Sombre nuit ... [PV Lyzandra]

L’hivert était tombé depuis quelques mois sur Poudlard, et le froid engouffrait le parc du château à grande vitesse.
Le chien-loup rodait silencieusement dans la forêt sombre et lugubre, près d’un lac gelée, donc les berges étaient parsemées d’empreinte et d’odeur.
Un rayon de lune vint éclairer l’immense loup et l’étendue d’eau pendant une fraction de seconde avant de retombé dans l’obscurité de la nuit.
Quénodore frissonna un instant avant de se coucher, contemplant les poissons qui nageait sous l’eau gélée.

— ADMINISTRATRICE —

Lyzandra avait laisser son lit a Titania qui dormait commeun ange, elle était partie avec ses corbeaux poru la foret interdite afin de retrouver son havre...
Arrivée aux abbord de la foret elle s'y enfonçat et retrouva aisément le chemin de la petit clairière qu'elle affectionnait tant. Perdue dans ses pensée elle n'apparçut pas de suite la silhouette sombre au bord de l'eau.
Ce n'est qu'arrivée à à peine une mettre qu'elle vit un magnifique chien loup.

-Bonsoir...

Adressa-t-elle dubitative à l'animal prette a degainer sa baguette au moindre mouvement hostile de la bête.

Quénodore fit volte face en entendant une élèves parler.
Il l'a regarda un instant, et reconnus Lyzandra, accompagné de ses corbeaux
Il l’a fixa, puis grogna doucement.
Il s’était laissé prendre comme un débutant, comme un élève.
Il ne savait pas vraiment quoi faire.
Se retransformer en homme, renvoyant la Gryffondor dans son dortoir ?
Mais c’était bien trop dangereux. Surtout pour lui. Et qui sait ce qui arriverais si l’un des autres professeurs la voyait rentré.
Il ne savait pas vraiment pourquoi il ne la ramenait pas dans le château …
Il s’approcha silencieusement de la jeune fille, à pas de loup, dans l’ombre.

— ADMINISTRATRICE —

Lyzandra renvoya ses corbeau d'un sifflement à peine audible. Elle se mit à la hauteur et planta son regard dans celui de l'animal comme lui avait enseigné son professeur à Durmstrang.
Ce qu'elle vit provoqua chez elle un mouvement brusque de recul. Immédiatement elle se releva et recula de quelques pas. Le regard de l'animal était trop humain pour être naturel.

-Qui etes vous ??? !!! ???

Lyzandra avait peur, s'il s'agissait d'un mangemort elle n'était pas sure d'être de taille et elle ne pouvvait pas transplaner dans l'enceinte de l'école, si seulement elle avait maitriser sa transformation...

Le chien-loup eu un légé mouvement de recul, mais il se raprocha aussitôt de la jeune hongroise.
Il allait la tester. Quénodore allait la tester face au danger.
Il savait cependant qu'il ne fallait pas la rendre hors d'elle.
Il avait vu ce qui c'était passer la dernière fois. Le chien-loup s'avança donc derechef

— ADMINISTRATRICE —

Elle recula de façon à rester à une certaine distance de ce qui avait l'air d'un chien loup sa baguette toujours pointé dans sa direction.

-Je vous le demande une dernière fois... Qui etes vous... ?!?

PPLus de doute ilne pouvait pas s'agir d'un simple animal.

Le chien-loup était à présent au niveau de Lyzandra.
Il plongea ensuite sont regard dans le sien, essayant d'entrer dans son esprit. Il savait pertinament que la jeune hongroise le repousserait, mais il voulais tout de même essayer.

— ADMINISTRATRICE —

Lyzandra devait s'y résoudre, bien qu'elle n'aimat pas blesser un animal.

-Repulso !!!

Sous l'impact le chien loup recula.
Lyzandra n'arrivait plus à reflechir rationnelement.

Le chien-loup fut propulsé en arrière, mais il s'y attendait.
Il n'avait plus trop le choix désormait. Il recula.
Fuir ? Non ... inutile ... et completement stupide.
Il se mit un peu en retrait, dans l'ombre.

— ADMINISTRATRICE —

-Lumos maxima !!!

Lyzandra balaya l'obscurité et ne tarda pas retrouvé le chien...

-Finit de jouer maintenant... Dévoilez-vous ou je deviens réellement offensive...

Le chien-loup sauta vers Lyzandra. En quelques secondes, il retrouva sa forme humaine, debout, devant la jeune fille.

- Et moi je pourais vous demander pourquoi vous n'êtes pas dans votre dortoir, Miss. Bathory ...

Quénodore avait sortit sa baguette de son manteau noir, et une lumière s'en échappait.
Ses longs cheveux n'avait pas encore reprit leur couleur blonde.

