Tendresse, promesse, jeunesse.. [TERMINE][NC-16]

17 Décembre 1999

[Ce topic se déroule non dans la salle de classe mais dans l'observatoire.]

La musique du bal résonnait encore dans la tête de la blondinette. Pourtant, la musique n'était plus qu'un murmure maintenant, puisque notre Serpentarde nationale était à plus de sept étages au dessus. Cloé, qui pourtant aimait les mondanités qu'étaient les bals et les soirées avait quitté le bal de noël. tout ceux qui la connaissaient trouveraient cela étrange. Forcément, lorsque l'on regardait qui est-ce qui l'accompagnait tout semblait bien plus clair dans les esprits des Poudlariens. Devant Cloé, montant les escaliers en lui tenant la main et en lui guidant le chemin, un beau brun en costume. Laurence Nixon montait les escaliers avec facilité, c'est vrai que c'était plus simple en chaussures d'homme qu'en petite ballerines. Mais Cloé suivait le rythme, l'escalier en colimaçon l'empêchait de deviner où elle était, bien trop concentrée à ne pas s'emmêler les pieds pour ne pas tomber. Il serait bête de se tordre la cheville maintenant n'est-ce-pas ? Amusée, la blondinette ne put s'empêcher de demander à celui qu'elle aimait :

- Où est ce que tu m'emmènes ?

Ses yeux malicieux jetèrent un coup d'œil, elle reconnu alors la porte du cours d'astronomie de Mlle Cognitato. Cloé haussa un sourcil et toujours de son ton amusée elle ajouta à son Gryffondor :

- Je crains que Mlle Cognitato ne soit pas vraiment d'accord qu'on passe ici.

Remarque inutile, puisque Laurence ne passa pas la porte de bois mais bifurqua vers la droite. Là encore un escalier dont Cloé ignorait l'existence. On pouvait donc monter encore plus haut que la salle d'astronomie ? Cloé se tut et suivit le Gryffondor en regardant autour d'elle. Elle ne savait pas où elle allait atterrir et cela l'intriguait. Elle passa une main dans ses cheveux quand enfin ils furent en haut des derniers escaliers. La porte n'était pas verrouillée et Laurence la fit rentrée en première. Où ? Cloé appela cette pièce l'observatoire. Des télescopes étaient tous dirigés vers le plafond de verre où des milliers d'étoiles brillaient doucement. Par terre des tapis assistaient ceux qui devaient observer les étoiles. Cloé resta immobilisée un instant, découvrant la pièce dans ses moindres détails.

— ADMINISTRATEUR —

Tendresse.

Promesse.

Jeunesse.

- Ça fait deux mois maintenant qu'il bat, un peu plus chaque jour, pour ton sourire, ta voix, ton odeur, ta présence... Chaque jour, tu es un peu plus importante pour lui... Pour moi.

Un simple coup d'œil avait suffit pour que Cloé se fasse une idée sur cette pièce. Avec Cloé c'était comme ça.. elle jugeait vite, des fois trop vite mais elle se trompait rarement finalement. Elle s'était trompée pour Laurence mais tout allait dans son sens alors jamais elle n'aurait pu penser qu'un jour cette scène se passe. Laurence Nixon, devenir fidèle à une fille, de plus une fille ressortissante de Serpentard. Personne n'y aurait cru une seconde. Pas elle, pas lui, personne. Pourtant,l'instant présent était réel et ce n'était plus un de ces songes que Cloé avait pu juger d'agaçant alors qu'ils n'était que.. doux fantasmes. Un seul coup d'œil avait suffit, elle s'était donc vite retournée vers Laurence pour voir son visage, voir l'expression qu'il avait. Laurence parlait peu, elle savait qu'au contraire d'elle même elle avait du mal avec les mots alors elle avait apprit à se fier à ses expressions du visage, contrairement à elle encore une fois, il ne savait pas cacher ses sensations ce qui était un cas très intéressant et qui aurait été beaucoup trop dur si ce n'avait pas été le cas. Face à Laurence, elle avait eut tout le loisir de le regarder. Beau, brun, les yeux brillants, le sourire aux lèvres, les fossettes qu'elle aimait tant. Elle le laissa passer une main dans ses cheveux blonds qui commençaient à redevenir plus naturels, moins coupe de mondanités. Leurs regard se croisèrent et sans un mot, il la tourna vers les grandes vitres d'où on pouvait voir tout Poudlard de nuit et en levant un peu les yeux, la lune dominait à sa moitié la forêt interdite tandis que les étoiles brillaient tout autour.

