[— JOUEUR / JOUEUSE —]

Je crois que j’allais foutre une claque à cette cliente. Elle était tout simplement imbuvable, là voici qui râle parce que j’ai soit disant mis le mauvais sure dans son café. Madame en voulait un en forme de cœur et non un carré! Non mais les gens des fois, je me demande ce qu’ils ont dans leur tête. Il faut dire que cette vieille dame était une fidèle cliente, mais son âge était tellement avancé que le moindre problème pouvait prendre des proportions immenses. Enfin bref, il me fallut dix minutes pour la calmer, pour un simple bout de sucre. La fin de journée approchait à grand pas et j’essayais de penser fortement à ce barron de bière qui m’attendait dans l’un des pubs du chemin de traverse. Je n’avais pas encore choisi lequel ce serait.

Pour le moment, j’étais embauché au chaudron baveur en tant que serveur pour un mois pendant les vacances. Et, si je faisais mes preuves durant ce mois, je serais très certainement réembauché le mois prochain. J’espérais sincèrement que ce serait le cas. Je n’avais pas le choix, sinon, ça allait être galère pour le reste des mois à venir. Gringotts me voyait très peu retirer de l’argent, disons que je n’étais pas le meilleur client pour la banque étant donné le peu d’argent que j’y déposais. Le côté positif du travail au Chaudron Baveur est que l’établissement me permet de loger dans une de leur chambre. Ce qui m’empêche de trouver, pour le moment, un appartement. Une location était encore trop chère par rapport à mes revenus.

La nuit allait être longue puisqu’il était pratiquement onze heures du soir et il y avait de plus en plus de monde qui venait commander des bières. Des adolescents criantes m’avaient dragué durant dix minutes environ tandis que je souhaitais tout simplement faire mon travail pour que le temps passe plus vite. Je finissais mon service à Minuit. Il me restait donc une heure de torture supplémentaire. La vie au chemin de Traverse était d’autant plus difficile que ce que j’avais présumé. Je me retrouvais donc en train de souffrir dans cet environnement suffoquant. Certains clients étaient sympathiques et je prenais du plaisir à discuter avec eux, surtout que je croisais bien souvent des camarades de classe ou des amis. Cela me permettait de repenser à Poudlard, le seul endroit sur terre où j’oubliais presque ma situation financière bancale.

Je m’occupais d’une cliente lorsqu’une nouvelle cliente entra dans le pub. IL me semblait reconnaître la directrice de l’école. Mais, je n’avais jamais croisé la directrice en dehors des heures de cours ou bien en dehors de l’école en elle même. Bref, j’attendais qu’elle s’assoit à l’une des tables pour que je m lance. Mais, j’étais coincé !!! Je n’arrivais pas à marcher ou à m’approcher e la directrice. Jusqu’à ce que je sois totalement décidé.

-Bonsoir Madame. Commençais-je. Que désirez-vous ? Lorsqu’elle posa son regard sur le mien, je frissonnais : je n’avais jamais été aussi proche de la directrice. Et, elle était étonnamment belle. La voir sur estrade de loin cachait cette beauté.

[Localisation]

Je crois que j’allais foutre une claque à cette cliente. Elle était tout simplement imbuvable, là voici qui râle parce que j’ai soit disant mis le mauvais sure dans son café. Madame en voulait un en forme de cœur et non un carré! Non mais les gens des fois, je me demande ce qu’ils ont dans leur tête. Il faut dire que cette vieille dame était une fidèle cliente, mais son âge était tellement avancé que le moindre problème pouvait prendre des proportions immenses. Enfin bref, il me fallut dix minutes pour la calmer, pour un simple bout de sucre. La fin de journée approchait à grand pas et j’essayais de penser fortement à ce barron de bière qui m’attendait dans l’un des pubs du chemin de traverse. Je n’avais pas encore choisi lequel ce serait.

Pour le moment, j’étais embauché au chaudron baveur en tant que serveur pour un mois pendant les vacances. Et, si je faisais mes preuves durant ce mois, je serais très certainement réembauché le mois prochain. J’espérais sincèrement que ce serait le cas. Je n’avais pas le choix, sinon, ça allait être galère pour le reste des mois à venir. Gringotts me voyait très peu retirer de l’argent, disons que je n’étais pas le meilleur client pour la banque étant donné le peu d’argent que j’y déposais. Le côté positif du travail au Chaudron Baveur est que l’établissement me permet de loger dans une de leur chambre. Ce qui m’empêche de trouver, pour le moment, un appartement. Une location était encore trop chère par rapport à mes revenus.

La nuit allait être longue puisqu’il était pratiquement onze heures du soir et il y avait de plus en plus de monde qui venait commander des bières. Des adolescents criantes m’avaient dragué durant dix minutes environ tandis que je souhaitais tout simplement faire mon travail pour que le temps passe plus vite. Je finissais mon service à Minuit. Il me restait donc une heure de torture supplémentaire. La vie au chemin de Traverse était d’autant plus difficile que ce que j’avais présumé. Je me retrouvais donc en train de souffrir dans cet environnement suffoquant. Certains clients étaient sympathiques et je prenais du plaisir à discuter avec eux, surtout que je croisais bien souvent des camarades de classe ou des amis. Cela me permettait de repenser à Poudlard, le seul endroit sur terre où j’oubliais presque ma situation financière bancale.

Je m’occupais d’une cliente lorsqu’une nouvelle cliente entra dans le pub. IL me semblait reconnaître la directrice de l’école. Mais, je n’avais jamais croisé la directrice en dehors des heures de cours ou bien en dehors de l’école en elle même. Bref, j’attendais qu’elle s’assoit à l’une des tables pour que je m lance. Mais, j’étais coincé !!! Je n’arrivais pas à marcher ou à m’approcher e la directrice. Jusqu’à ce que je sois totalement décidé.

-Bonsoir Madame. Commençais-je. Que désirez-vous ? Lorsqu’elle posa son regard sur le mien, je frissonnais : je n’avais jamais été aussi proche de la directrice. Et, elle était étonnamment belle. La voir sur estrade de loin cachait cette beauté.

[Nb de messages]

Je crois que j’allais foutre une claque à cette cliente. Elle était tout simplement imbuvable, là voici qui râle parce que j’ai soit disant mis le mauvais sure dans son café. Madame en voulait un en forme de cœur et non un carré! Non mais les gens des fois, je me demande ce qu’ils ont dans leur tête. Il faut dire que cette vieille dame était une fidèle cliente, mais son âge était tellement avancé que le moindre problème pouvait prendre des proportions immenses. Enfin bref, il me fallut dix minutes pour la calmer, pour un simple bout de sucre. La fin de journée approchait à grand pas et j’essayais de penser fortement à ce barron de bière qui m’attendait dans l’un des pubs du chemin de traverse. Je n’avais pas encore choisi lequel ce serait.

Pour le moment, j’étais embauché au chaudron baveur en tant que serveur pour un mois pendant les vacances. Et, si je faisais mes preuves durant ce mois, je serais très certainement réembauché le mois prochain. J’espérais sincèrement que ce serait le cas. Je n’avais pas le choix, sinon, ça allait être galère pour le reste des mois à venir. Gringotts me voyait très peu retirer de l’argent, disons que je n’étais pas le meilleur client pour la banque étant donné le peu d’argent que j’y déposais. Le côté positif du travail au Chaudron Baveur est que l’établissement me permet de loger dans une de leur chambre. Ce qui m’empêche de trouver, pour le moment, un appartement. Une location était encore trop chère par rapport à mes revenus.

La nuit allait être longue puisqu’il était pratiquement onze heures du soir et il y avait de plus en plus de monde qui venait commander des bières. Des adolescents criantes m’avaient dragué durant dix minutes environ tandis que je souhaitais tout simplement faire mon travail pour que le temps passe plus vite. Je finissais mon service à Minuit. Il me restait donc une heure de torture supplémentaire. La vie au chemin de Traverse était d’autant plus difficile que ce que j’avais présumé. Je me retrouvais donc en train de souffrir dans cet environnement suffoquant. Certains clients étaient sympathiques et je prenais du plaisir à discuter avec eux, surtout que je croisais bien souvent des camarades de classe ou des amis. Cela me permettait de repenser à Poudlard, le seul endroit sur terre où j’oubliais presque ma situation financière bancale.

Je m’occupais d’une cliente lorsqu’une nouvelle cliente entra dans le pub. IL me semblait reconnaître la directrice de l’école. Mais, je n’avais jamais croisé la directrice en dehors des heures de cours ou bien en dehors de l’école en elle même. Bref, j’attendais qu’elle s’assoit à l’une des tables pour que je m lance. Mais, j’étais coincé !!! Je n’arrivais pas à marcher ou à m’approcher e la directrice. Jusqu’à ce que je sois totalement décidé.

-Bonsoir Madame. Commençais-je. Que désirez-vous ? Lorsqu’elle posa son regard sur le mien, je frissonnais : je n’avais jamais été aussi proche de la directrice. Et, elle était étonnamment belle. La voir sur estrade de loin cachait cette beauté.

[Bourse]

Je crois que j’allais foutre une claque à cette cliente. Elle était tout simplement imbuvable, là voici qui râle parce que j’ai soit disant mis le mauvais sure dans son café. Madame en voulait un en forme de cœur et non un carré! Non mais les gens des fois, je me demande ce qu’ils ont dans leur tête. Il faut dire que cette vieille dame était une fidèle cliente, mais son âge était tellement avancé que le moindre problème pouvait prendre des proportions immenses. Enfin bref, il me fallut dix minutes pour la calmer, pour un simple bout de sucre. La fin de journée approchait à grand pas et j’essayais de penser fortement à ce barron de bière qui m’attendait dans l’un des pubs du chemin de traverse. Je n’avais pas encore choisi lequel ce serait.

Pour le moment, j’étais embauché au chaudron baveur en tant que serveur pour un mois pendant les vacances. Et, si je faisais mes preuves durant ce mois, je serais très certainement réembauché le mois prochain. J’espérais sincèrement que ce serait le cas. Je n’avais pas le choix, sinon, ça allait être galère pour le reste des mois à venir. Gringotts me voyait très peu retirer de l’argent, disons que je n’étais pas le meilleur client pour la banque étant donné le peu d’argent que j’y déposais. Le côté positif du travail au Chaudron Baveur est que l’établissement me permet de loger dans une de leur chambre. Ce qui m’empêche de trouver, pour le moment, un appartement. Une location était encore trop chère par rapport à mes revenus.

La nuit allait être longue puisqu’il était pratiquement onze heures du soir et il y avait de plus en plus de monde qui venait commander des bières. Des adolescents criantes m’avaient dragué durant dix minutes environ tandis que je souhaitais tout simplement faire mon travail pour que le temps passe plus vite. Je finissais mon service à Minuit. Il me restait donc une heure de torture supplémentaire. La vie au chemin de Traverse était d’autant plus difficile que ce que j’avais présumé. Je me retrouvais donc en train de souffrir dans cet environnement suffoquant. Certains clients étaient sympathiques et je prenais du plaisir à discuter avec eux, surtout que je croisais bien souvent des camarades de classe ou des amis. Cela me permettait de repenser à Poudlard, le seul endroit sur terre où j’oubliais presque ma situation financière bancale.

Je m’occupais d’une cliente lorsqu’une nouvelle cliente entra dans le pub. IL me semblait reconnaître la directrice de l’école. Mais, je n’avais jamais croisé la directrice en dehors des heures de cours ou bien en dehors de l’école en elle même. Bref, j’attendais qu’elle s’assoit à l’une des tables pour que je m lance. Mais, j’étais coincé !!! Je n’arrivais pas à marcher ou à m’approcher e la directrice. Jusqu’à ce que je sois totalement décidé.

-Bonsoir Madame. Commençais-je. Que désirez-vous ? Lorsqu’elle posa son regard sur le mien, je frissonnais : je n’avais jamais été aussi proche de la directrice. Et, elle était étonnamment belle. La voir sur estrade de loin cachait cette beauté.

[Données]

Je crois que j’allais foutre une claque à cette cliente. Elle était tout simplement imbuvable, là voici qui râle parce que j’ai soit disant mis le mauvais sure dans son café. Madame en voulait un en forme de cœur et non un carré! Non mais les gens des fois, je me demande ce qu’ils ont dans leur tête. Il faut dire que cette vieille dame était une fidèle cliente, mais son âge était tellement avancé que le moindre problème pouvait prendre des proportions immenses. Enfin bref, il me fallut dix minutes pour la calmer, pour un simple bout de sucre. La fin de journée approchait à grand pas et j’essayais de penser fortement à ce barron de bière qui m’attendait dans l’un des pubs du chemin de traverse. Je n’avais pas encore choisi lequel ce serait.

Pour le moment, j’étais embauché au chaudron baveur en tant que serveur pour un mois pendant les vacances. Et, si je faisais mes preuves durant ce mois, je serais très certainement réembauché le mois prochain. J’espérais sincèrement que ce serait le cas. Je n’avais pas le choix, sinon, ça allait être galère pour le reste des mois à venir. Gringotts me voyait très peu retirer de l’argent, disons que je n’étais pas le meilleur client pour la banque étant donné le peu d’argent que j’y déposais. Le côté positif du travail au Chaudron Baveur est que l’établissement me permet de loger dans une de leur chambre. Ce qui m’empêche de trouver, pour le moment, un appartement. Une location était encore trop chère par rapport à mes revenus.

