Funeste après midi [PV : Elidore Quénodore]

Un choc froid l’envahis de nouveau. Elidore tendit la main pour attraper sa baguette. Il referma ses doigts dessus avant de prendre une légère inspiration

-Excuse moi pour tout à l’heure … la drogue n’excusera pas ce que j’ai fait …

Il fit une pause afin de ranger sa baguette dans sa poche. Son regard de replanta dans celui de Lyzandra

- Je te remercie beaucoup pour ce que tu as fait, tu t’es mise en danger pour moi.

Il sentit l’énervement de l’hongroise monté. Mais il tenta de continuer

- … j’aimerais que tu ne cherches plus à me sauver de toutes les situations périlleuses …

Il sentit le sang de Lyzandra bouillé sous le hors-sujet qu’il lui imposait. S’il continuait la situation risquait de s’aggraver.

- Ecoute, je le savais, c’est tout. Je ne vois pas pourquoi tu aurais besoin de savoir comment j’ai sus ça … je voudrais juste que tu me confirme que ton enfant est bien d’Akira … dit-il toujours calmement

— ADMINISTRATRICE —

-Tu ne peux pas me demander de faire comme si de rien n'était... C'est quelques chose de trop important pour que je puisse passer outre... Il s'agit tout de même de moi et de quelques choses de très personnel.

Elle soupira, volontairement elle avait esquiver les deux questions qu'il venait de lui poser, il n'obtiendrait pas de réponse tant qu'elle même n'en aurait pas eu.

Il soupira.

- Je ne me bâterais pas avec toi Lyzandra. Je ne te dirais rien. Et si tu ne veux rien me dire toi non plus, je le découvrirait seul avant de partir, ce n’est qu’un question de temps.

Il fit un pas vers la sortit, il s’attendait à voir la jeune hongroise l’empêcher de sortir. Il la bouscula pour passer.

- Je n’ai plus rien à perdre …

Soudain il se figea. Il venait d’avoir une idée. Une condition. Il se tourna vers Lyzandra.

- Je sais. Tu veux savoir qui m’a dit que tu étais enceinte. Très bien. Je vais te le dire. Mais d’abord, promet-moi de me laisser repartir ; de me laissez repartir SEUL

Il insista sur le dernier mot

— ADMINISTRATRICE —

La jeune hongroise n'eut pas de réaction, ni à la quetsion ni à la bousculade, il allait s'en aller, il se dirigeait vers la porte de la chambre, il fallait à tout prix qu'elle réagisse.
C'est alors qu'elle le retint en le faisant pivoter sur lui même, et comme lui même l'avait fait quelques heures plus tot elle posat ses lèvres sur celles de l'ancien professeur pour l'mbrasser avec fougue, puis elle reculat.

-Nous voici à armes égales maintenant.

Dit-elle dans un souffle.

-Réponds moi maintenant s'il te plait...

Il fut parcourut d’un long frisson en sentant les lèvres de la jeune hongroise. Son cœur fit un bond en avant. Puis elle s’éloigna.

- De qui est l’enfant … continua-t-il

— ADMINISTRATRICE —

La jeune fille se trouvait presque au pied du mur et il allait lui falloir jouer plus que serré... De nouveau elle s'aprochat d'Elidore laissant tout jutse quelques millimètres entre sa bouche et celle d'Elidore

-Cet enfant... Celui que je poret n'a qu'un seul père...

Tandis qu'elle parlait ses lèvres effleuraient de temps à autres celles de son interlocuteur.

-Lhmme que j'aime, Elidore, et celui que je vais épouser. Ce bébé est celui d'Akira;

Fnit-elle par dire, puis sans pour autant bouger elle continuat.

-Tu as eu une réponse... J'en attends autant de toi à présent.

A nouveau, choc froid après la révélation de la belle hongroise. Mais il eu un sentiment de soulagement. Ce n’était pas son fils. La proximité de Lyzandra le faisait tressaillir, et il se demandait presque ce qu’elle faisait réellement. En faîte, il se demandait même si elle ne jouait pas avec lui. Ce ne pouvait pas être sincère. Il eu un léger sourire en se rendant compte de ce qu’elle essayait de faire.

- Promet-moi de me laissez repartir seul demanda-t-il C’était la condition … lui rappela-t-il calmement

Il ne bougea pas. Leurs lèvres se touchèrent presque. Mais il devait garder son sang froid.

— ADMINISTRATRICE —

-Si par seul tu entends qu je ne te suivrai pas alors tu as ma parole...

A présent sans pour auant avoir bougé ell effleurait l'encolure de la chemise du jeune homme.

-Puis je risque d'être occupée ces prochains mois tu sais... Bien trop occupe pour avoir le loisir de te courrir après...

