Première nuit.

— ADMINISTRATRICE —

Lyzandra et Elidore, toujours inconscient arrivèrent dans un plop. La maison était vide et la jeune fille avait opté pour la cuisine dont les fenetres donnaient sur le jardin.
Elle parcourut sa maison à la hate laçant une flopée de sort pour la proteger au maximum puis elle revint vers Elidore resté allongé sur le carelage. D'un geste la jeune fille fit apparaitre un lit.

-Wingardium Leviosa !!!

son ancien amant flota et elle l'envoyat jusqu'au lit, puis se décida enfin à allumé la lumière maintenat que personne nepouvait plus la localiser.

- Heimdall !!! Vas vite chez lmes Mihyana et dit à Akira qu'ils devront directement transplaner ici il n'y a que lui qui sache ou est la maison et maintenant personne ne peut plus la voir.
Son familier aquiessat puis s'envola à tir d'aile par la fenetre ouverte.

-Bon à nous maintenenant...

Elle dut faire apparaitre un tas d'ingredients et ses ailes la genait dans ses mouvement.
Elle commençat par appliquer un ogant sur la marque des ténèbres d'Elidore avant de lui enlever sa robe qui empechait la jeune fille de le soigner au mieux.
Puis elle lui fit ingerer de quoi l'empecher de dresser ses berrières mentales, il avait besoin de repos et la jeune fille ne pouvait pas se fier à ce qu'il dirait. Puis elle lui dessina une rune de soins sur le torse et l'activa.
Lentement le jeune homme repris conscience, Lyzandra assise sur le lit à coté de lui les mains toujours posées sur son torse.

Le cimetière était désormais vide. Seul gisait le corps de Marius. Quelqu’un s’y approcha. La silhouette lui était étrangement familière. Il se crispa en voyant qu’elle se pencha sur lui. Les long cheveux de l’homme tombèrent sur son visage. Car s’était un homme. Il n’arrivait pas à donner un nom …

Quénodore se réveilla en sursaut, se levant d’un bond. Lyzandra avait eu la bonne idée de se relever quelque seconde auparavant. Mais ça main était toujours sur son torse. Il ressentit alors une violente douleur dans le dos, une dernière fois, afin d’entendre un crac sonore. Il étouffa un hurlement avant de se laissé retomber lourdement sur le lit, à moitié conscient. Il repensa à ce qu’il venait de voir. Puis il se rendit compte qu’il n’était pas dans le cimetière. Un faible lueur les éclairaient. Son regard se posa sur la main. Il n’eu pas besoin de regarder la tête de la personne pour savoir qui était-ce. Il jeta un regard noir à Lyzandra avant de reposer la tête sur le matelas. Il soupira

- Non … pas toi …

Mentalement, il essaya se dresser ses barrières mentales. Ils n’arriva même pas à les toucher, ni même les sentir. Il leva les yeux au ciel

- Qu’est ce que tu m’as fait ?! demanda-t-il brusquement

— ADMINISTRATRICE —

-J'ai fait ce que j'avais à faire... Ne cherche pas à dresser tes barrières mentales tu te fatiguerait pour rien : je les ai bloquées, et ne cherche pas non plus à te relever, tu ne pourras pas. La rune va mettre au moins douze heure avant d'avoir terminée son action.

Puis elle se dirigeat vers l'évier pour prendre une petit serviette et une bassine, elle vint se rassoir sur le lit où était allongé Elidore et entrepris d elui éponger le visage patiament.

-Tu sais Elidore... Je ne voulais pas ça... Pour nous je veux dire... Je ne voulais pas que ça se finisse comme ça...

Finit-elle par dire.

Lui non plus il n’avait pas voulus que ça finisse comme ça

- Pourtant c’est ce qui c’est passer …

Priver de ses barrière mentales, si Lyzandra voulais savoir ce qu’il pensait, elle n’avait qu’a se servir. Il grimaça à cette idée. Lorsqu'il sentit le linge tiède sur son visage, il fut parcourut d'un frisson. En réalité, il ne se rendait pas vraiment compte de ce qui était en train de se passer.

- Puis ce que tu ne voulais pas que ça se termine comme ça … comment voulais-tu que cela termine ? dit-il pour le moment calmement

— ADMINISTRATRICE —

La jeune hongroise soupira. La réaction de l'ancien mangemort ne la surprenait en rien. Leur relation n'avait été qu'une longue suite de duels au cours des quels chacun des béligerants cherchait à prendre le dessus sur l'autre sans pour autant qu'aucun y parvienne réelement. Même maintenant il semblait que rien n'ait changé entre eux.
Néanmoins Elidore se laissait faire et bien que sa phrase ait touché Lyzandra en plein cpeur elle trouvat le courage d'y répondre avec toute l'honneteté qui la caractérisait usuelement.

