Funeste après midi [PV : Elidore Quénodore]

— ADMINISTRATRICE —

La jeune fille avait choisit de transplaner directement dasn la chambre d'amis, plus précisément sur lit dont elle tomba dnas un bruit sourd. Visiblement le jeune homme était encore inconscient, ou en trop mauvais état pour faire quoi que se soit.
Elle du descendre quattre à quattre dasn la cuisine pour chercher de quoi soigner Elidore et surtotu sonlivre de runes car elle avait un doute sur untracé assez délicat à réaliser et ne voulait pas commettre d'impairs.
Puis elle remonta au chevet de son ex compagnon, toujours aussi mal en point. Elle prit alors la mains gauche d'Elidore, traçat une rune sur sa paume et l'activa dans la foulée. Elle vit alors que Elidore avait quelques chose de mauvais dans la sang... Pas eaxctement du poison... De la drogue... Il avait été drogué, une drogue non magique... Bien joué... Elle ne pouvait pas y faire chose, ces capacités de soins étaient limités au dégats causés par des sortilèges ou des potions de poisons.
La seule chose qui pouvait aidé le jeune homme était une rune de vie... Elle n'avait jamais encore réalisé ce genre d'exercice. Elle pris le temps de se concentrer puis entama le délicat dessin fait avec son propre sang coulant de l'entaille qu'elle s'était fait sur l'index gauche. Illui falut une bonne demi-e heure avant d'avoir finit, puis seulement elle pu prononcer la formule d'activation. Un instant durant elle retint sa respiration devant le spectavle du jeune homme dont le torse et une large partie du bras droit était grimmé du sang de la jeune hongroise. Puis ce fut comme si le sang de la jeune fille était absorbé par le corps d'Elidore dont instantanément la respiration se fit plus régulière.
Dans un soupir de soulagement la jeune fille se laissat tombé sur un fauteil à coté du lit, par contre elle ne pourrait rien faire pour endiguer les effets psychotroppes de la drogue.
Elle ouvrit les yeux et fit face à Quénodore qui s'était redressé et la regardait , parfaitement conscient, bein qu'encore totalement drogué.

Il lui fallut un instant de réflexion pour se rendre compte où il était exactement. La première chose qu’il se souvint était la seringue que son frère lui avait monter. Il fixa la jeune fille devant lui. Elle était belle, et lui disait vaguement quelque chose. Il lui fallut un autre instant pour voir qui se tenait devant lui. Lorsqu’il reconnus la jeune hongroise, son corps entier se tendit. Il grogna

- Oh non … pas toi …

Il se laissa retomber sur le lit. Il se rendis compte après coups qu’il était torse-nu. Il jeta un regard mis interrogateur, mi défiant vers Lyzandra

- Tu va m’expliquer comment ça se fait que je suis là, ici avec toi alors que j’était seul dans l’usine …

— ADMINISTRATRICE —

-Je te l'ai dit... Où que tu sois, s'il t'arrive malheur je serai là... Je crois qu'aujourd'hui je viens de te prouver quel atotu je peux être pour toi...

Elle se massat les tempes, le fait qu'il soit conscient laissait largement présager une n-ième interminable discution entreles deux anciens amants.

-Ah et le côté poison et dangereux de la drogue a été suprimé, par contre ton état s'arrangera d'ici quelques heures... Pour résumer ma rune de vie ne t'empèchera pas de ressentir les effets de la drogue moldue...

Il fronça les sourcils. La drogue ... quel drogue ? Il ne ressentait rien de spécial. Dû moins c'est ce qu'il pensait au premier abord. Mais après réflexion, il était ... bizarre ... il ne ressentait pas ses soufrances mentales qu'il avait habituelement lorsqu'il s'empêchait de faire ce qu'il désirait.
En faîte, il était heureux qu'elle soit là, malgrès ce qu'il avait dit. Il se redressa sur le lit, faisant à nouveau face à la jeune hongroise.

- Espéront que nous n'aurons pas de probleme d'ici là ...

Ses paroles étaient calmes et posées. Ce qui aurait été impossible en temps normale. Il était totalement ailleurs, mais malgrès cela il savait parfaitement où il était, et avec qui il était. Il fronça à nouveau les sourcils avant de déglutir difficilement.

— ADMINISTRATRICE —

-Je ne vois quel problèmes nous pourrions avoir Elidore... A moins bien sur que ne me force à en créer, mais curieusement la drogue a un effet plutot positif sur toi...