Elle avit déboutonné le premier bouton de la chemise et elle sentait bien que son ancien compagnon devait fournir un effort considérable pour garder son sang froid, elle pouvait sentir son coeur batre à tout rompre tant elle se trouvait proche de lui, elle choisit ce moment précis pour dénuder un peu plus la torse d'Elidore qu'elle parcourrait du bout des doigts.

-Tu devrais être en mesure de me répondre là non, tu ne crois pas... ?

Sa respiration se faisait vite et fort, le mouvement de ses côtes s’accélérait tendit que les doigts de l’hongroise parcourait le torse qu’elle avait elle-même dénudé.

- Seul … sans toi, sans personne … dit-il dans un souffle

Il commençait à perdre son sang froid

- … sans corbeau.

Il ne bougea pas. A ce point il ne pouvait plus rien faire. Il savait ce que Lyzandra voulait et savais aussi qu’elle ne le lâcherait pas avant d’avoir eu sa réponse. Mais lui non plus ne lâcherais pas l'affaire.

— ADMINISTRATRICE —

La jeune fille se ne laissat pas démonter par le témérité d'Elidore, elle continua sans mot dire le balais de ses mains sur le torses du jeune homme jusqu'a ce que tous les boutons aient été ouverts. Puis ce furent ses mains qui vinrent caresser le torse de l'homme aux allures viking, se faisant de plus en plus pressantes, et s'aventurants de plus en plus bas.

-Réponds à ma question et peut être alors parviendras-tu à m'aracher telle promesse...

Sussura-t-elle lentement.

- Tiendras-tu simplement paroles souffla-t-il

Il ne pus résister, il goutta les lèvres si proche de la jeune hongroise. Et se fut comme une claque. Elle allait trop loin. Il se figea sur place. Elle l’attaquait par les sentiments.

- Qu’est ce que tu fais Lyzandra …

— ADMINISTRATRICE —

La faiblesse de son ancien amant ne fit que l'encourager.

-Rien que je n'ai jamais fait...

Dit-elle à mie voie, en faisant glisser le chemise d'Elidore le long de ses bras.

-Pour le reste ais-je jamais manqué d'honneteté à ton egard...

Ses mains revenues sur le torse de son ancien amant étaient déscendu jusqu'a la boucle de la ceinture du jeune homme.

Malgré la sensation de bienêtre qui l’envahissait, il ne pouvait la laissez faire

- Qu’est ce que tu fait répéta-t-il froidement

Deux solution. Soit elle n’était pas dans son état normale, soit elle cherchait quelque chose

— ADMINISTRATRICE —

La jeune fille sourit, amusée... Elle avait toujours été très joueuse et il le savait.
Lentement elle dfit la boucle ceinture d'Elidore, très lentement. Jusqu'a présent il n'avait rien fait pour l'arreter.

-Qu'ais-je l'air d'être en train de faire... ?

Lyzandra était parfaitement calme et sereine, et à l'inverse, plus ses gestes se montraient osés et avancés, moins Elidore gardait son calme et sa maitrise de lui.

- J’hésite entre la sincérité et … le fait que tu te serves de mes sentiments pour obtenir ce que tu veux …

Il goutta à nouveau les lèvres de Lyzandra avant de s’avancer un peu plus vers elle

- Malheureusement je doute que cela soit sincère.

Il caressa le corps de la jeune hongroise, tout en l’embrassant fougueusement. Puis ses mains tombèrent sur ce qu’il voulait. La baguette de la jeune fille. Il dû faire un effort surhumain pour arrêter ce qu’il désirait le plus. Il sortit la baguette et la pointa vers Lyzzie

- Maintenant, tu va me jurer que tu ne me suivra plus, que tu n’enverras plus tes corbeaux me suivre. Tu vas me jurer que tu ne fera rien pour venir me secourir, quoi qu’il arrive.

Il monta un peu plus sa baguette vers sa propriétaire.

- Jure-le.

— ADMINISTRATRICE —

La jeune fille fut surprise par la vivacité de la réaction de l'animagus. Elle se mordilla la lèvre inferieure. Elle s'approchat d'Elidore sa propre baguette à présent pressant légèrement contre sa gorge.

-Ma grand mère avait coutume de dire que Jurer reveients à mentire dix fois... Souhaite tu que je te mente ?

Puis elle commençat a ouvrir son chemisier sns porter attention à ses mains et en gardant son regard planté dasn celui de l'ancien professeur. Elle le fit alors tomber au sol, restant ainsi en sous vetement devant lui.

-Tu vois Elidore, là il y a mon coeur... Forteresse des plus imprenables que tu t'es amusé à détruire pierre par pierre de l'interieur, mais a toujours été intègre...

Dit-ele une main sur son coeur.

-Alors ne me demande pas de te mentir.