La nuit allait être longue puisqu’il était pratiquement onze heures du soir et il y avait de plus en plus de monde qui venait commander des bières. Des adolescents criantes m’avaient dragué durant dix minutes environ tandis que je souhaitais tout simplement faire mon travail pour que le temps passe plus vite. Je finissais mon service à Minuit. Il me restait donc une heure de torture supplémentaire. La vie au chemin de Traverse était d’autant plus difficile que ce que j’avais présumé. Je me retrouvais donc en train de souffrir dans cet environnement suffoquant. Certains clients étaient sympathiques et je prenais du plaisir à discuter avec eux, surtout que je croisais bien souvent des camarades de classe ou des amis. Cela me permettait de repenser à Poudlard, le seul endroit sur terre où j’oubliais presque ma situation financière bancale.

Je m’occupais d’une cliente lorsqu’une nouvelle cliente entra dans le pub. IL me semblait reconnaître la directrice de l’école. Mais, je n’avais jamais croisé la directrice en dehors des heures de cours ou bien en dehors de l’école en elle même. Bref, j’attendais qu’elle s’assoit à l’une des tables pour que je m lance. Mais, j’étais coincé !!! Je n’arrivais pas à marcher ou à m’approcher e la directrice. Jusqu’à ce que je sois totalement décidé.

-Bonsoir Madame. Commençais-je. Que désirez-vous ? Lorsqu’elle posa son regard sur le mien, je frissonnais : je n’avais jamais été aussi proche de la directrice. Et, elle était étonnamment belle. La voir sur estrade de loin cachait cette beauté.

[Expérience]

Je crois que j’allais foutre une claque à cette cliente. Elle était tout simplement imbuvable, là voici qui râle parce que j’ai soit disant mis le mauvais sure dans son café. Madame en voulait un en forme de cœur et non un carré! Non mais les gens des fois, je me demande ce qu’ils ont dans leur tête. Il faut dire que cette vieille dame était une fidèle cliente, mais son âge était tellement avancé que le moindre problème pouvait prendre des proportions immenses. Enfin bref, il me fallut dix minutes pour la calmer, pour un simple bout de sucre. La fin de journée approchait à grand pas et j’essayais de penser fortement à ce barron de bière qui m’attendait dans l’un des pubs du chemin de traverse. Je n’avais pas encore choisi lequel ce serait.

Pour le moment, j’étais embauché au chaudron baveur en tant que serveur pour un mois pendant les vacances. Et, si je faisais mes preuves durant ce mois, je serais très certainement réembauché le mois prochain. J’espérais sincèrement que ce serait le cas. Je n’avais pas le choix, sinon, ça allait être galère pour le reste des mois à venir. Gringotts me voyait très peu retirer de l’argent, disons que je n’étais pas le meilleur client pour la banque étant donné le peu d’argent que j’y déposais. Le côté positif du travail au Chaudron Baveur est que l’établissement me permet de loger dans une de leur chambre. Ce qui m’empêche de trouver, pour le moment, un appartement. Une location était encore trop chère par rapport à mes revenus.

La nuit allait être longue puisqu’il était pratiquement onze heures du soir et il y avait de plus en plus de monde qui venait commander des bières. Des adolescents criantes m’avaient dragué durant dix minutes environ tandis que je souhaitais tout simplement faire mon travail pour que le temps passe plus vite. Je finissais mon service à Minuit. Il me restait donc une heure de torture supplémentaire. La vie au chemin de Traverse était d’autant plus difficile que ce que j’avais présumé. Je me retrouvais donc en train de souffrir dans cet environnement suffoquant. Certains clients étaient sympathiques et je prenais du plaisir à discuter avec eux, surtout que je croisais bien souvent des camarades de classe ou des amis. Cela me permettait de repenser à Poudlard, le seul endroit sur terre où j’oubliais presque ma situation financière bancale.

Je m’occupais d’une cliente lorsqu’une nouvelle cliente entra dans le pub. IL me semblait reconnaître la directrice de l’école. Mais, je n’avais jamais croisé la directrice en dehors des heures de cours ou bien en dehors de l’école en elle même. Bref, j’attendais qu’elle s’assoit à l’une des tables pour que je m lance. Mais, j’étais coincé !!! Je n’arrivais pas à marcher ou à m’approcher e la directrice. Jusqu’à ce que je sois totalement décidé.

-Bonsoir Madame. Commençais-je. Que désirez-vous ? Lorsqu’elle posa son regard sur le mien, je frissonnais : je n’avais jamais été aussi proche de la directrice. Et, elle était étonnamment belle. La voir sur estrade de loin cachait cette beauté.

[— ADMINISTRATRICE —]

Ce soir là, Lee était avec Kraven dans la forêt interdite et ses ainés dormaient chez leur oncle et tante. Un service que Miki avait demandé à son frère pour pouvoir passer la soirée un peu seule. C'était du reste la première fois depuis la naissance de Séléna qu'elle avait autant ressentie le besoin de se retrouver. Les choses s'étaient beaucoup précipitées ces dernières années et c'est seulement maintenant que les vacances arrivaient, que les évènements se calmaient un peu que la jeune directrice réalisait tout ce qu'il s'était passé. D'où son besoin de se retrouver seule, de souffler. Il fallait dire qu'avec 3 enfants, une école à gérer et l'ordre à canaliser par dessus le marché; les occasions de décompresser se faisaient rare.
Elle avait donc laissé ses enfants de part et d'autre du pays et avait diné seule, dans son restaurant préféré et avait ensuite déambulé dans les allées du chemin de traverse, profitant de l'air frais de la nuit tombante pour se balader. Se laissant guider par ses pas elle arriva ,au bout d'un moment, au Chaudron Baveur où elle prit place à l'une des tables libres. Et reconnaissant un de ses élèves dans le serveur qui s'approchait, elle lui sourit en inclinant légèrement la tête.

"Je prendrais un thé, sil vous plait."

Demanda t-elle doucement, sa voix couvrant à peine le tumulte ambiant.
Elle n'avait pas eu Dan très longtemps en cours, mais se rappelait qu'il était un élève appliqué, bien qu'assez ambivalent dans son comportement. Comme si il était constamment sur la brèche. Elle savait également qu'il bénéficiait en partie d'une bourse scolaire pour poursuivre ses études, et ne s'étonnait donc pas plus de le voir travailler lors de ses périodes de congés scolaires.

"Je ne savais pas que vous travailliez ici. J'espère que ma présence ici ne vous dérange pas."

S'excusa t-elle.

Miki comprenait qu'il n'ait guère très envie de voir le corps professoral au complet venir voir où il travaillait durant les vacances d'été.

[Nb de messages]

Ce soir là, Lee était avec Kraven dans la forêt interdite et ses ainés dormaient chez leur oncle et tante. Un service que Miki avait demandé à son frère pour pouvoir passer la soirée un peu seule. C'était du reste la première fois depuis la naissance de Séléna qu'elle avait autant ressentie le besoin de se retrouver. Les choses s'étaient beaucoup précipitées ces dernières années et c'est seulement maintenant que les vacances arrivaient, que les évènements se calmaient un peu que la jeune directrice réalisait tout ce qu'il s'était passé. D'où son besoin de se retrouver seule, de souffler. Il fallait dire qu'avec 3 enfants, une école à gérer et l'ordre à canaliser par dessus le marché; les occasions de décompresser se faisaient rare.
Elle avait donc laissé ses enfants de part et d'autre du pays et avait diné seule, dans son restaurant préféré et avait ensuite déambulé dans les allées du chemin de traverse, profitant de l'air frais de la nuit tombante pour se balader. Se laissant guider par ses pas elle arriva ,au bout d'un moment, au Chaudron Baveur où elle prit place à l'une des tables libres. Et reconnaissant un de ses élèves dans le serveur qui s'approchait, elle lui sourit en inclinant légèrement la tête.

"Je prendrais un thé, sil vous plait."

Demanda t-elle doucement, sa voix couvrant à peine le tumulte ambiant.
Elle n'avait pas eu Dan très longtemps en cours, mais se rappelait qu'il était un élève appliqué, bien qu'assez ambivalent dans son comportement. Comme si il était constamment sur la brèche. Elle savait également qu'il bénéficiait en partie d'une bourse scolaire pour poursuivre ses études, et ne s'étonnait donc pas plus de le voir travailler lors de ses périodes de congés scolaires.

"Je ne savais pas que vous travailliez ici. J'espère que ma présence ici ne vous dérange pas."

S'excusa t-elle.

Miki comprenait qu'il n'ait guère très envie de voir le corps professoral au complet venir voir où il travaillait durant les vacances d'été.

[Bourse]

Ce soir là, Lee était avec Kraven dans la forêt interdite et ses ainés dormaient chez leur oncle et tante. Un service que Miki avait demandé à son frère pour pouvoir passer la soirée un peu seule. C'était du reste la première fois depuis la naissance de Séléna qu'elle avait autant ressentie le besoin de se retrouver. Les choses s'étaient beaucoup précipitées ces dernières années et c'est seulement maintenant que les vacances arrivaient, que les évènements se calmaient un peu que la jeune directrice réalisait tout ce qu'il s'était passé. D'où son besoin de se retrouver seule, de souffler. Il fallait dire qu'avec 3 enfants, une école à gérer et l'ordre à canaliser par dessus le marché; les occasions de décompresser se faisaient rare.
Elle avait donc laissé ses enfants de part et d'autre du pays et avait diné seule, dans son restaurant préféré et avait ensuite déambulé dans les allées du chemin de traverse, profitant de l'air frais de la nuit tombante pour se balader. Se laissant guider par ses pas elle arriva ,au bout d'un moment, au Chaudron Baveur où elle prit place à l'une des tables libres. Et reconnaissant un de ses élèves dans le serveur qui s'approchait, elle lui sourit en inclinant légèrement la tête.

"Je prendrais un thé, sil vous plait."

Demanda t-elle doucement, sa voix couvrant à peine le tumulte ambiant.
Elle n'avait pas eu Dan très longtemps en cours, mais se rappelait qu'il était un élève appliqué, bien qu'assez ambivalent dans son comportement. Comme si il était constamment sur la brèche. Elle savait également qu'il bénéficiait en partie d'une bourse scolaire pour poursuivre ses études, et ne s'étonnait donc pas plus de le voir travailler lors de ses périodes de congés scolaires.

"Je ne savais pas que vous travailliez ici. J'espère que ma présence ici ne vous dérange pas."

S'excusa t-elle.

Miki comprenait qu'il n'ait guère très envie de voir le corps professoral au complet venir voir où il travaillait durant les vacances d'été.

[Données]

Ce soir là, Lee était avec Kraven dans la forêt interdite et ses ainés dormaient chez leur oncle et tante. Un service que Miki avait demandé à son frère pour pouvoir passer la soirée un peu seule. C'était du reste la première fois depuis la naissance de Séléna qu'elle avait autant ressentie le besoin de se retrouver. Les choses s'étaient beaucoup précipitées ces dernières années et c'est seulement maintenant que les vacances arrivaient, que les évènements se calmaient un peu que la jeune directrice réalisait tout ce qu'il s'était passé. D'où son besoin de se retrouver seule, de souffler. Il fallait dire qu'avec 3 enfants, une école à gérer et l'ordre à canaliser par dessus le marché; les occasions de décompresser se faisaient rare.
Elle avait donc laissé ses enfants de part et d'autre du pays et avait diné seule, dans son restaurant préféré et avait ensuite déambulé dans les allées du chemin de traverse, profitant de l'air frais de la nuit tombante pour se balader. Se laissant guider par ses pas elle arriva ,au bout d'un moment, au Chaudron Baveur où elle prit place à l'une des tables libres. Et reconnaissant un de ses élèves dans le serveur qui s'approchait, elle lui sourit en inclinant légèrement la tête.

"Je prendrais un thé, sil vous plait."

Demanda t-elle doucement, sa voix couvrant à peine le tumulte ambiant.
Elle n'avait pas eu Dan très longtemps en cours, mais se rappelait qu'il était un élève appliqué, bien qu'assez ambivalent dans son comportement. Comme si il était constamment sur la brèche. Elle savait également qu'il bénéficiait en partie d'une bourse scolaire pour poursuivre ses études, et ne s'étonnait donc pas plus de le voir travailler lors de ses périodes de congés scolaires.

"Je ne savais pas que vous travailliez ici. J'espère que ma présence ici ne vous dérange pas."

S'excusa t-elle.

Miki comprenait qu'il n'ait guère très envie de voir le corps professoral au complet venir voir où il travaillait durant les vacances d'été.