Quelques minutes furent consacrés à la contemplation de ce qui s'offrait à eux, mais finalement, le Gryffondor attrapa sa main droite et la porta à son cœur, obligeant la jeune fille à se tourner vers lui. Il la posa au niveau de son cœur. Cloé ne se fit pas prier pour y tenir sa main. Non seulement parce que sous ses doigts elle pouvait sentir doucement les battements du cœur de son Rouge mais en plus elle avait sous la main des muscles taillés par le quidditch anciennement pratiqués. Les mots qu'il prononça effleurèrent tendrement la jolie blonde qui ne put s'empêcher de sourire avec affections. Du torse sur jeune homme, sa main passa doucement à sa nuque où son autre main la rejoignit. Elle enlaça le jeune homme avec tout l'amour qu'elle pouvait et se glissa sur la pointe des pieds pour lui chuchoter à l'oreille :

- Ça me fait tout drôle quand tu me dis des tendresses comme ça, tu sais que tant que je serais importante pour toi alors je serais là. J'espère que ça puisse être le cas autant que possible.

Elle mordilla doucement le lobe de l'oreille de son amoureux et y déposa un léger baiser avant de se replacer dos contre son torse, serrant doucement les bras du Gryffondor autour d'elle. Elle considéra encore le paysage qui s'offrait à ses yeux et en calant sa tête contre le bras musclé du Gryffondor elle déclara doucement :

- Je ne connaissais pas cet endroit. Mais je l'adore..

Sa voix se perdit tandis qu'elle cherchait encore plus la proximité du torse de son Gryffondor.

— ADMINISTRATEUR —

- J'ai voulu te montrer quelque chose que tu n'as jamais vu. Je veux que cet soirée, tu t'en souvienne et que tu en garde un bon souvenir pendant longtemps.

Il faisait froid. La respiration de Cloé devenait douce fumée blanche qui remontait vers le plafond avec une lenteur gracieuse. Cloé lâcha un instant les étoiles du regard pour regarder cette fumée monter. Elle avait des frissons, sa peau reflétait une chair de poule qui se comprenait facilement lorsqu'on jetait un coup d'œil à la température. Heureusement, Laurence la tenait contre lui, ses bras entourant les siens et la réchauffant comme il pouvait. Cloé avait laissé sa cape en bas. Elle n'aurait peut être pas dû mais tant pis. De toute façon elle n'en aura rapidement plus besoin. Seul son cou était victime du froid, Laurence répara rapidement cette injustice car il y déposa sa tête avec tendresse, réchauffant par son souffle la peau de la jeune fille. Cloé pencha sa tête sur le côté et frotta doucement sa chevelure blonde qui s'entremêlaient légèrement dans les cheveux bruns de son Gryffondor.

Aujourd'hui, enfin ce soir, il semblerait que Laurence ait troqué son costume de dragueur en costume du romantique adorable. Car oui, même avec elle, il semblait que Laurence ait un besoin constant de la séduire, de la chercher gentillement et comme Cloé aimait entrer dans ce petit jeu cela pourrait paraître une comédie. Là, il disait des paroles douces et tendres. Elle ne savait pas ce qu'elle préférait. Cependant, ça lui faisait tout bizarre. Elle n'avait juste pas l'habitude, ce n'était pas son Laurence du quotidien mais un Laurence qui cherchait à la combler ce qui la touchait même si ça pourrait paraître un peu maladroit. En attendant, la jeune blonde souriait de toute ses dents. Elle pensait à l'instant présent et ignorait totalement de quoi serait fait le lendemain. En attendant elle profitait juste de ce moment magique. Elle sentit les bras de Laurence la serré un peu plus contre lui. Pour rien au monde elle n'aurait échappé à cette étreinte et elle écouta son amoureux lui raconter qu'il voulait que cette soirée reste unique et gravée dans sa mémoire. Elle souffla alors à son tour :

- Je voudrais qu'elle le soit aussi pour toi..

