plus que critique, des Weasley. Bref.

Ici donc, pas de lourds rideaux de velours noir. Plus de lourds rideaux de velours noir serait plus exact. Deborah était en ce moment même en train de s'éveiller dans la chambre qu'elle avait occupé durant de longues années alors qu'elle était encore une enfant, puis une adolescente, avant de quitter le cocon familial pour son loft spacieux et extrêmement luxueux du centre ville Londonien. Lorsqu'elle était enfant, Deborah avait elle même exigée d'avoir des rideaux de velours pour cacher le soleil. Ils avaient été installés dans la journée et aujourd'hui, suite à l'erreur d'une malheureuse domestique peu à l'écoute, ils étaient à laver. Deborah grogna de dépit et se leva dans un mouvement sec. La porte de sa chambre s'ouvrit au même instant pour laisser apparaître Emily, une des domestiques de ses parents. Deborah rembarra la jeune femme avant même que celle ci n'ai le temps de parler.

- Oui je sais. Il est l'heure et le patriarche m'attend. J'arrive.

Son ton était sec. Cassant. Pour une simple histoire de rideaux ? Et bien oui. Miss Kerr avait ses sautes d'humeur de façon très fréquente – et souvent pour peu de choses. Elle fila rapidement sous la douche avant de piocher dans son armoire. Un jean noir ainsi qu'une tunique assortie ? Une petite robe légère ? Se disant que le jean porté avec une tunique ferrai mieux ressortir son humeur, elle opta pour cette option. Elle se coiffa rapidement, attacha ses longs cheveux noir dans un chignon un peu désordonné et passa une soupçon d'ombre noire sur ses paupières. Voilà, un beau regard fumé qui déplairait surement au patriarche … Avec un petit sourire satisfait, Deborah quitta sa chambre. Elle croisa Duncan sur le pallier. Duncan. Le frère qu'elle aimait le mieux, celui dont elle était le plus proche. Elle ne l'avait pas vu la veille au soir – il était surement arrivé dans la nuit. Ravie de le trouver là, elle alla le serrer dans ses bras, déposant au passage un baiser sur sa joue. Il fit de même, se moquant rapidement de sa tenue et anticipant la réaction que leur père ne manquerait pas d'avoir.
Ils descendirent l'escalier côte à côte, bavardant légèrement, se racontant l'un l'autre ce qu'ils avaient fait durant les dernières semaines. Duncan, employé de la banque Gringotts, avait été en France pour un voyage d'affaire. Dans une ville dénommée Marseille, toujours au soleil – trop, selon Duncan. Deborah eu un petit sourire. Ils entrèrent dans la salle à manger, démesurée, à ce moment là. Ils s'inclinèrent devant leurs parents, leur disant bonjour. Ce fut le silence qui leur répondu.

- Deborah, j'espère que vous plaisantez. Vous n'avez tout de même pas l'intention de porter cette … tenue ce soir, lors de la réception ? demanda sa mère d'une voix outrée.

Deborah soupira. Elle s'assit à la place qui avait toujours été la sienne et attrapa un toast en répondant à sa mère.

- Je vous rassure, mère, j'ai prévue une robe de soirée pour la réception. répondit la jeune femme d'un ton neutre avant de demander si elle pouvait bouger un petit peu dans la matinée.
En effet, l'envie de quitter le domaine Kerr l'avait saisi. Un réveil brutal était tout à fait contre indiqué pour Deborah car il ne faisait que l'agacer – lui donnant ainsi envie d'avoir un peu de temps seule. Comprenant parfaitement sa fille, Madame Kerr lui adressa un sourire.

-Mais bien entendue, très chère. Tant que vous êtes rentrée pour dis sept heures. Oh non, plutôt seize heure. Vous savez que les invités arriveront dès dix huit heure, je tiens à ce que vous soyez prête à temps.

Sa mère. Tendre et aimante, elle avait toujours été très présente pour ses enfants, les préparant aux grandes étapes qui ponctueraient leur vie : la découverte et l'apprentissage de leurs pouvoirs, Poudlard, leur présentation dans les rangs mangemorts … Elle se leva et alla déposer un baiser sur le front de Deborah – seul signe d'affection visible que montrait la mère à ses enfants. Leur père restait de glace, faisant figure de l'autorité paternelle qui juge et aide – sans sentiment visible, bien qu'il aimait tendrement chacun de ses enfants.

Le petit déjeuner se termina dans le silence le plus complet. Sitôt qu'elle eut fini, Deborah remonta dans sa chambre afin de se préparer à une petite expédition – un tour à la Tête de Sanglier, en fait. Il s'agissait peut être du seul pub sorcier dans le quel la jeune femme pouvait avoir un moment de solitude. Elle saisi sa baguette, une flacon d'antidote à toute forme de potion telle que le veritaserum et transplana en direction du plus célèbre des villages sorciers.

Pré au Lard. La dernière fois que Deborah s'était rendu dans le village, c'était dans le cadre d'une attaque de mangemorts. La jeune femme sourit à ce souvenir. Aujourd'hui, le premier jour du mois de juillet, le village était désert. Les élèves avaient quitté l'école de Poudlard et Deborah savait qu'elle aurait la paix. Même les Trois Balais devaient être relativement calme. Afin de s'en assurer, la jeune femme marcha lentement vers le pub. Arrivée à destination, elle poussa légèrement la porte. Une dizaine de personnes étaient assises dedans – rien du tout, comparée à ce qu'était le pub un samedi durant la période scolaire. Bien trop pour Miss Kerr qui se rendit tout droit à la Tête de Sanglier.

Le bar crasseux était, lui, parfaitement vide. Il n'y avait que le barman, qui salua Deborah avec un tel manque d'entrain que s'en était impressionnant. « A croire qu'il veut réellement que les lieux soient vides ! » pensa la jeune femme. Elle s'approcha du comptoir pour commander un Whisky pur Feu. Elle grimaça en voyant la saleté du verre que saisit l'homme, lança discrètement un « Récurvite ! » informulé avant que le barman ne lui serve sa mixture. Il lui donna le verre, elle paya et alla s'assoir à une table, au fond du bar. Elle prit bien garde à avoir une vue imprenable sur la porte, pouvant ainsi vérifier qui venait. La jeune femme n'aimait pas être prise au dépourvu.
Les minutes s'écoulèrent. Le silence assourdissant qui régnait dans ce lieux était rare et précieux. Deborah n'avait pas le souvenir d'en avoir déjà entendu un si intense. Peut être dans la bibliothèque de ses parents lorsque le manoir était déserté … Même à la bibliothèque de Poudlard, il y avait toujours un écho, le bruit d'une conversation … Ici, le calme était absolu. Deborah savourait cette sensation lorsque la porte s'ouvrit. Un homme entra. Elle le maudit intérieurement. S'il venait rompre la quiétude du lieu ...

[Expérience]

J'avais demandé un moment de solitude !
PV Johan Vance & Deborah Kerr

Le soleil se posa délicatement sur le visage encore endormi de Miss Deborah Kerr. Il n'en fallu pas d'avantage pour la mettre de mauvaise humeur : si il y avait bien une chose qu'elle haïssait par dessus tout, c'était cela : un rayon de soleil qui se posait sur elle avant même qu'elle ne soit tout à fait réveillé. Habituellement, dans son loft, la demoiselle avait de lourds rideaux de velours noirs qui se chargeaient à merveille de faire obstacle à l'astre solaire. Mais ici …

Deborah avait passé la nuit chez ses parents. Une réunion de famille devait avoir lieu durant le week end et Eliott, son imposant patriarche, avait dument insisté : Deborah devait arriver au manoir des Kerr la veille de la réunion – non pas qu'on eut besoin d'elle. C'était simplement la volonté de montrer à tous que cette vieille famille de Sang Pur était unie. Cette précaution était parfaitement inutile. En effet, on voyait peu de famille de sorciers aussi unie que les Kerr. A part peut être les Weasley … mais jamais au grand jamais les Kerr n'auraient pu comparer leur illustre famille à celle, plus que critique, des Weasley. Bref.

