Rencontre innatendue. [PV Akira]

— ADMINISTRATRICE —

A ces mots Lyzandra sentit son cœur qui s'était quelques peut calmer battre à nouveau à tout rompre, elle avait l'impression que tout le chaudron baveur pouvait en entendre le rythme.
Une esquisse de sourire apparut alors sur son visage et elle plongeât son regard dans celui d'Akira dégageant préalablement son esprit de toute barrière mentale, livrant les tréfonds de son âme sans condition au jeune homme.

-Akira... Je... J'ai besoin de temps pour être sure de ne rien regretter...

De sa main elle effleurât la joue de son interlocuteur sans le lacher du regard.

-Mais sache que je mentirais si j'affirmais que les portes de mon cœur te sont closes.

"Je ne t'ai pas dit ça pour que tu tombes dans mes bras, même si j'ai un charme fou auquel tu ne peux résister." ajouta t-il pour détendre quelque l'atmosphère.

"Je sais que tu as quelqu'un, et comme je l'ai déjà dit, j'attendrais que tu es fait ton choix et que je le respecterais, quoi que tu choisisses."

— ADMINISTRATRICE —

-Je tenais simplement à être honnete avec toi en te disant ce que je ressens. Même si résister à ton charme implacable devient de plus en plus difficile.

Dit-elle en souriant et prenant au passage la main d'Akira dans la sienne.

-Pourquoi tout est si simple avec toi Akira ???

Pourquoi ? Peut être parce qu'il agissait au lieu de se prendre la tête avec des réflexions stériles. Mais que pouvait-il lui répondre ?

"Tais toi et mange." dit-il en lui mettant le dernier sushi dans la bouche.

— ADMINISTRATRICE —

Lyzandra failli s'étouffer en riant avec son sushi. Elle finit sa bouchée avec difficultée.

-Tu tients réellement à m'étouffer ?

Plaisanta-t-elle en serrant à peine la main du jeune homme.

-Tu sais maintenant qu'il n'y a plus e sushi je pourrais très bien reformulé ma question...

Volontairement elle laissat planer un silence de quelques secondes.

-Mais la réponse que tu m'a apportée me convient parfaitement.

La jene hongroise avait à présent perdu cette ombre qui voilait son regard depuis quelques mois pour retrouver un regard vif et malicieux, elle affichait même un sourire mutin qui semblait ne plus vouloir la quitter.

Akira était heureux de voir Lyzzie sourire autant. Il savait qu'elle venait de vivre quelque chose de pénible.

"Et bien content de voir que ma réponse te plaise."

D'un geste ample, il nettoya la table du riz qui était tombé.

— ADMINISTRATRICE —

Akira parassait plus à l'aise que dans son pays natal bien qu'éant toujours réservé. Comme s'il avait été dbarasssé de chaines qui l'epechait d'être lui même.

-En totu cas toi tu à l'air mieu qu'avant comme si tu étais libre d'être toi même. Je me trompe ?

"Il s'est passé pas mal de choses en une année. Plus que tu ne l'imagines. Ça m'a fait prendre conscience que je pouvais pas abandonner qui j'étais pour faire plaisir aux autres."

Akira fit une pause :

"Je ne suis pas sur d'être très clair sur ce que je dis."

— ADMINISTRATRICE —

Plus que jamais Lyzandra avait envie de prendre le jeune dans ses bras...

-Oui je comprends tout à fait ce que tu veux dire, être ce que l'on est sans concession aucune n'est pas donné à tous le monde, et pour se le permettre il faut en payer le prix... Le prix fort même... Mais je suis contente que tu ais laisser derrière toi les fantômes de ton passé, c'est une bonne chose, il est temps que tu pense à toi et d'agir comme bon te semble sans te soucier de l'avis des autres.

A présent Lyzandra caressait distraitement le bras d'Akira du bout des doigts.

-Raconte moi ce qui s'est passé, à moins bien sur que tu n'ai pas envie d'en parler...

"Et bien, mon père est tombé malade donc j'ai repris sa place à la direction de l'école, tout en gardant ma place de secrétaire à la cour de justice. J'ai cru devenir fou."

Akira ne mentait pas, l'année avait vraiment été très dure.

"Et puis mon père est mort, c'est à ce moment que j'ai démissionné de la cour de justice, pour ne pas laisser tomber l'école en pleine année scolaire. Et puis c'était assez amusant. Donc je suis resté directeur le temps de mettre les affaires de mon père en ordre pour venir ici. Et j'ai fait quelque chose dont je rêvais depuis longtemps." finit-il avec un air mystérieux.

— ADMINISTRATRICE —

-Et peut-on savoir de quoi il s'agit monsieur ou bien alors vais-je devoir vous supplier à genoux ?

Dit alors la jeune hongroise piquée par la curiosité.
Akira affichat un sourire encore plus mystérieux, Lyzandra inclinat alors la tête sur le côté prenant un air de cocker battu avant d'aclater d'un rire cristalin.

-Serieusement Akira dis moi !

Akira souriait :

"Très bien, tu te rappelles de mon envie de tatouage ? Et bien je me suis lancé, j'en ai fait un. En plein sur le dos."

Il regarda Lyzandra :

"J'imagine que tu veux le voir. J'aurais du m'en douter."

Il sortit sa baguette et la pointa sur la table. Un dessin apparut : une paire d'ailes.

"Voila le motif, il y a trop de monde pour que je te le montre maintenant."

— ADMINISTRATRICE —

Le motif collait parfaitement à la personnalité de son porteur, déjà la jeune fille imaginais le dessin sur la peau d'Akira.

-Il me tarde vraiment de le voir tu sais...