Bah oui. Histoire qu'elle soit pas assimilées à toutes les autres qui étaient passées avant elle. Elle ne devait pas penser à ça, n'empêche qu'elle ne pouvait pas vraiment s'en empêcher. Laurence avait toujours eut un rôle de Casanova.. Maintenant, il était à elle. Rien qu'a elle et elle devait prouver qu'elle n'avait rien à voir avec toutes ces minettes qu'ils avait pu "rencontrer". Laurence se redressa si bien que Cloé frissonna, il venait d'abandonner son coup au froid de la nuit. Mais rapidement elle n'y pensa plus puisque Laurence venait de la faire pivoter. Il la maniait comme une petite marionnette et c'était amusant à voir. D'ailleurs, cela ne risquait pas d'être ainsi longtemps puisque Cloé était facilement portée à la domination pendant les rapports qu'elle avait put avoir. Cela risquait très certainement d'être le cas ici aussi. Enfaite, ça risquait d'être mouvementé. A cette idée la jeune Serpentarde eut un sourire en coin, sourire qui fut vite rattrapé par un sulfureux baiser. Laurence l'approcha d'elle si bien qu'elle se retrouva complétement collée contre lui. Elle sentait son corps chaud contre le sien.

Sans trop y réfléchir, elle passa ses mains dans le cou du Rouge et Or, cou qu'elle se mit a caresser d'une manière douce et tendre. Ses mains glissèrent même jusqu'au col de la chemise du Gryffondor. Elle se servit de ce col pour l'approcher encore plus, collant sa poitrine contre son torse avec une sensualité juste dosée. La soirée risquait d'être ardente.. et longue.

— ADMINISTRATEUR —

- Elle l'est déjà pour moi... Je suis en train de faire quelque chose de carrément nouveau... Je laisse faire les choses.

Cloé n'avait jamais vécu un couple autrement et Laurence devait bien le savoir. Tant que ça bougeait -pas forcément physiquement rhoooo- ça allait, mais dès qu'il n'y avait plus de passion ou de surprise c'était l'ennui et quand Cloé elle s'ennuyait bah c'était plus la peine. Elle détestait l'idée du vieux couple qui ne se parlaient presque plus et dormaient chacun de leur côté. Cloé elle avait besoin d'une relation vivante, si bien qu'elle préférait les disputes aux ennuis alors ne vous étonnez pas si elle commence à chercher des prétextes de conflit avec son petit-ami. Surtout s'il ne fait pas attention à elle. Avec Laurence, ça faisait quelques mois et pas une seconde Cloé n'avait connu ce sentiment d'ennuis. Bien sur, rien ne disait que cela durerait toujours mais Cloé ne pouvait s'empêcher de penser que c'était bien possible. Ils étaient tellement différents tout les deux, il y aurait toujours quelque chose de nouveau ou même quelque-chose à inventer. Elle ne partait pas non plus dans de grands projets mais elle espérait, tout simplement.

Laurence parla. Ou plutôt il chuchota. D'ailleurs, Cloé ne comprit pas de suite. Il disait que c'était nouveau. Ça d'accord, c'était la première fois qu'il galérait autant pour avoir une fille et qu'elle le tenait plusieurs semaines, c'était la première fois qu'il faisait ça parce qu'il était amoureux et pas seulement pour céder à ses pulsions hormonales. Il le souligna par se seconde phrase mais la troisième.. Je laisse faire les choses. Il laissait faire les choses. Quelles choses ? Il fallut plusieurs minutes pour que Cloé comprenne ce que voulait dire son futur amant. Il ne calculait rien, tout était fruit du hasard et de décisions de dernière seconde. Calculatrice elle aussi, elle aimait se servir de ses sens pour manipuler. Là, elle n'en faisait rien. De toute façon, avec Laurence elle ne savait jamais qui manipulait qui et elle avait cesser de se poser la question qui ne trouverait surement jamais réponse.

