[— JOUEUR / JOUEUSE —]

Ah les Lochs, Major avait l'habitude de venir ici pour s'entrainer de temps en temps, histoire de changer un peu du parc de Poudlard. Mais cette fois-ci, pas de défoulement d'adrénaline, ça non, elle avait déjà eu son compte la veille en affrontant la manticore. Son corp soufrait encore légèrement du surmenage, maintenant elle savait ce qu'il en coutait de lancer des rafales de sorts trop puissants pour soit. Malgré tout, c'est tant par habitude que pour se changer les idées qu'elle se retrouva à longer le lac.

En marchant, Motoko jouait machinalement avec sa manche droite, là où se trouvait dissimulée sa baguette. Depuis l'attaque de la manticore à Pré-Au-Lard, elle se sentait nerveuse, non en fait, ce n'était pas tout à fait à cause du monstre, plutôt de l'étrange sorcier. Le Major se sentait comme à l'armée quand son groupe se retrouvait traqué et en mauvaise posture, une sensation des plus désagréable, surtout quand on a plutôt l'habitude d'être dans la peau du chasseur. * Même l'affreux petit homme soul à eu l'air de sentir que quelque chose n'allait pas avec ce type, je devrais peut-être demander à l'ordre si...*

Et justement, comme s'il suffisait d'y penser, c'est ce moment que choisit le destin pour permettre à Motoko de distinguer plus loin une silhouette élancée vaguement familière, surtout en raison de son long manteau. * Est-ce vraiment celui auquel je pense?* Marius Berkeley, un homme dont elle avait entendus des rumeurs au sein de l'ordre mais qu'elle n'avait jamais vus aurmi en photo dans quelques rapports de missions de ses confrères, notamment de Remus. Si ce dernier était plutôt du genre à le complimenter, ce n'était pas le cas de la plupart de ses collègues... Ce que le Major avait pus lire dépeignait un homme solitaire, taciturne, qui parle peu, un type dans l'ombre et qu'on remarque rarement, bref un type pas si déférent d'elle quelque part. Enfin si l'on oublis le principal, le Marius joue double jeu avec Voldemort pour le compte de l'ordre, sauf qu'il jouerait un peu trop bien... Major se souvenait de ce que disait précisément un rapport :

" Cet homme est un problème, y a pas moyen de savoir ce qu'il pense, pire encore, il rentre mieux dans la peaux d'un mangemort que dans celle de l'un des notre. C'est un peut comme une pièce qu'on aurait lancé en l'air sans savoir sur quelle face elle va retomber."

*Une pièce hein? Voyons déjà pourquoi elle a roulée jusqu'ici.* Major avait parcourut la moitié de la distance la séparant de l'homme durant sa réflexion, et elle avait depuis longtemps lâchée sa manche, reprenant l'une de ses habitudes : ne pas laisser d'indices concernant la présence de sa baguette et de son arme à feu. Arrivé à distance acceptable pour communiquer, Motoko demanda :

_ Monsieur Berkley, c'est bien ça?

[Localisation]

Ah les Lochs, Major avait l'habitude de venir ici pour s'entrainer de temps en temps, histoire de changer un peu du parc de Poudlard. Mais cette fois-ci, pas de défoulement d'adrénaline, ça non, elle avait déjà eu son compte la veille en affrontant la manticore. Son corp soufrait encore légèrement du surmenage, maintenant elle savait ce qu'il en coutait de lancer des rafales de sorts trop puissants pour soit. Malgré tout, c'est tant par habitude que pour se changer les idées qu'elle se retrouva à longer le lac.

En marchant, Motoko jouait machinalement avec sa manche droite, là où se trouvait dissimulée sa baguette. Depuis l'attaque de la manticore à Pré-Au-Lard, elle se sentait nerveuse, non en fait, ce n'était pas tout à fait à cause du monstre, plutôt de l'étrange sorcier. Le Major se sentait comme à l'armée quand son groupe se retrouvait traqué et en mauvaise posture, une sensation des plus désagréable, surtout quand on a plutôt l'habitude d'être dans la peau du chasseur. * Même l'affreux petit homme soul à eu l'air de sentir que quelque chose n'allait pas avec ce type, je devrais peut-être demander à l'ordre si...*

Et justement, comme s'il suffisait d'y penser, c'est ce moment que choisit le destin pour permettre à Motoko de distinguer plus loin une silhouette élancée vaguement familière, surtout en raison de son long manteau. * Est-ce vraiment celui auquel je pense?* Marius Berkeley, un homme dont elle avait entendus des rumeurs au sein de l'ordre mais qu'elle n'avait jamais vus aurmi en photo dans quelques rapports de missions de ses confrères, notamment de Remus. Si ce dernier était plutôt du genre à le complimenter, ce n'était pas le cas de la plupart de ses collègues... Ce que le Major avait pus lire dépeignait un homme solitaire, taciturne, qui parle peu, un type dans l'ombre et qu'on remarque rarement, bref un type pas si déférent d'elle quelque part. Enfin si l'on oublis le principal, le Marius joue double jeu avec Voldemort pour le compte de l'ordre, sauf qu'il jouerait un peu trop bien... Major se souvenait de ce que disait précisément un rapport :

" Cet homme est un problème, y a pas moyen de savoir ce qu'il pense, pire encore, il rentre mieux dans la peaux d'un mangemort que dans celle de l'un des notre. C'est un peut comme une pièce qu'on aurait lancé en l'air sans savoir sur quelle face elle va retomber."

*Une pièce hein? Voyons déjà pourquoi elle a roulée jusqu'ici.* Major avait parcourut la moitié de la distance la séparant de l'homme durant sa réflexion, et elle avait depuis longtemps lâchée sa manche, reprenant l'une de ses habitudes : ne pas laisser d'indices concernant la présence de sa baguette et de son arme à feu. Arrivé à distance acceptable pour communiquer, Motoko demanda :

_ Monsieur Berkley, c'est bien ça?

[Nb de messages]

Ah les Lochs, Major avait l'habitude de venir ici pour s'entrainer de temps en temps, histoire de changer un peu du parc de Poudlard. Mais cette fois-ci, pas de défoulement d'adrénaline, ça non, elle avait déjà eu son compte la veille en affrontant la manticore. Son corp soufrait encore légèrement du surmenage, maintenant elle savait ce qu'il en coutait de lancer des rafales de sorts trop puissants pour soit. Malgré tout, c'est tant par habitude que pour se changer les idées qu'elle se retrouva à longer le lac.

En marchant, Motoko jouait machinalement avec sa manche droite, là où se trouvait dissimulée sa baguette. Depuis l'attaque de la manticore à Pré-Au-Lard, elle se sentait nerveuse, non en fait, ce n'était pas tout à fait à cause du monstre, plutôt de l'étrange sorcier. Le Major se sentait comme à l'armée quand son groupe se retrouvait traqué et en mauvaise posture, une sensation des plus désagréable, surtout quand on a plutôt l'habitude d'être dans la peau du chasseur. * Même l'affreux petit homme soul à eu l'air de sentir que quelque chose n'allait pas avec ce type, je devrais peut-être demander à l'ordre si...*

Et justement, comme s'il suffisait d'y penser, c'est ce moment que choisit le destin pour permettre à Motoko de distinguer plus loin une silhouette élancée vaguement familière, surtout en raison de son long manteau. * Est-ce vraiment celui auquel je pense?* Marius Berkeley, un homme dont elle avait entendus des rumeurs au sein de l'ordre mais qu'elle n'avait jamais vus aurmi en photo dans quelques rapports de missions de ses confrères, notamment de Remus. Si ce dernier était plutôt du genre à le complimenter, ce n'était pas le cas de la plupart de ses collègues... Ce que le Major avait pus lire dépeignait un homme solitaire, taciturne, qui parle peu, un type dans l'ombre et qu'on remarque rarement, bref un type pas si déférent d'elle quelque part. Enfin si l'on oublis le principal, le Marius joue double jeu avec Voldemort pour le compte de l'ordre, sauf qu'il jouerait un peu trop bien... Major se souvenait de ce que disait précisément un rapport :

" Cet homme est un problème, y a pas moyen de savoir ce qu'il pense, pire encore, il rentre mieux dans la peaux d'un mangemort que dans celle de l'un des notre. C'est un peut comme une pièce qu'on aurait lancé en l'air sans savoir sur quelle face elle va retomber."