-Peut être aurais-je voulu que ça ne termine pas tout court... J'attendais telement de toi, surement plus que ce que tu aurais jamais pu me donner.

Il ne répondit pas. Son cœur battait de plus en plus fort. Il commençait à ce rendre compte que Lyzandra avait raison. Il était mal, très mal. Mentalement comme physiquement. Il repensa à se qui s’était passer. Il avait tué son frère. Il avait tué frère pour sauver quelqu’un. Mais qu’avait-il espérer ? Qu’avait-il oser espérer ? Bien que la question résonnait dans sa têtes, il ne regrettait pas son acte. Ça avait été tuer, ou être tuer. Marius était un fous furieux. Et il le savait.
Il sortit brusquement de ses pensées. Il avait oublié où il était. Il avait oublié avec qui il était. Mais le plus important est qu’il n’avait plus rien pour le soutenir. Il chercha au plus profond de lui une infime partis de ses défenses. Mais il n’avait plus rien. Il devait avoué que a jeune hongroise avait fait du bon travail. Son regard croisa alors le sien. Elidore le fuyait. En faite, il ne voulait simplement pas. Mais il savait qu’il était obligé.

— ADMINISTRATRICE —

Le regard d'Elidore c'était fait plus profond et Lyzandra le voyait s'assombrir de seconde en seconde. Il fuyait les yeux pleins de questions de la jeune hongroise qu s'en rendit vite compte.

-Pourquoi tu me fuis Elidore... Je sais qu'en peut de temps les choses ont radicaleemnt changées pour toi comme pour moi, mais il n'y a pas si longtemps tu aurais chercher mon regards plutot que de le fuir... C'est toujours moi je suis toujours la même tu sais...

- C’est différent coupa-t-il Il n’y a pas si longtemps, jamais nous n’aurions eu ce genre de conversation …

Il pivota légèrement la tête afin d’apercevoir les ailes d’ébène de la jeune hongroise. Ça devait être étrange.
Il les désigna d’un signe de tête.

- Pose ton esprit … lui conseilla-t-il

Il chercha des yeux sa veste. Il ne la trouva pas, ou dû moins elle était hors de vus. Alors, il fixa Lyzandra. Il restèrent sans bruit à se regarder un bon bout de temps … 1 minutes … 2 minutes … A nouveau, Elidore repensa à cette nuit. Une question soudaine lui vint à l’esprit. Et il avait besoin de savoir

- Pourquoi es-tu revenus alors que je t'avais mis à l’écart ? J’aimerais savoir véritablement pourquoi …

Son regard était toujours fixé dans celui de Lyzandra, et ne cilla pas. Lyzandra ne répondit pas tout de suite, Quénodore lui attrapa le poignet tendit qu'elle lui repassait machinalement le linge sur la figure. Son regard transperça celui de la jeune hongroise

— ADMINISTRATRICE —

-Je m'occuperai de ses deux trucs plus tard...

Lyzandra avait préparer du thé et une colation sommaire qu'elle aporta au jeune homme se rasseyant à ses côtés.

-Je me suis fait epiegée... Comme une débutante en plus et c'est parce que je me sui sjettée dasn la gueule du loup sans reflechir que tout ça est arrivé... Sans compter que tu étais seul contre trois et que parmis il y avait la meutrière de Titania.

Sa mine c'était rassombrit, elle s'en voulait énormément.

-Et toi... Pourquoi es-tu venu quand le mangemort, ton frère a parlé el'homme que j'aimais j'ai su qu'il ne faisait ps référence à Akira et que ses sources auraient méritées d'être actualisées, mais je ne pensais pas que tu viendrais... Vraiment pas... Alors je te retourne la quetsion pourquoi es-tu venu toi ?

La phrase claqua comme avait claqué le fouet sur Marius lorsque Lyzandra parla d’Akira.

- Ce n’est pas toi que Marius voulait. C’était moi. C’était un fous Lyzandra … tu ne peux même pas t’imaginer à quel point. Ça il ne t’aurait pas tué … mais je ne savais pas ce qu’il était capable de faire. Il à décimer à lui tout seul sa propre fam …

Il s’arrêta net. Il ne voyait pas pourquoi cela intéressait tant Lyzandra

- Pourquoi ça t’intéresse de savoir pourquoi je suis venus ?