Ici donc, pas de lourds rideaux de velours noir. Plus de lourds rideaux de velours noir serait plus exact. Deborah était en ce moment même en train de s'éveiller dans la chambre qu'elle avait occupé durant de longues années alors qu'elle était encore une enfant, puis une adolescente, avant de quitter le cocon familial pour son loft spacieux et extrêmement luxueux du centre ville Londonien. Lorsqu'elle était enfant, Deborah avait elle même exigée d'avoir des rideaux de velours pour cacher le soleil. Ils avaient été installés dans la journée et aujourd'hui, suite à l'erreur d'une malheureuse domestique peu à l'écoute, ils étaient à laver. Deborah grogna de dépit et se leva dans un mouvement sec. La porte de sa chambre s'ouvrit au même instant pour laisser apparaître Emily, une des domestiques de ses parents. Deborah rembarra la jeune femme avant même que celle ci n'ai le temps de parler.

- Oui je sais. Il est l'heure et le patriarche m'attend. J'arrive.

Son ton était sec. Cassant. Pour une simple histoire de rideaux ? Et bien oui. Miss Kerr avait ses sautes d'humeur de façon très fréquente – et souvent pour peu de choses. Elle fila rapidement sous la douche avant de piocher dans son armoire. Un jean noir ainsi qu'une tunique assortie ? Une petite robe légère ? Se disant que le jean porté avec une tunique ferrai mieux ressortir son humeur, elle opta pour cette option. Elle se coiffa rapidement, attacha ses longs cheveux noir dans un chignon un peu désordonné et passa une soupçon d'ombre noire sur ses paupières. Voilà, un beau regard fumé qui déplairait surement au patriarche … Avec un petit sourire satisfait, Deborah quitta sa chambre. Elle croisa Duncan sur le pallier. Duncan. Le frère qu'elle aimait le mieux, celui dont elle était le plus proche. Elle ne l'avait pas vu la veille au soir – il était surement arrivé dans la nuit. Ravie de le trouver là, elle alla le serrer dans ses bras, déposant au passage un baiser sur sa joue. Il fit de même, se moquant rapidement de sa tenue et anticipant la réaction que leur père ne manquerait pas d'avoir.
Ils descendirent l'escalier côte à côte, bavardant légèrement, se racontant l'un l'autre ce qu'ils avaient fait durant les dernières semaines. Duncan, employé de la banque Gringotts, avait été en France pour un voyage d'affaire. Dans une ville dénommée Marseille, toujours au soleil – trop, selon Duncan. Deborah eu un petit sourire. Ils entrèrent dans la salle à manger, démesurée, à ce moment là. Ils s'inclinèrent devant leurs parents, leur disant bonjour. Ce fut le silence qui leur répondu.

- Deborah, j'espère que vous plaisantez. Vous n'avez tout de même pas l'intention de porter cette … tenue ce soir, lors de la réception ? demanda sa mère d'une voix outrée.

Deborah soupira. Elle s'assit à la place qui avait toujours été la sienne et attrapa un toast en répondant à sa mère.

- Je vous rassure, mère, j'ai prévue une robe de soirée pour la réception. répondit la jeune femme d'un ton neutre avant de demander si elle pouvait bouger un petit peu dans la matinée.
En effet, l'envie de quitter le domaine Kerr l'avait saisi. Un réveil brutal était tout à fait contre indiqué pour Deborah car il ne faisait que l'agacer – lui donnant ainsi envie d'avoir un peu de temps seule. Comprenant parfaitement sa fille, Madame Kerr lui adressa un sourire.

-Mais bien entendue, très chère. Tant que vous êtes rentrée pour dis sept heures. Oh non, plutôt seize heure. Vous savez que les invités arriveront dès dix huit heure, je tiens à ce que vous soyez prête à temps.

Sa mère. Tendre et aimante, elle avait toujours été très présente pour ses enfants, les préparant aux grandes étapes qui ponctueraient leur vie : la découverte et l'apprentissage de leurs pouvoirs, Poudlard, leur présentation dans les rangs mangemorts … Elle se leva et alla déposer un baiser sur le front de Deborah – seul signe d'affection visible que montrait la mère à ses enfants. Leur père restait de glace, faisant figure de l'autorité paternelle qui juge et aide – sans sentiment visible, bien qu'il aimait tendrement chacun de ses enfants.

Le petit déjeuner se termina dans le silence le plus complet. Sitôt qu'elle eut fini, Deborah remonta dans sa chambre afin de se préparer à une petite expédition – un tour à la Tête de Sanglier, en fait. Il s'agissait peut être du seul pub sorcier dans le quel la jeune femme pouvait avoir un moment de solitude. Elle saisi sa baguette, une flacon d'antidote à toute forme de potion telle que le veritaserum et transplana en direction du plus célèbre des villages sorciers.

Pré au Lard. La dernière fois que Deborah s'était rendu dans le village, c'était dans le cadre d'une attaque de mangemorts. La jeune femme sourit à ce souvenir. Aujourd'hui, le premier jour du mois de juillet, le village était désert. Les élèves avaient quitté l'école de Poudlard et Deborah savait qu'elle aurait la paix. Même les Trois Balais devaient être relativement calme. Afin de s'en assurer, la jeune femme marcha lentement vers le pub. Arrivée à destination, elle poussa légèrement la porte. Une dizaine de personnes étaient assises dedans – rien du tout, comparée à ce qu'était le pub un samedi durant la période scolaire. Bien trop pour Miss Kerr qui se rendit tout droit à la Tête de Sanglier.

Le bar crasseux était, lui, parfaitement vide. Il n'y avait que le barman, qui salua Deborah avec un tel manque d'entrain que s'en était impressionnant. « A croire qu'il veut réellement que les lieux soient vides ! » pensa la jeune femme. Elle s'approcha du comptoir pour commander un Whisky pur Feu. Elle grimaça en voyant la saleté du verre que saisit l'homme, lança discrètement un « Récurvite ! » informulé avant que le barman ne lui serve sa mixture. Il lui donna le verre, elle paya et alla s'assoir à une table, au fond du bar. Elle prit bien garde à avoir une vue imprenable sur la porte, pouvant ainsi vérifier qui venait. La jeune femme n'aimait pas être prise au dépourvu.
Les minutes s'écoulèrent. Le silence assourdissant qui régnait dans ce lieux était rare et précieux. Deborah n'avait pas le souvenir d'en avoir déjà entendu un si intense. Peut être dans la bibliothèque de ses parents lorsque le manoir était déserté … Même à la bibliothèque de Poudlard, il y avait toujours un écho, le bruit d'une conversation … Ici, le calme était absolu. Deborah savourait cette sensation lorsque la porte s'ouvrit. Un homme entra. Elle le maudit intérieurement. S'il venait rompre la quiétude du lieu ...

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

Deborah soupira. En voilà un qui ne savait pas se rendre discret … Elle observa du coin de l'œil l'homme. Gardant son visage caché sous une capuche large, il s'installa au comptoir et demanda une bière d'une vois forte. Elle haussa délicatement un sourcil : le genre de mec qui se croit tout permis et qui n'a aucune manière.[/b] « Super … Un peu de compagnie ! » [/b]songea ironiquement la jeune femme. Compagnie dont elle se serait bien passé. L'homme parlait fort, ne prêtant pas la moindre attention à ce qui se passait dans le pub. Bon … Force était d'admettre qui ne se passait rien, à vrai dire. Mais un peu de calme ne faisait de mal à personne et Deborah Kerr avait horreur qu'on vienne perturber ses instants de tranquillité. Ce fut lorsqu'il pivota sur sa chaise qu'elle comprit.