*Une pièce hein? Voyons déjà pourquoi elle a roulée jusqu'ici.* Major avait parcourut la moitié de la distance la séparant de l'homme durant sa réflexion, et elle avait depuis longtemps lâchée sa manche, reprenant l'une de ses habitudes : ne pas laisser d'indices concernant la présence de sa baguette et de son arme à feu. Arrivé à distance acceptable pour communiquer, Motoko demanda :

_ Monsieur Berkley, c'est bien ça?

[Bourse]

Ah les Lochs, Major avait l'habitude de venir ici pour s'entrainer de temps en temps, histoire de changer un peu du parc de Poudlard. Mais cette fois-ci, pas de défoulement d'adrénaline, ça non, elle avait déjà eu son compte la veille en affrontant la manticore. Son corp soufrait encore légèrement du surmenage, maintenant elle savait ce qu'il en coutait de lancer des rafales de sorts trop puissants pour soit. Malgré tout, c'est tant par habitude que pour se changer les idées qu'elle se retrouva à longer le lac.

En marchant, Motoko jouait machinalement avec sa manche droite, là où se trouvait dissimulée sa baguette. Depuis l'attaque de la manticore à Pré-Au-Lard, elle se sentait nerveuse, non en fait, ce n'était pas tout à fait à cause du monstre, plutôt de l'étrange sorcier. Le Major se sentait comme à l'armée quand son groupe se retrouvait traqué et en mauvaise posture, une sensation des plus désagréable, surtout quand on a plutôt l'habitude d'être dans la peau du chasseur. * Même l'affreux petit homme soul à eu l'air de sentir que quelque chose n'allait pas avec ce type, je devrais peut-être demander à l'ordre si...*

Et justement, comme s'il suffisait d'y penser, c'est ce moment que choisit le destin pour permettre à Motoko de distinguer plus loin une silhouette élancée vaguement familière, surtout en raison de son long manteau. * Est-ce vraiment celui auquel je pense?* Marius Berkeley, un homme dont elle avait entendus des rumeurs au sein de l'ordre mais qu'elle n'avait jamais vus aurmi en photo dans quelques rapports de missions de ses confrères, notamment de Remus. Si ce dernier était plutôt du genre à le complimenter, ce n'était pas le cas de la plupart de ses collègues... Ce que le Major avait pus lire dépeignait un homme solitaire, taciturne, qui parle peu, un type dans l'ombre et qu'on remarque rarement, bref un type pas si déférent d'elle quelque part. Enfin si l'on oublis le principal, le Marius joue double jeu avec Voldemort pour le compte de l'ordre, sauf qu'il jouerait un peu trop bien... Major se souvenait de ce que disait précisément un rapport :

" Cet homme est un problème, y a pas moyen de savoir ce qu'il pense, pire encore, il rentre mieux dans la peaux d'un mangemort que dans celle de l'un des notre. C'est un peut comme une pièce qu'on aurait lancé en l'air sans savoir sur quelle face elle va retomber."

*Une pièce hein? Voyons déjà pourquoi elle a roulée jusqu'ici.* Major avait parcourut la moitié de la distance la séparant de l'homme durant sa réflexion, et elle avait depuis longtemps lâchée sa manche, reprenant l'une de ses habitudes : ne pas laisser d'indices concernant la présence de sa baguette et de son arme à feu. Arrivé à distance acceptable pour communiquer, Motoko demanda :

_ Monsieur Berkley, c'est bien ça?

[Données]

Ah les Lochs, Major avait l'habitude de venir ici pour s'entrainer de temps en temps, histoire de changer un peu du parc de Poudlard. Mais cette fois-ci, pas de défoulement d'adrénaline, ça non, elle avait déjà eu son compte la veille en affrontant la manticore. Son corp soufrait encore légèrement du surmenage, maintenant elle savait ce qu'il en coutait de lancer des rafales de sorts trop puissants pour soit. Malgré tout, c'est tant par habitude que pour se changer les idées qu'elle se retrouva à longer le lac.

En marchant, Motoko jouait machinalement avec sa manche droite, là où se trouvait dissimulée sa baguette. Depuis l'attaque de la manticore à Pré-Au-Lard, elle se sentait nerveuse, non en fait, ce n'était pas tout à fait à cause du monstre, plutôt de l'étrange sorcier. Le Major se sentait comme à l'armée quand son groupe se retrouvait traqué et en mauvaise posture, une sensation des plus désagréable, surtout quand on a plutôt l'habitude d'être dans la peau du chasseur. * Même l'affreux petit homme soul à eu l'air de sentir que quelque chose n'allait pas avec ce type, je devrais peut-être demander à l'ordre si...*

Et justement, comme s'il suffisait d'y penser, c'est ce moment que choisit le destin pour permettre à Motoko de distinguer plus loin une silhouette élancée vaguement familière, surtout en raison de son long manteau. * Est-ce vraiment celui auquel je pense?* Marius Berkeley, un homme dont elle avait entendus des rumeurs au sein de l'ordre mais qu'elle n'avait jamais vus aurmi en photo dans quelques rapports de missions de ses confrères, notamment de Remus. Si ce dernier était plutôt du genre à le complimenter, ce n'était pas le cas de la plupart de ses collègues... Ce que le Major avait pus lire dépeignait un homme solitaire, taciturne, qui parle peu, un type dans l'ombre et qu'on remarque rarement, bref un type pas si déférent d'elle quelque part. Enfin si l'on oublis le principal, le Marius joue double jeu avec Voldemort pour le compte de l'ordre, sauf qu'il jouerait un peu trop bien... Major se souvenait de ce que disait précisément un rapport :

" Cet homme est un problème, y a pas moyen de savoir ce qu'il pense, pire encore, il rentre mieux dans la peaux d'un mangemort que dans celle de l'un des notre. C'est un peut comme une pièce qu'on aurait lancé en l'air sans savoir sur quelle face elle va retomber."

*Une pièce hein? Voyons déjà pourquoi elle a roulée jusqu'ici.* Major avait parcourut la moitié de la distance la séparant de l'homme durant sa réflexion, et elle avait depuis longtemps lâchée sa manche, reprenant l'une de ses habitudes : ne pas laisser d'indices concernant la présence de sa baguette et de son arme à feu. Arrivé à distance acceptable pour communiquer, Motoko demanda :

_ Monsieur Berkley, c'est bien ça?

[Expérience]

Ah les Lochs, Major avait l'habitude de venir ici pour s'entrainer de temps en temps, histoire de changer un peu du parc de Poudlard. Mais cette fois-ci, pas de défoulement d'adrénaline, ça non, elle avait déjà eu son compte la veille en affrontant la manticore. Son corp soufrait encore légèrement du surmenage, maintenant elle savait ce qu'il en coutait de lancer des rafales de sorts trop puissants pour soit. Malgré tout, c'est tant par habitude que pour se changer les idées qu'elle se retrouva à longer le lac.