[Expérience]

Ce soir là, Lee était avec Kraven dans la forêt interdite et ses ainés dormaient chez leur oncle et tante. Un service que Miki avait demandé à son frère pour pouvoir passer la soirée un peu seule. C'était du reste la première fois depuis la naissance de Séléna qu'elle avait autant ressentie le besoin de se retrouver. Les choses s'étaient beaucoup précipitées ces dernières années et c'est seulement maintenant que les vacances arrivaient, que les évènements se calmaient un peu que la jeune directrice réalisait tout ce qu'il s'était passé. D'où son besoin de se retrouver seule, de souffler. Il fallait dire qu'avec 3 enfants, une école à gérer et l'ordre à canaliser par dessus le marché; les occasions de décompresser se faisaient rare.
Elle avait donc laissé ses enfants de part et d'autre du pays et avait diné seule, dans son restaurant préféré et avait ensuite déambulé dans les allées du chemin de traverse, profitant de l'air frais de la nuit tombante pour se balader. Se laissant guider par ses pas elle arriva ,au bout d'un moment, au Chaudron Baveur où elle prit place à l'une des tables libres. Et reconnaissant un de ses élèves dans le serveur qui s'approchait, elle lui sourit en inclinant légèrement la tête.

"Je prendrais un thé, sil vous plait."

Demanda t-elle doucement, sa voix couvrant à peine le tumulte ambiant.
Elle n'avait pas eu Dan très longtemps en cours, mais se rappelait qu'il était un élève appliqué, bien qu'assez ambivalent dans son comportement. Comme si il était constamment sur la brèche. Elle savait également qu'il bénéficiait en partie d'une bourse scolaire pour poursuivre ses études, et ne s'étonnait donc pas plus de le voir travailler lors de ses périodes de congés scolaires.

"Je ne savais pas que vous travailliez ici. J'espère que ma présence ici ne vous dérange pas."

S'excusa t-elle.

Miki comprenait qu'il n'ait guère très envie de voir le corps professoral au complet venir voir où il travaillait durant les vacances d'été.

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

“-Je prendrais un thé s’il vous plait.”

Je hochais la tête pour montrer que j’avais bien compris et pris note de sa commande. Je commençais à passer un coup de serviette sur la table sur laquelle elle venait de s’installer. Et, mon plateau en main, je voulu repartir, mais, la voix douce de la directrice me stoppa dans mon élan.

“Je ne savais pas que vous travailliez ici. J’espère que ma présence ici ne vous dérange pas.”

Je me retournais. Sans sourire, mais avec sincérité, je lui répondis :

« -En effet, votre présence ici me déstabilise »

Puis, j’ajoutais à la fin de ma phrase un sourire en coin de lèvres. Les adolescentes groopies étaient toujours là et tandis que je donnais l’ordre de faire un thé au barman, j’allais servir les trois adolescentes folles comme j’aimais les distinguer. Enfin, ‘folles’ qui était le plus fou de tous me direz vous ? Je m’étais enfui de l’asile alors que j’étais tout jeune, et bien que l’on est laissé tomber mon cas, nombreux étaient les adultes et professeurs de Poudlard qui me prenaient pour un fou. Je me savais sain d’esprit, c’est plutôt toutes ces personnes qui m’entouraient qui avaient l’esprit dérangé. Bref, je revins au bar récupérer le thé pour la directrice. Je m’avançais à sa table lorsque l’une de ses gamines me fit un croche pied, je trébuchais et… le thé se renversa sur la directrice.

« Ce Gamin est vraiment dérangé ! » lança le barman alors qu’il arrivait en courant sa baguette à la main pour enlever le thé de la robe de la directrice. Je lançais un regard noir au groupe des jeunes adolescentes et je me tournais vers mon professeur.

« -Je vais le faire »

Assurais-je au barman, qui par ailleurs fut surpris par la grâce et la douceur avec laquelle j’avais posé ma main sur son épaule et le calme avec laquelle je lui avais parlé. Je m’approchais de ma directrice, qui à ce moment n’avait plus rien à mes yeux d’une directrice d’école. C’était une adulte, cliente comme toutes celles que je pouvais servir, même si son regard me faisait douter sur mon assurance et ma confiance en moi qui étaient pourtant bien grande en temps normal. Je m’agenouillais afin de déclamer la formule pour rattraper cet incident.

Je me levais. Sans dire aucune excuse considérant que c’était aux jeunes demoiselles de les faire, je m’approchais donc de leur groupe, mes yeux perçants les regardaient toutes les trois et je leur disais donc, froid et de glace :

«- Vous devriez vous excuser auprès de cette jeune femme. Vous mériteriez d’être puni pour ce que vous avez fait. Par ailleurs, je n’en peux plus de vos ricanements, si vous pouviez y mettre un terme. »

Je croisais les bras, attendant qu’elles agissent d’une quelconque façon suite à mon rapide discours. En effet, l’une d’elles se leva et s’approcha de la directrice pour s’excuser profondément. Bien sûr, sous l’emprise de l’alcool, les excuses restaient tout de même un peu bancales, du moins, elle les avait faites. Une fois qu’elle s’était rassise, je continuais le service des derniers clients.

Je n’avais plus qu’à laver les tables désormais et mon service était enfin bouclé. La directrice n’avait pas bougé de sa place, elle me fixait de temps à autre et je me demandais pourquoi. Elle était sûrement comme tous les autres, à me prendre pour un fou, à la fois dans mes manières mais aussi dans ma tête. Je devais l’accepter, c’était tout. Je me considérais bien plus mature et plus vieux que la normale. J’avais grandi plus vite que quiconque à Poudlard. Je n’avais rien d’extraordinaire par rapport à d’autres, je savais juste la valeur des choses, ce qu’était la vie, lorsqu’on devait se battre pour la garder…

[Localisation]

“-Je prendrais un thé s’il vous plait.”

Je hochais la tête pour montrer que j’avais bien compris et pris note de sa commande. Je commençais à passer un coup de serviette sur la table sur laquelle elle venait de s’installer. Et, mon plateau en main, je voulu repartir, mais, la voix douce de la directrice me stoppa dans mon élan.

“Je ne savais pas que vous travailliez ici. J’espère que ma présence ici ne vous dérange pas.”

Je me retournais. Sans sourire, mais avec sincérité, je lui répondis :

« -En effet, votre présence ici me déstabilise »

Puis, j’ajoutais à la fin de ma phrase un sourire en coin de lèvres. Les adolescentes groopies étaient toujours là et tandis que je donnais l’ordre de faire un thé au barman, j’allais servir les trois adolescentes folles comme j’aimais les distinguer. Enfin, ‘folles’ qui était le plus fou de tous me direz vous ? Je m’étais enfui de l’asile alors que j’étais tout jeune, et bien que l’on est laissé tomber mon cas, nombreux étaient les adultes et professeurs de Poudlard qui me prenaient pour un fou. Je me savais sain d’esprit, c’est plutôt toutes ces personnes qui m’entouraient qui avaient l’esprit dérangé. Bref, je revins au bar récupérer le thé pour la directrice. Je m’avançais à sa table lorsque l’une de ses gamines me fit un croche pied, je trébuchais et… le thé se renversa sur la directrice.

« Ce Gamin est vraiment dérangé ! » lança le barman alors qu’il arrivait en courant sa baguette à la main pour enlever le thé de la robe de la directrice. Je lançais un regard noir au groupe des jeunes adolescentes et je me tournais vers mon professeur.

« -Je vais le faire »

Assurais-je au barman, qui par ailleurs fut surpris par la grâce et la douceur avec laquelle j’avais posé ma main sur son épaule et le calme avec laquelle je lui avais parlé. Je m’approchais de ma directrice, qui à ce moment n’avait plus rien à mes yeux d’une directrice d’école. C’était une adulte, cliente comme toutes celles que je pouvais servir, même si son regard me faisait douter sur mon assurance et ma confiance en moi qui étaient pourtant bien grande en temps normal. Je m’agenouillais afin de déclamer la formule pour rattraper cet incident.

Je me levais. Sans dire aucune excuse considérant que c’était aux jeunes demoiselles de les faire, je m’approchais donc de leur groupe, mes yeux perçants les regardaient toutes les trois et je leur disais donc, froid et de glace :

«- Vous devriez vous excuser auprès de cette jeune femme. Vous mériteriez d’être puni pour ce que vous avez fait. Par ailleurs, je n’en peux plus de vos ricanements, si vous pouviez y mettre un terme. »

Je croisais les bras, attendant qu’elles agissent d’une quelconque façon suite à mon rapide discours. En effet, l’une d’elles se leva et s’approcha de la directrice pour s’excuser profondément. Bien sûr, sous l’emprise de l’alcool, les excuses restaient tout de même un peu bancales, du moins, elle les avait faites. Une fois qu’elle s’était rassise, je continuais le service des derniers clients.

Je n’avais plus qu’à laver les tables désormais et mon service était enfin bouclé. La directrice n’avait pas bougé de sa place, elle me fixait de temps à autre et je me demandais pourquoi. Elle était sûrement comme tous les autres, à me prendre pour un fou, à la fois dans mes manières mais aussi dans ma tête. Je devais l’accepter, c’était tout. Je me considérais bien plus mature et plus vieux que la normale. J’avais grandi plus vite que quiconque à Poudlard. Je n’avais rien d’extraordinaire par rapport à d’autres, je savais juste la valeur des choses, ce qu’était la vie, lorsqu’on devait se battre pour la garder…

[Nb de messages]

“-Je prendrais un thé s’il vous plait.”

Je hochais la tête pour montrer que j’avais bien compris et pris note de sa commande. Je commençais à passer un coup de serviette sur la table sur laquelle elle venait de s’installer. Et, mon plateau en main, je voulu repartir, mais, la voix douce de la directrice me stoppa dans mon élan.

“Je ne savais pas que vous travailliez ici. J’espère que ma présence ici ne vous dérange pas.”

Je me retournais. Sans sourire, mais avec sincérité, je lui répondis :

« -En effet, votre présence ici me déstabilise »

Puis, j’ajoutais à la fin de ma phrase un sourire en coin de lèvres. Les adolescentes groopies étaient toujours là et tandis que je donnais l’ordre de faire un thé au barman, j’allais servir les trois adolescentes folles comme j’aimais les distinguer. Enfin, ‘folles’ qui était le plus fou de tous me direz vous ? Je m’étais enfui de l’asile alors que j’étais tout jeune, et bien que l’on est laissé tomber mon cas, nombreux étaient les adultes et professeurs de Poudlard qui me prenaient pour un fou. Je me savais sain d’esprit, c’est plutôt toutes ces personnes qui m’entouraient qui avaient l’esprit dérangé. Bref, je revins au bar récupérer le thé pour la directrice. Je m’avançais à sa table lorsque l’une de ses gamines me fit un croche pied, je trébuchais et… le thé se renversa sur la directrice.

« Ce Gamin est vraiment dérangé ! » lança le barman alors qu’il arrivait en courant sa baguette à la main pour enlever le thé de la robe de la directrice. Je lançais un regard noir au groupe des jeunes adolescentes et je me tournais vers mon professeur.

« -Je vais le faire »

Assurais-je au barman, qui par ailleurs fut surpris par la grâce et la douceur avec laquelle j’avais posé ma main sur son épaule et le calme avec laquelle je lui avais parlé. Je m’approchais de ma directrice, qui à ce moment n’avait plus rien à mes yeux d’une directrice d’école. C’était une adulte, cliente comme toutes celles que je pouvais servir, même si son regard me faisait douter sur mon assurance et ma confiance en moi qui étaient pourtant bien grande en temps normal. Je m’agenouillais afin de déclamer la formule pour rattraper cet incident.

Je me levais. Sans dire aucune excuse considérant que c’était aux jeunes demoiselles de les faire, je m’approchais donc de leur groupe, mes yeux perçants les regardaient toutes les trois et je leur disais donc, froid et de glace :

«- Vous devriez vous excuser auprès de cette jeune femme. Vous mériteriez d’être puni pour ce que vous avez fait. Par ailleurs, je n’en peux plus de vos ricanements, si vous pouviez y mettre un terme. »

Je croisais les bras, attendant qu’elles agissent d’une quelconque façon suite à mon rapide discours. En effet, l’une d’elles se leva et s’approcha de la directrice pour s’excuser profondément. Bien sûr, sous l’emprise de l’alcool, les excuses restaient tout de même un peu bancales, du moins, elle les avait faites. Une fois qu’elle s’était rassise, je continuais le service des derniers clients.

Je n’avais plus qu’à laver les tables désormais et mon service était enfin bouclé. La directrice n’avait pas bougé de sa place, elle me fixait de temps à autre et je me demandais pourquoi. Elle était sûrement comme tous les autres, à me prendre pour un fou, à la fois dans mes manières mais aussi dans ma tête. Je devais l’accepter, c’était tout. Je me considérais bien plus mature et plus vieux que la normale. J’avais grandi plus vite que quiconque à Poudlard. Je n’avais rien d’extraordinaire par rapport à d’autres, je savais juste la valeur des choses, ce qu’était la vie, lorsqu’on devait se battre pour la garder…

[Bourse]

“-Je prendrais un thé s’il vous plait.”

Je hochais la tête pour montrer que j’avais bien compris et pris note de sa commande. Je commençais à passer un coup de serviette sur la table sur laquelle elle venait de s’installer. Et, mon plateau en main, je voulu repartir, mais, la voix douce de la directrice me stoppa dans mon élan.

“Je ne savais pas que vous travailliez ici. J’espère que ma présence ici ne vous dérange pas.”

