Première nuit.

— ADMINISTRATRICE —

Les trois mots et le baiser d'Akira suffirent à la jeune hongroise à confirmer son choix. Elle enlaçat le jeunne homme et resta un long moment littéralement pendue à ses lèvres.

-Je t'aime aussi Akira.

sussura-t-elle alors à son tour.
Puis lentement elle désserat son étrainte pour retourner vers Elidore qui dormait à points fermé, quand un hiboux se glissat par la fenetre ouvert(e de la cuisine, il remis une lettre à Lyzandra.
Il s'agissait de l'ordre et elle était adresser à Mlle Lyzandra Bathory, Mr Elidore et Quenodore et Mr Akira Mihyana. Il y était dit qu'une réunion au ndsujet des événements de la journée passée serait tenue et que rerendez-vous était donné à 15H30 à la boutique des frères Weasley.
Elle tendit la letre à Akira pendant qu'elle grifonais une réponse à la hate faisaitpart de leur présence à tous trois, puis traçat sur le front de son ancien compagnon compagnon une rune qu'elle activa.

-Il s'agit d'une rune de sommeil il ne se réveillera que lorsque que je l'éffacerai.

Dit-elle à Akira tout en attachant sa réponse à la pate du hiboux qui avait finti de se désalterer et qui ne tardat pas à prendre son envol.

-Je... Je vais resté ici cette nuit.

Dit-elle en se mordillant la lèvre inferieure.

-Si tu veux tu... Enfin non tu n'es pas...

Lyzandra n'arrivait plus a trouver ses mots.

"Je ne peux pas te laisser seule. Vu ton état, ça serait dangereux, tu l'as dit toi même."

Akira attira doucement Lyzandra dans les escaliers.

"On va monter dans la chambre, j'imagine que tu n'as toujours pas de meubles."

Voyant que Lyzandra acquiesçait il continua :

"Et bien, je vais en faire apparaître. Ça sert à ça la magie."

Une fois arrivé dans la chambre, Akira agita sa baguette et un lit apparut au milieu de la pièce.

— ADMINISTRATRICE —

La chambre qui était vide quelques secondes auparavant comprenait maintenant un lit. Juste un lit, pas deux.

-Merci.

Répondit-elle simplement.

Lyzandra se tournat alors vers le jeune homme pour l'embrasser passionément.

Akira serra délicatement Lyzzie dans ses bras, s'enivrant de la présence. Puis commença à couvrir le cou de la jeune fille de baisers.

Il la souleva et la porta jusqu'au lit où il la déposa pour s'allonger à coté d'elle.

Lentement, il passa sa main sous le tee shirt de celle qu'il aimait.

— ADMINISTRATRICE —

La jeune fille répondit au geste d'Akira en lui retirant son débardeur sans pour autant cesser de l'embrasser elle commençat a passer ses mains sur le dos tatoué du jeune homme.

Akira entreprit de déboutonner le bustier de Lyzandra. Une fois cela fait, il serra lyzzie un peu plus fort dans ses bras, sentant sa peau contre celle de la jeune fille.

Il la sentait irradier de désir et sans qu'il ne s'en rende vraiment compte, ses baisers se firent plus entreprenants et partirent à la découverte du corps de la jeune fille.

— ADMINISTRATRICE —

[istoire de refroidir l'atmosphère écran noir et petit musique d'ascensseur]

Le lendemain Lyzandra se réveillat dans les bras d'Akira, la nuit avait été longue et elle n'avait pas beaucoup dormi et à dire rai Akira non plus. Pourtant elle n'éprouvait pas la moindre fatigue.
Elle réveilla Akira en l'embrassant tendrement, dressée sur un coude elle se rendit compte que tout autour du lit étaient éparpillées des plumes noires témoins de la nuit qu'avaient passée les deux amoureux.

Akira fut réveillé par un baiser de Lyzzie.

"Ça serait bien si tu me réveillais comme ça tous les matins."

Il lui rendit son baiser et la serra encore un peu dans ses bras. Puis il regarda l'heure :

"On devrait se préparer, sinon on va être en retard."

— ADMINISTRATRICE —

-Oui tu as raison et il va falloir que j'aille réveiller Elidore et de nouveau entrer en négocitions avec lui pour qu'il vienne avec nous... Oooh je te jure que j'ai bien envie de le pétrifier jusqu'à la réunion...