Si son visage n'avait pas été couvert de cette capuche, Deborah était sûre qu'elle aurait pu voir un petit sourire sur le visage de l'homme. Mais bien vite, une autre question lui traversa l'esprit. Qui était-il ? Cette capuche cachait-elle un simple badaud sans importance et qui ne représentait aucun danger ou alors un espion ? Dans tous les cas, Deborah savait qu'elle devrait faire attention à ce qu'elle allait dire. Car en le voyant se diriger vers elle, le doute n'était plus possible : il allait venir lui parler. Etait-il là pour elle où était-ce simplement le hasard ? Il était encore trop tôt pour le dire.

Elle ne fit pas le moindre signe pour l'empêcher de s'assoir à ses côtés. L'esprit de deborah tournait à toute vitesse. La jeune femme avait remarqué qu'il avait fait bien attention à ne pas déplacer sa capuche – il ne voulait donc pas être reconnu. Il s'assit de façon à avoir vue sur la porte – il voulait donc pouvoir surveiller les entrées et les sorties du bar. Un simple badaud ? Deborah Kerr commençait à sérieusement en douter. Elle l'écouta débiter son blabla sans importance, se contentant de le fixer – de fixer sa capuche – d'un regard neutre. Intérieurement cependant, la Miss était malgré elle amusée par les paroles de l'inconnu. Une fillette ? Une étudiante à Poudlard ? En temps normal, s'entendre dire cela aurait agacée Deborah. Oui, elle était petite, menue et d'apparence toute frêle. Elle était loin de paraître aussi dangereuse qu'elle ne l'aurait voulue. Quelque chose qui embêtait la demoiselle qui était, à cause de son physique, rarement prise au sérieux. Mais ici, dans ces conditions, c'était relativement amusant d'être prise pour une étudiante de Poudlard par un inconnu. Prenant bien garder à ne pas se trahir, elle choisi avec soins ses mots ainsi que ses expressions de visage.

- La clientèle du bar ? dit-elle de façon neutre.

Elle lança un regard circulaire dans la pièce. Le barman était occupé derrière son comptoir, ne prêtant pas la moindre attention à ce qui se passait dans on établissement. A part Deborah et l'inconnu, le pub était désert. Elle eu un petit sourire ironique.

- Il me semble qu'avant votre arrivée, je ne craignais pas grand chose, à ce niveau là ...

Elle connaissait cette voix – Deborah en aurait mis sa main à couper. Où et quand l'avait-elle déjà entendu ? Dans l'immédiat, elle n'en avait aucune idée. D'une manière générale, elle fréquentait peu de monde. Sa famille et ses collègues. Tous ses collègues, si différents qu'ils soient. Confondait-elle ? Peut être était-ce juste une impression de déjà vu – déjà entendu, en l'occurrence. Peut être. Mais Deborah n'y croyait pas une seule seconde. Elle attrapa son verre et bu une gorgée. Elle n'aimait pas particulièrement le Whisky. Pourquoi en avait-elle pris ? En toute honnêteté, elle ne savait pas vraiment. Son regard se perdit durant quelques minutes en direction d'une fenêtre. Le calme régnait à Pré au Lard - comme souvent durant les périodes de vacances. Une fois vidé des élèves, le village était comme désert. Elle aimait être ici. Cela changeait agréablement du manoir. non pas qu'elle n'aimait pas la demeure familiale. Mais à force, tant de règles, tant de manières étaient pesantes. Être loin de son père, même pour quelques heures avant la réception, lui faisait le plus grand bien. Parfois, la Miss se prenait à envier les autres - ceux qui venaient de familles quelconques et qui pouvaient mener leur vie comme bon leur semblait. Parfois seulement. Malgré ce qu'elle pouvait dire ou penser, Deborah Kerr n'aurait changé de vie pour rien au monde. L'espace d'un instant, elle se demanda de quelle façon elle aurait vécue si ses parents étaient là. Si elle avait vécue avec eux, dans leur maison ... Eliott était simplement son oncle, après tout ... Elle se perdit quelque temps dans ses pensées, laissant le silence s'installer. Cela ne la dérangeait pas. Elle était venue pour ça, après tout. Trouver du silence.

[Localisation]

Deborah soupira. En voilà un qui ne savait pas se rendre discret … Elle observa du coin de l'œil l'homme. Gardant son visage caché sous une capuche large, il s'installa au comptoir et demanda une bière d'une vois forte. Elle haussa délicatement un sourcil : le genre de mec qui se croit tout permis et qui n'a aucune manière.[/b] « Super … Un peu de compagnie ! » [/b]songea ironiquement la jeune femme. Compagnie dont elle se serait bien passé. L'homme parlait fort, ne prêtant pas la moindre attention à ce qui se passait dans le pub. Bon … Force était d'admettre qui ne se passait rien, à vrai dire. Mais un peu de calme ne faisait de mal à personne et Deborah Kerr avait horreur qu'on vienne perturber ses instants de tranquillité. Ce fut lorsqu'il pivota sur sa chaise qu'elle comprit.

Si son visage n'avait pas été couvert de cette capuche, Deborah était sûre qu'elle aurait pu voir un petit sourire sur le visage de l'homme. Mais bien vite, une autre question lui traversa l'esprit. Qui était-il ? Cette capuche cachait-elle un simple badaud sans importance et qui ne représentait aucun danger ou alors un espion ? Dans tous les cas, Deborah savait qu'elle devrait faire attention à ce qu'elle allait dire. Car en le voyant se diriger vers elle, le doute n'était plus possible : il allait venir lui parler. Etait-il là pour elle où était-ce simplement le hasard ? Il était encore trop tôt pour le dire.

Elle ne fit pas le moindre signe pour l'empêcher de s'assoir à ses côtés. L'esprit de deborah tournait à toute vitesse. La jeune femme avait remarqué qu'il avait fait bien attention à ne pas déplacer sa capuche – il ne voulait donc pas être reconnu. Il s'assit de façon à avoir vue sur la porte – il voulait donc pouvoir surveiller les entrées et les sorties du bar. Un simple badaud ? Deborah Kerr commençait à sérieusement en douter. Elle l'écouta débiter son blabla sans importance, se contentant de le fixer – de fixer sa capuche – d'un regard neutre. Intérieurement cependant, la Miss était malgré elle amusée par les paroles de l'inconnu. Une fillette ? Une étudiante à Poudlard ? En temps normal, s'entendre dire cela aurait agacée Deborah. Oui, elle était petite, menue et d'apparence toute frêle. Elle était loin de paraître aussi dangereuse qu'elle ne l'aurait voulue. Quelque chose qui embêtait la demoiselle qui était, à cause de son physique, rarement prise au sérieux. Mais ici, dans ces conditions, c'était relativement amusant d'être prise pour une étudiante de Poudlard par un inconnu. Prenant bien garder à ne pas se trahir, elle choisi avec soins ses mots ainsi que ses expressions de visage.

- La clientèle du bar ? dit-elle de façon neutre.

Elle lança un regard circulaire dans la pièce. Le barman était occupé derrière son comptoir, ne prêtant pas la moindre attention à ce qui se passait dans on établissement. A part Deborah et l'inconnu, le pub était désert. Elle eu un petit sourire ironique.

- Il me semble qu'avant votre arrivée, je ne craignais pas grand chose, à ce niveau là ...