— ADMINISTRATRICE —

Lyzandra se retrouvat nez à nez avec son professeur de défense contre les forces du mal. Seulement quelques centimètres les séparaient.

-Oui en effet, vous pourriez.

Répondit calmement la jeune fille en posant son regard dans celui de Quenodore... Elle sentit les battement de son coeur s'accelerer sans qu'elle ne puisse rien y faire. Elle n'avait aucune envie ni de quitter l'endroit ni la personne qui s' y trouvait.

- Vous seriez bien avisé si l'on vous voyais ici ... murmura-t-il
Esperont simplement qu'il n'y ai pas d'oeil indiscret ...

Puis, il éteignit sa baguette d'un geste.

- Que faites-vous ici ... demanda lentement Quénodore

— ADMINISTRATRICE —

- La même chose que vous professeur...

Sussura la jeune fille d'une voie à peine audible de peur de briser le silence qui les enveloppait.

- La même chose que moi ? murmura-t-il ... Laissez moi douter ...
Il me semble que ce n'est pas la première fois qu'on vous voit ici ...

Au loins, une silhouette était apparus. Elle n'avait rien d'humain.
Centaure ? Licorne ? Ou une autre de ce créatures qu'il avait vus ?
Quénodore se demandait si elle viendrais à eux ou non.
Le professeur la fixa avant de replongé son regard dans celui de Lyzandra.

— ADMINISTRATRICE —

-En effet, j'aime cet endroit et ce que j'y trouve, tout ce que j'y trouve...

Repondit-elle dans un souffle. Un frisson l'a parcourru, mais la jeune fille se doutait que ce n'atait surement pas tant le froid que le regard intense que Quenodore posait sur elle tandis que son coeur battait toujours la chamade.

- TOUT ce que vous y trouvez, Miss. Bathory ? demanda Quénodore
Il semblerais que nous n'ayons pas tant de déférence que ça ...

Sa baguete toujours en main, il frissonna un instant.
Il s'approcha un peu plus de Lyzandra

- Se pourrais-t-il que ... murmura-t-il doucement.

— ADMINISTRATRICE —

-C'est même une certitude...

De sa main qui était libre elle effleura doucement celle de Quenodore attendant une réaction du jeune homme.

Quénodore posa sa main sur celle de la jeune hongroise. Il frisonna une fois de plus,puis, il approcha son visage du sien, et bientôt, ses lèvres touchèrent les siennes.
L'animagus sentit le souffle chaud de la Gryffondor.
Il glissa sa main qui tenait sa baguette derière sa nuque.
Lentement, il redressa sa tête, sans quitté le regard de la jeune fille.

— ADMINISTRATRICE —

Sans mot dire Lyzandra se laissat faire. Elle avait du mal à comprendre quel miracle permettait à ses jambes de la porter encore. Fougueusement elle rendit son baiser à Elidore en l'embrassant à pleine bouche.

-Tu envisages toujours cela comme une possibilité ?

Demanda la jeune fille avec un sourire en coin .

- Une possibilité assez réaliste dans ce cas ...

Quénodore ne lacha pas du regard Lyzandra, mais il savais qu'il devait partir.
Le jour se leverait bientôt, malgrès que la noirceur de la foret les empêchait de voir correctement.
Il retira sa main du cous de Lyzandra, puis il s'exclama

- Spera Patronus !

Un grand dragon argenté surgis alors.

- Suivez-le, Miss. Bathory ... j'ai quelques chose ... à terminer ...

Mais il savait tres bien que la jeune hongroise ne partirai pas.

— ADMINISTRATRICE —

-Lyzandra.

Le reprit-elle affectueusement.

-Et je n'irai nulle part, qu'est-ce qu'il se passe ?

- Il y a une chose que je doit faire avant le levé du jour … dit-il calmement.

Quénodore ne savait pas si la jeune hongroise savais de quoi il parlait. Il espérait que non.
Au loin, le patronus disparut dans un nuages de fumée argentée.
L'animagus carressa doucement la joue de Lyzandra, comme pour la convaincre de ne pas courir le danger de le suivre.

— ADMINISTRATRICE —

La jeune hongroise soupira...

-Je ne suis pas aussi fragile que j'en ai l'air... Que se passe-t-il ici ?

Disant cela Lyzandra vint se blottir contre le torse du jeune homme et le prit dans ses bras.

- Je ne suis pas sensé te le dire, je crois même que Dumbledore n'est pas au courant ... mais y a des actes ici qui sont plus qu'étrange ... des animaux se font attaqués ... je ne sais pas pourquoi ...
La dernière fois, on a retrouvé une licorne dans un sale état ...

Quénodore portait toujours sa balafre, qui commençait cependant à ce cicatrisé.
Soudain, tout son corps se tendit. Son avant bras gauche l'avait brûler.