Puis elle se mit assise sur le lit et s'étira gracieusement sous le regard pensif d'Akira toujours allongé sur le dos les bras sous sa tête.

-Tout va bien ? Tu le dis si tu ne vois pas assez bien.

Dit-elle un sourire malicieux aux lèvres le regard pétillant.

"Toi alors." dit-il en souriant.

Il l'embrassa et continua :

"Moi je file à la douche, réveille le avec de l'eau froide."

Il disparut dans la salle de bain qui collait la chambre.

— ADMINISTRATRICE —

En guise réponse Lyzandra attrapat un oreiller qu'elle envoyat dans la tête d'Akira avec un éclat de rire.
Elle finit par se mettre debout à son tour et en profita pour ébrouer ses ailes. Il faudrait qu'elle le sfasse disparaitre, pourtant elle commençait à s'y habituer, par contre il lui fallut un certain temps pour s'habiller avant de descendre pour réveiller Elidore.

Elidore lui avait été CONTRE SON GRÉS plongé DANS UN SOMMEIL FORCÉ par la jeune hongroise.
Sa respiration était étrangement calme, mais il dormais visiblement très mal. Il était en sueur

— ADMINISTRATRICE —

La jeune fille s'approchat d'Elidore et commençat par cacher sa baguette avant de le reveiller en effaçant la rune.
Lentement il sorti de sa torpeur tandis que Lyzandra s'affairait déjà à préparer le petit déjeuner.

-Bonjour Elidore, il y a du courrier.

Lui dit-elle en désignant le courrier apporté par le hibouxau sujet de la réunion.

-Je te prévients tout de suite que c'est pas ne invitation que tu peux décliner. Sinon tes blessures sont parfaitement guerries et je t'avais endormi pour que tu puisse avoir le repos necessaire.

Lyzandra le réveilla soudain. Son cœur fit un bond en avant et le mouvement de ses côtés étaient rapide. Mais il n’ouvrit pas les yeux. Il sentait toujours la présence de la jeune hongroise. Intérieurement, il tâta ses barrière mentale. Il commençait à les sentir, mais elles étaient faible. Il en dressa une partie, sa respiration se fit un peu plus calme. Il se redressa afin de lire la lettre. Cet après-midi, 15h30 chez la Boutique des Weasley. Il se demandait pourquoi les membres de l'Ordre luis fait confiance alors que lui n'en était pas un.

- J'irais puis ce que je le doit ...

— ADMINISTRATRICE —

La jeune fille brisa le verre qu'elle tenait dans les mains tant la réponse d'Elidore la surpris, elle ne manquat pas de s'entailler largement la main au passege en étouffant un juron.

-Tes habits sont sur la chaise.

Voyant qu'il hésitait à se lever elle ajouta.

-Elidore je t'en pris je t'ai déjà vu bien moins habillé que ça...

Elle était plutot froide et sèche, visiblement contrariée et irritée.

Quénodore fixa Lyzandra. Le ton qu’employait la jeune fille ne lui ressemblait pas.

- Oh ne t’inquiète pas pour ça …

Puis, il plongea hors du lit, se transformant en chien-loup. Il se secoua, vérifiant que tout ses muscles lui obéissaient bien. S’était la première fois qu’il bougeait depuis le cimetière, et les courbatures se faisaient sentir de par et d’autre de son corps. Il se dirigea vers la chaise se hissa dessus sans peine et attrapa les vêtement que Lyzandra avait mise. Il regarda un instant la mains ensanglanté de la jeune fille avant de partir plus loin, seul, dans le jardin.

— ADMINISTRATRICE —

Lyzandra soupira... Le jardin occupé par Elidore... Ce n'est pas encore maintenant qu'elle trouverait le temps de se débarasser de ses ailes. Par la fenetre ouverte elle prit totu de même le soin d'avertir Elidore.

-JE TE SIGNALE QUAND MËME QUE C'EST TOUJOURS MOI QUI AI TA BAGUETTE.

Lui cria-t-elle pour être sure qu'il l'entende.

