Discution avec Lyzandra et Quenodore [ Terminer ]

- Il serait dommage de s'être déplacer pour si peu, surtout vis à vis de Dumbledore ... irronisa-t-il

Quéndore partis déposé sa baguette sur son bureau.

- As-tu, toi, une idée de cela peut être ? demanda-t-il

— ADMINISTRATRICE —

En voyant Elidore posé sa baguette la jeune fille saisit parfaitement le message. Visiblement l'atmosphère de ce bureau n'était pas des plus studieuses, mais cela lui convenait très bien puisque de toute façon elle était incapable d'exécuter quoi que se soit de magique.
Elle vint se mettre assise sur un coin du bureau de Quenodore a qui elle tournait le dos à présent, puis elle commeça a tresser sa longue chevelure.

-Une idée... A vrai dire je ne manque pas d'idée, mais il n'y en a aucune qui soit dissible ou politiquement correcte. Bien que je ne pense pas pouvoir te choquer sur point, même si en réalité de ce point de vue là j'en sais autant sur toi que toi sur moi...

Elle tournat la tête en direction de son interlocuteur qui affichait un sourire amusé, puis sauta du bureau pour de nouveau lui faire face avant de franchir la faible distance qui les séparait. Arrivée face à lui elle passat un bras autour du coup de son compagnon et de sa main libre passat son index sur les lèvres du jeune homme.

-Nous voici donc bien avancés toi et moi... Qui plus est à cette heure de la journée, ni'mporte lequel de tes collègues pourrait venir ici ou bien un de mes camarades pourrait avoir quelques chose à te demander, il ne serait donc guère prudent d'aller plus avant...

En finissant sa phrase ses lèvres vinrent toucher celles de son professeur.

-Mais ce soir, tous le monde, sera au bal, élèves et professeur trop occupés à danseret s'amuser pour faire attention à deux absents...

Quénodore s'imaginait déjà les conséquences de leur folie amoureuse.

- Je vois que nous n'avons même plus besoin de parler ... murmura l'animagus en lui rendant son baiser. Nous avons semblerait-il les même idées ...

— ADMINISTRATRICE —

Le coeur de la jeune hongroise battait la chamade tandis que Quénodore l'embrassait tendrement, le monde autours d'eux semblait s'être arreté de tourné quand une sonnerie vint brusquement les rappellés à la réalité. Elidore tenait toujours Lyzandra par la taille, elle ne voulait pas s'en aller mais elle avait cours et doutait que le fait de ne pas avoir eu envie de quitter son compagnon soit considérer comme excuse valable a un retard.

-Il va falloir que j'y aille, j'ai cours de sortilège puis métamorphose...

Chuchota-t-elle sans se dégager de l'étreinte de son compagnon et sans plus de conviction que cela. Elle embrassa à nouveau le jeune professeur, puis se faisant violence recula d'un pas brusquement.

-Il faut vraiment que j'y aille je vais etre en retard.

La porte était fermé... Pas de chance elle ne pouvait pas l'ouvrir elle même...

-Pourrais-tu ouvrir s'il te plait, je ne peux pas le faire moi même, je t'expliquerai pourquoi ce soir, mais je ne peux plus rien faire de magique pour le moment Ah et ce soir je compte m emontrerau bal, rester une heure puis m'en aller. Tu seras dans ton bureau ?

Quénodore regarda la jeune hongroise s'éloigner.

- Je viendrais te rejoindre ... personne ne fera attention à un chien-loup répondit Elidore

A regret, il ouvrir la porte de son bureau.

- Essais de ne pas te prendre de retenues cette fois irronisa-t-il à nouveau.

— ADMINISTRATRICE —

-Je te promets de faire mon possible, mais dans l'ensemble c'est possible je n'ai pas potions aujourd'hui. A ce soir dans salle de bal donc, je t'attendrai donc et te suivrai quand je verai le chien loup. Bonne fin de journée et bonne lecture.

Dit-elle en désignant d'un signe de la tête la lettre qu'elle même avait écrite et qui était toujours posée sur le bureau. Puis elle sorti de la salle et se hata vers sa salle de cours, pensive.