Dernier Combat [EVENEMENT / PV]

Lentement la haine envahissait le jeune homme. Une haine incontrôlable envers celui qui était son frère par le sang. Il sentait sur sa peau la marque des ténèbres palpitée au rythme de sa respiration, de son cœur, du sang qui coulait dans ses veines … de son corps tout entier.
Il ne se sentait plus, il n’était plus lui-même. Une seule chose. Les jets de lumière fusaient. Ce qui restait dans la maison, petit à petit s’écroulait. Soudain un éclaire argenté fusa de la baguette d’Elidore. Un corbeau d’argent se précipita sur Marius, qui surpris trébucha sur Black qu’il n’avait pus voir. Il fit un pas vers son frère.

— JOUEUR / JOUEUSE —

Il tomba. Dans un ultime effort il fit voler la baguette de Quénodore. Désarmé celui-ci fit un pas vers lui. Marius rampa pour tenter de conserver la distance. Les deux baguettes étaient désormais hors de portée des deux hommes. A nouveau Elidore s’avança. A nouveau il rampa.

Sa baguette, projetée loin. Pas grave. Il fit encore un pas. Alors, sans quitter Marius des yeux, Elidore se pencha pour ramasser la baguette du jeune Serpentard. Sa main se referma sur le manche en bois d’acajou. Puis il se redressa. Puis il s’immobilisa. La baguette pointée vers Marius. La baguette pointée vers son frère. Quénodore eu un sourire. Il avait gagné. Et lui avait perdu.

— JOUEUR / JOUEUSE —

| Fusion des postes |

« Tu ne vas pas me tuer Elidore. Tu n’en serais pas capable. Tu ne va pas tuer ton FRÈRE »

- Oh … je vais me gêner … répondit Quénodore

Derechef, l’animagus fit un pas. Marius resta silencieux.

- Tu sais quoi Marius … je suis en train de me demander de quelle manière je vais te tuer …

« T’en serais pas capable » défia Marius « T’es incapable de faire quoi que se soit. T’as pas été foutus de protéger Lana. T’a même pas sauvé ton fils. Ensuite, t’es partie. T’as laissé tout le monde comme des chiens. T’as rejoint un groupe que tu as trahit quelques mois après. T’es allé te réfugier dans les jupons d’un sorcier plus puissant que toi. T’as même pas été capable de garder ton hongroise. Alors ne me dit pas que tu vas me tuer Elidore. T’as aucun mérite à faire croire à tout le monde que tu vas le faire … »

Elidore grinça des temps. L’instant d’après Marius se leva d’un bon. Il vit Black émerger lentement. Tout comme Lyzandra. Puis un brusque nuage de fumée s’échappa de la baguette d’Elidore. Il y eu comme un claquement d’ailes, suivis d’un long sifflement à glacer le sang. Marius fut à nouveau projeté en arrière. La créature le suivis dans sa chute. La température de la pièce chuta d’un seul coup. L’Ombre allait encore tuer. On pouvait distinguer parmis le nuage noir les yeux jaunes sans pupille de la créature. Ses crocs se matérialisèrent avant de s’abattre sur Marius. Un filet de sang coula le long de la gorge du dragon désormais réel. La main de l’assassin tomba une toutes dernière fois sur le sol de l’Angleterre. La vouivre disparut de la même manière qu’elle était apparut, laissant le corps sans vie de Marius.

Elidore resta un moment immobile. Sankara avait baissée la tête. Lyzandra s’était à présent réveillée, tout comme Brian. Chris semblait perdue. Un silence régnait dans la pièce. Puis Elidore bougea. Il changea de pièce. Son sang bouillait encore dans ses veines, et il sentait encore sa marque des ténèbres palpiter. Il garda la baguette de Black. Il ne savais pas de quel côté il se trouvait. Il ne voulais pas prendre de risques. Il se pencha pour récupérer la sienne. Puis il disparut dans l’autre pièce.