— ADMINISTRATRICE —

-Parce que... Après tout tu n'avais aucune raison de venir... Marius s'est servit de moi comme appat pour toi, mais je pensais réellement que tu ne viendrais pas... Et toi tu sais de quoi je sui sapable j'aurais très bien pu m'en sortir seule... Je te repose donc la question : pourquoi es-tu venu Elidore ?

Elidore laissa sa tête retomber sur le matelas du lit. Il émit un léger soupir. Ça ne servait à rien de se battre cette nuit avec celle qu’il aimait toujours, car il savait qu’elle aurait raison. Il savait aussi qu’il ne pourrais pas éviter indéfiniment les questions de la jeune hongroise. Au fur et à mesure qu’il reprenait conscience, il se sentait comme pris au piège : il savait qu’elle voulait lui faire avouer quelque chose, se sentiment qui avait été l’une des raisons pour laquelle il avait accourut au cimetière. Mais il cédrait pas.

- Je suis venus par ce que je ne voulais pas qu’il te fasse du mal

Son regard n’était plus dans celui de Lyzandra. Il était ailleurs, fixé sur le plafond, dans le vide. Il était partager entre l’envie de voir la réaction de la jeune hongroise et celle de l’ignorer, comme il aurait fallut le faire.

— ADMINISTRATRICE —

-Elidore... Il faut que je te dise quelques chose. et ça ne va surement pas être agréable à entendre pour toi... J'aime Akira, je crois qu'en fait au fond de moi j'ai toujours su que je l'aimais, on s'est rencontré l'été dernier alors que j'étais au japon, donc bien avant de te connaitre, puis je suis repartie et je pensais ne plus jamais le revoir donc à grand renfort de volonté je l'ai chassé de mon esprit, puis tu es entré dans ma vie et j'ai cessé totalement de penser à lui... Mais il faut être réaliste Elidore, toi et moi n'arrivons jamais à nous entendre sur quoi que se soit, rien que cette conversation est un parfait exemple, je cède rien ou presque et toi non plus... Je t'ai pourtant aimé, ooohoui à en mourir même, telemnt que aujourdh'ui bien que nou soyons séparés il y a un epartie de moi qui reste attachée à toi...

Son regard se tourna aussitôt vers la jeune hongroise

- Pourquoi tu décides de me dire ça ? Je veux dire … Pour quelle raison ? Qu’est ce qui te fait croire que ça n’avait pas suffit la dernière fois ? demanda-t-il simplement

Après une courte pause, il continua

- Tu sais … je commence à croire que … tu pense comme pensait Marius, et comme pensait mon père … tu ne va pas au-delà …

Il s’arrêta, ne sachant plus comment expliquer ce qu’il voulait faire comprendre

- Non … laisse. Je ne t’en veux pas. Laisse moi.

— ADMINISTRATRICE —

Visiblement son frère ét son père étaint les deux personnes que son ancien amant détestait le plus au monde et c'est à eux qu'il venait de comparer la jeune hongroise... Cette fois-ci encore il avait touché juste, quoi qu'il se passe il finissait toujours par réussir à la blesser profondément, du revers e manche elle essuyat une larme qui perlait au coin de son oeil.

-Pourquoi cherches-tu encore à me faire payer le prix fort de ne t'avoir que trop aimer...

Murmura-t-elle la gorge serré...

-Tout le mal que ton frère aurait pu me faire si tu n'étais pas venu n'est rien en comparaison de ce que tu continu à me faire... Je voudrais y e^tre indiférente, je voudrais pouvoir être comme toi et faire souffrir les gens et n'en avoir rien à faire... Si être toucher par le monde qui m'entoure et me soucier de ceux qui me sont proche c'est penser comme ta famille alors oui je suis comme ta famille Elidore.

Dit-elle alors qu'une autre larme coulait à présent le long de sa joue.

- Toi aussi Lyzandra. Toi aussi Lyzandra tu me fait souffrir et tu ne t’en rend pas compte.

Il cherchait ses mots

- Ta présence même me fait souffrir. Je t’aime bien, peut être trop
Oui, je crois que c'est ça le probleme.

— ADMINISTRATRICE —

-Oui... Je sais... Enfin je crois que je savais...

Dit-elle avant de découvrir à nouveau le torse de celui qui avait été pour elle amour si fort et au combien destructeur. Il aurait été facile pour la jeune fille de se pencher pour l'embrasser passionément comme elle avait fait tant de fois avant et ainsi effacer toutes les souffrances du jeune homme, mais elle aimait telement Akira et avec lui tout était si simple... D'ailleur il ne devrait plus tarder celà faisiat un moment quil était parti et que Lyzandra avait envoyé Heimdall.
Délicatement elle posat à nouveau ses mains sur la rune toujours essiné sur le torse du jeune homme.