En marchant, Motoko jouait machinalement avec sa manche droite, là où se trouvait dissimulée sa baguette. Depuis l'attaque de la manticore à Pré-Au-Lard, elle se sentait nerveuse, non en fait, ce n'était pas tout à fait à cause du monstre, plutôt de l'étrange sorcier. Le Major se sentait comme à l'armée quand son groupe se retrouvait traqué et en mauvaise posture, une sensation des plus désagréable, surtout quand on a plutôt l'habitude d'être dans la peau du chasseur. * Même l'affreux petit homme soul à eu l'air de sentir que quelque chose n'allait pas avec ce type, je devrais peut-être demander à l'ordre si...*

Et justement, comme s'il suffisait d'y penser, c'est ce moment que choisit le destin pour permettre à Motoko de distinguer plus loin une silhouette élancée vaguement familière, surtout en raison de son long manteau. * Est-ce vraiment celui auquel je pense?* Marius Berkeley, un homme dont elle avait entendus des rumeurs au sein de l'ordre mais qu'elle n'avait jamais vus aurmi en photo dans quelques rapports de missions de ses confrères, notamment de Remus. Si ce dernier était plutôt du genre à le complimenter, ce n'était pas le cas de la plupart de ses collègues... Ce que le Major avait pus lire dépeignait un homme solitaire, taciturne, qui parle peu, un type dans l'ombre et qu'on remarque rarement, bref un type pas si déférent d'elle quelque part. Enfin si l'on oublis le principal, le Marius joue double jeu avec Voldemort pour le compte de l'ordre, sauf qu'il jouerait un peu trop bien... Major se souvenait de ce que disait précisément un rapport :

" Cet homme est un problème, y a pas moyen de savoir ce qu'il pense, pire encore, il rentre mieux dans la peaux d'un mangemort que dans celle de l'un des notre. C'est un peut comme une pièce qu'on aurait lancé en l'air sans savoir sur quelle face elle va retomber."

*Une pièce hein? Voyons déjà pourquoi elle a roulée jusqu'ici.* Major avait parcourut la moitié de la distance la séparant de l'homme durant sa réflexion, et elle avait depuis longtemps lâchée sa manche, reprenant l'une de ses habitudes : ne pas laisser d'indices concernant la présence de sa baguette et de son arme à feu. Arrivé à distance acceptable pour communiquer, Motoko demanda :

_ Monsieur Berkley, c'est bien ça?

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

_ Oui, c’est moi…

Le ton froid que prit son interlocuteur ne la surprit pas le moins du monde, avec l'idée qu'elle se faisait de l'homme après tout...

_ Que me vaut cette visite cher mademoiselle ? Un problème ?

Il eut beaux essayer d'adoucir ses traits, le Major sentit bien qu'elle dérangeait. Heureusement pour la tranquillité de la journée de monsieur, l'excuse de Motoko fut trouvée en une fraction de seconde.

_ Et bien, monsieur Berkeley, des "amis" m'ont parlé de vous si on peut dire. Vous voyant ici je me suis demandé ce qui vous y amenait, mais comme les plates discussions de courtoisies ne semble pas vous intéresser plus que moi...

Motoko regarda alors autours d'eux, faisant mine d'admirer le paysage tout en vérifiant qu'ils étaient bien seuls. Elle continua alors sur un ton plus bas, au cas ou.

_ Je me contenterais de vous parler à tout hasard de ce qui s'est produit récemment à Pré-Au-Lard, j'ai ouï-dire que des "collègues" à vous y étaient au même moment. Peut-être vous ont-ils parlé de ce qu'il s'y était passé?

Le Major ne savait pas si on pouvait faire confiance à cet homme, mais de toute façon, l'ordre finirait bien par l'interroger plus ou moins discrètement. Comme elle était sur place en contact direct avec lui, autant en profiter pour lui demander des informations afin de rédiger un rapport le plus complet et le plus rapidement possible. Mais a peine eut-elle finit de poser sa question qu'une évidence la frappa. Elle rajouta donc :

_ Mais j'y pense, peut-être y étiez vous vous-même?

En effet, s'il était dans le coin aujourd'hui encore, c'était peut-être bien pour cette raison. Elle attendit ensuite patiemment que Marius réponde, espérant qu'elle avait été suffisamment discrète : elle était un peu rouillée en ce qui concernait la récolte de renseignements auprès des taupes.

Spoiler:

[Localisation]

_ Oui, c’est moi…

Le ton froid que prit son interlocuteur ne la surprit pas le moins du monde, avec l'idée qu'elle se faisait de l'homme après tout...

_ Que me vaut cette visite cher mademoiselle ? Un problème ?

Il eut beaux essayer d'adoucir ses traits, le Major sentit bien qu'elle dérangeait. Heureusement pour la tranquillité de la journée de monsieur, l'excuse de Motoko fut trouvée en une fraction de seconde.

_ Et bien, monsieur Berkeley, des "amis" m'ont parlé de vous si on peut dire. Vous voyant ici je me suis demandé ce qui vous y amenait, mais comme les plates discussions de courtoisies ne semble pas vous intéresser plus que moi...

Motoko regarda alors autours d'eux, faisant mine d'admirer le paysage tout en vérifiant qu'ils étaient bien seuls. Elle continua alors sur un ton plus bas, au cas ou.

_ Je me contenterais de vous parler à tout hasard de ce qui s'est produit récemment à Pré-Au-Lard, j'ai ouï-dire que des "collègues" à vous y étaient au même moment. Peut-être vous ont-ils parlé de ce qu'il s'y était passé?

Le Major ne savait pas si on pouvait faire confiance à cet homme, mais de toute façon, l'ordre finirait bien par l'interroger plus ou moins discrètement. Comme elle était sur place en contact direct avec lui, autant en profiter pour lui demander des informations afin de rédiger un rapport le plus complet et le plus rapidement possible. Mais a peine eut-elle finit de poser sa question qu'une évidence la frappa. Elle rajouta donc :

_ Mais j'y pense, peut-être y étiez vous vous-même?

En effet, s'il était dans le coin aujourd'hui encore, c'était peut-être bien pour cette raison. Elle attendit ensuite patiemment que Marius réponde, espérant qu'elle avait été suffisamment discrète : elle était un peu rouillée en ce qui concernait la récolte de renseignements auprès des taupes.

Spoiler:

[Nb de messages]

_ Oui, c’est moi…

Le ton froid que prit son interlocuteur ne la surprit pas le moins du monde, avec l'idée qu'elle se faisait de l'homme après tout...

_ Que me vaut cette visite cher mademoiselle ? Un problème ?

Il eut beaux essayer d'adoucir ses traits, le Major sentit bien qu'elle dérangeait. Heureusement pour la tranquillité de la journée de monsieur, l'excuse de Motoko fut trouvée en une fraction de seconde.

_ Et bien, monsieur Berkeley, des "amis" m'ont parlé de vous si on peut dire. Vous voyant ici je me suis demandé ce qui vous y amenait, mais comme les plates discussions de courtoisies ne semble pas vous intéresser plus que moi...

Motoko regarda alors autours d'eux, faisant mine d'admirer le paysage tout en vérifiant qu'ils étaient bien seuls. Elle continua alors sur un ton plus bas, au cas ou.

_ Je me contenterais de vous parler à tout hasard de ce qui s'est produit récemment à Pré-Au-Lard, j'ai ouï-dire que des "collègues" à vous y étaient au même moment. Peut-être vous ont-ils parlé de ce qu'il s'y était passé?

Le Major ne savait pas si on pouvait faire confiance à cet homme, mais de toute façon, l'ordre finirait bien par l'interroger plus ou moins discrètement. Comme elle était sur place en contact direct avec lui, autant en profiter pour lui demander des informations afin de rédiger un rapport le plus complet et le plus rapidement possible. Mais a peine eut-elle finit de poser sa question qu'une évidence la frappa. Elle rajouta donc :

_ Mais j'y pense, peut-être y étiez vous vous-même?

En effet, s'il était dans le coin aujourd'hui encore, c'était peut-être bien pour cette raison. Elle attendit ensuite patiemment que Marius réponde, espérant qu'elle avait été suffisamment discrète : elle était un peu rouillée en ce qui concernait la récolte de renseignements auprès des taupes.