— ADMINISTRATEUR —

La température remonte enfin. Le corps inerte de Marius gît sur le sol. Le tapis s’imbibe déjà de son sang. Chacun prend conscience de ce qui vient de se passer. Marius est mort. Tuer par son frère. Lyzandra émerge tandit que Brian se remet de ses émotions … il a faillis mourir lui aussi. Chris elle … personne ne sais ce qu’elle pense. Mais quoi qu’il en soit elle perd son sang à vue d’œil, et le morceau de bois loger dans son bras n’est pas indolore …

Liste de Postage :

— JOUEUR / JOUEUSE —

Perdu. Il avait perdu, l'ombre avait été plus petite que celle de Marius, mais c'était fini, Brian n'avait plus à se soucier de Marius puisqu'il était mort, à quelques instants près, lui aussi l'aurait été, mais pour l'instant, il allait mieux, ses yeux balayèrent la pièce rapidement, Christina, le bras en sang, lui qu'il l'avait aimé fut de glace face à cela, il regarda Lyzandra pourtant, légèrement secoué, il s'inquiètait un peu pour elle. Puis il regarda Quénodore... Quénodore ! Sa pensée fut tellement forte qu'il ne remarqua pas sa baguette dans la main du sorcier Norvégien. Il s'avança dans la pièce où s'était dirigé l'animagus.

-Profe... Quénodore...

L'animagus se retourna à moitié, regardant à peine Brian qui ne savait pas trop quoi dire, il s'était précipité mais... Il ne savait pas quoi dire, finalement un mot tout simple sortit de sa bouche, un mot si simple que Quénodore aurait sûrement un rictus à l'entendre, il n'avait pas changé depuis, sauf peut-être que son air sombre et demandant du sang était accentué... Son mot se prononça-t-il aussi fort qu'il le voulait ? Peut-être, ou peut-être pas, Quénodore l'entendrait sûrement.

-Merci...

Face à la glace Quénodore tourna légèrement la tête pour jeter un regard à Brian. Il n’aurait peut être jamais penser ça de lui. Les temps devaient avoir changé en Angleterre …

- Me ne remerciez pas … répondit-il C’était une affaires plus personnel que vous ne pourriez l’imaginer

Il fut coupée par l’arriver fulgurante de Sankara. La louve empêcha le jeune homme d’avancer plus loin. Pourquoi ? Elidore ne le savait pas. Et à vrai dire il ne chercha pas à le savoir. A vrai dire, il pensait à une autre chose.
La louve grogna un peu, Brian recula.

« Qui es-tu … »

— JOUEUR / JOUEUSE —

Une voix pénétra son esprit, cette louve ? Peut-être... Il ne saurait dire si c'était elle ou une halucination... C'était elle, comment lui parler ? Il parla peut-être, tout simplement.

-Brian Black... Je suis qui tu veux, un fou, un allié, qui tu veux...

Christina c'était relever tant bien que mal, ces penser ce bousculais dans son esprit. Elle ce leva tant bien que mal et s'approcha du corps de Marius. Son regard ne montrai rien, son visage sans expression.
Elle ce pencha, accroupi au dessus de lui, comme une caresse elle passa sa main sur son visage afin de lui fermer les yeux, une légère expression comme le visage bienveillant d'une mère sur son enfant qui dort. Un pendentif était tomber au sol, dans le creux de sa main elle l'examina d'un air absent.

Mais elle observai tel le bijou ou plutôt l'étrange fumer qui commençais a l'envelopper. A bout de force elle posa son autre main contre elle et la baguette de Maruis lui arriva aussitôt.

Sans un bruit et seulement sous les yeux de Lyzandra elle s'affaissa de fatigue en même temps qu'elle disparue, sans un bruit, la fumer ce dissipa quasi immédiatement après son départ.

Suite pour Christina

https://harrypotterrpg.forums-actifs.net/fleet-street-f141/vieille-magie-toujours-utile-t1006.htm?sid=973ccacfd86f484ee9bccd3efcf79835#15931