Mais apparemment les mots n'étaient plus tout à fait de mise là. Laurence cherchait doucement à la faire reculer, ce que Cloé fit sans broncher. En même temps, il m'embrassait d'une façon tellement excitante que Cloé ne pouvait s'empêcher de se coller toujours plus contre lui, encore plus quand elle put s'appuyer contre la vitre de l'observatoire. Alors, elle s'arrangea pour coller Laurence un peu contre elle. Là, il sentait tout ses formes, elle sentait chacun de ses frissons. Les lèvres du beau jeune homme glissèrent dans son cou et ce fut Cloé qui se mit à frissonner. Néanmoins, ses doigts se faisaient sur au niveau du col du Gryffondor car elles glissèrent lentement au niveau des boutons et retira le premier sans tarder. Sa main gauche se glissa doucement dans le dos du Gryffondor, sous sa chemise, ses ongles effleurant lentement la peau de son amant.

— ADMINISTRATEUR —

HRP: Mets un signe genre [ - 16 ] ou quoi dans le titre stp.

— ADMINISTRATEUR —

Oh my god. Si Cloé pouvait entendre Laurence penser à Kerta dans ce moment là, elle serait folle. Folle de jalousie, de rage, de.. de pleins de trucs mais en tout cas, ça partirait en vrille sévère. Kerta Weaver.. vous la connaissez ? Tout comme Cloé, c'est une des fille que tout le monde connais et c'est bien là le problème. Enfin.. elles se ressemblent trop. Pas physiquement, mais mentalement, elles étaient toutes les deux aussi manipulatrice. Ce pourquoi elle s'entendaient si bien et surtout, ce pourquoi elle avait laissé la jeune brune re-drager Laurence -car c'était son ex- afin de voir si comme il le prétendait, il était capable de changer. Ce n'avait pas été le cas et Cloé avait eut du mal à s'en remettre. Si bien que maintenant, chaque fois qu'elle pensait à Kerta elle hésitait entre la condamnation et l'admiration et c'est ce qui était tellement agaçant.

Heureusement, Cloé n'avait même pas en tête toutes ces idée puisque la seule chose qu'elle réussissait à penser c'était que les lèvres de Laurence sur sa peau était la combinaison la plus doucereuse du monde. Tout en pensant cela elle cherchait elle aussi la proximité avec la peau du Gryffondor, ce pourquoi il se retrouva vite torse-nu. Les mains de Cloé n'hésitèrent pas à explorer le torse tracé et les muscles du beau Gryffondor qu'elle avait contre elle. Que dire, on avait là l'ancien joueur de Quidditch qui n'avait rien perdu de superbe. Cloé était particulièrement en adoration sur ces bras musclés qu'elle caressait avec sensualité et envie. Le poste de batteur avait sublimé son corps, oui le Quidditch c'était vraiment un sport génial. D'ailleurs, si elle le tirait un peu, elle pourrait peut être le convaincre de s'y remettre sérieusement non ? Bon, la dernière fois qu'ils c'étaient retrouvés ensemble sur un terrain de Quidditch c'était partit en vrilles mais bon.

Déjà, elle sentait Laurence s'affairait à retirer ses bretelles. Les deux d'un côté tombèrent lentement sur les épaules de la blondinette. Puis de l'autre côté. Quelques secondes plus tard après que Laurence ait passé une main sulfureuse dans ses boucles blondes alors Cloé sentit sa robe glisser au niveau de son ventre et l'attacher de son soutient-gorge sauter sans problème -ça change de d'habitude-. Les bretelles glissèrent le long de ses bras et Cloé le laissa tomber sans plus de manières. Elle massait tendrement les épaules de son rouge et or tandis qu'elle sentait ses lèvres explorer sa poitrine qui se raffermit sous l'ivresse des baisers.

Mais là, ça suffisait d'être limité dans ses mouvements. Malgré que les caresses du Gryffondor faisait frémir la blondinette, elle voulait elle aussi jouer avec les frissons de son rouge et or. Avec grâce elle se laissa glisser au sol en tendant les jambes. D'une main qu'elle posa sur la droite du bassin de Laurence elle le fit pivoter et le plaqua contre le mure avec une tendresse sauvage et sans attendre elle s'empara de ses lèvres tandis que sa main gauche allait se poser avec fermeté sur la virilité de son petit ami.

— ADMINISTRATEUR —

- Tu te rattrape de m'avoir fait patienter deux mois ?