Spoiler:

[Bourse]

_ Oui, c’est moi…

Le ton froid que prit son interlocuteur ne la surprit pas le moins du monde, avec l'idée qu'elle se faisait de l'homme après tout...

_ Que me vaut cette visite cher mademoiselle ? Un problème ?

Il eut beaux essayer d'adoucir ses traits, le Major sentit bien qu'elle dérangeait. Heureusement pour la tranquillité de la journée de monsieur, l'excuse de Motoko fut trouvée en une fraction de seconde.

_ Et bien, monsieur Berkeley, des "amis" m'ont parlé de vous si on peut dire. Vous voyant ici je me suis demandé ce qui vous y amenait, mais comme les plates discussions de courtoisies ne semble pas vous intéresser plus que moi...

Motoko regarda alors autours d'eux, faisant mine d'admirer le paysage tout en vérifiant qu'ils étaient bien seuls. Elle continua alors sur un ton plus bas, au cas ou.

_ Je me contenterais de vous parler à tout hasard de ce qui s'est produit récemment à Pré-Au-Lard, j'ai ouï-dire que des "collègues" à vous y étaient au même moment. Peut-être vous ont-ils parlé de ce qu'il s'y était passé?

Le Major ne savait pas si on pouvait faire confiance à cet homme, mais de toute façon, l'ordre finirait bien par l'interroger plus ou moins discrètement. Comme elle était sur place en contact direct avec lui, autant en profiter pour lui demander des informations afin de rédiger un rapport le plus complet et le plus rapidement possible. Mais a peine eut-elle finit de poser sa question qu'une évidence la frappa. Elle rajouta donc :

_ Mais j'y pense, peut-être y étiez vous vous-même?

En effet, s'il était dans le coin aujourd'hui encore, c'était peut-être bien pour cette raison. Elle attendit ensuite patiemment que Marius réponde, espérant qu'elle avait été suffisamment discrète : elle était un peu rouillée en ce qui concernait la récolte de renseignements auprès des taupes.

Spoiler:

[Données]

_ Oui, c’est moi…

Le ton froid que prit son interlocuteur ne la surprit pas le moins du monde, avec l'idée qu'elle se faisait de l'homme après tout...

_ Que me vaut cette visite cher mademoiselle ? Un problème ?

Il eut beaux essayer d'adoucir ses traits, le Major sentit bien qu'elle dérangeait. Heureusement pour la tranquillité de la journée de monsieur, l'excuse de Motoko fut trouvée en une fraction de seconde.

_ Et bien, monsieur Berkeley, des "amis" m'ont parlé de vous si on peut dire. Vous voyant ici je me suis demandé ce qui vous y amenait, mais comme les plates discussions de courtoisies ne semble pas vous intéresser plus que moi...

Motoko regarda alors autours d'eux, faisant mine d'admirer le paysage tout en vérifiant qu'ils étaient bien seuls. Elle continua alors sur un ton plus bas, au cas ou.

_ Je me contenterais de vous parler à tout hasard de ce qui s'est produit récemment à Pré-Au-Lard, j'ai ouï-dire que des "collègues" à vous y étaient au même moment. Peut-être vous ont-ils parlé de ce qu'il s'y était passé?

Le Major ne savait pas si on pouvait faire confiance à cet homme, mais de toute façon, l'ordre finirait bien par l'interroger plus ou moins discrètement. Comme elle était sur place en contact direct avec lui, autant en profiter pour lui demander des informations afin de rédiger un rapport le plus complet et le plus rapidement possible. Mais a peine eut-elle finit de poser sa question qu'une évidence la frappa. Elle rajouta donc :

_ Mais j'y pense, peut-être y étiez vous vous-même?

En effet, s'il était dans le coin aujourd'hui encore, c'était peut-être bien pour cette raison. Elle attendit ensuite patiemment que Marius réponde, espérant qu'elle avait été suffisamment discrète : elle était un peu rouillée en ce qui concernait la récolte de renseignements auprès des taupes.

Spoiler:

[Expérience]

_ Oui, c’est moi…

Le ton froid que prit son interlocuteur ne la surprit pas le moins du monde, avec l'idée qu'elle se faisait de l'homme après tout...

_ Que me vaut cette visite cher mademoiselle ? Un problème ?

Il eut beaux essayer d'adoucir ses traits, le Major sentit bien qu'elle dérangeait. Heureusement pour la tranquillité de la journée de monsieur, l'excuse de Motoko fut trouvée en une fraction de seconde.

_ Et bien, monsieur Berkeley, des "amis" m'ont parlé de vous si on peut dire. Vous voyant ici je me suis demandé ce qui vous y amenait, mais comme les plates discussions de courtoisies ne semble pas vous intéresser plus que moi...

Motoko regarda alors autours d'eux, faisant mine d'admirer le paysage tout en vérifiant qu'ils étaient bien seuls. Elle continua alors sur un ton plus bas, au cas ou.

_ Je me contenterais de vous parler à tout hasard de ce qui s'est produit récemment à Pré-Au-Lard, j'ai ouï-dire que des "collègues" à vous y étaient au même moment. Peut-être vous ont-ils parlé de ce qu'il s'y était passé?

Le Major ne savait pas si on pouvait faire confiance à cet homme, mais de toute façon, l'ordre finirait bien par l'interroger plus ou moins discrètement. Comme elle était sur place en contact direct avec lui, autant en profiter pour lui demander des informations afin de rédiger un rapport le plus complet et le plus rapidement possible. Mais a peine eut-elle finit de poser sa question qu'une évidence la frappa. Elle rajouta donc :

_ Mais j'y pense, peut-être y étiez vous vous-même?

En effet, s'il était dans le coin aujourd'hui encore, c'était peut-être bien pour cette raison. Elle attendit ensuite patiemment que Marius réponde, espérant qu'elle avait été suffisamment discrète : elle était un peu rouillée en ce qui concernait la récolte de renseignements auprès des taupes.

Spoiler:

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

De toute évidence, ce type ne la prenait pas au sérieux : il jetait toute discrétion aux orties, n'essayant même pas de l'orienter dans ses tentatives, il rejetait ses questions avec une nonchalance qui aurait fait perdre patience à plus d'un et pire, il ne la regardait même pas ce faisant. Motoko l'observa admirer son lac, visiblement perdu pour un instant dans ses pensés. *Comme c'est intéressant* Le Major partit du principe qu'il savait ce qu'il faisait et qu'il savait la zone sure, dans le cas contraire, ce ne serait pas son problème après tout.

_ Et bien, vous me voyez fort étonnée de vous voir si mal informé, Remus disait pourtant le plus grand bien de vous dans ses rapports.

Remus Lupin étant le seul à vraiment parler en bien de Berkley, elle espérait que ceci le ferait réagir plus convenablement par la suite.

_ Il serait dommage que je n'ai pas plus d'information à lui apporter concernant cette attaque, comme par exemple "comment tu-sais-qui a pus rentrer dans Poudlard comme dans n'importe quel tripot" ou "pourquoi maintenant, quel est son objectif". Enfin, tout aussi important, "la raison pour laquelle vous n'y étiez pas. Si tu-sais-qui doute de vous, si votre couverture est à la limite d'être compromise". Ceci ferait perdre du temps à l'ordre, vous ne pensez pas?

Kusanagi parlerait donc désormais sans ambages. Contrairement à ce à quoi elle s'était attendus, toutes possibilités de rapports cordiaux entre elle et cet homme semblaient compromises. Qu'importe, tant qu'elle obtient quoi que ce soit d'utile pour l'organisation à laquelle ils appartenaient tout les deux. Le Major se moquait éperdument qu'on l'apprécie ou non tant qu'on lui permettait de faire son boulot. * Je ne pourrait pas lui forcer la main, toute façon il ne risque rien de plus qu'un autre rapport négatif sur son compte. Je ne peux que souhaiter qu'il fera preuve d'assez de vivacité d'esprit pour se rappeler dans quel camp il prétend vraiment être* Tandis qu'elle pensait, l'ex-militaire s'assit dans l'herbe, attendant la réaction de son vis-à-vis. Pour s'occuper les doigts elle prit un brin d'herbe et le fit tourner entre son pouce et son index, copiant par la le dédain de son interlocuteur.