— ADMINISTRATRICE —

Tout était enfin finit, le corps sans vie de Marius gisait au sol, un filet de sang s'échappait de sa bouche et ses yeux vitreux à présent semblaient fixer l'infini. Lyzandra avait du mal à y croire... Une fois déjà le cadet de la famille Quénodore avait été laissé pour mort mais avait survécu... Pourtant depuis plusieurs minutes qu'elle l'observait avec aprhésention il n'avait fait aucun mouvement. Elle ne pouvait pas l'approcher. Non loin Brian était lui aussi à terre mais seulement étourdit, Sankara prenait déjà soin de lui,La louve plongeat son regard dans celui de la jeune fille, sans mot dire elle luit fit comprendre que quelqu'un d'autre avait besoin qu'on s'occupe de lui. Elle cherchat alors Elidore du regard, il ne pouvait être bien loin quoi qu'ayant quitté la pièce.
Lyzandra se levat, chancelat quelques pas puis retrouva son aplomb et se mit à la recherche de l'animagus, qu'elle trouva dans la salle de bain délabré, il était assis sur le rebord de la baignre jaunit par le temps, le regard dans le vide, il ne cillat ni ne bougeat à l'arrivée de la jeune hongroise qui pris soin de fermer la porte derrière elle. Puis elle se mit assise juste à côté d'Elidore, toujurs en silence elle passat sa main dans la chevelure blonde du jeune homme qui cette fois tournat la tête dans sa direction

— ADMINISTRATEUR —

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2eme Partie : Promesse du Passé

Ordre de Postage:

Elidore Quénodore
Lyzandra Bathory

En Parallèle: Brian Black, Sankara

La louve observa Brian de toute part. Elle resta plantée devant lui. Lyzandra était passée à côté pour rejoindre le dernier des Quénodore. Qui était-il ?

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La porte de la pièce s’ouvrit. Il ne bougea pas. Pas même un regard vers la porte. Le regard fixé sur le sol. Il ne bougea pas. Ce n’est que quand il sentit la main de Lyzandra dans ses cheveux qu’il se crispa violemment. Son corps tout entier se contracta. Presque involontairement. Il tourna la tête vers la jeune hongroise. Son regard froid se posa un instant dans le sien, avant de replonger vers le sol. 2 mois qu’ils ne s’étaient pas tous les deux retrouvés seuls. 2 mois qu’ils ne s’étaient pas revus tout simplement. Retrouver, revus, véritablement. Il aurait voulus la retrouver dans d’autres circonstances.
Il avait sa baguette dans son poing serré, restant silencieux.
Il aurait voulus l’embrasser comme au premier jour. Il aurait aussi voulus qu’elle n’ai pas à subir ce que lui devait. On ne refaisait pas le passé. Il ne bougea pas.

— ADMINISTRATRICE —

Il fallait que l'un d'eux rompe le silence. Timidement avec des gestes presque sacadés Lyzandra posat sa main sur le genou gauche du jeune homme. Elle voulait cette main réconfortante, mais c'est comme si son contact avait brulé la peau de la jeune hongroise qui était à présent extrement tendu, un frisson la parcourue faisait trembler ses ailes.

-Tu es sur que tout va bien Elidore... ?

Hasarda-t-elle, bien qu'elle connaisse déjà la réponse. Mais il était si froid si distant, e=l'exact opposé de celui qu'elle avait vu quelques nuits à peine, comme si ce rêve commun n'avait jamais existé. Il était vrai pourtant que beaucoup e choses s'étaient prduite en trs peu de temps. Pour commencer Gregorian avait rendu visite à Lyzandra pour lui apprendre quelques chose de douloureux et ne pas sortir vivvant de la maison de la jeune hongroise, Elidore était revenu de son voyage pour tuer son propre frère, puis soudain la jeune hongroise prit la mesure de ce qu'elle faisait a Akira qu'elle aimait et de la raison qui l'obligeait à agir comme ça. Elle fut alors submergée par la tristesse et tout ce qui l'avait fait souffrir en silence remontait à la surface, la mort de sa soeur puis de son père, sa rupture avec Elidore et le fait qu'elle soit melée à sa famille, ce qui s'était produit la nuit dasn le cimetière, puis l'assassinat du parrain d'Elidore, tout ceci semblait à présent l'écorcher, elle plongeat alors sa tête dans ses mains et éclata en sanglots.

Il ne bougea pas. Son regard toujours planté dans le sol. Pourtant voir Lyzandra pleurée était pire pour lui que ce qui venait de se passer. Il lui jeta un regard. Il ne savait même pas véritablement pourquoi elle pleurait. Pendant un moment il resta sans réagir. Puis il finis par poser sa main sur la nuque de la jeune hongroise.

- J’aurais voulus que tu n’ais pas à subir cela … dit-il simplement

Son regard s’était poser sur Bathory.

— ADMINISTRATRICE —

Lyzandra relevat la tête aux derniers mots d'Elidore. Elle renpensat soudain qu'elle devait le prévenir pour la véritable raison d'être de la rune et surtout pour la mort de Grégorian...