Il est drôle le petit Laurence qui nous raconte cette histoire. Il se plaint genre il fait tout le travail, n'empêche que si on veut jouer le dominant, c'est un peu le cas. Heureusement pour lui apparement parce que Cloé n'était guère le genre de fille à se laisser faire tout la soirée et à passer le moment sous les mains de son amant. Au contraire, Cloé était plutôt une fille qui aimait prendre des initiatives coquines et électriser la personne qu'elle avait contre elle. Et précisément, c'est ce que Cloé décida de faire après plusieurs minutes que Laurence cajolait sa poitrine. Elle avait fait en sorte de se retrouver au sol et lorsque ses pieds touchèrent les tapis légers elle sentit sa robe glisser le long de son corps et tomber au sol sans que personne ne lui jette le moindre coup d'oeil. Au contraire, Laurence semblait bien plus intéressé par le reste du corps de la blondinette. En même temps, c'était un peu le but.

Cloé avait longtemps était une allumeuse, et dans le monde elle l'était toujours. Elle aimait provoquer la gente masculine, elle devait avoir ça dans le sang puisque sa jumelle était exactement comme ça aussi. Elle avait connaissance des gestes qui faisaient rentrer les garçons en ébullition, d'ailleurs elle utilisa le plus direct, vous savez, celui qui ne laisse aucun doute quant à ses attentions. Une fois au sol, elle laissa ses ballerines là où ses pieds s'étaient posés la première fois. Il ne lui restait plus que sa fine culotte noir sur le dos, enfin sur les fesses, tandis que son cher et tendre était encore torse nu. Elle avait donc plaqué le Gryffondor contre la vitre et avait furieusement attrapé ses lèvres. Sa main posée contre l'intimité du Gryffondor procura l'effet désiré puisque la jeune fille ressentit le raffermissement. Elle serra doucement cette partie convoitée et mordilla la lèvre du jeune homme. Celui-ci n'était d'ailleurs pas décidé à se laisser faire puisqu'il posait une main sur les fesse de la jolie blonde, l'autre sur un de ses seins.

D'un coup de bassin, la jeune fille fit que son seul vêtement vint largement se frotter là où elle avait tantôt posé sa main. Sa main vint attraper la main que Laurence avait sur ses fesses. Avec une lenteur exquise elle alla pacer sa main juste au niveau de l'élastique, plusieurs fois, si bien que le sous-vêtement de la Serpentarde se baissait légèrement. Pendant son autre main, d'une façon experte et ferme, retirait la ceinture du Gryffondor. Elle l'ouvrit et d'un mouvement sec tout en mordillant la lèvre de son amant. Il rompit le silence. Cloé apprécia. Elle n'aimait pas forcément le silence et c'était tellement plus excitant lorsque chacun exprimait clairement ce qu'il sentait et ce qu'il voulait. Avec un sourire narquois la ejune verte et argent n'hésita pas à répondre :

- Estime toi heureux, puisque j'aurais pu te faire patienter infiniment plus longtemps.

Sur ce, le bouton du pantalon du Gryffondor sautait.

— ADMINISTRATEUR —

- Bien-sûr... C'est pas trop tard pour te dégonfler...

Il y a de ces gestes qui ne trompent pas. Des gestes qui paraissent courts, insignifiant et pourtant Cloé en venait presque à se mordre les lèvres à sang. Bon, d'accord elle avait provoqué son petit ami et elle savait que la réaction ne se ferait pas attendre. Néanmoins, cette main glissée à un endroit précis restait électrifiante, que l'on s'y attende ou non. Ainsi, notre blondinette retint sa respiration en sentant les doigts de Laurence se glisser à l'endroit sacro-saint de son corps. Les réactions, bien que moins perceptibles que celles de Laurence vinrent dans les secondes qui suivirent. Sa poitrine ronde et fournit se raffermit, une chair de poule parcourut son dos et ses bras et le rouge lui monta perceptiblement aux joues et aux oreilles. Laurence allait être ravi, si elle se souvenait bien il aimait quand elle rougissait. Il pensait que cela la rendait plus faible, il n'avait peut être pas tord puisque en ce geste tendre, le Gryffondor reprenait tout doucement le contrôle de la situation.