Du loin, Elidore se contracta de tout son corps, levant les yeux au ciel. Le chien loup lâcha les vêtements qu’il y avait dans sa gueule, puis se retourna vers Lyzandra. Il aboya dans sa direction, avant de lui envoyé une pensée

« Je m’en fous, je la récupérais tout a l’heure »

Akira descendit après avoir pris sa douche, et trouva Lyzzie la main en sang en train de crier sur Quénodore.

Il prit la main dans les siennes :

"Comment tu t'es fait ça ?"

Il prit sa baguette qui était dans la poche de son pantalon et en appliqua la pointe à l'endroit de la blessure, qui se referma rapidement.

"Il va mieux ?" demanda t-il d'un ton neutre en désignant Elidore d'un signe de tête.

— ADMINISTRATRICE —

La présence d'Akira avait quelque speu calmé la jeune fille, mais definitivement Elidore l'agaçait.

-Oooh oui il est en pleine forme, un peu trop même. Merci pour ma main.

Elle passat sa main deriière la nuque du jeune homme et l'embrassat, puis de nouveau à la fenetre.

-SI TU VEUX ME DIRE QUELQUES CHOSE TU ES PRIE DE LE FAIRE ORALEMENT ET DE LAISSER MES PENSEES TRANQUILE !!!

Puis elle prit la baguette de son ancien amant et se dirigeat dasn le jardin à sa recherche afin de lui rendre sa baguette.

Il pencha légèrement la tête, les oreilles en avant, fixant Lyzandra d’un air perplexe. Comme à son habitude, son sang ne fit qu’un tour quand il vit les deux amants s’embrasser. Puis il grogna en l’entendant hurlé de nouveau. Il se leva d’un bond en la voyant venir comme une furie vers lui, sa baguette à lui dans la main. Elle se rapprochait de plus en plus, alors il se retransforma. Torse-nus devant la jeune hongroise, son pantalon tachés encore de sang, il se figea devant elle.

- Non mais ça va pas de gueulé comme ça lui fit-il remarqué calmement

Il était calme, placide. C’était peut être ça qui dérangeait Lyzandra. Mais il ne le resterait pas longtemps si elle continuait comme ça

- Va falloir que tu te calme un coup là, je sais pas si tu te rend compte de la situation. On dirait moi …

— ADMINISTRATRICE —

-Je beugle si je veux et toi couché papates en ronds, tu es vraiment mal placé pour me dire quoi que se soit. Puis figure toi qu'avaec la situation actuelle je suis d'un calme olympien !!!

Elle était à deux doigts de le gifler.

-Ce n'est vraiemnt pas comme ça que je vais réussir à me débarasser de ces machins... Tu aurais pu me prévenir que ma rune risquait d'avoir cet effet !!!

Définitivement elle avait perdu le sang froid qui la caractérisait.

Akira était mi amusé, mi agacé par la situation. Mais il ne put retenir un léger rire lorsque la jeune fille ordonna à son ancien amant de "se coucher papates en rond". Lyzandra avait un caractère assez explosif et apparemment celui de Quénodore ne valait pas mieux.

"Ça devait vraiment donner quand ils étaient ensemble ces deux là." pensa t-il.

Il s'approcha de Lyzzie et se mit à lui masser les épaules. Seul moyen qu'il connaissait pour la détendre.

- Ne me parle pas sur ce ton s’énerva-t-il Je ne suis pas TON chien. Je ne le suis plus !

Jeux de mot des plus nul, mais pas moins vrai.
Il s’éloigna un peu d’elle, premièrement pour éviter qu’elle ne le frappe, deuxièmement pour avoir son corps entier en vus. Un sentiment d’incompréhension et de défaite intérieur l’envahie. Il suivis du regard Akira arriver et poser ses mains sur les épaules. Le visage d’Elidore se durcit, tachant de se calmer

- Si tu n’était pas revenus hier soir ; tu n’aurais pas goûter au doux plaisir de la vengeance, et tu n’aurais pas eu se problème d’aile que tu as en ce moment. Lorsque nous parlions de ça à Poudlard, jamais je n’aurais imaginé que nous aurions … il se reprit … que tu aurais à faire ce genre de chose.

