Le Poudlard express

Chris lui empoigna l'avant bras gauche et le serra fort.

- Vous m’excuserez Mr Malefoy, mais pour le moment, celui qui est plus en danger n’est pas moi.

Qu’allais donc faire pour réussir à celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom et Drago était si influençable … Lui dans l’ordre ? Personne ne pourra l’imaginer. Et ces parents ne le laisseront surement pas faire. Elle s’engouffra dans ces bras, comme pour être protéger du froid. C’était une sensation toute différente qu’elle ressentait à présent.
Un amour interdit, comme celui du professeur Mihyana, es que sa allais vraiment valoir la peine de s’engager dans une tel relation, quand on voyait la pauvre Miki seule avec sa fille.

Qui vivra verra …

- J’étudier en France, a l’académie de Beaubattons.

Ce fut avec un pincement au cœur qu’elle repensa a cette époque. Tout allait bien, dans le meilleur des mondes. La mort de sa mère les avais fait revenir en Angleterre et maintenant son père était malade. Elle ce tourna alors vers Zac.

- Tu viendras me voir cet été ?

Elle voulait le sortir de sa bouderie. Ne sachant pas ce qui l’avais mis de mauvaise humeur elle ne voulais pas le déranger avec sa, mais voulais profiter des derniers moment passer avec son ami.

— JOUEUR / JOUEUSE —

Zac boudait encore et Johanna voulus lui rendre le sourire en lui proposant une invitation pour l'été.
La petite la trouvait assez courageuse, ele même n'aurait jammais osé lui adresser la parole, surtout la scène qu'elle venait de voir. Elle hésita.

"Au fait, comment tu t'appelle?"

Lorsque Christina lui saisit le bras, Malefoy avait senti une douloureuse presque insupportable lui déchirer le bras et ses joues avaient perdues le peu de couleur qu'elles avaient.

Drago ne comprenait pas vraiment pourquoi Chris voulait le protéger, en tant normal elle l'aurait frappé et serait parti. Là, au contraire, elle se blottissait contre lui. Il la serra contre lui

[Désolé les filles pour mon retard....xD...]

Zac releva la tête et essuya une larme qui avait coulé sur sa joue. Il n'avait pas entendu la conversatino d'Emi et de Johanna mais il avait entendu sa question. Il se retourna et sourit :
- Bien sûr que je viendrais, je ne raterrai ça pour rien au monde...
Zac sourit aux deux jeunes filles. Il était bien ici.

Un soulagement l'envahis, enfin Zac était sorti de son silence.
Au même moment dans le couloir arriva devant leur compartiment le chariot a friandise, la vieille dame souriante leur demanda si il désirai quelque chose et Johanna ce leva pour prendre quelque bonbon et une bouteille.