Puis affichant une mine malicieuse elle lançat.

-Tu devrais songer à t'y mettre.

- Ah ... tu trouves ...

Le souvenir de ce qui s'était passer lui revint. Marius, Grégorian. Il fronça à nouveau les sourcils. Il tâcha de garder l'esprit le plus claire possible. Chose qui n'était pas évidente. Il abaissa un peu ses barrières mentales afin de relâcher la pression. Il regarda à nouveau Lyzandra

- Pourquoi tu reste devant moi comme ça ... pensa-t-il

Mais il pensa tout haut. Il se figea et ses barrières se relevèrent instantanément, dissipant à nouveau une partie de la drogue

- Et moi pourquoi j'ai dit ça ... se demanda-t-il à lui même.

Il s'assis sur le lit, passant sur le rebord, s'éloignant un peu de la jeune hongroise.

— ADMINISTRATRICE —

Cette fois c'était certains Elidore était totalement sous l'emprise de la drogue, il s'était levé, titubant légèrement...
Il pensait à voie haute, lui qui habituelement cachait le moindre de ses ressenti derrière plétors de barrières mentales.
A dire vrai il tenait a peine debout, la jeune hongroise se leva à son tour et vint pour lui servir de béquille humaine.

-Je crois que tu devrais resté allongé, tu as une bonne constitution je te l'accorde, mais la dose devait être forte, regarde toi tu tiens à peine debout.

La jeune fille était plutot douce, et d'un calme olympien, à vrai dire elle s'était plutot attendue à une rude confronttation, mais il semblait que cette fois veiller sonancien amant serait plus agréable.

Il sentit son coeur s'embaler en sentant la jeune hongroise l'attraper. A nouveau, les barrières mentales sautèrent. Il ne pouvait plus se battre contre lui-même. Il s'aggripa un peu plus à elle afin de mieux la sentir contre lui. Il n'évaluait plus dû tout les distances, physique comme mentale: son esprit touchait presque celui de Lyzandra.

- Lyzandra ... transplane dans le jardin s'il te plait ...

Etrangement, la jeune hongroise transplana sans poser de question. Lorsqu'il sentit l'air frais lui fouettée le visage, ses pensée redevinrent un peu plus claire. Elidore s'écarta un peu de Lyzzie, cherchant un peu plus d'air. Il sentait dans son dos le regard de la jeune fille. Il frisonna. Les deux personnes restèrent dans le jardin, silencieux, pendant un bon moment. L'animagus finit par demander après un temps de réfléxion

- Lyzandra ... Lyzandra ... est-ce vrai ... que tu attend un enfant ? demanda-t-il

Car il avait besoin de savoir. Il avait besoin de savoir si Grégorian mentait ou non. Mais en faite il n'aurait pas du poser la question. Grégorian ne mentait jamais.

— ADMINISTRATRICE —

La jeune fille eu le souffle coupé par la question d'Elidore... Elle se demandait ce qui pouvait lui faire penser qu'elle était enceinte et la tournure était des plus étrange, comme si quelqu'un d'autre lui avait dit...
Instinctivement elle plaçat ses mains sur son ventre.

-Pourquoi me demande tu ça Elidore ?

Dit-elle en se raprochant de manière à être face ç lui.

Lorsqu'il vit Lyzandra se fixer devant elle, il ne réagit pas tout de suite. Son visage était toujours avec une expression simple, peu habituel

- Ah ... non comme ça ...

Il regretta encore plus la question. En fin de compte, elle ne semblait pas savoir, mais lui savait. Grégorian ne mentait jamais. Mais il se demandait si il avait dit toutes la vérité. L'enfant ne pouvait pas être de lui ... ce n'était pas possible. Il avala difficilement sa salive. Lyzandra la transperçait du regard.

- Non je t'assure ... laisse tombé .. c'était juste ... comme ça dit-il pour se justifier

— ADMINISTRATRICE —

Le trouble d'Elidore ne laisait pas de place au doute, ce n'était pas la drogue qui le faisait parlé, il savait quelques chose qu'elle ignorait et il se trouvait que cette chose la concernait directement et entierement.
Elle prit le visage d'Elidore entre ses mains poru le forcer à la regarder dans le syeux.

-Elidore je t'en prie, si tu sais quelques chose j'ignore à ce sujet tu dois me le dire...