Je me retournais. Sans sourire, mais avec sincérité, je lui répondis :

« -En effet, votre présence ici me déstabilise »

Puis, j’ajoutais à la fin de ma phrase un sourire en coin de lèvres. Les adolescentes groopies étaient toujours là et tandis que je donnais l’ordre de faire un thé au barman, j’allais servir les trois adolescentes folles comme j’aimais les distinguer. Enfin, ‘folles’ qui était le plus fou de tous me direz vous ? Je m’étais enfui de l’asile alors que j’étais tout jeune, et bien que l’on est laissé tomber mon cas, nombreux étaient les adultes et professeurs de Poudlard qui me prenaient pour un fou. Je me savais sain d’esprit, c’est plutôt toutes ces personnes qui m’entouraient qui avaient l’esprit dérangé. Bref, je revins au bar récupérer le thé pour la directrice. Je m’avançais à sa table lorsque l’une de ses gamines me fit un croche pied, je trébuchais et… le thé se renversa sur la directrice.

« Ce Gamin est vraiment dérangé ! » lança le barman alors qu’il arrivait en courant sa baguette à la main pour enlever le thé de la robe de la directrice. Je lançais un regard noir au groupe des jeunes adolescentes et je me tournais vers mon professeur.

« -Je vais le faire »

Assurais-je au barman, qui par ailleurs fut surpris par la grâce et la douceur avec laquelle j’avais posé ma main sur son épaule et le calme avec laquelle je lui avais parlé. Je m’approchais de ma directrice, qui à ce moment n’avait plus rien à mes yeux d’une directrice d’école. C’était une adulte, cliente comme toutes celles que je pouvais servir, même si son regard me faisait douter sur mon assurance et ma confiance en moi qui étaient pourtant bien grande en temps normal. Je m’agenouillais afin de déclamer la formule pour rattraper cet incident.

Je me levais. Sans dire aucune excuse considérant que c’était aux jeunes demoiselles de les faire, je m’approchais donc de leur groupe, mes yeux perçants les regardaient toutes les trois et je leur disais donc, froid et de glace :

«- Vous devriez vous excuser auprès de cette jeune femme. Vous mériteriez d’être puni pour ce que vous avez fait. Par ailleurs, je n’en peux plus de vos ricanements, si vous pouviez y mettre un terme. »

Je croisais les bras, attendant qu’elles agissent d’une quelconque façon suite à mon rapide discours. En effet, l’une d’elles se leva et s’approcha de la directrice pour s’excuser profondément. Bien sûr, sous l’emprise de l’alcool, les excuses restaient tout de même un peu bancales, du moins, elle les avait faites. Une fois qu’elle s’était rassise, je continuais le service des derniers clients.

Je n’avais plus qu’à laver les tables désormais et mon service était enfin bouclé. La directrice n’avait pas bougé de sa place, elle me fixait de temps à autre et je me demandais pourquoi. Elle était sûrement comme tous les autres, à me prendre pour un fou, à la fois dans mes manières mais aussi dans ma tête. Je devais l’accepter, c’était tout. Je me considérais bien plus mature et plus vieux que la normale. J’avais grandi plus vite que quiconque à Poudlard. Je n’avais rien d’extraordinaire par rapport à d’autres, je savais juste la valeur des choses, ce qu’était la vie, lorsqu’on devait se battre pour la garder…

[Données]

“-Je prendrais un thé s’il vous plait.”

Je hochais la tête pour montrer que j’avais bien compris et pris note de sa commande. Je commençais à passer un coup de serviette sur la table sur laquelle elle venait de s’installer. Et, mon plateau en main, je voulu repartir, mais, la voix douce de la directrice me stoppa dans mon élan.

“Je ne savais pas que vous travailliez ici. J’espère que ma présence ici ne vous dérange pas.”

Je me retournais. Sans sourire, mais avec sincérité, je lui répondis :

« -En effet, votre présence ici me déstabilise »

Puis, j’ajoutais à la fin de ma phrase un sourire en coin de lèvres. Les adolescentes groopies étaient toujours là et tandis que je donnais l’ordre de faire un thé au barman, j’allais servir les trois adolescentes folles comme j’aimais les distinguer. Enfin, ‘folles’ qui était le plus fou de tous me direz vous ? Je m’étais enfui de l’asile alors que j’étais tout jeune, et bien que l’on est laissé tomber mon cas, nombreux étaient les adultes et professeurs de Poudlard qui me prenaient pour un fou. Je me savais sain d’esprit, c’est plutôt toutes ces personnes qui m’entouraient qui avaient l’esprit dérangé. Bref, je revins au bar récupérer le thé pour la directrice. Je m’avançais à sa table lorsque l’une de ses gamines me fit un croche pied, je trébuchais et… le thé se renversa sur la directrice.

« Ce Gamin est vraiment dérangé ! » lança le barman alors qu’il arrivait en courant sa baguette à la main pour enlever le thé de la robe de la directrice. Je lançais un regard noir au groupe des jeunes adolescentes et je me tournais vers mon professeur.

« -Je vais le faire »

Assurais-je au barman, qui par ailleurs fut surpris par la grâce et la douceur avec laquelle j’avais posé ma main sur son épaule et le calme avec laquelle je lui avais parlé. Je m’approchais de ma directrice, qui à ce moment n’avait plus rien à mes yeux d’une directrice d’école. C’était une adulte, cliente comme toutes celles que je pouvais servir, même si son regard me faisait douter sur mon assurance et ma confiance en moi qui étaient pourtant bien grande en temps normal. Je m’agenouillais afin de déclamer la formule pour rattraper cet incident.

Je me levais. Sans dire aucune excuse considérant que c’était aux jeunes demoiselles de les faire, je m’approchais donc de leur groupe, mes yeux perçants les regardaient toutes les trois et je leur disais donc, froid et de glace :

«- Vous devriez vous excuser auprès de cette jeune femme. Vous mériteriez d’être puni pour ce que vous avez fait. Par ailleurs, je n’en peux plus de vos ricanements, si vous pouviez y mettre un terme. »

Je croisais les bras, attendant qu’elles agissent d’une quelconque façon suite à mon rapide discours. En effet, l’une d’elles se leva et s’approcha de la directrice pour s’excuser profondément. Bien sûr, sous l’emprise de l’alcool, les excuses restaient tout de même un peu bancales, du moins, elle les avait faites. Une fois qu’elle s’était rassise, je continuais le service des derniers clients.

Je n’avais plus qu’à laver les tables désormais et mon service était enfin bouclé. La directrice n’avait pas bougé de sa place, elle me fixait de temps à autre et je me demandais pourquoi. Elle était sûrement comme tous les autres, à me prendre pour un fou, à la fois dans mes manières mais aussi dans ma tête. Je devais l’accepter, c’était tout. Je me considérais bien plus mature et plus vieux que la normale. J’avais grandi plus vite que quiconque à Poudlard. Je n’avais rien d’extraordinaire par rapport à d’autres, je savais juste la valeur des choses, ce qu’était la vie, lorsqu’on devait se battre pour la garder…

[Expérience]

“-Je prendrais un thé s’il vous plait.”

Je hochais la tête pour montrer que j’avais bien compris et pris note de sa commande. Je commençais à passer un coup de serviette sur la table sur laquelle elle venait de s’installer. Et, mon plateau en main, je voulu repartir, mais, la voix douce de la directrice me stoppa dans mon élan.

“Je ne savais pas que vous travailliez ici. J’espère que ma présence ici ne vous dérange pas.”

Je me retournais. Sans sourire, mais avec sincérité, je lui répondis :

« -En effet, votre présence ici me déstabilise »

Puis, j’ajoutais à la fin de ma phrase un sourire en coin de lèvres. Les adolescentes groopies étaient toujours là et tandis que je donnais l’ordre de faire un thé au barman, j’allais servir les trois adolescentes folles comme j’aimais les distinguer. Enfin, ‘folles’ qui était le plus fou de tous me direz vous ? Je m’étais enfui de l’asile alors que j’étais tout jeune, et bien que l’on est laissé tomber mon cas, nombreux étaient les adultes et professeurs de Poudlard qui me prenaient pour un fou. Je me savais sain d’esprit, c’est plutôt toutes ces personnes qui m’entouraient qui avaient l’esprit dérangé. Bref, je revins au bar récupérer le thé pour la directrice. Je m’avançais à sa table lorsque l’une de ses gamines me fit un croche pied, je trébuchais et… le thé se renversa sur la directrice.

« Ce Gamin est vraiment dérangé ! » lança le barman alors qu’il arrivait en courant sa baguette à la main pour enlever le thé de la robe de la directrice. Je lançais un regard noir au groupe des jeunes adolescentes et je me tournais vers mon professeur.

« -Je vais le faire »

Assurais-je au barman, qui par ailleurs fut surpris par la grâce et la douceur avec laquelle j’avais posé ma main sur son épaule et le calme avec laquelle je lui avais parlé. Je m’approchais de ma directrice, qui à ce moment n’avait plus rien à mes yeux d’une directrice d’école. C’était une adulte, cliente comme toutes celles que je pouvais servir, même si son regard me faisait douter sur mon assurance et ma confiance en moi qui étaient pourtant bien grande en temps normal. Je m’agenouillais afin de déclamer la formule pour rattraper cet incident.

Je me levais. Sans dire aucune excuse considérant que c’était aux jeunes demoiselles de les faire, je m’approchais donc de leur groupe, mes yeux perçants les regardaient toutes les trois et je leur disais donc, froid et de glace :

«- Vous devriez vous excuser auprès de cette jeune femme. Vous mériteriez d’être puni pour ce que vous avez fait. Par ailleurs, je n’en peux plus de vos ricanements, si vous pouviez y mettre un terme. »

Je croisais les bras, attendant qu’elles agissent d’une quelconque façon suite à mon rapide discours. En effet, l’une d’elles se leva et s’approcha de la directrice pour s’excuser profondément. Bien sûr, sous l’emprise de l’alcool, les excuses restaient tout de même un peu bancales, du moins, elle les avait faites. Une fois qu’elle s’était rassise, je continuais le service des derniers clients.

Je n’avais plus qu’à laver les tables désormais et mon service était enfin bouclé. La directrice n’avait pas bougé de sa place, elle me fixait de temps à autre et je me demandais pourquoi. Elle était sûrement comme tous les autres, à me prendre pour un fou, à la fois dans mes manières mais aussi dans ma tête. Je devais l’accepter, c’était tout. Je me considérais bien plus mature et plus vieux que la normale. J’avais grandi plus vite que quiconque à Poudlard. Je n’avais rien d’extraordinaire par rapport à d’autres, je savais juste la valeur des choses, ce qu’était la vie, lorsqu’on devait se battre pour la garder…

[— ADMINISTRATRICE —]

L'incident s'était terminé sans autre heurt que celui de la chute du thé sur son jean, et ce genre de désagréments étaient négligeables quand on était sorcier. De plus, il fallait concéder que le jeune Dan s'était tiré de cette situation avec brio, s'occuper de clientes de la sorte n'était pas des plus faciles, surtout lorsqu'elles étaient alcoolisées de cette manière. Et Miki parlait en connaissance de cause, ayant travaillé au Chaudron Baveur à son arrivée en Angleterre et pendant les vacances lorsqu'elle était étudiante. Ce n'était pas le pire endroit pour travailler un été, et la jeune directrice avait l'impression que son élève en avait conscience lui aussi. Il avait dans le regard la même lueur que celle qu'elle avait déjà vu dans les yeux des gens qu'elle fréquentait en général. Comme celle d'une bougie sur le point de s'éteindre car elle a déjà trop brulé, trop vite. Certes le jeune homme avait toujours eu un comportement étrange, voire ambivalent, mais dans le même temps Miki se doutait qu'il n'avait pas eu une vie facile, alors elle ne se voyait pas lui reprocher sa façon de réagir aux différents évènements de sa vie. Il n'avait surement pas besoin qu'on le juge en plus du reste.


La japonaise buvait tranquillement son thé en se laissant aller à ses réflexions, jetant de temps à autre un coup d’œil sur la salle. A plusieurs reprises elle rencontra le regard du jeune homme, il était sur qu'il ne s'était pas attendu à trouver sa directrice dans un endroit pareil. Très peu d'élèves devaient l'imaginer en dehors de l'enceinte du château, chose plutôt normale au finale, d'autant plus qu'elle avait toujours fait en sorte que sa vie privée n'affecte pas son travail. Sa boisson terminée, Miki passa une serviette sur la table pour la nettoyer puis sortit de quoi régler sa consommation de sa poche.

"Voilà." Dit-elle en donnant l'argent à Dan.

"Merci. Et désolée pour le dérangement. J'ignorais que vous étiez employé ici pour les vacances. J'espère que tout se passe bien néanmoins." Risqua t-elle en servant au jeune serveur son habituel sourire doux et chaleureux.