La jeune fille soupira, elle était bien avec Akira mais ne pouvait s'empecher d'éprouver un sentiment de culpabilité vis à vis d'Elidore, elle avait le sentiment de le trahir quelques part, même si elle ne pouvait que suivre les élants de son coeur. Elle avait beau vouloir profiter de l'instant sans se soucier du reste c'était plus fort qu'elle. Il n'était pas dans la nature de Lyzandra de manquer de franchise et de jouer avec les sentiments des autres. Elle venait tout juste de retrouver Akira néanmoins c'est comme si cette rencontre avait été l'élément déclencheur de sa ^rise conscience. Durant toute une année à force de vouloir tout refouler elle avait finit par se convaincre qu'elle l'avait définitivement oublier, mais non la vérité était devant ses yeux, simple, cru et même brutale.
La mine concentré la jeune fille hésitait à présent entre suivre ce qui lui dictait son coeur et prendre du recul. Même si elle n'éprouvait aucune envie de s'éloigner du jeune japonnais.

"Tu as l'air bien sérieuse tout à coup Lyzzie, ça ne va pas ?"

Il comprenait que son arrivée puisse mettre la jeune fille dans une situation délicate.

"Si jamais tu préfères ne pas me revoir avant d'avoir fait le point je comprends, il n'y a pas de problème, dis le moi, c'est tout."

Akira avait placé sa main sur la joue de Lyzzie, et la regardait dans les yeux.

— ADMINISTRATRICE —

-Non... Au contraire... Je pense pouvoir dire que maintenant je sais où j'en suis, même si concrètement je dois mettre les choses au clair avant d'aller plus loin.

La jeune fille prit une profonde respiration, de celle que l'on prend pour se donner du courage avant de se lancer à bras le corps dans une délicate entreprise. Elle releva la tête et planta son regard dans celui de l'ainé des Mihyana.

-Akira... Je...

Elle soufflat, ce qu'elle voulait dire n'était pas facile.

-Je suis toujours amoureuse de toi, le temps n'y a rien changé et il a fallut que je te revois pour le comprendre alors non définitivement je ne veux pas être séparée de toi.

Akira ne s'était pas attendu à un aveux aussi directe. Il ne savait pas quoi faire : il voulait aussi lui dire ce qu'il ressentait pour elle, mais de l'autre il ne voulait rien faire tant qu'elle ne serait pas célibataire.

Il se leva, attrapa délicatement Lyzandra par le bras et l'attira contre lui.

"Boku mo." lâcha t-il. C'était tout ce qu'il pouvait dire dans ces circonstances.

(Moi aussi.)

— ADMINISTRATRICE —

La jeune fille n'était pas certaine du sens exact des mots que venait de prononcer Akira mais aux vues de la réaction de celui-ci il ne l'avait certainement pas éconduite. Elle posa sa tête sur l'épaule du jeune homme et ferma les yeux écoutant simplement les battement du coeur de celui qui l'enlaçait.

Akira resta un moment immobile, Lyzandra contre lui, ne faisant rien d'autre que de caresser sa longue chevelure.

Finalement, il s'arracha à l'étreinte.

"On ne devrait pas." murmura t-il. Il n'était même pas sur qu'elle est entendue.

— ADMINISTRATRICE —

-Tu as sans doute raison...

Akira tenait encore la jeune fille par les épaules.

- Je ne veux pas t'embarasser Akira, excuse moi... Que fais-tu demain ?

Akira fut surpris par la question :

"Euh, rien de spécial, enfin je veux dire que je n'ai rien prévu. Pourquoi ?"

— ADMINISTRATRICE —

-Parce que demain je dois visiter des maisons avec un moldu et je suis pas trs rassurée à l'idée d'y aller seule, et si tu n'as rien e particulier à faire alors j'aimerais bien que tu m'accompagne, si ça ne te dérange pas évidement...

Visiter une maison ? Akira trouvait l'idée amusante :

"Très bien, je viens avec toi, ça peut être marrant. Puis comme ça je pourrais me faire une idée du genre de maison que je prendrais."

Lyzandra bailla :

"Par contre on ferait mieux d'aller se coucher maintenant. D'accord ?"

— ADMINISTRATRICE —

-Oui tu as raison, je tombe de sommeil. Montons nous coucher.

Tous deux se levèrent puis grimpèrent la volée de marches qui menaient à l'étage.

-On se retrouve demain pour le petit déjeuner ? Ma chambre est juste ici.

Dit elle en se retournant vers Akira qui la suivait de près. Elle s'approchat de lui et déposat un rapide baiser sur sa joue.

-Bonne nuit Akira.

"Très bien, à demain." dit-il en souriant.

Il ne répondit pas au baiser de Lyzandra et la regarda rejoindre sa chambre avant d'aller dans la sienne.

Il n'aurait jamais pensé la revoir, et pourtant elle était là ...

Quénodore entra dans l’unique bar magique de Londres qui menait au chemin de traverse. Un brouhaha infernal y régnait, comme d’habitude, Elidore chercha des yeux la jeune hongroise. Il n’eu pas longtemps à chercher, ses longs cheveux d’un noir de jais étant reconnaissable, mais son sang ne fit qu’un tour en voyant qu’elle n’était pas seul. Et son état ne s’arrangea pas en les voyant main dans la main. Il soupira, levant les yeux au ciel. Il commençait à connaître Lyzandra. Et à vrai dire il commençais à être familier de se genre de situation. Déjà, il entreprenais à se calmer. Puis il détailla le jeune homme. Il était japonais. C’était une certitude. Ils semblaient absorber par leur discutions. Puis ils se levèrent Ils s’enlacèrent, puis Lyzandra l’embrassa. Quénodore eu un rictus. Involontairement, il grogna. En montant les escaliers, le regard de la jeune hongroise croisa le sien. Elidore fit volte-face. Il sortit en claquant la porte du Chaudron Baveur.