Son coeur fit un nouveau bond lorsqu'il sentit Lyzandra lui attrapper le visage. Il eu un léger mouvement de recul avant de se laisser totalement attraper. Ses yeux se plongèrent dans ceux de la jeune hongroise. Il chercha qui lui avait dit ce qu'il venait de lui demander. Il se souvint soudain. Bien que totalement drogué, il avait encore une certaine notion de ce qu'il devait dire ou non. Il hocha négativement de la tête. Il plongea à nouveau son regard dans celui de la jeune hongroise. Une pensée lui vint à l'esprit, et plus rien ne comptait pour lui. Sa main glissa le long du cous dénudé de la jeune hongroise. Il la regardait sérieusement.

- Dis moi juste ... si c'est vrai lui demanda-t-il

— ADMINISTRATRICE —

La vulnérabilité de son ancien compagnon la troubla et déstatibilasa autant que la question qu'il lui posait.
Elle en avait du mal à parler.

-Je... Elidore... Je... Je ne sais pas... Non, non, je crois que non... En fait... je...

Elle soupira. A présent la main de l'animagus parcourait son épaule et le haut de son bras, mais c'est à peine si elle y a faisait attention, ce qu'il lui disait parassait improable à la jeune hongroise, et pourtant... Pourtant la questionn'était pas innocente etil devait avori de très bonnes raisons de la poser...
Mais comment etre sure... Elle reflechit un instant son regard interogateur et perdu toujouts dans celui d'Elidore. Une seule personne pouvait l'aider, maiss elle devrait d'abbiord remettre Elidore au lit.

Il y eu un silence. Son cœur battait de plus en plus vite sans qu’il ne puisse faire quoi que se soit. Il s’approcha alors un peu plus de Lyzandra. La main posé sur son cous glissa le long de son dos avant d’effleurer ses côtes. Elidore se décala légèrement afin de faire totalement face à la jeune hongroise. Au fond de lui, les pensées de l’animagus luis criaient non. Mais il ne pouvait plus lutter. La drogue faisait parfaitement son effet. Il se reprocha encore un peu. Ils pouvaient chacun à présent sentir le souffle de l’autre. Il eu un flash, un souvenir, la première fois qu’il avait fait ça. Cette fois, leur lèvres se touchèrent.

— ADMINISTRATRICE —

Elidore était en train de l'embrasser, et elle n'avait qu'une chose en tête... Qu'est-ce qui avait pu faire croire à Elidore qu'elle attendait un enfant, ouplutot qui et pourquoi...

Au fur et à mesure que le baiser durait, d’autre flash envahie l’esprit d’Elidore : la forêt … la branche cassée … les centaures … la fuite … Toujours au fond de lui-même, son esprit lui hurlaient d’arrêter, mais la drogue bloquait toujours les barrières mentale du jeune homme.
Malgré cela, au fur et à mesure qu’il l’embrassait, il se rendait compte de ce qu’il était en train de faire. La fougue du baiser n’était rien comparer au choc glaciale qui l’envahis soudain. Il eu un instant de réflexion en embrassant l’hongroise. En faîte, ça lui faisait du bien. Mais ses sentiments personnels étaient passés avant tout. Il s’arrêta soudainement lorsque cette pensée lui vint à l’esprit. Lyzandra, surprise, était toujours contre lui. Le jeune homme déglutit difficilement. Elidore trembla. Un rictus parcourut son avant-bras gauche. C’était comme s’il sortait du sommeil dans lequel l’avait plongé la drogue. Il n’osa pas regarder Lyzandra tout de suite. Ses muscles se contractèrent, parcourut maintenant de spasmes. Il s’éloigna de la jeune fille, relâchant toutes étreintes sur elle. Il se demandait comment il avait pus faire ça. Et il se demanda pourquoi elle l’avait laissé faire ça. Il se transforma alors en chien loup et fit un bond en arrière afin de mettre plusieurs mètres entre lui Lyzandra. Sa vision en animal était floue et il tangua avant de retrouver son équilibre. Il se secoua comme pour chasser les parasites. Mais ça n’arrangea pas. Il tangua derechef. Alors il finit par se laisser tombé dans l’herbe, allongé. Il ne pouvait peut être pas lutter contre le poison, mais il pouvait l’empêcher de faire d’autre choses qu’il regretterait.
Allongé dans l’herbe humide, il ne bougea plus. Sa tête posé sur ces pattes, le regard ailleurs, il attendrait. Il ne bougerait plus avant d’avoir retrouvé totalement ses esprits.