-Ce n'est pas toi qui en as décidé ainsi... Moi non plus à vrai dire... Toi comme moi obéissons gentillement à une force qui se voulant superieure joué avec le destin... Nos destins...

Le regard d'Elidore s'était fait interrogateur, il ne comprenait pas ce que voulait dire la jeune femme aux ailes de corbeaux.

-C'est que Grégorian m'a apprit avant de mourir. Oui il est mort de mes propres mains, et oui j'en ai été capable, tu en doutais maintenant tu en sur : je peux tuer. Mais ce n'est pas ça le plus important. Avant de mourir ton parrain m'a révélé la vérité. Il savait pour ma rune, il savait car il en détenait le secret. Cette rune m'a été appliquée par ton père le jour de ma naissance, me liant à son hériter afin que nos deux lignées soient unies par le sang. Voici la vérité, il savait pour ma rune car il disait la vérité...

Elle ne pleurait plus à présent, son coeur saignait déjà suffisament en est d'avoir compris cela. Elle restait sans bouger les yeux dans ceux de l'animagus attendant sa réaction.

Au fur et à mesure des paroles de la jeune hongroise, le visage de l’homme se décomposait. A présent s’était une expression de mépris qui se reflétait sur le visage de l’animagus.
Du mépris pour sa propre famille, encore plus qu’il n’en avait déjà. Il retira sa main posé sur le cous de Lyzandra. Il ne pouvait pas. L’Ombre qui demeurait au fond de lui s’anima lentement. Elidore se leva brusquement. Il ne pouvait pas. Il ferma un moment les yeux afin d’apaiser la haine qui ne cessait d’augmenter à chaque seconde. Ce n’était pas possible … mais pourquoi mentirait-elle ? Cette simple question le rongeait déjà. Pourquoi ? Pourquoi avait-il fallut que cela se passe ainsi. Pourquoi Sebastian avait-il fait cela ? Puis il comprit soudainement autre chose. Le passé prenait un sens. Tout s’enchaînait. Sa colère intérieur s’éleva d’un crans, il en respirait difficilement, par a-coup.
Sans qu’il le sache son destin avait été tracé, et à chaque pas en dehors de cette ligne il en payait les conséquences. Il tentait désespérément de tirer un trait sur son passé. Et celui-ci refaisait sans arrêt surface. Il avait pensé qu’en tuant Marius et les dernière choses qui l’y rattachait les choses s’arrangeraient. Mais non. A nouveau, il s’était trompé. Son père avait marqué Lyzandra tel une bête de sommes. Comme une bête qui appartenait à un éleveur. Comme une bête qui appartenait à un homme
Son point s’abattit violemment sur le lavabo, dans lequel se brisa le miroir suspendu un peu au dessus. Les bout de verre s’éparpillèrent un peu partout. Quénodore retira vivement sa main ensanglantée. Il aurait voulus hurler. En faîtes, il aurait voulus beaucoup de choses. Sûrement trop.
L’ancien mangemort se refusait de voir ce qui était censé être le bon côté des choses. Sa relation avec Lyzandra ne pourrait que s’arranger, avec ou sans leurs grés. Quoi qu’il arrive et quoi qu’ils décident,, ils étaient tous les deux destinés l’un pour l’autre
Le silence entre les deux amant s’était réinstallé. Il se laissa glisser le long du mur, posant sa tête contre le carrelage de la parois que le temps avait rendu collant. Il ne pouvait pas. Il n’arrivait pas. La bête au fond de lui semblait lentement s’apaiser. Il rouvrit les yeux. En face de lui Lyzandra était toujours assise sur le rebord de la baignoire. Elidore leva les yeux vers elle.

- Ce que je ressent pour toi n’a rien de passionnel … bien au contraire, je doute qu’il ne s’éteigne un jour, cependant je ne peut m’empêcher de me demander si ce sentiment vient de moi ou de ceux qui l’on décidé jadis …

Son regard retomba un instant avant de se replanter dans celui de l’hongroise

- Je comprend mieux certaines chose à présent … en faites, ma vie n’a été que dans l’ombre de ce que tu viens de me dire … mais je me demande … pourquoi ? Pourquoi mon père a-t-il fait une telle chose ? Il avait forcément une raison, qu’elle soit bonne ou mauvaise …

— ADMINISTRATRICE —

-Je l'ignore Elidore, j'ignore ce que ton père a bien pu donné en échange de cela à ma grand mère... La réponse se trouve sans doute consignée quelques part chez moi en Hongrie, mais où... Tu te souviens du chateau, tu comporendras donc aisément qu'il serait plus facile de retrouver une aiguille dans une meule de foin.