Dire qu'au départ elle se rendait tout simplement sur l'un de ses "terrains d'exercices" pour simplement et exceptionnellement se dégourdir les jambes. Et bien voila qu'elle se retrouvait assise dans l'herbe à tenter son dernier atout persuasif, guère des plus convaincants, pour obtenir des renseignements du membre de l'ordre le moins fréquentable.

[Localisation]

De toute évidence, ce type ne la prenait pas au sérieux : il jetait toute discrétion aux orties, n'essayant même pas de l'orienter dans ses tentatives, il rejetait ses questions avec une nonchalance qui aurait fait perdre patience à plus d'un et pire, il ne la regardait même pas ce faisant. Motoko l'observa admirer son lac, visiblement perdu pour un instant dans ses pensés. *Comme c'est intéressant* Le Major partit du principe qu'il savait ce qu'il faisait et qu'il savait la zone sure, dans le cas contraire, ce ne serait pas son problème après tout.

_ Et bien, vous me voyez fort étonnée de vous voir si mal informé, Remus disait pourtant le plus grand bien de vous dans ses rapports.

Remus Lupin étant le seul à vraiment parler en bien de Berkley, elle espérait que ceci le ferait réagir plus convenablement par la suite.

_ Il serait dommage que je n'ai pas plus d'information à lui apporter concernant cette attaque, comme par exemple "comment tu-sais-qui a pus rentrer dans Poudlard comme dans n'importe quel tripot" ou "pourquoi maintenant, quel est son objectif". Enfin, tout aussi important, "la raison pour laquelle vous n'y étiez pas. Si tu-sais-qui doute de vous, si votre couverture est à la limite d'être compromise". Ceci ferait perdre du temps à l'ordre, vous ne pensez pas?

Kusanagi parlerait donc désormais sans ambages. Contrairement à ce à quoi elle s'était attendus, toutes possibilités de rapports cordiaux entre elle et cet homme semblaient compromises. Qu'importe, tant qu'elle obtient quoi que ce soit d'utile pour l'organisation à laquelle ils appartenaient tout les deux. Le Major se moquait éperdument qu'on l'apprécie ou non tant qu'on lui permettait de faire son boulot. * Je ne pourrait pas lui forcer la main, toute façon il ne risque rien de plus qu'un autre rapport négatif sur son compte. Je ne peux que souhaiter qu'il fera preuve d'assez de vivacité d'esprit pour se rappeler dans quel camp il prétend vraiment être* Tandis qu'elle pensait, l'ex-militaire s'assit dans l'herbe, attendant la réaction de son vis-à-vis. Pour s'occuper les doigts elle prit un brin d'herbe et le fit tourner entre son pouce et son index, copiant par la le dédain de son interlocuteur.

Dire qu'au départ elle se rendait tout simplement sur l'un de ses "terrains d'exercices" pour simplement et exceptionnellement se dégourdir les jambes. Et bien voila qu'elle se retrouvait assise dans l'herbe à tenter son dernier atout persuasif, guère des plus convaincants, pour obtenir des renseignements du membre de l'ordre le moins fréquentable.

[Nb de messages]

De toute évidence, ce type ne la prenait pas au sérieux : il jetait toute discrétion aux orties, n'essayant même pas de l'orienter dans ses tentatives, il rejetait ses questions avec une nonchalance qui aurait fait perdre patience à plus d'un et pire, il ne la regardait même pas ce faisant. Motoko l'observa admirer son lac, visiblement perdu pour un instant dans ses pensés. *Comme c'est intéressant* Le Major partit du principe qu'il savait ce qu'il faisait et qu'il savait la zone sure, dans le cas contraire, ce ne serait pas son problème après tout.

_ Et bien, vous me voyez fort étonnée de vous voir si mal informé, Remus disait pourtant le plus grand bien de vous dans ses rapports.

Remus Lupin étant le seul à vraiment parler en bien de Berkley, elle espérait que ceci le ferait réagir plus convenablement par la suite.

_ Il serait dommage que je n'ai pas plus d'information à lui apporter concernant cette attaque, comme par exemple "comment tu-sais-qui a pus rentrer dans Poudlard comme dans n'importe quel tripot" ou "pourquoi maintenant, quel est son objectif". Enfin, tout aussi important, "la raison pour laquelle vous n'y étiez pas. Si tu-sais-qui doute de vous, si votre couverture est à la limite d'être compromise". Ceci ferait perdre du temps à l'ordre, vous ne pensez pas?

Kusanagi parlerait donc désormais sans ambages. Contrairement à ce à quoi elle s'était attendus, toutes possibilités de rapports cordiaux entre elle et cet homme semblaient compromises. Qu'importe, tant qu'elle obtient quoi que ce soit d'utile pour l'organisation à laquelle ils appartenaient tout les deux. Le Major se moquait éperdument qu'on l'apprécie ou non tant qu'on lui permettait de faire son boulot. * Je ne pourrait pas lui forcer la main, toute façon il ne risque rien de plus qu'un autre rapport négatif sur son compte. Je ne peux que souhaiter qu'il fera preuve d'assez de vivacité d'esprit pour se rappeler dans quel camp il prétend vraiment être* Tandis qu'elle pensait, l'ex-militaire s'assit dans l'herbe, attendant la réaction de son vis-à-vis. Pour s'occuper les doigts elle prit un brin d'herbe et le fit tourner entre son pouce et son index, copiant par la le dédain de son interlocuteur.

Dire qu'au départ elle se rendait tout simplement sur l'un de ses "terrains d'exercices" pour simplement et exceptionnellement se dégourdir les jambes. Et bien voila qu'elle se retrouvait assise dans l'herbe à tenter son dernier atout persuasif, guère des plus convaincants, pour obtenir des renseignements du membre de l'ordre le moins fréquentable.

[Bourse]

De toute évidence, ce type ne la prenait pas au sérieux : il jetait toute discrétion aux orties, n'essayant même pas de l'orienter dans ses tentatives, il rejetait ses questions avec une nonchalance qui aurait fait perdre patience à plus d'un et pire, il ne la regardait même pas ce faisant. Motoko l'observa admirer son lac, visiblement perdu pour un instant dans ses pensés. *Comme c'est intéressant* Le Major partit du principe qu'il savait ce qu'il faisait et qu'il savait la zone sure, dans le cas contraire, ce ne serait pas son problème après tout.

_ Et bien, vous me voyez fort étonnée de vous voir si mal informé, Remus disait pourtant le plus grand bien de vous dans ses rapports.

Remus Lupin étant le seul à vraiment parler en bien de Berkley, elle espérait que ceci le ferait réagir plus convenablement par la suite.

_ Il serait dommage que je n'ai pas plus d'information à lui apporter concernant cette attaque, comme par exemple "comment tu-sais-qui a pus rentrer dans Poudlard comme dans n'importe quel tripot" ou "pourquoi maintenant, quel est son objectif". Enfin, tout aussi important, "la raison pour laquelle vous n'y étiez pas. Si tu-sais-qui doute de vous, si votre couverture est à la limite d'être compromise". Ceci ferait perdre du temps à l'ordre, vous ne pensez pas?