— ADMINISTRATRICE —

La jeune fille n'avait pas bouger, réalisant que ce baiser serait pour elle le point d'orgue de leur relation.. Qund il s'éloignat elle ne bougeat pas attendit que la drogue fasse ce qu'elle même ne voulait pas faire.
Puis elle s'aprochat de lui et tous deux transplanèrent dans la cambre. Lyzandra eu le plus grand mal à tracé la rune de sommeil sur le spoils du chien loup, mais ci fait elle pu partir.
Il fallait qu'on lui donne une réponse.

Allongé sur le lit, il ne bougea pas. Il laissa la jeune hongroise l’endormir, malgré lui. De toute façon même éveillé il n’aurait pas bougé. Son sommeil forcé le fit réfléchir. Il savait ce qu’il avait à faire. Ça ne plairait surement pas à Lyzandra, mais il devait le faire.
Il attendrait qu’elle revienne avant de le lui dire. De toutes façon il n’avait pas tellement le choix.

— ADMINISTRATRICE —

SUITE

Lyzandra et Akira venaient de rentrer ensemble et la jeuen hongroise jugeat préférable de parler seule à son ancien compagnon, sans lui cacher la vérité.
Elle laissat donc Akira s'installer dans le jardin, tandis qu'elle même montait réveiller Elidore toujours sous forme de chien.
Elle effaçat la rune et attendit qu'il se réveille. Ce fut Rapide, à présent elle se trouvait face à l'animagus, toujours sous forme animale.

Il ouvris brusquement les yeux. Sa vision n’était plus floue et il vit sans problème la jeune hongroise planter devant lui. Les oreilles de l’animale s’abaissèrent tendit qu’il reposait l’espace d’un instant sa tête sur ses pattes. Il se leva d’un bond, chancela une fois, manquant de tomber. Son corps trembla et il secoua la tête pour mieux dissiper le peu des effets de la drogue qui restaient. Il descendit souplement du lit mais Lyzandra se planta devant lui.

— ADMINISTRATRICE —

Pourquoi fallait-il toujours qu'l veuille prendre la fuite... Il avait su avant elle pour l'enfant et cela méritait des explications...

-Tu as l'air d'aller mieux...

Dit-elle, peu convaincue, puis de sa poche elle sortie la baguette de l'ancien mangemort.

-Tu n'iras sans doue pa sloin sans cela Elidore...

Allez mieux. C'était une affaire de point de vus. Il soupira en voyant sa baguette dans les mains de la jeune hongroise. Il n'osait plus la regarder après ce qu'il avait fait. Quénodore s'approcha doucement d'elle. Le garot du chien-loup lui arrivait facilement à la taille. Il s'arreta juste devant elle, attendant qu'elle lui rende sa baguette. Mais il savait qu'il pouvait rêver. Il se demandait juste ce qu'elle allait encore lui demander. Surement quelque chose qu'il ne voudrait pas lui dire. Mais cette fois, il n'aurait pas la force de se battre contre elle.

— ADMINISTRATRICE —

Elle mit un genou a terre pour pouvoir être à la hauteur de l'animal puis elle pris sa gueule entre ses mains.

-Elidore, je n'ai pas envie de jouer à ce pêtit jeu maintenant... Transofrme toi s'il te plait...

Puis elle recula d'un pas.

Il se dégagea d’un coup sec de l’emprise de l’hongroise en grondant. Il recula à son tour d’un pas avant de se transformer. Un silence se dressa entre les deux anciens amants. Il fusilla d’abord Lyzandra du regard avant de baisser les yeux, rongé par le remord. Le silence se prolongea. Il n’osait plus la regarder. Mais il finis par le refaire. Son visage se détendit un peu. Ca ne servait à rien de lutter. Il n’avait plus cette voix froide qu’il avait d’habitude

- Qu’est ce que tu veux … demanda-t-il doucement

— ADMINISTRATRICE —

-Comment as-tu su... Je veux dire : comment se fait-il que tu ais été au courant avant moi... Tu avais raison... Je suis bel et bien enceinte...

Elle avait plongé dans les yeux du sorcier un regard profondément interogateur tout enlui tendant sa baguette magique.