[Nb de messages]

L'incident s'était terminé sans autre heurt que celui de la chute du thé sur son jean, et ce genre de désagréments étaient négligeables quand on était sorcier. De plus, il fallait concéder que le jeune Dan s'était tiré de cette situation avec brio, s'occuper de clientes de la sorte n'était pas des plus faciles, surtout lorsqu'elles étaient alcoolisées de cette manière. Et Miki parlait en connaissance de cause, ayant travaillé au Chaudron Baveur à son arrivée en Angleterre et pendant les vacances lorsqu'elle était étudiante. Ce n'était pas le pire endroit pour travailler un été, et la jeune directrice avait l'impression que son élève en avait conscience lui aussi. Il avait dans le regard la même lueur que celle qu'elle avait déjà vu dans les yeux des gens qu'elle fréquentait en général. Comme celle d'une bougie sur le point de s'éteindre car elle a déjà trop brulé, trop vite. Certes le jeune homme avait toujours eu un comportement étrange, voire ambivalent, mais dans le même temps Miki se doutait qu'il n'avait pas eu une vie facile, alors elle ne se voyait pas lui reprocher sa façon de réagir aux différents évènements de sa vie. Il n'avait surement pas besoin qu'on le juge en plus du reste.


La japonaise buvait tranquillement son thé en se laissant aller à ses réflexions, jetant de temps à autre un coup d’œil sur la salle. A plusieurs reprises elle rencontra le regard du jeune homme, il était sur qu'il ne s'était pas attendu à trouver sa directrice dans un endroit pareil. Très peu d'élèves devaient l'imaginer en dehors de l'enceinte du château, chose plutôt normale au finale, d'autant plus qu'elle avait toujours fait en sorte que sa vie privée n'affecte pas son travail. Sa boisson terminée, Miki passa une serviette sur la table pour la nettoyer puis sortit de quoi régler sa consommation de sa poche.

"Voilà." Dit-elle en donnant l'argent à Dan.

"Merci. Et désolée pour le dérangement. J'ignorais que vous étiez employé ici pour les vacances. J'espère que tout se passe bien néanmoins." Risqua t-elle en servant au jeune serveur son habituel sourire doux et chaleureux.

[Bourse]

L'incident s'était terminé sans autre heurt que celui de la chute du thé sur son jean, et ce genre de désagréments étaient négligeables quand on était sorcier. De plus, il fallait concéder que le jeune Dan s'était tiré de cette situation avec brio, s'occuper de clientes de la sorte n'était pas des plus faciles, surtout lorsqu'elles étaient alcoolisées de cette manière. Et Miki parlait en connaissance de cause, ayant travaillé au Chaudron Baveur à son arrivée en Angleterre et pendant les vacances lorsqu'elle était étudiante. Ce n'était pas le pire endroit pour travailler un été, et la jeune directrice avait l'impression que son élève en avait conscience lui aussi. Il avait dans le regard la même lueur que celle qu'elle avait déjà vu dans les yeux des gens qu'elle fréquentait en général. Comme celle d'une bougie sur le point de s'éteindre car elle a déjà trop brulé, trop vite. Certes le jeune homme avait toujours eu un comportement étrange, voire ambivalent, mais dans le même temps Miki se doutait qu'il n'avait pas eu une vie facile, alors elle ne se voyait pas lui reprocher sa façon de réagir aux différents évènements de sa vie. Il n'avait surement pas besoin qu'on le juge en plus du reste.


La japonaise buvait tranquillement son thé en se laissant aller à ses réflexions, jetant de temps à autre un coup d’œil sur la salle. A plusieurs reprises elle rencontra le regard du jeune homme, il était sur qu'il ne s'était pas attendu à trouver sa directrice dans un endroit pareil. Très peu d'élèves devaient l'imaginer en dehors de l'enceinte du château, chose plutôt normale au finale, d'autant plus qu'elle avait toujours fait en sorte que sa vie privée n'affecte pas son travail. Sa boisson terminée, Miki passa une serviette sur la table pour la nettoyer puis sortit de quoi régler sa consommation de sa poche.

"Voilà." Dit-elle en donnant l'argent à Dan.

"Merci. Et désolée pour le dérangement. J'ignorais que vous étiez employé ici pour les vacances. J'espère que tout se passe bien néanmoins." Risqua t-elle en servant au jeune serveur son habituel sourire doux et chaleureux.

[Données]

L'incident s'était terminé sans autre heurt que celui de la chute du thé sur son jean, et ce genre de désagréments étaient négligeables quand on était sorcier. De plus, il fallait concéder que le jeune Dan s'était tiré de cette situation avec brio, s'occuper de clientes de la sorte n'était pas des plus faciles, surtout lorsqu'elles étaient alcoolisées de cette manière. Et Miki parlait en connaissance de cause, ayant travaillé au Chaudron Baveur à son arrivée en Angleterre et pendant les vacances lorsqu'elle était étudiante. Ce n'était pas le pire endroit pour travailler un été, et la jeune directrice avait l'impression que son élève en avait conscience lui aussi. Il avait dans le regard la même lueur que celle qu'elle avait déjà vu dans les yeux des gens qu'elle fréquentait en général. Comme celle d'une bougie sur le point de s'éteindre car elle a déjà trop brulé, trop vite. Certes le jeune homme avait toujours eu un comportement étrange, voire ambivalent, mais dans le même temps Miki se doutait qu'il n'avait pas eu une vie facile, alors elle ne se voyait pas lui reprocher sa façon de réagir aux différents évènements de sa vie. Il n'avait surement pas besoin qu'on le juge en plus du reste.


La japonaise buvait tranquillement son thé en se laissant aller à ses réflexions, jetant de temps à autre un coup d’œil sur la salle. A plusieurs reprises elle rencontra le regard du jeune homme, il était sur qu'il ne s'était pas attendu à trouver sa directrice dans un endroit pareil. Très peu d'élèves devaient l'imaginer en dehors de l'enceinte du château, chose plutôt normale au finale, d'autant plus qu'elle avait toujours fait en sorte que sa vie privée n'affecte pas son travail. Sa boisson terminée, Miki passa une serviette sur la table pour la nettoyer puis sortit de quoi régler sa consommation de sa poche.

"Voilà." Dit-elle en donnant l'argent à Dan.

"Merci. Et désolée pour le dérangement. J'ignorais que vous étiez employé ici pour les vacances. J'espère que tout se passe bien néanmoins." Risqua t-elle en servant au jeune serveur son habituel sourire doux et chaleureux.

[Expérience]

L'incident s'était terminé sans autre heurt que celui de la chute du thé sur son jean, et ce genre de désagréments étaient négligeables quand on était sorcier. De plus, il fallait concéder que le jeune Dan s'était tiré de cette situation avec brio, s'occuper de clientes de la sorte n'était pas des plus faciles, surtout lorsqu'elles étaient alcoolisées de cette manière. Et Miki parlait en connaissance de cause, ayant travaillé au Chaudron Baveur à son arrivée en Angleterre et pendant les vacances lorsqu'elle était étudiante. Ce n'était pas le pire endroit pour travailler un été, et la jeune directrice avait l'impression que son élève en avait conscience lui aussi. Il avait dans le regard la même lueur que celle qu'elle avait déjà vu dans les yeux des gens qu'elle fréquentait en général. Comme celle d'une bougie sur le point de s'éteindre car elle a déjà trop brulé, trop vite. Certes le jeune homme avait toujours eu un comportement étrange, voire ambivalent, mais dans le même temps Miki se doutait qu'il n'avait pas eu une vie facile, alors elle ne se voyait pas lui reprocher sa façon de réagir aux différents évènements de sa vie. Il n'avait surement pas besoin qu'on le juge en plus du reste.


La japonaise buvait tranquillement son thé en se laissant aller à ses réflexions, jetant de temps à autre un coup d’œil sur la salle. A plusieurs reprises elle rencontra le regard du jeune homme, il était sur qu'il ne s'était pas attendu à trouver sa directrice dans un endroit pareil. Très peu d'élèves devaient l'imaginer en dehors de l'enceinte du château, chose plutôt normale au finale, d'autant plus qu'elle avait toujours fait en sorte que sa vie privée n'affecte pas son travail. Sa boisson terminée, Miki passa une serviette sur la table pour la nettoyer puis sortit de quoi régler sa consommation de sa poche.

"Voilà." Dit-elle en donnant l'argent à Dan.

"Merci. Et désolée pour le dérangement. J'ignorais que vous étiez employé ici pour les vacances. J'espère que tout se passe bien néanmoins." Risqua t-elle en servant au jeune serveur son habituel sourire doux et chaleureux.

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

Ayant terminé de nettoyer la table de bar, j’allais me retourner pour m’occuper de la dernière cliente, qui n’était personne d’autres que ma directrice d’école. Cependant, je fus surpris de voir une main blanche et parfaitement proportionnée se poser sur la table à mes côtés. La directrice venait de me deposer l’argent. Je la remerçiais en acquiescant de la tête pour montrer que je l’avais vu et entendu. Puis, je voulus récupérer l’argent, je frôlais dès lors sa main l’espace d’une demi seconde, une demi seconde qui me fit quelque peu frissonait. Moi qui n’avait aucun sentiment pour autrui, je me sentais bien différent en sa présence. Je souhaitais son départ, rapide et de suite. Mais soudainement, moi qui pensais qu’elle allait repartir aussitôt qu’elle avait deposé ce qu’elle devait régler, elle rouvrit la bouche pour déclamer un discours auquel je ne m’attendais pas.

“-Merci. Et désolée pour le dérangement. J’ignorais que vous étiez employé ici pour les vacances. J’espère que tout se passe bien néamoins.”

Ne pouvait-elle pas me foutre la paix plutôt que de rester à côté de moi? Je ne comprenais pas ce saut de haine moi même. Je ne savais pas pourquoi je réagissais de la sorte. La minute précédente je me sentais presque proche de ma directrice d’école et là je ne voulais qu’une chose la baffer pour être venu au bar tandis que je travaillais. Je ne voulais pas lui répondre de suite, de peur d’être agressif dans ma reaction. J’attendais un peu plus… Puis, la sentant repartir, je la retenais par le poignet et la lâchais aussitôt.

“-Madame. J’aurais besoin d’une faveur. Pourriez-vous faire en sorte que je travaille le weekend à Pré Au Lard? Je pense que financièrement mon année à Poudlard va être difficile voyez-vous.”

J’avais craché tout ceci sans m’en rendre nécessairement compte. Seulement à la fin de mon discours je réalisais ce qui venait tout juste de sortir de ma bouche. Je ne me reconnaissais pas là. Victor Jullian était de retour pour me jouer des tours. Ne me laissera-t-il jamais tranquille? C’était moi, le véritable moi, le moi que tout le monde veut me cacher. C’était frustrant, frustrant de ne pouvoir controller son corps et son esprit tout entier. Il allait me falloir du temps, du temps pour prouver à tous que je n’étais pas la personne qu’ils pensaient que j’étais. Je voulais survivre, survivre dans ce monde et renaître comme un autre homme et prouvais à tout le monde que sans rien on pouvait se relever en homme reconnu et aimé de tous. Ma famille me manquait, on oubliait bien souvent que j’avais toujours vécu sans elle.

Je ne faisais que la regarder, la fixer. La directrice ne disait rien, elle semblait choquer par le contact physique que l’on venait d’avoir. Pour ma part, j’avais juste été surpris par ma soudaine réaction et surtout par la douceur de ses mains. J’aurais voulu les retoucher, mais le risque était plus grand que la tentation. Je la fixais, n’ayant pas peur de soutenir son regard. J’avais l’impression de la mettre mal à l’aise. J’éclatais de rire la voyant toute gênée. Puis, je me remis au travail et terminais de ranger les derniers verres.

“-Alors, Madame, vous avez perdu la voix?”

[Localisation]

Ayant terminé de nettoyer la table de bar, j’allais me retourner pour m’occuper de la dernière cliente, qui n’était personne d’autres que ma directrice d’école. Cependant, je fus surpris de voir une main blanche et parfaitement proportionnée se poser sur la table à mes côtés. La directrice venait de me deposer l’argent. Je la remerçiais en acquiescant de la tête pour montrer que je l’avais vu et entendu. Puis, je voulus récupérer l’argent, je frôlais dès lors sa main l’espace d’une demi seconde, une demi seconde qui me fit quelque peu frissonait. Moi qui n’avait aucun sentiment pour autrui, je me sentais bien différent en sa présence. Je souhaitais son départ, rapide et de suite. Mais soudainement, moi qui pensais qu’elle allait repartir aussitôt qu’elle avait deposé ce qu’elle devait régler, elle rouvrit la bouche pour déclamer un discours auquel je ne m’attendais pas.

“-Merci. Et désolée pour le dérangement. J’ignorais que vous étiez employé ici pour les vacances. J’espère que tout se passe bien néamoins.”

Ne pouvait-elle pas me foutre la paix plutôt que de rester à côté de moi? Je ne comprenais pas ce saut de haine moi même. Je ne savais pas pourquoi je réagissais de la sorte. La minute précédente je me sentais presque proche de ma directrice d’école et là je ne voulais qu’une chose la baffer pour être venu au bar tandis que je travaillais. Je ne voulais pas lui répondre de suite, de peur d’être agressif dans ma reaction. J’attendais un peu plus… Puis, la sentant repartir, je la retenais par le poignet et la lâchais aussitôt.

“-Madame. J’aurais besoin d’une faveur. Pourriez-vous faire en sorte que je travaille le weekend à Pré Au Lard? Je pense que financièrement mon année à Poudlard va être difficile voyez-vous.”