Cependant, Cloé tenait à cette position dominante et ce n'était pas tout de suite qu'elle laisserait Laurence reprendre les commandes, elle aimait trop lui prouver qu'elle n'était pas comme ses autres conquêtes. L'était elle vraiment ? Elle l'espérait en tout cas. Laurence était connu pour ses nombreuses conquête et ce n'était pas tellement ça qui dérangeait la blonde, c'était plutôt le fait de ressembler à une de ces nombreuses conquêtes. Elle lui en avait fait baver, il fallait absolument qu'elle continue à être mieux, être lointaine, car c'était ça qui la démarquait et c'est comme ça qu'elle le conserverait. Ainsi, elle se surpassait. Elle avait toujours apprécié les jeux sensuels, et ainsi elle était plutôt douée. Elle voulait épater le Gryffondor et tout lui venait naturellement. Disons que dans son genre Laurence était.. inspirant. Ainsi, cela commençait à être la fin des préliminaire, tout s'accélérait et Cloé n'était absolument pas contre.

Il était temps d'en terminé avec tout ces vêtements. D'un mouvement sec de la main, elle retira la ceinture du Gryffondor et en plus de ça, elle fit sauter son bouton de pantalon ainsi que sa fermeture éclair. Il restait plus à ce que ce pantalon descende, mais avant.. Cloé passa une main sauvage sur la fesse droite du Gryffondor. Sur ce, elle aida un peu le pantalon du Gryffondor à glisser vers le bas. Les mains de Laurence continuaient de faire des merveilles sur son corps. En même temps il la mettait au défi de le faire attendre encore un peu. Elle s'arracha au divin baiser que venait d'entamer le Rouge et Or. Avec un sourire mutin et les mains sagement derrière le dos elle recula du Gryffondor, pas après pas jusqu'à se retrouver contre l'autre mur de la pièce. Elle s'y appuya et sans lâcher son beau du regard elle se laissa glisser contre le mur en position assise :

- Tu veux vraiment t'arrêter là mon chéri ?

Demanda-t-elle sans toute fois cacher ses véritables intentions.

— ADMINISTRATEUR —

- Selon toi, j'en ai vraiment envie ?

- J'ai attendu jusqu'ici avec une pointe d'impatience, mais finalement ce n'est pas si mal et je ne le regrette pas.

- Je dirais que oui..

- Une pointe ? Je dirais une montagne !

- Je ne vais plus tenir longtemps Laurence Nixon.

— ADMINISTRATEUR —

- Je suis tout à toi ma belle !

Oh, Cloé n'avait rien contre les parties de jambes en l'air imprévues ! Au contraire ! Des fois, les lieux où l'on pouvait se faire voir c'était très excitant et Cloé avait déjà tenté la salle de classe où les douches de son dortoir. Bref, elle aimait bien les relations un peu sur le pouce, à la limite de la violence. Cloé restait Cloé et elle adorait les trucs un peu glausques. Pourtant, si ça aurait été le cas pour sa première fois avec Laurence elle l'aurais mal, mais alors très mal, prit. Pourquoi ? Parce que Laurence avait avant tout été un Dom Juan. Un beau parleur qui couche n'importe où, n'importe quand et avec n'importe qui. Il avait trop trimé pour gagner la confiance de Cloé et il n'était pas stupide, il savait qu'elle voulait être spéciale. Elle ne voulait pas être une salxpe comme certaine dont elle ne citerait pas le nom. Elle voulait avoir l'unanimité. C'était orgueilleux et égoïste. C'était Cloé.

Alors laissez moi vous dire que ce moment, Cloé le savoure plus que nécessaire et étant une jeune fille impulsive et fougueuse, elle commençait à trouver les préliminaires longues bien qu'elle adorait ce genre de petites mise en jambe. Non, là, il était temps d'assouvir les désir de notre blondinette mais aussi prouver qu'elle était bien plus qu'une de ces nanas qu'il avait pu se faire. Et elle était sur la bonne voie puisqu'elle était à présent nue. Elle sentait son dernier vêtement glisser le long de ses jambes. Elle se colla contre son Gryffondor et chaque forme de chaque corps vint ravir l'autre. Notamment le bas ventre de Cloé qui sentait une douce chaleur se rependre en elle. Alors que les mains de Laurence allaient faire des merveilles, la blondinette estima qu'elle était plus que prête à accueillir son Rouge et or en elle. D'une main experte et dominatrice, la blondinette attrapa le membre de Laurence et le redressa doucement. Comme si elle l'avait fait toute sa vie, la blondinette décida de surprendre son petit ami en s'y glissant d'un coup sec qui lui arracha un petit son et ses joues qui devinrent plus rouges encore.