Son cœur fit un bond en avant en voyant le bustier de la jeune hongroise tombé à terre. Il déglutit difficilement. Elle le cherchait, et elle allait finir par le trouver. Il respirait de plus en plus rapidement. Il grinça des dents comme pour se contenir, mais il savait qu’il ne pouvait humainement plus tenir.
Il fit alors un pas en avant, comblant ce besoin de proximité qu’elle s’évertuait à lui faire subir. Il l’a fit basculer à terre et s’assis à cheval sur ses hanches. Son regard était toujours planté dans le siens, sa main gauche tenait toujours la baguette de l’hongroise tendit que l’autre lui caressait doucement le cou.

- Tu regrettes de m’avoir aimé conclus-t-il simplement

Il continua de la regarder de ses yeux froid et sombre.

- Je ne te demande pas de me mentir. Je te demande simplement de me rendre ma liberté que j’avait avant …

Il ressera son étreinte sur elle, de façon à ce qu'elle ne puis ce pas se relever seule.

— ADMINISTRATRICE —

Lyzandra avait laissé Elidore faire sans chercher à résister particulièrement.

-Je ne regrette rien du tout, bien au contraire...

Elle saisit la main du jeune qui lui caressait le cou pour la porter à ses lèvres.

-Dis moi juste ce que je veux savoir.

Sa main posé sur les lèvres de la jeune hongroise, il ne bougea pas. Il n’était pas sure de ce qui allait se passer une fois qu’il lui aurait dit ce qu’elle voulait. Mais il s’en doutait. Et il voulait savoir avant jusqu’où elle irait. Jusqu’où elle était capable d’aller. Bien qu’il s’en doutait.

- Qu’est ce que j’y gagne en te le disant ?

— ADMINISTRATRICE —

Penché sur elle, les longs cheveux blonds de son ex compagnon caressait sa peau diaphane.
Toujours aussi maitresse d'elle même et, contrairement aux apparences de la situation, elle fit descendre la main du jeune de sa bouche au long de sa gorge jusqu'a sa poitrine.

-Reflechits plutot à ce que tu perds en gardant le silence...

Même si elle savait pertrinament que l'animagus n'était plsu réellement en état de reflechir.

Il gronda en se penchant sur elle.

- Ce que je perd … répéta-t-il doucement

Sa main glissa le long de la poitrine de l’hongroise. Il était partagé entre le fait de profiter de la situation et celle d’en finir. Il connaissait la suite, mais n’en était plus très sure. Et la vérité lui ferait sûrement plus de mal que de bien …

- Dit moi ce que je perd … j’ai un peu de mal à réfléchir dit-il sur un ton de défis

— ADMINISTRATRICE —

La main d'Elidore sur son corps faisait remonter en elle foule de souvenirs en la mémoire de Lyzandra, souvenirs au combien agréables... S'il était vrai qu'ils avaient formé un couple explosif il n'en était pas moins vrai que leur problèmes prenait fin aux portes de la chambre...
Pensive un instant elle réalisat alors que le jeune appartenait à son passé, mais que néanmoins elle ne pouvait s'arreter.

-Tu es seul maitre de toi même et toi seul sait ce que tu as perdre... A moins bien sur que ce je t'ai rendu ne soit toujours selon toi entre mes mains...

Elle avait volontairement utilisé une structure de phrase complexe tout en ouvrant le bouton du pantalon du jeune homme.

Il mit un instant à comprendre le sens de la phrase de Lyzandra. Son esprit commençait à se brouillé au fur et a mesure que les gestes de la jeune fille devenait de plus en plus osé. Il ne savait si elle faisait ça pour avoir sa réponse ou par ce qu’elle le désirait vraiment.

- Qu’est ce que je doit en conclure ? demanda-t-il dans un souffle

En comprenant le sens de sa phrase, il venait d’avoir un relent d’espoir.

— ADMINISTRATRICE —

La jeune fille se redressa sur les avants, bras aprochant son visage de celui d'Elidore.

-Que tu poses trop de questions...

Elle profita d'un instant de relachement du jeune homme pour le retourner, plutot violament, en atterissant sur le sol son dos emit un gros "BOUM".
Se trouvant ainsi dasn la position qu'il occupait quelques secondes plus tot la jeune hongroise eut un petit sourir en coin avant de se pencher sur lui pour deposer un baiser juste au coin de ses lèvres.

-Beaucoup trop de questions.

Puis elle se relevat, tournant le dos à Elidore toujours au sol pour aller s'appuyer à un des montant du lit à baldaquins.

Akira avait entendu un grand bruit venant de l'étage. Légèrement inquiet il monta rapidement les marches et trouva Lyzandra debout près d'Elidore, à moitié déshabillé.

Le spectacle le laissa muet.