J’avais craché tout ceci sans m’en rendre nécessairement compte. Seulement à la fin de mon discours je réalisais ce qui venait tout juste de sortir de ma bouche. Je ne me reconnaissais pas là. Victor Jullian était de retour pour me jouer des tours. Ne me laissera-t-il jamais tranquille? C’était moi, le véritable moi, le moi que tout le monde veut me cacher. C’était frustrant, frustrant de ne pouvoir controller son corps et son esprit tout entier. Il allait me falloir du temps, du temps pour prouver à tous que je n’étais pas la personne qu’ils pensaient que j’étais. Je voulais survivre, survivre dans ce monde et renaître comme un autre homme et prouvais à tout le monde que sans rien on pouvait se relever en homme reconnu et aimé de tous. Ma famille me manquait, on oubliait bien souvent que j’avais toujours vécu sans elle.

Je ne faisais que la regarder, la fixer. La directrice ne disait rien, elle semblait choquer par le contact physique que l’on venait d’avoir. Pour ma part, j’avais juste été surpris par ma soudaine réaction et surtout par la douceur de ses mains. J’aurais voulu les retoucher, mais le risque était plus grand que la tentation. Je la fixais, n’ayant pas peur de soutenir son regard. J’avais l’impression de la mettre mal à l’aise. J’éclatais de rire la voyant toute gênée. Puis, je me remis au travail et terminais de ranger les derniers verres.

“-Alors, Madame, vous avez perdu la voix?”

[Nb de messages]

Ayant terminé de nettoyer la table de bar, j’allais me retourner pour m’occuper de la dernière cliente, qui n’était personne d’autres que ma directrice d’école. Cependant, je fus surpris de voir une main blanche et parfaitement proportionnée se poser sur la table à mes côtés. La directrice venait de me deposer l’argent. Je la remerçiais en acquiescant de la tête pour montrer que je l’avais vu et entendu. Puis, je voulus récupérer l’argent, je frôlais dès lors sa main l’espace d’une demi seconde, une demi seconde qui me fit quelque peu frissonait. Moi qui n’avait aucun sentiment pour autrui, je me sentais bien différent en sa présence. Je souhaitais son départ, rapide et de suite. Mais soudainement, moi qui pensais qu’elle allait repartir aussitôt qu’elle avait deposé ce qu’elle devait régler, elle rouvrit la bouche pour déclamer un discours auquel je ne m’attendais pas.

“-Merci. Et désolée pour le dérangement. J’ignorais que vous étiez employé ici pour les vacances. J’espère que tout se passe bien néamoins.”

Ne pouvait-elle pas me foutre la paix plutôt que de rester à côté de moi? Je ne comprenais pas ce saut de haine moi même. Je ne savais pas pourquoi je réagissais de la sorte. La minute précédente je me sentais presque proche de ma directrice d’école et là je ne voulais qu’une chose la baffer pour être venu au bar tandis que je travaillais. Je ne voulais pas lui répondre de suite, de peur d’être agressif dans ma reaction. J’attendais un peu plus… Puis, la sentant repartir, je la retenais par le poignet et la lâchais aussitôt.

“-Madame. J’aurais besoin d’une faveur. Pourriez-vous faire en sorte que je travaille le weekend à Pré Au Lard? Je pense que financièrement mon année à Poudlard va être difficile voyez-vous.”

J’avais craché tout ceci sans m’en rendre nécessairement compte. Seulement à la fin de mon discours je réalisais ce qui venait tout juste de sortir de ma bouche. Je ne me reconnaissais pas là. Victor Jullian était de retour pour me jouer des tours. Ne me laissera-t-il jamais tranquille? C’était moi, le véritable moi, le moi que tout le monde veut me cacher. C’était frustrant, frustrant de ne pouvoir controller son corps et son esprit tout entier. Il allait me falloir du temps, du temps pour prouver à tous que je n’étais pas la personne qu’ils pensaient que j’étais. Je voulais survivre, survivre dans ce monde et renaître comme un autre homme et prouvais à tout le monde que sans rien on pouvait se relever en homme reconnu et aimé de tous. Ma famille me manquait, on oubliait bien souvent que j’avais toujours vécu sans elle.

Je ne faisais que la regarder, la fixer. La directrice ne disait rien, elle semblait choquer par le contact physique que l’on venait d’avoir. Pour ma part, j’avais juste été surpris par ma soudaine réaction et surtout par la douceur de ses mains. J’aurais voulu les retoucher, mais le risque était plus grand que la tentation. Je la fixais, n’ayant pas peur de soutenir son regard. J’avais l’impression de la mettre mal à l’aise. J’éclatais de rire la voyant toute gênée. Puis, je me remis au travail et terminais de ranger les derniers verres.

“-Alors, Madame, vous avez perdu la voix?”

[Bourse]

Ayant terminé de nettoyer la table de bar, j’allais me retourner pour m’occuper de la dernière cliente, qui n’était personne d’autres que ma directrice d’école. Cependant, je fus surpris de voir une main blanche et parfaitement proportionnée se poser sur la table à mes côtés. La directrice venait de me deposer l’argent. Je la remerçiais en acquiescant de la tête pour montrer que je l’avais vu et entendu. Puis, je voulus récupérer l’argent, je frôlais dès lors sa main l’espace d’une demi seconde, une demi seconde qui me fit quelque peu frissonait. Moi qui n’avait aucun sentiment pour autrui, je me sentais bien différent en sa présence. Je souhaitais son départ, rapide et de suite. Mais soudainement, moi qui pensais qu’elle allait repartir aussitôt qu’elle avait deposé ce qu’elle devait régler, elle rouvrit la bouche pour déclamer un discours auquel je ne m’attendais pas.

“-Merci. Et désolée pour le dérangement. J’ignorais que vous étiez employé ici pour les vacances. J’espère que tout se passe bien néamoins.”

Ne pouvait-elle pas me foutre la paix plutôt que de rester à côté de moi? Je ne comprenais pas ce saut de haine moi même. Je ne savais pas pourquoi je réagissais de la sorte. La minute précédente je me sentais presque proche de ma directrice d’école et là je ne voulais qu’une chose la baffer pour être venu au bar tandis que je travaillais. Je ne voulais pas lui répondre de suite, de peur d’être agressif dans ma reaction. J’attendais un peu plus… Puis, la sentant repartir, je la retenais par le poignet et la lâchais aussitôt.

“-Madame. J’aurais besoin d’une faveur. Pourriez-vous faire en sorte que je travaille le weekend à Pré Au Lard? Je pense que financièrement mon année à Poudlard va être difficile voyez-vous.”

J’avais craché tout ceci sans m’en rendre nécessairement compte. Seulement à la fin de mon discours je réalisais ce qui venait tout juste de sortir de ma bouche. Je ne me reconnaissais pas là. Victor Jullian était de retour pour me jouer des tours. Ne me laissera-t-il jamais tranquille? C’était moi, le véritable moi, le moi que tout le monde veut me cacher. C’était frustrant, frustrant de ne pouvoir controller son corps et son esprit tout entier. Il allait me falloir du temps, du temps pour prouver à tous que je n’étais pas la personne qu’ils pensaient que j’étais. Je voulais survivre, survivre dans ce monde et renaître comme un autre homme et prouvais à tout le monde que sans rien on pouvait se relever en homme reconnu et aimé de tous. Ma famille me manquait, on oubliait bien souvent que j’avais toujours vécu sans elle.

Je ne faisais que la regarder, la fixer. La directrice ne disait rien, elle semblait choquer par le contact physique que l’on venait d’avoir. Pour ma part, j’avais juste été surpris par ma soudaine réaction et surtout par la douceur de ses mains. J’aurais voulu les retoucher, mais le risque était plus grand que la tentation. Je la fixais, n’ayant pas peur de soutenir son regard. J’avais l’impression de la mettre mal à l’aise. J’éclatais de rire la voyant toute gênée. Puis, je me remis au travail et terminais de ranger les derniers verres.

“-Alors, Madame, vous avez perdu la voix?”

[Données]

Ayant terminé de nettoyer la table de bar, j’allais me retourner pour m’occuper de la dernière cliente, qui n’était personne d’autres que ma directrice d’école. Cependant, je fus surpris de voir une main blanche et parfaitement proportionnée se poser sur la table à mes côtés. La directrice venait de me deposer l’argent. Je la remerçiais en acquiescant de la tête pour montrer que je l’avais vu et entendu. Puis, je voulus récupérer l’argent, je frôlais dès lors sa main l’espace d’une demi seconde, une demi seconde qui me fit quelque peu frissonait. Moi qui n’avait aucun sentiment pour autrui, je me sentais bien différent en sa présence. Je souhaitais son départ, rapide et de suite. Mais soudainement, moi qui pensais qu’elle allait repartir aussitôt qu’elle avait deposé ce qu’elle devait régler, elle rouvrit la bouche pour déclamer un discours auquel je ne m’attendais pas.

“-Merci. Et désolée pour le dérangement. J’ignorais que vous étiez employé ici pour les vacances. J’espère que tout se passe bien néamoins.”

Ne pouvait-elle pas me foutre la paix plutôt que de rester à côté de moi? Je ne comprenais pas ce saut de haine moi même. Je ne savais pas pourquoi je réagissais de la sorte. La minute précédente je me sentais presque proche de ma directrice d’école et là je ne voulais qu’une chose la baffer pour être venu au bar tandis que je travaillais. Je ne voulais pas lui répondre de suite, de peur d’être agressif dans ma reaction. J’attendais un peu plus… Puis, la sentant repartir, je la retenais par le poignet et la lâchais aussitôt.

“-Madame. J’aurais besoin d’une faveur. Pourriez-vous faire en sorte que je travaille le weekend à Pré Au Lard? Je pense que financièrement mon année à Poudlard va être difficile voyez-vous.”

J’avais craché tout ceci sans m’en rendre nécessairement compte. Seulement à la fin de mon discours je réalisais ce qui venait tout juste de sortir de ma bouche. Je ne me reconnaissais pas là. Victor Jullian était de retour pour me jouer des tours. Ne me laissera-t-il jamais tranquille? C’était moi, le véritable moi, le moi que tout le monde veut me cacher. C’était frustrant, frustrant de ne pouvoir controller son corps et son esprit tout entier. Il allait me falloir du temps, du temps pour prouver à tous que je n’étais pas la personne qu’ils pensaient que j’étais. Je voulais survivre, survivre dans ce monde et renaître comme un autre homme et prouvais à tout le monde que sans rien on pouvait se relever en homme reconnu et aimé de tous. Ma famille me manquait, on oubliait bien souvent que j’avais toujours vécu sans elle.

Je ne faisais que la regarder, la fixer. La directrice ne disait rien, elle semblait choquer par le contact physique que l’on venait d’avoir. Pour ma part, j’avais juste été surpris par ma soudaine réaction et surtout par la douceur de ses mains. J’aurais voulu les retoucher, mais le risque était plus grand que la tentation. Je la fixais, n’ayant pas peur de soutenir son regard. J’avais l’impression de la mettre mal à l’aise. J’éclatais de rire la voyant toute gênée. Puis, je me remis au travail et terminais de ranger les derniers verres.

“-Alors, Madame, vous avez perdu la voix?”

[Expérience]

Ayant terminé de nettoyer la table de bar, j’allais me retourner pour m’occuper de la dernière cliente, qui n’était personne d’autres que ma directrice d’école. Cependant, je fus surpris de voir une main blanche et parfaitement proportionnée se poser sur la table à mes côtés. La directrice venait de me deposer l’argent. Je la remerçiais en acquiescant de la tête pour montrer que je l’avais vu et entendu. Puis, je voulus récupérer l’argent, je frôlais dès lors sa main l’espace d’une demi seconde, une demi seconde qui me fit quelque peu frissonait. Moi qui n’avait aucun sentiment pour autrui, je me sentais bien différent en sa présence. Je souhaitais son départ, rapide et de suite. Mais soudainement, moi qui pensais qu’elle allait repartir aussitôt qu’elle avait deposé ce qu’elle devait régler, elle rouvrit la bouche pour déclamer un discours auquel je ne m’attendais pas.

“-Merci. Et désolée pour le dérangement. J’ignorais que vous étiez employé ici pour les vacances. J’espère que tout se passe bien néamoins.”

Ne pouvait-elle pas me foutre la paix plutôt que de rester à côté de moi? Je ne comprenais pas ce saut de haine moi même. Je ne savais pas pourquoi je réagissais de la sorte. La minute précédente je me sentais presque proche de ma directrice d’école et là je ne voulais qu’une chose la baffer pour être venu au bar tandis que je travaillais. Je ne voulais pas lui répondre de suite, de peur d’être agressif dans ma reaction. J’attendais un peu plus… Puis, la sentant repartir, je la retenais par le poignet et la lâchais aussitôt.

“-Madame. J’aurais besoin d’une faveur. Pourriez-vous faire en sorte que je travaille le weekend à Pré Au Lard? Je pense que financièrement mon année à Poudlard va être difficile voyez-vous.”