Elle connaissait cette voix – Deborah en aurait mis sa main à couper. Où et quand l'avait-elle déjà entendu ? Dans l'immédiat, elle n'en avait aucune idée. D'une manière générale, elle fréquentait peu de monde. Sa famille et ses collègues. Tous ses collègues, si différents qu'ils soient. Confondait-elle ? Peut être était-ce juste une impression de déjà vu – déjà entendu, en l'occurrence. Peut être. Mais Deborah n'y croyait pas une seule seconde. Elle attrapa son verre et bu une gorgée. Elle n'aimait pas particulièrement le Whisky. Pourquoi en avait-elle pris ? En toute honnêteté, elle ne savait pas vraiment. Son regard se perdit durant quelques minutes en direction d'une fenêtre. Le calme régnait à Pré au Lard - comme souvent durant les périodes de vacances. Une fois vidé des élèves, le village était comme désert. Elle aimait être ici. Cela changeait agréablement du manoir. non pas qu'elle n'aimait pas la demeure familiale. Mais à force, tant de règles, tant de manières étaient pesantes. Être loin de son père, même pour quelques heures avant la réception, lui faisait le plus grand bien. Parfois, la Miss se prenait à envier les autres - ceux qui venaient de familles quelconques et qui pouvaient mener leur vie comme bon leur semblait. Parfois seulement. Malgré ce qu'elle pouvait dire ou penser, Deborah Kerr n'aurait changé de vie pour rien au monde. L'espace d'un instant, elle se demanda de quelle façon elle aurait vécue si ses parents étaient là. Si elle avait vécue avec eux, dans leur maison ... Eliott était simplement son oncle, après tout ... Elle se perdit quelque temps dans ses pensées, laissant le silence s'installer. Cela ne la dérangeait pas. Elle était venue pour ça, après tout. Trouver du silence.

[Nb de messages]

Deborah soupira. En voilà un qui ne savait pas se rendre discret … Elle observa du coin de l'œil l'homme. Gardant son visage caché sous une capuche large, il s'installa au comptoir et demanda une bière d'une vois forte. Elle haussa délicatement un sourcil : le genre de mec qui se croit tout permis et qui n'a aucune manière.[/b] « Super … Un peu de compagnie ! » [/b]songea ironiquement la jeune femme. Compagnie dont elle se serait bien passé. L'homme parlait fort, ne prêtant pas la moindre attention à ce qui se passait dans le pub. Bon … Force était d'admettre qui ne se passait rien, à vrai dire. Mais un peu de calme ne faisait de mal à personne et Deborah Kerr avait horreur qu'on vienne perturber ses instants de tranquillité. Ce fut lorsqu'il pivota sur sa chaise qu'elle comprit.

Si son visage n'avait pas été couvert de cette capuche, Deborah était sûre qu'elle aurait pu voir un petit sourire sur le visage de l'homme. Mais bien vite, une autre question lui traversa l'esprit. Qui était-il ? Cette capuche cachait-elle un simple badaud sans importance et qui ne représentait aucun danger ou alors un espion ? Dans tous les cas, Deborah savait qu'elle devrait faire attention à ce qu'elle allait dire. Car en le voyant se diriger vers elle, le doute n'était plus possible : il allait venir lui parler. Etait-il là pour elle où était-ce simplement le hasard ? Il était encore trop tôt pour le dire.

Elle ne fit pas le moindre signe pour l'empêcher de s'assoir à ses côtés. L'esprit de deborah tournait à toute vitesse. La jeune femme avait remarqué qu'il avait fait bien attention à ne pas déplacer sa capuche – il ne voulait donc pas être reconnu. Il s'assit de façon à avoir vue sur la porte – il voulait donc pouvoir surveiller les entrées et les sorties du bar. Un simple badaud ? Deborah Kerr commençait à sérieusement en douter. Elle l'écouta débiter son blabla sans importance, se contentant de le fixer – de fixer sa capuche – d'un regard neutre. Intérieurement cependant, la Miss était malgré elle amusée par les paroles de l'inconnu. Une fillette ? Une étudiante à Poudlard ? En temps normal, s'entendre dire cela aurait agacée Deborah. Oui, elle était petite, menue et d'apparence toute frêle. Elle était loin de paraître aussi dangereuse qu'elle ne l'aurait voulue. Quelque chose qui embêtait la demoiselle qui était, à cause de son physique, rarement prise au sérieux. Mais ici, dans ces conditions, c'était relativement amusant d'être prise pour une étudiante de Poudlard par un inconnu. Prenant bien garder à ne pas se trahir, elle choisi avec soins ses mots ainsi que ses expressions de visage.

- La clientèle du bar ? dit-elle de façon neutre.

Elle lança un regard circulaire dans la pièce. Le barman était occupé derrière son comptoir, ne prêtant pas la moindre attention à ce qui se passait dans on établissement. A part Deborah et l'inconnu, le pub était désert. Elle eu un petit sourire ironique.

- Il me semble qu'avant votre arrivée, je ne craignais pas grand chose, à ce niveau là ...

Elle connaissait cette voix – Deborah en aurait mis sa main à couper. Où et quand l'avait-elle déjà entendu ? Dans l'immédiat, elle n'en avait aucune idée. D'une manière générale, elle fréquentait peu de monde. Sa famille et ses collègues. Tous ses collègues, si différents qu'ils soient. Confondait-elle ? Peut être était-ce juste une impression de déjà vu – déjà entendu, en l'occurrence. Peut être. Mais Deborah n'y croyait pas une seule seconde. Elle attrapa son verre et bu une gorgée. Elle n'aimait pas particulièrement le Whisky. Pourquoi en avait-elle pris ? En toute honnêteté, elle ne savait pas vraiment. Son regard se perdit durant quelques minutes en direction d'une fenêtre. Le calme régnait à Pré au Lard - comme souvent durant les périodes de vacances. Une fois vidé des élèves, le village était comme désert. Elle aimait être ici. Cela changeait agréablement du manoir. non pas qu'elle n'aimait pas la demeure familiale. Mais à force, tant de règles, tant de manières étaient pesantes. Être loin de son père, même pour quelques heures avant la réception, lui faisait le plus grand bien. Parfois, la Miss se prenait à envier les autres - ceux qui venaient de familles quelconques et qui pouvaient mener leur vie comme bon leur semblait. Parfois seulement. Malgré ce qu'elle pouvait dire ou penser, Deborah Kerr n'aurait changé de vie pour rien au monde. L'espace d'un instant, elle se demanda de quelle façon elle aurait vécue si ses parents étaient là. Si elle avait vécue avec eux, dans leur maison ... Eliott était simplement son oncle, après tout ... Elle se perdit quelque temps dans ses pensées, laissant le silence s'installer. Cela ne la dérangeait pas. Elle était venue pour ça, après tout. Trouver du silence.

[Bourse]

Deborah soupira. En voilà un qui ne savait pas se rendre discret … Elle observa du coin de l'œil l'homme. Gardant son visage caché sous une capuche large, il s'installa au comptoir et demanda une bière d'une vois forte. Elle haussa délicatement un sourcil : le genre de mec qui se croit tout permis et qui n'a aucune manière.[/b] « Super … Un peu de compagnie ! » [/b]songea ironiquement la jeune femme. Compagnie dont elle se serait bien passé. L'homme parlait fort, ne prêtant pas la moindre attention à ce qui se passait dans le pub. Bon … Force était d'admettre qui ne se passait rien, à vrai dire. Mais un peu de calme ne faisait de mal à personne et Deborah Kerr avait horreur qu'on vienne perturber ses instants de tranquillité. Ce fut lorsqu'il pivota sur sa chaise qu'elle comprit.

Si son visage n'avait pas été couvert de cette capuche, Deborah était sûre qu'elle aurait pu voir un petit sourire sur le visage de l'homme. Mais bien vite, une autre question lui traversa l'esprit. Qui était-il ? Cette capuche cachait-elle un simple badaud sans importance et qui ne représentait aucun danger ou alors un espion ? Dans tous les cas, Deborah savait qu'elle devrait faire attention à ce qu'elle allait dire. Car en le voyant se diriger vers elle, le doute n'était plus possible : il allait venir lui parler. Etait-il là pour elle où était-ce simplement le hasard ? Il était encore trop tôt pour le dire.