Kusanagi parlerait donc désormais sans ambages. Contrairement à ce à quoi elle s'était attendus, toutes possibilités de rapports cordiaux entre elle et cet homme semblaient compromises. Qu'importe, tant qu'elle obtient quoi que ce soit d'utile pour l'organisation à laquelle ils appartenaient tout les deux. Le Major se moquait éperdument qu'on l'apprécie ou non tant qu'on lui permettait de faire son boulot. * Je ne pourrait pas lui forcer la main, toute façon il ne risque rien de plus qu'un autre rapport négatif sur son compte. Je ne peux que souhaiter qu'il fera preuve d'assez de vivacité d'esprit pour se rappeler dans quel camp il prétend vraiment être* Tandis qu'elle pensait, l'ex-militaire s'assit dans l'herbe, attendant la réaction de son vis-à-vis. Pour s'occuper les doigts elle prit un brin d'herbe et le fit tourner entre son pouce et son index, copiant par la le dédain de son interlocuteur.

Dire qu'au départ elle se rendait tout simplement sur l'un de ses "terrains d'exercices" pour simplement et exceptionnellement se dégourdir les jambes. Et bien voila qu'elle se retrouvait assise dans l'herbe à tenter son dernier atout persuasif, guère des plus convaincants, pour obtenir des renseignements du membre de l'ordre le moins fréquentable.

[Données]

De toute évidence, ce type ne la prenait pas au sérieux : il jetait toute discrétion aux orties, n'essayant même pas de l'orienter dans ses tentatives, il rejetait ses questions avec une nonchalance qui aurait fait perdre patience à plus d'un et pire, il ne la regardait même pas ce faisant. Motoko l'observa admirer son lac, visiblement perdu pour un instant dans ses pensés. *Comme c'est intéressant* Le Major partit du principe qu'il savait ce qu'il faisait et qu'il savait la zone sure, dans le cas contraire, ce ne serait pas son problème après tout.

_ Et bien, vous me voyez fort étonnée de vous voir si mal informé, Remus disait pourtant le plus grand bien de vous dans ses rapports.

Remus Lupin étant le seul à vraiment parler en bien de Berkley, elle espérait que ceci le ferait réagir plus convenablement par la suite.

_ Il serait dommage que je n'ai pas plus d'information à lui apporter concernant cette attaque, comme par exemple "comment tu-sais-qui a pus rentrer dans Poudlard comme dans n'importe quel tripot" ou "pourquoi maintenant, quel est son objectif". Enfin, tout aussi important, "la raison pour laquelle vous n'y étiez pas. Si tu-sais-qui doute de vous, si votre couverture est à la limite d'être compromise". Ceci ferait perdre du temps à l'ordre, vous ne pensez pas?

Kusanagi parlerait donc désormais sans ambages. Contrairement à ce à quoi elle s'était attendus, toutes possibilités de rapports cordiaux entre elle et cet homme semblaient compromises. Qu'importe, tant qu'elle obtient quoi que ce soit d'utile pour l'organisation à laquelle ils appartenaient tout les deux. Le Major se moquait éperdument qu'on l'apprécie ou non tant qu'on lui permettait de faire son boulot. * Je ne pourrait pas lui forcer la main, toute façon il ne risque rien de plus qu'un autre rapport négatif sur son compte. Je ne peux que souhaiter qu'il fera preuve d'assez de vivacité d'esprit pour se rappeler dans quel camp il prétend vraiment être* Tandis qu'elle pensait, l'ex-militaire s'assit dans l'herbe, attendant la réaction de son vis-à-vis. Pour s'occuper les doigts elle prit un brin d'herbe et le fit tourner entre son pouce et son index, copiant par la le dédain de son interlocuteur.

Dire qu'au départ elle se rendait tout simplement sur l'un de ses "terrains d'exercices" pour simplement et exceptionnellement se dégourdir les jambes. Et bien voila qu'elle se retrouvait assise dans l'herbe à tenter son dernier atout persuasif, guère des plus convaincants, pour obtenir des renseignements du membre de l'ordre le moins fréquentable.

[Expérience]

De toute évidence, ce type ne la prenait pas au sérieux : il jetait toute discrétion aux orties, n'essayant même pas de l'orienter dans ses tentatives, il rejetait ses questions avec une nonchalance qui aurait fait perdre patience à plus d'un et pire, il ne la regardait même pas ce faisant. Motoko l'observa admirer son lac, visiblement perdu pour un instant dans ses pensés. *Comme c'est intéressant* Le Major partit du principe qu'il savait ce qu'il faisait et qu'il savait la zone sure, dans le cas contraire, ce ne serait pas son problème après tout.

_ Et bien, vous me voyez fort étonnée de vous voir si mal informé, Remus disait pourtant le plus grand bien de vous dans ses rapports.

Remus Lupin étant le seul à vraiment parler en bien de Berkley, elle espérait que ceci le ferait réagir plus convenablement par la suite.

_ Il serait dommage que je n'ai pas plus d'information à lui apporter concernant cette attaque, comme par exemple "comment tu-sais-qui a pus rentrer dans Poudlard comme dans n'importe quel tripot" ou "pourquoi maintenant, quel est son objectif". Enfin, tout aussi important, "la raison pour laquelle vous n'y étiez pas. Si tu-sais-qui doute de vous, si votre couverture est à la limite d'être compromise". Ceci ferait perdre du temps à l'ordre, vous ne pensez pas?

Kusanagi parlerait donc désormais sans ambages. Contrairement à ce à quoi elle s'était attendus, toutes possibilités de rapports cordiaux entre elle et cet homme semblaient compromises. Qu'importe, tant qu'elle obtient quoi que ce soit d'utile pour l'organisation à laquelle ils appartenaient tout les deux. Le Major se moquait éperdument qu'on l'apprécie ou non tant qu'on lui permettait de faire son boulot. * Je ne pourrait pas lui forcer la main, toute façon il ne risque rien de plus qu'un autre rapport négatif sur son compte. Je ne peux que souhaiter qu'il fera preuve d'assez de vivacité d'esprit pour se rappeler dans quel camp il prétend vraiment être* Tandis qu'elle pensait, l'ex-militaire s'assit dans l'herbe, attendant la réaction de son vis-à-vis. Pour s'occuper les doigts elle prit un brin d'herbe et le fit tourner entre son pouce et son index, copiant par la le dédain de son interlocuteur.

Dire qu'au départ elle se rendait tout simplement sur l'un de ses "terrains d'exercices" pour simplement et exceptionnellement se dégourdir les jambes. Et bien voila qu'elle se retrouvait assise dans l'herbe à tenter son dernier atout persuasif, guère des plus convaincants, pour obtenir des renseignements du membre de l'ordre le moins fréquentable.

[— JOUEUR / JOUEUSE —]

S'était-elle énervée? Voila qui serait étonnent, il était rare que des émotions percent l'épaisse carapace qui enveloppait le Major pour imprégner le monde extérieur. Et encore fallait-il qu'elle ait quelque chose à éprouver. Non vraiment, cet homme devait avoir tellement l'habitude d'inspirer l'exaspération voir parfois la haine et le dégout qu'il ne prenait même plus la peine de vérifier les sentiments qui transpiraient chez ses interlocuteurs. * Comme c'est laid* Motoko comprit également que la confiance n'était pas non plus l'apanage de Marius : il ne lui dirait rien. Et bien tant pis, ce type n'avait qu'à mettre lui-même sa couverture en péril en s'adressant directement à Lupin.

Le major ferma un peu plus son visage dans une royale indifférence, histoire que son vis à vis ne puisse ignorer le fait qu'elle n'avait cure de son comportement pourtant détestable. * Remarque s'il anticipe, quoi que mal, mes "émotions", c'est qu'il est au moins conscient d'être détestable au possible* Motoko déchira alors son brin d'herbe et le lâcha négligemment tout en réfléchissant rapidement. Et en quelques minutes sa décision fut prise, s'il ne faisait pas perdre de temps à l'ordre, il lui en faisait au moins perdre à elle. Or il n'était pas nécessaire d'en gaspiller plus que de raison. Berkeley avait finit sa phrase depuis à peine une demie minute quand elle répondit :

_ Et qui donc nous parle de fierté mal placé avec ses grands airs et ses prétentions douteuses?