Maintenant qu'elle lui vaita parlé elle se trouvait en quelques sorte soulagée, tous deux savaient à quoi s'en tenir à présent, néanmoins cela impliquait foule de questions qui ne trouverais sans doute jamais de réponses...

-Regrettes-tu quoi que se soit Elidore, je veux dire nous concernant toi et moi ?

Elle posait à l'animagus la quetsion qu'elle même se posait, cette révélation avait changée telement de chose dans sa vie à elle que la jeune hongroise se demandait ce qu'il en était pour Quénodore.

— JOUEUR / JOUEUSE —

Dans l'autre pièce, sans qu'on puisse entendre un mot de ce que les deux amants se disaient, Brian regardait la porte fermée, un air légèrement fatigué sur le visage, mêlé à un soupçon de tristesse, il avait tiré un trait sur Lyzandra, pourtant, il gardait un peu de jalousie dans son coeur. Il oublia vite son sentiment car elle pénètrait encore son esprit, elle la louve blanche à ailes bleutées. Qui était-elle ? Qu'était-elle ? Pourquoi avait-elle des ailes ? Et surtout... Quel rapport avait-elle avec Quénodore ? Il ne se posa pas plus de question et les jeta à la figure de la louve d'un air calme.

-Qui es-tu ? Qu'est ce que tu es... ?

Sankara plongea son regard bleutée dans celui de Brian. Il posait des questions. Il semblait vouloir savoir. Elle dressa les oreilles. Ce pays était vraiment ... étrange. En Norvège personne n'aurait posé la question. En Norvège, tout le monde savait.

« Sankara, Gardienne des Quénodore »

Mais sans non plus en dire plus

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[Quénodore dit: bon maintenant ça va être drole. Car je n'ai pas tapé la suite ptdr]
[Lyzandra dit : attention cascade sans filet quéno lyz le retour en live sur votre rpge]
Laughing

- Non répondit-il sans même réfléchir

Après seulement il se posa vraiment la question. Comment pouvait-il regretter … ça lui était impossible. Mais d’autres questions naquirent dans son esprit. Des questions qu’elles devaient se poser elle aussi. En faite, il regrettait le fait que leur histoire avait été jadis écrite. D’autres avaient tracé leur destin. D’autres qu’eux même. Il se sentit comme le pion d’un plan familial. Il l’était. Et il ne le voulait pas. Lui qui voulait se venger de sa propre famille, il savait ce qu’il devait faire à présent. Il devait empêcher ce qu’avait désiré son père. Mais il ne le pouvait pas. Sankara avait raison. Se qu’il ne savait pas ne pouvait pas lui être néfaste.

- Non … je ne regrette rien répéta-t-il

Elle, regrettait-elle ? Il ne voulait pas lui poser la question. S’aurait été ignoré leur dernier rêve …

— ADMINISTRATRICE —

Les pensées d'Elidore étaient si intense qu'elles envahirent rapidement l'esprit de la jeune fille. Devait-elle lui répondr de vive voie ? ... Etait-elle capable de lui répondre sincèrement en cet instant prcéis ? ...
Elle savait qu'Elidore avait en un sens besoin d'être rassuré mais à quoi bon lui mentir... Une fois deplus elle restait interdite ne pouvant dire ce qui aurait été salutaire au jeune... Elle l'aurait pourtant voulu.

-J'aimerais pouvoir te dire la même chose, mais je me pose encore de questions à ce sujet pour pouvoir te le dire sincèrement. Je ne regrette pas ce qui s'est passé... Se passe, entre nous, je me demande juste si ces sentiments et tous le reste me sont propres sont ce qu'ils sont et serainent ce qu'il sont indépendament de ce pacte.