Elle ne fit pas le moindre signe pour l'empêcher de s'assoir à ses côtés. L'esprit de deborah tournait à toute vitesse. La jeune femme avait remarqué qu'il avait fait bien attention à ne pas déplacer sa capuche – il ne voulait donc pas être reconnu. Il s'assit de façon à avoir vue sur la porte – il voulait donc pouvoir surveiller les entrées et les sorties du bar. Un simple badaud ? Deborah Kerr commençait à sérieusement en douter. Elle l'écouta débiter son blabla sans importance, se contentant de le fixer – de fixer sa capuche – d'un regard neutre. Intérieurement cependant, la Miss était malgré elle amusée par les paroles de l'inconnu. Une fillette ? Une étudiante à Poudlard ? En temps normal, s'entendre dire cela aurait agacée Deborah. Oui, elle était petite, menue et d'apparence toute frêle. Elle était loin de paraître aussi dangereuse qu'elle ne l'aurait voulue. Quelque chose qui embêtait la demoiselle qui était, à cause de son physique, rarement prise au sérieux. Mais ici, dans ces conditions, c'était relativement amusant d'être prise pour une étudiante de Poudlard par un inconnu. Prenant bien garder à ne pas se trahir, elle choisi avec soins ses mots ainsi que ses expressions de visage.

- La clientèle du bar ? dit-elle de façon neutre.

Elle lança un regard circulaire dans la pièce. Le barman était occupé derrière son comptoir, ne prêtant pas la moindre attention à ce qui se passait dans on établissement. A part Deborah et l'inconnu, le pub était désert. Elle eu un petit sourire ironique.

- Il me semble qu'avant votre arrivée, je ne craignais pas grand chose, à ce niveau là ...

Elle connaissait cette voix – Deborah en aurait mis sa main à couper. Où et quand l'avait-elle déjà entendu ? Dans l'immédiat, elle n'en avait aucune idée. D'une manière générale, elle fréquentait peu de monde. Sa famille et ses collègues. Tous ses collègues, si différents qu'ils soient. Confondait-elle ? Peut être était-ce juste une impression de déjà vu – déjà entendu, en l'occurrence. Peut être. Mais Deborah n'y croyait pas une seule seconde. Elle attrapa son verre et bu une gorgée. Elle n'aimait pas particulièrement le Whisky. Pourquoi en avait-elle pris ? En toute honnêteté, elle ne savait pas vraiment. Son regard se perdit durant quelques minutes en direction d'une fenêtre. Le calme régnait à Pré au Lard - comme souvent durant les périodes de vacances. Une fois vidé des élèves, le village était comme désert. Elle aimait être ici. Cela changeait agréablement du manoir. non pas qu'elle n'aimait pas la demeure familiale. Mais à force, tant de règles, tant de manières étaient pesantes. Être loin de son père, même pour quelques heures avant la réception, lui faisait le plus grand bien. Parfois, la Miss se prenait à envier les autres - ceux qui venaient de familles quelconques et qui pouvaient mener leur vie comme bon leur semblait. Parfois seulement. Malgré ce qu'elle pouvait dire ou penser, Deborah Kerr n'aurait changé de vie pour rien au monde. L'espace d'un instant, elle se demanda de quelle façon elle aurait vécue si ses parents étaient là. Si elle avait vécue avec eux, dans leur maison ... Eliott était simplement son oncle, après tout ... Elle se perdit quelque temps dans ses pensées, laissant le silence s'installer. Cela ne la dérangeait pas. Elle était venue pour ça, après tout. Trouver du silence.

[Données]

Deborah soupira. En voilà un qui ne savait pas se rendre discret … Elle observa du coin de l'œil l'homme. Gardant son visage caché sous une capuche large, il s'installa au comptoir et demanda une bière d'une vois forte. Elle haussa délicatement un sourcil : le genre de mec qui se croit tout permis et qui n'a aucune manière.[/b] « Super … Un peu de compagnie ! » [/b]songea ironiquement la jeune femme. Compagnie dont elle se serait bien passé. L'homme parlait fort, ne prêtant pas la moindre attention à ce qui se passait dans le pub. Bon … Force était d'admettre qui ne se passait rien, à vrai dire. Mais un peu de calme ne faisait de mal à personne et Deborah Kerr avait horreur qu'on vienne perturber ses instants de tranquillité. Ce fut lorsqu'il pivota sur sa chaise qu'elle comprit.

Si son visage n'avait pas été couvert de cette capuche, Deborah était sûre qu'elle aurait pu voir un petit sourire sur le visage de l'homme. Mais bien vite, une autre question lui traversa l'esprit. Qui était-il ? Cette capuche cachait-elle un simple badaud sans importance et qui ne représentait aucun danger ou alors un espion ? Dans tous les cas, Deborah savait qu'elle devrait faire attention à ce qu'elle allait dire. Car en le voyant se diriger vers elle, le doute n'était plus possible : il allait venir lui parler. Etait-il là pour elle où était-ce simplement le hasard ? Il était encore trop tôt pour le dire.

Elle ne fit pas le moindre signe pour l'empêcher de s'assoir à ses côtés. L'esprit de deborah tournait à toute vitesse. La jeune femme avait remarqué qu'il avait fait bien attention à ne pas déplacer sa capuche – il ne voulait donc pas être reconnu. Il s'assit de façon à avoir vue sur la porte – il voulait donc pouvoir surveiller les entrées et les sorties du bar. Un simple badaud ? Deborah Kerr commençait à sérieusement en douter. Elle l'écouta débiter son blabla sans importance, se contentant de le fixer – de fixer sa capuche – d'un regard neutre. Intérieurement cependant, la Miss était malgré elle amusée par les paroles de l'inconnu. Une fillette ? Une étudiante à Poudlard ? En temps normal, s'entendre dire cela aurait agacée Deborah. Oui, elle était petite, menue et d'apparence toute frêle. Elle était loin de paraître aussi dangereuse qu'elle ne l'aurait voulue. Quelque chose qui embêtait la demoiselle qui était, à cause de son physique, rarement prise au sérieux. Mais ici, dans ces conditions, c'était relativement amusant d'être prise pour une étudiante de Poudlard par un inconnu. Prenant bien garder à ne pas se trahir, elle choisi avec soins ses mots ainsi que ses expressions de visage.

- La clientèle du bar ? dit-elle de façon neutre.

Elle lança un regard circulaire dans la pièce. Le barman était occupé derrière son comptoir, ne prêtant pas la moindre attention à ce qui se passait dans on établissement. A part Deborah et l'inconnu, le pub était désert. Elle eu un petit sourire ironique.

- Il me semble qu'avant votre arrivée, je ne craignais pas grand chose, à ce niveau là ...