J’avais craché tout ceci sans m’en rendre nécessairement compte. Seulement à la fin de mon discours je réalisais ce qui venait tout juste de sortir de ma bouche. Je ne me reconnaissais pas là. Victor Jullian était de retour pour me jouer des tours. Ne me laissera-t-il jamais tranquille? C’était moi, le véritable moi, le moi que tout le monde veut me cacher. C’était frustrant, frustrant de ne pouvoir controller son corps et son esprit tout entier. Il allait me falloir du temps, du temps pour prouver à tous que je n’étais pas la personne qu’ils pensaient que j’étais. Je voulais survivre, survivre dans ce monde et renaître comme un autre homme et prouvais à tout le monde que sans rien on pouvait se relever en homme reconnu et aimé de tous. Ma famille me manquait, on oubliait bien souvent que j’avais toujours vécu sans elle.

Je ne faisais que la regarder, la fixer. La directrice ne disait rien, elle semblait choquer par le contact physique que l’on venait d’avoir. Pour ma part, j’avais juste été surpris par ma soudaine réaction et surtout par la douceur de ses mains. J’aurais voulu les retoucher, mais le risque était plus grand que la tentation. Je la fixais, n’ayant pas peur de soutenir son regard. J’avais l’impression de la mettre mal à l’aise. J’éclatais de rire la voyant toute gênée. Puis, je me remis au travail et terminais de ranger les derniers verres.

“-Alors, Madame, vous avez perdu la voix?”

[— ADMINISTRATRICE —]

Miki s'était figée dès lors qu'elle avait senti les doigts du jeune homme se refermer sur son poignet. Elle ne supportait toujours pas être agrippée de la sorte, surtout pas quelqu'un qu'elle connaisse à peine, comme c'était le cas pour un élève, notamment. Heureusement pour lui, Dan avait lâché aussitôt son emprise et la directrice s'était retrouvée libre. Au final tant mieux, elle ne l'aurait certes pas amoché trop sérieusement, mais certaines fois les réflexes qu'elle avait acquis durant son enfance se montraient vivaces, et il eut été dommage qu'elle n'envoie un de ses étudiants à l'hôpital avec diverses fractures juste pour l'avoir saisi un peu trop précipitamment. Ses nombreuses années en Angleterre n'avaient pas réellement fait disparaitre son éducation japonaise et rigide, bien qu'il était indéniable qu'elle se soit beaucoup détendue sur de nombreux plans. Celui du contact physique demeurait sensible néanmoins.

La voix de son élève la ramena à la réalité, et sa demande, tout en étant inhabituelle n'était clairement pas une surprise pour la jeune femme. Il avait toujours quitté l'école lors des vacances et elle savait qu'il lui arrivait souvent de travailler durant celles ci. De même, elle savait qu'il n'était pas riche, pour ne pas dire plus. Comme toujours posée, Miki commença à étudier la demande. Elle n'avait rien de fantasque, et permettrait surement à Dan de vivre un peu plus sereinement. De plus, il était majeur aux yeux de la loi et à condition d'aménager ses horaires pour qu'il puisse suivre ses cours sans pâtir de cette surcharge de travail. La japonaise ne voyait donc aucune raison valable de ne pas au moins donner une chance pour voir si cela pouvait marcher.

Guère habitué à voir sa directrice directement Dan s'étonna du temps de réponse. Pour ceux qui ne la fréquentait pas souvent, il était vrai que son habitude de souvent réfléchir avant de donner une réponse mûrie pouvait surprendre.

"Pardon." S'excusa t-elle rapidement.

"Je pense que oui, il est possible de s'arranger pour que vous puissiez travailler les weekends. Bien sur il faudra aménager vos horaires pour que cela n'empiète pas sur vos études et ne se répercute pas sur vos notes. De plus, je pense instaurer un couvre feu pour votre retour le soir, on ne sait jamais vu ce qu'il se passe en ce moment. Bien que majeur, vous restez un étudiant sous ma responsabilité, avec tout ce que cela peut impliquer ..."

Miki commençait à envisager de lui faire signer une décharge, bien qu'il n'y en ait certes pas réellement besoin, elle connaissait trop bien l'administration pour vouloir risquer de jouer avec. Surtout vu l'époque troublée que connaissait l'Angleterre.

[Nb de messages]

Miki s'était figée dès lors qu'elle avait senti les doigts du jeune homme se refermer sur son poignet. Elle ne supportait toujours pas être agrippée de la sorte, surtout pas quelqu'un qu'elle connaisse à peine, comme c'était le cas pour un élève, notamment. Heureusement pour lui, Dan avait lâché aussitôt son emprise et la directrice s'était retrouvée libre. Au final tant mieux, elle ne l'aurait certes pas amoché trop sérieusement, mais certaines fois les réflexes qu'elle avait acquis durant son enfance se montraient vivaces, et il eut été dommage qu'elle n'envoie un de ses étudiants à l'hôpital avec diverses fractures juste pour l'avoir saisi un peu trop précipitamment. Ses nombreuses années en Angleterre n'avaient pas réellement fait disparaitre son éducation japonaise et rigide, bien qu'il était indéniable qu'elle se soit beaucoup détendue sur de nombreux plans. Celui du contact physique demeurait sensible néanmoins.

La voix de son élève la ramena à la réalité, et sa demande, tout en étant inhabituelle n'était clairement pas une surprise pour la jeune femme. Il avait toujours quitté l'école lors des vacances et elle savait qu'il lui arrivait souvent de travailler durant celles ci. De même, elle savait qu'il n'était pas riche, pour ne pas dire plus. Comme toujours posée, Miki commença à étudier la demande. Elle n'avait rien de fantasque, et permettrait surement à Dan de vivre un peu plus sereinement. De plus, il était majeur aux yeux de la loi et à condition d'aménager ses horaires pour qu'il puisse suivre ses cours sans pâtir de cette surcharge de travail. La japonaise ne voyait donc aucune raison valable de ne pas au moins donner une chance pour voir si cela pouvait marcher.

Guère habitué à voir sa directrice directement Dan s'étonna du temps de réponse. Pour ceux qui ne la fréquentait pas souvent, il était vrai que son habitude de souvent réfléchir avant de donner une réponse mûrie pouvait surprendre.

"Pardon." S'excusa t-elle rapidement.

"Je pense que oui, il est possible de s'arranger pour que vous puissiez travailler les weekends. Bien sur il faudra aménager vos horaires pour que cela n'empiète pas sur vos études et ne se répercute pas sur vos notes. De plus, je pense instaurer un couvre feu pour votre retour le soir, on ne sait jamais vu ce qu'il se passe en ce moment. Bien que majeur, vous restez un étudiant sous ma responsabilité, avec tout ce que cela peut impliquer ..."

Miki commençait à envisager de lui faire signer une décharge, bien qu'il n'y en ait certes pas réellement besoin, elle connaissait trop bien l'administration pour vouloir risquer de jouer avec. Surtout vu l'époque troublée que connaissait l'Angleterre.

[Bourse]

Miki s'était figée dès lors qu'elle avait senti les doigts du jeune homme se refermer sur son poignet. Elle ne supportait toujours pas être agrippée de la sorte, surtout pas quelqu'un qu'elle connaisse à peine, comme c'était le cas pour un élève, notamment. Heureusement pour lui, Dan avait lâché aussitôt son emprise et la directrice s'était retrouvée libre. Au final tant mieux, elle ne l'aurait certes pas amoché trop sérieusement, mais certaines fois les réflexes qu'elle avait acquis durant son enfance se montraient vivaces, et il eut été dommage qu'elle n'envoie un de ses étudiants à l'hôpital avec diverses fractures juste pour l'avoir saisi un peu trop précipitamment. Ses nombreuses années en Angleterre n'avaient pas réellement fait disparaitre son éducation japonaise et rigide, bien qu'il était indéniable qu'elle se soit beaucoup détendue sur de nombreux plans. Celui du contact physique demeurait sensible néanmoins.

La voix de son élève la ramena à la réalité, et sa demande, tout en étant inhabituelle n'était clairement pas une surprise pour la jeune femme. Il avait toujours quitté l'école lors des vacances et elle savait qu'il lui arrivait souvent de travailler durant celles ci. De même, elle savait qu'il n'était pas riche, pour ne pas dire plus. Comme toujours posée, Miki commença à étudier la demande. Elle n'avait rien de fantasque, et permettrait surement à Dan de vivre un peu plus sereinement. De plus, il était majeur aux yeux de la loi et à condition d'aménager ses horaires pour qu'il puisse suivre ses cours sans pâtir de cette surcharge de travail. La japonaise ne voyait donc aucune raison valable de ne pas au moins donner une chance pour voir si cela pouvait marcher.

Guère habitué à voir sa directrice directement Dan s'étonna du temps de réponse. Pour ceux qui ne la fréquentait pas souvent, il était vrai que son habitude de souvent réfléchir avant de donner une réponse mûrie pouvait surprendre.

"Pardon." S'excusa t-elle rapidement.

"Je pense que oui, il est possible de s'arranger pour que vous puissiez travailler les weekends. Bien sur il faudra aménager vos horaires pour que cela n'empiète pas sur vos études et ne se répercute pas sur vos notes. De plus, je pense instaurer un couvre feu pour votre retour le soir, on ne sait jamais vu ce qu'il se passe en ce moment. Bien que majeur, vous restez un étudiant sous ma responsabilité, avec tout ce que cela peut impliquer ..."

Miki commençait à envisager de lui faire signer une décharge, bien qu'il n'y en ait certes pas réellement besoin, elle connaissait trop bien l'administration pour vouloir risquer de jouer avec. Surtout vu l'époque troublée que connaissait l'Angleterre.

[Données]

Miki s'était figée dès lors qu'elle avait senti les doigts du jeune homme se refermer sur son poignet. Elle ne supportait toujours pas être agrippée de la sorte, surtout pas quelqu'un qu'elle connaisse à peine, comme c'était le cas pour un élève, notamment. Heureusement pour lui, Dan avait lâché aussitôt son emprise et la directrice s'était retrouvée libre. Au final tant mieux, elle ne l'aurait certes pas amoché trop sérieusement, mais certaines fois les réflexes qu'elle avait acquis durant son enfance se montraient vivaces, et il eut été dommage qu'elle n'envoie un de ses étudiants à l'hôpital avec diverses fractures juste pour l'avoir saisi un peu trop précipitamment. Ses nombreuses années en Angleterre n'avaient pas réellement fait disparaitre son éducation japonaise et rigide, bien qu'il était indéniable qu'elle se soit beaucoup détendue sur de nombreux plans. Celui du contact physique demeurait sensible néanmoins.

La voix de son élève la ramena à la réalité, et sa demande, tout en étant inhabituelle n'était clairement pas une surprise pour la jeune femme. Il avait toujours quitté l'école lors des vacances et elle savait qu'il lui arrivait souvent de travailler durant celles ci. De même, elle savait qu'il n'était pas riche, pour ne pas dire plus. Comme toujours posée, Miki commença à étudier la demande. Elle n'avait rien de fantasque, et permettrait surement à Dan de vivre un peu plus sereinement. De plus, il était majeur aux yeux de la loi et à condition d'aménager ses horaires pour qu'il puisse suivre ses cours sans pâtir de cette surcharge de travail. La japonaise ne voyait donc aucune raison valable de ne pas au moins donner une chance pour voir si cela pouvait marcher.

Guère habitué à voir sa directrice directement Dan s'étonna du temps de réponse. Pour ceux qui ne la fréquentait pas souvent, il était vrai que son habitude de souvent réfléchir avant de donner une réponse mûrie pouvait surprendre.

"Pardon." S'excusa t-elle rapidement.

"Je pense que oui, il est possible de s'arranger pour que vous puissiez travailler les weekends. Bien sur il faudra aménager vos horaires pour que cela n'empiète pas sur vos études et ne se répercute pas sur vos notes. De plus, je pense instaurer un couvre feu pour votre retour le soir, on ne sait jamais vu ce qu'il se passe en ce moment. Bien que majeur, vous restez un étudiant sous ma responsabilité, avec tout ce que cela peut impliquer ..."

Miki commençait à envisager de lui faire signer une décharge, bien qu'il n'y en ait certes pas réellement besoin, elle connaissait trop bien l'administration pour vouloir risquer de jouer avec. Surtout vu l'époque troublée que connaissait l'Angleterre.

[Expérience]

Miki s'était figée dès lors qu'elle avait senti les doigts du jeune homme se refermer sur son poignet. Elle ne supportait toujours pas être agrippée de la sorte, surtout pas quelqu'un qu'elle connaisse à peine, comme c'était le cas pour un élève, notamment. Heureusement pour lui, Dan avait lâché aussitôt son emprise et la directrice s'était retrouvée libre. Au final tant mieux, elle ne l'aurait certes pas amoché trop sérieusement, mais certaines fois les réflexes qu'elle avait acquis durant son enfance se montraient vivaces, et il eut été dommage qu'elle n'envoie un de ses étudiants à l'hôpital avec diverses fractures juste pour l'avoir saisi un peu trop précipitamment. Ses nombreuses années en Angleterre n'avaient pas réellement fait disparaitre son éducation japonaise et rigide, bien qu'il était indéniable qu'elle se soit beaucoup détendue sur de nombreux plans. Celui du contact physique demeurait sensible néanmoins.