-C'est... C'est une rune ui s'active au contact et tu as encore beosin de soin...

Dit-elle comme pour s'excuser d'avoir à la toucher avant de commncer à psalmodier doucement.

Il suivit du regard les mains de la jeune hongroise jusqu'à ce qu’elle se pose sur son torse. Le regard du jeune homme se leva vers le sien. Il n’était pas froid comme à son habitude. Il était interrogateur. Son cœur commençait à battre plus vite en sentant qu’elle ne la retirait pas. Elle murmura un semblant de justifications, mais il savait que celle-ci n’était qu’une excuses pour justifier son geste.
Il se redressa et fixa les yeux de la jeune hongroise. Il s’approcha un peu. Il rapprocha ses lèvres des siennes. Il voulus l'embrasser, mais il s’arrêta avant. Il ne pouvait pas. Il ne pouvait pas être à se point égoïste. Son regard baissa, son visage se referma. Les mains de la jeune hongroise étaient toujours fixées sur son torse, et lui était toujours dresser. Mais son regard était désormais vide. Vide du sacrifice qu’il venait de faire.

— ADMINISTRATRICE —

Le visage d'Elidore n'était qu'a quelques centimères du siens, il l'effleurait presque et la jeune fille n'osait plus bouger, ni ses mains toujours sur la rune, ni tout le reste d'ailleur c'est comme si elle avait été paralysé.

[Précédent]

Akira avait transplané dehors mais avait regagné l'intérieur rapidement.

Il avait vu la scène entre Lyzandra et Quénodore sans pouvoir bouger. Mais rien ne s'était passé. Tout était bien fini entre eux deux.

Silencieusement il retourna jusqu'à la porte qu'il ouvrit sans bruit. Puis il la claqua et arriva d'un pas pressé près de Lyzandra et Quénodore.

"L'Ordre a été prévenu c'est bon. Ils sont en route. Vous allez mieux Quénodore ?"

Elidore se laissa retombé sur le lit, le regard toujours vide. Les mains de Lyzandra étaient toujours sur son torse.

- Ah merveille … répondit-il sur un ton légèrement ironique

— ADMINISTRATRICE —

Lyzandra fut soulagée de voir Akira revenir, l'atmosphère se faisait de plus en plus pesant entre Quénodore et elle. La jeune fille attendit quelques instant, le rune avait recommencée à cintiller, elle se le vat alors pour rejoindre Akira qu'elle embrassat tendrement mais rapidement.

-Merci... Et toi tu es certains que tout va bien pour toi ?

Mais connaissant le jeune homme elle savait très bien que en pleine forme ou pas il ne voudrait pas l'inquieter, elle vérifiat donc par elle même en dénudant le ventre du jeune homme.

"Je vais bi..."

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que Lyzandra était déjà en train de le déshabiller. Gêné, il rougit et se laissa faire.

Le sort n'avait même pas laissé de cicatrice.

"Rassurée, tu vois bien que je n'ai rien." dit-il en passant une main affectueuse sur la tête de Lyzzie.

"Je vais aller rejoindre les autres au cimetière. Au fait, je suis désolé de vous apprendre ça, mais Maugrey est mort ce soir."

— ADMINISTRATRICE —

-Je ne suis pas du tout rassurée de te laisser retourner là bas Akira... L'ordre compte suffisament de membres en alerte jour et nuit, tu as eu ta dose de prise de risque pour ce soir... Sans compter de que je ne sais pas ce qu'a fait Lestrange à la marque d'Elidore il s'agit peut être d'une sorte de signal permettant de le retrouvé et si ils venaient ici je ne serait pas capable de me défendre...

En effet l'activation de sa rune et celle dElidore qu'elle avait activé deux fois l'avait magiquement épuisé et elle était donc très vulnérable, c'est en parti pour cela que ses ailes n'avaient toujours pas disparues, il lui faudrait du repos pour cela.

Akira sourit :

"Très bien, je vais rester ici. De toutes façons, les autres seront ici assez rapidement."

Il aurait voulu faire quelque chose à boire, mais il n'y avait rien à manger dans la maison.

Il attira Lyzzie contre lui, dans un recoin de la cuisine d'où Quénodore, qui dormait, ne pouvait pas voir ce qu'il se passait. Il la prit dans ses bras, approcha son visage des oreilles de la jeune fille et murmura :

"Je t'aime Lyzzie."

Puis sans lui laisser le temps de répondre, il l'embrassa.