Elle connaissait cette voix – Deborah en aurait mis sa main à couper. Où et quand l'avait-elle déjà entendu ? Dans l'immédiat, elle n'en avait aucune idée. D'une manière générale, elle fréquentait peu de monde. Sa famille et ses collègues. Tous ses collègues, si différents qu'ils soient. Confondait-elle ? Peut être était-ce juste une impression de déjà vu – déjà entendu, en l'occurrence. Peut être. Mais Deborah n'y croyait pas une seule seconde. Elle attrapa son verre et bu une gorgée. Elle n'aimait pas particulièrement le Whisky. Pourquoi en avait-elle pris ? En toute honnêteté, elle ne savait pas vraiment. Son regard se perdit durant quelques minutes en direction d'une fenêtre. Le calme régnait à Pré au Lard - comme souvent durant les périodes de vacances. Une fois vidé des élèves, le village était comme désert. Elle aimait être ici. Cela changeait agréablement du manoir. non pas qu'elle n'aimait pas la demeure familiale. Mais à force, tant de règles, tant de manières étaient pesantes. Être loin de son père, même pour quelques heures avant la réception, lui faisait le plus grand bien. Parfois, la Miss se prenait à envier les autres - ceux qui venaient de familles quelconques et qui pouvaient mener leur vie comme bon leur semblait. Parfois seulement. Malgré ce qu'elle pouvait dire ou penser, Deborah Kerr n'aurait changé de vie pour rien au monde. L'espace d'un instant, elle se demanda de quelle façon elle aurait vécue si ses parents étaient là. Si elle avait vécue avec eux, dans leur maison ... Eliott était simplement son oncle, après tout ... Elle se perdit quelque temps dans ses pensées, laissant le silence s'installer. Cela ne la dérangeait pas. Elle était venue pour ça, après tout. Trouver du silence.

[Expérience]

Deborah soupira. En voilà un qui ne savait pas se rendre discret … Elle observa du coin de l'œil l'homme. Gardant son visage caché sous une capuche large, il s'installa au comptoir et demanda une bière d'une vois forte. Elle haussa délicatement un sourcil : le genre de mec qui se croit tout permis et qui n'a aucune manière.[/b] « Super … Un peu de compagnie ! » [/b]songea ironiquement la jeune femme. Compagnie dont elle se serait bien passé. L'homme parlait fort, ne prêtant pas la moindre attention à ce qui se passait dans le pub. Bon … Force était d'admettre qui ne se passait rien, à vrai dire. Mais un peu de calme ne faisait de mal à personne et Deborah Kerr avait horreur qu'on vienne perturber ses instants de tranquillité. Ce fut lorsqu'il pivota sur sa chaise qu'elle comprit.

Si son visage n'avait pas été couvert de cette capuche, Deborah était sûre qu'elle aurait pu voir un petit sourire sur le visage de l'homme. Mais bien vite, une autre question lui traversa l'esprit. Qui était-il ? Cette capuche cachait-elle un simple badaud sans importance et qui ne représentait aucun danger ou alors un espion ? Dans tous les cas, Deborah savait qu'elle devrait faire attention à ce qu'elle allait dire. Car en le voyant se diriger vers elle, le doute n'était plus possible : il allait venir lui parler. Etait-il là pour elle où était-ce simplement le hasard ? Il était encore trop tôt pour le dire.

Elle ne fit pas le moindre signe pour l'empêcher de s'assoir à ses côtés. L'esprit de deborah tournait à toute vitesse. La jeune femme avait remarqué qu'il avait fait bien attention à ne pas déplacer sa capuche – il ne voulait donc pas être reconnu. Il s'assit de façon à avoir vue sur la porte – il voulait donc pouvoir surveiller les entrées et les sorties du bar. Un simple badaud ? Deborah Kerr commençait à sérieusement en douter. Elle l'écouta débiter son blabla sans importance, se contentant de le fixer – de fixer sa capuche – d'un regard neutre. Intérieurement cependant, la Miss était malgré elle amusée par les paroles de l'inconnu. Une fillette ? Une étudiante à Poudlard ? En temps normal, s'entendre dire cela aurait agacée Deborah. Oui, elle était petite, menue et d'apparence toute frêle. Elle était loin de paraître aussi dangereuse qu'elle ne l'aurait voulue. Quelque chose qui embêtait la demoiselle qui était, à cause de son physique, rarement prise au sérieux. Mais ici, dans ces conditions, c'était relativement amusant d'être prise pour une étudiante de Poudlard par un inconnu. Prenant bien garder à ne pas se trahir, elle choisi avec soins ses mots ainsi que ses expressions de visage.

- La clientèle du bar ? dit-elle de façon neutre.

Elle lança un regard circulaire dans la pièce. Le barman était occupé derrière son comptoir, ne prêtant pas la moindre attention à ce qui se passait dans on établissement. A part Deborah et l'inconnu, le pub était désert. Elle eu un petit sourire ironique.

- Il me semble qu'avant votre arrivée, je ne craignais pas grand chose, à ce niveau là ...

Elle connaissait cette voix – Deborah en aurait mis sa main à couper. Où et quand l'avait-elle déjà entendu ? Dans l'immédiat, elle n'en avait aucune idée. D'une manière générale, elle fréquentait peu de monde. Sa famille et ses collègues. Tous ses collègues, si différents qu'ils soient. Confondait-elle ? Peut être était-ce juste une impression de déjà vu – déjà entendu, en l'occurrence. Peut être. Mais Deborah n'y croyait pas une seule seconde. Elle attrapa son verre et bu une gorgée. Elle n'aimait pas particulièrement le Whisky. Pourquoi en avait-elle pris ? En toute honnêteté, elle ne savait pas vraiment. Son regard se perdit durant quelques minutes en direction d'une fenêtre. Le calme régnait à Pré au Lard - comme souvent durant les périodes de vacances. Une fois vidé des élèves, le village était comme désert. Elle aimait être ici. Cela changeait agréablement du manoir. non pas qu'elle n'aimait pas la demeure familiale. Mais à force, tant de règles, tant de manières étaient pesantes. Être loin de son père, même pour quelques heures avant la réception, lui faisait le plus grand bien. Parfois, la Miss se prenait à envier les autres - ceux qui venaient de familles quelconques et qui pouvaient mener leur vie comme bon leur semblait. Parfois seulement. Malgré ce qu'elle pouvait dire ou penser, Deborah Kerr n'aurait changé de vie pour rien au monde. L'espace d'un instant, elle se demanda de quelle façon elle aurait vécue si ses parents étaient là. Si elle avait vécue avec eux, dans leur maison ... Eliott était simplement son oncle, après tout ... Elle se perdit quelque temps dans ses pensées, laissant le silence s'installer. Cela ne la dérangeait pas. Elle était venue pour ça, après tout. Trouver du silence.

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

Le silence qu'avait espéré Deborah ne dura pas. Le regard perdu dans le vague, elle avait à peine réagit lorsque l'homme lui avait dit qu'elle de ne risquait rien avec lui. Non pas qu'elle n'eut pas entendu sa phrase. Simplement, Miss Kerr, absorbée dans ses pensées, ne prit pas la peine de relever. Il affirmait ne pas vouloir abimer son joli petit minois. Deborah le croyait … S'il savait véritablement à qui il s'adressait, c'était de toute manière mieux pour lui, qu'il n'abime pas Deborah.

Dans l'immédiat, la jeune femme commençait à regretter d'être sortie. Elle avait voulu un instant de tranquillité qu'elle n'aurait désormais pas et elle n'aimait pas cet homme qui semblait vouloir en apprendre d'avantage sur elle. C'était le genre de situation dans les quelles il faut toujours réfléchir. Quoi dire ? Quoi faire ? Qui peut être caché sous cette capuche ? La connait-elle ? Peut être prendre le risque de lui raconter n'importe quoi ? Non, bien sur. Deborah ne peut prendre aucun risque. Elle doit se contenter de la vérité officielle, en ce qui concerne sa famille et elle même. Un mince sourire traversa son visage lorsqu'il lui demanda qui elle était. Un peu à contre cœur, Miss Kerr quitta sa rêverie pour lui répondre. Elle aurait aussi bien pu l'envoyer bouler, mais tant qu'elle ignorait qui se cachait sous cette capuche, elle ne pouvait pas se le permettre. Ne pas prendre de risque. Et essayer de savoir qui il était.

Elle se tourna vers l'inconnu qui visiblement n'était pas prêt à la lâcher. Bon … Si ça allait durer, alors autant faire en sorte que ça se passe bien. Elle lui répondit avec un beau sourire, style fille sympathique.

- Deborah Kerr.