— ADMINISTRATEUR —

Cloé n'était vraiment pas une fille qui se laissait faire. Elle avait ce don qui faisait qu'elle savait diriger. Qu'elle aimait diriger. Laisser aller les choses c'était vraiment pas dans ses habitudes. Au contraire. Elle voulait avoir la main mise sur tout. Absolument tout. C'était un peu frustrant pour une fille comme Cloé de voir les choses se dérouler et que ce n'était pas ainsi qu'elle voulait que ça se passe. Pourtant, Cloé allait dans quelques minutes comprendre quelque chose c'est que, l'amour, ça se joue à deux. Et qui si l'un est impassible ou qu'au contraire il prend toute les décision, cela devient beaucoup moins appréciable. Cloé dominait les jeux érotiques depuis un moment et elle sentait que cela ne serait pas ainsi toute la soirée. Bien entendu, Laurence était un jeune homme doué, très doué même parce que du plus loin que la blondinette se souvienne, elle n'avait jamais rien vécu de semblable. Tout semblait parfait. Tout était parfait. La blondinette avait décidé de passé à l'acte et elle savait bien qu'en prenant cette décision, elle signait son arrêt de domination.

Guider Laurence en elle, quelques mouvements simple et il avait déjà prit les rênes. Elle se pencha vers lui et répondit au baiser avec toute la passion qui lui brûlait le ventre. Elle avait envie, envie, envie que ça aille mille fois plus loin. Laurence prenait les choses en main et chaque coup de bassin était pour Cloé une raison de rosir encore plus tandis que de petits gémissements de plaisir quittaient ses lèvres avec délicatesse. Les mains de la jeune Serpentarde caressaient avec amour et tendresse les joues de son amant sans le quitter une seule seconde des yeux. Lui, il avait les yeux fermés et elle ne pouvait s'empêcher de s'attendrir devant ce visage d'ange. Jonglant entre les mouvements de son bassin et la contemplation du visage de Laurence, elle ne s'attendait pas à ce qu'elle passe en dessous. Avec une exquise douceur Cloé se retrouva dessous et ses cheveux blonds s'éparpillèrent sur le tapis tandis qu'un sourire malin lui montait au lèvre. Visiblement, le jeu restait de la partie et Cloé en était plus que ravie. Cela ne risquait pas d'être la dernière position de la soirée.

Dessous, la blondinette entoura la taille du Gryffondor de ses jambes afin de ressentir chaque mouvement du corps de son Laurence en elle. Il était tendre et vigoureux à la fois. Cloé ressentait chaque aller-retour et profitait de cette position de dominée pour enflammer encore cette relation. Ses mains se baladaient sur le dos et sur les fesses du Gryffondor qu'elle griffait légèrement lorsque ses mouvements étaient particulièrement bons. Oui, l'amour avec les sentiments, c'était autre chose et comme si elle avait entendu cette pensée la blondinette ressentit le besoin d'embrasser son rouge et or. Avec tendresse elle approcha son visage du sien et réclama un baiser torride, à l'image de leurs ébats. Cloé, à ce moment là, était une jeune fille parfaitement comblée.

— ADMINISTRATEUR —

Elle n'était qu'une gamine après tout. A quinze ans, elle savait manipuler les hommes à sa guise mais c'était parce qu'on lui avait apprit. A quinze ans elle savait aussi qu'elle était capable de tout et n'importe quoi pour atteindre ses buts. A quinze ans, aussi et surtout, elle était tombée amoureuse pour la première fois et avouons le, elle était un peu perdue. Son père n'était pas au courant, sa soeur ne cautionnait pas cette liaison et tout Poudlard ne voyait en ce couple qu'un feux d'artifice prêt à faire des étincelles. Dans certains moments de doute, la blondinette ne comprenait pas ce qui la poussait dans les bras de Laurence Nixon. Qui ? Non, ce n'était certainement pas une personne. Quoi alors ? Disons que Laurence avait tout pour lui.