Motoko se mit à rire légèrement, histoire de ce rendre un côté plus humain, ce qui fut plutôt réussi car au final son amusement était presque sincère.

_ Si je sais peu de choses de vous, il reste évident que vous en savez encore moins sur moi. Enfin bref, je ne suis pas plus amatrice de "grands discours" que vous, je vais donc vous laisser Ô important parmi les importants.

Motoko se leva prestement et se tourna dans la direction de Poudlard en lâchant :

_ Sur ce, au plaisir de vous revoir, monsieur Berkeley.

Le Major se mit en route, croyant percevoir une réponse de l'homme elle se contenta alors de lever sa main gauche jusqu'au niveau de l'épaule en un simple signe à son intention qui voulait tout et rien dire. Motoko allait rentrer à l'école, il fallait qu'elle prépare son premier cours sur la métamorphose. Peut-être enseignerait-elle à ces trublions comment changer la couleur de leur vêtements pour échapper très simplement à une poursuite en pleine foule? Ou peut être leur enseignerait-elle à épaissir discrètement la corné de leur adversaire pour le rendre moins compétent sans qu'il s'en rende immédiatement compte?

[Localisation]

S'était-elle énervée? Voila qui serait étonnent, il était rare que des émotions percent l'épaisse carapace qui enveloppait le Major pour imprégner le monde extérieur. Et encore fallait-il qu'elle ait quelque chose à éprouver. Non vraiment, cet homme devait avoir tellement l'habitude d'inspirer l'exaspération voir parfois la haine et le dégout qu'il ne prenait même plus la peine de vérifier les sentiments qui transpiraient chez ses interlocuteurs. * Comme c'est laid* Motoko comprit également que la confiance n'était pas non plus l'apanage de Marius : il ne lui dirait rien. Et bien tant pis, ce type n'avait qu'à mettre lui-même sa couverture en péril en s'adressant directement à Lupin.

Le major ferma un peu plus son visage dans une royale indifférence, histoire que son vis à vis ne puisse ignorer le fait qu'elle n'avait cure de son comportement pourtant détestable. * Remarque s'il anticipe, quoi que mal, mes "émotions", c'est qu'il est au moins conscient d'être détestable au possible* Motoko déchira alors son brin d'herbe et le lâcha négligemment tout en réfléchissant rapidement. Et en quelques minutes sa décision fut prise, s'il ne faisait pas perdre de temps à l'ordre, il lui en faisait au moins perdre à elle. Or il n'était pas nécessaire d'en gaspiller plus que de raison. Berkeley avait finit sa phrase depuis à peine une demie minute quand elle répondit :

_ Et qui donc nous parle de fierté mal placé avec ses grands airs et ses prétentions douteuses?

Motoko se mit à rire légèrement, histoire de ce rendre un côté plus humain, ce qui fut plutôt réussi car au final son amusement était presque sincère.

_ Si je sais peu de choses de vous, il reste évident que vous en savez encore moins sur moi. Enfin bref, je ne suis pas plus amatrice de "grands discours" que vous, je vais donc vous laisser Ô important parmi les importants.

Motoko se leva prestement et se tourna dans la direction de Poudlard en lâchant :

_ Sur ce, au plaisir de vous revoir, monsieur Berkeley.

Le Major se mit en route, croyant percevoir une réponse de l'homme elle se contenta alors de lever sa main gauche jusqu'au niveau de l'épaule en un simple signe à son intention qui voulait tout et rien dire. Motoko allait rentrer à l'école, il fallait qu'elle prépare son premier cours sur la métamorphose. Peut-être enseignerait-elle à ces trublions comment changer la couleur de leur vêtements pour échapper très simplement à une poursuite en pleine foule? Ou peut être leur enseignerait-elle à épaissir discrètement la corné de leur adversaire pour le rendre moins compétent sans qu'il s'en rende immédiatement compte?

[Nb de messages]

S'était-elle énervée? Voila qui serait étonnent, il était rare que des émotions percent l'épaisse carapace qui enveloppait le Major pour imprégner le monde extérieur. Et encore fallait-il qu'elle ait quelque chose à éprouver. Non vraiment, cet homme devait avoir tellement l'habitude d'inspirer l'exaspération voir parfois la haine et le dégout qu'il ne prenait même plus la peine de vérifier les sentiments qui transpiraient chez ses interlocuteurs. * Comme c'est laid* Motoko comprit également que la confiance n'était pas non plus l'apanage de Marius : il ne lui dirait rien. Et bien tant pis, ce type n'avait qu'à mettre lui-même sa couverture en péril en s'adressant directement à Lupin.

Le major ferma un peu plus son visage dans une royale indifférence, histoire que son vis à vis ne puisse ignorer le fait qu'elle n'avait cure de son comportement pourtant détestable. * Remarque s'il anticipe, quoi que mal, mes "émotions", c'est qu'il est au moins conscient d'être détestable au possible* Motoko déchira alors son brin d'herbe et le lâcha négligemment tout en réfléchissant rapidement. Et en quelques minutes sa décision fut prise, s'il ne faisait pas perdre de temps à l'ordre, il lui en faisait au moins perdre à elle. Or il n'était pas nécessaire d'en gaspiller plus que de raison. Berkeley avait finit sa phrase depuis à peine une demie minute quand elle répondit :

_ Et qui donc nous parle de fierté mal placé avec ses grands airs et ses prétentions douteuses?

Motoko se mit à rire légèrement, histoire de ce rendre un côté plus humain, ce qui fut plutôt réussi car au final son amusement était presque sincère.

_ Si je sais peu de choses de vous, il reste évident que vous en savez encore moins sur moi. Enfin bref, je ne suis pas plus amatrice de "grands discours" que vous, je vais donc vous laisser Ô important parmi les importants.

Motoko se leva prestement et se tourna dans la direction de Poudlard en lâchant :

_ Sur ce, au plaisir de vous revoir, monsieur Berkeley.

Le Major se mit en route, croyant percevoir une réponse de l'homme elle se contenta alors de lever sa main gauche jusqu'au niveau de l'épaule en un simple signe à son intention qui voulait tout et rien dire. Motoko allait rentrer à l'école, il fallait qu'elle prépare son premier cours sur la métamorphose. Peut-être enseignerait-elle à ces trublions comment changer la couleur de leur vêtements pour échapper très simplement à une poursuite en pleine foule? Ou peut être leur enseignerait-elle à épaissir discrètement la corné de leur adversaire pour le rendre moins compétent sans qu'il s'en rende immédiatement compte?

[Bourse]

S'était-elle énervée? Voila qui serait étonnent, il était rare que des émotions percent l'épaisse carapace qui enveloppait le Major pour imprégner le monde extérieur. Et encore fallait-il qu'elle ait quelque chose à éprouver. Non vraiment, cet homme devait avoir tellement l'habitude d'inspirer l'exaspération voir parfois la haine et le dégout qu'il ne prenait même plus la peine de vérifier les sentiments qui transpiraient chez ses interlocuteurs. * Comme c'est laid* Motoko comprit également que la confiance n'était pas non plus l'apanage de Marius : il ne lui dirait rien. Et bien tant pis, ce type n'avait qu'à mettre lui-même sa couverture en péril en s'adressant directement à Lupin.

Le major ferma un peu plus son visage dans une royale indifférence, histoire que son vis à vis ne puisse ignorer le fait qu'elle n'avait cure de son comportement pourtant détestable. * Remarque s'il anticipe, quoi que mal, mes "émotions", c'est qu'il est au moins conscient d'être détestable au possible* Motoko déchira alors son brin d'herbe et le lâcha négligemment tout en réfléchissant rapidement. Et en quelques minutes sa décision fut prise, s'il ne faisait pas perdre de temps à l'ordre, il lui en faisait au moins perdre à elle. Or il n'était pas nécessaire d'en gaspiller plus que de raison. Berkeley avait finit sa phrase depuis à peine une demie minute quand elle répondit :

_ Et qui donc nous parle de fierté mal placé avec ses grands airs et ses prétentions douteuses?