Son ton était poli, courtois. Elle n'avait pas le droit à l'erreur. Elle devait faire attention. Il ne fallait pas qu'elle fasse mine d'hésiter, pas même une demi seconde. Si elle faisait ça, sa famille allait la tuer. Tout simplement.
Bien. Maintenant qu'il avait eu son nom, à elle d'en savoir plus. Et bien oui ! Deborah n'était pas du style à se laisser interroger sans rien demander en retour.

- Et vous ? Je suppose qu'on vous a déjà dit à quel point il était mal poli de masquer son visage lorsqu'on s'adresse à une jeune femme ...

Deborah ne supposait rien du tout. Elle ne supportait tout simplement pas cette situation. Cet homme masqué ne la mettait pas vraiment en confiance. Avait-elle peur ? Pas vraiment … Mais il serai plus facile de savoir quoi répondre lorsqu'elle saurai à qui elle avait à faire. Sans compter qu'il était véritablement mal poli de laisser son visage dans l'ombre d'une capuche lorsque l'on s'adresse à une jeune femme.

[Localisation]

Le silence qu'avait espéré Deborah ne dura pas. Le regard perdu dans le vague, elle avait à peine réagit lorsque l'homme lui avait dit qu'elle de ne risquait rien avec lui. Non pas qu'elle n'eut pas entendu sa phrase. Simplement, Miss Kerr, absorbée dans ses pensées, ne prit pas la peine de relever. Il affirmait ne pas vouloir abimer son joli petit minois. Deborah le croyait … S'il savait véritablement à qui il s'adressait, c'était de toute manière mieux pour lui, qu'il n'abime pas Deborah.

Dans l'immédiat, la jeune femme commençait à regretter d'être sortie. Elle avait voulu un instant de tranquillité qu'elle n'aurait désormais pas et elle n'aimait pas cet homme qui semblait vouloir en apprendre d'avantage sur elle. C'était le genre de situation dans les quelles il faut toujours réfléchir. Quoi dire ? Quoi faire ? Qui peut être caché sous cette capuche ? La connait-elle ? Peut être prendre le risque de lui raconter n'importe quoi ? Non, bien sur. Deborah ne peut prendre aucun risque. Elle doit se contenter de la vérité officielle, en ce qui concerne sa famille et elle même. Un mince sourire traversa son visage lorsqu'il lui demanda qui elle était. Un peu à contre cœur, Miss Kerr quitta sa rêverie pour lui répondre. Elle aurait aussi bien pu l'envoyer bouler, mais tant qu'elle ignorait qui se cachait sous cette capuche, elle ne pouvait pas se le permettre. Ne pas prendre de risque. Et essayer de savoir qui il était.

Elle se tourna vers l'inconnu qui visiblement n'était pas prêt à la lâcher. Bon … Si ça allait durer, alors autant faire en sorte que ça se passe bien. Elle lui répondit avec un beau sourire, style fille sympathique.

- Deborah Kerr.

Son ton était poli, courtois. Elle n'avait pas le droit à l'erreur. Elle devait faire attention. Il ne fallait pas qu'elle fasse mine d'hésiter, pas même une demi seconde. Si elle faisait ça, sa famille allait la tuer. Tout simplement.
Bien. Maintenant qu'il avait eu son nom, à elle d'en savoir plus. Et bien oui ! Deborah n'était pas du style à se laisser interroger sans rien demander en retour.

- Et vous ? Je suppose qu'on vous a déjà dit à quel point il était mal poli de masquer son visage lorsqu'on s'adresse à une jeune femme ...

Deborah ne supposait rien du tout. Elle ne supportait tout simplement pas cette situation. Cet homme masqué ne la mettait pas vraiment en confiance. Avait-elle peur ? Pas vraiment … Mais il serai plus facile de savoir quoi répondre lorsqu'elle saurai à qui elle avait à faire. Sans compter qu'il était véritablement mal poli de laisser son visage dans l'ombre d'une capuche lorsque l'on s'adresse à une jeune femme.

[Nb de messages]

Le silence qu'avait espéré Deborah ne dura pas. Le regard perdu dans le vague, elle avait à peine réagit lorsque l'homme lui avait dit qu'elle de ne risquait rien avec lui. Non pas qu'elle n'eut pas entendu sa phrase. Simplement, Miss Kerr, absorbée dans ses pensées, ne prit pas la peine de relever. Il affirmait ne pas vouloir abimer son joli petit minois. Deborah le croyait … S'il savait véritablement à qui il s'adressait, c'était de toute manière mieux pour lui, qu'il n'abime pas Deborah.

Dans l'immédiat, la jeune femme commençait à regretter d'être sortie. Elle avait voulu un instant de tranquillité qu'elle n'aurait désormais pas et elle n'aimait pas cet homme qui semblait vouloir en apprendre d'avantage sur elle. C'était le genre de situation dans les quelles il faut toujours réfléchir. Quoi dire ? Quoi faire ? Qui peut être caché sous cette capuche ? La connait-elle ? Peut être prendre le risque de lui raconter n'importe quoi ? Non, bien sur. Deborah ne peut prendre aucun risque. Elle doit se contenter de la vérité officielle, en ce qui concerne sa famille et elle même. Un mince sourire traversa son visage lorsqu'il lui demanda qui elle était. Un peu à contre cœur, Miss Kerr quitta sa rêverie pour lui répondre. Elle aurait aussi bien pu l'envoyer bouler, mais tant qu'elle ignorait qui se cachait sous cette capuche, elle ne pouvait pas se le permettre. Ne pas prendre de risque. Et essayer de savoir qui il était.

Elle se tourna vers l'inconnu qui visiblement n'était pas prêt à la lâcher. Bon … Si ça allait durer, alors autant faire en sorte que ça se passe bien. Elle lui répondit avec un beau sourire, style fille sympathique.

- Deborah Kerr.

Son ton était poli, courtois. Elle n'avait pas le droit à l'erreur. Elle devait faire attention. Il ne fallait pas qu'elle fasse mine d'hésiter, pas même une demi seconde. Si elle faisait ça, sa famille allait la tuer. Tout simplement.
Bien. Maintenant qu'il avait eu son nom, à elle d'en savoir plus. Et bien oui ! Deborah n'était pas du style à se laisser interroger sans rien demander en retour.

- Et vous ? Je suppose qu'on vous a déjà dit à quel point il était mal poli de masquer son visage lorsqu'on s'adresse à une jeune femme ...

Deborah ne supposait rien du tout. Elle ne supportait tout simplement pas cette situation. Cet homme masqué ne la mettait pas vraiment en confiance. Avait-elle peur ? Pas vraiment … Mais il serai plus facile de savoir quoi répondre lorsqu'elle saurai à qui elle avait à faire. Sans compter qu'il était véritablement mal poli de laisser son visage dans l'ombre d'une capuche lorsque l'on s'adresse à une jeune femme.

[Bourse]

Le silence qu'avait espéré Deborah ne dura pas. Le regard perdu dans le vague, elle avait à peine réagit lorsque l'homme lui avait dit qu'elle de ne risquait rien avec lui. Non pas qu'elle n'eut pas entendu sa phrase. Simplement, Miss Kerr, absorbée dans ses pensées, ne prit pas la peine de relever. Il affirmait ne pas vouloir abimer son joli petit minois. Deborah le croyait … S'il savait véritablement à qui il s'adressait, c'était de toute manière mieux pour lui, qu'il n'abime pas Deborah.