Il y eu une courte pause. Quénodore se força à se calmer. Il devait se calmer. Il y eu un silence

- Ecoute Lyzandra. Tu m’a quittée, c’est mieux pour toi je crois. On t’a mêlé à des choses qui ne te concernait pas … son regard enveloppa l’hongroise et le japonais … on VOUS as mêlé à des chose qui ne vous concernaient pas … son regard se reporta sur Lyzandra … j’ai payé ma dette en vous éloignant, et toi tu es revenus. Soit.. Mais maintenant Lyzandra, dorénavant, ne te mêle plus de mes affaires.

Il ferma les yeux. Il ne pouvait plus continué à lui mentir. Il reprit sa phrase d'hier, avec cependant, cette fois, son véritable sens.

- Je t’aime, peut être trop. Oui, je crois que c'est ça, le porbleme. Et mes ennemies du passé et du futur se serviront de toi pour m’atteindre. Je le sais. C’est ce qui c’est passé avec Marius. Vous vous êtes tous sortit idem de cette situation, mais ça ne sera pas toujours le cas. Alors je te le demande Lyzandra, ne te mêle plus de mes affaires. Je ne te le demande pas que pour toi. Je te le demande pour Akira, pour moi, et pour ceux qui t’entoureront.

Elidore savait que ce qu’il venait de dire détruirait la jeune hongroise. Mais ce qu’elle ne savait pas, elle, c’était qu’elle le touchait encore plus. Encore plus qu’elle ne pouvait l’imaginé. Il continua toujours d’une voix calme

- Ça me fait mal de devoir te dire ça, bien plus que tu ne peux te l'imaginé. Tu parlais de souffrances hier. Et bien ça me fait souffrir. Mais tu m’oblige à être comme ça Lyzandra.

Il s’approcha enfin d’elle. L’ancien professeur récupéra froidement sa baguette entre les mains de la jeune hongroise. Il aurait voulus ne pas à devoir faire ça. C’était comme une deuxième ruptures. Il passa à côté d’elle, ne prenant même pas la peine de récupérer ses affaires. Il s’arrêta a côté d’Akira

- Excuse-moi … mais je ne pouvais pas faire autrement. Je devait le lui dire …

Il savait qu’il lui laissait la jeune hongroise dans un état déplorable. Mais ce n’était rien comparé à lui. Il continua sa route avant de s’arrêter de nouveau pour lâcher les derniers mots. Il ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais s’arrêta avant. Au lieux de dire ce qu’il avait en tête quelque instant auparavant, il dit simplement, dos à elle mais son regard tourné:

- Soit heureuse, c'est encore une des faveurs que je te demande.

Il s’avança à nouveau vers l’intérieur de la maison. Il avait l’intention de trouver le seuil, pour partir.

— ADMINISTRATRICE —

La jeune avait plus que jamais la gorge serré, elle était troublée par les avoeux très direct d'Elidore. Décidément, si jeune soit-elle, elle ne sortait pas indemne de sa relation avec lui...
Sa grand mère avait coutume de dire "amour passionel et destructeur jamais ne meurt" en parlant des amours que connaissaient toutes les femmes de sa famille dpeuis près de 500 ans. Mais Lyzandra voulait couper court à ce malheureux fait établit en étant heureuse aux côtés de celui qu'elle aimait : Akira, mais n'anmoins il y aurait toujours dans sa vie une place pour Quénodore que celui ci le veuille ou non.

Elle posat une main sur celle d'Akira qui la massait doucement, elle soupira.

-J'ai encore une chose à lui dire avant que totu ne soit définitivement finit.

Annonça-t-elle avant d'emboité le pas à Elidore qui se trouvait dans l'entrée.

-Elidore attends j'ai une dernière chose à te dire...

Pour l'arreter elle n'eut d'autre choix que de lui attraper la main.

-J'ai bien entendu ce que tu viens de dire, pourtant il faut que tu sache que où que tu sois et quoi qu'il puisse t'arriver je serai toujours là et ce quoi que tu fasse oupuisse penser. Ma famille a unpassé que tu connais en partie, donc je ne peux même pas te l'expliquer, mais c'est comme ça... En te liant à moi Elidore Quénodore tu t'es forger une barrière que ne vois pas pour l'instant et qui à bien des égard sera un atout pour toi.

Elle avait rerouvé son calme à présent et venait de lacher la main de son ancien professeur.