Motoko se mit à rire légèrement, histoire de ce rendre un côté plus humain, ce qui fut plutôt réussi car au final son amusement était presque sincère.

_ Si je sais peu de choses de vous, il reste évident que vous en savez encore moins sur moi. Enfin bref, je ne suis pas plus amatrice de "grands discours" que vous, je vais donc vous laisser Ô important parmi les importants.

Motoko se leva prestement et se tourna dans la direction de Poudlard en lâchant :

_ Sur ce, au plaisir de vous revoir, monsieur Berkeley.

Le Major se mit en route, croyant percevoir une réponse de l'homme elle se contenta alors de lever sa main gauche jusqu'au niveau de l'épaule en un simple signe à son intention qui voulait tout et rien dire. Motoko allait rentrer à l'école, il fallait qu'elle prépare son premier cours sur la métamorphose. Peut-être enseignerait-elle à ces trublions comment changer la couleur de leur vêtements pour échapper très simplement à une poursuite en pleine foule? Ou peut être leur enseignerait-elle à épaissir discrètement la corné de leur adversaire pour le rendre moins compétent sans qu'il s'en rende immédiatement compte?

[Données]

S'était-elle énervée? Voila qui serait étonnent, il était rare que des émotions percent l'épaisse carapace qui enveloppait le Major pour imprégner le monde extérieur. Et encore fallait-il qu'elle ait quelque chose à éprouver. Non vraiment, cet homme devait avoir tellement l'habitude d'inspirer l'exaspération voir parfois la haine et le dégout qu'il ne prenait même plus la peine de vérifier les sentiments qui transpiraient chez ses interlocuteurs. * Comme c'est laid* Motoko comprit également que la confiance n'était pas non plus l'apanage de Marius : il ne lui dirait rien. Et bien tant pis, ce type n'avait qu'à mettre lui-même sa couverture en péril en s'adressant directement à Lupin.

Le major ferma un peu plus son visage dans une royale indifférence, histoire que son vis à vis ne puisse ignorer le fait qu'elle n'avait cure de son comportement pourtant détestable. * Remarque s'il anticipe, quoi que mal, mes "émotions", c'est qu'il est au moins conscient d'être détestable au possible* Motoko déchira alors son brin d'herbe et le lâcha négligemment tout en réfléchissant rapidement. Et en quelques minutes sa décision fut prise, s'il ne faisait pas perdre de temps à l'ordre, il lui en faisait au moins perdre à elle. Or il n'était pas nécessaire d'en gaspiller plus que de raison. Berkeley avait finit sa phrase depuis à peine une demie minute quand elle répondit :

_ Et qui donc nous parle de fierté mal placé avec ses grands airs et ses prétentions douteuses?

Motoko se mit à rire légèrement, histoire de ce rendre un côté plus humain, ce qui fut plutôt réussi car au final son amusement était presque sincère.

_ Si je sais peu de choses de vous, il reste évident que vous en savez encore moins sur moi. Enfin bref, je ne suis pas plus amatrice de "grands discours" que vous, je vais donc vous laisser Ô important parmi les importants.

Motoko se leva prestement et se tourna dans la direction de Poudlard en lâchant :

_ Sur ce, au plaisir de vous revoir, monsieur Berkeley.

Le Major se mit en route, croyant percevoir une réponse de l'homme elle se contenta alors de lever sa main gauche jusqu'au niveau de l'épaule en un simple signe à son intention qui voulait tout et rien dire. Motoko allait rentrer à l'école, il fallait qu'elle prépare son premier cours sur la métamorphose. Peut-être enseignerait-elle à ces trublions comment changer la couleur de leur vêtements pour échapper très simplement à une poursuite en pleine foule? Ou peut être leur enseignerait-elle à épaissir discrètement la corné de leur adversaire pour le rendre moins compétent sans qu'il s'en rende immédiatement compte?

[Expérience]

S'était-elle énervée? Voila qui serait étonnent, il était rare que des émotions percent l'épaisse carapace qui enveloppait le Major pour imprégner le monde extérieur. Et encore fallait-il qu'elle ait quelque chose à éprouver. Non vraiment, cet homme devait avoir tellement l'habitude d'inspirer l'exaspération voir parfois la haine et le dégout qu'il ne prenait même plus la peine de vérifier les sentiments qui transpiraient chez ses interlocuteurs. * Comme c'est laid* Motoko comprit également que la confiance n'était pas non plus l'apanage de Marius : il ne lui dirait rien. Et bien tant pis, ce type n'avait qu'à mettre lui-même sa couverture en péril en s'adressant directement à Lupin.

Le major ferma un peu plus son visage dans une royale indifférence, histoire que son vis à vis ne puisse ignorer le fait qu'elle n'avait cure de son comportement pourtant détestable. * Remarque s'il anticipe, quoi que mal, mes "émotions", c'est qu'il est au moins conscient d'être détestable au possible* Motoko déchira alors son brin d'herbe et le lâcha négligemment tout en réfléchissant rapidement. Et en quelques minutes sa décision fut prise, s'il ne faisait pas perdre de temps à l'ordre, il lui en faisait au moins perdre à elle. Or il n'était pas nécessaire d'en gaspiller plus que de raison. Berkeley avait finit sa phrase depuis à peine une demie minute quand elle répondit :

_ Et qui donc nous parle de fierté mal placé avec ses grands airs et ses prétentions douteuses?

Motoko se mit à rire légèrement, histoire de ce rendre un côté plus humain, ce qui fut plutôt réussi car au final son amusement était presque sincère.

_ Si je sais peu de choses de vous, il reste évident que vous en savez encore moins sur moi. Enfin bref, je ne suis pas plus amatrice de "grands discours" que vous, je vais donc vous laisser Ô important parmi les importants.

Motoko se leva prestement et se tourna dans la direction de Poudlard en lâchant :

_ Sur ce, au plaisir de vous revoir, monsieur Berkeley.

Le Major se mit en route, croyant percevoir une réponse de l'homme elle se contenta alors de lever sa main gauche jusqu'au niveau de l'épaule en un simple signe à son intention qui voulait tout et rien dire. Motoko allait rentrer à l'école, il fallait qu'elle prépare son premier cours sur la métamorphose. Peut-être enseignerait-elle à ces trublions comment changer la couleur de leur vêtements pour échapper très simplement à une poursuite en pleine foule? Ou peut être leur enseignerait-elle à épaissir discrètement la corné de leur adversaire pour le rendre moins compétent sans qu'il s'en rende immédiatement compte?

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Y a pas de soucis bon courage à toi IRL .

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[— JOUEUR / JOUEUSE —]

Tu es passé de l'état d'esprit du type qui revient sur son jugement et se met à apprécier un côté dévoilé d'une personne au type qui découvre "le même côté" de la "même personne" ce qui conforte son premier jugement . Pardon, y a aucun problème c'est juste un édit qui fait passer le poste de fin du tout au tout, mais je devait souligner mon amusement ^^ . Je crois bien que c'est un RP clos, à moins que quelqu'un d'autre veuille tout comme Major venir titiller du Marius?

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Tu es passé de l'état d'esprit du type qui revient sur son jugement et se met à apprécier un côté dévoilé d'une personne au type qui découvre "le même côté" de la "même personne" ce qui conforte son premier jugement . Pardon, y a aucun problème c'est juste un édit qui fait passer le poste de fin du tout au tout, mais je devait souligner mon amusement ^^ . Je crois bien que c'est un RP clos, à moins que quelqu'un d'autre veuille tout comme Major venir titiller du Marius?