Dans l'immédiat, la jeune femme commençait à regretter d'être sortie. Elle avait voulu un instant de tranquillité qu'elle n'aurait désormais pas et elle n'aimait pas cet homme qui semblait vouloir en apprendre d'avantage sur elle. C'était le genre de situation dans les quelles il faut toujours réfléchir. Quoi dire ? Quoi faire ? Qui peut être caché sous cette capuche ? La connait-elle ? Peut être prendre le risque de lui raconter n'importe quoi ? Non, bien sur. Deborah ne peut prendre aucun risque. Elle doit se contenter de la vérité officielle, en ce qui concerne sa famille et elle même. Un mince sourire traversa son visage lorsqu'il lui demanda qui elle était. Un peu à contre cœur, Miss Kerr quitta sa rêverie pour lui répondre. Elle aurait aussi bien pu l'envoyer bouler, mais tant qu'elle ignorait qui se cachait sous cette capuche, elle ne pouvait pas se le permettre. Ne pas prendre de risque. Et essayer de savoir qui il était.

Elle se tourna vers l'inconnu qui visiblement n'était pas prêt à la lâcher. Bon … Si ça allait durer, alors autant faire en sorte que ça se passe bien. Elle lui répondit avec un beau sourire, style fille sympathique.

- Deborah Kerr.

Son ton était poli, courtois. Elle n'avait pas le droit à l'erreur. Elle devait faire attention. Il ne fallait pas qu'elle fasse mine d'hésiter, pas même une demi seconde. Si elle faisait ça, sa famille allait la tuer. Tout simplement.
Bien. Maintenant qu'il avait eu son nom, à elle d'en savoir plus. Et bien oui ! Deborah n'était pas du style à se laisser interroger sans rien demander en retour.

- Et vous ? Je suppose qu'on vous a déjà dit à quel point il était mal poli de masquer son visage lorsqu'on s'adresse à une jeune femme ...

Deborah ne supposait rien du tout. Elle ne supportait tout simplement pas cette situation. Cet homme masqué ne la mettait pas vraiment en confiance. Avait-elle peur ? Pas vraiment … Mais il serai plus facile de savoir quoi répondre lorsqu'elle saurai à qui elle avait à faire. Sans compter qu'il était véritablement mal poli de laisser son visage dans l'ombre d'une capuche lorsque l'on s'adresse à une jeune femme.

[Données]

Le silence qu'avait espéré Deborah ne dura pas. Le regard perdu dans le vague, elle avait à peine réagit lorsque l'homme lui avait dit qu'elle de ne risquait rien avec lui. Non pas qu'elle n'eut pas entendu sa phrase. Simplement, Miss Kerr, absorbée dans ses pensées, ne prit pas la peine de relever. Il affirmait ne pas vouloir abimer son joli petit minois. Deborah le croyait … S'il savait véritablement à qui il s'adressait, c'était de toute manière mieux pour lui, qu'il n'abime pas Deborah.

Dans l'immédiat, la jeune femme commençait à regretter d'être sortie. Elle avait voulu un instant de tranquillité qu'elle n'aurait désormais pas et elle n'aimait pas cet homme qui semblait vouloir en apprendre d'avantage sur elle. C'était le genre de situation dans les quelles il faut toujours réfléchir. Quoi dire ? Quoi faire ? Qui peut être caché sous cette capuche ? La connait-elle ? Peut être prendre le risque de lui raconter n'importe quoi ? Non, bien sur. Deborah ne peut prendre aucun risque. Elle doit se contenter de la vérité officielle, en ce qui concerne sa famille et elle même. Un mince sourire traversa son visage lorsqu'il lui demanda qui elle était. Un peu à contre cœur, Miss Kerr quitta sa rêverie pour lui répondre. Elle aurait aussi bien pu l'envoyer bouler, mais tant qu'elle ignorait qui se cachait sous cette capuche, elle ne pouvait pas se le permettre. Ne pas prendre de risque. Et essayer de savoir qui il était.

Elle se tourna vers l'inconnu qui visiblement n'était pas prêt à la lâcher. Bon … Si ça allait durer, alors autant faire en sorte que ça se passe bien. Elle lui répondit avec un beau sourire, style fille sympathique.

- Deborah Kerr.

Son ton était poli, courtois. Elle n'avait pas le droit à l'erreur. Elle devait faire attention. Il ne fallait pas qu'elle fasse mine d'hésiter, pas même une demi seconde. Si elle faisait ça, sa famille allait la tuer. Tout simplement.
Bien. Maintenant qu'il avait eu son nom, à elle d'en savoir plus. Et bien oui ! Deborah n'était pas du style à se laisser interroger sans rien demander en retour.

- Et vous ? Je suppose qu'on vous a déjà dit à quel point il était mal poli de masquer son visage lorsqu'on s'adresse à une jeune femme ...

Deborah ne supposait rien du tout. Elle ne supportait tout simplement pas cette situation. Cet homme masqué ne la mettait pas vraiment en confiance. Avait-elle peur ? Pas vraiment … Mais il serai plus facile de savoir quoi répondre lorsqu'elle saurai à qui elle avait à faire. Sans compter qu'il était véritablement mal poli de laisser son visage dans l'ombre d'une capuche lorsque l'on s'adresse à une jeune femme.

[Expérience]

Le silence qu'avait espéré Deborah ne dura pas. Le regard perdu dans le vague, elle avait à peine réagit lorsque l'homme lui avait dit qu'elle de ne risquait rien avec lui. Non pas qu'elle n'eut pas entendu sa phrase. Simplement, Miss Kerr, absorbée dans ses pensées, ne prit pas la peine de relever. Il affirmait ne pas vouloir abimer son joli petit minois. Deborah le croyait … S'il savait véritablement à qui il s'adressait, c'était de toute manière mieux pour lui, qu'il n'abime pas Deborah.

Dans l'immédiat, la jeune femme commençait à regretter d'être sortie. Elle avait voulu un instant de tranquillité qu'elle n'aurait désormais pas et elle n'aimait pas cet homme qui semblait vouloir en apprendre d'avantage sur elle. C'était le genre de situation dans les quelles il faut toujours réfléchir. Quoi dire ? Quoi faire ? Qui peut être caché sous cette capuche ? La connait-elle ? Peut être prendre le risque de lui raconter n'importe quoi ? Non, bien sur. Deborah ne peut prendre aucun risque. Elle doit se contenter de la vérité officielle, en ce qui concerne sa famille et elle même. Un mince sourire traversa son visage lorsqu'il lui demanda qui elle était. Un peu à contre cœur, Miss Kerr quitta sa rêverie pour lui répondre. Elle aurait aussi bien pu l'envoyer bouler, mais tant qu'elle ignorait qui se cachait sous cette capuche, elle ne pouvait pas se le permettre. Ne pas prendre de risque. Et essayer de savoir qui il était.

Elle se tourna vers l'inconnu qui visiblement n'était pas prêt à la lâcher. Bon … Si ça allait durer, alors autant faire en sorte que ça se passe bien. Elle lui répondit avec un beau sourire, style fille sympathique.

- Deborah Kerr.

Son ton était poli, courtois. Elle n'avait pas le droit à l'erreur. Elle devait faire attention. Il ne fallait pas qu'elle fasse mine d'hésiter, pas même une demi seconde. Si elle faisait ça, sa famille allait la tuer. Tout simplement.
Bien. Maintenant qu'il avait eu son nom, à elle d'en savoir plus. Et bien oui ! Deborah n'était pas du style à se laisser interroger sans rien demander en retour.

- Et vous ? Je suppose qu'on vous a déjà dit à quel point il était mal poli de masquer son visage lorsqu'on s'adresse à une jeune femme ...

Deborah ne supposait rien du tout. Elle ne supportait tout simplement pas cette situation. Cet homme masqué ne la mettait pas vraiment en confiance. Avait-elle peur ? Pas vraiment … Mais il serai plus facile de savoir quoi répondre lorsqu'elle saurai à qui elle avait à faire. Sans compter qu'il était véritablement mal poli de laisser son visage dans l'ombre d'une capuche lorsque l'on s'adresse à une jeune femme.