La voix de son élève la ramena à la réalité, et sa demande, tout en étant inhabituelle n'était clairement pas une surprise pour la jeune femme. Il avait toujours quitté l'école lors des vacances et elle savait qu'il lui arrivait souvent de travailler durant celles ci. De même, elle savait qu'il n'était pas riche, pour ne pas dire plus. Comme toujours posée, Miki commença à étudier la demande. Elle n'avait rien de fantasque, et permettrait surement à Dan de vivre un peu plus sereinement. De plus, il était majeur aux yeux de la loi et à condition d'aménager ses horaires pour qu'il puisse suivre ses cours sans pâtir de cette surcharge de travail. La japonaise ne voyait donc aucune raison valable de ne pas au moins donner une chance pour voir si cela pouvait marcher.

Guère habitué à voir sa directrice directement Dan s'étonna du temps de réponse. Pour ceux qui ne la fréquentait pas souvent, il était vrai que son habitude de souvent réfléchir avant de donner une réponse mûrie pouvait surprendre.

"Pardon." S'excusa t-elle rapidement.

"Je pense que oui, il est possible de s'arranger pour que vous puissiez travailler les weekends. Bien sur il faudra aménager vos horaires pour que cela n'empiète pas sur vos études et ne se répercute pas sur vos notes. De plus, je pense instaurer un couvre feu pour votre retour le soir, on ne sait jamais vu ce qu'il se passe en ce moment. Bien que majeur, vous restez un étudiant sous ma responsabilité, avec tout ce que cela peut impliquer ..."

Miki commençait à envisager de lui faire signer une décharge, bien qu'il n'y en ait certes pas réellement besoin, elle connaissait trop bien l'administration pour vouloir risquer de jouer avec. Surtout vu l'époque troublée que connaissait l'Angleterre.

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

La directrice de l’école de Poudlard venait d’accepter ma demande. J’allais donc pouvoir (enfin) travailler le weekend durant l’année scolaire, et à ce qu’elle sous entendait la semaine je pourrais également sortir, n’était-ce pas une merveilleuse nouvelle tout de même ? Je voulais me jeter dans les bras de la directrice pour lui montrer à quel point j’étais enchanté par sa décision, mais je me freinais rapidement en me remettant à l’esprit qu’il s’agissait de ma directrice et non d’une camarade de classe ou bien une sorcière banale. Bien sûr, je me sentais encore quelque peu gamin du fait de ce rappel : je me trouvais sous sa responsabilité malgré le fait que j’étais majeur. Je n’aimais pas trop cette manière qu’avaient les adultes de me prendre de haut, comme si j’étais encore un enfant. Ce qu’ils ne comprenaient pas c’est que j’étais un adulte, et ce depuis que j’avais appris que je devais vivre grâce à moi même et moi seul. De temps à autre je pouvais rencontrer des gens sympathiques sur le chemin qui pouvaient me proposer leur aide, tout comme venait de le faire ma directrice d’école.

« -Bon, j’y vais Dan’. Je te laisse finir les trois verres qui restent ? » Déclara un autre serveur avec qui je travaillais.

« -Ok ! A demain ! »

Je finissais de laver les verres, dans le même temps je me prêtais à taper la discussion à la directrice puisqu’elle ne semblait pas vouloir quitter le pub.

« -Alors ? Vous passez de bonnes vacances Madame ? »

Je séchais les derniers verres d’un coup de baguette puis continuer la discussions en enlevant mon tablier.

« -Je vais aller boire un verre dans un autre bar qui est ouvert plus tard le soir. Vous êtes la bienvenue madame. » Dis en tendant mon bras tel un gentleman, un ‘sourire’ sur les lèvres (rappelez-vous bien je ne sais PAS sourire).

[Localisation]

La directrice de l’école de Poudlard venait d’accepter ma demande. J’allais donc pouvoir (enfin) travailler le weekend durant l’année scolaire, et à ce qu’elle sous entendait la semaine je pourrais également sortir, n’était-ce pas une merveilleuse nouvelle tout de même ? Je voulais me jeter dans les bras de la directrice pour lui montrer à quel point j’étais enchanté par sa décision, mais je me freinais rapidement en me remettant à l’esprit qu’il s’agissait de ma directrice et non d’une camarade de classe ou bien une sorcière banale. Bien sûr, je me sentais encore quelque peu gamin du fait de ce rappel : je me trouvais sous sa responsabilité malgré le fait que j’étais majeur. Je n’aimais pas trop cette manière qu’avaient les adultes de me prendre de haut, comme si j’étais encore un enfant. Ce qu’ils ne comprenaient pas c’est que j’étais un adulte, et ce depuis que j’avais appris que je devais vivre grâce à moi même et moi seul. De temps à autre je pouvais rencontrer des gens sympathiques sur le chemin qui pouvaient me proposer leur aide, tout comme venait de le faire ma directrice d’école.

« -Bon, j’y vais Dan’. Je te laisse finir les trois verres qui restent ? » Déclara un autre serveur avec qui je travaillais.

« -Ok ! A demain ! »

Je finissais de laver les verres, dans le même temps je me prêtais à taper la discussion à la directrice puisqu’elle ne semblait pas vouloir quitter le pub.

« -Alors ? Vous passez de bonnes vacances Madame ? »

Je séchais les derniers verres d’un coup de baguette puis continuer la discussions en enlevant mon tablier.

« -Je vais aller boire un verre dans un autre bar qui est ouvert plus tard le soir. Vous êtes la bienvenue madame. » Dis en tendant mon bras tel un gentleman, un ‘sourire’ sur les lèvres (rappelez-vous bien je ne sais PAS sourire).

[Nb de messages]

La directrice de l’école de Poudlard venait d’accepter ma demande. J’allais donc pouvoir (enfin) travailler le weekend durant l’année scolaire, et à ce qu’elle sous entendait la semaine je pourrais également sortir, n’était-ce pas une merveilleuse nouvelle tout de même ? Je voulais me jeter dans les bras de la directrice pour lui montrer à quel point j’étais enchanté par sa décision, mais je me freinais rapidement en me remettant à l’esprit qu’il s’agissait de ma directrice et non d’une camarade de classe ou bien une sorcière banale. Bien sûr, je me sentais encore quelque peu gamin du fait de ce rappel : je me trouvais sous sa responsabilité malgré le fait que j’étais majeur. Je n’aimais pas trop cette manière qu’avaient les adultes de me prendre de haut, comme si j’étais encore un enfant. Ce qu’ils ne comprenaient pas c’est que j’étais un adulte, et ce depuis que j’avais appris que je devais vivre grâce à moi même et moi seul. De temps à autre je pouvais rencontrer des gens sympathiques sur le chemin qui pouvaient me proposer leur aide, tout comme venait de le faire ma directrice d’école.

« -Bon, j’y vais Dan’. Je te laisse finir les trois verres qui restent ? » Déclara un autre serveur avec qui je travaillais.

« -Ok ! A demain ! »

Je finissais de laver les verres, dans le même temps je me prêtais à taper la discussion à la directrice puisqu’elle ne semblait pas vouloir quitter le pub.

« -Alors ? Vous passez de bonnes vacances Madame ? »

Je séchais les derniers verres d’un coup de baguette puis continuer la discussions en enlevant mon tablier.

« -Je vais aller boire un verre dans un autre bar qui est ouvert plus tard le soir. Vous êtes la bienvenue madame. » Dis en tendant mon bras tel un gentleman, un ‘sourire’ sur les lèvres (rappelez-vous bien je ne sais PAS sourire).

[Bourse]

La directrice de l’école de Poudlard venait d’accepter ma demande. J’allais donc pouvoir (enfin) travailler le weekend durant l’année scolaire, et à ce qu’elle sous entendait la semaine je pourrais également sortir, n’était-ce pas une merveilleuse nouvelle tout de même ? Je voulais me jeter dans les bras de la directrice pour lui montrer à quel point j’étais enchanté par sa décision, mais je me freinais rapidement en me remettant à l’esprit qu’il s’agissait de ma directrice et non d’une camarade de classe ou bien une sorcière banale. Bien sûr, je me sentais encore quelque peu gamin du fait de ce rappel : je me trouvais sous sa responsabilité malgré le fait que j’étais majeur. Je n’aimais pas trop cette manière qu’avaient les adultes de me prendre de haut, comme si j’étais encore un enfant. Ce qu’ils ne comprenaient pas c’est que j’étais un adulte, et ce depuis que j’avais appris que je devais vivre grâce à moi même et moi seul. De temps à autre je pouvais rencontrer des gens sympathiques sur le chemin qui pouvaient me proposer leur aide, tout comme venait de le faire ma directrice d’école.

« -Bon, j’y vais Dan’. Je te laisse finir les trois verres qui restent ? » Déclara un autre serveur avec qui je travaillais.

« -Ok ! A demain ! »

Je finissais de laver les verres, dans le même temps je me prêtais à taper la discussion à la directrice puisqu’elle ne semblait pas vouloir quitter le pub.

« -Alors ? Vous passez de bonnes vacances Madame ? »

Je séchais les derniers verres d’un coup de baguette puis continuer la discussions en enlevant mon tablier.

« -Je vais aller boire un verre dans un autre bar qui est ouvert plus tard le soir. Vous êtes la bienvenue madame. » Dis en tendant mon bras tel un gentleman, un ‘sourire’ sur les lèvres (rappelez-vous bien je ne sais PAS sourire).

[Données]

La directrice de l’école de Poudlard venait d’accepter ma demande. J’allais donc pouvoir (enfin) travailler le weekend durant l’année scolaire, et à ce qu’elle sous entendait la semaine je pourrais également sortir, n’était-ce pas une merveilleuse nouvelle tout de même ? Je voulais me jeter dans les bras de la directrice pour lui montrer à quel point j’étais enchanté par sa décision, mais je me freinais rapidement en me remettant à l’esprit qu’il s’agissait de ma directrice et non d’une camarade de classe ou bien une sorcière banale. Bien sûr, je me sentais encore quelque peu gamin du fait de ce rappel : je me trouvais sous sa responsabilité malgré le fait que j’étais majeur. Je n’aimais pas trop cette manière qu’avaient les adultes de me prendre de haut, comme si j’étais encore un enfant. Ce qu’ils ne comprenaient pas c’est que j’étais un adulte, et ce depuis que j’avais appris que je devais vivre grâce à moi même et moi seul. De temps à autre je pouvais rencontrer des gens sympathiques sur le chemin qui pouvaient me proposer leur aide, tout comme venait de le faire ma directrice d’école.

« -Bon, j’y vais Dan’. Je te laisse finir les trois verres qui restent ? » Déclara un autre serveur avec qui je travaillais.

« -Ok ! A demain ! »

Je finissais de laver les verres, dans le même temps je me prêtais à taper la discussion à la directrice puisqu’elle ne semblait pas vouloir quitter le pub.

« -Alors ? Vous passez de bonnes vacances Madame ? »

Je séchais les derniers verres d’un coup de baguette puis continuer la discussions en enlevant mon tablier.

« -Je vais aller boire un verre dans un autre bar qui est ouvert plus tard le soir. Vous êtes la bienvenue madame. » Dis en tendant mon bras tel un gentleman, un ‘sourire’ sur les lèvres (rappelez-vous bien je ne sais PAS sourire).

[Expérience]

La directrice de l’école de Poudlard venait d’accepter ma demande. J’allais donc pouvoir (enfin) travailler le weekend durant l’année scolaire, et à ce qu’elle sous entendait la semaine je pourrais également sortir, n’était-ce pas une merveilleuse nouvelle tout de même ? Je voulais me jeter dans les bras de la directrice pour lui montrer à quel point j’étais enchanté par sa décision, mais je me freinais rapidement en me remettant à l’esprit qu’il s’agissait de ma directrice et non d’une camarade de classe ou bien une sorcière banale. Bien sûr, je me sentais encore quelque peu gamin du fait de ce rappel : je me trouvais sous sa responsabilité malgré le fait que j’étais majeur. Je n’aimais pas trop cette manière qu’avaient les adultes de me prendre de haut, comme si j’étais encore un enfant. Ce qu’ils ne comprenaient pas c’est que j’étais un adulte, et ce depuis que j’avais appris que je devais vivre grâce à moi même et moi seul. De temps à autre je pouvais rencontrer des gens sympathiques sur le chemin qui pouvaient me proposer leur aide, tout comme venait de le faire ma directrice d’école.

« -Bon, j’y vais Dan’. Je te laisse finir les trois verres qui restent ? » Déclara un autre serveur avec qui je travaillais.

« -Ok ! A demain ! »

Je finissais de laver les verres, dans le même temps je me prêtais à taper la discussion à la directrice puisqu’elle ne semblait pas vouloir quitter le pub.

« -Alors ? Vous passez de bonnes vacances Madame ? »

Je séchais les derniers verres d’un coup de baguette puis continuer la discussions en enlevant mon tablier.

« -Je vais aller boire un verre dans un autre bar qui est ouvert plus tard le soir. Vous êtes la bienvenue madame. » Dis en tendant mon bras tel un gentleman, un ‘sourire’ sur les lèvres (rappelez-vous bien je ne sais PAS sourire).