Cloé n'était pas une fille facile. Enfin, elle pouvait être une sacré allumeuse quand elle voulait. Néanmoins, c'était elle qui manipulait, ou personne. Seulement, avec Laurence, elle ne savait jamais qui manipulait qui et à chaque demande réitérée par le Gryffondor la fougueuse blondinette se sentait en danger parce qu'elle savait que Laurence n'était pas un garçon comme tout les autres. Il avait des défauts et une réputation de Don Juan qui lui collait à la peau. C'était cette réputation que Cloé fuyait farouchement. Elle ne voulait pas être une énième conquête et elle imaginait encore moins l'idée d'être la petite copine de Laurence Nixon.

Finalement, il en avait été décidé autrement et c'est aujourd'hui dans une liaison affirmée que les deux adolescents faisaient l'amour avec tendresse. Tendresse.. Cloé avait toujours été habituée aux rapports plus ou moins.. houleux. Et là, c'est une vision toute différente de la relation charnelle. Tout n'était que douceur et volupté dans les bras de son beau Gryffondor. Serrant un instant son corps contre elle, le Gryffondor lui arracha un baiser sulfureux et amoureux que la Serpentarde ne put que savourer, et gémir. Laurence accompagnait chaque baiser par un coup de bassin différent des autres. Plus puissant, plus profond. Il faisait des merveilles en la jeune Serpentarde et quand elle y repense, c'est parce qu'il a de l'entrainement..

— ADMINISTRATEUR —

Cloé laissait Laurence prendre les cartes en main de plus en plus. Et il faut avouer qu'il se débrouillait plus que bien. Laurence était un charmeur, un beau parleur, un romantique lorsqu'il le voulait. Et quand il décidait de donner ses faveurs à une femme et bah il était plus que tendre et agréable. Il alliait la force et la douceur d'une façon que Cloé ignorait encore chez son petit ami. Elle profitait de chaque caresse qu'il glissait sur son corps, de chaque baiser qu'il parsemait sur sa peau, de chaque coup de rein qui faisait un peu plus gémir la jeune Cloé. Elle avait sur le visage une expression qui ne pouvait que prouver qu'elle était au septième ciel. En plus de cela, elle était rose comme une fleur, ses yeux bleus tranchants sur sa peau colorée. Elle avait très souvent les yeux rivés dans ceux de son amoureux mais de temps à autre le plaisir était a une telle intensité qu'elle devait fermer les yeux afin de contenir son plaisir et de le savourer, en elle.

Laurence avait à présent soif de changement et Cloé qui se lassait vite, bien que ce n'était pas encore le cas, fut ravie de ce changement de position. Apparemment, son Gryffondor avait décidé de lui faire découvrir une nouvelle position car la manière dont il la prit ne rappela rien à Cloé. Le garçon brun passa un bras dans le dos de Cloé et se défit d'elle avec lenteur. Finalement, le jeune Gryffondor se redressa à genou et attrapa le bassin de la Serpentarde. Elle comprit seulement le principe de la position lorsque Laurence rentra de nouveau en elle lui arrachant un gémissement de surprise. C'était très.. déroutant pour les premières secondes. Elle reposait sur les coude,s la tête un peu penchée en arrière et le bassin bien plus haut que celle-ci. Elle voyait Laurence de tout son long et franchement, la vue était plus qu'agréable. De plus que Cloé avait toujours eut un petit faible pour les positions verticales qui, contrairement aux positions telle que le missionnaire offrait une plus grand sensibilité. Dans ces positions elle aimait d'autant plus les mouvements de bassins qui s'entrechoquaient délicieusement, bref, les premiers mouvements furent pour Cloé une cascade de bonheur et de plaisir.

L'échange venait de monter d'un cran et Cloé passait des gémissements aux petits cris de plaisir qui résonnaient sensuellement à l'intérieur de l'habitacle où s'étaient réfugiés, à l'abri des étoiles, le jeune couple d'amoureux. La blondinette aimait les ébats mouvementés et de plus en plus, celui là lui paraissait parfait. Il y a quelques secondes elle voulait reprendre le contrôle mais Laurence venait de la convaincre qu'il pouvait garder un peu les rênes mais néanmoins, la jeune blonde se promettait déjà qu'il serait bientôt temps d'allumer son cher Laurence. Bientôt ce serait au Gryffondor de gémir.