Il ne pouvait pas lui reprocher de ne pas être franche. Il ne pouvait pas lui en vouloir. Mais … les faits étaient là. Venus du passé ou non, indépendamment d’eux ou non, les sentiments étaient bel et bien là, présent.
En faîtes, sa réponse ne l’aida pas. Ses incertitudes étaient les siennes, mais il refusait de les voir maintenant. Pour le moment, il y avait trop de choses en même temps. Trop de chose pour y penser tout de suite, en même temps.
Il ne pus s’en empêcher. Il s’approcha d’elle et lui caressa doucement le visage, penchant la tête comme pour mieux l’observer. Sa main glissa le long de sa joue pour finir sous son menton. Il la regarda une dernière fois. Il ne savait pas quoi lui dire. Il n’y avait rien à dire en fin de compte. Il s’éloigna. Le contacte de sa main sur son visage fut rompu. Il se tourna, s’apprêtant à sortir.

— ADMINISTRATRICE —

La jeune fille se leva brusquement pour poser sur la porte une main qui signifiait à Quénodore qu'elle n'en avait pas terminé.

-Et c'est tout ? Tu vas repartir comme si de rien n'était... Comme si deux interminables mois ne t'avaient rien apportés ? Vas-tu ignorer le chemin que tu as fais pour ce que je viens de t'apprendre ? Vas-tu te défiler une fois de plus ? En dépit du bon sens toi et moi nous raccrochons toujours l'un à l'autre, cela nous fait souffrir en un sens mais est-ce que ça ne t'as pas fait avancer ? Jusqu'a hier ne te sentais-tu mieux et plus en phase avec toi même ?

Lyzandra marqua un epause pour laisser à Elidore le temps de bien assimilé ce qu'ele venait de dire, puis continua quand elle s'apperçut qu'il allait rétorquer.

-Tu pourrais toujours me répondre que depuis hier il y a eu un revirement de situation, je le sais oui. Tu as tué ton frère et tu viens d'apprendre que ton destin a été scellé par ton père et que en quelques sorte tu n'en as jamais été maitre, tu voudrais fuir dans la direction opposée à celle que l'on a prévu pour toi. Réaction que l'on peut comprendre mais qui est pueril... Une magie, très puissante nous attache envers et contre tous. C'est un fait et nous n'y pouvons rien pour le moment, toi et moi ne sommes bien ou presque que lorsque nous sommes proches, alors trouvons une solution sans trop nous éloigner l'un de l'autre. Il nous faudra sans doute partir aux à la recherche des origines de ce pacte et de ce qui le constitue... La route est longue et le sentier est escarpé, mais peut-être en fin de compte découvrirons-nous que si la rune devait faire en sorte d'unir nos deux lignées elle n'est en rien impliquée dasn les sentiments que toi et moi avons.

La main de Lyzandra posée sur la porte eu un effet direct. Il se figea devant la porte. Il s’en voulait d’être comme ça. Mais il n’arrivait pas à s’en empêcher. C’était plus fort que lui. Il sentit au fond de lui ce qui avait tuer Marius refaire surface tant l’exaspération était monté vite. Il se repris. Ça n’allait vraiment pas bien du tout.

- Tu as peu être raison … avoua-t-il … comme tu peux aussi avoir tors … ajouta l’animagus.

Il aurait pus s’en passer.

- … mais n’oublions pas que ce n’est pas avec moi que tu vas te marier, mais avec Akira.

Réalité qui lui aurait été dure à dire en d’autre circonstance. Mais il ne se sentait plus.

- Et ces deux interminables mois m’ont servit à mettre au claire ce que je vais faire … cependant je n’est pas encore réfléchit sur « notre avenir » mais je pense qu’on a encore le temps. Et puis de tout façon je ne vois pas ce que j’ai à espérer de plus que ce que j’ai déjà. C’est toi-même qui me l’a dit. C’est toi qui garde la distance qui fait que nous sommes obligé de vivre éloignés. Pas moi.

— ADMINISTRATRICE —

-Serait-ce la sérénité qui te fais t'en peur Elidore ?

Lança-t-elle un air de défi figé sur le visage.

-Tu cours après des chimères pour créer le chaos qui règne en seigneur et maitre sur ta vie...

Cette fois Lyzandra vint s'adosser sur la porte faisant barage de son corps. Non il n'irait nul part et il le savait bien, tout comme elle d'ailleur. Tous les deux ne pourraient pas en rester là. Le provoquer était si facile...

-Tu semblais pourtant beaucoup moins réticent l'autre nuit !

Finit-elle par laisser tomber comme le couperet, méprisante.